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(musique) Bonjour. Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une mission de placement direct TD. Aujourd'hui, l'indice STP avec la tendance haussière, cette semaine, mais l'inquiétude à l'approche d'une récession persiste. Devons-nous envisager d'autres catégories d'actifs? Les catégories d'actifs devraient inclure des produits de base. Jennifer Nowski, gestionnaire de portefeuille, nous donne ses aperçus. Nous poursuivons la découverte du courtier Web. En découvrant comment on peut utiliser la plate-forme pour des actions cotées à l'étranger. Mais tout d'abord, un coup de deuil sur les marchés. L'industrie du sexe est en recul de trois quarts de pour cent. L'énergie plombe l'indice. Le cours du brut a reculé légèrement aujourd'hui. À moins qu'hier, ou le brut de référence américain à dévisser de 4 %. Cenovus énergie est en recul, à 21,20 $. L'action est en baisse de, 2 %. Les mines d'or, en r aujourd'hui. B2Gold à 4,69 $ l'action, est en hausse de 1,7 %. Aux États-Unis, à Washington lui ont permis de réitérer l'importance de lutter contre l'inflation. Lorsqu'on lui a demandé si cela impliquerait encore de hausse de taux, il a répliqué que cette hypothèse était vraisemblable. L'indice S&P 500 est en recul de 1/2 %. Hier, l'indice a esquissé une tendance à la hausse, cette tendance est inversée aujourd'hui. Indice NASDAQ est lui aussi en baisse aujourd'hui, 233 ; soit 1 %. Tesla, l'un des titres en défaveur depuis quelques jours, le constructeur de véhicules électriques est à 258,92 $. Action recul depuis plus de 2 %. La perspective d'une récession à l'horizon inquiète. Mais malgré ses craintes, les marchés se comportent bien. Le S&P 500 a même renoué, depuis quelques semaines, avec la tendance haussière. Des investisseurs devraient-ils envisager différentes catégories d'actifs? Jing Roy, gestionnaire d'actifs à TD, commande. Il faut regarder de très près pour trouver une catégorie d'actifs ou expriment des craintes. Non pas dans les cours des actions ni dans les décors de crédit. Passons en revue chacune de ces catégories d'actif tour à tour. Quand on songe à la structure de la courbe de taux, celle-ci est inversée à 1; extrême. Le Canada, États-Unis, la zone euro, on s'attend à ce que la croissance et la passion soit en baisse dans l'avenir, ce qui est très baissier comme perspective. Ensuite, le cours du pétrole, qui est en recul de 12 %, malgré les efforts déployés par l'OPEP pour gérer l'offre, la consommation s'effondre États-Unis dans la zone euro et en Chine. Les actions, à présent. Indice S&P 500Ne reflètent pas la crainte d'une récession aux États-Unis, par exemple, et ce pour deux raisons au moins. D'abord, la bourse est très différente de l'économie sous-jacente. La technologie représente le tiers de l'indice, mais seulement 8 % du PIB. Il y a donc un déphasage. Deuxièmement, il importe de comprendre que les attentes en matière de croissance des bénéfices présupposent une relance en V. Les deux à pondération égale du S&P 500, pour gommer la prépondérance des grandes compagnies de technologie, suppose une croissance de 10 % des bénéfices d'ici deux ans, par comparaison à un scénario de récession où les bénéfices seraient en baisse de 10 % moyens. Les cours en bourse ne présupposent donc pas une réception. Enfin, la tolérance au risque est de retour. Économie est tellement régnante, la Fed touche à son risque de pose. Par contre, le risque est long. L'écart de crédit, que les investisseurs remboursent exigeraient pour détenir des actions, abaissée à un niveau jamais aussi bas que depuis 15 ans. Indice Vicks atteint un niveau qui n'a pas été aussi bas depuis 30 ans. Toutes ces indicateurs laissent accroireQue les collabos sont dans une tendance haussière. Quant aux égards des crédits, même si les marché obligataire sont moins baissiers que les investisseurs remboursent, et ne reflètent pas non plus la crainte d'une récession. Mais des obligations à rendement élevé manifestent un écart qui est la moitié de ce qu'on verrait habituellement de récession, par rapport aux obligations de première qualité. Globalement, les catégories d'actifs, quelle qu'elle soit, prévoit une situation dans l'atterrissage. Situation dans atterrissage. - Merci pour cet analyse éblouissant. Qu'en est-il des régions autres que les États-Unis? Nous ne prévoyons pas d'atterrissage du tout. , Des mesures de relance généraux renflouaient les bénéfices des entreprises et des dépenses de consommation, ce qui représente 18 % du PIB, selon les estimations du FMI. Nous en sommes encore à résorber cela. Dans la zone euro, c'est encore plus spectaculaire. La zone euro est théoriquement récession, des coups remboursent dépassent ceux des États-Unis jusqu'ici. En effet, les bourses sont indexées sur la croissance des exportations vers les États-Unis. En outre, il s'agit de bénéficiaires des dépenses de transition énergétique. Au Canada, l'humeur est assez sombre. En effet, les secteurs cycliques représentent plus de la moitié de notre indice. Le rendement des actions tient donc compte d'une perspective pessimiste quant à la croissance économique au Canada. La situation est encore plus grave en Chine. Le pessimisme prédomine, c'est évident, car à court terme, la croissance que l'on escomptait après le déclenchement s'épuise. À long terme, et le désendettement et la réduction des risques qui sont à l'ordre du jour, ce qui pourrait entraîner une stagnation à long terme si le gouvernement de combat des mesures. L'exception de la compagnie politique de la banque centrale sont très favorables afin de relancer l'économie jusqu'à une cible d'inflation durable de 2 %. La politique monétaire est donc très accommodante et l'on assiste à une expansion de l'indice des gestionnaires d'achat secteur des services du secteur manufacturier. Dans atterrissage, se retrouve-t-on dans ce lieu idéal où il n'y a pas de récession ou doit-on aviser j'ai un recul économique? Il existe beaucoup de lettres de l'alphabet pour parler de récession. Je parlerai d'une relance en U. L'arrestation prendra plus longtemps à se dérouler car il s'agira d'un cycle dans lequel le crédit sera en pointe. Il faudra que cela prenne du temps car les taux d'intérêt devront demeurer élever plus longtemps pour que ce scénario se réalise. Pendant combien de temps les entreprises et les ménages peuvent-ils supporter les taux d'intérêt élevé sans réduire la consommation? Telle est la question. Ce sont les entreprises qui vont faire le premier mouvement. Le tiers des dettes des entreprises étapes à taux variable. Les bénéfices des entreprises seront affectés par le ralentissement de la croissance et la hausse des coûts de financement, ce qui les amène à réduire la demande de biens, de services de main-d'œuvre et devront, dans certains cas, se défaire d'actifs en catastrophe à pain de renflouer leur bilan. Ce malaise parmi les entreprises va se répercuter sur les ménages par le biais du chômage, ce qui va affecter la consommation et qui nous amène directement à la rentabilité des entreprises et crée une sorte de spirale à la baisse, renforçant le scénario que je viens d'évoquer pour l'économie. Voilà le scénario de récession. Il s'agira de phénomènes qui pendant longtemps se réaliser. Nous voyons déjà quelques siècles d'affaiblissement dans le secteur des entreprises, par exemple. Le nombre de faillites augmente parmi les entreprises fermées, qui comptent surtout sur les banques régionales pour se financer. Or, ces dernières ont beaucoup resserré les conditions de crédit. Par ailleurs, les dépenses des consommateurs ont commencé à réfléchir, surtout chez les personnes à revenus plus modiques. Et le nombre de défaillances sur les cartes de crédit a commencé à augmenter. Lorsque l'on se retrouve dans une situation de récession, les entreprises, les gens sont licenciés, rentrent chez eux, les acheter. Quelques assoupis pour les titres à revenu fixent les actions? Priorité d'abord. Si le taux d'intérêt doit demeurer plus élever plus longtemps, les obligations du trésor américain à long terme vont surclasser les crédits de première qualité, lesquels vont surclasser des crédits à rendement élevé. Dans une telle récession en U, la croissance ralentie. Si vous songez que la croissance réalisateur en matière d'inflation ont reculé de 25 points de base, ce qui est un scénario prudent, dura 50 points de base de diminution dans le rendement nominal, c'est-à-dire 10 % de hausse pour les obligations à long terme. Et cela s'ajoute aux 3,5 % de rendement que vous touchez uniquement avec les coupons. Quand on additionne ces éléments, on obtient rendement semblable à celui de la bourse, ce qui est très intéressant. À présent, les obligations de première qualité. À l'extrémité à courte échéance de la cour, la copie extrêmement inversée, le rendement est très intéressant pour les titres de grande qualité. Ce secteur spécifique marché des titres de première qualité, court terme, et donc très intéressant. Toutefois, pour les obligations à rendement élevé, l'écart de crédit va s'accroître plus que pour les titres de haute qualité. Le résultat sera non linéaire. Nous prenons garde à l'égard des crédits au titre rendement, c'est pour cette raison. Il s'agit de créer un portefeuille de manière défensive s'en tenir à la qualité. Mais en même temps, il faut tirer un parti maximum du rendement. Les actions, à présent. Le S&P 500 est en pleine tendance haussière. Cela laisse perplexe. Pour la bourse, il n'y a pas de formule unique. Tout d'abord, je dirais qu'il est très difficile de se reposer sur des facteurs macro-économiques, en particulier des taux d'intérêt, pour propulser encore davantage le fardeau de l'expansion des multiples ne pourra être supporté, à moins que la Fed commence à réduire les taux, ce qui ne fera pas de si longtemps. C'est un environnement excellent pour les sélectionneurs qui veulent identifier les entreprises dont le potentiel de croissance des bénéfices et du flux de trésorerie disponible et méconnue. Pour cela, il faut chercher des gestionnaires qui ont une bonne capacité de sélection des titres. Par ailleurs, la rotation factorielle sur les marchés boursiers deviendra plus fréquente est plus difficile à prédire. Le cours correspondant au changement dans les conditions financières. Nous prévoyons des changements plus fréquents dans les conditions financières plus que la Fed se fonde sur les données pour prendre ses décisions. Par conséquent, il faut qu'un délai s'écoule, tandis que la Fed rit et talonne son taux directeur en fonction de l'activité économique. Pourrait y avoir un desserrement temporaire des conditions économiques lorsque les données sont faibles, mais un resserrement des conditions financières lorsque les données financières sont en hausse. Par contre séquence, il se produira des conditions financières haussière. Il faut donc prendre du recul en se concentrant sur la trajectoire à long terme, miser sur les compagnies de qualité, dans les modèles d'entreprise sont rentables, qui génèrent un flux de trésorerie solide et qui en même temps ont un bilan très sain pour résister à la hausse du coût du capital, tout en ayant une politique de traitement des dividendes favorables aux actionnaires. Le dernier point: puisqu'il y a un élargissement des différences en matière de politique, au niveau de la politique monétaire aussi bien que budgétaire, accroître la diversification d'un portefeuille d'actions, il faut se tourner vers l'extérieur, hors des États-Unis, pour envisager des régions où la politique budgétaire est plus favorable où la politique monétaire est plus intéressante. - Vous venez d'entendre Jing Roy, gestionnaire de portefeuille à la gestion d'actifs TD. Les Canadiens voyagent davantage à l'étranger, mais pas encore autant qu'avant la pandémie. Un nouveau rapport de Statistique Canada précise que les voyages à l'étranger ont augmentée de près de 24 % en avril, par comparaison à l'an dernier. Les transporteurs comme Air Canada ont annoncé une forte demande pour la saison d'été. Virgin Galactic est sous pression, après avoir réuni 300 millions de dollars par l'émission d'actions ordinaires. La compagnie de tourisme spatial prévoit réunir encore 400 millions de dollars pour élargir et améliorer sa flotte de vaisseaux spatiaux, le premier vol commercial doit avoir lieu ce mois-ci. L'action recul de 19 %. Le détaillant des voitures d'occasion Carmax, la compagnie a annoncé des bénéfices supérieurs au dernier trimestre. La réduction des coûts y a contribué, en dépit du fait que le consommateur sont plus pessimistes à cause de la hausse des coûts d'emprunt. L'action progresse de 7 %. À présent, l'indice composite TSX est en recul. Le cours du brut est en baisse que traitement. Aux États-Unis, malgré certaines préoccupations à l'égard de l'autre, les cours des produits de base sont mitigés. De nombreux métaux, pétrole, gaz sont inchangés en baisse. Jennifer Nowski commente. - Sur le marché des produits de base, cette année, on s'intéresse beaucoup plus à la demande. Les investisseurs évaluent la trajectoire de la relance en Chine ainsi que l'allaitement de la croissance de nuit et en Europe. En ce qui concerne l'offre, une croissance de l'offre cette année avec la mise en service de nouveaux projets, mais ceci est partiellement compenser par les épines de réduction. Cela peut être cyclique, relatée. La durée de chaque cycle est incertaine. Mais lorsqu'il y a des courants transversaux dans l'industrie, la situation peut être très intéressant pour les produits de base. C'est justement ce dont nous parlons aujourd'hui. Tenons-nous-en à la demande, de la Chine. Au début de l'année, avec le des compliments, tout le monde croyait que c'était la clé de la relance mondiale. Mais la situation s'est déroulée autrement. La relance de la demande en Chine est très important pour le marché des produits de base. La Chine représentait 50 % de la demande pour certains métaux et 16 % de la demande mondiale de pétrole, mais surtout, la Chine a beaucoup contribué à la croissance de la demande pétrole depuis des années. Il avait vu que les cours des métaux ont réagi, en début d'année, lorsque la Chine a annoncé l'année dernière qu'elle s'éloignait de la politique de zéro COVID. Les cours des métaux ont anticipé sur cette relance. Aujourd'hui, en Chine, en cumul annuel, économiste relance, mais le rythme est décevant, par rapport aux attentes sur les marchés des métaux. Sur celui-ci, on voit une faiblesse qui se poursuit dans le secteur immobilier. Quant à la consommation, même si les voyages ont repris en Chine, les voyages à l'étranger donnant largement étranger au niveauPrix COVID, surtout à cause de la difficulté d'obtenir des visas et du fait que le nombre de vols en liaison vers d'autres pays. Le gouvernement chinois commence à prendre des mesures pour relancer l'économie, pratiquant notamment les coupures de taux, récemment. C'est une tendance positive pour le marché des produits de base, mise en garde. Dans le passé, la Chine a mis en place des mesures de relance à grande qui ont gonflé l'investissement dans les produits de base. Ce n'est pas la voie qu'il semble suivre pour l'État. La politique de la banque centrale, qui procède à des changements de taux de 10 points de base à la fois, illico des coups de bâton faibles, que penser des compagnies du secteur minier et de l'énergie? Depuis cinq à 10 ans, le cours des produits de base ont faibli. Bon nombres des acheteurs ont dû réévaluer leur stratégie et se sont concentrés sur la réduction des coûts et la réduction des immobilisations et le renforcement de leur bilan. Les bilans ont été encore renforcés depuis deux ans, tandis que les cours des produits à base étaient élevés. Dans la journée d'estimation pour 2023, les grandes compagnies minières et d'énergie semble avoir un coefficient de 2,5 fois. Ce qui est extrêmement régulière quelque soit l'évolution des cours. Par ailleurs, certains cours semblent assez productifs pour les producteurs. Par exemple, le pétrole pour 60 $ pour un producteur à grande capitalisation. Cela peut donner un flux de trésorerie disponible de près de 10 %, ce qui est excellent. Dans un environnement comme celui-ci, où les grands producteurs affiche toujours un flux de trésorerie positif, si l'on s'inquiète de l'offre, pourquoi les producteurs n'investissent pas? Quelle est la dynamique de ce secteur? Les entreprises de ressources, il y a une décennie, s'intéressait à la croissance, dégager des investissements massifs. Aujourd'hui, elles sont prêtes dans leurs investissements et cherche à procurer des romans à leurs actionnaires. Pendant la période 2012 à 2014, par exemple, l'immobilisation est très fort. Les cours des produits de base très élevée. Les compagnies chassaient la croissance. Ensuite, les cours ont fléchi. Il a fallu évaluer. Les immobilisations ont beaucoup baissé. Comment a-t-elle repris de cette reprise a été très modeste, attribué en partie indexation et à de modestes croissants. Mais on est encore très loin des niveaux que nous avons vu il y a deux ans. Pourquoi? Peut-être que les entreprises ont-ils tiré des leçons de leur erreur précédente. Mais encore il s'agit d'une étude de discipline financière. Les producteurs de pétrole de schiste, aux États-Unis, dont les textes sont plus courts, sont rendus compte qu'ils sont plus efficaces avec un taux de croissance de la production de zéro à 5 %. Les plus grandes compagnies pétrolières limitent leur démobilisation à une fourchette, puisqu'elles ont des programmes pluriannuels. Enfin, certains projets de très grande envergure ne peuvent être modifiés rapidement. Lorsqu'il y a eu une volatilité des cours des produits de base, il n'est pas aisé de donner le feu vert à ces grands projets. Les conséquences macro-économiques. La croissance de l'offre sera favorable au cou. Parlons des voies de la paix pour ces entreprises. Certaines ont un bilan très sain, à cause des facteurs que vous avez alignés, mais il y a une baisse de l'activité. Dans ce secteur cyclique, que vont-ils faire de cet argent? Il y a toutes sortes de choses que l'on pourrait faire. La discipline financière continuera de se produire il y aur un équilibre entre les trois actions. D'abord, maintenir un bilan sain. Les reprises pour continuer de restituer à leurs actionnaires par le biais de rachat et de dividendes. Compagnies d'énergie ont beaucoup insisté sur les versements aux actionnaires pendant le premier trimestre. Et puis, les fusions et les acquisitions. Celles-ci ont augmenté quelque peu. Mais il ne s'agit pas d'une activité tout azimut. C'est beaucoup plus limité. Le secteur de l'or, par exemple, disait à reconstituer les stocks. Pour les grandes compagnies minières diversifiées, il y a eu quelques opérations, dans la plupart des cas, pour acquérir des gisements de minerai. Par exemple, BHP a fait l'acquisition d'une mine de cuivre en Australie. Jennifer Nowski et de la gestion d'actifs TD. À présent, continuons la découverte de courtier Web. Souhaitez-vous détenir des actions cotées sur les bourses étrangères? Ce segment vous intéressera. Les quatre cas représentatifs d'actions sont un moment un moyen facile d'accéder. - Vous avez peut-être entendu parler des certificats représentatifs d'action. Ceci permet aux débats par d'acheter des actions étrangères dans leur monnaie locale. Il en existe beaucoup aux États-Unis. Baba, par exemple, permet aux estomaqués d'acheter les actions d'Ali Baba. Il y a des antiquaires canadiens qui permettent aux directeurs d'avoir accès à des actions cotées en Bourse aux États-Unis en dollars canadiens. Je vais vous montrer comment les trouver. Cliquez sur l'onglet recherche, puis sous la rubrique investissements, sur action Afficher en une action américaine. D'abord, il y a une action cotée aux États-Unis, en dollars américains, et une qui est cotée en dollars canadiens. Ils comptent sur l'action cotée en dollars américains. Elle est cotée sur une bourse américaine, en dollars américains, 182 $, le dernier coup. Jetons un coup d'œil sur le volume : près de 25 millions d'actions négociées. À présent, passons aux certificats représentatifs canadiens. Vous remarquerez que le cours est beaucoup moins élevé que la version américaine. C'est parce que les certificats représentatifs vous donnent la possibilité d'acheter des fractions d'action. L'un des avantages des statuts carbonatés, ce qui vous permet de faire l'acquisition d'une position avec beaucoup moins de mise de fonds. Peut-être considération. Il y a d'autres éléments que j'évoquais dans le cadre des certificats représentatifs. Il n'est pas nécessaire de se préoccuper de la différence de change. En effet, les certificats représentatifs actions sont couverts contre les risques de change. Il y a toutefois un risque. Rappelez-vous, dans la version américaine, délai presque 25 millions d'actions négociées aujourd'hui. En revanche, le volume des cas représentatifs canadiens est inférieur à 30 millions. Il s'agit d'une différence énorme, on peut dire que de risque potentiel, quant au volume négocié. Donc, globalement, lorsqu'il s'agit d'utiliser certificats représentatifs actions, il incombe aux investisseurs de comparer les risques et les avantages avant de décider de recourir à cet instrument. - Une étude de TD démontre que les femmes mères de jeunes enfants augmentent la bonne branlette que 111 000 femmes ont commencée à travailler. Il y a des raisons intéressantes pour ce phénomène. Francis Fong entretenu avec Kim Parlee à ce sujet. Il y a plusieurs facteurs. - Tout d'abord, il y a eu une hausse de la passion des femmes ayant de jeunes enfants, ce qui revient aux efforts entrepris par les professions individuelles. Cela a un impact considérable. Un plus grand nombre de personnes demande il faut suivre le mouvement. Ce graphique montre les industries. N'est pas une nette partition uniforme entre les entreprises au Canada. D'après vous, quel élément le plus important? - L'impact de la flexibilité en milieu de travail, de facteurs dominants depuis quelques années. Les industries qui peuvent composer du travail de bureau ont vraiment bénéficié de la possibilité d'attirer un bassin de main-d'œuvre antérieurement inexploitée. Finance, assurance, administration publique. La part de l'emploi des mères de jeunes enfants, dans le secteur du détail, de l'hébergement, les habitations, ces secteurs ont eu de la difficulté à attirer, voir la vitalité durant la pandémie. Au fur et à mesure que la situation se normalise, certaines entreprises rétablissent le travail au bureau, non pas cinq jours par semaine, mais… il a également la garde d'enfants à coût abordable qui joue un rôle clé. Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ce que vous voyez? Au Québec, il a ouvert la voie. Mais que faut-il faire dans les provinces et où allons-nous dans l'autre? Cette question fort difficile car il y a beaucoup d'impact. Avec la montée en puissance du travail hybride, beaucoup d'industries renoncent au tout à distance. Il profite de l'hybride, ce qui est tout de même une certaine flexibilité pour les familles. Mais en définitive, la reprise du travail en personne exigera que les familles trouvent une solution de rechange, en ce qui concerne la garde d'enfants. Heureusement, à l'heure actuelle, toutes les provinces et territoires ont signé des ententes avec le gouvernement fédéral en vue de proposer la garde de l'enfant à dollars par jour. Le vrai défi, c'est que le nombre de familles qui demanderaient le service de garde pourraient dépasser les engagements pris par les provinces et territoires. Si on fait le tour des provinces, des engagements à créer des places de garderie, dans la foulée de ces ententes, il pourrait y avoir entre 250 000 et 350 000 places manquantes. La la demande étend tellement élever. Vous avez parlé de déserts de garde d'enfants. Ce qui compte à des enfants, c'est quand il y a une garderie qui ouvre, toutes sortes d'autres ouvrages limités. Mais il y a des régions entières qui n'ont pas de services de garde d'enfants. Oui, c'est un élément clé. L'attribution de ces places est importante. Les recherches montrent que les zones rurales, les communautés autochtones, essentiellement, toutes les zones hors des grandes actions métropolitaines, si vous sortez de ces régions, c'est encore plus difficile. On a parlé d'un désert de garderie. C'est un domaine où il y a trois enfants pour une éducatrice qualifiée. Quand on voit ses engagements pris par les gouvernements, il faut tenir compte de la commission. Il n'y a pas que l'espace qui compte. Il n'y a pas que les places. Créer une place garderie ne se résume pas à la construction d'un local. Il faut le personnel. Donc, outre les centaines de milliers de places devront être créé, par-delà ce qui a déjà été engagé, il faut engager davantage d'éducatrice de la petite enfance, les former, les fidéliser, afin de fournir le personnel nécessaire. Et comme vous l'avez noté, le ratio diminue. Le ratio d'enfants et beaucoup plus bas au début. - Il ne me reste que 45 ans. Je voudrais souligner que cette bonne nouvelle, le fait qu'il y ait davantage de participation de la part des mères. En l'état, avait signalé l'écart salarial, qui est inexpliqué. En quelques secondes que qu'entendez-vous par la pénalité de la maternité? Oui. L'écart salarial entre les hommes et les femmes seraient du résultat, une portion croissante est inexpliquée. On ne peut pas expliquer en fonction des choix de profession, de l'ancienneté. Alors, les chercheurs supposent que c'est ce qu'on appelle la pénalité de la maternité. C'est un facteur qui pourrait expliquer cet écart inexplicable persistant. Ce sont les mères qui sont pénalisées. Nous savons toutefois que plus la perturbation en milieu de travail est courte, moins la pénalité est forte. La flexibilité et les services de garderie sont une action en matière d'équité salariale. - Francis Fong et qu'elle était principale. Il s'entretenait avec Kim Parlee. À présent, un coup d'œil sur les marchés. Voici le tableau de bord évaluer la banque TD. Une plate-forme conçue pour les négociateurs actifs, proposé par placement direct TD. Voici la carte thermique de l'indice TSX. 60 compagnies de l'indice TSX. En volume, une certaine pression exerce à la baisse. Le secteur de l'énergie est ensuite, d'un amas. Mais commençons par les produits de base,. Des inquiétudes à l'égard de l'économie mondiale persistent. La banque a pratiqué une hausse prise de cinq points de base, même si la Fed avait déjà alerté. Jérôme parole a déclaré qu'il faudrait que les taux d'intérêt sont encore plus élevés pour maîtriser l'inflation. Une certaine inquiétude se glisse dans les marchés à l'égard de l'économie mondiale. Kinross progressait, très légèrement en hausse dans le secteur des matières premières. Le taux de référence américain a reculé de 4 % hier. Les titres d'énergie dans le coin inférieur gauche sont en baisse. Producteur d'uranium, est en baisse de 2,4 %. Mais il est possible de trouver du verre sur l'écran. Une minuscule case, il s'agit de Thomson Rogers. Vous pouvez trouver davantage d'informations sur le tableau de bord évaluer sur le site de la banque TD. Lundi, Benj Gallander, qu'au rédacteur de la circulaire Contra va nous entretenir de l'investissement à contrecourant. Merci à toute l'équipe de l'émission. À bientôt.