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- Bonjour ici Greg Bonnell et bienvenue à parloir gens direct, inhibition de placement direct et des. Aujourd'hui, Michael Craig chef de la répartition d'actifs à Gestion d'actifs TD nous explique si le bon départ du marché cette année est une illusion. Robert Both de valeurs mobilières TD commentent les statistiques prometteuses récemment parues sur l'économie et leurs conséquences possibles pour les taux d'intérêt cette année. La saison de la déclaration de revenus est à l'horizon, Nicole Ewing, directrice de la planification fiscale et successorale nous explique ce que nous voulons nous rappeler. Dizaines anathèmes expliquent comment utiliser les ordres stop sur la place par son courtier Web. D'abord accoudé sur le marché. Les données économiques sont très fortes récemment. Les intervenants de la Fed de cette semaine n'ont pas exclu une hausse de 50 points de base à la prochaine fois. En plus des annonces bénéfice, l'indice CPT sexe est en recul de cinq; 1/2 %. Le cours du brut remontait par rapport au creux touché en début de séance. Le WTI, bruit de référence américain est à 76 30 en baisse de près de 3 %, ce qui touche les titres de l'énergie. Comme – aurait attendu. Neuf dollars l'action pour que je ne prenne, en baisse de 3 %. Fairfax Financial, le titre est en hausse de 7 %. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 instantané les marchés américains tandis que les investisseurs cherchent à s'y retrouver dans la trajectoire d'inflation cette année, l'inflation globale recule. Dans quelle mesure la Fed devra-t-elle mener un combat dans l'année et quelles sont les conséquences pour les taux d'intérêt? L'indice est en baisse de 30 %, moins de 1 %. L'indice Nasdaq faiblit un peu plus que le marché dans son ensemble. 152; soit presque 1/3 %. Certains titres de technologie Amiga capitalisation sont en recul. Amazone à 95,92 $, en baisse de cœur pour cent. Les marchés ont bien commencé l'année. Avec les avertissements des entreprises au sujet des perspectives de croissance, les investisseurs se demandent si la remontée va se poursuivre s'il s'agissait d'un faux départ. Michael Craig chef de la répartition active Gestion d'actifs TD commande. - Il y a seulement deux raisons pour lesquelles les actions mondent. Tout d'abord, on paie plus pour la même chose, ou bien elles peuvent générer de meilleurs bénéfices. Au fil du temps, ce sont les bénéfices qui prédominent. Lorsqu'il y a des fluctuations dans le cours des actions. Cette remontée si est plutôt appuyé sur les valorisations. Nous en sommes à 19 fois, 19 fois et demie. Les commentaires des entreprises sont mitigés, voire négatif dans la plupart des annonces bénéfice. Pendant ce trimestre, ils sont dans la plupart des cas accompagnés de coupures normales. Les marchés peuvent-ils remonter? Certes. Ils ne sont pas tellement intéressants niveaux dévalorisation. Du moins l'Amérique du Nord. Il faut faire preuve de prudence. Surtout sur le marché américain. Certains pensent qu'il s'agit d'une situation classique où les optimistes se font piéger. Tandis que les pessimistes se sont rendus compte qu'il devrait couvrir leurs positions à découvert. - Oui tout à fait. Ce sont des investisseurs qui doivent ouvrir leur position à découvert. Par exemple, tesla, regardez le graphique. Tesla a remonté le summum ils sont de 85 ans indice aujourd'hui, les états croissant d'octobre. Arc Invest à progresser mais à partir de niveau très bas. Il s'agit de stratégies qui ont été sous pression et que les investisseurs ont dû déboucler. Je pense que les spéculateurs découverts dans le pessimisme général avaient pris des positions qu'ils ont dû couvrir dans le cadre d'une remontée en forme de réplique. On peut gagner beaucoup d'argent en spéculant à découvert, mais c'est délicat. Les investisseurs devraient être prudents. - C'est délicat effectivement, il faut être prudent dans cet environnement ce qui concerne la peur de rater quelque chose. Après la premier semestre difficile l'an dernier, viennent remonter cet été. Les investisseurs seulement non sans raison: ce qui s'est illusion? Bien sûr, la remontée du mois d'août est suivie d'une relation est de même chose à l'automne. - Oui. Le moment est propice pour faire preuve de prudence. C'est un bon marché pour spéculer. Il y a beaucoup de volatilité. Mais pour les investisseurs, les choses sont très différent de ce qu'elle est-elle il y a un mois? Pas vraiment. Une partie l'optimisme à l'égard des coupures de taux deuxième semestre est à présent exclu dans les pronostics des marchés. C'est un facteur défavorable au roman des entreprises. Certes, il y a des créneaux de valeur intéressant, l'indice est cinq à sept Amiga capitalisation, il y a des actions sur lesquels on peut gagner de l'argent. La sélection d'actions compte beaucoup. Ce ne serait pas un marché en hausse constante depuis quelques années. Ce sera un article plutôt stagné. Que dire des titres à revenu fixe? - Nous avons abordé l'année avec optimisme. Ne fût-ce que par lassitude, nous savions que le fait de les arrêter. À combien de temps demeurions nous aussi taux élevé? C'était la question. Mais maintenant, après une année difficile, les titres à revenu fixe semblent être porteurs d'opportunités. - Les titres à revenu fixe au début de l'année étaient extrêmement, se portait extrêmement bien, rendement très élevé, les prix étaient bas. Cette remontée un a été un peu dégonflée il y a la semaine dernière avec 20 points de base pour le recule pour les obligations. Surtout à cause des chefs sur la masse salariale. Très élevé au Canada et aux États-Unis. De vendredi dernier. Nous sommes dans un domaine où il y a plusieurs facteurs contradictoires dans le tableau de l'inflation. Généralement, on s'entend pour dire que l'inflation a baissé, mais à quel rythme? On ne le sait pas. Le chiffre de l'IPC qui paraîtra demain sera extrêmement important. L'indice du coût des entreprises sera le mois prochain, il y a des ajustements saisonniers, les milieux financiers paniquent un peu. Parce qu'il y a toutes sortes de facteurs mathématiques. Il s'agit d'estimation de toute façon. Beaucoup de calculs mathématiques et en tranches. - Les titres à revenu fixe, je crois, on connaît une bonne année. Mais pas en droite ligne. La clé avec les titres à revenu fixe, c'est qu'il pourrait y avoir une certaine volatilité et fluctuations. Mais vous gagner quatre à 5 % avec ses stratégies et vous avez beaucoup de choix en cas de récession pour les romans des obligations ont nettement baissé. C'est la thèse pour les titres à revenu fixe. La situation actuelle de recul offre des possibilités de se relancer sur le marché. C'est comme les actions avec la situation actuelle de l'économie, il y aura de la volatilité on ne sait pas trop ce qui va se passer. - Vous avez parlé de l'emploi, les statistiques de l'emploi qui sont très fortes, mais l'inflation qui reflue, est-ce que certains parlent, je pense qu'on a parlé d'une désinflation immaculée. Essentiellement, il s'agit de scénario dans lequel on maîtrise inflation, mais sans trop abîmer le marché du travail. Sans trop abîmer l'économie. C'est le scénario du meilleur des mondes. Est-ce possible? - Historiquement, ce sont des pronostics ont fait avant une récession. Alors ce n'est pas la première fois qu'on pronostique une transition en douceur. Les banques centrales ont déclaré très clairement, Michael Carné le départ de la fin de semaine, nous allons entrer en récession. Vous n'allez pas bénéficier d'un assouplissement monétaire parce que l'inflation ne va pas avoir atteint le niveau que nous attendions. C'est vraiment très baissier. C'est bizarre. En septembre, parce que c'était la fin du monde, et maintenant, nous avons tenu compte d'une récession, nous l'avons exclue, et nous avons tenu compte, mais elle n'a pas encore eu lieu. La dernière fois, je ne pense pas que ça va se passer comment 2008, sans compter le COVID, c'était trop court niveau du marché. C'était la première fois qu'on a une chambre d'écho dans les médias sociaux. Il y a une boucle de discussion. Je crois que ça a changé la façon dont les gens songent à la situation. Typiquement, les gens ne pensent pas à une récession. Typiquement, c'est un choc quand elle survient. Cette fois-ci, on est au courant, on l'attend, mais rien ne s'est encore produit. Je crois qu'il s'agit de comprendre que le monde a changé, la façon dont on communique changer, ce qui entraîne beaucoup de faux départ. Au niveau d'une récession qui vient et qui ne vient pas. L'atterrissage en douceur et tout va bien se passer comme par magie. Je ne dis pas tellement d'accord. Songez aux données sur le logement, aux États-Unis et au Canada, on ne prévoit pas un atterrissage en douceur. L'ordre de logement étend économique. - René Danton Michael Craig chef de la répartition d'actifs en Gestion d'actifs TD. L'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur le marché. Les actions d'Air Canada sont en vedette après que le plus grand transporteur aérien du pays est affiché des bénéfices inférieurs aux prévisions à cause de la hausse des coûts pendant le trimestre. Air Canada toutefois un pronostic optimiste cette année, prévoyant une forte demande de voyages. L'action baisse de 7 %. Dire annonce un chiffre d'affaires et bénéfices supérieurs aux prévisions pour le dernier trimestre. Le constructeur de machines agricoles relève son pronostic des bénéfices pour cette année, puisque la demande ces produits demeurent fortes. Le titre en hausse de 7 %. Doordash annonce des pertes plus importantes que prévu. Malgré des ventes supérieures aux prévisions. La compagnie de livraison alimentaire signale des coûts reliés à l'achat de la compagnie finlandaise World et des licenciements novembre toutefois, pronostic de la compagnie pour le trimestre en cours est optimiste. L'action est en baisse de 5 %, après avoir cédé de 6 % après la clôture hier. À présent, les grands indices? Tous, ce dernier jour de bourse de la semaine, l'indice négatif en baisse de 85; un peu moins d'un demi pour cent. Aux États-Unis, nous n'avons toujours pas tourné la page des pronostics d'inflation. Qu'est-ce les banques centrales vont devoir faire pour la maîtriser? Toutes ces questions se posent et aux États-Unis au moins, nous approchons de la fin des annonces bénéfices. Les banques canadiennes ont commencé la semaine prochaine. Mais aux États-Unis, l'indice Saint Pie V Saint Ambroise un peu moins de trois quarts de pour cent. Cette année, les rappels abondent que la saison des déclarations de revenus approche. Je me suis entretenu avec Nicole Ewing directrice de la planification fiscale et successorale gestion de patrimoine TD au sujet des finances personnelles. - Il faut commencer à recueillir les bordereaux, dresser une liste des bordereaux que l'on attend. Une année, j'en ai oublié un et je produis ma déclaration sans par anticipation sans me rappeler qu'il y avait un autre bordereau que j'attendais ça ne s'est pas bien passé. Je ne le recommande pas. Essayer de prévoir les bordereaux qui vont arriver. Bien sûr, il s'agit de payer et de produire à temps, aussi rapidement que possible avec la hausse des taux, les taux prescrits et de 8 % pour les arrérages d'impôts. Il y a également la date limite pour les cotisations derrière, les cotisations. J'ai failli dire les donations. Bon. Donc non seulement doit-on planifier pour les impôts de l'an dernier, mais pour ceux de cette année. Parlons-en. C'est la fin du mois civil, 1er mars, il faut avoir fait des cotisations derrière pour le prochain exercice. Et puis vous produisez vos déclarations plus tard. Est-ce qu'il est avantageux de tâcher de déterminer où vous êtes, si vous le prenez des décisions? La date limite passe efforts que vous produisez votre déclaration, vous dîtes aujourd'hui faire de fautes des choix différents. - Oui, c'est important. Le mieux est parfois l'ennemi du bien en ce qui concerne la planification. Une estimation raisonnable de ce que vous pouvez cotiser, vous et votre conjoint, le cas échéant, ce que vous allez produire, ça vaut la peine. Afin de cotiser votre arrière et de s'assurer que la cotisation est faite de ne pas retarder. - Je pense que c'est certainement utile. Vous avez parlé de conjoint. Si vous êtes dans une situation familiale, pourrait avoir différentes stratégies déployées. À l'approche de la saison des impôts. Quels sont les plus populaires et plus efficaces? - Il y en a une ou deux qui viennent à l'esprit. La cotisation arrière de conjoint, c'est une manière très efficace de fractionner un revenu futur. Plutôt que de cotiser à mon propre arrière, si je cotise horaire de mon conjoint, j'utilise la marge cotisations et mon conjoint au moment de la retraite pour retirer l'argent à son taux marginal à ce moment-là. Donc lorsqu'il y a une forte disparité entre les taux marginaux ou le revenu anticipé au moment de la retraite, il convie de songer à cela, à ce fractionnement du revenu futur une fois que nous en tirons le produit sous forme de FAR, ensuite il y a le CELI. Normalement, il s'agit de faire un don au conjoint sans que le revenu ne soit attribué. S'agit de la règle d'attribution. Je ne sais pas où la plupart des gens ont sont à leur connaissance, la règle générale et si je fais un don ou un prêt du taux prescrit à mon conjoint, ce dernier ne peut pas déduire revenu au taux marginal. Je dois le déduire moi-même. Mais le CELI vous permet de faire don d'une somme à votre conjoint de cotiser ça à son CELI il n'y a pas d'impôt. Il n'y a pas de règles d'attribution. Il n'y a pas d'impôt que je devrais déclarer son revenu. C'est une façon très efficace de mettre de l'argent entre les mains du conjoint à plus faible revenu et de le faire de la façon la plus efficace fiscalement. - Vous avez parlé du taux prescrit. Je n'avais pas pensé au fait que dans un environnement du os des taux, si vous produisez aussi vous payer en retard, le taux prescrit pour les prêts entre conjoint change. Est-ce que le calcul pour cette stratégie a changé? Bien sûr. - Fait des années qu'on en parle, il y avait le taux de 1 %, le plus bas possible. Essentiellement, si vous prêtez une somme à votre conjoint ou taux prescrit, vous êtes en mesure, conjoint vous souhaite vous faire des intérêts, vous les déclarez tout va bien. Les règles d'attribution de s'appeler pas. Il y a peu de temps et c'était 1 % et à présent ce sera 5 %. L'avantage d'une stratégie comme cela, c'est qu'il vous permet, quand votre conjoint prend l'argent investi, la différence entre le rendement de son placement et le pourcentage qu'il doit vous payer sous forme d'intérêts, il y avait une occasion d'économie. C'est un peu plus difficile quand le taux abattrait de 5 %. Pour rentabiliser ses stratégies, compte tenu de toute mesure de conformité supplémentaire. Ce que je vous recommande, si vous avez un prêt à taux prescrit en place depuis plusieurs années, veiller à ce que ce paiement d'intérêts soit effectué d'ici la fin janvier. Merci si vous ne le faites pas, vous perdez l'avantage de ces règles et les règles d'attribution continue de s'appliquer. J'espère que personne se trouve dans cette situation. C'est une équation différente qu'il y a quelques années. - Voilà un changement important dans le paysage que l'on doit se rappeler. Autre chose qui diffère dans cette saison de déclaration de revenus? - Oui dernier, il y a eu beaucoup de cristallisation de perte en capital. Cette année, ce sera nouveau pour certaines personnes qui devront demander si elles vont réclamer ses pertes et les reporter prospectives Maout rétrospectivement. Il se pourrait qu'il faille faire des calculs. C'est une stratégie qu'on ne veut pas avoir employée très souvent. Mais c'est un peu différent pour beaucoup de gens cette année. - Condition, bien sûr, en fonction de la nature de vos investissements, votre horizon temporel et du véhicule placement, quelqu'un dira: j'ai perdu de l'argent sur une action dans mon CELI. Ce n'est pas la même chose que le père de l'argent dans un compte enregistré? - C'est une situation malheureuse parce que une fois que ces cotiser au CELI, ou n'est pas imposé sur les gains, on est imposé sur le revenu, mais vous n'avez pas la possibilité de réclamer vos pertes. Malheureusement, ces pertes sont piégées dans le CELI et ce n'est pas idéal. Mais c'est un bon rappel. La nécessité de choisir ce que l'on investit dans chaque type de placement, non ça compte enregistrer ou non enregistré et de veiller à songer à l'imposition de chaque type d'investissement plutôt que de bourrer nos célébrer placement sans réfléchir à la possibilité de perte. - Jouvenet d'antan Nicole Ewing directrice de la planification fiscale et successorale gestion de patrimoine TD. À présent, poursuivons la découverte du courtier Web. Les heures de stop sont un outil que les investisseurs peuvent envisager dans les marchés volatiles. Dizaine attique, formateur oblation direct TD nous explique comment les utiliser. Bonjour designs! Parlons désordre stop. Pourquoi sont-ils intéressants pour les investisseurs? - Bonjour grec. Les investisseurs réfléchissent beaucoup au point d'entrée dans un nouvel investissement. Mais une stratégie de sortie peut parfois être négligée. C'est un élément très important d'un plan d'investissement et un ordre stop peut être très important. Qu'il s'agisse de limiter les pertes ou de sécuriser les gains. J'ai affiché un graphique l'écran sur courtier Web. Il s'agit de SP Y, cette ligne bleue représente un point factice auquel j'aurais acheté l'action. Les ordres stop sont placés en deçà du cours du marché actuel. Vous voyez le cours actuel, on peut poser n'importe quel niveau en deçà du niveau lorsque le cours descend jusqu'à ce niveau. L'ordre se déclenche. Nous avons planifié à l'avance pour éliminer l'émotion, la position est vendue pour limiter les pertes ou sécuriser les gains. Je vais dessiner des lignes supplémentaires par exemple, dans cet exemple, l'action à monter, donc nous sommes bénéficiaires. Si nous voulons nous assurer de réaliser un petit profit, on peut fixer un ordre stop autour de 400 $. Encore une fois, cela se fait au début de l'opération. Si vous savez que vous ne disposez à perdre une certaine somme, vous pouvez utiliser un autre justement deçà du marché afin que si l'opération ne va pas dans le sens souhaité, vous ne laissez pas tout votre argent sur la terre. - Une autre notion clé au niveau désordre stop, il faut les établir un niveau de risque qui nous satisfait, mais voyez sur le graphique que les actions évoluent pas dans une seule direction. Il y a des hauts et des bas. On peut examiner les indicateurs inférieurs, la gamme moyenne réelle. Voici la moyenne du mouvement de l'action pendant une journée donnée. Vous pouvez commencer à réfléchir au niveau approprié pour rétablir l'ordre stop à fin de ne pas déclencher l'ordre trop près du cours. Actuelle. Ce qui pourrait se passer si vous fixez lors de troubles du cours. - Très bien. Maintenant que nous savons ce qu'est un ordre stop, comment partir sur la plate-forme courtier Web? - Eh bien, passons un ordre. C'est le plus facile, celle-ci identifie la tolérance au risque de chaque investisseur. Passons notre offre. Au sommet de l'écran, il y a les flèches achats et ventes, nous allons commencer à partir de zéro. Alors donc, il y a l'écran d'ordre habituel qu'on utilise le même symbole. Vente, la quantité est reliée au moyen de l'investisseur. Choisissant stop au prix du marché c'est-à-dire lorsque l'action atteint le prix ce que vous avez fixé, l'action sera vendue au meilleur prix disponible. Admettons que nous l'avons acheté un peu moins de 400, nous mettons 400 $ pour sécuriser des gains. Si SP Y descend deçà de ce cours, l'ordre déclenché et le titre est vendu. Vous avez la possibilité de choisir la durée de votre ordre pour la journée, c'est-à-dire jusqu'à 16 heures heure de l'Est. Vous pouvez choisir une date individuelle ou en vigueur jusqu'à ce que soit annulé. Pour les actions canadiennes que celui de 90 jours. Pour les titres américains, 680 jours. Beaucoup d'informations! J'espère que vous en profiterez de votre portefeuille! Merci Jason! Au revoir! - Jason Natyk et formateur placement direct et des. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage courtier Web vous trouverez davantage de ressources y compris des webinaire à venir par exemple comment trouver des idées de spéculation pendant les marchés volatiles sur le tableau de bord avancé. - La récente série de statistiques économiques prometteuses peut amener certains investisseurs à se demander jusqu'où les banques centrales vont aller pour maîtriser l'inflation. Robert Bowth de stratégie sa valeur mobilière TD nous explique son point de vue. - Au début de cette année, nous avons commencé à voir la banque du Canada et la réserve fédérale manifestait un ton plus indulgent par rapport à ce qu'elle déclarait au dernier trimestre de l'année précédente. La banque du Canada a augmenté les taux d'une 25 points de base en janvier, ce qui le plus étonnant, c'est qu'elle a annoncé qu'elle était prête à marcher marquer une pause dans les hauts de tous la perspective dévolue conformément à ses pronostics. Nous prévoyons que la banque du Canada demeurera à 4,5 % pour le reste de l'année. Mais nous ne prévoyons pas nécessairement qu'elle renonce entièrement à toute hausse de toi ce montant dans le cycle. De la même façon aux États-Unis, on commençait à entendre un ton moins ferme et plus conciliant de la part de Jérôme Powell et des autres gouverneurs de la Fed. Jusqu'ici, il ne défendait pas nécessairement les projections du mois de décembre qui prévoyait que le taux au jour de jour de la fête atteindrait 5,6 %. Ils ont commencé sinon reculé par rapport à ses pronostics du moins cette à les défendre fermement, ce qui a amené les marchés à ce marché à se demander s'il allait suivre le projet Tower est un peu plus toutes ces rideaux totaux. Depuis deux semaines, nous avons commencé à citer un certain retournement. Ce qui a déclenché ça, c'est le rapport sur la masse salariale non agricole pour janvier. Lorsque ces données ont paru pendant la première semaine de février, nous avons constaté que 500 000 emplois avaient été créés aux États-Unis. Il s'agissait d'un nouveau creux pour le taux de chômage, un chef n'ont pas atteint pendant des décennies, ce qui signifie que le marché du travail est de plus en plus serré dans une économie qui a fait une demande excédentaire plus en plus important. Vendredi dernier, les chiffres de l'emploi au Canada. L'un des meilleurs chiffres jamais vu hormis la période de COVID, 150 000 emplois créés. Et d'assez fortes pressions sur les salaires. Nous allons à présent découvrir si l'économie continue de se dérouler conformément aux prédictions de la Fed ou bien si cette dernière va peut-être sortir de sa réserve plus tard dans l'année. Quand on reçoit ces rapports, on se dit: moi je ne fais pas une tendance. Mais il y a des séries de statistiques mensuelles plus prometteuses, plus positifs que prévu. L'inflation globale aux États-Unis continus de rétrograder mais ne semble pas pressée de redescendre à 2 %. Les prix de gros sont en hausse de 0,7 % en janvier. Maintenant, sans qu'il y ait une dynamique qui laisse savoir que la lutte contre l'inflation pour apprendre plus longtemps que les investisseurs ne l'avaient espéré en début d'année. - Bien sûr, si statistiques ne constituent pas une tendance à résoudre du point de vue de la banque Canada. Cette dernière voudra prendre connaissance de données plus étendues. Elle voudra que le PIB recule davantage qu'elle avait prévu pour le premier trimestre avant que de remettre en question ses propres perspectives. Les données sur l'emploi au Canada sont notoirement volatiles. Certaines personnes avaient remis en question l'exactitude de ce chiffre de 150 emplois créés, vous avez travaillé là-dessus, récemment. Qu'avez-vous constaté en approfondissant? - Nous nous demandions s'il y avait des effets anormaux attribuables aux ajustements saisonniers qui auraient pu jouer un impact. Nous avons constaté qu'il est très difficile d'attribuer la solidité de l'économie à l'un ou l'autre facteur. Depuis deux ans, deux ou trois en 2021, 2022, il y a eu des pertes d'emploi considérable en janvier parce que c'est à ce moment-là que l'économie subissait des vagues de COVID. Il y avait davantage politique de distanciation sociale été mise en place. Si vous tenez compte des chiffres non ajustés ça dernièrement, il y a des résultats bien meilleurs ce janvier ainsi que toutes mois de janvier depuis 10 ans. Il est difficile d'attribuer cela aux fluctuations saisonnières. On ne relève pas d'autres anomalies non plus. Il y a eu quelques cas particuliers, mais il est très difficile de prendre ce rapport entièrement au sérieux, surtout compte tenu des résultats depuis quelques mois. Nous avons ajouté 665 000 emplois au quatrième trimestre. Quand vous considérez une période plus longue, la moyenne s'établit à 50 000 emplois par mois depuis six mois. Ce qui est beaucoup plus difficile à ignorer puisqu'il s'agit du double du tour nécessaire pour assurer la stabilité du taux de chômage du taux de participation. Le marché du travail continu de se resserrer et l'économie entre de plus en plus dans une phase demande excédentaire. Les marchés tiennent même compte à présent de la possibilité, la banque Canada a annoncé une hausse puis une pause, maintenant les marchés en fonction des données qui ont paru seulement il n'y aura peut-être pas une autre hausse avant l'automne. Est-ce probable? - Comme je l'ai dit, je crois que nous devons voir davantage de données pour vérifier que la croissance est supérieure aux prévisions de la banque Canada pour la banque Canada vient de faire paraître le procès-verbal de délibération de janvier. C'est la première fois que nous avons pue lever un coin du voile et comprendre ce qui a amené la banque prend ses décisions mois de janvier. L'un des éléments avancés par la banque, c'est qu'il faudrait qu'il y ait une accumulation de données montrant que les pronostics ont dévié de leurs prévisions. Il s'agit d'un seuil très élevé. Quant à une éventuelle augmentation à la prochaine réunion de la banque, ici juste d'ici 2023, l'inflation est plus persistante, une possibilité que le mode Canada serait obligé de redescendre dans l'arène. Ce n'est pas notre scénario de base que nous prenions toujours 4,5 %, mais cela va exercer davantage de pression sur la banque et accroître encore l'importance des statistiques. L'inflation prochaine, il y aura les dernières statistiques sur l'inflation Canada. Avez-vous des attentes? - Je crois qu'il y aura une baisse inflation, une fois de plus en janvier. Elle est déjà passée de 8,1 à 6,3 %. Je pense qu'il y aura sans doute une baisse de l'inflation jusque vers 6 %. Il y a un facteur qui complique les choses, c'est que les cours de l'énergie qui ont impulsé le recul par rapport au sommet de l'an dernier ont commencé à évoluer. On avait un chiffre aux États-Unis: l'inflation a augmenté moins rapidement mais augmentait toujours un mois sur l'autre. Et assez nettement. Il y avait également un rebond dans les prix des biens de base aux États-Unis. L'inflation dans les services et plus permanente, plus persistante. Les biens de base avaient contribué à la désinflation depuis six mois. Si les coûts de bien débattre comment segmenter, cela va introduire de nouveaux risques de hausse au niveau des perspectives d'inflation et les perspectives de tout terminal Canada et aux États-Unis. - Vous venez d'entendre Robert Both, stratège à valeurs mobilières TD. Si vous avez un dernier coup d'œil sur le marché, jour de baisse pour les bourses avant d'aborder une fin de semaine prolongée. L'indice CPT sex est en baisse de moins d'un demi pour cent. Le cours du brut et suppression également, jetant un coup d'œil sur l'action d'Air Canada, en réaction négative des milieux financiers à la dernière annonce de bénéfices. 21,46 $ l'action en baisse de plus de 7 %. Certaines pressions s'exercent sur le secteur minier également ce qui concerne les mines d'or. Kinross Gold est en baisse presque 3 %. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 est en baisse de 30 points, soit 34 %. Bien sûr, l'inflation demeure le grand thème. Le rapport sur l'inflation Canada par la semaine prochaine. Aux États-Unis, l'inflation dans la bande la bonne direction et demeure très élevée par rapport à ce que les banques centrales attendent, ce qui soulève ces questions par rapport à ce qui pourrait venir plus tard. L'indice Nasdaq remonte un peu par rapport aux crues en début de séance, mais toujours en baisse depuis 2 %. AMD, fabricant de semi-conducteurs, secteurs et sous pression. AMD est en baisse de deux et demis pour cent. Il n'y a pas d'émission lundi puisque les bourses sont fermées pour le congé de la fête de la famille. Soyez à l'écoute mardi, Alex Gorewicz répond à vos questions sur les titres à revenu fixe. Vous pouvez d'ores et déjà nous poser vos questions par courriel, moneytalklivetd. com. Merci, au revoir et à mardi!