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(musique) –Bonjour! Ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons d'argent en direct, une émission de placement direct TD. Aujourd'hui, nous allons passer en revue les éventuels assouplissements les pressions inflationnistes avec (. ..). David mau va exposer les perspectives pour le transport aérien. Le secteur des services publics est-il prêt pour l'électrification? Nous allons entendre Marisa Jones. Dans la séquence de formation sur CourtierWeb, Caitlin Cormier va nous expliquer comment trouver les notes des analystes. Tout d'abord, une mise à jour sur les marchés. Une léger (...). Tout d'abord, l'indice composé TSX est en baisse de six points et demi. À 19 056. Kinross est encore à 4,32 $ l'action après de 3 % en hausse. Il y a quelques faiblesses aux États-Unis, et chez nous, le grand titre, ces Shopify qui est en baisse. L'indice S&P 500 subit une pression à la baisse qui va en s'accélérant, 25 points en baisse par rapport à hier. J'ai dit que les titres de technologie sont préoccupants. Nasdaq est en baisse de plus de 1,5 %. Méta n'a pas de nouvelles spécifiques à ses finances aujourd'hui mais est en baisse à 7 1/3 %. (... ), qui évoque une certaine faiblesse dans la publicité numérique. (...) un certain nombre de titres de la compagnie mère de Facebook qui a prie le nom de Méta. La hausse des coûts de carburant a amené un gain des ventes au détail au Canada au mois de mai. L'économie réalisant cinq mois consécutifs de gain. Lorsque nous avons vu les chiffres, nous nous sommes dits, hausse de 2,2 %. Mais quand on approfondit, après ajustement pour l'inflation, il y a des tendances différentes. Je pense que c'est cela qui va sauter aux yeux. Quand on songe à l'essence, à l'alimentation pour lesquels nous payons plus cher à cause de l'inflation, quand on corrige pour l'inflation, les ventes sont en baisse sur tout autre bien comme l'alimentation, l'habillement. Il faut approfondir les chiffres et les examiner sur une base corrigeait inflation plutôt que sur une base nominale. J'ai eu la même réaction lorsque j'ai vu le chiffre global de 2,2 %. Je me suis dit qu'en dépit d'une flambée de l'inflation, les Canadiens sortent toujours leur portefeuille. Ensuite, je me suis dit que si on ajuste sa en termes de volume, qu'on élimine la hausse des prix, nous ne sommes en hausse que de 0,4 %, c'est-à-dire très modestement. Les jardineries et les aliments pour animaux familiers sont en recul. Les ventes au détail augmentent au niveau nominal, mais nous savons que tout nous coûte plus cher. Service économique TD quand passe-t-il? Il estime que l'inflation aura un impact sur les dépenses des consommateurs pour le reste de cette année. Pour cette raison, on a révisé à la baisse les perspectives de croissance pour le Canada au troisième trimestre à 3 % le quatrième trimestre et à 1,6 %. Et pour 2023, on avisassent 1,7 %, c'est-à-dire très médiocre. L'inflation plus élevée aura un impact sur notre portefeuille. C'est anecdotique, mais peut-être qu'on pourrait appeler ça l'indice (.. .). Est-ce que vous avez quelque chose (.. .) est-ce que vous avez renoncé à quelque chose? Les billets d'avion flambent. L'une des tendances qu'on constate, c'est que les gens renoncent aux biens physiques en faveur des expériences, les restaurants, les voyages. Je ne sais pas si je suis disposé à payer une somme supplémentaire pour prendre un avion. Je peux peut-être attendre un an lorsque les compagnies aériennes s'organiseront. Ce sont des dépenses comme celle-là que je différera. Les sorties au restaurant, voyage au pays, c'est sur cela que je voudrais dépenser. J'ai renoncé à déjeuner au restaurant le midi. J'apporte sans doute au travail. Vous, vous renoncez à faire le tour du monde. Merci, Anthony. C'était Anthony Okolie qui va revenir tout à l'heure pour nous communiquer les dernières réflexions sur les marchés miniers. Les banques centrales ont pratiqué des augmentations exceptionnelles des taux d'intérêt pour maîtriser la hausse des (. ..). Dit le directeur de la gestion active des titres à revenu fixe estime que les prix élevés à la consommation ne sont pas prêts de disparaître. Je peux commencer par quelques nouvelles positives au niveau de l'inflation. Il y a eu modération, une amélioration au niveau des chaînes d'approvisionnement, ce qui a atténué l'inflation, les (...) se stabiliser. Ce sont de bonnes nouvelles. Les prix des produits de base sont également en baisse. Il semble que nous sommes arrivés à un pic de l'inflation globale. Mais le défi pour les décideurs politiques et les investisseurs, c'est de savoir ce qui va se passer au niveau de l'inflation de base. Les salaires, le logement, les soins de santé. Ce sont des secteurs qui ne sont pas sujets aux fluctuations de la demande. Ils sont stables. C'est inflation sera persistant et ce sera la grande question pour les investisseurs et les banques centrales. Comment cela va-t-il évoluer? L'inflation de base risque de rester un certain temps. À titre d'investisseurs dans les titres à revenu fixe, c'est cela que nous essayons de prévoir. Pour l'année prochaine et le reste de cette année. – Ce que les banques centrales peuvent faire quelque chose avec cette inflation persistante? C'est une chose d'augmenter les taux comme ils l'ont fait dans le marché du logement, les augmentations commencent à ralentir. La donne a changé. Mais sur d'autres marchés, la banque centrale a-t-elle une influence? – Non, la banque centrale élimine elle ne peut pas résoudre les problèmes d'offres, d'approvisionnement. Elle doit gérer la question de la demande, le marché du travail qui est très serré, la banque du Canada a augmenté de 100 points de base le (.. .). C'est le mieux que les banques centrales puissent faire et elle continue de le faire. La croissance va ralentir. Avec le temps, cela va se répercuter sur le logement, les salaires. Il y aura des réajustements. Certaines des données affiches un ralentissement, mais ça prendra quelque temps. Les banques centrales font du rattrapage. Il reste du chemin à faire avant d'avoir achevé le cycle. – Vous avez parlé des attentes. La semaine prochaine, on pensait peut-être que la banque de réserve fédérale pourrait augmenter de 100 points de base. Est-ce qu'il y a une justification au niveau des données (... ) – C'est un équilibre délicat. On a parlé de 25 à 50, et ensuite de 50 à 100. Chaque fois, on monte d'un cran. Le fait d'avoir monté de 75, elle reprend. Les gouverneurs régionaux ne veulent pas pousser le bouchon trop loin. Le taux terminal, c'est-à-dire là où le marché pense que la banque du Canada et la Fed va arriver d'ici la fin de cette année, était relativement stable, entre 3,5 et 3,75. Je pense que la réserve fédérale voudra simplement progresser au-delà de ce niveau neutre. Les êtres humains aiment bien inspirer. C'est intéressant car certains secteur du marché commence déjà à envisager des baisses de taux. On a même pas achevé de voir les taux augmenter, on anticipe déjà sur des baisses. Les banques centrales volent toujours au secours des marchés. Il y a beaucoup de gens qui disent qu'on ne peut pas s'attendre à ce qu'elles vont constamment voler à notre secours. Il y a le risque qu'elles aillent trop loin, qu'elle déclenche un ralentissement. Beaucoup de récession. L'inclination des marchés, ces (. ..) des baisses. L'an prochain, on a envisagé de réduction par la Fed. On a commencé cet entretien quand on a parlé d'inflation persistante. Je crois que ce sera un facteur défavorable. Il y a une question que les investisseurs devraient analyser: au feu et à mesure que la croissance ralentit tandis que l'inflation demeure persistant, quels sont le levier que les gouvernements et les banques centrales peuvent actionner? Lorsque nous abordons une période de croissance ralentit ou de récession, compte tenu de la persistance de l'inflation. L'enveloppe est limitée. – Je ne pense pas que les vents vont continuer longtemps (...). On a parlé du terme de stagflation. Est-ce qu'il a une pertinence pour nous révisions aussi trop pessimiste? – On ne peut pas enrayer l'inflation, mais l'économie se porte mal. Est-ce que c'est une période de stagflation, est-ce que c'est une récession? Il y a toutes sortes de problématiques dans les diverses régions du monde. Le Canada a son propre talon d'Achille qui est le marché du logement. En Europe, il y a le conflit, le gazoduc (.. .). On se demande jusqu'à quel point le rap sera approvisionner durant l'hiver. Il y a la politique de zéro COVID. On peut analyser ce qui se passe dans différentes régions du monde pour envisager ce qui va se produire. L'Europe et l'Asiene subissent pas les mêmes pressions inflationnistes que nous en Amérique du Nord. La situation sera différente d'une région à l'autre dans le monde. Au début, on a annoncé qu'il avait une belle remontée du marché. Je ne sais pas comment les choses vont se passer demain. Je me dis toujours: comment peut-on avoir une certaine clarté? Sur ce qui se passe dans le monde – Tout le monde veut une certaine clarté. Autrefois, on avait un environnement avec peu d'inflation une bonne croissance. Les banques centrales pouvaient toujours favoriser ces conditions. Maintenant, ce n'est plus le cas. On a les incertitudes. Certaines sont géopolitiques (...). Si le conflit en Europe est réglé, ou que les cours des produits de base recevra descendent un peu, c'est un environnement très difficile dans lequel nous fonctionnons, avec une pénurie de la main-d'œuvre, problèmes de chaîne d'approvisionnement dans le monde… Ça ne va pas se résoudre du jour au lendemain, c'est certain. –À présent, l'actualité du milieu des affaires et un coup d'œil sur les marchés. Le marché de la publicité numérique est en recul, ce qui plombe deux titres des médias sociaux aux États-Unis. Les bénéfices de Twitter pendant le trimestre le plus récent sont inférieurs au pronostic car les ventes publicitaires sont beaucoup plus basses que les prévisions. Et la société-mère de Snapchat affirme que l'inflation et la pénurie de main-d'œuvre entraîne des réductions des entreprises. Les bénéfices de Snapchat seront inchangés par rapport à l'année précédente. Ces différents chez American Express, la compagnie de carte de crédit relève ses pronostics de chiffre d'affaires pour l'année. Les attentes de bénéfices d'American Express sont fondées sur le retour des déplacements et des divertissements. La compagnie prévoit une croissance des revenus de 25 % par rapport à son pronostic précédent de 20 %. Le volume de (...) sur les chemins de fer canadien à remonter jusqu'au niveau le plus élevé depuis 2019. On déclare que les chemins de fer canadien ont transporté 32 millions de tonnes de (...), une augmentation de 8,7 % sur 12 mois. La première montée depuis huit mois. Il s'agit notamment de minerai de fer et de produits énergétiques qui compensent la faiblesse des denrées agricoles. Un coup d'œil sur les marchés. L'indice TSX composite est en légère baisse de 27. Et le (.. .) est plombé par les grands titres de médias sociaux et de la technologie, même si méta plate-forme n'a fait aucune annonce spécifique, elle est sur le recul à cause de la situation de Twitter et de Snapchat. Le secteur du transport aérien a été touché par la pandémie, mais le retour des voyageurs ne s'est pas bien passé. J'ai interrogé David Mau, quant à ses pronostics pour le transport aérien. Ce n'est pas uniquement la faute des compagnies aériennes. Tout le monde a vu aux informations des séquences tournées aux aéroports, des files d'attente de 400 à 500 personnes, les bagages remplis de bagages non réclamés. Les compagnies aériennes assurent une grande part de responsabilité, mais il y a également les organismes gouvernementaux. Les douanes, la sécurité frontalière. Le personnel de sécurité devant lequel il faut passer pour parvenir aux portes d'embarquement. Et puis il y a le personnel au sol qui relève de l'aéroport. Et les fournisseurs engagés par les compagnies aériennes pour le nettoyage et l'approvisionnement des avions en denrées alimentaires. Tous les intervenants (...). Au début de la pandémie, lorsque le transport aérien s'est pratiquement arrêté, beaucoup de ses employés ont été mis à pied. Et tous ces secteurs ont été lents à récupérer des employés. Ce qu'ils ont pu ramener non peut-être pas autant d'expérience que ceux qui sont partis. Il leur faut donc plus de temps pour remonter la pente et s'assurer que toutes les activités se déroulent comme auparavant. Les investisseurs se tournent vers les compagnies aériennes, devrait-il être préoccupé par le fait que la demande de transport aérien ne peut pas être satisfaite pour certains facteurs. Certaines personnes pourraient être dictées des voyages par les images qu'il voit. On veut battre le fer pendant qu'il est chaud, ce n'est pas possible. – Vous avez raison de dire que les compagnies aériennes n'arrivent pas à gérer la demande. Le volume. Mais inversement, les compagnies aériennes ont beaucoup augmenté le prix des billets. Même si les volumes sont plus faibles, le prix moyen du billet est plus élevé. Ça se compense. La question de savoir combien longtemps ces prix plus élevés pourront-ils être maintenu? L'inflation a un impact sur les budgets des gens, qu'il s'agisse du prix de l'essence de l'alimentation. Et nous savons que pendant une récession, si une récession a effectivement se déclenché, les dépenses discrétionnaires, les voyages sont ce qu'on réduit d'abord dans une budget. Il n'est pas absolument certain que nous allons entrer en récession. Même si la probabilité semble assez forte. À cause des mesures prises par les banques centrales pour gérer l'inflation. Pour les compagnies aériennes, ce sont des situations difficiles. Elles veulent reprendre leur activité et toutes sortes de facteurs les en empêchent. Peut-être ralentissement économique s'annonce. C'est un défi. À ce stade, rien n'indique qu'il y a eu une destruction de la demande à cause de l'inflation de la hausse des prix. Mais ça vaut la peine de surveiller tandis que nous abordons les troisièmes et quatrièmes trimestres. Temps normal, difficile (.. .) avant la pandémie, le secteur du transport aérien devait compter sur le prix du carburant. C'était le plus important élément dans son budget. Pour une compagnie aérienne moyenne, le carburant représente 25 % à 30 % de ce coût d'exploitation. En fonction de la composition de sa flotte. Ça amène les compagnies aériennes accélérer la mise en service de nouveaux avions qui sont beaucoup moins gourmands en combustible. Un nouvel avion peut faire économiser 25 % à 30 % sur le coût du carburant. C'est une excellente nouvelle! Ça créera une forte demande pour les nouveaux avions. Parlons-en! On a beaucoup parlé des compagnies aériennes et des aéroports. Vous venez de dire que c'est un environnement où il y aura peut-être une impulsion pour le renouvellement des flottes. Il a annoncé aujourd'hui qu'elle a commandé de nouveaux avions Boeing. – (. ..) en Angleterre. Habituellement, lors de ces salons, les compagnies aériennes annoncent leur nouvelle commande pour les prochaines années. La majorité de ces commandes iront à Boeing ou Airbus, il n'y a que deux gros avionneurs dans le monde. Une commandée aérienne qui veut commander un nouvel avion doit choisir entre Boeing et Airbus. Ce devrait être intéressante selon (... ). Il y aura sans doute d'autre annonce d'ici un ou deux jours quant aux intentions des compagnies aériennes en matière de commande. (.. .) est un événement majeur dans le secteur. On en parle beaucoup chaque année. Les investisseurs peuvent-ils surveiller la situation? Par rapport à ce qu'on a eu dans le passé? – C'est intéressant parce que ça donne une indication de la demande à laquelle les compagnies aériennes s'attendent. Au niveau de leur volume de voyages et de leur stratégie de croissance. Mais c'est un phénomène très mondial. Ça ne consomme pas seulement les compagnies nord-américaines. Il y a les asiatiques et les européennes. La Russie ne fera parti du processus de commande d'avion, du moins pour le moment. Ça donne une bonne perspective mondiale sur la façon dont les compagnies aériennes planifient leur avenir. À long terme, il y a eu des perturbations à court terme à cause de la COVID. On espère que le pire est passé. On croise les doigts. On pourra peut-être avoir des à court termes. On ne sait pas ce qui va se passer. Projetons-nous 5,10, 15 ans dans l'avenir. Comment se portera le transport aérien? En général, je suis très optimiste à l'égard de ce secteur. Si on se fie aux prévisions des grands acteurs du secteur, il prévoit avoir besoin de plus de 40000 nouveaux avions de transport de voyageurs au cours des 20 prochaines années. Il s'agira d'avion de remplacement de ceux qui seront mis hors service. Il y aura aussi des appareils nouveaux. Pour l'expansion. On prévoit que le secteur du transport aérien continu de se développer. Le trafic aérien passager avait connu une croissance de (. ..). Il s'agit toujours d'une bonne croissance du chiffre d'affaires. C'est très prévisible. Au fur et à mesure que le transport aérien est accessible à un plus grand nombre de personnes, dans les pays d'Afrique ou d'Asie du Sud-Est, cette population était exclue du marché parce que c'est cher de prendre l'avion. Mais comme le prix des billets d'avion a diminué au cours des 10 ou 20 dernières années, c'est devenu plus accessible pour plus de gens. On s'attend donc à ce que ce type de croissance poursuive sur les 20,30, 40 prochaines années. –Passons à la séquence de formation. Les investisseurs faire des recherches sur un titre en examinant comment les analystes de l'industrie notre compagnie. CourtierWeb a des outils pour vous aider à connaître le consensus des milieux financiers. Caitlin Cormier est spécialiste en formation à placement direct aider. Bonjour, Caitlin! Comment CourtierWeb peut-il nous aider à savoir ce que disent les analystes au sujet d'un titre? – Nous avons sur CourtierWeb un centre d'analyse qui permet de faire la synthèse des informations disponibles afin d'en prendre connaissance. Jetons un coup d'œil à la plate-forme. On commence par aller à l'onglet recherche et puis sous la rubrique investissements, on fixera action. On fait une recherche sur le titre sur lequel on veut recueillir des informations des analystes. On peut saisir le nom ou le symbole boursier de l'action que vous voulez chercher, mais utilisons Apple. C'est une action qui est activement négociée. Ce qui se passe. On choisit analystes dans la rangée des onglets. On n'en arrive à une page d'accueil des informations émanant des analystes. L'objectif est de (...). Basé sur les projections de 28 analystes. Au cours des trois derniers mois. Il y a une estimation élevée de 210 et de (...). Ce qui nous donne l'écart entre ce que les différents analystes pronostic. Ça nous donne un instantané des 12 derniers mois pour suivre l'évolution du cours. À l'extrême droite, voici les classements généraux. Acheter, vendre et neutre. Personne ne recommande de vente. Si recommande neutre et 22 recommandent d'acheter. Il s'agit d'éléments d'information que vous pouvez prendre en compte dans vos recherches sur un titre. On peut ensuite voir chacun des analystes qui a proposé ces recommandations et pronostiquer le cours. On voit également la date de parution des notes. Certaines ont paru hier, d'autres remontent plus loin. Ceux qui ont une ligne, ils sont utilisés dans les projections de prix, les autres sont à plus de trois mois. Il y a autre chose. Vous pouvez cliquer sur le nom d'un analyste individuel. Pour avoir plus d'informations sur celui-ci. Voici l'analyste de J.P. Morgan. Ça montre le (...) pour ce titre. Ça donne le taux gagnant ou perdant. Cette analyste a pu prédire la tendance 115 fois sur 209. C'est un taux de réussite de 55 %. Son roman moyen est de 12,6 %. Ça vous donne un aperçu sur cette personne. Vous pouvez vous abonner à ses notes ou bien visionner son profil qui indique les autres titres qu'il suit et sur lequel il formule des recommandations. Encore une fois, la cote de succès, les classements… La distribution des notes et certains titres récemment notés. C'est fort intéressant! – Caitlin m'a montré ça. Je vais aller sur CourtierWeb après l'émission. Ou est-ce que je vais trouver cette liste une fois que j'ai tout ça dans la corbeille? – Si vous avez une ou deux personnes, vous avez créé une liste d'analystes, de personnes que vous voudriez suivre, comment pouvez-vous les trouver? On va suivre les analystes, mais si vous commencez à partir de zéro, vous cliquez sur recherches, marchés et centres des analystes. Et puis c'est cela qui vous amène… On a déjà couvert cet onglet, mais cela vous amène à l'endroit où vous pouvez voir analystes suivis et vous pouvez voir les personnes. Il y a là un seul qui est suivi dans ce compte là. Vous pouvez voir cette information. Les informations précédentes qu'on a vues. C'est toujours intéressant de vous entendre. Merci Caitlin. Caitlin Cormier est spécialiste de formation à placement direct TD. (. ..) vous trouverez des vidéos, des cours interactifs et des webinaire. Nous sommes à mi-chemin de la pause de midi. Jetons un coup d'œil une nouvelle fois sur l'indice composite TSX, en baisse de 27 points, à 19 034. Il y a une certaine activité sur des titres que l'on cite moins souvent. Spinmaster. Les bénéfices seront annoncés la semaine prochaine. Gérer les titres qui progressent sur la bourse, en hausse de plus de 3 %. Le (.. .). Le titre progresse encore une fois aujourd'hui. Le groupe Mylène est en hausse jusqu'à 13,96 $ l'action. Aux États-Unis, les grands titres de médias sociaux plombent l'indice boursier. Notamment, s'agissant des pronostics de Snapchat quant à la publicité numérique, un recul de presque 4 %. À présent, il (. ..). Voyant Snapchat, c'est la compagnie qui est le plus durement touché par le ralentissement de la publicité. Non seulement les bénéfices du trimestre précédent ont déçu, mais la compagnie annonce que les bénéfices du prochain trimestre seront inchangés par rapport à l'an dernier. Si le monde doit parvenir à ce type de carboneutralité, l'électrification sera essentielle. Quelle opportunité cela offrait-t-il aux investisseurs? Je me suis entretenu avec (. ..). – Quand j'ai commencé ma carrière il y a 20 ans les titres à revenu fixe, le secteur des services publics était ennuyeux. Et c'est très bien pour les titres à revenu fixe. En tant qu'analyste, on adore les secteurs qui sont fiables et transparents quand on peut prévoir les revenus. Mais depuis cette époque, il y a eu beaucoup de changements. Je dirais même que c'est l'une des qualités constance du secteur de l'électricité, il est toujours très stable et fiable, mais maintenant, face à la transition énergétique mondiale, et en Amérique du Nord, les services publics d'électricité est réglementée ont beaucoup changé. Je voudrais mettre l'accent sur cette croissance, qui est une occasion pour les investisseurs, ainsi que sur le rôle précis que les services publics ainsi que le transport et la distribution ont dans la transition énergétique. Du côté de la croissance, mis à part le fait qu'on prévoit une croissance démographique très importante à l'échelle mondiale, ce qu'on voit en Amérique du Nord, c'est que la croissance des services publics sera démesurée. Elle dépassera la croissance économique ou démographique. Il y a des facteurs comme la croissance technologique, par exemple l'utilisation des centres de données qui consomment de l'électricité, et le rôle particulier des services publics dans la transition, car ils doivent pouvoir s'adapter aux changements climatiques, devenir plus résiliant, renforcer le réseau. De plus, l'électricité en particulier au niveau de la production surtout, c'est le secteur de la production du service public (. ..). On veut que les entreprises et les ménages réduisent leurs émissions, mais il faut que l'électricité nécessaire dans les maisons, les véhicules électriques, il faut que cette électricité soit verte. Il y aura une forte hausse de la croissance et donc beaucoup de dépenses. J'allais justement dire: est-ce que notre production d'électricité est actuellement à la hauteur? Quand on parle de véhicules électriques, si on atteint ses cibles, il faut électrifier le fameux véhicule. Mais si tout le monde du jour au lendemain à une voiture électrique branchée sur sa maison, on se demande si on aura assez d'électricité. – C'est une question. C'est intéressant parce que on se dirige plus rapidement vers les véhicules électriques qu'on avait pu prévoir il y a cinq ans. Est-on prêt? Ce qui est bien pour les services publics, pour la société, c'est qu'on a du temps. Par exemple, dans d'autres pays comme en Europe, en Chine, ils sont bien en avance sur nous. L'Amérique du Nord, les États-Unis et le Canada, en ce qui concerne l'adoption de véhicules électriques. On peut tirer les leçons des erreurs commises dans d'autres pays et puis on a le temps. Par exemple, les courbes de coûts des véhicules électriques ont diminué et selon certaines estimations, le coût de véhicules électriques sera égal aux véhicules à moteur à combustion des 2025 dans la plupart des régions. On aura donc une évolution de la demande. Ce n'est pas seulement une question de politique au niveau de l'adoption de véhicules électriques. Maintenant, il y a des conducteurs qui veulent conduire ses véhicules et la demande est forte, c'est une bonne chose. L'adoption prendra quand même du temps parce qu'il faut produire ses véhicules électriques. L'autre facteur, c'est que même si les ventes réelles continuent au même rythme, on a le temps. Les véhicules à moteur à combustion interne dure en moyenne 10 ans. Ils ne vont donc pas disparaître rapidement avec l'augmentation des ventes. C'est la première chose, on a le temps. On investit déjà dans ce secteur. En Ontario, il y a des partenariats qui remontent à plusieurs années avec (...), par exemple. Ils ont collaboré à la création d'un système de recharge des véhicules électriques. Ils sont en train de le déployer. Ils ont ajouté des bornes de recharge rapide sur 16 routes supplémentaires. C'est essentiel aussi quand on achète un il (...). Voiture: recharger son véhicule. c'est quelque chose qui fera augmenter la demande. Ce que je veux dire, c'est qu'on investit déjà. Il ne s'agit pas seulement des services publics. Le programme dont je viens de parler bénéficie d'un soutien du gouvernement fédéral les initiatives politiques nous poussent aussi dans cette direction. Il y a donc un lien entre ce que les services publics peuvent faire et espérons-le ce qui stimule la demande ou les consommateurs. Il ne s'agit pas ce monde véhicule électrique, il s'agit de (...). Cette tendance s'intensifie et les politiques vont dans ce sens également. Je pense donc il y a un bon équilibre. Il pourrait encore y avoir des petits problèmes, mais je pense qu'on va franchir ces étapes importantes car tout est bien aligné. Pour les pressions en faveur de l'électrification vise à respecter les engagements qu'on a pris à l'égard de l'environnement et des cibles d'émission. – Vous avez parlé de renforcer le réseau. Au fur et à mesure que nous évoluons dans cette direction, pour tâcher de réduire les effets des changements climatiques, renforcer le réseau va être coûteux. – Ce terme renvoie à des zones touchées par des inondations, des ouragans. On n'y offre les câbles. Et ça coûte très cher. Ou bien on installe des pylônes qui sont plus résiliant pour que les tempêtes de verglas ne les détruisent pas aussi facilement. Ça représente beaucoup d'argent. Encore une fois, pour les services publics réglementés et le secteur de l'électricité non réglementée, ce besoin existe depuis un certain temps. Les changements climatiques ont des répercussions sur tous les ce, depuis un certain temps. Et de plus en plus important. 2021 a été une année record pour les immobilisations pour les sociétés (.. .). Ces dépenses vont donc se poursuivre. Avec ces dépenses, on a assisté à une croissance exceptionnelle des services publics. Le secteur réglementé et stable. Mais il y a de la croissance. C'est pourquoi c'est intéressant du point de vue des titres de créance ainsi que pour certains investisseurs en bourse. Il s'agit d'un flux de trésorerie fiable mais soutenue par la croissance. – Comme vous avez parlé de renforcer le réseau, il va y avoir des obligations pour payer pour tout ça. Ça pourrait un espace très actif. – Pour les services publics réglementés, le point de vue intéressant pour moi en tant qu'analyste d'obligations, c'est que lorsque ces organismes émettent des obligations, ils ont un programme de (...) qui est largement sans risque. Contrairement à d'autres sociétés non réglementées, elles sont largement évaluées à l'avance. Elles sont jugées nécessaires et prudentes. Il y a beaucoup de réduction des risques pour ses dépenses en immobilisations. Encore une fois, le secteur est stable, mais 50 % à 60 % du financement prendra la forme de titres d'émission de créance. Quand je regarde le marché des obligations de société, on recherche des liquidités. L'un des facteurs qui influent sur le prix des obligations, c'est le manque de liquidité. Sur la courbe d'un émetteur, il peut se négocier à un prix plus élevé ou tout simplement pas du tout négociait. On veut la liquidité. Il faut un équilibre. Autre trou d'émission qui pourrait augmenter les écarts de taux et rendre les obligations moins chères ou un manque de liquidité de votre part. Si les besoins sont prévisibles, au niveau des émissions d'obligations, la liquidité augmente sur le marché et ça nous aide dans notre travail investisseurs en titres à revenu fixe. – Vous venez d'entendre Marisa Jones, analyste des crédits et services publics. Les véhicules électriques sont un facteur dans la demande pour les métaux. La valeur (... ) sur les perspectives du secteur minier. Revoici Anthony Okolie. – Le service à des perspectives favorables pour le secteur minier. Ce point de vue est basé sur l'augmentation de la demande dans le cadre de la des. . . on dit que les banques centrales continuent de relever les taux, selon eux, les compagnies minières ont rapidement pris en compte les perspectives de l'inflation et un ralentissement macro-économique brutal est reflété dans les valorisations. Les pronostics de croissance des cours a été réduits de 5 % pour la fin de cette année et 23 % pour le reste cette année. Ça représente des attentes plus basses en matière de croissance et une chute des cours. Les cours moyens ont diminué de 22 %. Encore une fois, basé sur les pronostics des cours des métaux plus bas en 2023. Maintenant qu'on a la possibilité de repenser ce secteur, compte tenu des défis qui nous attendent, quelles sont les recommandations pour les métaux basses? – Aucun changement. Les métaux de base représentent un secteur sur pondérée en fonction de l'hypothèse que le secteur des métaux de base connaît un marché baissier à long terme. – Merci, Anthony. Avant de me dire au revoir pour cette semaine, quelques mots sur l'évolution du marché. Des titres de technologie plombent les indices des deux côtés de la frontière. Très légère baisse, 19 041. Pour le composer TSX en baisse de 21 points, même si les secteurs de technologie et de santé sont plutôt à la baisse à Toronto. Il y a une tendance inverse de certains titres, notamment les services publics, les biens de consommation et l'énergie qui font remonter l'indice. L'indice S&P 500 subit les ondes de choc à cause des annonces des médias sociaux. On n'a annonces ramollissement de la publicité numérique. Après la dernière annonce de Twitter et d'espace. 3000 (...). En baisse de (...). Ainsi que certaines compagnies de télécommunications et de biens de consommations qui sont sous pression. Si vous cherchez du verre à l'écran dans l'indice de Wall Street, on le trouve dans les services publics (...). Rester à l'écoute, la semaine prochaine, (...), chef des placements mondiaux immobiliers va parler de l'immobilier. Et je vous rappelle que vous pouvez d'ores et déjà nous poser vos questions à l'intention de (...). Envoyez-nous votre courriel. Merci et à la semaine prochaine!