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- Bonjour! Ici Greg Bonnell.
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Aujourd'hui, Anthony Okolie commente les dernières statistiques sur l'emploi au Canada et aux États-Unis.
Ben Gossack de Gestion d'actifs TD donne son point de vue sur les secteurs qui bénéficient encore de la réouverture de la Chine.
Cathy Wood, Chef de la direction Ark Invest nous parle secteurs de la technologie et des opportunités créées par l'intelligence artificielle. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Nugwa Haruna nous propose des outils pour gérer la volatilité des marchés. Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite progresse notablement en ce dernier jour de bourse de la semaine, de de 25 %.
Le cours du brut rebondit aujourd'hui. Air Canada rehausse ses pronostics.
Le titre progresse de 12 %, à 12,53 $ l'action. Barrick Gold recule. Le cours de l'or cède de 35 $ l'once.
La semaine a été volatile pour plusieurs catégories d'actifs. Barriques à 27,30 $ l'action recula un peu plus de 1 %. Aux États-Unis, il y a eu toute une série d'annonces de bénéfices, des difficultés dans le secteur des banques régionales, une décision de la Fed mercredi. La semaine a été mouvementée.
Cette semaine semble devoir être déficitaire, mais aujourd'hui, l'indice S&P 500 progresse de 50 points, soit presque 1,5 %, jusqu'à 4120 points.
Le Nasdaq remonte également de 1,8 %, tandis que le secteur des banques régionales ne semble guère s'apaiser, les grandes banques de Wall Street remontent.
À 27,63 $, Bank of America progresse de 2,4 %.
Les dernières statistiques sur l'emploi au Canada et aux États-Unis dépasse largement les attentes des analystes. Anthony Okolie commente.
Comme vous l'avez dit, au Canada, l'économie a créé 41 000 emplois en avril, soit plus du double des 20 000 prévus. Le taux de chômage est maintenu encore une fois à 5 % pour le cinquième mois consécutif.
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L'économie canadienne ne présente aucun signe de ralentissement.
Toutefois, ce sont les emplois à temps partiels, au nombre de 48 000.
Nous avons perdu plus de 6000 emplois à temps pleins.
Selon Statistique Canada, le mois d'avril est le premier mois pendant lequel l'emploi à temps partiel a augmenté depuis octobre 2022. Par secteur, les gains se trouvent surtout dans les industries tricycliques: Entrepôt et commerce de détail, transport et entreposage, information, culture et loisirs.
Les secteurs qui ont perdu de l'emploi: Les services de soutien aux entreprises et aux bâtiments.
Enfin, une légère baisse par rapport au mois de mars du secteur de l'assurance.
Services économiques TD constate des tendances intéressantes.
La croissance de l'emploi est supérieure à la tendance depuis quelques mois. C'est attribuable à la forte croissance démographique au Canada. 1 million de personnes depuis un an, ce qui a aidé les employeurs à combler les lacunes, à pourvoir au grand nombre de posts vacants, dont le nombre recule nettement.
À cause de l'immigration abondante et de la stabilité du taux de chômage, certaines de ces surprises à la hausse dans le chiffre de l'emploi au moins de signification dans l'avenir. Dans la note de James Orlando, il était intéressant de l'entendre affirmer qu'il y aura une forte croissance de l'emploi. Ce sera la nouvelle norme s'il y a 1 million de nouveaux venus qui arrivent chaque année. Voici pour le Canada.
La Fed a annoncé essentiellement qu'elle se fonderait sur les données dans l'avenir, les données sont toujours importantes, mais celles de l'emploi sont particulièrement significatives.
Oui, aux États-Unis, 253 000 emplois créés en avril.
Plus que prévu. Les milieux financiers prévoyaient 180 000 nouveaux emplois. Le taux de chômage à 3,4 %, contre les attentes de 3,6.
les conséquences laissons que le ralentissement se produit peut-être, mais il ne se produit peut-être pas suffisamment vite pour la Fed. la Fed a aménagé la possibilité d'une hausse de 3 juin, tu pourras devoir être réalisé s'il n'y a pas de recul notable du marché de l'emploi. Les rendements obligataires sont légèrement plus élevés, après ces statistiques de l'emploi.
Les marchés les suivent de près.
Pouvait entendre Anthony Okolie.
Il sera de retour tout à l'heure pour commenter les ventes d'automobiles aux États-Unis.
Cette semaine, la Réserve fédérale a augmenté le taux directeur, pourtant au niveau le plus élevé en 16 ans.
Anthony Okolie s'est entretenu avec Hafiz Noordin de Gestion d'actifs TD sur la trajectoire des taux.
Globalement, c'est conforme à la tendance. La déclaration de la Fed, même s'il y a eu une hausse de 25 points, était plutôt pacifique. Il y avait une omission de promesses de hausses de taux futurs. La Fed a modéré son discours en déclarant qu'il serait conditionnée par les statistiques futures. Mais Jerome Powell, dans sa conférence de presse, a tenu un discours plus ferme. Il a souligné que l'inflation demeure élever que la nécessité de la réduire est essentielle dans la mission de la Fed.
Un discours équilibré, il faut se rappeler que la Fed fondra sur les données dans l'avenir.
Les réactions du marché, les rendements du marché obligataireaméricain. Le marché obligataire n'était pas trop volatile aujourd'hui. C'est une bonne chose car les marchés recherchaient des éléments qui ont été obtenus. Au-delà de cette hausse, les marchés ne s'attendent pas à grand-chose en juin ou juillet.
Mais vers septembre, les marchés s'attendent toujours à ce que les taux commencent à être réduits. Une coupure en septembre et deux autres d'ici la fin de l'année.
C'est toujours conforme aux attentes avant la réunion.
Les marchés s'attendent à ce que l'inflation se modère, que la croissance baisse et que la Fed doit donc commençait à réduire les taux en septembre.
En ce qui concerne les coupures de taux, selon vous, est-ce trop optimiste?
Eh bien, le discours de la Fed est équilibré.
Il y a un double risque.
Il n'y a pas un scénario de base dans lequel l'inflation a baissé et la croissance aussi.
Il existe un risque.
La liquidité est également médiocre sur le marché des bons du trésor. Il est difficile de déchiffrer les signaux, mais au fur et à mesure que les données sont publiées sur l'inflation et les salaires, si elles ne sont pas aussi avantageuses que les marchés l'espèrent, il se pourrait qu'il n'y a pas de coupure de taux d'ici la fin de l'année. Mais si l'inflation baisse, surtout l'inflation de base, si le marché du travail commence à faiblir, je crois que celaconfirmerai les attentes de coupure de taux de la part du marché.
Dans la mesure où nous sommes toujours en situation restrictive au niveau du taux directeur de la Fed - nous sommes passés d'un niveau qui est franchement baissier à un niveau qui est un peu plus restrictif - la Fed a déclaré que l'inflation est toujours une priorité, mais reconnaît également d'autres facteurs négatifs: La crise bancaire. Mais le secteur demeure assez résiliant. Comment la Fed s'y retrouve-t-elle?
La Fed doit établir un équilibre très net entre les données objectives, qui sont rétrospectives et qui montre ce qui s'est passé récemment au niveau de la main-d'œuvre, de la confiance des entreprises, de la consommation, mais elle doit également tenir compte des indicateurs prospectifs dans tous les secteurs de l'économie pour évaluer, comme la Fed l'a dit dans sa déclaration, que l'effet cumulatif des mesures de resserrement monétaire. La Fed doit également surveiller le resserrement des conditions de crédit par les banques et la mesure dans laquelle ceci réduit la croissance économique.
La Fed doit tenir compte de ces indicateurs économiques prospectifs, car elle sait que même si elles commencent à réduire les taux aujourd'hui, il doit s'écouler plusieurs trimestres avant que cela ne se répercute sur le marché. La banque doit donc être proactif, ne pas rester trop ferme trop longtemps. Le risque étend qu'elle entraîne économie dans une récession plus profonde.
Cet indicateur prospectif, quels sont les risques principaux quant aux perspectives de la Fed?
L'un des risques clés est relié à l'inflation, c'est certain. La Fed s'attend à ce que le processus désinflationniste se poursuive. Les marchés prévoient que l'inflation diminue à 3-4 % d'ici la fin de l'année et se rapproche de 2 % d'ici un ou deux ans. C'est le risque clé au niveau de la fermeté qui empêche la Fed de pratiquer des coupures pendant longtemps ou l'obligerait même à procéder à de nouvelles hausses.
Nous ne pouvons pas exclure ce scénario. Mais notre scénario est celui dans lequel la banque se trompe et restant pour pendant trop longtemps, ce qui entraîne un effondrement de l'économie, puisque les taux d'emprunt sont trop élevés. Si la banque se concentre trop sur les données rétrospectives inflations, elle pourra ne pas s'apercevoir que toutes les mesures de resserrement donnent déjà le résultat voulu.
La banque doit donc prendre garde à ne pas retirer excessivement.
Le dollar américain est à la baisse dans l'attente de cette décision de la Fed. Quelle est la trajectoire que vous envisagez?
Surtout puisque la Fed laisse entendre qu'il pourrait y avoir une pause dans les hausses de taux.
Tout semble indiquer que le dollar américain devrait demeurer plutôt inchangé, voire reculer à cause de la pose de la Fed. Mais il y a d'autres secteurs de l'économie mondiale - la banque centrale européenne, par exemple, relève toujours les taux.
Elle en est toujours à 50 points de base. Elle est toujours là dans le cycle de hausse.
La banque du Japon est encore au tout premier stade du resserrement de la politique monétaire.
Il se pourrait que d'autres bonnets progressent plus que le dollar américain.
Et même au niveau de la croissance, si les mesures de resserrement pris aux États-Unis ne sont pas synchronisées avec le reste du monde, la croissance aux États-Unis devrait être inférieureà la croissance hors États-Unis.
Pour toutes ces raisons, le dollar américain devrait faiblir quelque peu, mais nous devons nous rappeler qu'il a déjà rétrogradé de 10 % depuis son sommet au troisième et quatrième trimestre de l'an dernier.
Les profits faciles dans la vente à découvert de dollars américains ont déjà été faits. Il y aura une certaine résidence à court terme, mais le dollar américain devrait faiblir dans l'ensemble.
Vous venez d'entendre Hafiz Noordin, gestionnaire de portefeuille à Gestion d'actifs TD, s'entretenant avec Anthony Okolie. À présent, actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Apple qu'il serait possible d'augmenter les ventes de iPhone dans les marchés émergents. Le Chef de la direction, Tim Cook, déclare que la compagnie a battu des records de vendre plusieurs compagnies à l'étranger et que la part de marché peut-être encore augmentait en Asie du Sud, en Amérique latine et dans le Moyen-Orient. La classe moyenne émergente de l'Inde pourrait être un point de bascule pour Apple.
. Enbridge annonce des bénéfices supérieurs aux prévisions pour son dernier trimestre. Le géant des oléoducs et gazoduc a obtenu différents résultats dans ses gazoducs aux États-Unis et ses activités sur la côte du Golfe du Mexique.
L'effet du taux de change étend également favorable.
Enbridge a également négocié un règlement avec les expéditeurs sur son principal pipeline. Les actions de compagnie sont en vedette. Le marché réagit à un pronostic de vente inférieure aux prévisions pour le trimestre actuel. Cette orientation décevante suit une hausse de 14 % des revenus.
Lyft rétrogade de 21 %, à huit dollars l'action.
L'indice S&P TSX progresse de 246 points. À présent, l'indice S&P 500 a connu des péripéties cette semaine, mais est en hausse de 1,4 %, soit 57 points. L'un des points centraux pour les investisseurs au début de 2023 de la réouverture inopinée de la Chine après des années de confinement.
Mais au fur et à mesure de l'année 2023, quel marché bénéficie toujours de cette tendance et lesquels s'essoufflent. Ben Gossack institutionnel portefeuille à Gestion d'actifs TD.
Au début de chaque année on regarde nos boules de Crystal. La Chine a joué un rôle de catalyseur.
Je n'avais pas prévu la crise des banques régionales États-Unis. On ne peut pas tout prévoir. Ce qui est intéressant dans la réouverture de la Chine: Au mois de novembre, les dirigeants d'entreprise qui dépend beaucoup de la je ne savais absolument pas quand la réouverture allait avoir lieu. Quand il y a eu la réouverture surprise en décembre, et bien, tout le monde s'est mis au travail. Peu importait si vous étiez une entreprise de voyages, de biens de consommation, de matières premières, industriels. La Chine était le facteur essentiel est beaucoup d'investisseurs craignait de rater le mouvement.
Les titres de casino à Macao, encore une fois, ces actions s'étaient effondrées et tout de suite, ils ont grimpé de 100%.
Il y a cinq ou six mois que la réouverture a eu lieu.
Il faut à présent que le chiffre d'affaires de ces entreprises justifie ces hausses.
Certains ont reculé de 20 %.
Ils font du surplace.
Les secteurs qui persévèrent sont notamment celui du luxe. C'est un thème qu'on évoque depuis longtemps.
La réouverture de la Chine pourra contribuer à alimenter les entreprises de luxe.
Hermès, par exemple, et les autres entreprises semblables, parviennent à de nouveau sommet en bourse.
Alors voici le rendement. On parle de la volatilité, l'incertitude du marché.
Les gens se replient sur la liquidité ou les CPG.
Regardez le titre d'Hermès ou de LVMH. On imaginerait pas qu'il y ait des problèmes sur le marché. C'est étonnant.
Ce sont des entreprises cotées en Bourse aux États-Unis qui bénéficieraient de l'ouverture de la Chine. Nike, Starbucks, Estee Lauder, donne de bons résultats.
Starbucks devait compter sur la Chine comme moteur de croissance.
De fait, hier, Starbucks a annoncé ces bénéfices. Les ventes de magasins mois de mars étaient en hausse de 30 %.
Donc l'activité est au rendez-vous, ce qui était décevant pour les investisseurs et c'est pourquoi le titre a reculé de 9 %, ainsi que la capitalisation boursière. C'est que les attentes n'ont pas été répercutées sur le reste de l'année.
Il y a eu une forte hausse d'activité. Est-ce que cela se poursuit ou est-ce que la compagnie nous dit que ce n'est pas durable? Ou est-ce que les dirigeants font preuve d'une grande prudence afin de rabattre nos attentes?
Je serais plutôt enclin à croire que c'est la direction qui fait preuve de prudence, mais l'activité était au rendez-vous.
Estee Lauder, c'est le maquillage. On veut bien paraître, donc c'est une entreprise qui s'essouffle. Il s'agit de maquillage de prestige. C'est vraiment le haut de gamme.
C'est une entreprise. C'est ce que nous mettons avant de passer à l'antenne.
Bien sûr.
Et les marges ressemblent à celle d'une entreprise de logiciels. C'est une activité extrêmement rentable.
Ce qui est intéressant, si vous regardez le graphique de l'action, juste avant la COVID, vers le mois d'octobre, il atteignait un creux. Le titre a bénéficié de la réouverture. Beaucoup des ventes d'Estee Lauder sont reliées aux déplacements. Les gens qui se déplacent passe au magasin hors-taxes et acheter les cosmétiques dans ses boutiques des aéroports.
Estee Lauder dépend de cela et a donc obtenu le bénéfice du doute.
Les investisseurs ont dû faire des suppositions quant à la réouverture des entreprises qui en bénéficieraient.
Les équipes de directions doivent formuler des hypothèses. Combien dois-je commander pour vendre aux détaillants qui vont vendre les produits au public.
La direction a fait beaucoup d'hypothèses. Il y a des activités, comme on l'a vu dans le cas de Starbucks, mais cette activité ne se convertit pas en vente à l'heure actuelle.
À l'heure actuelle, ils ont un inventaire pléthorique et des canaux d'approvisionnement gonflé. Ils constatent revenu lorsqu'ils vendent aux détaillants, les détaillants ne vont pas. La province de Hainan, qui abonde en villégiature, il y a beaucoup d'activités, mais le consommateur n'achète pas les produits de beauté.
La confiance des consommateurs a été très affectée par la COVID. Les gens veulent se déplacer, veulent se sentir bien mais ils sont très sélectifs quant à leurs dépenses.
Parlons de voyages.
Une fois qu'on rouvre une économie et que les gens peuvent se déplacer, il y a des actions qui sont reliées.
Trip.
com, non seulement amène à supposer que c'est relié au voyage.
Il s'agit d'une compagnie de réservation électronique de voyage.
Alors oui, cette compagnie a reçu le bénéfice du doute.
À présent, il y aura des prises de profits. L'activité n'est pas aussi intense qu'on le prévoyait.
S'agissant des placements, ce que j'ai appris en entretenant avec des interlocuteurs de terrain, c'est que beaucoup de citoyens chinois ont vu leur passeport expiré pendant la COVID.
Comme beaucoup de pays, ils doivent demander des visas.
Il y a une forte hausse des voyages en avion intérieurs, supérieure à l'activité d'avant la COVID, les voyages internationaux sont plutôt limités. Il existe une occasion extraordinaire, sans doute à la fin du printemps et à l'été, lorsque les voyageurs pourront obtenir leur passeport renouvelé et pourront obtenir un visa, qu'ils commenceront à aller en Europe et ailleurs, qu'ils dépensent leur argent.
Quels sont les risques pour un titre comme celui-là?
Simplement le fait que les gens décideront de ne pas aller à l'étranger?
Les gens veulent aller à l'étranger, mais le problème est de savoir qu'est-ce que le consommateur pourrait acheter.
A n'est peut-être pas B.
Ça, ça été difficile. C'est peut-être difficile pour les investisseurs et c'est tout aussi frustrant pour les équipes de directions.
Si vous vendez quelque chose que vous placez sur une étagère, vous ne voulez jamais que les étagères soient dégarnies.
Mais le risque lorsqu'on fournit des produits, c'est qu'on en fournisse trop et qu'il faut écouler des éventaires.
C'est exactement comme pendant la pandémie, nous avons acheté trop de biens. La chaîne d'approvisionnement s'est resserrée et puis on a livré trop et les entreprises ont dû vendre au rabais.
C'est là où nous commençons à voir la situation se clarifier.
Certaines entreprises qui ont obtenu de bons résultats.
D'autres comme Estee Lauder ou Starbucks, ont pris du recule.
On songe titres industriels et aux matières premières.
Après la COVID, parce que ce serait des secteurs qui seraient relancés. L'activité manufacturière et médiocre par rapport aux attentes et les produits de base comme le minerai de fer ont bondi, puis sont redescendus.
Cela s'applique à tous les secteurs.
Je dirais que la vague initiale d'euphorie s'est apaisée.
Les acteurs durables sont l'aéronautique et le luxe.
Vous venez d'entendre Ben Gossack de portefeuille à Gestion d'actifs TD. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Sur les marchés volatiles, il y a toujours le risque de payer trop cher une action ou de devoir la vendreà un prix très faible. Dans cette période de volatilité, CourtierWeb vous propose des outils pour gérer ce risque. Nugwa Haruna est formatrice à Placements directs TD. Parlons de ce qui est disponible sur la plate-forme.
Bonjour, Greg. Ça me fait toujours plaisir de passer à votre émission.
Nous sommes en pleine saison des marchés volatiles. En fait, c'est un phénomène qui dure depuis plus d'un an.
L'une des caractéristiques des marchés volatiles, c'est que les cours sont volatiles. Il peut y avoir une énorme fluctuation de cours, soit à la baisse, soit à la hausse. Certains investisseurs pourraient décider de ne pas négocier pendant cette fourchette, mais d'autres pourraient vouloir en profiter.
Par exemple, la baisse des cours pourrait être une possibilité d'acheter une participation dans une société. Ou bien, si le cours d'une action augmente, c'est peut-être la possibilité de se défaire de cette position. Comment les investisseurs peuvent-ils en profiter? Ils peuvent utiliser certains types d'ordres.
Aujourd'hui, nous allons parler de l'ordre limite. Je vais vous montrercomment vous pouvez passer un ordre limite.
Cliquons achat–Vente, au coin supérieur droit de l'écran, ce qui affiche l'ordre. Utilisons Apple. Je vais choisir le titre coté à la bourse de New York.
Mettons que je possède cette action, que je voudrais la vendre, typiquement, si vous voulez vendre quelque chose, mettons que je suis propriétaire de 100 actions d'Apple, je veux vendre je veux réaliser un bénéfice.
Donc je pourrais potentiellement utiliser un autre au prix du marché, ce qui me dit quel est le prix du marché qui pourrait être supérieur ou inférieur au dernier prix. Ici je veux avoir un certain contrôle, je m'attends à ce que les marchés demeurent volatiles, je pourrais en profiter pour utiliser l'ordre limite.
Je clique sur: Limite, dans le menu déroulant. Là, je fixe mon cours limite. Mettons que je suis uniquement disposé à vendre si le cours d'Apple augmente jusqu'à 185 $.
Il s'agit du plancher. Plus que 185, c'est encore mieux puisque je réalise bénéfices encore plus importants.
Toutefois, il faut se rappeler que si mon cours limite est beaucoup plus élevé que le cours actuel du marché, je vais peut-être attendre longtemps que cet ordre soit exécuté.
Je détermine donc combien de temps je suis disposé à attendre. Il est un peu passé midi, donc si je veux attendre que les marchés ferment jusqu'à 16 heures, je peux utiliser un autre valide le jour même. Si l'action d'Apple augmente jusqu'à 185 d'ici 16 heures, mon ordre sera annulé. Ou bien je peux cliquer sur le menu déroulant et envisager d'autres options.
Je peux choisir une date spécifique, ou bien je peux utiliser: bon jusqu'à validation. Ainsi, mon ordre restera dans le système.
Pour les actions cotées à la bourse américaine, c'est 280. Et pour les actions cotées au Canada, ces 90 jours.
Bon, nous savons quels sont certains des ondes que nous pouvons passer pour gérer la volatilité.
la volatilité ne se limitent pas à 9h30 à 16 ans pendant les heures d'ouverture du marché. Comment peut-on faire des transactions en dehors de ces heures de marche?
Vous avez raison, Greg. La saison des annonces de bénéfices vient de s'achever.
Quand les compagnies font leurs annonces avant l'ouverture ou après la clôture du marché, elles le font enfin que ça n'affecte pas la valorisation de leur titre, comme ce serait le cas si elles annonçaient pendant les heures de bourse.
Mais les investisseurs peuvent toujours passer les commandes entre huit heures et mettons 9h25, ou entre 16 heures et 19 heures, heure normale de l'Est.
Vous avez ainsi la possibilité de participer au marché, de prendre une position ou de vous en défaire.
Voilà comment on peut profiter de ces caractéristiques de prolongation du marché. Mettons que je veux vendre mon action Apple à 185 $, aller de ce menu déroulant, vous remarquerez qu'il y a une option supplémentaire.
Ce serait les marchés jours plus.
Si je passe mon ordre maintenant, il est un peu passé midi, heure normale de l'Est, cet ordre demeurera inchangé jusqu'à 16 heures, et puis il sera passé sur le marché de 16 heures à 19 heures. Si je ne peux pas vendre mon action à 185,10 $ 19 heures, cet ordre sera annulé, ce qui signifie que demain, je devrais retourner demain matin passer encore une fois cet ordre.
Cela vous donne la possibilité d'utiliser ces heures préalables au marché. Huit heures à 9h20 ou 16 heures à 19 heures, c'est seulement pour cette journée. Il y a certaines choses que vous devez connaître, puisque assez peu de gens négocient pendant cette période. Il y a peu de liquidités il pourrait y avoir une forte volatilité parce que c'est le moment où les entreprises font leurs annonces.
Une dernière chose que l'investisseur doit savoir: Si vous utilisez l'option de marché étendu, c'est disponible seulement pour les actions cotées en Bourse et les FNB. Voilà ce qu'il faut savoir si vous voulez utiliser cette fonction.
Merci, Nugwa.
Ça me fait toujours plaisir.
Nugwa Haruna est formatrice à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb, où vous trouverez encore plus de ressources.
Le secteur de la technologie à bien commençait l'année,après une année difficile en 2022. Mais est-ce que cela pourrait se prolonger avec les signes de croissance qui ralentisse? Cathy Wood, Chef de la direction de Ark Invest, commente.
L'horizon temporel de Ark est de cinq ans. C'est à long terme.
Nous distinguer sur ce marché, mais je pense qu'il est très important de faire des recherches approfondies sur la technologie et son évolution.
Nous pensons qu'elle va évoluer très rapidement d'ici quelques années.
On parle de cette évolution rapide. Parlons des éléments qui vous intéressent. Tout le monde parle depuis plusieurs mois de ChatGPT. On parle en fait d'intelligence artificielle. Les changements pourraient être rapides. Que prévoyez-vous?
Nous faisons des recherches sur ce domaine depuis la création de Ark en 2014. Nous pensons qu'il s'agit de quelque chose d'extraordinaire.
Enfin quelque chose dans le secteur de l'innovation comme ChatGPT a enfiévré aussi bien les consommateurs et le public, et aide les gens à comprendre que le monde de l'innovation change très rapidement. Les changements sont profonds.
Je ne sais pas si vous avez fait des expériences au niveau de l'éducation, cela va bouleverser l'éducation.
Cela va bouleverser le travail de fond en comble.
Même dans des domaines comme l'ingénierie ou le codage informatique, nous avons vu en moins d'un an la productivité des codeurs doublée.
Et nous pensons que cela pourrait être multiplié par 10. Or, c'est un domaine très important. Il y a également eu une annonce aujourd'hui. IBM m'a dit qu'elle n'aller plus engager de personnes dans les fonctions de soutien. Pour le travail de soutien, ChatGPT et l'IA en général vont probablement prendre la place des êtres humains. Mais à cet égard, cela va réduire le nombre d'emplois dans certains domaines où le travail est monotone et créer d'autres possibilités qui, selon nous, vont être assez excitante.
Lorsque la discussion roule sur l'intelligence artificielle, il y a des éléments qui me font plaisir, comme ceux que vous avez montré. Mais il y en a d'autres, d'autres personnes qui s'inquiètent de changement en profondeur qui pourrait être perturbateur pour la société.
Vous avez raison, je crois, et nous allons devoir recycler, reformer.
Mais ces technologies sont très emballantes et recèlent énormément de potentiel pour ceux qui savent suivre le changement.
En faisant des expériences avec ChatGPT, vous voyez le pouvoir de l'intelligence artificielle. Vous pouvez également voir comment vous pouvez attendre bon nombre de ces nouvelles technologies. Par exemple, avec le traitement du langage naturel, nous allons tous devenir des programmeurs. Il y a un an, la plupart des gens auraient pensé: Je ne peux jamais être programmeur.
Mais à l'heure actuelle, certains de nos analystes ont utilisé ChatGPT pour concevoir leur propre site Web, en copiant un autre site. Et cela en moins d'une journée.
C'est provocateur. Il faut vraiment vouloir s'engager, faire des expériences. Ceux qui font preuve d'initiative et de créativités vont avoir beaucoup de fun et une carrière très agréable.
Je remarque autre chose. Les grands titres de technologie ont déjà publié leurs résultats et beaucoup ont évoqué le potentiel de l'intelligence artificielle.
À présent, tout le monde en parle. Que concluez-vous d'après ce que disent les grandes compagnies de technologie?
Je crois que les grandes plates-formes sociales grugent la part du marché des plus petites, c'est évident.
Ça a été une évolution assez rapide. Toutes entreprises étaient à la peine en dernier.
Et les plus importantes voient leur part de marché augmenter aujourd'hui. L'intelligence artificielle est commentée assez longuement pendant plusieurs de ces appels, c'est un véritable risque pour une entreprise comme Alphabet.
Je n'ai jamais vraiment compris pourquoi les gens… bon, on a eu tout de suite cette expérience. ChatGPT, une fois que l'on inclut les époques les plus récentes, je crois que Google ou Alphabet déclarent qu'elles suivent le mouvement, qu'ils étudient le dossier. Et elles devraient, parce que l'entreprise ayant acheté la compagnie Deep Mind compte en son sein les experts les plus en vue. Et Open AI a pris les devants avec ChatGPT.
Nous essayons de comprendre présent quel sera l'impact sur Apple.
Il se pourrait que ChatGPT élimine l'intermédiaire dans les applis et nous permettent d'aller directement où nous voulons aller, à quel site Web.
Bon, les grands titres de technologie ont beaucoup progressé récemment, mais nous attendons encore la progression et le risque d'élimination des intermédiaires. Ce sont des hypothèses qui ont des effets à plus long terme sur le secteur de la technologie.
À l'heure actuelle, il est difficile d'ignorer le fait que les investisseurs s'inquiètent du ralentissement de la croissance. Plusieurs entreprises nous l'ont dit: Leurs clients sont plus prudents au niveau des dépenses, de la nuagique également. Il y a la Réserve fédérale et l'augmentation des taux d'intérêt. À quoi devrions-nous songer pour le reste de l'année en matière de volatilité?
C'est aux États-Unis que nous voyons cela.
Et je crois que le phénomène va en s'accélérant. Au contraire de ce qu'il dit (...), après avoir acheté First Republic,, nous constatons que la Fed a, à cause de ces hausses de taux d'intérêt qui ont été multipliés par 20 en un an, les dépôts quittent le réseau bancaire et s'installent sur le marché des bons du trésor.
Les bons du trésor, il peut ils ne font rien, ils restent là. Ils ne peuvent pas être prêtés, puis elles ne peuvent pas encourager l'activité des entreprises.
Alors que les dépôts et les systèmes bancaires, cela peut résulter en des prêts. Alors nous en sommes au premier stade d'une crise du crédit qui va être beaucoup plus grave que la plupart des gens ne le pensent. L'indice des banques régionales continues à nous le laisser entendre.
Il s'est effondré, ce qui laisse à croire qu'il y aura toujours une reprise des augmentations de taux, jusqu'à ce qu'il y ait une bascule de la part de la Fed. Le cours du pétrole n'a pas répondu aux attentes. Tout le monde prévoyait que la Chine revienne une fois qu'elle éliminerait sa politique zéro COVID.
Et cela ne se produit pas.
Alors, il y a quelque chose qui se passe qui est plus général même que les États-Unis. Nous croyons qu'il y a beaucoup plus de faiblesse dans l'économie mondiale que la plupart des gens ne l'avaient pensé.
C'est intéressant parce que la Chine était confinée pendant si longtemps. On s'attendait tout ce qu'il y ait un peu plus que ce que l'on a vu. Certaines entreprises de biens de consommation ont constaté une certaine activité. Le marché du pétrole, non.
L'une des choses qui se produit, il ne semble pas que la Russie ait été obligée de couper la production. Il semble qu'elle vend toujours sa production au rabais, et cela commence à affecter le reste du marché.
Vous pouvez d'entendre Cathy Wood, Chef de la direction the Ark Invest.
Un coup d'œil sur les marchés. Un dernier rebond ce vendredi, dernier jour de bourse de la semaine.
216 points en hausse, indice TSX composite est en hausse de 1,3 %.
Il y a eu une stabilisation du cours du brut de référence américain après la dégringolade antérieure.
Une autre conquête s'annonce. 2,67 $ le baril, qui le font passer au-delà de 70. Cenovus, à 1,27 dollars, progresse de 3 %.
L'or recule aujourd'hui, tandis que les investisseurs s'appaisent après une semaine très mouvementée. Le cours de l'or est tombé de 34 $ et certains titres de mines d'or reculent également.
Kinross, à 16 $ l'action, est en baisse de 1,25 %.
Aux États-Unis, une semaine mouvementée.
Décision de la Fed sur les taux.
Toute une série d'annonces de bénéfices. Encore des perturbations sur les marchés des banques. Aujourd'hui, 57 % de hausse, en hausse de 1,4 % pour l'indice instantané du marché américain. On voit comment le NASDAQ se comporte par rapport à l'ensemble du marché.
C'est mieux, 1,75 % de hausse.
Un détaillant de voitures d'occasion déclare qu'elle sera rentable sur une base ajustée plus tôt que prévu au deuxième trimestre. Un bond important de 29 % à 1,30 dollars l'action.
En parlant de voiture, parlons du secteur de l'automobile aux États-Unis, qui a passé la vitesse supérieure au mois d'avril, tandis que que les stocks continuent de se reconstituer.
Anthony Okolie commente.
Les chiffres des ventes pour le mois d'avril prolongent des tendances très positives, en hausse de presque 16 millions d'unités sur une une base annualisée. On prévoyait un chiffre de plus de 15 millions. Au niveau du volume des ventes ajustées, les ventes sont en hausse de 9 % sur 12 mois. Encore une fois, les inventaires des concessionnaires continue de se reconstituer après les creux de l'été dernier. Il y a une amélioration dans le taux de mon quotidien qui est passé à 51 000 voitures vendues depuis 26 jours en avril, par rapport à 46 000 ventes quotidiennes en avril de l'an dernier. Par type de véhicule, les berlines ont grimpé de 11 %, alors que les camions légers ne sont en hausse que d'un peu plus de 8 % sur 12 mois.
Mais encore une fois, ceci est égal à part d'avril 2022.
Services économiques TD déclare que les ventes de véhicules légers en avril représentent le huitième mois consécutif de gains.
C'est un bon départ pour la saison d'achat du printemps pour les véhicules américains.
Il y a la demande accumulée qui fait mousser ces ventes, et les ventes sont de 2,5 %en deçà du niveau.
Donc malgré la reprise des véhiculesâgé, beaucoup d'entreprises continuent de se concentrer sur des véhicules comme les compactes SUV, les SUV de grandes tailles, qui sont vraisemblablement les plus coûteux.
Ford, Toyota et d'autres se concentrent sur les utilitaires sportifs aux dépens des voitures légères.
Donc le deuxième trimestre avait commencé.
Les inventaires ont légèrement reculé en avril. Selon Services économiques TD, ce phénomène sera éphémère au fur et à mesure que la production automobile augmentera d'ici quelques mois, notamment à cause de la réduction des pressions sur la chaîne d'approvisionnement.
Très bien, voilà pour le passé. Qu'est-ce que Valeurs Mobilières TD pense pour les mois à venir?
Eh bien, Services économiques TD prévoit une hausse des ventes de 12 % sur 12 mois, un peu plus de 15 millions d'unités de production.
Cette année, une normalisation intégrale à des niveaux plus pandémie ne se produira pas qu'avant 2024.
Quelques risques si l'inflation demeure plus élever plus longtemps, elle pourrait convaincre la Fed de continuer à relever les taux, ce qui exercerait une pression sur les emprunteurs en augmentant les taux d'emprunt. Il se pourrait qu'il y ait des niveaux plus élevés de destruction de demandes.
Merci, Anthony Okolie.
Restez à l'écoute.
Lundi, James Dixon, directeur des solutions de Family offices à Valeurs Mobilières TD, répondent à vos questions sur l'ensemble du marché.
Vous pouvez nous poser vos questions d'ores et déjà par courriel à moneytalklive@td.com. Au nom de toute l'équipe de Parlons Argent en direct, merci et à lundi!
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Aujourd'hui, Anthony Okolie commente les dernières statistiques sur l'emploi au Canada et aux États-Unis.
Ben Gossack de Gestion d'actifs TD donne son point de vue sur les secteurs qui bénéficient encore de la réouverture de la Chine.
Cathy Wood, Chef de la direction Ark Invest nous parle secteurs de la technologie et des opportunités créées par l'intelligence artificielle. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Nugwa Haruna nous propose des outils pour gérer la volatilité des marchés. Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite progresse notablement en ce dernier jour de bourse de la semaine, de de 25 %.
Le cours du brut rebondit aujourd'hui. Air Canada rehausse ses pronostics.
Le titre progresse de 12 %, à 12,53 $ l'action. Barrick Gold recule. Le cours de l'or cède de 35 $ l'once.
La semaine a été volatile pour plusieurs catégories d'actifs. Barriques à 27,30 $ l'action recula un peu plus de 1 %. Aux États-Unis, il y a eu toute une série d'annonces de bénéfices, des difficultés dans le secteur des banques régionales, une décision de la Fed mercredi. La semaine a été mouvementée.
Cette semaine semble devoir être déficitaire, mais aujourd'hui, l'indice S&P 500 progresse de 50 points, soit presque 1,5 %, jusqu'à 4120 points.
Le Nasdaq remonte également de 1,8 %, tandis que le secteur des banques régionales ne semble guère s'apaiser, les grandes banques de Wall Street remontent.
À 27,63 $, Bank of America progresse de 2,4 %.
Les dernières statistiques sur l'emploi au Canada et aux États-Unis dépasse largement les attentes des analystes. Anthony Okolie commente.
Comme vous l'avez dit, au Canada, l'économie a créé 41 000 emplois en avril, soit plus du double des 20 000 prévus. Le taux de chômage est maintenu encore une fois à 5 % pour le cinquième mois consécutif.
.
L'économie canadienne ne présente aucun signe de ralentissement.
Toutefois, ce sont les emplois à temps partiels, au nombre de 48 000.
Nous avons perdu plus de 6000 emplois à temps pleins.
Selon Statistique Canada, le mois d'avril est le premier mois pendant lequel l'emploi à temps partiel a augmenté depuis octobre 2022. Par secteur, les gains se trouvent surtout dans les industries tricycliques: Entrepôt et commerce de détail, transport et entreposage, information, culture et loisirs.
Les secteurs qui ont perdu de l'emploi: Les services de soutien aux entreprises et aux bâtiments.
Enfin, une légère baisse par rapport au mois de mars du secteur de l'assurance.
Services économiques TD constate des tendances intéressantes.
La croissance de l'emploi est supérieure à la tendance depuis quelques mois. C'est attribuable à la forte croissance démographique au Canada. 1 million de personnes depuis un an, ce qui a aidé les employeurs à combler les lacunes, à pourvoir au grand nombre de posts vacants, dont le nombre recule nettement.
À cause de l'immigration abondante et de la stabilité du taux de chômage, certaines de ces surprises à la hausse dans le chiffre de l'emploi au moins de signification dans l'avenir. Dans la note de James Orlando, il était intéressant de l'entendre affirmer qu'il y aura une forte croissance de l'emploi. Ce sera la nouvelle norme s'il y a 1 million de nouveaux venus qui arrivent chaque année. Voici pour le Canada.
La Fed a annoncé essentiellement qu'elle se fonderait sur les données dans l'avenir, les données sont toujours importantes, mais celles de l'emploi sont particulièrement significatives.
Oui, aux États-Unis, 253 000 emplois créés en avril.
Plus que prévu. Les milieux financiers prévoyaient 180 000 nouveaux emplois. Le taux de chômage à 3,4 %, contre les attentes de 3,6.
les conséquences laissons que le ralentissement se produit peut-être, mais il ne se produit peut-être pas suffisamment vite pour la Fed. la Fed a aménagé la possibilité d'une hausse de 3 juin, tu pourras devoir être réalisé s'il n'y a pas de recul notable du marché de l'emploi. Les rendements obligataires sont légèrement plus élevés, après ces statistiques de l'emploi.
Les marchés les suivent de près.
Pouvait entendre Anthony Okolie.
Il sera de retour tout à l'heure pour commenter les ventes d'automobiles aux États-Unis.
Cette semaine, la Réserve fédérale a augmenté le taux directeur, pourtant au niveau le plus élevé en 16 ans.
Anthony Okolie s'est entretenu avec Hafiz Noordin de Gestion d'actifs TD sur la trajectoire des taux.
Globalement, c'est conforme à la tendance. La déclaration de la Fed, même s'il y a eu une hausse de 25 points, était plutôt pacifique. Il y avait une omission de promesses de hausses de taux futurs. La Fed a modéré son discours en déclarant qu'il serait conditionnée par les statistiques futures. Mais Jerome Powell, dans sa conférence de presse, a tenu un discours plus ferme. Il a souligné que l'inflation demeure élever que la nécessité de la réduire est essentielle dans la mission de la Fed.
Un discours équilibré, il faut se rappeler que la Fed fondra sur les données dans l'avenir.
Les réactions du marché, les rendements du marché obligataireaméricain. Le marché obligataire n'était pas trop volatile aujourd'hui. C'est une bonne chose car les marchés recherchaient des éléments qui ont été obtenus. Au-delà de cette hausse, les marchés ne s'attendent pas à grand-chose en juin ou juillet.
Mais vers septembre, les marchés s'attendent toujours à ce que les taux commencent à être réduits. Une coupure en septembre et deux autres d'ici la fin de l'année.
C'est toujours conforme aux attentes avant la réunion.
Les marchés s'attendent à ce que l'inflation se modère, que la croissance baisse et que la Fed doit donc commençait à réduire les taux en septembre.
En ce qui concerne les coupures de taux, selon vous, est-ce trop optimiste?
Eh bien, le discours de la Fed est équilibré.
Il y a un double risque.
Il n'y a pas un scénario de base dans lequel l'inflation a baissé et la croissance aussi.
Il existe un risque.
La liquidité est également médiocre sur le marché des bons du trésor. Il est difficile de déchiffrer les signaux, mais au fur et à mesure que les données sont publiées sur l'inflation et les salaires, si elles ne sont pas aussi avantageuses que les marchés l'espèrent, il se pourrait qu'il n'y a pas de coupure de taux d'ici la fin de l'année. Mais si l'inflation baisse, surtout l'inflation de base, si le marché du travail commence à faiblir, je crois que celaconfirmerai les attentes de coupure de taux de la part du marché.
Dans la mesure où nous sommes toujours en situation restrictive au niveau du taux directeur de la Fed - nous sommes passés d'un niveau qui est franchement baissier à un niveau qui est un peu plus restrictif - la Fed a déclaré que l'inflation est toujours une priorité, mais reconnaît également d'autres facteurs négatifs: La crise bancaire. Mais le secteur demeure assez résiliant. Comment la Fed s'y retrouve-t-elle?
La Fed doit établir un équilibre très net entre les données objectives, qui sont rétrospectives et qui montre ce qui s'est passé récemment au niveau de la main-d'œuvre, de la confiance des entreprises, de la consommation, mais elle doit également tenir compte des indicateurs prospectifs dans tous les secteurs de l'économie pour évaluer, comme la Fed l'a dit dans sa déclaration, que l'effet cumulatif des mesures de resserrement monétaire. La Fed doit également surveiller le resserrement des conditions de crédit par les banques et la mesure dans laquelle ceci réduit la croissance économique.
La Fed doit tenir compte de ces indicateurs économiques prospectifs, car elle sait que même si elles commencent à réduire les taux aujourd'hui, il doit s'écouler plusieurs trimestres avant que cela ne se répercute sur le marché. La banque doit donc être proactif, ne pas rester trop ferme trop longtemps. Le risque étend qu'elle entraîne économie dans une récession plus profonde.
Cet indicateur prospectif, quels sont les risques principaux quant aux perspectives de la Fed?
L'un des risques clés est relié à l'inflation, c'est certain. La Fed s'attend à ce que le processus désinflationniste se poursuive. Les marchés prévoient que l'inflation diminue à 3-4 % d'ici la fin de l'année et se rapproche de 2 % d'ici un ou deux ans. C'est le risque clé au niveau de la fermeté qui empêche la Fed de pratiquer des coupures pendant longtemps ou l'obligerait même à procéder à de nouvelles hausses.
Nous ne pouvons pas exclure ce scénario. Mais notre scénario est celui dans lequel la banque se trompe et restant pour pendant trop longtemps, ce qui entraîne un effondrement de l'économie, puisque les taux d'emprunt sont trop élevés. Si la banque se concentre trop sur les données rétrospectives inflations, elle pourra ne pas s'apercevoir que toutes les mesures de resserrement donnent déjà le résultat voulu.
La banque doit donc prendre garde à ne pas retirer excessivement.
Le dollar américain est à la baisse dans l'attente de cette décision de la Fed. Quelle est la trajectoire que vous envisagez?
Surtout puisque la Fed laisse entendre qu'il pourrait y avoir une pause dans les hausses de taux.
Tout semble indiquer que le dollar américain devrait demeurer plutôt inchangé, voire reculer à cause de la pose de la Fed. Mais il y a d'autres secteurs de l'économie mondiale - la banque centrale européenne, par exemple, relève toujours les taux.
Elle en est toujours à 50 points de base. Elle est toujours là dans le cycle de hausse.
La banque du Japon est encore au tout premier stade du resserrement de la politique monétaire.
Il se pourrait que d'autres bonnets progressent plus que le dollar américain.
Et même au niveau de la croissance, si les mesures de resserrement pris aux États-Unis ne sont pas synchronisées avec le reste du monde, la croissance aux États-Unis devrait être inférieureà la croissance hors États-Unis.
Pour toutes ces raisons, le dollar américain devrait faiblir quelque peu, mais nous devons nous rappeler qu'il a déjà rétrogradé de 10 % depuis son sommet au troisième et quatrième trimestre de l'an dernier.
Les profits faciles dans la vente à découvert de dollars américains ont déjà été faits. Il y aura une certaine résidence à court terme, mais le dollar américain devrait faiblir dans l'ensemble.
Vous venez d'entendre Hafiz Noordin, gestionnaire de portefeuille à Gestion d'actifs TD, s'entretenant avec Anthony Okolie. À présent, actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Apple qu'il serait possible d'augmenter les ventes de iPhone dans les marchés émergents. Le Chef de la direction, Tim Cook, déclare que la compagnie a battu des records de vendre plusieurs compagnies à l'étranger et que la part de marché peut-être encore augmentait en Asie du Sud, en Amérique latine et dans le Moyen-Orient. La classe moyenne émergente de l'Inde pourrait être un point de bascule pour Apple.
. Enbridge annonce des bénéfices supérieurs aux prévisions pour son dernier trimestre. Le géant des oléoducs et gazoduc a obtenu différents résultats dans ses gazoducs aux États-Unis et ses activités sur la côte du Golfe du Mexique.
L'effet du taux de change étend également favorable.
Enbridge a également négocié un règlement avec les expéditeurs sur son principal pipeline. Les actions de compagnie sont en vedette. Le marché réagit à un pronostic de vente inférieure aux prévisions pour le trimestre actuel. Cette orientation décevante suit une hausse de 14 % des revenus.
Lyft rétrogade de 21 %, à huit dollars l'action.
L'indice S&P TSX progresse de 246 points. À présent, l'indice S&P 500 a connu des péripéties cette semaine, mais est en hausse de 1,4 %, soit 57 points. L'un des points centraux pour les investisseurs au début de 2023 de la réouverture inopinée de la Chine après des années de confinement.
Mais au fur et à mesure de l'année 2023, quel marché bénéficie toujours de cette tendance et lesquels s'essoufflent. Ben Gossack institutionnel portefeuille à Gestion d'actifs TD.
Au début de chaque année on regarde nos boules de Crystal. La Chine a joué un rôle de catalyseur.
Je n'avais pas prévu la crise des banques régionales États-Unis. On ne peut pas tout prévoir. Ce qui est intéressant dans la réouverture de la Chine: Au mois de novembre, les dirigeants d'entreprise qui dépend beaucoup de la je ne savais absolument pas quand la réouverture allait avoir lieu. Quand il y a eu la réouverture surprise en décembre, et bien, tout le monde s'est mis au travail. Peu importait si vous étiez une entreprise de voyages, de biens de consommation, de matières premières, industriels. La Chine était le facteur essentiel est beaucoup d'investisseurs craignait de rater le mouvement.
Les titres de casino à Macao, encore une fois, ces actions s'étaient effondrées et tout de suite, ils ont grimpé de 100%.
Il y a cinq ou six mois que la réouverture a eu lieu.
Il faut à présent que le chiffre d'affaires de ces entreprises justifie ces hausses.
Certains ont reculé de 20 %.
Ils font du surplace.
Les secteurs qui persévèrent sont notamment celui du luxe. C'est un thème qu'on évoque depuis longtemps.
La réouverture de la Chine pourra contribuer à alimenter les entreprises de luxe.
Hermès, par exemple, et les autres entreprises semblables, parviennent à de nouveau sommet en bourse.
Alors voici le rendement. On parle de la volatilité, l'incertitude du marché.
Les gens se replient sur la liquidité ou les CPG.
Regardez le titre d'Hermès ou de LVMH. On imaginerait pas qu'il y ait des problèmes sur le marché. C'est étonnant.
Ce sont des entreprises cotées en Bourse aux États-Unis qui bénéficieraient de l'ouverture de la Chine. Nike, Starbucks, Estee Lauder, donne de bons résultats.
Starbucks devait compter sur la Chine comme moteur de croissance.
De fait, hier, Starbucks a annoncé ces bénéfices. Les ventes de magasins mois de mars étaient en hausse de 30 %.
Donc l'activité est au rendez-vous, ce qui était décevant pour les investisseurs et c'est pourquoi le titre a reculé de 9 %, ainsi que la capitalisation boursière. C'est que les attentes n'ont pas été répercutées sur le reste de l'année.
Il y a eu une forte hausse d'activité. Est-ce que cela se poursuit ou est-ce que la compagnie nous dit que ce n'est pas durable? Ou est-ce que les dirigeants font preuve d'une grande prudence afin de rabattre nos attentes?
Je serais plutôt enclin à croire que c'est la direction qui fait preuve de prudence, mais l'activité était au rendez-vous.
Estee Lauder, c'est le maquillage. On veut bien paraître, donc c'est une entreprise qui s'essouffle. Il s'agit de maquillage de prestige. C'est vraiment le haut de gamme.
C'est une entreprise. C'est ce que nous mettons avant de passer à l'antenne.
Bien sûr.
Et les marges ressemblent à celle d'une entreprise de logiciels. C'est une activité extrêmement rentable.
Ce qui est intéressant, si vous regardez le graphique de l'action, juste avant la COVID, vers le mois d'octobre, il atteignait un creux. Le titre a bénéficié de la réouverture. Beaucoup des ventes d'Estee Lauder sont reliées aux déplacements. Les gens qui se déplacent passe au magasin hors-taxes et acheter les cosmétiques dans ses boutiques des aéroports.
Estee Lauder dépend de cela et a donc obtenu le bénéfice du doute.
Les investisseurs ont dû faire des suppositions quant à la réouverture des entreprises qui en bénéficieraient.
Les équipes de directions doivent formuler des hypothèses. Combien dois-je commander pour vendre aux détaillants qui vont vendre les produits au public.
La direction a fait beaucoup d'hypothèses. Il y a des activités, comme on l'a vu dans le cas de Starbucks, mais cette activité ne se convertit pas en vente à l'heure actuelle.
À l'heure actuelle, ils ont un inventaire pléthorique et des canaux d'approvisionnement gonflé. Ils constatent revenu lorsqu'ils vendent aux détaillants, les détaillants ne vont pas. La province de Hainan, qui abonde en villégiature, il y a beaucoup d'activités, mais le consommateur n'achète pas les produits de beauté.
La confiance des consommateurs a été très affectée par la COVID. Les gens veulent se déplacer, veulent se sentir bien mais ils sont très sélectifs quant à leurs dépenses.
Parlons de voyages.
Une fois qu'on rouvre une économie et que les gens peuvent se déplacer, il y a des actions qui sont reliées.
Trip.
com, non seulement amène à supposer que c'est relié au voyage.
Il s'agit d'une compagnie de réservation électronique de voyage.
Alors oui, cette compagnie a reçu le bénéfice du doute.
À présent, il y aura des prises de profits. L'activité n'est pas aussi intense qu'on le prévoyait.
S'agissant des placements, ce que j'ai appris en entretenant avec des interlocuteurs de terrain, c'est que beaucoup de citoyens chinois ont vu leur passeport expiré pendant la COVID.
Comme beaucoup de pays, ils doivent demander des visas.
Il y a une forte hausse des voyages en avion intérieurs, supérieure à l'activité d'avant la COVID, les voyages internationaux sont plutôt limités. Il existe une occasion extraordinaire, sans doute à la fin du printemps et à l'été, lorsque les voyageurs pourront obtenir leur passeport renouvelé et pourront obtenir un visa, qu'ils commenceront à aller en Europe et ailleurs, qu'ils dépensent leur argent.
Quels sont les risques pour un titre comme celui-là?
Simplement le fait que les gens décideront de ne pas aller à l'étranger?
Les gens veulent aller à l'étranger, mais le problème est de savoir qu'est-ce que le consommateur pourrait acheter.
A n'est peut-être pas B.
Ça, ça été difficile. C'est peut-être difficile pour les investisseurs et c'est tout aussi frustrant pour les équipes de directions.
Si vous vendez quelque chose que vous placez sur une étagère, vous ne voulez jamais que les étagères soient dégarnies.
Mais le risque lorsqu'on fournit des produits, c'est qu'on en fournisse trop et qu'il faut écouler des éventaires.
C'est exactement comme pendant la pandémie, nous avons acheté trop de biens. La chaîne d'approvisionnement s'est resserrée et puis on a livré trop et les entreprises ont dû vendre au rabais.
C'est là où nous commençons à voir la situation se clarifier.
Certaines entreprises qui ont obtenu de bons résultats.
D'autres comme Estee Lauder ou Starbucks, ont pris du recule.
On songe titres industriels et aux matières premières.
Après la COVID, parce que ce serait des secteurs qui seraient relancés. L'activité manufacturière et médiocre par rapport aux attentes et les produits de base comme le minerai de fer ont bondi, puis sont redescendus.
Cela s'applique à tous les secteurs.
Je dirais que la vague initiale d'euphorie s'est apaisée.
Les acteurs durables sont l'aéronautique et le luxe.
Vous venez d'entendre Ben Gossack de portefeuille à Gestion d'actifs TD. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Sur les marchés volatiles, il y a toujours le risque de payer trop cher une action ou de devoir la vendreà un prix très faible. Dans cette période de volatilité, CourtierWeb vous propose des outils pour gérer ce risque. Nugwa Haruna est formatrice à Placements directs TD. Parlons de ce qui est disponible sur la plate-forme.
Bonjour, Greg. Ça me fait toujours plaisir de passer à votre émission.
Nous sommes en pleine saison des marchés volatiles. En fait, c'est un phénomène qui dure depuis plus d'un an.
L'une des caractéristiques des marchés volatiles, c'est que les cours sont volatiles. Il peut y avoir une énorme fluctuation de cours, soit à la baisse, soit à la hausse. Certains investisseurs pourraient décider de ne pas négocier pendant cette fourchette, mais d'autres pourraient vouloir en profiter.
Par exemple, la baisse des cours pourrait être une possibilité d'acheter une participation dans une société. Ou bien, si le cours d'une action augmente, c'est peut-être la possibilité de se défaire de cette position. Comment les investisseurs peuvent-ils en profiter? Ils peuvent utiliser certains types d'ordres.
Aujourd'hui, nous allons parler de l'ordre limite. Je vais vous montrercomment vous pouvez passer un ordre limite.
Cliquons achat–Vente, au coin supérieur droit de l'écran, ce qui affiche l'ordre. Utilisons Apple. Je vais choisir le titre coté à la bourse de New York.
Mettons que je possède cette action, que je voudrais la vendre, typiquement, si vous voulez vendre quelque chose, mettons que je suis propriétaire de 100 actions d'Apple, je veux vendre je veux réaliser un bénéfice.
Donc je pourrais potentiellement utiliser un autre au prix du marché, ce qui me dit quel est le prix du marché qui pourrait être supérieur ou inférieur au dernier prix. Ici je veux avoir un certain contrôle, je m'attends à ce que les marchés demeurent volatiles, je pourrais en profiter pour utiliser l'ordre limite.
Je clique sur: Limite, dans le menu déroulant. Là, je fixe mon cours limite. Mettons que je suis uniquement disposé à vendre si le cours d'Apple augmente jusqu'à 185 $.
Il s'agit du plancher. Plus que 185, c'est encore mieux puisque je réalise bénéfices encore plus importants.
Toutefois, il faut se rappeler que si mon cours limite est beaucoup plus élevé que le cours actuel du marché, je vais peut-être attendre longtemps que cet ordre soit exécuté.
Je détermine donc combien de temps je suis disposé à attendre. Il est un peu passé midi, donc si je veux attendre que les marchés ferment jusqu'à 16 heures, je peux utiliser un autre valide le jour même. Si l'action d'Apple augmente jusqu'à 185 d'ici 16 heures, mon ordre sera annulé. Ou bien je peux cliquer sur le menu déroulant et envisager d'autres options.
Je peux choisir une date spécifique, ou bien je peux utiliser: bon jusqu'à validation. Ainsi, mon ordre restera dans le système.
Pour les actions cotées à la bourse américaine, c'est 280. Et pour les actions cotées au Canada, ces 90 jours.
Bon, nous savons quels sont certains des ondes que nous pouvons passer pour gérer la volatilité.
la volatilité ne se limitent pas à 9h30 à 16 ans pendant les heures d'ouverture du marché. Comment peut-on faire des transactions en dehors de ces heures de marche?
Vous avez raison, Greg. La saison des annonces de bénéfices vient de s'achever.
Quand les compagnies font leurs annonces avant l'ouverture ou après la clôture du marché, elles le font enfin que ça n'affecte pas la valorisation de leur titre, comme ce serait le cas si elles annonçaient pendant les heures de bourse.
Mais les investisseurs peuvent toujours passer les commandes entre huit heures et mettons 9h25, ou entre 16 heures et 19 heures, heure normale de l'Est.
Vous avez ainsi la possibilité de participer au marché, de prendre une position ou de vous en défaire.
Voilà comment on peut profiter de ces caractéristiques de prolongation du marché. Mettons que je veux vendre mon action Apple à 185 $, aller de ce menu déroulant, vous remarquerez qu'il y a une option supplémentaire.
Ce serait les marchés jours plus.
Si je passe mon ordre maintenant, il est un peu passé midi, heure normale de l'Est, cet ordre demeurera inchangé jusqu'à 16 heures, et puis il sera passé sur le marché de 16 heures à 19 heures. Si je ne peux pas vendre mon action à 185,10 $ 19 heures, cet ordre sera annulé, ce qui signifie que demain, je devrais retourner demain matin passer encore une fois cet ordre.
Cela vous donne la possibilité d'utiliser ces heures préalables au marché. Huit heures à 9h20 ou 16 heures à 19 heures, c'est seulement pour cette journée. Il y a certaines choses que vous devez connaître, puisque assez peu de gens négocient pendant cette période. Il y a peu de liquidités il pourrait y avoir une forte volatilité parce que c'est le moment où les entreprises font leurs annonces.
Une dernière chose que l'investisseur doit savoir: Si vous utilisez l'option de marché étendu, c'est disponible seulement pour les actions cotées en Bourse et les FNB. Voilà ce qu'il faut savoir si vous voulez utiliser cette fonction.
Merci, Nugwa.
Ça me fait toujours plaisir.
Nugwa Haruna est formatrice à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb, où vous trouverez encore plus de ressources.
Le secteur de la technologie à bien commençait l'année,après une année difficile en 2022. Mais est-ce que cela pourrait se prolonger avec les signes de croissance qui ralentisse? Cathy Wood, Chef de la direction de Ark Invest, commente.
L'horizon temporel de Ark est de cinq ans. C'est à long terme.
Nous distinguer sur ce marché, mais je pense qu'il est très important de faire des recherches approfondies sur la technologie et son évolution.
Nous pensons qu'elle va évoluer très rapidement d'ici quelques années.
On parle de cette évolution rapide. Parlons des éléments qui vous intéressent. Tout le monde parle depuis plusieurs mois de ChatGPT. On parle en fait d'intelligence artificielle. Les changements pourraient être rapides. Que prévoyez-vous?
Nous faisons des recherches sur ce domaine depuis la création de Ark en 2014. Nous pensons qu'il s'agit de quelque chose d'extraordinaire.
Enfin quelque chose dans le secteur de l'innovation comme ChatGPT a enfiévré aussi bien les consommateurs et le public, et aide les gens à comprendre que le monde de l'innovation change très rapidement. Les changements sont profonds.
Je ne sais pas si vous avez fait des expériences au niveau de l'éducation, cela va bouleverser l'éducation.
Cela va bouleverser le travail de fond en comble.
Même dans des domaines comme l'ingénierie ou le codage informatique, nous avons vu en moins d'un an la productivité des codeurs doublée.
Et nous pensons que cela pourrait être multiplié par 10. Or, c'est un domaine très important. Il y a également eu une annonce aujourd'hui. IBM m'a dit qu'elle n'aller plus engager de personnes dans les fonctions de soutien. Pour le travail de soutien, ChatGPT et l'IA en général vont probablement prendre la place des êtres humains. Mais à cet égard, cela va réduire le nombre d'emplois dans certains domaines où le travail est monotone et créer d'autres possibilités qui, selon nous, vont être assez excitante.
Lorsque la discussion roule sur l'intelligence artificielle, il y a des éléments qui me font plaisir, comme ceux que vous avez montré. Mais il y en a d'autres, d'autres personnes qui s'inquiètent de changement en profondeur qui pourrait être perturbateur pour la société.
Vous avez raison, je crois, et nous allons devoir recycler, reformer.
Mais ces technologies sont très emballantes et recèlent énormément de potentiel pour ceux qui savent suivre le changement.
En faisant des expériences avec ChatGPT, vous voyez le pouvoir de l'intelligence artificielle. Vous pouvez également voir comment vous pouvez attendre bon nombre de ces nouvelles technologies. Par exemple, avec le traitement du langage naturel, nous allons tous devenir des programmeurs. Il y a un an, la plupart des gens auraient pensé: Je ne peux jamais être programmeur.
Mais à l'heure actuelle, certains de nos analystes ont utilisé ChatGPT pour concevoir leur propre site Web, en copiant un autre site. Et cela en moins d'une journée.
C'est provocateur. Il faut vraiment vouloir s'engager, faire des expériences. Ceux qui font preuve d'initiative et de créativités vont avoir beaucoup de fun et une carrière très agréable.
Je remarque autre chose. Les grands titres de technologie ont déjà publié leurs résultats et beaucoup ont évoqué le potentiel de l'intelligence artificielle.
À présent, tout le monde en parle. Que concluez-vous d'après ce que disent les grandes compagnies de technologie?
Je crois que les grandes plates-formes sociales grugent la part du marché des plus petites, c'est évident.
Ça a été une évolution assez rapide. Toutes entreprises étaient à la peine en dernier.
Et les plus importantes voient leur part de marché augmenter aujourd'hui. L'intelligence artificielle est commentée assez longuement pendant plusieurs de ces appels, c'est un véritable risque pour une entreprise comme Alphabet.
Je n'ai jamais vraiment compris pourquoi les gens… bon, on a eu tout de suite cette expérience. ChatGPT, une fois que l'on inclut les époques les plus récentes, je crois que Google ou Alphabet déclarent qu'elles suivent le mouvement, qu'ils étudient le dossier. Et elles devraient, parce que l'entreprise ayant acheté la compagnie Deep Mind compte en son sein les experts les plus en vue. Et Open AI a pris les devants avec ChatGPT.
Nous essayons de comprendre présent quel sera l'impact sur Apple.
Il se pourrait que ChatGPT élimine l'intermédiaire dans les applis et nous permettent d'aller directement où nous voulons aller, à quel site Web.
Bon, les grands titres de technologie ont beaucoup progressé récemment, mais nous attendons encore la progression et le risque d'élimination des intermédiaires. Ce sont des hypothèses qui ont des effets à plus long terme sur le secteur de la technologie.
À l'heure actuelle, il est difficile d'ignorer le fait que les investisseurs s'inquiètent du ralentissement de la croissance. Plusieurs entreprises nous l'ont dit: Leurs clients sont plus prudents au niveau des dépenses, de la nuagique également. Il y a la Réserve fédérale et l'augmentation des taux d'intérêt. À quoi devrions-nous songer pour le reste de l'année en matière de volatilité?
C'est aux États-Unis que nous voyons cela.
Et je crois que le phénomène va en s'accélérant. Au contraire de ce qu'il dit (...), après avoir acheté First Republic,, nous constatons que la Fed a, à cause de ces hausses de taux d'intérêt qui ont été multipliés par 20 en un an, les dépôts quittent le réseau bancaire et s'installent sur le marché des bons du trésor.
Les bons du trésor, il peut ils ne font rien, ils restent là. Ils ne peuvent pas être prêtés, puis elles ne peuvent pas encourager l'activité des entreprises.
Alors que les dépôts et les systèmes bancaires, cela peut résulter en des prêts. Alors nous en sommes au premier stade d'une crise du crédit qui va être beaucoup plus grave que la plupart des gens ne le pensent. L'indice des banques régionales continues à nous le laisser entendre.
Il s'est effondré, ce qui laisse à croire qu'il y aura toujours une reprise des augmentations de taux, jusqu'à ce qu'il y ait une bascule de la part de la Fed. Le cours du pétrole n'a pas répondu aux attentes. Tout le monde prévoyait que la Chine revienne une fois qu'elle éliminerait sa politique zéro COVID.
Et cela ne se produit pas.
Alors, il y a quelque chose qui se passe qui est plus général même que les États-Unis. Nous croyons qu'il y a beaucoup plus de faiblesse dans l'économie mondiale que la plupart des gens ne l'avaient pensé.
C'est intéressant parce que la Chine était confinée pendant si longtemps. On s'attendait tout ce qu'il y ait un peu plus que ce que l'on a vu. Certaines entreprises de biens de consommation ont constaté une certaine activité. Le marché du pétrole, non.
L'une des choses qui se produit, il ne semble pas que la Russie ait été obligée de couper la production. Il semble qu'elle vend toujours sa production au rabais, et cela commence à affecter le reste du marché.
Vous pouvez d'entendre Cathy Wood, Chef de la direction the Ark Invest.
Un coup d'œil sur les marchés. Un dernier rebond ce vendredi, dernier jour de bourse de la semaine.
216 points en hausse, indice TSX composite est en hausse de 1,3 %.
Il y a eu une stabilisation du cours du brut de référence américain après la dégringolade antérieure.
Une autre conquête s'annonce. 2,67 $ le baril, qui le font passer au-delà de 70. Cenovus, à 1,27 dollars, progresse de 3 %.
L'or recule aujourd'hui, tandis que les investisseurs s'appaisent après une semaine très mouvementée. Le cours de l'or est tombé de 34 $ et certains titres de mines d'or reculent également.
Kinross, à 16 $ l'action, est en baisse de 1,25 %.
Aux États-Unis, une semaine mouvementée.
Décision de la Fed sur les taux.
Toute une série d'annonces de bénéfices. Encore des perturbations sur les marchés des banques. Aujourd'hui, 57 % de hausse, en hausse de 1,4 % pour l'indice instantané du marché américain. On voit comment le NASDAQ se comporte par rapport à l'ensemble du marché.
C'est mieux, 1,75 % de hausse.
Un détaillant de voitures d'occasion déclare qu'elle sera rentable sur une base ajustée plus tôt que prévu au deuxième trimestre. Un bond important de 29 % à 1,30 dollars l'action.
En parlant de voiture, parlons du secteur de l'automobile aux États-Unis, qui a passé la vitesse supérieure au mois d'avril, tandis que que les stocks continuent de se reconstituer.
Anthony Okolie commente.
Les chiffres des ventes pour le mois d'avril prolongent des tendances très positives, en hausse de presque 16 millions d'unités sur une une base annualisée. On prévoyait un chiffre de plus de 15 millions. Au niveau du volume des ventes ajustées, les ventes sont en hausse de 9 % sur 12 mois. Encore une fois, les inventaires des concessionnaires continue de se reconstituer après les creux de l'été dernier. Il y a une amélioration dans le taux de mon quotidien qui est passé à 51 000 voitures vendues depuis 26 jours en avril, par rapport à 46 000 ventes quotidiennes en avril de l'an dernier. Par type de véhicule, les berlines ont grimpé de 11 %, alors que les camions légers ne sont en hausse que d'un peu plus de 8 % sur 12 mois.
Mais encore une fois, ceci est égal à part d'avril 2022.
Services économiques TD déclare que les ventes de véhicules légers en avril représentent le huitième mois consécutif de gains.
C'est un bon départ pour la saison d'achat du printemps pour les véhicules américains.
Il y a la demande accumulée qui fait mousser ces ventes, et les ventes sont de 2,5 %en deçà du niveau.
Donc malgré la reprise des véhiculesâgé, beaucoup d'entreprises continuent de se concentrer sur des véhicules comme les compactes SUV, les SUV de grandes tailles, qui sont vraisemblablement les plus coûteux.
Ford, Toyota et d'autres se concentrent sur les utilitaires sportifs aux dépens des voitures légères.
Donc le deuxième trimestre avait commencé.
Les inventaires ont légèrement reculé en avril. Selon Services économiques TD, ce phénomène sera éphémère au fur et à mesure que la production automobile augmentera d'ici quelques mois, notamment à cause de la réduction des pressions sur la chaîne d'approvisionnement.
Très bien, voilà pour le passé. Qu'est-ce que Valeurs Mobilières TD pense pour les mois à venir?
Eh bien, Services économiques TD prévoit une hausse des ventes de 12 % sur 12 mois, un peu plus de 15 millions d'unités de production.
Cette année, une normalisation intégrale à des niveaux plus pandémie ne se produira pas qu'avant 2024.
Quelques risques si l'inflation demeure plus élever plus longtemps, elle pourrait convaincre la Fed de continuer à relever les taux, ce qui exercerait une pression sur les emprunteurs en augmentant les taux d'emprunt. Il se pourrait qu'il y ait des niveaux plus élevés de destruction de demandes.
Merci, Anthony Okolie.
Restez à l'écoute.
Lundi, James Dixon, directeur des solutions de Family offices à Valeurs Mobilières TD, répondent à vos questions sur l'ensemble du marché.
Vous pouvez nous poser vos questions d'ores et déjà par courriel à moneytalklive@td.com. Au nom de toute l'équipe de Parlons Argent en direct, merci et à lundi!