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(musique) - Bonjour! Ici Greg Bonnell.
Bienvenue à Parlons Argent en direct. une émission de Placements directs TD.
Aujourd'hui, Chris Whelan de Valeurs Mobilières TD nous dira si la Fed est susceptible de maintenir ses taux en septembre après le rapport sur l'inflation de cette semaine.
David Mau de Gestion de Placements TD nous donne son point de vue sur les voyages.
Les compagnies aériennes ou alors nous les voyagerons de la vigueur. Andres Rincon de Valeurs Mobilières TD commente les tendances dans le secteur des fonds négociés en bourse. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Jason Natyk nous explique le fonctionnement de la plateforme avancée et la différence par rapport à CourtierWeb. Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
Dernier jour de bourse de la semaine, la situation est mitigée. Indice TSX composite progresse modestement de 10.
, 0,05 %. Parmi les titres les plus activement négociés, Baytex Energy qui progresse quelque peu dans le contexte du raffermissement du cours du brut de référence américain.
Baytex progresse de plus de 2 % à 5,60 $ l'action.
Quelques faiblesses dans Magna International, fabricant de pièces automobiles à 70,52 $ recule un peu plus de 2 %.
Aux États-Unis, les statistiques de l'inflation aux États-Unis ont paru cette semaine.
Cette dernière augmente un peu, mais moins que prévu. Aujourd'hui, on parlait statistiques sur les prix de gros États-Unis ont augmenté également, davantage que prévu, les marchés se temps d'assimiler ces informations.
CCP TSX progresse de sept, presque 50 %.
L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie recule dans une légèrement plus large mesure, 113; soit presque 1 %.
Advanced Micro Devices, le fabricant de puces s'est très bien comporté cette année. Dans le contexte de l'essor de l'intelligence artificielle.
AMD recule toutefois de près de 3 %.
Bien sûr, l'inflation est en tête de la préoccupation des investisseurs cette année.
Les chiffre de l'IPC parus hier et ce matin, les statistiques sur les prix de gros ont été publiées. Ils ont augmenté au mois de juillet, un peu plus que prévu, après les statistiques de l'IPC d'hier qui ont montré une légère hausse des prix à la consommation, pas aussi important que les milieux financiers l'avaient prévu.
Je me suis entretenu avec Chris Whelan responsable des stratégies de portefeuille Gestion de Placements TD.
Rien n'a changé, il s'agit de persévérer sur la même trajectoire. Les marchés ne réagissent pas tellement.
Il n'y a vraiment pas de conclusions à en tirer.
Nous en avons parlé dans le passé, nous sommes en mode d'attente et les décisions sont prises en fonction des statistiques.
Nous sommes en récession mondiale du secteur manufacturier. Nous attendons que le secteur des services bascule.
Nous pensons que ce sera le cas, mais cela reste encore à se réaliser.
C'est le facteur le plus important au cours des mois à venir.
Nous prévoyons qu'il n'y aura pas de hausse de taux supplémentaire au Canada, ni aux États-Unis.
Nous sommes convaincus de ce pronostic se réalisera d'ici un mois ou deux.
Au-delà, il faudrait qu'il y ait des données étonnantes, notamment un regain de l'activité économique à l'automne et à l'hiver pour que nous changions d'avis.
Quant à la fin du cycle de hausse de taux, sachez que nous attendons, mais le secteur manufacturier est en mauvaise posture.
Vous avez parlé d'une récession du secteur manufacturier, vous attendez que le secteur des services bascule. Les banques centrales ont déclaré qu'une fois parvenues au niveau des taux, elles maintiendront ceci pendant assez longtemps. Si le secteur manufacturier faiblit, le secteur des services aussi, combien longtemps ces taux restrictifs peuvent être maintenus?
- Je pense que lorsque les banques déclarent qu'elles veulent maintenir les taux à un niveau élevé, elles s'efforcent de ne pas faire passer le message qu'elles vont desserrer trop tôt les taux d'intérêt, ce qui a plus de comportement des consommateurs en disant: nous allons réduire les taux l'an prochain, ne vous inquiétez pas.
Dépensez en conséquence!
Les banques s'efforcent d'adopter une attitude ferme, face à l'inflation.
C'est une attitude, mais en définitive, le marché obligataire a refusé de ne pas tenir compte la perspective de coupure en 2024. Nous verrons.
Ce cycle a été caractérisé par un report des prévisions de coupure par le marché obligataire, cette fois-ci, je dirais que nous sommes convaincus que ces pronostics se réaliseront vraisemblablement.
Nous avons sans doute atteint le sommet de la courbe des taux. Il existe un risque, mais nous sommes favorables à l'hypothèse que le cycle des hausses de taux en Amérique du Nord a pris fin.
Par rapport à l'hypothèse de nouvelles hausses.
On ne peut pas être certain.
Mais nous sommes de plus en plus convaincus.
- Donc, la Fed va s'exprimer le mois prochain en septembre.
Mais il y aura la conférence de Jackson Hole d'ici quelques semaines.
Autrefois, on en parlait comme étant une conférence sans intérêt, mais l'an dernier Jérôme Powell a fait un discours extrêmement ferme. Bref, très sévère. Les marchés ont réagi vivement. Est-ce que vous pensez que quelque chose de ce genre se passera cette année?
- L'an dernier, le cycle de hausse de taux venait de commencer et les hausses de taux prennent du temps à se répercuter. Il y a un décalage.
À Jackson Hole, un message fort fut transmis. Cette année, on est en plein milieu.
On peut en règle générale penser qu'il y a 18 mois avant que l'impact des hausses de taux se traduise sur le marché. Nous en sommes au neuvième, 10e ou 11e mois. Nous n'y sommes pas encore.
Quant à l'effet intégral des hausses de taux sur l'économie.
- La conférence de Jackson Hole est délicate pour la Fed.
Au niveau des messages qu'elle le veut transmettre. À cette conférence ici, nous prévoyons qu'il y aura un message plus neutre. Toutefois, s'il y a une surprise à Jackson Hole, cela va sans doute faire évoluer les marchés, car les milieux financiers prévoient moins de surprises.
Ils ne sont pas prêts.
Donc l'avenir nous l'apprendra, mais je pense qu'il n'y aura pas suffisamment de données pour que la Fed puisse évoquer en toute confiance la possibilité d'une baisse.
Outre les statistiques d'inflation parues aujourd'hui, qui vous inspire la suggestion de maintenir le cap, il y a des statistiques de l'emploi aux États-Unis.
J'étais en vacances mais je cherche à suivre les manchettes.
L'emploi était sa porte moins bien que prévu.
- Oui.
Il y a un certain recul, certaine mollissement aussi bien aux États-Unis au Canada dans le secteur de l'emploi.
En définitive, il y a des licenciements.
De grandes compagnies annoncent des licenciements.
Et c'est une question de temps avant que cela ne se répercute sur les données.
On ne voit pas d'annonce de projets d'embauche à grande échelle. Il y a un équilibre ou au retour à l'équilibre entre l'offre et la demande sur le marché du travail.
Donc, en définitive, il se produit un phénomène dans les bénéfices des entreprises: la croissance du chiffre d'affaires d'excellents de la croissance des bénéfices est médiocre.
Conclusion: même si les entreprises peuvent transmettre les hausses de prix de revient, en espérant que les consommateurs les accepteront, elles ne sont pas en mesure de répercuter l'intégralité de la hausse de leur prix de revient. En définitive, si les bénéfices n'augmentent pas, mais que les charges croissent, cela représente un problème de prix de revient.
Et ce sont des pressions qui s'exercent en faveur des licenciements.
Et puis il y a un effet de décalage à ce niveau. Il y a les licenciements et puis la baisse des pressions relatives à l'inflation des salaires, c'est un autre décalage.
Nous attendons.
Les données sur l'emploi ne démontrent pas une Les données sur l'emploi ne démontrent pas une licenciement que le recrutement, et l'écart entre la croissance des revenus et la croissance des bénéfices n'est pas une donnée fondamentale favorable pour la progression des salaires et on n'en revient à l'argument du décalage.
Les dégâts s'en suivront après les hausses de taux. Nous sommes dans l'attente, nous nous rapprochons, nous avons dépassé la moitié du chemin.
Nous en sommes en fin de cycle. Nous nous rapprochons de la période où les coupures de taux seront à l'ordre du jour mais l'année nous l'apprendra.
Le seul le risque cette regain économique à l'automne ce qui nous étonnerait.
Qu'on vient d'entendre Chris Whelan, stratège à Valeurs Mobilières TD. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
La forte demande de voyages a permis à Air Canada de renouer avec la rentabilité au cours du dernier trimestre. Le transporteur annonce un bond de 36 % de ses recettes d'exploitation à 5,4 3 milliards de dollars pour les trois mois.
Air Canada a reconnu avoir des difficultés en juin et juillet au niveau des retards de vols, de la météo difficile et des problèmes liés à la chaîne d'approvisionnement.
Les actions de (...) sont-elles sous pression à la suite de l'apparition des derniers bénéfices de l'entreprise.
Le titre recul de trois et demis pour cent.
Indicateur clés des a baissé de 11 % sur 12 mois, alors que le consommateur délaisse les articles discrétionnaires tels que les matelas face à l'augmentation du coût de la vie.
Les actions de l'opérateur canadien de satellite de télécommunications Telsat rebondissent aujourd'hui. La compagnie a annoncé des économies de 2 milliards de dollars sur ses coûts d'investissement en proportion de fournisseurs pour son nouveau réseau. Voyez que l'action bondit de 30 %. Telsat affirme son réseau d'Internet mondial sera fourni par la société canadienne MDA.
Un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite progresse modestement de 35; ce dernier jour de bourse de la semaine un peu moins de 50 %.
Et aux États-Unis, les investisseurs assimilent différentes statistiques de l'inflation. L'IPC paraît cette semaine, les chiffres des prix des producteurs annoncés aujourd'hui, conséquence continuera la Fed le mois prochain.
Ce que affirmera le gouverneur à Jackson Hole. L'indice CPT recule de cinq points.
Une saison estivale chargée en voyages, va revenir au niveau d'avant la pandémie.
Cette croissance reflète tellement les actions des compagnies aériennes?
David Mau gestionnaire de portefeuille Gestion de Placements TD commente.
- Vous avez raison, la demande de voyage est au rendez-vous. A renoué avec les niveaux d'avant 2020.
Mais la croissance des revenus prévus pour 2023 sera supérieure à celle de 2019.
Mais comme vous l'avez dit, les actions des compagnies aériennes sont cotées largement en deçà de leur niveau de 2019.
En fait, les cours des actions de compagnies aériennes sont inférieurs de 30 à 50 % à ce qu'ils étaient en 2019.
Il y a certaines raisons à cela mais le principal, c'est que les dépenses ont beaucoup augmenté. Cela signifie que la rentabilité de ces compagnies aériennes abaissait même si le chiffre d'affaires plus élevées, les bénéfices sont plus bas.
Le coût du carburant a augmenté, le coût de la main-d'œuvre aussi, dans cette conjoncture inflationniste, les frais d'exploitations généraux sont beaucoup plus élevés qu'ils ne l'étaient il y a quatre ans, en 2019.
Cela se reflète sur le cours des actions.
Il y a un autre facteur dont les marchés tiennent compte, c'est la récession annoncée depuis deux ans qui ne s'est pas encore vraiment concrétisée.
Mais qui plombe également le cours des actions.
- J'imagine que l'inquiétude face à une récession dont on parle si longtemps, on l'attend encore, on espère peut-être qu'elle n'arrivera jamais, on espère un atterrissage en douceur, mais si récession il y a, elle survient au moment même où les compagnies aériennes renouent avec la croissance. Une autre raison de ne pas voyager.
- Une autre raison pour les gens de ne pas voyager. Rappelez-vous qu'en 2020, 2021, début 2022, c'était une époque très difficile pour les compagnies aériennes.
Elles ont perdu des milliards de dollars et n'ont pas encore refait ses pertes.
Cela reflète également le cours des actions.
Quant aux destinations de voyage, il y a une différence entre les voyages intérieurs et à l'étranger.
Lequel gagne?
Les voyages internationaux offrent des perspectives beaucoup plus prometteuses.
Rappelez-vous 2022, l'an dernier, c'était la première année complète pendant laquelle il était possible de voyager.
La plupart des déplacements étaient intérieurs.
C'étaient des voyages à l'intérieur du pays.
Mais les voyages à l'étranger étaient entravés par de nombreuses restrictions liées à la COVID qui avaient été mis en œuvre par un certain nombre de pays.
Il fallait porter un masque à l'aéroport, à bord de l'avion, il y avait des quarantaines, des exigences de vaccination, tous ces éléments ont entravé l'essor des déplacements à l'étranger.
Mais la plupart de ces restrictions ont été abrogées au milieu de l'année dernière.
À l'heure actuelle, beaucoup de gens ayant accompli le voyage à l'autre bout du pays pour visiter grand-maman vont se payer le voyage en Asie ou des vacances au soleil et qu'ils avaient dû reporter.
Ce qui est reflété dans les chiffres des déplacements, c'est que la demande de voyage intérieur commence à diminuer beaucoup. Les résultats du deuxième trimestre pour la plupart des grandes compagnies aériennes américaines de transporteurs régionaux sortent Ouest, jet Blue, Alaska Airlines, ont obtenu de bons résultats au deuxième trimestre dépasse les attentes.
Mais leurs annonces pour le troisième trimestre et au-delà sont beaucoup moins prometteuses qu'on l'avait supposé.
Si peu prometteuses que la plupart de transporteurs intérieurs vont commencer à réduire le prix des billets d'avion à partir du troisième trimestre après la saison estivale.
- C'est très différent de ce qui passe pour les transporteurs internationaux.
Unitel, Delta, American Airlines qui ont obtenu de bons résultats au deuxième trimestre mais qui ont d'excellentes perspectives pour le troisième.
D'excellentes réservations jusqu'à la fin de l'année, sur les liaisons internationales.
Les transporteurs internationaux ont relevé leurs pronostics de bénéfices pour le reste de l'année alors que les transporteurs intérieurs l'ont baissé.
C'est compréhensible.
Les gens qui ont dû prendre des vacances dans leur pays veulent maintenant aller à l'étranger. Que dire des déplacements d'affaires?
- Ils sont très lucratifs pour les entreprises content tenu du prix des billets d'affaires.
- Est-ce que cela revient?
- Il y a une certaine reprise par comparaison, au niveau de 2019, nous sommes encore en deçà de 15 à 20 % des niveaux de 2019.
Les entreprises sont prudentes face à la perspective d'une récession.
Elles ne veulent pas claquer le budget de déplacement pour l'année elles cherchent à faire preuve de retenue.
Même s'il y a une relance considérable des déplacements d'affaires, nous n'en sommes pas encore au niveau d'il y a quelques années.
- On a parlé de hausse du coût des compagnies aériennes, et les coûts les plus importants et le carburant. Le cours du pétrole est plus bas qu'il ne l'était l'an dernier, mais ça ne compense pas les autres pressions.
- Les cours du carburant cette année sont un facteur favorable.
En 2022, le cours du pétrole avait atteint 120, alors qu'il est aujourd'hui à environ 80. C'est un facteur très favorable.
Le prix beaucoup plus bas. Mais quand on compare à 2019, le pétrole coûtait 60 $ le baril. À 80 $ aujourd'hui, coût du carburant est toujours supérieur d'un tiers.
Depuis 12 mois, coût du carburant effectivement baissé, mais d'autres catégories de dépenses augmentent en revanche le plus important, c'est la main-d'œuvre, coût de la main-d'œuvre.
De fait, quand on considère la répartition des coûts d'exploitation des compagnies aériennes, carburant représente 25 à 30 %, et le personnel 25 %, voire davantage.
Quand ces deux éléments sont plus élevés qu'il ne l'étaient il y a quelques années, cela a un impact considérable sur la rentabilité.
- Voilà le problème actuel est à court terme.
Que dire du moyen du long terme?
Comment les compagnies aériennes présentaient ?
- Je crois qu'elles sont en situation assez favorable, mais elles doivent maîtriser leurs coûts.
Le coût de la main-d'œuvre comme je l'ai dit est très important et la tendance est à la hausse.
Cette tendance semble pas appelée à prendre fin.
Il y a quelques semaines, United a conclu un accord avec ses pilotes dans le traitement a été relevé de 40 % d'ici quatre ans.
American Airlines peu de temps après a conclu une entente semblable.
En effet, il s'agit d'éviter une grève des pilotes qui paralyseraient le réseau.
Ces coûts sont permanents.
Il ne s'agit pas de voir dans quelle mesure les compagnies aériennes peuvent les compenser en relevant les prix des billets, et quelle sera la capacité de riposte des syndicats.
Car il y a des syndicats des pilotes mais aussi les syndicats des aiguilleurs de l'air, du personnel navigant, et les mécaniciens et ainsi de suite.
Tous ces coûts, lorsqu'on les additionne, vont avoir un impact considérable.
- Vous venez d'entendre David Mau gestionnaire de portefeuille à Gestion de Placements TD. Qui s'entretenait à une version barbue de moi-même. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Au cours des dernières émissions, nous avons examiné la fonction de carte thermique de la plateforme avancée conçue pour les négociateurs actifs offerts par Placements directs TD.
Jason Natyk responsable de la formation à Placements directs TD nous explique la (...) de son Stance de fonctionnement.
Expliquez-nous en quoi cela diffère de CourtierWeb.
- Bonjour Greg, comme toujours je suis emballé devant la possibilité de parler de la plateforme avancée.
Comme vous l'avez dit, que vous ce négociateur actif qui cherche un environnement en diffusion en continu en temps réel, pour saisir des commandes et analyse des données de plus efficacement possible, ou bien quelqu'un qui cherche une expérience personnalisée, la plateforme avancée peut vous intéresser.
Allons sur CourtierWeb et montrons comment ouvrir la plateforme. Pour commencer, vous voyez en haut à droite le bouton plateforme avancée.
À partir de là, il suffit de cliquer sur le bouton version Web qui ouvre un onglet différent dans votre navigateur.
Il n'y a pas de pain supplémentaire, tout est disponible dans le navigateur.
Voici pour vous orienter, voyons en haut à gauche le blason TD, à droite, il y a une série d'onglets qui ont été prêts chargés pour l'expérience de chacun pour obtenir des informations sur les comptes, sur les marchés, ou même d'exécuter des ordres.
Une excellente façon de montrer ça consiste à créer notre propre espace de travail adaptable. On clique sur le + à côté du symbole apprentissage, on a la possibilité de choisir différents styles, vous pouvez trouver celui qui vous convient.
Je vais choisir chiffrier flexible. Il faut donner un nom à l'onglet qui va apparaître au sommet de l'écran.
On va choisir MT pour Money Talk, voyons donc l'étiquette en haut de la page.
Ensuite, nous avons les trois + au milieu, c'est là on veut prendre le contrôle et ajouter les éléments qui vous intéressent.
On va commencer par ajouter une liste de veille que l'on trouve sur le menu des négociations. Les listes de veille sont une étape au-delà de ce que CourtierWeb propose.
CourtierWeb, il y a 10 listes avec 10 symboles. Vous n'allez jamais atteindre le plafond de plateforme avancée, vous allez pouvez personnaliser les colonnes.
Vous voyez qu'il y a une mise à jour en temps réel. Ça ressemble à un arbre de Noël avec le rouge et le vert.
On voit les hauts et les bas du marché.
Ensuite, ajoutons une autre caractéristique: les informations sur les entreprises.
Choisissons d'autres menus déroulant nouvel et marché, ensuite, la fonctionnalité qui n'est pas disponible sur CourtierWeb, les nouvelles approfondies du marché.
On peut voir les pressions qui s'exercent de part et d'autres du marché.
Nous n'avons pas achevé de personnaliser.
Nous allons configurer les canaux pour envoyer les informations de notre liste de veille reçue sur le volet nouvelle ainsi que sur analyse approfondie.
Ainsi avec un clic je pourrais cliquer sur un bridge, ma liste de veille, mes informations conceptualisées, et les analyses du marché se mettent à jour.
Il s'agit d'une expérienc personnalisée en temps réel. - C'est extraordinaire!
Excellente introduction à plateforme avancée! Ou peut-on apprendre encore plus sur la plateforme?
- Effectivement il y a tellement à faire sur la plateforme, tellement de capacités.
Vous recevez un soutien à chaque étape.
Tout d'abord, si on revient à la plateforme avancée, nous avons d'ores et déjà préchargé des vidéos éducatives sur demandes qui vous sont très utiles.
À côté de l'onglet moniteur qu'il y a l'onglet apprentissage.
Il existe un certain nombre de leçons ciblées que vous pourrez parcourir et regarder afin de vous permettre d'utiliser ses fonctions intégralement.
Ensuite, il y a une autre façon d'utiliser la plateforme avancée.
Nous organisons toutes sortes de cours, vous voyez qu'il y a les ateliers.
En cliquant sur ce bouton, vous pourrez voir quand nous proposons des cours sur la plateforme avancée. Vous pourrez poser des questions au l'instructeur dans son environnement direct.
- Merci, Jason.
Jason Natyk est formateur à Placements directs TD.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage CourtierWeb vous trouverez encore plus de ressources!
Les actions se sont bien comportées cette année.
Mais pour convaincre les investisseurs à revenir en bourse, que faudra-t-il?
Andres Rincon de Placement TD en discute.
- Oui, il y a une remontée.
Beaucoup d'analystes constatent un ralentissement léger de l'inflation et ce disent c'est peut-être le moment de se lancer en bourse.
En revanche, dans les flux, nous n'avons pas encore vu.
Dans le secteur des FNB au Canada par exemple, 13 milliards de dollars de flux vers les titres à revenu fixe.
Par comparaison à 7 milliards vers les FNB d'action.
Vous vous direz: c'est peut-être les quelques derniers mois dont je parle, mais c'est de toute une année.
Mais l'écart va croissant cette année.
Nous en sommes à cinq à 6 milliards de dollars d'écarts et nous prévoyons que l'écart entre les flux vers les FNB de titres à revenu fixe et sur les FNB d'action s'accroîtra.
Il y a eu 1,4 milliards de dollars des temps simplement au mois d'août. C'est vraiment extraordinaire. C'est un changement de dynamique dans le secteur des placements directs ainsi que dans le secteur déplacement conseiller.
Les rendements procurés par les titres à revenu fixe sont tellement attractifs que beaucoup de fonds y affluent.
- Quel genre de produits de FNB?
Il y a plusieurs catégories de produits de titres à revenu fixe, quel intérêt l'intéresse plus les investisseurs?
- C'est assez général mais il y a deux domaines il y a eu beaucoup de flux. Tout d'abord les FNB de gestion de trésorerie.
Ce sont des FNB d'épargne intérêt élevée.
Essentiellement, ce sont des dépôts bancaires proposés par les compagnies de fonction très populaire, rapporteur général 5 %.
Il y a beaucoup de flux en raison de 4,8 milliards de dollars cette année seulement.
Beaucoup d'argent à financer FNB, lesquels sont à faible risque. Ils détiennent des dépôts bancaires.
Il y a les FNB du marché monétaire, les produits à ultra court terme.
Qui détiennent des bons du trésor, des titres du marché monétaire et les commanditaires attirent beaucoup les investisseurs parce qu'ils offrent des rendements très élevés.
Il y a les placements traditionnels à titre rendements élevé, les obligations, l'obligation rendements élevée ainsi de suite.
Qu'est-ce que les investisseurs doivent savoir?
Bien sûr le rendement attire, mais ce rendement n'est pas garanti pour toujours.
- Bien sûr. Si les taux d'intérêt commencent à baisser, puisque l'inflation sera maîtrisée, les taux versés par ces FNB vont baisser également.
Parlant de certains secteurs du marché que vous avez évoqué et que je ne connais pas bien.
Les fonds tampons et accélérateurs.
De quoi s'agit-il?
- Ce sont des fonctions devenus très populaires aux États-Unis et qui le deviendront longtemps au Canada.
Il y a la compagnie de FNB Innovator ce qui le chef de file Canada.
Il y a First Trust qui en a inauguré une ou deux et maintenant BMO vont proposer davantage.
C'est très populaire au niveau des caisses de retraite.
Et des retraités.
Parce que ces produits offrent un résultat défini contre mon fonds traditionnel, qui augmente et baisse du marché, ces commanditaires utilisent différentes stratégies pour parvenir à des résultats bien définis. Certains offrent une protection intégrale, d'autres une protection limitée, d'autres leviers accélérés. Ce sont des fonds accélérateurs, et aussi les fonds tampons, on peut ajuster le levier et les tampons.
Cela vous donne une exposition au marché, mais avec un résultat différent. Admettons que vous avez un tampon de 10 % à la baisse, un plafonnement de 15 % à la hausse, si vous détenez ce produit pendant deux ans, vous pourriez avoir une certitude de gain avec une limite à la baisse ou bien une protection intégrale contre les baisses et importations limitées à la hausse.
Dans le cas de l'accélérateur, vous pourriez avoir un peu plus de levier, mais un encaissement des baisses intégrales.
Il y a de nombreuses façons de donner aux investisseurs une exposition marchée et c'est devenu beaucoup plus populaire au niveau des investisseurs qui sont proches de l'âge de la retraite et s'inquiètent de la protection contre les baisses.
- Quand vous parlez de levier, je pense à certaines mises en garde qui doivent être données.
Certains de ces produits sont un levier.
- Avec le levier bien sûr il y a un lieu via là aussi parfois un levier à la baisse. La plupart de ces produits ont une exposition intégrale aux baisses, mais surtout le produit accélérateur. Y en a qui ont un effet de levier dans les baisses également. Sans entrer dans le détail, les produits tampons sont en général apprécié au moment où ils sont inaugurés.
Non pas un mois ou deux mois plus tard, parce que leur valeur évolue au fur et à mesure que les marchés évoluent. Si les marchés sont en hausse de 10 %, le tampon sera plus bas de 10 % il y a donc une baisse dans ses scénarios.
Ce sont des produits compliqués, pas aussi facile à comprendre, mais sont devenus très populaires.
- Merci pour ce secteur qu'il conviendrait peut-être d'approfondir.
Je vous rappelle que Andres Rincon a une émission qui s'appelle Buyside Views où ils sont passés les dirigeants des sociétés de fonds.
Le dernier épisode a paru hier et met en vedette Mike Macbain d'East Coast Fund Management.
Il a justement parlé du manque de diversification des investisseurs. Sachez que ce produit, c'est que je n'ai pas d'exposition aux taux d'intérêt.
Il n'y a pas de corrélation avec les taux d'intérêt.
Ce qui crée un profil de risque distinct.
Presque toutes les autres catégories d'actifs dans lesquels les clients investissent aujourd'hui, à cause de l'intervention des banques centrales, presque toutes les autres catégories d'actifs sont corrélées au taux d'intérêt.
Vous pensez que vous avez un portefeuille diversifié de 60 40, mais ce n'est pas vraiment le cas. Vous avez un portefeuille extrêmement corrélé.
Et cela s'est bien vu en 2022.
Des commentaires importants de Mike Macbain sur le portefeuille 60 40 qui n'est pas aussi diversifié qu'on le penserait.
Parlons un peu plus de cette émission.
Vous invitez des gestionnaires de fonds?
- Buyside Views accueille des invités qui nous donnent leur point de vue sur le marché. Nous avons eu la chance de pouvoir rencontrer Mike Macbain, chef de la direction ce déplacement d'East Coast Fund Management.
Il s'est entretenu avec nous des produits alternatifs à revenu fixe.
Le rôle dans le portefeuille les risques et les avantages de ce secteur.
J'encourage aux téléspectateurs assister à cette émission qui passe sur ce petit frère, sur Google, en balado, vous nous trouverez sur Buyside Views à Valeurs Mobilières TD.
- Vous venez d'entendre Andres Rincon de Valeurs Mobilières TD.
À présent, une mise à jour sur les marchés.
Voici la fonction de carte thermique de la plateforme avancée qui donne une idée du marché.
L'indice TSX de 60 en fonction du prix et du volume.
Il y a beaucoup de verres à l'écran, c'est le tracteur de l'énergie qui progresse y comprit Cenovus sont en hausse d'un 1/3 %.
Tourmaline de plus de 1 %. Il n'y a pas que le pétrole et le gaz.
Cameco dans le coin inférieur droit le producteur d'uranium progresse de près de 2 %.
Tout n'est pas vert à l'écran, MG Magna le fabricant de pièces automobiles recule plus de 2 %.
Et Shopify qui a eu des difficultés depuis l'annonce de ses bénéfices trimestriels la semaine dernière recule de 2 %.
On peut visualiser d'autres indices.
Le S&P 500 aux États-Unis, les fabricants de puces sont sous pression.
NVIDIA est en baisse de près de 3 %.
Et à côté, AMD Advanced Micro Devices est en baisse de 3 %.
Le secteur de l'énergie et en progression y compris Bank of America, en hausse de plus de 1 %.
Vous pouvez obtenir davantage d'informations sur la plateforme avancée en vous rendant sur le site de Placements directs TD. Lundi, Tarik Aeata analyste de soins de santé à gestion de placements répondra à vos questions sur le secteur des soins de santé.
Vous pouvez nous les poser déjà par courriel, moneytalklivetd.com.
Au nom de toute l'équipe de Parlons Argent en direct, merci et à lundi!
Bienvenue à Parlons Argent en direct. une émission de Placements directs TD.
Aujourd'hui, Chris Whelan de Valeurs Mobilières TD nous dira si la Fed est susceptible de maintenir ses taux en septembre après le rapport sur l'inflation de cette semaine.
David Mau de Gestion de Placements TD nous donne son point de vue sur les voyages.
Les compagnies aériennes ou alors nous les voyagerons de la vigueur. Andres Rincon de Valeurs Mobilières TD commente les tendances dans le secteur des fonds négociés en bourse. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Jason Natyk nous explique le fonctionnement de la plateforme avancée et la différence par rapport à CourtierWeb. Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
Dernier jour de bourse de la semaine, la situation est mitigée. Indice TSX composite progresse modestement de 10.
, 0,05 %. Parmi les titres les plus activement négociés, Baytex Energy qui progresse quelque peu dans le contexte du raffermissement du cours du brut de référence américain.
Baytex progresse de plus de 2 % à 5,60 $ l'action.
Quelques faiblesses dans Magna International, fabricant de pièces automobiles à 70,52 $ recule un peu plus de 2 %.
Aux États-Unis, les statistiques de l'inflation aux États-Unis ont paru cette semaine.
Cette dernière augmente un peu, mais moins que prévu. Aujourd'hui, on parlait statistiques sur les prix de gros États-Unis ont augmenté également, davantage que prévu, les marchés se temps d'assimiler ces informations.
CCP TSX progresse de sept, presque 50 %.
L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie recule dans une légèrement plus large mesure, 113; soit presque 1 %.
Advanced Micro Devices, le fabricant de puces s'est très bien comporté cette année. Dans le contexte de l'essor de l'intelligence artificielle.
AMD recule toutefois de près de 3 %.
Bien sûr, l'inflation est en tête de la préoccupation des investisseurs cette année.
Les chiffre de l'IPC parus hier et ce matin, les statistiques sur les prix de gros ont été publiées. Ils ont augmenté au mois de juillet, un peu plus que prévu, après les statistiques de l'IPC d'hier qui ont montré une légère hausse des prix à la consommation, pas aussi important que les milieux financiers l'avaient prévu.
Je me suis entretenu avec Chris Whelan responsable des stratégies de portefeuille Gestion de Placements TD.
Rien n'a changé, il s'agit de persévérer sur la même trajectoire. Les marchés ne réagissent pas tellement.
Il n'y a vraiment pas de conclusions à en tirer.
Nous en avons parlé dans le passé, nous sommes en mode d'attente et les décisions sont prises en fonction des statistiques.
Nous sommes en récession mondiale du secteur manufacturier. Nous attendons que le secteur des services bascule.
Nous pensons que ce sera le cas, mais cela reste encore à se réaliser.
C'est le facteur le plus important au cours des mois à venir.
Nous prévoyons qu'il n'y aura pas de hausse de taux supplémentaire au Canada, ni aux États-Unis.
Nous sommes convaincus de ce pronostic se réalisera d'ici un mois ou deux.
Au-delà, il faudrait qu'il y ait des données étonnantes, notamment un regain de l'activité économique à l'automne et à l'hiver pour que nous changions d'avis.
Quant à la fin du cycle de hausse de taux, sachez que nous attendons, mais le secteur manufacturier est en mauvaise posture.
Vous avez parlé d'une récession du secteur manufacturier, vous attendez que le secteur des services bascule. Les banques centrales ont déclaré qu'une fois parvenues au niveau des taux, elles maintiendront ceci pendant assez longtemps. Si le secteur manufacturier faiblit, le secteur des services aussi, combien longtemps ces taux restrictifs peuvent être maintenus?
- Je pense que lorsque les banques déclarent qu'elles veulent maintenir les taux à un niveau élevé, elles s'efforcent de ne pas faire passer le message qu'elles vont desserrer trop tôt les taux d'intérêt, ce qui a plus de comportement des consommateurs en disant: nous allons réduire les taux l'an prochain, ne vous inquiétez pas.
Dépensez en conséquence!
Les banques s'efforcent d'adopter une attitude ferme, face à l'inflation.
C'est une attitude, mais en définitive, le marché obligataire a refusé de ne pas tenir compte la perspective de coupure en 2024. Nous verrons.
Ce cycle a été caractérisé par un report des prévisions de coupure par le marché obligataire, cette fois-ci, je dirais que nous sommes convaincus que ces pronostics se réaliseront vraisemblablement.
Nous avons sans doute atteint le sommet de la courbe des taux. Il existe un risque, mais nous sommes favorables à l'hypothèse que le cycle des hausses de taux en Amérique du Nord a pris fin.
Par rapport à l'hypothèse de nouvelles hausses.
On ne peut pas être certain.
Mais nous sommes de plus en plus convaincus.
- Donc, la Fed va s'exprimer le mois prochain en septembre.
Mais il y aura la conférence de Jackson Hole d'ici quelques semaines.
Autrefois, on en parlait comme étant une conférence sans intérêt, mais l'an dernier Jérôme Powell a fait un discours extrêmement ferme. Bref, très sévère. Les marchés ont réagi vivement. Est-ce que vous pensez que quelque chose de ce genre se passera cette année?
- L'an dernier, le cycle de hausse de taux venait de commencer et les hausses de taux prennent du temps à se répercuter. Il y a un décalage.
À Jackson Hole, un message fort fut transmis. Cette année, on est en plein milieu.
On peut en règle générale penser qu'il y a 18 mois avant que l'impact des hausses de taux se traduise sur le marché. Nous en sommes au neuvième, 10e ou 11e mois. Nous n'y sommes pas encore.
Quant à l'effet intégral des hausses de taux sur l'économie.
- La conférence de Jackson Hole est délicate pour la Fed.
Au niveau des messages qu'elle le veut transmettre. À cette conférence ici, nous prévoyons qu'il y aura un message plus neutre. Toutefois, s'il y a une surprise à Jackson Hole, cela va sans doute faire évoluer les marchés, car les milieux financiers prévoient moins de surprises.
Ils ne sont pas prêts.
Donc l'avenir nous l'apprendra, mais je pense qu'il n'y aura pas suffisamment de données pour que la Fed puisse évoquer en toute confiance la possibilité d'une baisse.
Outre les statistiques d'inflation parues aujourd'hui, qui vous inspire la suggestion de maintenir le cap, il y a des statistiques de l'emploi aux États-Unis.
J'étais en vacances mais je cherche à suivre les manchettes.
L'emploi était sa porte moins bien que prévu.
- Oui.
Il y a un certain recul, certaine mollissement aussi bien aux États-Unis au Canada dans le secteur de l'emploi.
En définitive, il y a des licenciements.
De grandes compagnies annoncent des licenciements.
Et c'est une question de temps avant que cela ne se répercute sur les données.
On ne voit pas d'annonce de projets d'embauche à grande échelle. Il y a un équilibre ou au retour à l'équilibre entre l'offre et la demande sur le marché du travail.
Donc, en définitive, il se produit un phénomène dans les bénéfices des entreprises: la croissance du chiffre d'affaires d'excellents de la croissance des bénéfices est médiocre.
Conclusion: même si les entreprises peuvent transmettre les hausses de prix de revient, en espérant que les consommateurs les accepteront, elles ne sont pas en mesure de répercuter l'intégralité de la hausse de leur prix de revient. En définitive, si les bénéfices n'augmentent pas, mais que les charges croissent, cela représente un problème de prix de revient.
Et ce sont des pressions qui s'exercent en faveur des licenciements.
Et puis il y a un effet de décalage à ce niveau. Il y a les licenciements et puis la baisse des pressions relatives à l'inflation des salaires, c'est un autre décalage.
Nous attendons.
Les données sur l'emploi ne démontrent pas une Les données sur l'emploi ne démontrent pas une licenciement que le recrutement, et l'écart entre la croissance des revenus et la croissance des bénéfices n'est pas une donnée fondamentale favorable pour la progression des salaires et on n'en revient à l'argument du décalage.
Les dégâts s'en suivront après les hausses de taux. Nous sommes dans l'attente, nous nous rapprochons, nous avons dépassé la moitié du chemin.
Nous en sommes en fin de cycle. Nous nous rapprochons de la période où les coupures de taux seront à l'ordre du jour mais l'année nous l'apprendra.
Le seul le risque cette regain économique à l'automne ce qui nous étonnerait.
Qu'on vient d'entendre Chris Whelan, stratège à Valeurs Mobilières TD. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
La forte demande de voyages a permis à Air Canada de renouer avec la rentabilité au cours du dernier trimestre. Le transporteur annonce un bond de 36 % de ses recettes d'exploitation à 5,4 3 milliards de dollars pour les trois mois.
Air Canada a reconnu avoir des difficultés en juin et juillet au niveau des retards de vols, de la météo difficile et des problèmes liés à la chaîne d'approvisionnement.
Les actions de (...) sont-elles sous pression à la suite de l'apparition des derniers bénéfices de l'entreprise.
Le titre recul de trois et demis pour cent.
Indicateur clés des a baissé de 11 % sur 12 mois, alors que le consommateur délaisse les articles discrétionnaires tels que les matelas face à l'augmentation du coût de la vie.
Les actions de l'opérateur canadien de satellite de télécommunications Telsat rebondissent aujourd'hui. La compagnie a annoncé des économies de 2 milliards de dollars sur ses coûts d'investissement en proportion de fournisseurs pour son nouveau réseau. Voyez que l'action bondit de 30 %. Telsat affirme son réseau d'Internet mondial sera fourni par la société canadienne MDA.
Un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite progresse modestement de 35; ce dernier jour de bourse de la semaine un peu moins de 50 %.
Et aux États-Unis, les investisseurs assimilent différentes statistiques de l'inflation. L'IPC paraît cette semaine, les chiffres des prix des producteurs annoncés aujourd'hui, conséquence continuera la Fed le mois prochain.
Ce que affirmera le gouverneur à Jackson Hole. L'indice CPT recule de cinq points.
Une saison estivale chargée en voyages, va revenir au niveau d'avant la pandémie.
Cette croissance reflète tellement les actions des compagnies aériennes?
David Mau gestionnaire de portefeuille Gestion de Placements TD commente.
- Vous avez raison, la demande de voyage est au rendez-vous. A renoué avec les niveaux d'avant 2020.
Mais la croissance des revenus prévus pour 2023 sera supérieure à celle de 2019.
Mais comme vous l'avez dit, les actions des compagnies aériennes sont cotées largement en deçà de leur niveau de 2019.
En fait, les cours des actions de compagnies aériennes sont inférieurs de 30 à 50 % à ce qu'ils étaient en 2019.
Il y a certaines raisons à cela mais le principal, c'est que les dépenses ont beaucoup augmenté. Cela signifie que la rentabilité de ces compagnies aériennes abaissait même si le chiffre d'affaires plus élevées, les bénéfices sont plus bas.
Le coût du carburant a augmenté, le coût de la main-d'œuvre aussi, dans cette conjoncture inflationniste, les frais d'exploitations généraux sont beaucoup plus élevés qu'ils ne l'étaient il y a quatre ans, en 2019.
Cela se reflète sur le cours des actions.
Il y a un autre facteur dont les marchés tiennent compte, c'est la récession annoncée depuis deux ans qui ne s'est pas encore vraiment concrétisée.
Mais qui plombe également le cours des actions.
- J'imagine que l'inquiétude face à une récession dont on parle si longtemps, on l'attend encore, on espère peut-être qu'elle n'arrivera jamais, on espère un atterrissage en douceur, mais si récession il y a, elle survient au moment même où les compagnies aériennes renouent avec la croissance. Une autre raison de ne pas voyager.
- Une autre raison pour les gens de ne pas voyager. Rappelez-vous qu'en 2020, 2021, début 2022, c'était une époque très difficile pour les compagnies aériennes.
Elles ont perdu des milliards de dollars et n'ont pas encore refait ses pertes.
Cela reflète également le cours des actions.
Quant aux destinations de voyage, il y a une différence entre les voyages intérieurs et à l'étranger.
Lequel gagne?
Les voyages internationaux offrent des perspectives beaucoup plus prometteuses.
Rappelez-vous 2022, l'an dernier, c'était la première année complète pendant laquelle il était possible de voyager.
La plupart des déplacements étaient intérieurs.
C'étaient des voyages à l'intérieur du pays.
Mais les voyages à l'étranger étaient entravés par de nombreuses restrictions liées à la COVID qui avaient été mis en œuvre par un certain nombre de pays.
Il fallait porter un masque à l'aéroport, à bord de l'avion, il y avait des quarantaines, des exigences de vaccination, tous ces éléments ont entravé l'essor des déplacements à l'étranger.
Mais la plupart de ces restrictions ont été abrogées au milieu de l'année dernière.
À l'heure actuelle, beaucoup de gens ayant accompli le voyage à l'autre bout du pays pour visiter grand-maman vont se payer le voyage en Asie ou des vacances au soleil et qu'ils avaient dû reporter.
Ce qui est reflété dans les chiffres des déplacements, c'est que la demande de voyage intérieur commence à diminuer beaucoup. Les résultats du deuxième trimestre pour la plupart des grandes compagnies aériennes américaines de transporteurs régionaux sortent Ouest, jet Blue, Alaska Airlines, ont obtenu de bons résultats au deuxième trimestre dépasse les attentes.
Mais leurs annonces pour le troisième trimestre et au-delà sont beaucoup moins prometteuses qu'on l'avait supposé.
Si peu prometteuses que la plupart de transporteurs intérieurs vont commencer à réduire le prix des billets d'avion à partir du troisième trimestre après la saison estivale.
- C'est très différent de ce qui passe pour les transporteurs internationaux.
Unitel, Delta, American Airlines qui ont obtenu de bons résultats au deuxième trimestre mais qui ont d'excellentes perspectives pour le troisième.
D'excellentes réservations jusqu'à la fin de l'année, sur les liaisons internationales.
Les transporteurs internationaux ont relevé leurs pronostics de bénéfices pour le reste de l'année alors que les transporteurs intérieurs l'ont baissé.
C'est compréhensible.
Les gens qui ont dû prendre des vacances dans leur pays veulent maintenant aller à l'étranger. Que dire des déplacements d'affaires?
- Ils sont très lucratifs pour les entreprises content tenu du prix des billets d'affaires.
- Est-ce que cela revient?
- Il y a une certaine reprise par comparaison, au niveau de 2019, nous sommes encore en deçà de 15 à 20 % des niveaux de 2019.
Les entreprises sont prudentes face à la perspective d'une récession.
Elles ne veulent pas claquer le budget de déplacement pour l'année elles cherchent à faire preuve de retenue.
Même s'il y a une relance considérable des déplacements d'affaires, nous n'en sommes pas encore au niveau d'il y a quelques années.
- On a parlé de hausse du coût des compagnies aériennes, et les coûts les plus importants et le carburant. Le cours du pétrole est plus bas qu'il ne l'était l'an dernier, mais ça ne compense pas les autres pressions.
- Les cours du carburant cette année sont un facteur favorable.
En 2022, le cours du pétrole avait atteint 120, alors qu'il est aujourd'hui à environ 80. C'est un facteur très favorable.
Le prix beaucoup plus bas. Mais quand on compare à 2019, le pétrole coûtait 60 $ le baril. À 80 $ aujourd'hui, coût du carburant est toujours supérieur d'un tiers.
Depuis 12 mois, coût du carburant effectivement baissé, mais d'autres catégories de dépenses augmentent en revanche le plus important, c'est la main-d'œuvre, coût de la main-d'œuvre.
De fait, quand on considère la répartition des coûts d'exploitation des compagnies aériennes, carburant représente 25 à 30 %, et le personnel 25 %, voire davantage.
Quand ces deux éléments sont plus élevés qu'il ne l'étaient il y a quelques années, cela a un impact considérable sur la rentabilité.
- Voilà le problème actuel est à court terme.
Que dire du moyen du long terme?
Comment les compagnies aériennes présentaient ?
- Je crois qu'elles sont en situation assez favorable, mais elles doivent maîtriser leurs coûts.
Le coût de la main-d'œuvre comme je l'ai dit est très important et la tendance est à la hausse.
Cette tendance semble pas appelée à prendre fin.
Il y a quelques semaines, United a conclu un accord avec ses pilotes dans le traitement a été relevé de 40 % d'ici quatre ans.
American Airlines peu de temps après a conclu une entente semblable.
En effet, il s'agit d'éviter une grève des pilotes qui paralyseraient le réseau.
Ces coûts sont permanents.
Il ne s'agit pas de voir dans quelle mesure les compagnies aériennes peuvent les compenser en relevant les prix des billets, et quelle sera la capacité de riposte des syndicats.
Car il y a des syndicats des pilotes mais aussi les syndicats des aiguilleurs de l'air, du personnel navigant, et les mécaniciens et ainsi de suite.
Tous ces coûts, lorsqu'on les additionne, vont avoir un impact considérable.
- Vous venez d'entendre David Mau gestionnaire de portefeuille à Gestion de Placements TD. Qui s'entretenait à une version barbue de moi-même. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Au cours des dernières émissions, nous avons examiné la fonction de carte thermique de la plateforme avancée conçue pour les négociateurs actifs offerts par Placements directs TD.
Jason Natyk responsable de la formation à Placements directs TD nous explique la (...) de son Stance de fonctionnement.
Expliquez-nous en quoi cela diffère de CourtierWeb.
- Bonjour Greg, comme toujours je suis emballé devant la possibilité de parler de la plateforme avancée.
Comme vous l'avez dit, que vous ce négociateur actif qui cherche un environnement en diffusion en continu en temps réel, pour saisir des commandes et analyse des données de plus efficacement possible, ou bien quelqu'un qui cherche une expérience personnalisée, la plateforme avancée peut vous intéresser.
Allons sur CourtierWeb et montrons comment ouvrir la plateforme. Pour commencer, vous voyez en haut à droite le bouton plateforme avancée.
À partir de là, il suffit de cliquer sur le bouton version Web qui ouvre un onglet différent dans votre navigateur.
Il n'y a pas de pain supplémentaire, tout est disponible dans le navigateur.
Voici pour vous orienter, voyons en haut à gauche le blason TD, à droite, il y a une série d'onglets qui ont été prêts chargés pour l'expérience de chacun pour obtenir des informations sur les comptes, sur les marchés, ou même d'exécuter des ordres.
Une excellente façon de montrer ça consiste à créer notre propre espace de travail adaptable. On clique sur le + à côté du symbole apprentissage, on a la possibilité de choisir différents styles, vous pouvez trouver celui qui vous convient.
Je vais choisir chiffrier flexible. Il faut donner un nom à l'onglet qui va apparaître au sommet de l'écran.
On va choisir MT pour Money Talk, voyons donc l'étiquette en haut de la page.
Ensuite, nous avons les trois + au milieu, c'est là on veut prendre le contrôle et ajouter les éléments qui vous intéressent.
On va commencer par ajouter une liste de veille que l'on trouve sur le menu des négociations. Les listes de veille sont une étape au-delà de ce que CourtierWeb propose.
CourtierWeb, il y a 10 listes avec 10 symboles. Vous n'allez jamais atteindre le plafond de plateforme avancée, vous allez pouvez personnaliser les colonnes.
Vous voyez qu'il y a une mise à jour en temps réel. Ça ressemble à un arbre de Noël avec le rouge et le vert.
On voit les hauts et les bas du marché.
Ensuite, ajoutons une autre caractéristique: les informations sur les entreprises.
Choisissons d'autres menus déroulant nouvel et marché, ensuite, la fonctionnalité qui n'est pas disponible sur CourtierWeb, les nouvelles approfondies du marché.
On peut voir les pressions qui s'exercent de part et d'autres du marché.
Nous n'avons pas achevé de personnaliser.
Nous allons configurer les canaux pour envoyer les informations de notre liste de veille reçue sur le volet nouvelle ainsi que sur analyse approfondie.
Ainsi avec un clic je pourrais cliquer sur un bridge, ma liste de veille, mes informations conceptualisées, et les analyses du marché se mettent à jour.
Il s'agit d'une expérienc personnalisée en temps réel. - C'est extraordinaire!
Excellente introduction à plateforme avancée! Ou peut-on apprendre encore plus sur la plateforme?
- Effectivement il y a tellement à faire sur la plateforme, tellement de capacités.
Vous recevez un soutien à chaque étape.
Tout d'abord, si on revient à la plateforme avancée, nous avons d'ores et déjà préchargé des vidéos éducatives sur demandes qui vous sont très utiles.
À côté de l'onglet moniteur qu'il y a l'onglet apprentissage.
Il existe un certain nombre de leçons ciblées que vous pourrez parcourir et regarder afin de vous permettre d'utiliser ses fonctions intégralement.
Ensuite, il y a une autre façon d'utiliser la plateforme avancée.
Nous organisons toutes sortes de cours, vous voyez qu'il y a les ateliers.
En cliquant sur ce bouton, vous pourrez voir quand nous proposons des cours sur la plateforme avancée. Vous pourrez poser des questions au l'instructeur dans son environnement direct.
- Merci, Jason.
Jason Natyk est formateur à Placements directs TD.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage CourtierWeb vous trouverez encore plus de ressources!
Les actions se sont bien comportées cette année.
Mais pour convaincre les investisseurs à revenir en bourse, que faudra-t-il?
Andres Rincon de Placement TD en discute.
- Oui, il y a une remontée.
Beaucoup d'analystes constatent un ralentissement léger de l'inflation et ce disent c'est peut-être le moment de se lancer en bourse.
En revanche, dans les flux, nous n'avons pas encore vu.
Dans le secteur des FNB au Canada par exemple, 13 milliards de dollars de flux vers les titres à revenu fixe.
Par comparaison à 7 milliards vers les FNB d'action.
Vous vous direz: c'est peut-être les quelques derniers mois dont je parle, mais c'est de toute une année.
Mais l'écart va croissant cette année.
Nous en sommes à cinq à 6 milliards de dollars d'écarts et nous prévoyons que l'écart entre les flux vers les FNB de titres à revenu fixe et sur les FNB d'action s'accroîtra.
Il y a eu 1,4 milliards de dollars des temps simplement au mois d'août. C'est vraiment extraordinaire. C'est un changement de dynamique dans le secteur des placements directs ainsi que dans le secteur déplacement conseiller.
Les rendements procurés par les titres à revenu fixe sont tellement attractifs que beaucoup de fonds y affluent.
- Quel genre de produits de FNB?
Il y a plusieurs catégories de produits de titres à revenu fixe, quel intérêt l'intéresse plus les investisseurs?
- C'est assez général mais il y a deux domaines il y a eu beaucoup de flux. Tout d'abord les FNB de gestion de trésorerie.
Ce sont des FNB d'épargne intérêt élevée.
Essentiellement, ce sont des dépôts bancaires proposés par les compagnies de fonction très populaire, rapporteur général 5 %.
Il y a beaucoup de flux en raison de 4,8 milliards de dollars cette année seulement.
Beaucoup d'argent à financer FNB, lesquels sont à faible risque. Ils détiennent des dépôts bancaires.
Il y a les FNB du marché monétaire, les produits à ultra court terme.
Qui détiennent des bons du trésor, des titres du marché monétaire et les commanditaires attirent beaucoup les investisseurs parce qu'ils offrent des rendements très élevés.
Il y a les placements traditionnels à titre rendements élevé, les obligations, l'obligation rendements élevée ainsi de suite.
Qu'est-ce que les investisseurs doivent savoir?
Bien sûr le rendement attire, mais ce rendement n'est pas garanti pour toujours.
- Bien sûr. Si les taux d'intérêt commencent à baisser, puisque l'inflation sera maîtrisée, les taux versés par ces FNB vont baisser également.
Parlant de certains secteurs du marché que vous avez évoqué et que je ne connais pas bien.
Les fonds tampons et accélérateurs.
De quoi s'agit-il?
- Ce sont des fonctions devenus très populaires aux États-Unis et qui le deviendront longtemps au Canada.
Il y a la compagnie de FNB Innovator ce qui le chef de file Canada.
Il y a First Trust qui en a inauguré une ou deux et maintenant BMO vont proposer davantage.
C'est très populaire au niveau des caisses de retraite.
Et des retraités.
Parce que ces produits offrent un résultat défini contre mon fonds traditionnel, qui augmente et baisse du marché, ces commanditaires utilisent différentes stratégies pour parvenir à des résultats bien définis. Certains offrent une protection intégrale, d'autres une protection limitée, d'autres leviers accélérés. Ce sont des fonds accélérateurs, et aussi les fonds tampons, on peut ajuster le levier et les tampons.
Cela vous donne une exposition au marché, mais avec un résultat différent. Admettons que vous avez un tampon de 10 % à la baisse, un plafonnement de 15 % à la hausse, si vous détenez ce produit pendant deux ans, vous pourriez avoir une certitude de gain avec une limite à la baisse ou bien une protection intégrale contre les baisses et importations limitées à la hausse.
Dans le cas de l'accélérateur, vous pourriez avoir un peu plus de levier, mais un encaissement des baisses intégrales.
Il y a de nombreuses façons de donner aux investisseurs une exposition marchée et c'est devenu beaucoup plus populaire au niveau des investisseurs qui sont proches de l'âge de la retraite et s'inquiètent de la protection contre les baisses.
- Quand vous parlez de levier, je pense à certaines mises en garde qui doivent être données.
Certains de ces produits sont un levier.
- Avec le levier bien sûr il y a un lieu via là aussi parfois un levier à la baisse. La plupart de ces produits ont une exposition intégrale aux baisses, mais surtout le produit accélérateur. Y en a qui ont un effet de levier dans les baisses également. Sans entrer dans le détail, les produits tampons sont en général apprécié au moment où ils sont inaugurés.
Non pas un mois ou deux mois plus tard, parce que leur valeur évolue au fur et à mesure que les marchés évoluent. Si les marchés sont en hausse de 10 %, le tampon sera plus bas de 10 % il y a donc une baisse dans ses scénarios.
Ce sont des produits compliqués, pas aussi facile à comprendre, mais sont devenus très populaires.
- Merci pour ce secteur qu'il conviendrait peut-être d'approfondir.
Je vous rappelle que Andres Rincon a une émission qui s'appelle Buyside Views où ils sont passés les dirigeants des sociétés de fonds.
Le dernier épisode a paru hier et met en vedette Mike Macbain d'East Coast Fund Management.
Il a justement parlé du manque de diversification des investisseurs. Sachez que ce produit, c'est que je n'ai pas d'exposition aux taux d'intérêt.
Il n'y a pas de corrélation avec les taux d'intérêt.
Ce qui crée un profil de risque distinct.
Presque toutes les autres catégories d'actifs dans lesquels les clients investissent aujourd'hui, à cause de l'intervention des banques centrales, presque toutes les autres catégories d'actifs sont corrélées au taux d'intérêt.
Vous pensez que vous avez un portefeuille diversifié de 60 40, mais ce n'est pas vraiment le cas. Vous avez un portefeuille extrêmement corrélé.
Et cela s'est bien vu en 2022.
Des commentaires importants de Mike Macbain sur le portefeuille 60 40 qui n'est pas aussi diversifié qu'on le penserait.
Parlons un peu plus de cette émission.
Vous invitez des gestionnaires de fonds?
- Buyside Views accueille des invités qui nous donnent leur point de vue sur le marché. Nous avons eu la chance de pouvoir rencontrer Mike Macbain, chef de la direction ce déplacement d'East Coast Fund Management.
Il s'est entretenu avec nous des produits alternatifs à revenu fixe.
Le rôle dans le portefeuille les risques et les avantages de ce secteur.
J'encourage aux téléspectateurs assister à cette émission qui passe sur ce petit frère, sur Google, en balado, vous nous trouverez sur Buyside Views à Valeurs Mobilières TD.
- Vous venez d'entendre Andres Rincon de Valeurs Mobilières TD.
À présent, une mise à jour sur les marchés.
Voici la fonction de carte thermique de la plateforme avancée qui donne une idée du marché.
L'indice TSX de 60 en fonction du prix et du volume.
Il y a beaucoup de verres à l'écran, c'est le tracteur de l'énergie qui progresse y comprit Cenovus sont en hausse d'un 1/3 %.
Tourmaline de plus de 1 %. Il n'y a pas que le pétrole et le gaz.
Cameco dans le coin inférieur droit le producteur d'uranium progresse de près de 2 %.
Tout n'est pas vert à l'écran, MG Magna le fabricant de pièces automobiles recule plus de 2 %.
Et Shopify qui a eu des difficultés depuis l'annonce de ses bénéfices trimestriels la semaine dernière recule de 2 %.
On peut visualiser d'autres indices.
Le S&P 500 aux États-Unis, les fabricants de puces sont sous pression.
NVIDIA est en baisse de près de 3 %.
Et à côté, AMD Advanced Micro Devices est en baisse de 3 %.
Le secteur de l'énergie et en progression y compris Bank of America, en hausse de plus de 1 %.
Vous pouvez obtenir davantage d'informations sur la plateforme avancée en vous rendant sur le site de Placements directs TD. Lundi, Tarik Aeata analyste de soins de santé à gestion de placements répondra à vos questions sur le secteur des soins de santé.
Vous pouvez nous les poser déjà par courriel, moneytalklivetd.com.
Au nom de toute l'équipe de Parlons Argent en direct, merci et à lundi!