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(musique) Bonjour. Ici Greg Bonnel, et bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Susan Price évoque la demande croissante de lithium, et à l'avance de la banque du Canada sur les taux d'intérêt la semaine prochaine, Chris Whelan donne son point de vue sur la décision. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Hiren Amin nous montre comment obtenir des renseignements sur les sociétés de placement immobilier. À présent, un coup d'œil sur les marchés. La situation du relèvement du plafond de la dette n'étant plus actuelle, les bourses progressent de part et d'autre de la frontière ainsi que le cours du brut à l'avance de la réunion de l'OPEP cette fin de semaine. L'indice S&P TSX progresse de 269 points, soit 1/3 %. Le cours du brut de référence américain continue de progresser après quelques jours, même quelques jours semaine de fluctuation. Progresse de presque 2 %. Le secteur des télécommunications est en revanche en retard aujourd'hui. BCE remonte quelque peu après avoir baissé en début de séance, mais est toujours en recul de près d'un demi pour cent. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 est en phase de remontée, progressant de 54 points, soit 1 1/3 %. Jetons un coup d'œil à l'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie. Il est en hausse de 125 points, soit un peu moins de 1 %. AT&T est un titre intéressant car selon certains articles non confirmés, Amazon envisagerait de proposer un service de téléphonie mobile aux membres Prime aux États-Unis. Amazon aurait évoqué un certain nombre d'interlocuteurs. L'irruption d'Amazon dans un secteur a tendance à énerver les marchés. Les banques centrales prennent leurs décisions en fonction des données lorsqu'il s'agit de la trajectoire des taux d'intérêt. Nous surveillons donc les statistiques de près. Les chiffres de l'emploi aujourd'hui sont plus positifs que prévu. Oui, l'embauche s'est accélérée pour le deuxième mois de suite au mois de mai, montrant que le marché du travail aux États-Unis et résiliant malgré la hausse des taux d'intérêt de l'inflation. Les États-Unis ont créé 339 000 emplois après ajustement saisonnier, c'est-à-dire encore plus que les 250 000 emplois signalés en avril. les chiffres ont été relevés à la hausse avec un gain net de (... ) le taux de chômage a augmenté à 3,7 %. Il s'agit d'un niveau bas record. (.. .) C'est surtout le secteur des services qui voit des créations d'emplois. Les consommateurs se détournent des biens au profit des services. C'est le secteur de la santé qui progresse le plus, suivi par les services aux entreprises professionnelles, les loisirs et l'hôtellerie. Vous vous êtes entretenu avec David Young, un spécialiste de la santé. Il a déclaré dans cette entrevue que les interventions chirurgicales en attente depuis la pandémie commencent aujourd'hui à être pratiquées. Il s'agit peut-être de l'un des facteurs qui alimentent la forte croissance de l'emploi dans le secteur de la santé. Le salaire horaire moyen, baromètre clé de l'inflation que la Fed scrute de près était en hausse, un peu moins que 0,4 % en avril. Les gains horaires ont ralenti 2/10 de pour cent, à 0,4 % sur une base annuelle. La baisse du taux de chômage et la création d'emplois exerce une pression sur les salaires depuis quelques années, mais cela ne clarifie en rien la discussion de la Fed quant à l'opportunité de relever les taux au mois de juin ou de maintenir une pause. Ces statistiques étaient la probabilité d'une hausse de 25 points de base en juin et exclut par ailleurs des coupures de taux cette année. Services économiques TD prévoit que la Fed va sans doute réduire les taux de premier trimestre 2024. Ce rapport laisse également croire que les taux pourraient démarrer plus élever plus longtemps, ce que les marchés n'apprécieront sans doute guère. C'est ce que l'assiette affirme, et même notre propre banque centrale, la Banque du Canada, affirme et répète, déclarant qu'il faut parvenir à un niveau restrictif et nous y maintenir, les marchés sont toujours demeurés sceptiques, mais là il semble que les coupures qui étaient envisagées cette année sont à présent reporter d'un avis commun. - Vous avez dit que la Fed prendra sur les données et conclura peut-être bien que les taux d'intérêt doivent demeurer plus élever plus longtemps vérin durant l'inflation à l'objectif de 2 %. Merci pour ces commentaires sur les statistiques si important en ce moment. Demeurant sur le thème de l'économie. Les chiffres du PIB sont plus élevés que prévus au Canada, ce qui pourrait ouvrir la possibilité de nouvelles hausses de taux par la Banque du Canada. Je me suis entretenu avec Chris Whelan, stratège en chef à Valeurs mobilières TD. Il y a deux choses qui se sont produites aujourd'hui dans ce rapport. Les chiffres étaient plus élevés que prévus, et deuxièmement, les estimations préalables pour le mois suivant sont également élevées. Et positif. Qu'est-ce que cela signifie? Ça signifie que la pression en vue de relever les taux de la part de la Banque du Canada parvient à une zone rouge. Il est très probable que les hausses de taux auront lieu ici statistiques dilapidé sont éloquentes. Nous avons vécu une série de fluctuations entre les statistiques positives et négatives sur l'économie, ce qui entraînait une fluctuation également des pronostics quant à de nouvelles hausses de taux. Les avis en faveur de nouvelles hausses de taux sont à présent prédominants. Ce que confirme la hausse notable du PIB annonce aujourd'hui. Après toutes ces hausses de taux, on pensait que le marché du travail en partirait, l'économie ralentirait et l'inflation des minerais. Que se passe-t-il? Pourquoi n'avons-nous pas assisté à ce faible glissement qui était prévu? - D'abord il faut du temps pour que les mesures de politique monétaire se répercute. L'an dernier c'était l'année des hausses de taux. Cette année, c'est à ce moment ce que les hausses de taux vont se répercuter sur l'économie. Il ne serait pas étonnant que la Banque du Canada procède à des hausses de taux, marque une pause, puis reprennent. Ça ces vues dans le passé. Les taux d'intérêt aux extrémités plus longues de la cour ne pas beaucoup évolué parce que c'est une dynamique à court terme. Je pense que les investisseurs les marchés dans son ensemble demeurent convaincu que cela va ralentir l'économie. C'est l'incertitude de la trajectoire à court terme. revenons en quelques jours en arrière aux statistiques sur l'inflation. Est-ce que c'est le dernier kilomètre qui le plus difficile à franchir? L'inflation est très élevé, on relève les taux, l'inflation redescend et on commence à la trouver persistante. - Oui. Je crois qu'en général nous oublions toujours la résilience des gens. Les gens veulent améliorer leur vie, maintenir leur niveau de vie et tout le monde fait le maximum pour continuer, pour que les choses continuent. C'est exactement ce que nous voyons. On ne peut pas continuer indéfiniment. Il y aura un ralentissement. En confrontant les statistiques de l'IPC à celle de l'inflation, c'est pourquoi nous sommes dans la zone rouge au niveau des hausses de taux. La probabilité est maintenant très fort. Nous sommes dans la zone rouge à une semaine seulement d'une annonce sur les taux. Est-ce que la banque agirait et mercredi prochain? Absolument. Les statistiques sur le PIB, sur l'inflation, ont paru. La banque aura tout le temps de les analyser. Pour la semaine prochaine, vous avez parlé de 50 points de base. Je me dis que s'il y avait une autre hausse, ce serait 25 points peut-être que ce serait fini. Vous pensez (...) - Au niveau des 50 points de base, en général, cela ne représente plus grand-chose. Lorsque la banque décide de rehausser les taux, 50 points de base, cela paraît plus actif, plus effectif. Cela va nous faire passer à 5 %. 50. Points de base, c'est 10 % des 5 %. Dans l'ensemble du cycle de hausse de taux, ce n'est pas énorme en général si nous pensons que si la banque reprend les hausses de taux elle fera au moins deux hausses de 25 points de base. Après cela, vous pensez qu'il pourrait y avoir 1, Passage au coupeur de taux assez rapide. Mettons que nous nous trouvons dans un scénario il y a deux autres hausses de taux totalisant 50 points de base et la Banque du Canada doit entamer un cycle de coupure de taux. Qu'est-ce qui doit se passer? - Il faut que le PIB ralentisse ou se contracte et que l'inflation soit maîtrisée. Il faut que l'inflation redescende à 3 % au guère plus et que le PIB affiche une tendance à la baisse. Il faut que ces deux facteurs soient présents, ou bien si l'inflation est supérieure à 3 % mais qu'il y a une contraction substantielle du PIB, cela permettra la banque de conclure que l'inflation va redescendre et que l'économie baisse deja. Je pense que ce serait convaincant. Comme je l'ai déjà dit dans cette émission, il s'agit d'une situation restrictif. Les marchés ne les perçoivent pas et les banques centrales ne le perçoivent pas comme la nouvelle norme. Il s'agit de mesures restrictives pour refroidir le cycle d'inflation et nous ramener à un état neutre au fil des coupures de taux. Pas le scénario idéal. On hausse les taux. (... ). Nous finissons par un état neutre, stable. C'est l'idéal. Parfois on en fait trop. Qui sait si nous pourrons continuer à remonter? Potentiellement, cela pourra aller jusqu'à 6 %, c'est une possibilité. Nous pensons que c'est une possibilité. Si l'inflation est très opiniâtre, il faut envisager cette possibilité. On commence à en parler. Surtout aux États-Unis. Mais c'est une conversation. Les taux d'intérêt ont beaucoup évolué, alors c'est délicat. C'est un marché dans lequel il est très difficile d'être convaincu du point où nous sommes parvenus pour les six prochains mois. - Vous venez d'entendre Chris Whelan, chef de portefeuille de la stratégie SGA Valeurs mobilières TD. À présent, actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés. Les actions de Lululemon sont en vedette aujourd'hui. La compagnie relève son pronostic de vente après avoir dépassé les attentes en matière de bénéfices pour le dernier trimestre. Comme beaucoup de détaillants, Lululemon écoule ses inventaires et prévoit que la croissance des ventes et des inventaires sont relativement normaux. L'action progresse de 12 %. Une autre action qui progresse, c'est Mongo DB. L'éditeur de logiciels de base de données qui a dépassé largement les attentes en matière de bénéfices trimestriels et qui relèvent ses pronostics de vente pour l'année. Mongo DB a également ajouté davantage de clients que les milieux financiers ne s'y attendaient. La société a élargi son partenariat avec le géant de la technologie chinoise Alibaba. L'action progresse de 40 %. Le cours du bruit de référence américain remonte, à l'avance de la réunion de l'OPEP cette semaine. Le brut a connu des fluctuations depuis quelques jours, mais l'Arabie Saoudite a suggéré que les spéculateurs qui parient contre le marché du pétrole devraient prendre garde. À présent, les grands indices. L'indice S&P 500 progresse de 273 points, à 1/3 %. Aux États-Unis, alors que le problème du relèvement du plafond de la dette appartient désormais au passé, l'indice ACP progresse d'un écart pour cent. Les grandes firmes de technologie américaine se classent en tête du marché mais cela n'empêche pas les services publics de surclasser. Marisa Jones, spécialiste des services publics à gestion d'actifs TD. Pendant le premier trimestre, le secteur était à la traîne au Canada après (...) au début de ce trimestre, il y avait une recherche de la sécurité. Il y a un certain nombre d'entreprises ont dépassé les attentes pour le trimestre. C'était des entreprises qui est à la traîne au quatrième trimestre à cause de situations spécifiques. Comment les services publics se présentaient pour le reste de l'année? - Les services publics sont bien positionnés pour continuer de donner de bons rendements. Nos perspectives pour l'inflation continue de représenter un désavantage pour la plupart des entreprises au Canada, en Amérique du Nord en général, mais les services publics offrent un rendement réel. Voici ce que j'entends par là. (. ..) Répercuté sur l'abonné. Sur l'usager. Ce qui protège les investisseurs contre les facteurs négatifs que l'inflation continue de représenter. En outre, il y a des facteurs favorables à moyen et long terme. Par exemple, les mesures gouvernementales favorables au verdissement du réseau, à la hausse de la demande d'électricité et du soutien du réseau ici au Canada. Le budget fédéral canadien qui a été annoncé il y a quelques semaines seulement, même s'il semble que cela fait une éternité, contient des mesures qui pour avoir un effet sur différentes industries. Tandis que les médias délaissent le budget fédéral, vous y voyez toujours des mesures importantes pour le secteur de services publics. - C'est très intéressant. Le budget fédéral canadien représente une réponse à ce qui s'est passé l'été dernier aux États-Unis, c'est-à-dire la loi sur l'inflation. Cette loi vise à lutter contre l'inflation et à créer de l'emploi, et aussi à soutenir l'énergie renouvelable et l'énergie propre et a rapatrié la chaîne d'approvisionnement aux États-Unis. Au Canada, différents crédits d'impôt pour la production d'énergie propre afin que toute la chaîne d'approvisionnement puisse recevoir des crédits d'impôt dans l'avenir. Cela, c'est très favorable. Il y a également différents mécanismes de soutien pour les investissements dans la création d'infrastructures pour les énergies renouvelables. Il y a beaucoup de mesures fiscales favorables à l'approvisionnement en énergie. C'est plutôt donc la production d'énergie plutôt que les services publics réglementés. Il y a moins de subventions pour la distribution et le transport. Mais bien sûr, si vous avez une expansion du réseau, on produit pour produire l'électricité il faut bien l'acheminer aux abonnés. C'est tout à fait favorable à mon avis. Je voulais vous parler de l'inflation. La dernière fois que vous êtes passés à l'émission, vous avez parlé de la capacité des entreprises de services publics réglementés de répercuter sur nous les usagers la pression de l'inflation. Existe-t-il un risque politique puisque le gouvernement cherche après tout à soulager le fardeau, notamment la facture d'énergie? - Oui, c'est très pertinent et nous suivons cela de très près. ÉquilibreEntre les immobilisations nécessaires pour les services publics à plusieurs niveaux, l'impact de l'inflation sur les coûts d'une part, et d'autre part l'abordabilité. Les services publics réglementés ont la responsabilité de desservir le territoire pour lesquels elles sont créées. Au niveau de la réglementation, elle s'attendait à obtenir un juste rendement. C'est ainsi que fonctionnent les services publics au Canada et dans le monde d'ailleurs. Lorsque vous avez une hausse de l'inflation, on craint que oui bien sûr les entreprises peuvent répercuter l'inflation sur les usagers, mais certaines peuvent décider que le risque est trop grand. Or, on a constaté que c'est un problème, ça a été un problème dans certains états. Les pouvoirs publics ont mis en place des programmes en vue de soulager les consommateurs qui n'ont pas les moyens d'acquitter les factures d'énergie plus élevée. Je surveille de près d'éventuelles interférences politiques. Typiquement, il n'y en a pas dans le secteur des services publics réglementés, mais il y a eu un cas en Nouvelle-Écosse à l'automne. Qui a entraîné une baisse du cours de l'action des mesures punitives prises à l'encontre de Nova Scotia Power impact financier n'était pas tellement important en définitive. bon nombres de nos spectateurs vont étudier le secteur des services publics au niveau des actions. Vous êtes spécialisés dans les titres de créance. Est-ce que vous cherchez les mêmes facteurs que vous analysez une entreprise? - Oui, tout à fait. Surtout aujourd'hui. Comme vous l'avez dit, il y a une hausse des coûts. Consommer l'impact sur les flux de trésorerie. Dans le secteur des services publics en particulier, dans une certaine mesure des oléoducs et gazoducs et le secteur intermédiaire, la capacité de payer un dividende pourrait être affectée si la note de crédit susceptible d'être rétrogradé. La capacité de croissance pourrait également être compromise. Je suis toujours prudente face aux risques de baisse, et à l'heure actuelle je pense que nos intérêts sont alignés sur ce des investisseurs en bourse. Marisa Jones est spécialiste des services publics à Gestion d'actifs TD. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb. Si vous voulez faire des recherches sur les sociétés de placement immobilier, CourtierWeb vous propose des outils. Hiren Amin et formateur principal la gestion directe et des points parlant de sociétés de placement immobilier. - Oui, bonjour. Parlons de placement immobilier. Beaucoup d'investisseurs recherchent d'abord la diversification en créant un portefeuille de placement. Le secteur de l'immobilier peut jouer ce rôle. Or, il peut être extrêmement coûteux de s'y lancer. Les sociétés de placement immobilier représentent une corbeille de différents types de placement immobilier qui sont réunis et proposés aux investisseurs. Les fiducies sont propriétaires de biens qui rapportent des revenus et les exploite. Il peut y avoir des immeubles résidentiels, des entrepôts, des centres de données, des hôpitaux, des résidences pour aînés, centres commerciaux et j'en passe. Ces sociétés ont un modèle assez facile à comprendre. Elles perçoivent des loyers, lequel est versé aux actionnaires sous forme de dividendes. Pour être admissible en tant que fiducies, que société de placement immobilier, il faut sentir certaines conditions. Tout d'abord, il faut investir 75 % de l'ensemble des actifs dans le secteur de l'immobilier et ensuite il faut payer au moins 90 % du revenu imposable sous forme de distribution aux actionnaires. Les actionnaires peuvent posséder une part du revenu immobilier sans devoir physiquement acheter un immeuble. Donc quelques éléments dont nous voulons parler. Il n'y a pas de plus-value du capital ou très peu. Par ailleurs, ces parts sont traités comme des actions, ce qui leur donne une grande liquidité, ce qui n'a pas un bien immobilier. nous allons commencer par notre onglet de recherche. Les indices. Nous suivons le secteur des fiducies mobilières. Sur la gauche, on trouve les indices. Il y a un secteur spécifique, les sociétés de placement immobilière on voit donc l'indice, la manière dont il est mesuré, et on peut cliquer sur membres pour voir quelles sont les membres qui s'y qui constitue cet indice. Cela vous donne une liste de toutes les sociétés de placements immobiliers qui sont disponibles sur le marché du TSX. Bien entendu, vous avez les données normales vous permet d'approfondir vos recherches. - Bon, on a parlé du fait que la distribution versée aux actionnaires, aux détenteurs de parts, c'est le rendement. Maintenant qu'on veut envisager les diverses sociétés de placement par région ou par rendement. - Cliquons sur recherche puis sur filtres, ce qui va nous permet de rechercher des critères importants. Cliquons sur filtres. On va éliminer les critères existants, je vais choisir le marché américain. Voyons les sociétés de placement immobilier disponible. Sélectionnant le secteur. Il existe une ventilation. On va effacer tous les secteurs et se concentrer sur l'immobilier. Spécifiquement, nous voulons les fonds de placement. Ensuite, ajoutons le rendement en dividendes, mettons à tout le -moins un minimum de 5 %. et puis un dernier point pour exclure un certain nombre d'occurrences. Le rendement sur 52 semaines pour voir si on peut avoir une certaine plus-value de capital. Mettons que nous voulons au moins 5 % de plus-value. Voilà, 5 %. Une fois que c'est fait, il peut y avoir tous les autres critères que vous souhaitez. Il y a un total de huit résultats. Ce sont les sociétés de placement immobilier que nous cherchons niveau du rendement. On peut les trier pour voir laquelle procure les dividendes les plus élevées. On peut voir également le classement. Service Properties est au premier en cause certains critères. Pour en apprendre davantage, on peut trouver la description. C'est une société qui gère des hôtels au Canada, à Porto Rico et aux États-Unis. Voilà comment il est possible de faire des recherches les placements immobiliers. Afin d'obtenir une exposition ce secteur. - Merci. - Ça me fait toujours plaisir. - Hiren Amin et formateur à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources. À présent, pour une mise à jour sur les marchés. Aujourd'hui, nous allons utiliser le tableau de bord avancé de la Banque TD, plate-forme conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. Voici la fonction de carte thermique, qui donne une idée des titres qui évoluent le plus sur l'indice TSX. Au niveau du cours, mais aussi du volume. Je trouve qu'il est toujours pertinent de savoir quels sont les titres les plus actifs. Suncor se distingue. Bon nombre des titres du secteur de l'énergie progresse. Le groupe OPEP plus se réunissait fin de semaine. Il y a un relèvement du cours du brut de référence américain, ce qui est favorable à l'indice TSX général. À présent, le secteur des mines. Il y a un recul notable du cours de l'or aujourd'hui qui a baissé de 21 $ l'once. Barrick Gold et Kinross sont en recul. On voit également Tech (.. .) First Quantum est également à la hausse. Dans le secteur financier, toutes les banques progressent. Si vous cherchez un peu de faiblesse, les télécommunications, BCE et Telus remontent après avoir beaucoup baissé, mais Rogers est toujours à la traîne, en baisse de 2 %. si vous voulez davantage d'informations, rendez-vous sur le site de la banque à TD.com. On prévoyait que la réouverture de la Chine serait (...) mais la demande médiocre à plomber le cours du cuivre. Selon Daniel Ghali spécialiste des produits de base la menace pourrait empirer (...) il s'agit d'un stock de cuivre de 2 milliards de dollars qui seraient débloqués de la république démocratique du Congo. Essentiellement, il s'agit d'un désaccord entre une société minière et le gouvernement du pays relatif aux redevances qui a forcé la compagnie de stocker le cuivre qu'elle n'avait plus l'autorisation d'exporter. Ce problème dur depuis le mois de juillet dernier. Or, depuis un mois, un accord a été conclu sur les redevances. J'ai dit que cela pourrait changer la donne parce qu'auparavant on s'attendait à un équilibre délicat sur les marchés du cuivre. Ces stocks et la reprise de la production de cette mine pourrait transformer cet équilibre délicat en excédent, ce qui est un problème notamment dans un contexte de demandes faiblissantes et d'offres croissantes, surtout au Pérou. En lisant vos notes régulièrement, je sais que vous surveillez ce problème en république démocratique du Congo depuis quelque temps, mais cela me passionne devant les mécanismes spécifiques peuvent faire évoluer un marché très rapidement. Quand il s'agit de produits de base, ce sont des actifs réels, donc plus le métal est exporté par ce pays, plus il est probable qu'un problème va être réglé en particulier, c'est-à-dire le niveau critique en bas des inventaires visibles sur la plupart des bourses, les inventaires étaient en baisse. La notion même que ce marché pourrait arriver dans les entrepôts des bourses amène les négociants à se débarrasser de métal invendu. Voilà pour l'offre la dynamique de ce côté-là. Au niveau de la demande, la réouverture de la Chine a représenté une déception pour plusieurs produits, y compris le cuivre. Que s'est-il passé en Chine? Tout le monde pensait que pour la fin du confinement, la demande des produits de base monterait en flèche. - Au début de l'année il y avait beaucoup d'optimisme quant à la réouverture de la Chine, laquelle devait jouer un rôle de catalyseur de croissance. Cela s'est réalisé en partie, mais la relance chinoise a été surtout attribuable à la consommation, ce qui n'est pas très propice à la consommation de produits de bas y compris de métaux. Le secteur manufacturier, le secteur du bâtiment est toujours en difficulté. C'est ce que nous avions prévu et continuons de prévoir pour une grande partie l'année car la plupart des promoteurs immobiliers se concentrent sur la survie plutôt que sur l'expansion après l'année difficile qu'ils ont vécu l'an dernier. Qu'est-ce qui pourrait entraîner un revirement Chine? Cela ressemble à notre situation. Après la pandémie, des gens qui n'ont pas pu voyager, vivre des expériences, ouvrent leurs portes fins, ce qui entraîne une relance mais le secteur de l'industrie prix c'est un cas (... ) oui, il faut songer aux conséquences. Comme vous l'avez dit, il y a une forte hausse de la demande de voyage, favorable au secteur de l'énergie mais pas aussi secteur des métaux industriels. De ce côté-là, il faut sans doute que l'activité de bâtiments remonte et il y a des facteurs défavorables structurels. Les gouvernements locaux sont en difficulté et ses pouvoirs publics locaux ont tendance à se financer à partir des droits de mutation immobilier mais ceux-ci sont en baisse à cause d'une réglementation proactive mise en place. Il y a donc des facteurs négatifs structurels. Il faut que les consommateurs reprennent confiance avant qu'il ne se décide à acheter de l'immobilier de nouveau, ce qui ne s'est pas produit jusqu'ici. J'ajouterai aussi que le deuxième volet de cette situation, et nous ne pouvons pas l'oublier, c'est qu'à l'approche cette année, nous venons de vivre l'un des phénomènes de constitution de stocks le plus poussé depuis des décennies. Les chaînes d'approvisionnement étaient affectées, les consommateurs de métaux détenaient davantage inventaires, il y a également eu la guerre en Ukraine qui a menacé les chaînes d'approvisionnement dans le monde entier. Les utilisateurs de métaux ont conservé un stock qu'ils sont en train d'écouler. Nous n'avons pas autant besoin d'importer des métaux de Chine. Nous pensons que la situation des stocks sera plus équilibrée. Si les exportations de la république démocratique du Congo et du Pérou ne reprenait pas en ce moment, les stocks auraient baissé, ce qui aurait été favorable au cours du cuivre. Une autre raison pour laquelle la situation cette change la donne. Ici en Occident, on part d'une récession possible depuis quelque temps. On n'en parle beaucoup, on ne sait pas si elle est déjà arrivée, si elle s'en vient aussi on va y échapper. Quelles sont les conséquences de cette conjoncture pour la demande cuivrent? S'il y a un ralentissement économique, voir une récession en Occident. - Jusqu'ici, la demande est bien commence à se tarir, c'est un phénomène s'accélère. La demande de produits d'utilisateurs continus de diminuer. Nous pensons que cela va se poursuivre au fur et à mesure que la demande occidentale diminue, il faut savoir qu'une part importante de l'économie chinoise est orientée vers l'exportation. Si l'économie industrielle chinoise se relance, il faut que quelqu'un achète tous ces produits. C'est un élément qui ne nous donne guère de raison d'être optimiste à l'égard du cuivre à court terme. Voilà les défis à court terme pour le cuivre. Que vous avez évoqué avec éloquence. Mais à long terme, quels sont les facteurs favorables au cuivre? on ne peut pas parler de cuivre sans parler de véhicules électriques. Il y a une demande de véhicules électriques dans le monde entier en plein essor. Les véhicules électriques voient leur part de marché augmenter aux dépens des moins les véhicules à moteur à combustion interne. (...) Le reste du monde commence à emboîter le pas. La demande de véhicules électriques augmente. Les véhicules consomment une quantité considérable de cuivre, c'est donc très favorable à long terme, en particulier lorsque vous considérez le fait que les investissements ou les immobilisations dans l'offre de cuivre sont en retard par rapport à ce que l'on penserait compte tenu de la situation des prix. La demande va vraisemblablement connaître un essor considérable. Que faudrait-il pour que la situation change? Que faudrait-il pour qu'on prenne connaissance des différents éléments, la RDC, etc. ? Qu'est-ce qui devrait se passer pour que les sociétés minières commencent à envisager de nouveaux projets? - Il faudrait que les prix augmentent, mais le phénomène s'est accéléré depuis la COVID. Si vous comparez l'intensité en carbone de différents secteurs de notre économie au ratio de réinvestissement dans ce secteur, on constate que les mines et métaux, le pétrole et le gaz, à cause de leur forte intensité de carbone, les ratios de réinvestissement ne sont pas aussi élevés. Les facteurs ESG sont une contrainte pour la croissance des approvisionnements de la ville. Dans l'avenir. - Vous venez en tant que Daniel Ghali, spécialiste des produits dolce télé. On se concentre sur les ressources indispensables pour la transition vers. MoneyTalk DIY a un nouvel article. Susan Price va nous en parler. Il s'agit d'une conversation au sujet du lithium. le lithium existe depuis très longtemps, il est exploité depuis très longtemps mais on n'en a pas eu beaucoup besoin jusqu'ici. Le lithium servirait pour la céramique, la verrerie, on n'en utilise un peu pour renforcer le verre. On n'en avait donc pas besoin de beaucoup. Une petite mine en Afrique du Sud et au Portugal pour répondre à la demande. Quand il s'agit de verdir l'économie, les biens et services, on le voit avec la prolifération d'articles rechargeables. Les téléphones intelligents, les tablettes, les véhicules électriques, mais il y a aussi toutes sortes d'objets dans les intérieurs individuels: les brosses à dents électriques, les outils électriques rechargeables et les véhicules électriques n'ont fait que donner de l'ampleur à ce phénomène. J'ai donc plus de lithium dans ma maison que je ne le savais, mais je n'ai pas de véhicules électriques pour l'instant. Il y aura un véhicule électrique à mon entrée de garage de séjour. De combien de lithium un véhicule a-t-il besoin? Une batterie a besoin de 8 kg, c'est-à-dire huit ananas. Un petit peu de lithium par-ci par-là pour faire du verre, ce qu'on utilisait auparavant. Maintenant il faut 8 kg par automobile. Vous voyez un plein essor de la demande. Ce qui entraîne une dynamique de frais de demande. La demande est très forte, le frère raisonnable et cela change le cours. En 2020, combien auraient-ils coûté d'acheter du lithium pour un véhicule électrique? En 2020, s'arrêter 56 $ pour acquérir le lithium requis pour un véhicule. En 2022, ce coût à cause de la hausse de la demande et l'offre insuffisante et passe à 690 $ par véhicule pour le lithium. Aujourd'hui, nous sommes à environ 189 $. Ce qui fait l'intérêt de ces fluctuations, c'est que avec cette volatilité dans les coûts, les investisseurs commencent à se demander s'il y a des occasions. Les sociétés minières comment savoir des occasions à saisir. Se demandent s'ils peuvent accroître leur production en réponse à la demande accrue. C'est ce genre de situation qui se retrouve dans les pages, dans les cahiers d'affaires. Au Canada, nous avons une industrie minière florissante. Quand nous débrouillons nous en ce qui concerne le lithium? Nous ne sommes pas parmi les cinq premiers. Le lithium est extrait en Amérique du Sud, surtout Chili, en Australie, au Portugal, mais un projet dans la région de la baie James a été autorisé pour extraire les lithiums. C'est important parce qu'il ne s'agit peut-être pas d'une quantité énorme sur la scène mondiale, mais cela signifie que les fabricants canadiens disposent d'une source intérieure. Il n'est pas nécessaire de rivaliser avec d'autres concurrents. Si le lithium est extrait dans la baie James, il peut être livré à Windsor où se trouvent les usines. On crée une efficacité très favorable non seulement pour notre économie mais pour la production globale. Il y a donc un grand nombre de facteurs qui pourraient entraîner une hausse du lithium. Quelles en sont les risques? - Il y a les trois risques typiques: la volatilité, l'offre et la demande, si toute une série de mines commence à produire du lithium, le cours va baisser. La volatilité représente un risque. Il y a le risque géopolitique. À l'heure actuelle, l'Australie, le Chili, ne sont pas des pays risqués au plan politique, mais la Chine s'efforce de rivaliser de façon assez dynamique. Il faut faire attention à cela. La volatilité, le risque géopolitique et l'évolution de la technologie. À l'heure actuelle, ultime est très important pour la technologie. Il s'agit d'un produit très utile. Mais si la technologie change, il y a un risque assez loin de la forte demande lithium pour passer à autre chose. Voilà les éléments que nous apprenons au sujet du lithium. Il s'agit de ce genre de risque. - Merci pour ce reportage fort intéressant. J'espère que vous passerez plus souvent sur notre plateau. Elle est rédactrice (. ..) nous serons de retour lundi avec Justin Flowerday, responsable des actions cotées en Bourse à Gestion d'actifs TD, qui répond à vos questions sur les marchés. Vous pouvez nous lui poser d'ores et déjà, par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Au nom de toute notre équipe, à lundi!