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(musique) -Bonjour! Ici Greg Bonnell. Bienvenue à parlons argent direct, une émission de placement direct Ltd. Aujourd'hui, je m'entretiens avec M parler de MoneyTalk qui va analyser les statistiques de l'emploi au Canada et aux États-Unis. Et la réaction des marchés. Les couvrir de production de ses alliés signifient-elles que les prix plus élevés vont durer? Gestion d'actifs télé nous répond. Jestin Flowers, chef des actions de gestion d'actif Tedey nous dessine réception des bénéfices de l'audition. Ensuite, nous poursuivons la découverte du courtier Web. Nugwa Haruna va nous montrer comment fonctionnent les outils de répartition d'actifs. Tout d'abord, une mise à jour sur les marchés. Nous allons offrir le détail des statistiques de l'emploi avec qui me parler. Le SIP est en baisse de 600 (...) 1/2 %. Toutefois, l'argent afflue dans le secteur du pétrole brut avec une poussée du prix du pétrole brut de référence américain des titres comme ces novices sont en hausse en raison de 1,7 %. Il y a un certain recul dans le secteur des mines d'or après des gains cette semaine. La barrique en baisse de 3 % à 21,52 $ l'action. Aux États-Unis, la réaction aux statistiques de l'emploi bien sûr il s'agit de la première d'une série de statistiques de l'emploi apparaître d'ici quelques jours. La tentation de savoir ce que la fête en pense. Le S&P 500 est à la baisse depuis plus de 2 % à 3665. L'indice Nasdaq également baisse encore plus et les grands titres de technologie subissent le ressac des statistiques d'aujourd'hui. Microsoft qui est un bon exemple de certains titres méga capitalisation en baisse un peu plus de 4 %. Voilà pour la mise à jour sur le marché. Pour commenter les statistiques de l'emploi et la réaction des marchés, l'animatrice de moneytalklivetd.com qui me parlait. - Que pensez-vous? Vous en avez parlé en ce qui concerne la réaction des marchés et des chefs de l'emploi: 263 000 emplois créés aux États-Unis. J'allais vous demander on s'attendait à créer à ce que 250 à 300 000 emplois soient créés en septembre. Le taux de chômage est à peu près de trois ennemis pour cent. C'est intéressant de voir les chiffres. Ce qui est intéressant, c'est que comme vous le constatez, ces chiffres sont équivalents au consensus, mais ce que cela nous montre c'est un ralentissement du marché du travail. Pourquoi ces chiffres sont-ils tellement intéressants? C'est parce que l'inflation de la main-d'œuvre est un des facteurs les plus puissants en matière d'inflation. La valeur mobilière TD déclare ce rapport prometteur sur l'emploi qui devrait maintenir les banques centrales dans la voie de l'augmentation des taux. Je crois que du point de vue de valeur mobilière TD, cela conforte l'idée qu'il y aura une augmentation de 75 points de base de la Fed à la prochaine occasion. C'est l'une des raisons pour lesquelles les marchés sont en recul. Il y a par ailleurs la persistance de l'inflation. En effet, les statistiques de l'emploi ne portent pas sur les produits de base, mais il faut ajouter également l'augmentation du cours du pétrole, ce qui encore une fois alimente l'inflation. Il s'agit de réintégrer l'idée de la persistance de l'inflation. Il ne s'agit pas de savoir quand la Fed va changer de cap, mais quand elle va marquer une pause. Car d'après les chefs de septembre que le marché du travail toujours très serré. Bien sûr, l'emploi est une donné très important que les investisseurs suivent de très près et il y a de nombreux autres statistiques qui vont être publiés. Nous savons que les marchés sont très volatiles, qui aiment, il y a les statistiques de l'inflexible station de l'Évangile détail. Jour après jour il serait intéressant de faire le suivi de tout ça. - Oui. La semaine prochaine, les chefs de l'IPC vont paraître aux États-Unis. Il s'agit des chefs de septembre nous envisageons une augmentation de 0,2 ou 0,3 % de l'inflation. C'est inflation de base va surveiller de près. Le procès-verbal du FON séparait la semaine prochaine, les ventes de détails également. Le consommateur est la locomotive de l'économie américaine ce sera donc très important. Ce qui est encore plus important, ce qui est très intéressant d'ici deux à trois semaines, vous avez parlé à Justin Flowers et l'autre jour, ce sont les bénéfices. Car les bénéfices accompagnent d'orientation. De plus en plus d'entreprises vont nous dire ce qu'elle prévoit pour l'année à venir. Nous arrivons à la fin de l'année civile de l'exercice. Par conséquent, les entreprises vont tourner la page à partir de janvier et il pourra y avoir des orientations très différentes en ce qui concerne les coupures d'emploi, ce qui encore peuvent alimenter les chiffres de l'emploi avenir. Il reste beaucoup de statistiques publiées, mais pour l'instant, il n'y a aucun amortissement de marché du travail. Voulez-vous que j'évoque l'issue canadien qui sont parus ce matin? - Je vous en prie! Quand nous avons inventé une tendance. Le monde s'intéresse à ce que ce fait la fête, mais non en tant que canadiens nous interrogent sont à la banque du Canada. - Bien sûr. Nous demandons ce que va faire la fête, c'est donc le Canada n'affecte pas les marchés, mais ça nous intéresse. Au Canada, 21 000 emplois jouent au mois de septembre, le taux de chômage à 5,2 %. Il est inchangé. Le premier gain d'emploi après trois mois de perte. Je ne sais pas si c'est une bonne ou une mauvaise nouvelle, car encore une fois, si le marché du travail se porte bien, notre banque centrale va en tirer les conclusions. James Orlando l'a très bien dit, service économique TD: il est clair que le marché du travail au Canada demeure extrêmement serrer. Je pense qu'il n'y a rien là qui va amener la banque du Canada apporte des changements à ses perspectives d'après les déclarations d'hier. Le marché demeure serrer et le taux de chômage Canada est d'environ 5,2 %. Et pour me faire l'écho de la note publiée par service économique TD aujourd'hui, pour faire des coups de déclarations du gouvernement, il reste encore à faire. Les chiffres parus aujourd'hui le confirment. - Merci pour votre analyse, qui aime. Cela je vous en prie. - Animatrice de Monitor que Bloomberg. Comme tu me le disais, nous approchons de la saison des annonces bénéfices, et il y a des craintes sur le marché quant à la possibilité d'une récession des bénéfices. Au fur et à mesure que la croissance économique ralentie. D'instinct Flowers et, sur des actions et gestion d'actif Tedey nous en a parlé l'autre jour. Il est important de songer. Les bénéfices étaient très résiliant. Ils étaient dans une très bonne situation et cela hausse les prix d'énergie qui génère des flammes fruits trésorier bénéfice pour le secteur de l'énergie. Cela a été les bénéfices généraux du marché. Envie de cesser de bien gérer leurs coûts ce qui a été favorable. Puis les très bonnes entreprises ont pu transmettre la hausse des coûts des entrants aux clients sous forme d'une hausse des prix. Cela permet d'obtenir des bénéfices stables. À l'avenir, ce sera plus difficile. Et on observe déjà les premiers signes de faille sur le marché. Les indices des directeurs d'achat se sont répercutés partout dans le monde et les donnés auraient seulement dit que les débits étaient plus faibles aux États-Unis. On commençant entre des sociétés dire que les choses deviennent un peu plus difficiles. Un peu plus difficile. Approfondissons un peu là-dessus dans cette période publication des bénéfices, de toute évidence que les entreprises vont s'en sortir en fonction de ce qu'il nous demande. Mais les tempêtes qui planent à l'horizon matière de ralentissement économique heureuse, récession, lutte contre l'inflation, vont-elles peser sur le long terme? - Oui. Ce qui se passe, c'est qu'on a commune revenons aux remontées estivales qui a réduit en partie les craintes des sociétés qui pensent que ça commençait mal tourner. On doit faire quelque chose et ça leur a permis de se dire que la situation n'était peut-être pas si grave. Or, cette remontée n'est plus d'actualité, effet place un décrochage important. Je pense qu'à partir de maintenant, on va avoir des mesures incitatives pour que les entreprises et les équipes de directions analysent, discuter se rendre compte que le contexte difficile. En 2023, on donne des conseils, mise à jour pour 2023. L'année ne ressemblera pas à 2020: on voit déjà les marchés baisser leurs attentes à un niveau plus raisonnable. Votre équipe a fait un travail intéressant entre les relations sur les actions et l'inflation. Ça été la principale préoccupation tout au long de l'année et ce que les banques centrales vont faire pour tenter de juguler l'inflation. Cela certainement en effet une petite étude récemment parce qu'on entend beaucoup dire que l'inflation est très mauvaise pour le rendement désactivé pour l'économie. On devrait simplement présenter quelques faits. Il se trouve que l'inflation, si elle est élevée et durable, n'est pas favorable aux actions et aux rendements obligataires. On obtiendra un rendement réel négatif si les taux sont dans une fourchette de 6,7, huit ou 9 % dans un contexte inflation. Par intérêt prolongé. La déflation n'est pas une bonne chose au niveau idéal et entre un et deux émis pour son inflation. C'est là que les actions se portent le mieux ici là notre situation depuis une dizaine d'années. Le dernier allemand et l'inflation légèrement plus élevée entre deux émis et 4 %. C'est intéressant parce que le rendement des actions est d'environ 10 % ou un peu moins de 10 % dans ce contexte les rendements obligataires de plus de 7 %. Une hausse modérée de l'inflation, c'est ce qu'on pense vivre durant les cinq prochaines années. Quand la fête va commencer à faire baisser la pression du marché du travail sur l'économie. Nous en serons dans cette fourchette de deux émis à 4 %. Ce n'est pas si mal pour les actions des obligations! - Ce n'est pas si mal et c'est ce que l'on veut à long terme. Toute cette volatilité qu'on observait, remontées estivales, repli, mois de septembre a été désastreux, heureusement il est terminé pour les investisseurs mêmes s'il fait de plus en plus froid, et puis on a nouvelle remontée. Si on prendre un peu de recul et qu'on essaie d'avoir une vision d'ensemble, que doit-on penser de marché? - Plusieurs choses. J'ai parlé des bénéfices, il faut toujours réfléchir à la valorisation. Si vous prenez la décision d'acheter sur le marché, acheter des actions individuelles, quelle évaluation? - On a commencé l'année à plus de 20 fois les bénéfices pour l'ensemble du marché américain. Les bénéfices ont été 22 fois les bénéfices en janvier mai et on est passé de 16 émis et c'est donc un point d'entrée plus raisonnable et probablement plus conforme aux moyens historiques poignarde nécessairement de valorisation négative. Mais ce ne sera pas favorable non plus. Il faut comparer les actions aux autres catégories d'actifs. Et l'un des outils qu'on utilise pour évaluer dans quelle mesure la catégorie est attractive, la prime de risque des actions. Ce qui signifie qu'on peut investir dans un taux de rendement garanti, les bons du trésor ou investir dans des actions qui ont évidemment un taux de incertain. Combien recevrez vous au-delà des rendements des bons du trésor pour vous récompenser d'avoir pris ce risque? Fil du temps on se fait une idée de ce qu'est une juste prime de risque des actions. Alors actualité de 2,7 %, à peu près conforme moyenne à long terme. Encore une fois, ce n'est pas un facteur défavorable ni favorable non plus. Quand on parle des nuages qui s'amoncellent à l'horizon, c'est l'idée qu'au fur et à mesure que les banques centrales s'efforcent de maîtriser l'inflation, ils vont nous faire basculer en récession. D'abord on se demandait s'agirait-il d'un atterrissage en douceur brutale? Maintenant, on est résigné à la récession. Quelles sont les possibilités comment devons-nous gérer cela et que lancera la gravité? Si nous aboutissons récession, je crois qu'il faut comprendre que pour les entreprises dans lesquelles nous investissons, leurs bénéfices ne vont pas augmenter. Leurs bénéfices vont sans doute baisser sur 12 mois. Il faut actualiser nos attentes. La Fed nous a dit qu'elle voulait déclencher une légère récession. Mais elle cherche à faire un numéro d'équilibriste pour éviter une récession profonde. Si les estimations de bénéfice diminuent de 225 à 215 $ pour le S&P 500, ça va. Ce qu'on ne veut pas voir, c'est qu'on ne veut pas voir le genre de choses qu'on a vues en 2007 et 2008 ou 2001: c'est-à-dire que les bénéfices sont vraiment baissés beaucoup. Nous pensons qu'il y a des raisons qui nous amènent à penser que les bénéfices pourraient baisser, mais il y a des raisons qui nous amènent à penser qui ne vont pas trop baisser. Il y a des bénéfices qui sont un facteur très important. Par ailleurs, les dégâts en contrepartie sont déjà intervenus. La NASA est en baisse de 30 % depuis le début de l'année. Le S&P 500 de 22 % depuis le début de l'année. Le marché a déjà anticipé sur ce que nous allons voir. L'an prochain quant au reste des bénéfices. Comment gérer cet environnement? Il faut être agile! - Vous ne pouvez pas dire je pense que ça va se produire ignorer le reste. - Tout à fait. Je dirais aussi qu'il y aura des entreprises qui ne vont pas survivre et qui ne vont pas tirer leur épingle du jeu, parce qu'elles ont essentiellement réuni des capitaux gratuitement depuis cinq à 10 ans. La liquidité va se tarir. Donc pour nous, nous passons beaucoup de temps à nous pencher sur la qualité, à évaluer les entreprises qui vont pouvoir accroître leur part de marché d'ici 1,2 ou trois ans dans un environnement difficile. Les entreprises qui auront le pouvoir d'établir les prix. Mais ça sera important d'éviter les entreprises dont le financement va se tarir et dont certaines vont pas survivre, ce qui peut entraîner une destruction de richesses qu'on veut éviter. Vous venez d'entendre Justine Flowers, chef des actions à gestion d'actif Tedey. À présent, mise à jour sur l'actualité des affaires sur le marché. Le pétrole connaît une forte remontée hebdomadaire depuis le début du printemps. Après la décision de l'OPEP de réduire la production de 2 millions de barils par jour, les investisseurs continuent de soupeser d'une part l'approvisionnement limité et d'autre part la crainte de ralentissement économique pourrait nuire à la demande. L'appétit de la Chine en matière de pétrole et l'évolution de ces politiques. Zéro COVID, sont un taux cœur. Le pétrole WTI de bruts américains en hausse. Les ventes d'AMD sont sous les projecteurs aujourd'hui après que le fabricant de puces averties que ses ventes au troisième trimestre semblent plus faibles que ne l'avait privé antérieurement conduit le plus faible demande d'ordinateurs personnels et des problèmes de chaîne d'approvisionnement. Ces nouvelles plombent également les concurrents Intel et NVIDIA puisqu'on s'inquiète du ralentissement du secteur par la faible demande et le dollar américain formé de suppression de pronostic à Lévi-Strauss. L'inflation est une récession mini consommateurs à dépenser non plus pour acheter des vêtements, mais pour des éléments essentiels pour les ménages. La flambée du prix vers cet année réduit les revenus d'outre-mer qui sont moins lucratifs lorsqu'ils sont rapatriés en dollars américains. À présent, les principaux indices. La montée du marché du pétrole est favorable au titre de l'énergie. Mais en général, marché en baisse d'un demi pour cent aux États-Unis, création statistique d'emploi aujourd'hui. Les investisseurs ont décidé qu'il s'agisse de facteurs négatifs. 3662 en baisse de plus de 2 %. Certains des titres de technologie Amiga capitalisation sont particulièrement touchés. La situation semble enfin favorable pour les compagnies aériennes de la plupart des restrictions de voyage instauré par la COVID ont pris fin et le chaos constaté aux aéroports pendant l'été s'est atténué. Une récession possible l'horizon troublera de la fête? Gestionnaire de portefeuille, commente la situation. - Le transport indien a été robuste depuis le début de l'année. Le printemps a été excellent, était encore meilleur et le troisième Sim primaire qui vient de se terminer semble avoir été assez solide aussi. D'après ce qu'on voit ainsi que les compagnies aériennes nous disent, le quatrième trimestre la période des fêtes devrait aussi être très robuste. Les réservations temps pour les loisirs que pour le travail sont en train d'augmenter. Et on sait que le prix des biens de vente devient plus élevé qu'il n'était avant la pandémie. Dans l'ensemble que les compagnies aériennes enregistrent une bonne année. Les perspectives semblent assez bonnes. Ce qui est incertain, c'est ce qui nous attend en 2023 en cas de récession. Si cette première vague de demandes voyage et maintenant derrière nous, qu'est-ce que cela signifie pour l'année prochaine? - La bonne nouvelle, c'est que l'association du transport aérien prévoit que 2002 sera la première année depuis début de la pandémie ou les compagnies aériennes seront rentables. Ça fait donc trois ans que les compagnies aériennes pas réalisées de profil sans que cette année seront en mesure de le faire. Quand on passe à la reprise voyage cette année, il semble que les voyages de loisirs ont été le premier à apprendre. Les gens sont dignes plus de restrictions, on peut aller à tel ou tel endroit. Les entreprises ont été plus lentes mais comme vous le dîtes, repris du poil de la bête. Comment ces deux segments différents, loisirs ou à faire réajuster la mauvaise conjoncture économique? Les sociétés ont réduit leurs dépenses mais parce que les voyages loisirs, si vous perdez votre emploi vous travaillez moins d'heures, vous êtes affectés par une inflation élevée, les prix d'autres produits augmentent. Les voyages de loisirs sont l'une des premières choses auxquelles vous allaient renoncer. Ça va évidemment avoir un impact. Pour ce qui est des entreprises, en ce moment, on voit beaucoup de sociétés envisager des mises à pied ou des mesures de réduction des coûts. Ça pourrait avoir des répercussions plus importantes pour les compagnies aériennes, parce que les voyages ne représentent qu'une petite partie de l'ensemble des passagers mais c'est une partie importante des bénéfices de la compagnie aérienne. Soit dit en passant, j'ai entendu dire que compte tenu de la demande actuelle, on pourrait manquer de siège et on dit aux gens ne vous inquiétait pas si vous ne prenez pas ce vol, vous pourriez en prendre un autre plus tard et on va vous donner de l'argent. Ça pourrait être avantageux de proposer plus de sièges en ligne mais ces risques. - Oui. En général les compagnies aériennes américaines et européennes ont réduit leur capacité par rapport à la période pré pandémie. Dans la plupart des cas, les compagnies aériennes exploitent cinq à 10 % moins de vols qu'auparavant. Mais ces vols sont pleins! Ils sont pleins à plus de 100 %. Comme vous venez de le mentionner, les vols sont sur vendue. S'il y a 300 sièges dans un avion, compagnie aérienne revendra 310 en espérant que 10 personnes se présenteront pas. Les 310 personnes se présentent il y a 10 personnes malchanceuses qui ont payé pour le rouge vol mais qui n'iront pas là où elle voudrait aller. Comme les compagnies aériennes maintiennent cette capacité inférieure par rapport au passé, peuvent exercer leurs activités. Le personnel est aussi tout ce que les compagnies aériennes manquent de personnel dans les avions et au sol. Beaucoup des pilotes qui sont partis dans les 23 dernières années ne sont pas revenus dans le secteur, certains sont à la retraite. On changeait de carrière. Il faut beaucoup de temps pour son nouveau pilote. Il y a une pénurie de pilotes. Si les compagnies aériennes sont en mesure de gérer leur capacité actuelle tout en gagnant de l'argent et en opérant développe la capacité, condition de le faire pendant un certain temps. Est-ce que ça les placerait en meilleure position encore récession? Les banques centrales ont bien expliqué ce qu'elles essayaient de faire les pronostics économiques sont bien expliquées aussi. On ne peut pas éviter une récession si la Fed, si notre banque centrale et les autres veulent vraiment réduire l'inflation. Mais quand vous avez cet avertissement, est-il possible secteur de se préparer? Je pense à la consigne de la pandémie et la façon dont tout le monde a été pris de court. - Oui. Tout le monde a été pris au dépourvu, je pense que grâce à ce niveau de capacité inférieure, au moment du ralentissement, compagnies aériennes auront moins à faire pour réduire encore la capacité. Pour l'instant, c'est probablement une bonne chose. Les coûts du carburant à période pandémie pour les compagnies aériennes, c'était inquiétant, c'est un coût énorme pour elle. Il y a aussi beaucoup de volatilité dans ce segment. Hier Justine Flowers partie de l'émission édit: P envisager le pétrole à 60 $ ou le pétrole à plus de 100 $. Comment le secteur du transport aérien Compostelle avec cela? - Beaucoup de compagnies aériennes des programmes de couverture de matières premières pour se protéger des fluctuations du prix du pétrole. Tout le monde le fait pas et tout le monde ne couvre pas l'exposition pétrole à 100 %. Quand vous comme vous l'avez dit que le prix du pétrole pourrait augmenter ou diminuer. Elle va donc rester entre les deux, pas complètement se protéger pour ne pas rater un potentiel si les prix du pétrole baissent. En fonction de leur programme certaines compagnies aériennes seront plus ou moins touchées par la volatilité des prix du pétrole. Vous vous êtes rendus en Europe récemment. Des régions différentes vont être touchées différemment en cas de récession. En fonction de l'actualité géopolitique. L'Europe bien entendue dans une situation assez unique. - Oui. Les compagnies aériennes font face aux mêmes défis que les compagnies nord-américaines. Hausse de l'inflation, hausse des prix, hausse des taux d'intérêt. Il y a un problème supplémentaire. C'est leur dépendance à la Russie pour le plan du gaz naturel. Le gaz naturel qui sert au chauffage, qui sert à faire tourner les usines. Les sanctions infligées à la Russie jusqu'ici ont amené ces dernières ne plus fournir le même volume de gaz que c'était le cas vers l'Europe et l'Allemagne en particulier. Cela créé des difficultés et beaucoup d'incertitudes pour les entreprises. Passionnant pour les entreprises mais pour les ménages aussi. On ne sait pas comment on va se chauffer cet hiver. Vous venez d'entendre David, gestionnaire de portefeuille gestion d'actif Tedey. À présent, poursuivons la découverte de courtes courtiers Web. - Avec la volatilité des marchés, vous pouvez envisager de réajuster les pondérations de votre portefeuille. Courtier Web peut vous aider. Nugwa Haruna, formatrices à plat sont directes des, vous explique comment gérer votre répartition d'actifs. - Pour un investisseur qui souhaite parvenir à ses objectifs d'investissement en créant un portefeuille, il est possible d'envisager la répartition d'actifs ainsi que la diversification. L'idée de la répartition d'actifs de leur diversification, c'est d'aider à gérer le risque lorsqu'il est question. Comment retrouver les différentes catégories d'actifs afin de créer un portefeuille d'investissement? Sous la rubrique content, les investisseurs cliquent sur répartition d'actifs. L'idée que différentes catégories d'actifs ont tendance à réagir différemment à différentes conjonctures. Donc, si vous voulez gérer votre risque et réduire la volatilité de votre portefeuille, vous pouvez envisager la répartition d'actifs. Chacun peut voir quelle est la répartition entre les actions, les titres à revenu fixe et les liquidités équivalentes. Pour comprendre comment ces investissements fonctionnent, on peut cliquer sur le bouton assistance qui donne une explication de ces différentes catégories d'actifs, ainsi que leur comportement en général dans différents cycles du marché. Alors, si vous n'avez pas le temps ni le goût de créer un portefeuille vous-même, et bien, vous pouvez envisager d'utiliser différents outils de répartition d'actifs. Il s'agit de fonds et les vices les investisseurs peuvent choisir un fonds conformément à leur profil. Où peut-on trouver ces différents produits? Sous la rubrique recherches, placements, FNB. Fonds négociés en bourse. Nous allons utiliser un mini filtre à partir duquel on peut utiliser ces différents critères pour sélectionner des titres sous la rubrique catégorie FNB. Nous allons cliquer sur ce menu déroulant. Admettons que nous voulons rechercher des fonds négociés en bourse qui ont jusqu'à 50 à 70 % d'actions dans le portefeuille. Il y en a 22. Alors nous allons afficher ces 22 occurrences. Alors on arrive à une page où sont détaillés tous ces fonds négociés en bourse. Si vous voulez voir exactement ce que chaque fonds négocié en bourse détient, sélectionnons-on un, M dériver, cette action affiche une mini page ici on clique sur sommaire, on peut voir quelle est la composition de l'actif. On peut dérouler, sur la gauche de l'écran, et on expose exactement la composition de ce fonds. C'est FNB comporte environ 60 % d'actions américaines, des actions non américaines, les actions privilégiées plus de 20 %, des actions privilégiées sont un hybride entre les actions et les titres à revenu fixe. Ainsi que des obligations américaines et autres. Ensuite il y a les différents secteurs dans lesquels ce fonds est investi, les régions, et puis enfin, quels sont les 10 principales valeurs que le gestionnaire détient? Encore une fois il est possible d'utiliser ces outils pour chercher à diversifier son portefeuille et ce, afin de mieux gérer les risques d'investissement sur les marchés. Nugwa Haruna est formatrice placement direct Ltd. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de courtier Web où vous trouverez encore plus de ressources. À présent, un nouveau coup d'œil sur les marchés. Les statistiques de l'emploi aux étais publiés ce matin au Canada comme aux États-Unis. Réaction des marchés dans les deux économies il y a eu création d'emplois en septembre et le taux de chômage le Partido de la frontière est très faible. L'indice TSX est en baisse de plus de 300. , À plus de 1 1/2 %. Il y a un raffermissement du coût du brut qui ce qui entraîne une hausse pour le secteur de l'énergie. Dans la technologie, il y a une baisse aussi bien au Canada qu'aux États-Unis. Shopify en baisse de plus de 9 % à 37 43 l'action. Titres miniers qui ont bien commencé la semaine. Vous rappelez cette remontée qui a une durée le mois d'octobre et le nouveau trimestre. Lundi Mining est en baisse de plus de 5 %. Aux États-Unis, il s'agit comme qui me parlait nous le disait au début les missions une première d'une série de statistiques vitales qui vont être publiées au cours des jours et des semaines à venir. Le prochain chef de l'inflation est vent au détail toute suggestion que nous surveillons de près. L'ajout de 366 000 postes avec un taux de chômage de 5 %, c'est un facteur de baisse. Il y a donc un déficit de 89. Pour l'indice S&P 500 et plus de 2 %. Le secteur de la technologie durement touchée aujourd'hui, l'indice Nasdaq est en baisse de presque 3 %. Certains de ces titres de technologie Amiga capitalisation sont sous pression. Nous avons vu Microsoft tout à l'heure et voici Amazone. Presque 115 $ l'action, en baisse de presque quatre et demis pour cent. Le pétrole est un facteur positif sur le marché. Après être descendu en deçà de 80 $ le baril à semaine dernière, on s'inquiète du ralentissement de la croissance. Comment ce tiraillement entre l'offre limitée et la demande potentiellement faible aboutira-t-il? Chef des produits de base gestion d'activité des commandes. - Le papier réuni hier à Vienne et annonce une réduction de production de 2 millions de barils par jour, ce qui est clairement plus que ce que la Maison-Blanche voulait-il plus que ce que le marché prévoyait au pardon niveau de production réelle. Beaucoup de ces pays ne produisaient pas les nouveaux cibles pour ne parler de problèmes liés à la capacité de réserver la réduction réelle réservent et de 800 000 barils par jour. Ce qui est préoccupant compte tenu du niveau des stocks. Les stocks ont considérablement diminué depuis le creux de la pandémie continue de diminuer. La demande a commencé augmente de façon saisonnière au quatrième trimestre. On est dans une période de creux, on ne conduit pas autant alors que le mois de novembre et décembre approche la demande devrait augmenter. Ce sont les données macro-économiques. Quel sera le sort de la croissance économique? L'impact sur la demande pétrole est préoccupant, mais globalement, quand on considère les équilibres sont délicats et les balances continuent de baisser. La Maison-Blanche n'est pas contente, mais que peut-il faire? La réserve stratégique est ponctionnée depuis longtemps et cela ne va pas durer éternellement. L'administration Giddens a annoncé au mois de mars qu'elle allait prélever 1 million de bains par jour sur la réserve fédérale. Si on ignore la réserve stratégique, la situation dépasse défavorable, mais si on tient compte de ce qui est sorti de la réserve stratégique, les inventaires sont serrés aux États-Unis. Qu'est-ce que le bidet ne pourrait faire? Il pourrait potentiellement annoncer les prélèvements continuer la réserve, mais on arrive à des niveaux encore une foie aussi très préoccupant. Il y a certaines discussions quant à la possibilité d'assouplir les sanctions qui pèsent sur le Venezuela. On n'en a parlé hier pour la Maison-Blanche envisagerait de réduire les sanctions sur le Venezuela pour permettre à Chevron de reprendre la production. Le problème est que cela ne serait répercuterait pas immédiatement sur la production. Vous avez des graphiques. Il y a les stocks et les niveaux de production aux États-Unis. Si les États-Unis n'obtiennent pas la production qu'ils veulent dans le reste du monde, vont-elles augmenter la valeur? On estime que la production américaine, on estimait que la production allait augmenter depuis 2 millions de barils par jour. Or, nous sommes en hausse de cinq et 600 000 barils par jour. Encore une fois, c'est attribuable à la pénurie de main-d'œuvre, à la pénurie de matières premières, ainsi qu'au désir pour beaucoup d'investisseurs de ne pas voir les compagnies augmenter leur production à cause de problèmes ESG. Quand on on songe alors préalablement, aux États-Unis et à l'heure au monde mondial, la demande continue se resserrait pour la seule raison pour laquelle pétrole est à 80 et 85 et 90 $ le baril pas plus, c'est à cause de l'inquiétude quant à l'avenir. S'il est en contraction notable de l'activité économique, cela va entraîner un affaiblissement de la demande pétrole, et quand on considère les antécédents de la demande pétrole, il y a qu'une offre depuis 50 ans, demande diminuée en termes réels. Il y a eu la pandémie, la crise financière, et puis antérieurement, au début des années 80, la guerre Iran Irak home, au milieu des années 70, l'embargo pétrolier arabe. Si vous croyez que le PIB va augmenter, n'oubliez pas que le manque de pétrole va augmenter parce que le pétrole augmente cette augmentation du PIB. Voici la demande implicite du pétrole aux États-Unis, plus faible qu'elle ne l'était en 2019. Ils n'y a pas de capitalisation sont d'une capitalisation dans la demande pétrole, les stocks vont devenir de plus en plus serrés et même précaires. Il y a des termes spécialisés dans le secteur du pétrole comme rétrogradation. Vous allez expliquer cela. - Oui. C'est très important pour les investisseurs qui se spécialisent dans les produits de base. La rétrogradation, c'est ce que l'on dit quand le cours à terme est inférieur au cours du jour. Aujourd'hui, le cours du jour est plus élevé. Même si le cours que vous voyez à l'écran abaissé par rapport aux 100 et quelques qu'il y avait cet été, la rétrogradation sur le marché de marche est demeurée aussi prononcer. Les raffineurs, ce qui consomme le pétrole pour fabriquer le produit que vous et moi consommons sont toujours prêts à payer plus pour le pétrole aujourd'hui plutôt que d'attendre demain ou le mois prochain. Alors, cela souligne le fait que le marché est très serré. Si les stocks n'étaient pas aussi serrés, la rétrogradation diminuerait et on passerait peut-être en situation de compte tango. C'est également un effet de la spéculation sur le secteur du pétrole. - Oui, les inquiétudes à l'égard de la situation économique. Si vous êtes optimistes quant au cours du pétrole, le fait que la spéculation soit un niveau très bas, c'est encourageant. Il y a une véritable retraite marchée des participants non commerciaux. Le fait que la longueur spéculative soit faible et encourageant de mon point de vue. Puisque je prévois que les cours du pétrole ont augmenté. Donc on a parlé de certains des risques, lorsque l'OPEP a prie sa décision, Maison-Blanche n'est pas satisfaite. Que dire de l'offre russe? - La Russie livre moins de gaz naturel, mais les importations russes de pétrole brut cette année sont plus élevés qu'elle ne l'était en 2021. 5 décembre est une date importante, c'est à ce moment-là que les sanctions sur le pétrole brut ont entré en vigueur. Ce n'est pas encore le corps. Quels sont les éléments d'ici là? La situation russe est inchangée, par ce que ou bien lui en aura moins. Quand on considère la réserve stratégique, ces prélèvements prennent fin à commodément ou élection de Me Mondor. Au niveau saisonnier, la demande augmente en abords du quatrième trimestre, la Chine est essentiellement absente du marché. La demande implicite enchaînait plus faible qu'elle ne l'a été depuis 1991. Si la Chine ouvre ses portes, imaginez l'augmentation de la demande en provenance de Chine! La liste des catalyseurs du cours de pétrole est plus long que la liste des facteurs inquiétants. Encore une fois c'est lié à l'activité économique. Vous donnez d'entendre (.. .) gestionnaire de portefeuille gestion d'activité des points de un dernier coup d'œil sur le marché. Le mois d'octobre avait si bien commencé! Vous rappelait les deux journées de montée consécutive. À présent il y a une pression à la baisse et les statistiques de notre part aux États-Unis comme au Canada ont conclu que les économies créent des emplois et le taux de chômage est faible. Selon les banques centrales vont tenir compte lorsqu'elle décide dans quelle mesure doive être ferme pour la hausse des coûts de l'emprunt. L'indice SUP TSX est en baisse de 337. À 1,8 %. Toutefois, le cours du brut est en hausse de presque 5 % pour le bruit de référence américain, le S&P 500 réagit aux statistiques de l'emploi aux États-Unis en baisse 2 1/2 %. Certains des titres de technologie Amiga capitalisation sont sous pression, Microsoft, Amazon, nous nous avons montrés tout à l'heure. Le Nasdaq est présent avec le marchand général de baisse de 8 %. Le Nasdaq est en baisse, suspense sur mon écran est en baisse de trois et demis pour cent. Croyez-moi sur parole! Il n'y aura pas d'émission lundi. À cause de l'action de grâces nous serons de retour mardi et nous allons entendre ce cordon d'une, directeur général des titres de gestion d'activité décrit répondre à vos questions sur les titres à revenu fixe. Vous pouvez nous adresser vos questions dès maintenant par courriel@moneytalklivetd. com. Merci et à la semaine prochaine!