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(musique) Bonjour, ici Greg Bonnel. Bienvenue à Parlons d'Argent direct une émission de Placements directs TD. Aujourd'hui, Christian Medeiros commente les quatre facteurs qui pourraient laisser entrevoir un creux pour les marchés. Hafeez Noordin nous donne son point de vue sur les progrès éventuellement réalisés par les augmentations de taux de la banque centrale dans la lutte contre l'inflation. John McHughan détermine si la tendance de placement ESG peut survivre à une récession et au risque croissant de sécurité énergétique. Enfin, nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Nugwa Haruna nous précise que sont les (...) et les trouver. Tout d'abord accoudé sur les marchés. Une nouvelle intéressante. Il y a du verre à l'écran, à la bourse de Toronto de New York. L'indice composite TSX est en hausse de 153. , Un peu moins de 1 %. Le corps du brut se raffermit quelque peu mais avec des fluctuations. Shopify avait déjà cédé en début de semaine et la tendance se poursuit à 39,25 $ en baisse de 1,69 $, un peu plus de 4 %. La prochaine annonce de bénéfice de Shopify intervient au milieu de la semaine prochaine. Kinross Gold remonte avec le raffermissement du corps de Laura 4,82 $ l'action, en hausse de 2,8 %. L'indice S&P 500, c'est peut-être les fluctuations habituelles à vendredi, certains investisseurs pensent que la Fed pourrait marquer une pause. On s'attend toutefois à ce que la série continue, mais il faudra quelque temps pour qu'elle se répercute sur l'économie. À l'extrémité à court terme de la courbe est quelque peu en baisse, et le dollar américain recule un peu aujourd'hui, ce qui est modestement favorable aux actions, 3509. Soit en hausse de plus de 1 % pour cet instantané des marchés américains. L'indice Nasdaq, spécialisée dans la technologie, après la déception ponctuelle d'hier, il y a quelques fluctuations dans ce secteur en rose deux un peu plus d'un demi pour cent. Twitter fait encore les manchettes avec l'opération de rachat lancé par Elon Musk, 50 $ l'action, en baisse de 4,5 %. Les augmentations de taux persistants n'ont pas entamé les consommations canadiennes au mois de mai un certain ralentissement se dessine en septembre. Voici Anthony Okholie qui va commenter les derniers chiffres de vente de détail. Quand on approfondit les chiffres, il y a une chose qui ressort, c'est que les ventes de base sont en hausse de 1,9 %. Il s'agit de la plus importante augmentation depuis mars. Il y a une mise en garde comme nous le savons, même si les ventes d'alimentation et de boissons sont en hausse, ceci est en particulier attribuable à l'augmentation des prix. L'estimation provisoire pour septembre laisse entrevoir un affaiblissement. L'augmentation des taux d'intérêt continue d'avoir un impact sur le portefeuille. Pour l'avenir, nous prévoyons une faiblesse. Et bien sûr ce rapport atterrit à vendredi, une semaine avant une décision relative au taux de la banque du Canada. Qu'est-ce que l'équipe de services économiques des dépenses que la Banque du Canada va faire des chiffre. En augmentant les taux de façon aussi ferme, cela finit par atténuer l'enthousiasme des consommateurs. Les services économiques TD prévoient une augmentation de 75 points de base la semaine prochaine. La Banque du Canada affiche une très grande fermeté, l'inflation a baissé pour la troisième fois de suite, mais ce qui est préoccupant dans ce secteur, ce sont les six chiffres sous-jacents. L'alimentation et le logement, l'alimentation ou de 15 % sur un mois, 6 % pour le logement. Ceci laisse craindre que l'inflation prendra plus longtemps pour renouer avec son niveau habituel, ceci est alliée aux enquêtes de la Banque du Canada auprès des consommateurs et des entreprises qui révèlent la crainte d'une récession ainsi que des attentes à l'égard de l'inflation. Si les attentes d'inflation s'installent, la Banque du Canada devra agir plus fermement dans l'avenir pour ramener l'inflation autour de 3 %. Nous prévoyons donc une hausse de 75 pour la semaine prochaine. Une grande semaine. Merci, Anthony. Vous venez d'entendre Anthony Okholie. Anthony sera de nouveau sur le plateau pour évoquer les prévisions des services économiques TD à l'égard des prêts hypothécaires. Mercredi prochain, la décision de la Banque du Canada sera connue à 10 heures. Fernando, économiste principal des services économiques TD sera présent à l'antenne pour commenter cette décision. La semaine a été difficile pour les bourses, mais il y a eu un certain nombre de remontées entre les dégringolades. Au milieu de ces remontées de marché baissé, qu'est-ce qui pourra nous annoncer que nous avons touché un creux? Christian Medeiros surveille quatre facteurs. Le premier, l'inflation. Il en a parlé l'autre jour. L'inflation est élevée, difficile à maîtriser, la Fed est déterminée AVC l'inflation, les (...) avec le temps que l'inflation n'est pas jugulée on voit mal comment les marchés vont se redresser. Comment aborde-t-on l'inflation? Comment la mesure en cette liste? On a repris une analogie qui nous semble très judicieuse de John Williams de la fête. L'inflation c'est comme un oignon. À l'extérieur on a les produits de base à l'échelle mondiale, on a prie l'habitude de les voir grimper l'année passée, le pétrole s'est embrasé, prix de l'essence a causé d'immenses difficultés. Ce sont de nouveaux facteurs et on observe une normalisation. Deuxième couche, inflation des bien-pensants est habituée aux difficultés d'approvisionnement ou des biens durables. Là aussi on constate une amélioration. Si on examine les données à évolution rapide, chaîne d'approvisionnement mondial repart, les retards sont présents, le prix des biens commence à diminuer. La dernière couche, ces marchés d'habitation. Aux États-Unis, les loyers sont très élevés depuis 12 mois et continus de grimper. Les indices qui reflètent plus rapidement les loyers montrent une baisse marginale. Et l'année prochaine on s'attend une normalisation. Et ensuite on arrive au cœur de l'oignon, et c'est là que se situe le problème, indicateur d'inflation de base, l'inflation des services de base est encore très élevée, la consommation est trop forte, on le voit dans les données sur les dépenses de consommation, les cartes de paiement, les consommateurs dépensent toujours autant malgré des taux plus élevés. L'emploi se porte bien, les salaires sont élevés. La Fed à la maîtrise de l'inflation salariale en priorité. Il faudra qu'elle relève encore les taux, par conséquent dans notre liste de contrôle global, l'inflation est en recul à un sommet, mais ne se situe pas encore un niveau satisfaisant compte tenu de la vigueur de la consommation. Oui, les niveaux sont très élevés. J'ai vu qu'il aujourd'hui au Canada l'inflation se situe à 6,9 % et 10,1 % Royaume-Uni. Ça c'est pour l'inflation, premier point de la liste. Le deuxième, la croissance. Qu'est-ce devez vous voir? La croissance est une mesure essentielle. En fin de compte, c'est le moteur des marchés à long terme. Ensuite après les indicateurs qui évoluent rapidement. Les sondages auprès des directeurs d'achat, activités des consommateurs. Le signe qu'on espère, c'est une forte chute des syndicats suivis d'une inflexion. Quand on verra cette affection, des données qui évoluent rapidement, on veillera davantage l'assurance qu'on atteint creux. Jusqu'à maintenant des nombreux indices des directeurs d'achat sont tombés un niveau d'un niveau très élevé un niveau à peu près note. Mais dans un scénario de récession, inflation serait maîtrisée. Il faut que ces indicateurs de croissance tombent bien plus bas que le niveau neutre. Disons entre 40 ou 30 pour l'indice PMI. Il y a encore du chemin à faire maintenant en bonne voie. En prévoient que la croissance faiblisse dans les prochains mois, jusqu'au milieu de 2023, puis on espère une inflexion des indicateurs de croissance. L'inflation, la croissance, voilà les deux premiers points. Ensuite l'attitude face au risque, qu'observe-t-on? C'est un point très intéressant. Beaucoup sondages auprès de gestionnaire de fonds et d'investisseurs individuels, la version atteint son paroxysme. Ce n'est pas surprenant étant nominé ce qui s'est produit sur le marché cette année. Si on regarde la volatilité qui révèle bien les craintes des investisseurs, on observe aussi des niveaux élevés. Mais on attend vraiment de voir une exposition d'volatilité, des niveaux très élevés. Et pour le moment ce n'est pas arrivé cette année, la volatilité a été forte, mais en fin de compte relativement maîtrisé. Les marchés ont lentement reculé tout au long de l'année. On attend de voir des niveaux bien plus élevés de la version de risque chez investisseurs et une crainte bien plus fort d'un effondrement ou d'un repli des marchés. Sa concorde aurait avec un creux des marchés boursiers. . Trois sur quatre. Alors dernier point de la liste, ce sont les bénéfices et les évaluations. C'est intéressant parce qu'on est en plein dans l'annonce des bénéfices. Tout à fait. Reconnaître les paramètres fondamentaux des sociétés sur le marché boursier, ça nous aide à déterminer si dans leur prise investisseurs anticipent correctement le creux. Cette année le repli des Boers explique surtout par la baisse des évaluations qui sont tombées d'environ 25 environ 15. C'est donc un une chute importante d'élèves évaluations des sociétés américaines. Mais le deuxième facteur, c'est ce que l'unité bénéficie des révisions bénéfices. Il s'agit des prévisions d'analystes pour les bénéfices de l'ensemble des sociétés. En réalité on ne va pas vraiment de mouvements remarquables. Ce n'est que récemment qu'on a commencé avoir de révision à la baisse. En ce moment, en l'état des choses, on observe qu'une baisse un chiffre des bénéfices. Selon nous cela ne suffit pas anticiper une récession. En cas de légère récession, on approcherait de 10 %, en cas de récession normale plus profonde, la baisse peut frôler les 20 %. Malheureusement on est encore loin de voir des révisions bénéfices qui selon notre liste indiqueraient clairement que le marché touche le fond. Les investisseurs se posent toujours la même question quand il voit ces remontées. Notre collègue Michael Craig nous a dit qu'en l'absence de grand revirement, il continuerait de parler de Roland sur le marché baissé. L'inflation, la croissance, l'attitude face au risque, les bénéfices évaluations, une fois ces quatre cas scotchés, est-ce qu'on attend impatiemment le redressement? Ça reste toujours difficile d'anticiper un marché. Il y a des critères qui permet de dire que le pire est derrière nous, mais une fois ces quatre critères réunis, est-ce qu'on peut dire que c'est fini? Oui, c'est très difficile d'affirmer que le marché touche un creux. On ne sait pas si cette liste donnera le jour du creux, on recommence AVC plus de confiance dans les actifs à risques quand ces critères sont réunis. On s'attend à ce que l'inflation soit maîtrisée, surtout l'inflation des services de base pour que la fête puisse lever le pied, voire interrompre les hausses ou changer de cap. Pour la croissance on doit avoir un creux ou une inflation, quant à la version risque, il faut que les investisseurs sont beaucoup plus réfractaires horrifient qu'il y a beaucoup plus de craintes sur les marchés boursiers. Enfin on espère que les analystes poursuivront les révisions à la baisse pour refléter l'évolution des contextes économiques. Il reste du chemin à parcourir, c'est une question d'orientation. On n'a pas besoin de prédire le jour exact du creux, on a besoin de voir une inflexion des indicateurs conformes à l'économie. Vous venez d'entendre Christian Medeiros, gestionnaire de portefeuille à Gestion d'actifs TD. À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés. Les actions de son absence sous le feu des projecteurs aujourd'hui après que la compagnie de médias sociaux avertis que son chiffre d'affaires sera inchangé pendant le trimestre actuel pendit que les compagnies diminuent leur budget publicitaire. Le propriétaire de l'appli Snapchat est la première des compagnies de médias sociaux associés ses bénéfices. Les plus grands noms comme Meta Platforms et alphabets vont annoncer leurs bénéfices la semaine prochaine. Cette nappe est en baisse de 20 %, 30 %. Corus Entertainment annonce des résultats financiers notablement réduits pendant le plus récent trimestre. Le chef de la direction Doug Murphy as sur que l'incertitude économique a un effet négatif sur les revenus publicitaires. Les ventes étaient en baisse de 6 % pendant le dernier trimestre. Le titre a perdu près de la moitié de sa valeur depuis un avertissement le mois dernier quant à la difficulté du marché publicitaire. Interfor, propriétaire de bois d'œuvre réduit ses niveaux de production en raison de l'affaiblissement de la demande. 200 millions de pieds de production seront retirés sur une base temporaire, soit 17 % de sa production à cause de l'incertitude du marché. Voici à présent l'indice TSX composite, un gars assez solide 275 ; soit presque 1 %. La fermeté du court de l'or, du pétrole aujourd'hui est favorable à certains titres. L'indice S&P 500 est en légère hausse. Certains pensent que la Fed pourrait un moment donné marquer une pause, prendre un peu de recul, analyser l'effet de toute cette augmentation de taux. Ces commentaires sont intégrés avec tous les autres, alors que nous sommes au cœur de la saison des bénéfices. Premier set 113. En hausse de 1,25 %. Au nombre de banques centrales réalisent des augmentations très élevées afin d'atténuer l'inflation tandis que nous abordons les derniers mois de 2022, y a des signes de progrès? Hafeez Noordin gestionnaire de portefeuille pour les titres mondiaux revenus fixes commente. Quand on considère les niveaux actuels inflation, c'est l'un des principaux indicateurs pour les banques centrales. Il reste beaucoup de travail à faire. L'IPC américain a paru la semaine dernière pour septembre, l'inflation globale peut commencer à se stabiliser, mais l'inflation de base a encore augmenté à 6,6 %, c'est un nouveau sommet pour ce cycle. Quand on analyse les chiffres, ce sont les services qui sont en pointe au niveau de la dynamique de l'inflation, moins libyen. Les programmes, les problèmes de chaîne d'approvisionnement, et goulot d'étranglement, c'est maintenant un emprunt de service. En particulier de logement. Le loyer et le loyer d'équivalent propriétaire sont environ un set à 8 % aux États-Unis. Sur cette base il semble y avoir beaucoup de travail à faire, mais je crois qu'il est important de prendre un peu de recul et de nous demander : est-ce que les banques centrales établissent leur politique monétaire en fonction de l'inflation actuelle? Non, la politique monétaire accuse un retard de deux à trois trimestres, donc les indicateurs prospectifs laissent accroire que les mesures commencent avoir un effet pour refroidir la demande et rabaisser l'inflation au début de l'an prochain, mais quelqu'un incertitude demeure. La banque centrale a commencé cette semaine par publier son enquête sur les perspectives des entreprises et l'optimisme des consommateurs. Les entreprises comme les consommateurs semblent croire que la banque centrale va maîtriser la situation, mais alors actuel, même les consommateurs et les entreprises redoutent que nous ne vivions une époque difficile et que la lutte contre l'inflation prendra encore longtemps. Les attentes en matière d'inflation à long terme semblent bien ancrées, c'est une bonne nouvelle, pour les résultats de ce sondage, les attentes à l'égard de l'inflation d'ici à deux ans demeurent très élever. La conclusion générale —, ce rapport de la Banque du Canada, c'est que l'incertitude est élevée chez les consommateurs, chez les entreprises quant à l'inflation pour l'an prochain et même pour la croissance. Les consommateurs et les travailleurs vont donc demander une augmentation de leurs revenus afin d'atténuer ce choc, et c'est le risque que nous devons surveiller. C'est la spiral salaire prix. Si les travailleurs tous des augmentations de salaire, les entreprises vont répercuter ces augmentations au public sous forme de biens pour les services, prix pour les biens et services, c'est un effet de second ordre qui entraîne une hausse de l'inflation si la spirale se poursuit, la Banque du Canada pourrait perdre le contrôle de la situation. Le message que pour les investisseurs, c'est que même si la croissance commence à baisser notablement, nous devrions tous penser que la Banque du Canada et la plupart des banques centrales demeurent très ferme pour empêcher que ce scénario ne se réalise car c'est à ce moment-là que la banque pourrait perdre le contrôle de l'économie. La dernière fois que le gouverneur de la Banque du Canada s'est exprimé, c'était vendredi à la fin de la réunion du FMI. Il a fait preuve d'une grande fermeté. Tout à fait. Les chefs des banques centrales ont beaucoup de sujets de conversation, mais surtout il parle de croissance. Chaque année, le FMI publie des perspectives économiques mondiales, les attentes pour l'an prochain moteur de croissance sont assez pessimistes, environ 2,5 à 3 % pour la croissance mondiale. L'inflation persistante quatre à 5 %. Je pense que ça ne change pas beaucoup niveau des attentes des marchés, les estimations pour la croissance du secteur privé et pour l'inflation était d'ores et déjà anticipés, mais ce qui ressort de ces discussions, à cause des récents événements au Royaume-Uni et dans certains autres pays, c'est le dilemme budgétaire. C'est cela qu'il faudra surveiller. Bon nombre de ménages dans le monde doive gérer des coûts d'emprunt plus élevé, décompte de consommation plus élevée, et les gouvernements se demandent comment atténuer ses chocs. Les États-Unis ont choisi une mauvaise méthode, mais ça ne signifie pas que cette méthode basée sur la relance budgétaire est éliminée. La pression continuera de s'exercer, c'est le risque à surveiller. Qui sera le prochain gouvernement essayer ce genre de mesure. Lorsqu'il s'agit atténuer l'inflation, vous avez parlé du coût du logement, je me suis dit : attendais, on entend dire que le prix des logements diminue considérablement à cause de l'augmentation des coûts d'emprunt, émettant vous êtes propriétaires, vous avez déjà un prêt hypothécaire, ça ne diminue pas, et si vous êtes locataires non plus. Oui, les États-Unis sont en pointe, puisque les taux des prêts hypothécaires ont augmenté très rapidement là-bas. Le prêt hypothécaire sur 30 ans, c'est le taux à surveiller pour ce marché. Aux États-Unis, il est à plus de cent pour cent, c'est un maximum depuis plus de 20 ans. Il y a donc beaucoup de réduction dans l'optimisme des acheteurs, les prix du logement a diminué, mais la réalité qui ne s'est pas encore révélée dans les données sur l'IPC, les loyers et les loyers équivalent propriétaire continue d'augmenter. Mais il s'agit d'étudier ces quatre indicateurs prospectifs. À Silo est un bon exemple de donnés substitutifs qui montrent le que le taux d'évolution dévouée commence à baisser. Les loyers augmentent toujours, mais un rythme inférieur à ce qu'il était pendant le premier trimestre. Une lueur d'espoir, ça commence à se répercuter sur les données de l'inflation, et les données de resserrement ont été pris jusqu'ici pourraient être suffisantes, mais la situation est très fluide. C'est intéressant que vous parliez de l'attitude prospectif des banques centrales, carreleur actuel, elle cherche justement à réaliser des changements ultérieurs. Beata Caranci, économiste en chef de la Banque TD a récemment paru sur notre plateau en disant que les banques centrales semblent se concentrer sur cet élément, mais tout cela, cela s'est tourné vers le passé. Tout à fait, c'est le grand défi pour les responsables de la politique monétaire. C'est comme de conduire une voiture et de regarder seulement dans le rétroviseur. C'est ça qui est le plus difficile dans leur mission. Mais en définitive, une des conclusions des réunions du FMI, en fonction de la rétroaction des investisseurs, c'est que la certitude va croissant, il y a donc peut-être une raison de ralentir le rythme des augmentations de taux. Mais le changement de cap dont tout le monde parle, tout le monde l'attend, mais tout ce dont je viens de parler, les sondages sur les perspectives des entreprises au Canada, le risque de la spirale des salaires et des prix est toujours au cœur des préoccupations de la banque centrale. Elles ont déjà affirmé qu'elle préférerait voir baisser la croissance, voir même survenir une récession que de laisser l'inflation échapper à leur contrôle. Hafeez Noordin est gestionnaire de portefeuille pour les titres à revenus fixes mondiaux à Gestion d'actifs TD. À présent poursuivons la découverte de CourtierWeb. Les biais structurés sont un outil que les investisseurs peuvent utiliser pour gérer les marchés volatiles. CourtierWeb propose des outils pour vous renseigner sur ces produits. Voici Nugwa Haruna responsable de la formation à Placements directs TD. Nos bois, ça fait toujours plaisir de vous inviter sur notre émission. Parlons des billets structurés. Qu'est-ce que c'est comment ça marche? Ça fait toujours plaisir à moi aussi. Les billets structurés sont des produits d'investissement typiquement émises par des institutions financières qui peuvent offrir aux investisseurs un potentiel de croissance liée au marché, ainsi que certaines des caractéristiques de sécurité des obligations. Il s'agit de titres de créances qui peuvent être reliées à un actif sous-jacent. Le comportement du pied structuré peut être relié à un titre en particulier, à une corbeille d'action, peut-être lié aux indices spécifiques. Si les investisseurs veulent localiser les billets structurés sur CourtierWeb, ils ne peuvent en cliquant sur l'onglet négociations, et puis nouvelles émissions. Les investisseurs peuvent alors voir les différents types de billets structurés. Les biais structurés, je l'ai dit, comporte des caractéristiques de sécurité à l'instar des obligations. Il y a des billets dans le principal est protégé, il y a aussi des billets dans le principal est à risque. Donc encore une fois ces billets structurés peuvent offrir un potentiel de rendement plus élevé, mais investisseurs doivent savoir qu'il pourrait perdre tout ou partie de leur principale si l'actif sous-jacent ne donne pas le résultat voulu. Pour faire un peu plus de recherche, on peut cliquer sur le billet, il suffit de cliquer sur le dernier, elle en approfondit. Il est facile d'afficher le prospectus, ou des informations sur le produit. C'est très concis mais détaillé. C'est un document qui expose la nature du produit aux investisseurs, la date de maturité comme une obligation, ainsi que le coupon potentiel. Ce biais structuré pourrait payer jusqu'à 9,5 % par an pendant toute la durée du biais structuré, mais cela dépendrait également du comportement du billet. Donc les investisseurs peuvent afficher les informations sur le produit pour se renseigner davantage. Merci pour cette introduction billets structurée, à l'intention de ceux qui ne les connaissaient pas. Eh bien, comment peut-on acheter un billet structuré sur CourtierWeb? Les investisseurs cherchent à acheter des billets structurés, vous remarquerez que j'ai cliqué sur nouvelles émissions. Certains émetteurs ne créent pas de marché secondaire. Un investisseur qui veut se faire rembourser son biais, il se peut qu'ils doivent rompre ce contrat et être pénalisé. Continuons au point où nous en étions restés. Si vous êtes convaincus que l'information vous convie, on peut dérouler comme pour toute nouvelle émission, on peut exprimer une expression d'intérêt. L'émetteur c'est que vous vous intéressez à acheter le titre, par exemple peut choisir le compte spécifique en disant : je m'intéresse à acheter 10 000 $ de valeur nominale. Puisqu'il s'agit d'une quasi obligation. Ensuite, un élément très important, c'est que même s'il s'agit d'une expression d'intérêts, il s'agit d'un engagement ferme de votre part d'acheter. Si l'émetteur… il faut que le montant qui est prévu soit dans leurs comptes à la date de règlement, c'est-à-dire le 3 novembre. Si l'investisseur décide qu'un billet structuré disponible ne correspond pas à ses attentes, il est possible de mettre son profil à jour, on saisit l'adresse courriel, et ensuite on peut s'inscrire pour recevoir des courriels lorsque les nouveaux billets liés à des actions ou tout produit au niveau fixe sont disponibles afin de se tenir au courant, et acheter un produit qui correspond à ses attentes. Merci beaucoup, nous quoi. Je vous en prie. Nugwa Haruna et formateur à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre de formation sur CourtierWeb vous trouverez encore plus de ressources. Y compris des webinaire sur les cinq façons de trouver de la valeur dans un marché en baisse. Les investissements en fonction des considérations environnementales, sociales et de gouvernance d'actualité, mais avec les craintes de ralentissement de la croissance économique et les risques pour la sécurité énergétique, cela se poursuivra-t-il. . John commente. Dans l'année les marchés étaient difficiles. C'est le premier défi réel depuis qu'on parle couramment dans les placements. Oui avec les défis que cela représente, on se demande comment ils se comporteront cette année. Pas seulement d'un point de vue économique, on assiste à une politisation des Facteurs ESG aux États-Unis, certains états remettent fortement question le concept et les problèmes de sécurité énergétique sont importants en Europe. Tout ceci créé des facteurs négatifs. Mais on assiste toutefois à certains signes encourageants. Tout d'abord si on examine l'intérêt pour ce segment par rapport au fond non durable, les fonds Ulg continus d'attirer les capitaux cette année. Cela ralentit, il n'y a pas eu d'augmentation comme ces dernières années, mais c'est normal. Quant au fond non durable, on observe des sorties de fonds, en particulier au troisième trimestre. Je crois c'est de bon augure. C'est ainsi qu'il y a un intérêt certain pour ce secteur mais tout le monde s'intéresse également au rendement. Ce qu'on observe aux États-Unis, l'indice général des Facteurs ESG à surpasser l'indice S&P de 5 % cette année, il n'a reculé que de 19 %. À compter de vendredi n'avait reculé que de 19 % par rapport au S&P qui avaient reculé de 24. Ses semblables au Canada. Le rendement n'est pas aussi important mais est resté relativement stable par rapport à l'indice S&P TSX. Jusqu'à présent les facteurs Ulg sont résiliant par rapport au repli des marchés. Rien n'est encore définitif. On doit continuer à surveiller le secteur et voir comment se comportent les investisseurs. La sécurité énergétique, c'est important, critique à l'égard des Facteurs ESG reflète cela. On sait qu'il y a des parties du monde, notamment l'Europe, qui sont confrontés à des inquiétudes graves. Mais les placements fondés sur les seins Facteurs ESG doivent-ils être l'ennemi de la sécurité énergétique comme certains le pensent? Je ne pense pas. Je dirais que la plupart des gens dans le secteur ne le pensent pas non plus. Il y a des gens qui investissent dans les placements Ulg et qui défendent vraiment la lutte contre les changements climatiques et qui pensent que tout ce qui peut atteindre les émissions doit être évité. Nous devons aborder la question sous différent angle. Il y a les perspectives économiques mais aussi la perspective humaine. Quand les gens n'ont pas les moyens de chauffer leur maison et que ça va leur coûter une fortune, qu'un moyen humain qui doit être intégré au Facteurs ESG. Devrait en mesure d'offrir la sécurité énergétique nécessaire pour traverser l'hiver. De notre point de vue, les derniers mois ont été difficiles à cet égard. Les centrales au charbon réouvrent et c'est le principal ennemi du changement climatique, mais encore une fois les politiciens font ce qu'ils doivent faire pour garder les gens au chaud en prévision d'un hiver qui devrait être foie en Europe. Au Canada, malheureusement, on ne peut pas faire grand-chose pour aider. À ce stade, l'Europe a besoin de gaze et le Canada malheureusement n'a pas les moyens de faire parvenir son gaz naturel à l'Europe. La seule façon de faire et de l'envoyer de l'Alberta à la côte du Golfe du Mexique puis par pétrolier à destination de l'Europe, ce n'est donc pas la façon la plus efficace ou la plus rentable d'y parvenir. Vous savez certainement que le terminal de géhenne elle est en construction en Colombie Britannique et va ouvrir dans quelques années, mais même là il s'agit de desservir l'Asie et pas l'Europe. On ne peut donc pas faire grand-chose. La question pour le gouvernement, les entreprises et les particuliers en Europe au Canada est la suivante. Devrions-nous bâtir cette infrastructure maintenant afin… nous ne savons pas exactement quand cela sera en ligne. Il faut également rechercher des formes plus propres d'énergie. Donc le chancelier allemand vient de rencontrer Trudeau à Terre-Neuve, ils ont conclu un pacte pour l'exportation d'hydrogène propre à partir de la côte est du Canada, mai 2025 si tout va bien. On commence donc à avoir cette prévision à long terme. Il faut espérer qu'elle soit davantage orientée vers les énergies renouvelables plutôt que de continuer à utiliser les combustibles fossiles. Quand je pense aux facteurs Ulg, parfois,, je me dis que les politiciens disent ce que nous devons faire, et les sociétés disent autre chose, les gouvernements peuvent changer tous les quatre ans, même avant que dans le cadre d'un gouvernement minoritaire, mais qu'est-ce qui est stable alors actuel? L'engagement des entreprises au niveau des Facteurs ESG ou celle des gouvernements? C'est une très bonne question. Cela va presque de père. À l'heure actuelle avec le gouvernement qui est au Canada, il y a un programme de lutte contre les changements climatiques très ambitieux et les engagements des entreprises sont respectés. Récemment, les émissions de pétrole et de gaz ont potentiellement été plafonnés au Canada. Les sociétés pétrolières énergétiques essaient de suivre le rythme, mais en même temps je peux vous dire d'après nos engagements avec les compagnies d'énergie qui était bien sûre une priorité pour les facteurs Ulg, il y a beaucoup d'intérêt à l'égard de la des carbonisations. On sait que c'est la tendance est que pour demeurer compétitif il faut réduire l'intensité carbone. Il y a plusieurs façons de le faire, mais pour être franc, je crois que l'engagement existe et on observe des tentatives réelles des grandes sociétés émettrices pour réduire l'empreinte carbone. Vous avez mentionné le facteur, la composante environnementale, est-ce qu'elle éclipse les autres? Souvent quand on parle des facteurs Ulg, j'oublie que le volet social et de gouvernance joue aussi un rôle. C'est une bonne question. Historiquement, l'environnement a sans doute retenu le plus l'attention. C'est probablement parce que les changements climatiques sont tangibles et les gens peuvent vraiment les voir et ressentir. C'est une priorité pour tout le monde. Il ne s'agit pas de réduire le rôle des Facteurs ESG. Ce début de ralentissement économique, facteur J est particulièrement important. Les sociétés qui sont bien gérées sont bien placées pour donner le meilleur d'elle-même en période de ralentissement. Elle devrait avoir mis en place des pratiques de gestion des risques les plus solides et pouvoir résister à des replis potentiels. Bien que le facteur reçoit important et ne diminue en rien les Facteurs ESG et on le voit très clairement ce moment. Vous venez d'entendre John McHughan analyste du climat à Gestion d'actifs TD. Un coup d'œil sur les marchés. Les gains de la matinée se maintienne-t-il? Lundi TSX composite s'affiche effectivement un bond de plus de 5 %, 178; presque 1 %. Les annonces de bénéfices commencent au Canada, également, et Corus Entertainment, vous rappelez que le mois dernier qu'Horus avait averti des investisseurs que le marché publicitaire était incertain. C'est confirmé aujourd'hui par l'annonce des bénéfices, qu'Horus à 2,04 $ en baisse de 8,5 %, le court a diminué de moitié depuis cet avertissement début septembre. (. .. ) En hausse de presque 5 %. Aux États-Unis, l'indice S&P 500, les investisseurs tentent de soupeser l'inflation persistante, et l'idée qu'à un moment donné les banques centrales pourraient n'ont pas nécessairement changé de cap, mais marquer une pause afin de déterminer quels effets jusqu'ici toutes les mesures qu'elles ont prises auront. Il s'agit de simples rumeurs alimentées par certaines déclarations publiques. L'indice CP à 3404 en hausse de 1 %. L'indice Nasdaq, c'est à peu près la même chose, en hausse d'un peu plus de 1 %. Cette nappe éprouve des difficultés après la clôture des marchés hier. Ce n'a pas émis un avertissement quant à la faiblesse de l'environnement des ventes publicitaires, l'action est en baisse de 30 % à 16,56 $ l'action. Compte tenu de la persistance de l'action et des perspectives des taux d'intérêt plus élevé, valeur mobilière TD a récemment mis à jour ses estimations sur l'univers financier diversifié y compris les prêteurs hypothécaires et certaines petites banques. Valeur mobilière TD à réviser son prix cible sur 12 mois pour le secteur financier diversifié. Même si les tendances de crédit devraient quelque peu Molière en 2023, il y a quelques perspectives positives de hausse des actions de ces entreprises en fonction des perspectives d'emploi. Même si les perspectives des six grandes banques, il semble que les arrimages de prêt hypothécaire devraient augmenter. Selon 20 000 $ mobilières TD, une augmentation de 1,5 % du taux de chômage par rapport au creux de 2022 est moins grave que les augmentations pendant la crise financière mondiale, une énorme augmentation de 30 points de base, et au début des années 90 où le taux de chômage ABS à Bondy de 400 points de base. Valeur mobilière TD estime également une perspective ralentie pour l'activité de construction de logements. Service économique TD a récemment réduit son pronostic de prix du logement. Ce graphique montre que service économique TD prévoit que les ventes de maisons diminuent de 25 %. Les parenthèses signifient un chiffre négatif. Il prévoit une baisse de 25 % des ventes de maisons 2022, en prévoit une baisse de 16 % l'année d'après. Quant au prix moyen des maisons, un chiffre essentiellement échangé pour 2022, en 2023 en prévoit que le prix moyen d'une maison Canada diminue de 11 %. Par conséquent, valeur mobilière TD a pris en comptes certains perspectives dans la prévision de croissance spécifique aux entreprises. Les valorisations demeurent inférieures aux moyens historiques comptes tenus des risques de crédit signalé dans le rapport. Service économique TD annonce que le multiple ciblé pour ces entreprises financières diversifiées ont généralement baissé pour refléter les perspectives de crédit plus faible et la volatilité sur les marchés financiers. Le consensus des prévisions laissa croire que le cycle de crédit va sans doute évoluer. Service économique TD considère que ce cycle sera plus gérable que les cycles passés. Il y a toujours un risque que certains éléments de votre thèse ne se réalisent pas. Le risque signalé, c'est surtout que la demande de dépôt à terme et de CPG soit insuffisante. Il s'agit d'une source de financement essentiel pour beaucoup de ces institutions financières diversifiées. Le taux de CPG très concurrentiel entre les prêteurs. La capacité pour ces entreprises financières diversifiées d'attirer les déposants pourrait affecter leur capacité de monter de nouveau prix hypothécaire. Merci, Anthony. Je vous venais d'entendre Anthony Okholie. Restez à l'écoute. Lundi, Jim Kelleher répond à vos questions sur les titres de technologie. Vous pouvez d'ores et déjà nous envoyer vos questions par courriel à moneytalklive@td.com. Merci, bonne fin de semaine et à lundi.