Print Transcript
(musique) - Bonjour, c'est Greg Bonnell. Bienvenue à parlant argent direct, une émission de placement direct Ltd.
Aujourd'hui, nous avons évoqué la possibilité que la plus grande économie du monde entre en récession cette année avec Thomas Filthène, économiste principal.
Vitali Mossounov de gestion d'actifs cet été nous explique les deux critères auxquels les titres de technologie doivent répondre pour reprendre le leadership du marché, et avec Steven de garde August rituelle, comment on les annonce bénéfice aux États-Unis.
Nous poursuivons la découverte des courtiers Web Caitlin Cormier nous explique comment créer un portefeuille décès. Tout d'abord, une mise à jour sur le marché.
Il y a du verre à l'écran. Dernière journée de négociation de la semaine.
C'est assez modeste. Mais après la baisse des récentes séances, ce n'est pas à négliger. L'indice SCP TSX est en hausse de 88., Presque 1/2 %. Le goût du risque sont revenus sur les marchés, on le voit dans l'étude technologique Shopify qui progresse à 52,50 $ l'action.
(...) Est sous pression en revanche, en baisse de presque 3 %.
ADB annonce que les protestataires ont endommagé une de ses mines de cuivre au Pérou.
Aux États-Unis, nous sommes en pleine saison annonce bénéfice! Plex a annoncé après la clôture des bénéfices qui ont impressionné les milieux financiers certains des grandes entreprises technologie annoncent découpeur d'emploi, ce qui relance leurs actions. L'indice S&P 500 est en hausse de 80 points de base.
Quant à l'indice Nasdaq, il remonte encore davantage à 1 1/3 %.
Tesla remonte un peu après une difficulté des 12 derniers mois.
Tesla est en hausse de presque 3 % à 130,79 $ l'action.
La semaine prochaine, la banque du Canada annonce sa décision sur les taux d'intérêt.
Aujourd'hui, les statistiques sur les ventes de détail ont paru. Anthony Okolie les commandes.
- Les ventes sont inférieures aux prévisions en novembre, en baisse de un, pour cent. Alors que statistique Canada prévoyait un recul de 0,5 %.
Les ventes ont baissé dans six des 11 sous secteurs en novembre.
Six des 11 sous secteurs.
Les progrès se situaient surtout dans les stations-service et les concessionnaires d'automobiles, concessionnaire qui affiche la plus forte croissance depuis juin 2022. Mais apport l'essentiel retourna, canadiens n'ont guère ouvert leur portefeuille. Les ventes étaient largement inférieures au niveau de l'inflation générale, c'est la plus forte baisse depuis 12 mois.
L'alimentation et la restauration, l'alimentation et les boissons sont en baisse. Le matériel de jardin, les appareils électroniques ménagers sont en hausse de 1 %.
Ceci montre une tendance au ralentissement.
Par rapport à la première moitié de cette année.
Il s'agit de ce que les banques centrales disaient qu'elle voulait voir.
Avec toutes ces hausses de taux, énergique, il s'agissait d'atténuer l'inflation.
Mais l'inflation ne baisse pas avant que l'économie ne faiblisse, que ce soit la résilience consommateurs, que ce soit le marché du travail. La banque du Canada tient compte de cette information.
Ça nous montre au sujet de la consommation vers le monde du Canada, nous en avons parlé, au sujet de la confiance des entreprises.
- Le banque du Canada annonce que les consommateurs s'attendent à une récession au cours des 12 prochains mois, s'attend également à un affaiblissement de la demande, les consommateurs diffèrent les achats, à cause de la hausse des prix, ce qui plombe les plans d'embauche.
L'inflation était plus basse en décembre par rapport à novembre, mais elle est toujours relativement élevée.
Pour ne pas prévoir un changement de cap des banques centrales alors que l'inflation demeure si élever.
Elle veut que la tendance s'accentue.
Mercredi prochain c'est le grand jour, à 10 heures, la décision sera annoncée au niveau des taux.
Il y aura une conférence de presse à 11 heures, le gouvernement va annoncer les plus récentes attentes à l'égard de l'économie.
Je crois que les pronostics sont à l'heure actuelle une hausse de 25 points de base.
Ce genre de choses auxquelles nous étions habitués.
- Louis, le marché s'annonce une hausse de 25 points de base. Bien sûr l'an dernier, les taux ont été augmentés cette fois, ce sera la huitième fois de suite, ce qui passe le tout à quatre et demis pour cent. On prévoit qu'il y aura encore une augmentation puisque la banque marquera une pause pour voir quelles ont été les conséquences pour l'économie. Encore une fois, il s'agit de tout restrictif qui pourrait ralentir potentiellement l'économie.
Ralentir l'inflation, on l'espère. On prévoit que ce sera 25 points de base.
- Une semaine bien occupée, merci Anthony Okolie!
Andrew Calvin des services économie télé sera notre invité de ce jour pour nous expliquer ce que cela signifie pour la trajectoire future des taux d'intérêt.
Le ralentissement de la croissance inquiète beaucoup d'investisseurs. Quelles sont les chances que la plus grande économie au monde entre en récession cette année?
Thomas affermi, économiste principal commande.
- Si on prend plus de recul et qu'on revient sur 2022, la croissance au troisième trimestre était relativement forte à plus de 3 %.
Cette trimestre sur l'autre, nous n'avons toujours pas les données du quatrième trimestre, mais tout semble tourner au tour de deux et demis pour cent. Et ceci intègre une tendance dépensée consommateurs qui s'établit à 3 % d'un trimestre à l'autre, une base annualisée. Ce sera le rythme, meilleur rythme de croissance des dépenses de consommation en 2022. Cela arrive après une série de hausse de taux préventives de la fin de la fin de l'année. Le consommateur manifeste une résilience certaine.
Cela ne représente pas nécessairement une économie qui est au bord de la récession.
On songe également marcher du travail. Nous avons reçu il y a quelques semaines des données pôles emploi, en décembre, économie ajoutait 200 000 emplois. C'est un niveau cinq. Le taux de chômage a diminué à trois et demis pour cent. Encore une fois, c'est le plus bas depuis presque 50 ans. Une fois de plus, cela n'indique pas nécessairement une récession d'ici trois à six mois, pas encore du moins.
Nous venons de vivre deux années étranges.
Est-ce que l'on ne constate pas un déphasage?
Le marché résiliant le consommateur et résiliant.
Par exemple, l'indice du secteur manufacturier de l'État de New York apparaisse aussi. Celui-là est plus faible. Ce qu'il y a un déphasage?
- Oui. Quand on envisage la gamme 10 10 différent élèves indicateur des services manufacturiers, il y a un certain recul. Il se pourrait que cela indique le rythme rapide des ajustements qui exercent enfin un effet de rattrapage sur l'économie. Les économistes insistent dessus depuis un an. Les hausses de tous répercutent sur l'économie après un certain délai, qui peut aller de 12 à 18 mois. Nous savons que la politique monétaire qui a été faite à retardement et nous pensons avoir les conséquences à leur actuelle. Il y a peut-être quand même un certain degré de résilience au niveau de l'économie, surtout consommateurs, ce qui pourrait nous aider à conjurer la récession.
- Ce serait un équilibre délicat.
La raison pour laquelle la faible, la banque Canada les autres banques centrales ont relevé les taux de façon synergique, c'était pour donner un coup de frein pour faire reculer l'inflation.
On nous annonce que le ralentissement économique, mais il n'y a pas de ralentissement économique, nous allons de vont devoir faire les banques centrales?
- Je crois que nous allons certainement constater un ralentissement. Nous attend pour le croissant cette année l'an prochain, nous prévoyons une croissance inférieure à 1 %; par rapport à plus du double pour 2022.
Il y a un certain ralentissement de l'activité sous-jacente.
La Fed commence à arriver au point où d'ici un ou deux mois, il va sans doute marquer une pause des hausses de taux. Nous prévoyons que rencontre du mois de février, elle va sans doute ralentir encore le rythme des hausses et en revenir à 25 points de base, ce qui est plus normal.
Encore une fois quelque chose de semblable en mars, de 25 points de base. Ceci portera le tout terminal à 5 %.
Les marchés ont manifesté presque une joie à l'idée que la fin du cycle de resserrement approche. Mais ce que l'on perd de vue, c'est que même si le tout terminal sera atteint d'ici deux mois peut-être, le taux réel, tout directeur et elle continue d'augmenter puisque les taux demeureront élever et que l'inflation va refluer.
Pour vous donner un peu de contexte, il y a eu, on prévoit 50 points de base de resserrement de la part de la Fed, d'ici deux mois.
Il y aura une augmentation encore 200 points de base, compte tenu du reflux de l'inflation. C'est un écart important dont il faut tenir compte quant à la trajectoire à long terme lié aux conséquences pour l'économie. Semble y avoir un certain désaccord entre le marché obligataire et les propos que tiennent les banques centrales.
Les banques centrales affirment essentiellement qu'elles vont parvenir un certain point y rester.
De crainte de faire l'erreur qui a été faite dans le passé de changer de cap trop rapidement. Le marché obligataire n'en croit rien.
- Je pense qu'il s'agit effectivement au niveau du marché obligataire d'une prise de conscience des signes d'affaiblissement, notamment au niveau de la croissance des salaires.
Qui semblait plus faible que prévu.
Et puis un recul de la croissance en décembre.
Qui était inférieur aux attentes du marché.
C'était un indicateur pour savoir que la situation est peut-être caractéristique de ralentissement plus important que prévu.
Il y a de plus en plus de cycles d'inflation, qui commence refluer, ce qui donne au marché un certain optimiste à l'idée que le changement de cap pourrait intervenir plutôt que la Fed ne le laisse entendre.
L'inflation est sous-jacente dans tout cela.
Il s'agit de la ramener à un taux cible.
Les dernières statistiques aux États-Unis et au Canada montre un certain ralentissement, mais l'inflation est toujours largement au-delà de la cible.
Pendant la deuxième moitié de l'an dernier, nous avons vu l'inflation atteinte un pic en juin et baissé au deuxième semestre.
Donc, le chiffre de basse baissée de 200 points de base, et l'IPC de base de 1 % par rapport à son sommet.
Ce qui exercent la pression à la baisse sur les prix de l'énergie qui ont diminué de 15 % au deuxième semestre.
Et puis depuis quelques mois, le prix des biens de base a commencé à baisser.
Il y a eu des problèmes de chaînes approvisionnement qui avaient exercé une pression à la hausse sur les prix en début de pandémie sont en cours de résolution.
La demande des consommateurs se détourne des biens au profit des services.
Ce qui a permis de réaliser un ralentissement des hausses de prix de bien. Mais les biens ne représentent que 25 % de la corbeille de l'IPC de base.
Ce phénomène n'exerce donc une pression des inflationnistes limités. Le reste doit émaner du secteur des services.
Et c'est là où il y a beaucoup plus de persistance.
Quand on songe à l'inflation niveau des services, il y a deux catégories, il y a le volet logement et le volet ex logement.
Pendant la deuxième moitié de l'an dernier, il y a une accélération continue du volet logement de l'IPC. Ce qui n'est pas conforme aux mesures de loyer sur le marché qu'il est à croire que les loyers ont atteint un sommet et vont refluer.
Cela prend beaucoup de temps pour que cela se répercute sur les le pots de location entoure en cours, ce qui va générer pression à la baisse sur l'IPC. Au chapitre du logement.
Si l'on exclut le logement, le reste sont des catégories à plus forte intensité. Le service de nettoyage, coiffure, transport aérien.
Plus forte intensité de main-d'œuvre.
Or les postes non pourvues dans ces industries sont des niveaux historiquement des records.
Et cette pression au niveau des salaires s'exerce donc.
Il s'agira donc fois de le marché du travail afin que les pressions à la hausse des salaires s'atténuent.
Ce qui crée une pression des inflationnistes.
Slice vous venez d'entendre Thomas, économique principal à la banque TD. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Alphabet s'ajoute à la liste d'entreprises de technologie qui réduise les emplois face à la crainte récession. Dans une note aux employés, s'endort chef de la direction annonce que l'entreprise va licencier 12 000 travailleurs, commençons immédiatement aux États-Unis.
Déjà, Google, Amazon et Microsoft ont réduit leur personnel de plusieurs milliers d'effectifs.
Les actions de Netflix sont en vedette aujourd'hui après que le géant du streaming a largement dépassé les attentes à l'égard du chiffre de nouveaux abonnés.
C'était la première fois que Netflix incluait son service avec publicité, même si la compagnie n'a pas annoncé combien de ces abonnés se sont inscrits pour ce service.
Nordstrom avertit les investisseurs cultivant pendant la saison des fêtes ont été décevantes. En baisse de 3,5 % sur 12 mois. Nordstrom réduit également son annonce bénéfice.
L'action a commencé en territoire négatif il est pratiquement inchangé à l'heure actuelle.
Un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX est en hausse un peu plus de sens; mettant 1/2 % en cette dernière journée de négociation de la semaine.
Les deux dernières journées ayant été quelque peu morose.
Un petit peu de verre à l'écran, ça fait du bien! Aux États-Unis, l'indice CP 500 affiche également une modeste remontée de 33; soit un peu moins de 1 %.
Après plusieurs années de dynamisme, les actions de technologie marquent une pause.
À quels critères devront-elles satisfaire pour reconquérir le leadership du marché?
Vitali Mossounov commande.
- Les choses ont commencé à changer en 2021.
Au premier semestre 2021, la technologie surclassée, deuxième semestre 2022, c'est là où on commence par l'inflation, hausses de taux, deuxième semestre 2021, faiblesse et en 2022, la technologie a beaucoup déçu en raison de 10 %.
En 2023 sera l'année de tous les dangers.
Alors donc, quels sont les critères auxquels le secteur doit satisfaire s'il doit reconquérir le leadership?
- Eh bien, parlons justement deux ou de critères. Le premier critère, que nous allons surveiller, celle-ci ces entreprises, surtout bien sûr les grandes entreprises technologie ce sont souvent d'elle qu'on parle pas du secteur, église que ces entreprises peuvent poursuivre leur croissance à un niveau supérieur au PIB?
- Plus rapidement que le rest entreprise de CP 500?
- C'est long, nous l'avons pris pour acquis année après année, en passant, c'est intégré dans leur valorisation.
Ces titres tournent toujours avec une prime de 10 % par rapport aux CP 500.
Il faut qu'ils livrent, et un il y a un certain désaccord.
C'était des années jusqu'ici expansionnistes.
Comment ces titres vont-ils se tirer d'affaire pendant une récession?
- Alors donc le chiffre d'affaires, premier critère.
Il y a donc un second.
Je ne vais pas présager de votre réponse mais il y a peut-être des engagements?
- Les entreprises font des commentaires à défaut de prendre des engagements.
Elles vous diront qu'il s'agit de commentaires et non pas d'engagement.
De le découvrir bientôt.
Les annonces bénéfice commencent la semaine prochaine.
Si leurs commentaires sont des engagements ou autres chose.
Et la nature des commentaires va faire évoluer le cours de l'action.
Le deuxième critère est la discipline au niveau des coûts. Dans les années où les économies étaient en pleine expansion, et la technologie confère les parts de marché sur les autres secteurs, les coûts ne importaient pas tout le monde étaient obnubilés par la croissance.
Pendant que tout le monde se concentre sur la croissance, les entreprises sont devenues un peu indisciplinées ont commencé à prendre pour acquis qu'elle pouvait dépenser des millions pour porter le projet qui ne pourrait pas être nécessaire. Les investisseurs à leurs rituels de faire preuve de discipline sur les coûts. La discipline sur les couples d'entraîner des licenciements. Il y a déjà eu des annonces au-delà des licenciements.
Que peuvent-elles faire d'autres ou de réduire les coûts?
- Licenciements sont le principal moyen de procéder.
Prenez méta.
On remonte résultats du troisième trimestre.
Méta avait annoncé toutes sortes de dépenses y comprises au niveau du réseau, les projets, parfois en apparier toute la compagnie.
Mais enfin, la compagnie a dit que les temps sont difficiles mais nous allons poursuivre nos plans d'exploitation, pour ce nos plans d'immobilisation.
Le marché les a sévèrement corrigés, le titre a dégringolé de 20 % après mon annonce bénéfice. Peu de temps après, la pression des investisseurs a entraîné un changement de cap jusqu'au niveau de fondateur.
Marcq Duquesne Bercot début novembre a déclaré que la compagnie allait maîtriser ses coûts, et c'est malheureux, mais c'est ainsi qu'on fonctionne.
Ils vont licencier 11 000 personnes.
Ça fait beaucoup.
Il semble que Facebook, dans cet exemple, reçu le marche le message du marché.
Ce que vous pensez que les autres grosses entreprises technologie ont entendu le message du marché au niveau de la discipline sur les coûts?
- Nous verront. N'a pas encore d'engagement, parce qu'elle est après les résultats du troisième trimestre, la correction était sévère. Globalement, chacune des grandes entreprises technologie a fait des déclarations encourageantes, annonçant qu'elle va œuvrer dans l'intérêt des actionnaires. Amazon a évoqué également sa discipline d'exploitation et sa capacité d'assumer, réduire les coûts. Par exemple une réduction de l'effectif non seulement niveau régional mais au niveau du siège. Microsoft a fait des délibérations les plus décisifs pendant l'ensemble de ces entreprises.
Elle va annoncer qu'après une année d'exercice 2022 de croissance défectueux de 20 %, ce de rugby demeurera inchangé. Appel enfin, c'est une question qui se pose depuis quelque temps pour moi.
Apple a été la compagnie qui a eu le chiffre d'affaires brésiliens l'an dernier.
Au niveau des investisseurs, la question du coup ne suppose pas aussi sévèrement pour Apple que pour les autres titres.
Mais Apple a fait des déclarations encourageantes et les quatre acceptaient une réduction de rénumération à seulement 49 millions.
- Seulement 49 millions!
On parle des ventes, et de la rentabilité.
Vous avez un graphique au niveau de la tendance.
Pourriez-vous nous montrer ce que cela suggère?
- Oui.
Il s'agit de graphique très simple qui est très éloquent.
La ligne du haut, c'est la croissance du chiffre d'affaires depuis le premier trimestre.
On voit l'impact du rendement de l'économie.
La croissance des revenus ralentis et se normalise autour des 4,5, six ou 7 %.
Le niveau PIB plus.
- D'accord.
Le problème a été que si vous touchez une croissance de revenus de 7 %, mais la compagnie dit: je ne vais pas vous donner une croissance des bénéfices de 5 %, mais une baisse de 20 % des bénéfices.
Donc les actionnaires sont lésés, parce que la différence est consacrée à des serveurs rois du personnel. C'est ce qui doit changer.
Découvrez la lignée des marges doivent remonter, parce que ces terrils pour les investisseurs et les niveaux de dépenses soient tellement élevés.
Vous venez d'entendre Vitali Mossounov, analyste du secteur technologique sur gestion d'actifs de TD.
Vitali et moi avons eu cet entretien en début de semaine.
Il parlait de discipline des coûts. Les compagnies de technologie Google ou la société mère a annoncé le licenciement de 20 000 employés.
À présent, découvrons la fonction courtier Web.
- Si vous voulez mettre à l'essai le placement avant de passer à l'action, courtier Web vous propose des outils.
Caitlin Cormier, formatrice placement directe Ltd commente. Comment courtier Web peut-il aider les investisseurs ainsi leur stratégie?
- Bonjour.
C'est un élément très important de l'investissement.
Faut faire des recherches préalables avant de faire le saut.
Il y a un outil très intéressant dans courtier Web qui est notre liste de veille.
Aujourd'hui, nous allons supposer que nous avons déjà des actions en tête que nous voulons ajouter un portefeuille.
Allons donc sur courtier Web.
Cliquant sur l'étoile à l'extrême droit intitulé liste de veille, ce qui m'amène à la page principale.
Une fois que j'y suis, je peux cliquer sur cette case, nous avons une liste vide et ajouter autant, jusqu'à 10 actions.
On peut saisir le symbole, le nom de la compagnie, ajoutons Apple, Google, et méta. J'ajoute quelques valeurs un peu au hasard.
Bon.
Il semble que je suis très intéressé par la technologie, mais je peux ajouter tous ses compagnies à cette liste de veille.
Vous constatez que j'ai la possibilité d'ajouter des FNB, les fonds communs de placement, les options ou des indices. Alors, si je voulais, je pourrais ajouter par exemple l'indice S&P 500, je voulais pouvoir le comparer aux valeurs que j'ai inscrites.
Il faut que cette liste décrit, vous avez donc une liste d'actions que je peux rapidement afficher et approfondir.
J'ai leur cote sous les yeux et je peux utiliser le menu déroulant pour afficher un graphique, je peux choisir l'échelle de temps, voir comment l'action se comporte au fil du temps ainsi que le volume.
De négociation.
Sur le droit il y a davantage d'informations sur le cours qui serait moyen aujourd'hui.
Les hauts et les bas pour la dernière année, les 50 dernières semaines, et les commentaires des analyses ainsi que les données fondamentales.
Cette action verse des dividendes, il y a la date des dividendes la date de versement des derniers dividendes.
Il y a beaucoup d'informations disponibles d'un coup d'œil. On peut également cliquer sur l'un ou l'autre des onglets au bas pour obtenir davantage d'informations. Des graphiques plus détaillés, les informations, survolent.
C'est disponible pour toutes les actions sur la liste de veille. On peut y inscrire jusqu'à 10 types par liste de veille, 10 listes de veille.
Une dernière chose que je vous monde, c'est qu'on peut également cliquer sur l'affichage de plusieurs listes.
On peut donc les voir toutes en même temps.
Pour bien revenir à une liste unique et nous concentrer sur celle que nous avons créée. Nous avons fait nos recherches, créer notre liste de veille, nous surveillons toutes les entreprises.
Mais toute l'idée de mettre les c'est ce qui se serait produit si vous aviez investi.
Comment le fait-on?
- Si nous voulons créer un portefeuille, ou peut-être ne sommes-nous pas prêts à mettre un à chemin de l'Avent, nous pouvons utiliser l'outil de suivi et surveiller ce que nous aurions réalisé.
Revenons à notre liste de veille.
On peut cliquer sur le bouton suivi, vous voyez qu'on montre la valeur de marché, la valeur aux livres et le gain ou la perte.
Donc nous allons créer ce portefeuille en cliquant sur la quantité.
Commençons par Apple.
Admettons que j'ai acheté 500 actions d'Apple, admettons que c'est au cours actuel, à titre d'exemple de sauvegarder.
Vous voyez que leur valeur de ce titre a déjà été mise à jour, et j'ai déjà perdu 12,57 $.
On peut continuer de le faire, admettons que nous voulons ajouter 150 actions de Google à 98 04, sauvegarde.
Vous voyez?
J'ai gagné un peu d'argent.
Ça évolue dans la bonne direction.
Encore une fois, je vais ajouter tous ces titres à leur dernier cours.
Et puis achetons sans action de tesla.
Alors encore une fois, je remplis les autres colonnes en ajoutant les quantités et le prix auquel j'ai acheté ce titre.
Et le système affiche l'information à jour sur le fonctionnement de ces titres.
Je suis passé d'un gain à une perte sur le titre d'Apple, c'était rapide.
Alphabets émetteurs sont tous les dunes légèrement positifs, mais je suis déjà dans la gamme positive, autrement dit je semble avoir choisi un bon portefeuille bon moment d'investir.
Pendant cette brève période pendant laquelle nous avons surveillé. Mais nous pourrons y revenir dans une semaine et voir si la décision était bonne ou si nous avons eu la chance que ce ne soit qu'un portefeuille décès.
- Merci Caitlin!
Caitlin Cormier et formatrice placement directe Ltd.
Kevin sera des nôtres mardis pour répondre à vos questions sur courtier Web de la manière dont tirer davantage.
La crainte de ralentissement économique de plus en plus vive. On suit de près les annonces bénéfice des grandes banques américaines cette semaine.
Stephen Biggar, direction de recherche sur les institutions financières commande.
- Il y a des fluctuations.
Les intérêts mettent en hausse de 20 à 30 %, dans certains cas.
Donc c'est très favorable à cause des taux d'intérêt plus élevé de la réserve fédérale. Le trimestre précédent, les taux étaient de presque zéro.
Donc toute amélioration que nous avons eue de 400 points de base de hausse des taux.
Donc c'est merveilleux sur la ligne d'intérêt de revenus d'intérêts mette.
Mais la provision pour pertes sur créance qui est un autre secteur clé était largement compensée.
Les banques nous disent que nous avons une économie plus faible, nous avons des frais de carte de crédit plus élevé.
Un affaiblissement de la consommation.
Le marché du travail se débrouille pas mal, ce qui est en général un excellent présage des défaillances.
Tandis qu'on envisage les deux prochains trimestres, on prévoit que l'irradiation, qui était faible depuis deux ans, augmente.
Dans bien des cas, il y a un doublement des perturbations sur pertes sur créances profondes certains cas d'une reprise au prochain provision cette année. L'autre élément clé, ça été au niveau du secteur d'investissement.
Dans la plupart des grandes banques, il y a eu une baisse de 40 à 45 %.
C'est un environnement très faible, très morose pour la recherche de capitaux.
Les entreprises marquent une pause avant de voir à quoi ressemblera l'année.
C'est une certaine faiblesse de ce côté-là. En général, les banques sont dans un état stable.
Cette fois-ci, il y a eu des fluctuations très importantes.
- Parlons un peu des marchés des capitaux.
C'est incompréhensible, nous abordons ralentissement économique, voire une légère récession.
Il y a davantage de provision pour presse créances et ralentissement de l'économie marché financier.
Si le deuxième semestre de cette année se porte mieux, est-ce qu'il y aura de l'activité des marchés, des capitaux qui n'attendent que l'occasion?
- Oui.
Je pense qu'il y a pas mal de demandes, beaucoup d'entreprises.
Les marchés de capitaux et l'innovation qu'ils y introduisent est toujours présent.
Il y a de nouvelles entreprises qui attendent de faire appel à l'épargne, il y a donc pas mal de demandes insatisfaites surtout dans le domaine de la santé et presque toujours dans le domaine de la technologie aussi.
Technologie financière.
Mais nous avons besoin d'aller au-delà des augmentations de la faible, les augmentations de taux par la fin de l'heure actuelle.
Morgan Stanley, James de Morgan Stanley a dit qu'il pense que c'est la première fois qu'il y aura 02 augmentation de taux. Tout le monde prédit encore 2 , 25, peut-être 50 et 25 augmentations de Tours.
Mais quand on passe au signal zéro, il pourrait s'agir d'un catalyseur pour le marché dans son ensemble.
Associer une certaine stabilité.
Donner aux entreprises américaines la confiance de nouveau.
C'est un autre domaine où on veut de nouveaux une stabilité sur le marché. Les taux sont plus élevés, ça va leur coûter davantage chez lui un financement.
Mais il y a beaucoup de demandes inassouvies dans le secteur des fusions et acquisitions.
Cela va peut-être se répercuter plus tard cette année, mais à l'heure actuelle il y a des indications que le consommateur américain se ressent des coûts d'emprunt plus élevé.
Comment cela se répercute sur l'activité de carte de crédit?
- Cela vaut la peine d'être évoqué.
Les ventes au détail ont annoncé aujourd'hui une baisse de 1 %. Le consommateur est beaucoup plus prudent que cela n'a été le cas pendant une bonne partie de 2022.
C'était le pire mois de baisse, qui correspond au chiffre de novembre, lequel a été également révisé à la baisse à 1 %.
Donc, il y a moins de dépenses de la part des consommateurs.
Cela signifie moins de dépenses au niveau des cartes de crédit.
Quand on songe à certains autres éléments, les prêts hypothécaires, l'achat de logement, ça baissé largement.
Les prêts automobiles également.
Alors, alors actuelle, il s'agit d'une gamme d'éléments.
Et le chiffre des ventes au détail était très défavorable.
Les ventes en ligne, la restauration, les appareils électroniques.
Le mobilier, le logement.
C'était une baisse généralisée dans les ventes au détail.
Alors donc, les compagnies de carte de crédit ont une tendance lourde, positive.
Il s'agit plutôt d'une migration du liquide au chaque moyen de paiement numérique, ce qui bénéficie en termes de croissance à long terme.
Il y a également un facteur favorable au niveau de l'inflation.
Si une corbeille de bien vous coûtait 100 $ l'an dernier, 108 $ cette année, c'est ce que vous facturez à la carte.
Il s'agit bien sûr d'un facteur favorable pour les compagnies de carte de crédit.
Je ne prévois pas une forte baisse et ralentissement de la croissance conformément à l'humeur des consommateurs.
- Nous osons à toutes sortes d'éléments du secteur bancaire.
Certains ont un profil très élevé.
Que dire des dépôts?
Que voyons-nous dans cette tendance après la pandémie?
Ça devrait un secteur fort intéressant.
- Oui, les dépôts, tout le monde la pandémie, les banques regorgeaient de dépôt.
Les consommateurs épargnés beaucoup.
Il recevait des chèques du gouvernement, aux États-Unis, au Canada, les consommateurs dépensaient moins.
On ne pouvait pas prendre l'avion, on ne pouvait pas voyager, tous les magasins étaient fermés.
On pouvait dépenser en ligne dans une certaine mesure, mais il n'y avait pas énormément de dépenses.
Les comptes de dépôt et les comptes chèques ont accueilli des soldes beaucoup plus élevées.
Les banques ont été inondées de liquide les taux étaient à zéro.
On ne pouvait pas avoir un bon rendement, rend mes obligations avaient beaucoup baissé.
Beaucoup de gens conservaient donc leur argent en liquide.
Et ce n'est qu'au deuxième semestre 2022 que les augmentations de taux de la Fed ont permis d'obtenir des rendements décents.
Avec des obligations de première qualité, des titres municipaux, et des certificats de dépôt, les comptes d'épargne qui donne des rendements beaucoup plus élevés.
Il y a une migration qui est en cours.
L'extension de la marge d'intérêt net des banques a été spectaculaire pendant une bonne partie de 2022.
Tandis que les banques relevaient des taux sur les prêts.
Mais pas aussi rapidement au niveau des dépôts.
Mais alors actuelle, cela a changé.
La plus grande partie de l'avantage a été réalisée lorsqu'il s'est agi de relever les taux de prêt. Mais à présent, les consommateurs deviennent plus malins.
Il voit des rendements beaucoup plus élevés qui sont disponibles sur le marché par l'intermédiaire de certificats de dépôt, et d'autres valeurs, et en transférant leur dépôt non bonifié d'intérêts, à des investissements qui procurent un bon rendement.
Cela s'est produit vers la fin de l'année, et cela va avoir un effet sur les marges d'intérêt net en 2023.
- Vous venez d'entendre Stephen Biggar, directeur chez August richesse.
Un coup d'œil sur les marchés.
Les esthétiques composites progressent 94 points.
Une augmentation de presque 1/2 %.
Globalement, la semaine était plutôt décevant pour les actions, mais aujourd'hui il y a une hausse.
Cameco remonte depuis quelques jours.
De près de 4 % aujourd'hui à 35 000,39 $ l'action.
Birchcliff Energy a annoncé ce matin qu'elle a décuplé son dividende en annonçant son plan quinquennal aux investisseurs.
Le titre est en hausse de quatre et demis pour cent à neuf dollars et 37.
Aux États-Unis, la remontée de Wall Street se maintient en hausse de 33 points, soit presque 1 %.
Le secteur Nasdaq, le goût du risque et de retour, surtout après que Netflix annonce des bénéfices supérieurs aux prévisions, et que Google a annoncé des licenciements.
Alphabet, la société mère de Google annonce des coupures d'emploi très importante.
12 000, je crois.
Oui, 12 000 effectivement.
Le chef de la direction annoncée ces licenciements et cela attire les investisseurs.
Vitali Mossounov plutôt dans l'émission, à parler de la discipline au niveau des coûts pour ces grands titres de technologie.
Les marchés ont fait grimper l'action de 4 % sur ces nouvelles.
Lundi, Scott de (.
..
) responsable des titres à revenu fixe la gestion d'actif Tedey rapport à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Vous pouvez nous poser nos questions partout en or par courriel, moneytalklivetd.
com.
Merci en mon nom ayant au nom de Anthony Okolie.
Et à lundi!
Aujourd'hui, nous avons évoqué la possibilité que la plus grande économie du monde entre en récession cette année avec Thomas Filthène, économiste principal.
Vitali Mossounov de gestion d'actifs cet été nous explique les deux critères auxquels les titres de technologie doivent répondre pour reprendre le leadership du marché, et avec Steven de garde August rituelle, comment on les annonce bénéfice aux États-Unis.
Nous poursuivons la découverte des courtiers Web Caitlin Cormier nous explique comment créer un portefeuille décès. Tout d'abord, une mise à jour sur le marché.
Il y a du verre à l'écran. Dernière journée de négociation de la semaine.
C'est assez modeste. Mais après la baisse des récentes séances, ce n'est pas à négliger. L'indice SCP TSX est en hausse de 88., Presque 1/2 %. Le goût du risque sont revenus sur les marchés, on le voit dans l'étude technologique Shopify qui progresse à 52,50 $ l'action.
(...) Est sous pression en revanche, en baisse de presque 3 %.
ADB annonce que les protestataires ont endommagé une de ses mines de cuivre au Pérou.
Aux États-Unis, nous sommes en pleine saison annonce bénéfice! Plex a annoncé après la clôture des bénéfices qui ont impressionné les milieux financiers certains des grandes entreprises technologie annoncent découpeur d'emploi, ce qui relance leurs actions. L'indice S&P 500 est en hausse de 80 points de base.
Quant à l'indice Nasdaq, il remonte encore davantage à 1 1/3 %.
Tesla remonte un peu après une difficulté des 12 derniers mois.
Tesla est en hausse de presque 3 % à 130,79 $ l'action.
La semaine prochaine, la banque du Canada annonce sa décision sur les taux d'intérêt.
Aujourd'hui, les statistiques sur les ventes de détail ont paru. Anthony Okolie les commandes.
- Les ventes sont inférieures aux prévisions en novembre, en baisse de un, pour cent. Alors que statistique Canada prévoyait un recul de 0,5 %.
Les ventes ont baissé dans six des 11 sous secteurs en novembre.
Six des 11 sous secteurs.
Les progrès se situaient surtout dans les stations-service et les concessionnaires d'automobiles, concessionnaire qui affiche la plus forte croissance depuis juin 2022. Mais apport l'essentiel retourna, canadiens n'ont guère ouvert leur portefeuille. Les ventes étaient largement inférieures au niveau de l'inflation générale, c'est la plus forte baisse depuis 12 mois.
L'alimentation et la restauration, l'alimentation et les boissons sont en baisse. Le matériel de jardin, les appareils électroniques ménagers sont en hausse de 1 %.
Ceci montre une tendance au ralentissement.
Par rapport à la première moitié de cette année.
Il s'agit de ce que les banques centrales disaient qu'elle voulait voir.
Avec toutes ces hausses de taux, énergique, il s'agissait d'atténuer l'inflation.
Mais l'inflation ne baisse pas avant que l'économie ne faiblisse, que ce soit la résilience consommateurs, que ce soit le marché du travail. La banque du Canada tient compte de cette information.
Ça nous montre au sujet de la consommation vers le monde du Canada, nous en avons parlé, au sujet de la confiance des entreprises.
- Le banque du Canada annonce que les consommateurs s'attendent à une récession au cours des 12 prochains mois, s'attend également à un affaiblissement de la demande, les consommateurs diffèrent les achats, à cause de la hausse des prix, ce qui plombe les plans d'embauche.
L'inflation était plus basse en décembre par rapport à novembre, mais elle est toujours relativement élevée.
Pour ne pas prévoir un changement de cap des banques centrales alors que l'inflation demeure si élever.
Elle veut que la tendance s'accentue.
Mercredi prochain c'est le grand jour, à 10 heures, la décision sera annoncée au niveau des taux.
Il y aura une conférence de presse à 11 heures, le gouvernement va annoncer les plus récentes attentes à l'égard de l'économie.
Je crois que les pronostics sont à l'heure actuelle une hausse de 25 points de base.
Ce genre de choses auxquelles nous étions habitués.
- Louis, le marché s'annonce une hausse de 25 points de base. Bien sûr l'an dernier, les taux ont été augmentés cette fois, ce sera la huitième fois de suite, ce qui passe le tout à quatre et demis pour cent. On prévoit qu'il y aura encore une augmentation puisque la banque marquera une pause pour voir quelles ont été les conséquences pour l'économie. Encore une fois, il s'agit de tout restrictif qui pourrait ralentir potentiellement l'économie.
Ralentir l'inflation, on l'espère. On prévoit que ce sera 25 points de base.
- Une semaine bien occupée, merci Anthony Okolie!
Andrew Calvin des services économie télé sera notre invité de ce jour pour nous expliquer ce que cela signifie pour la trajectoire future des taux d'intérêt.
Le ralentissement de la croissance inquiète beaucoup d'investisseurs. Quelles sont les chances que la plus grande économie au monde entre en récession cette année?
Thomas affermi, économiste principal commande.
- Si on prend plus de recul et qu'on revient sur 2022, la croissance au troisième trimestre était relativement forte à plus de 3 %.
Cette trimestre sur l'autre, nous n'avons toujours pas les données du quatrième trimestre, mais tout semble tourner au tour de deux et demis pour cent. Et ceci intègre une tendance dépensée consommateurs qui s'établit à 3 % d'un trimestre à l'autre, une base annualisée. Ce sera le rythme, meilleur rythme de croissance des dépenses de consommation en 2022. Cela arrive après une série de hausse de taux préventives de la fin de la fin de l'année. Le consommateur manifeste une résilience certaine.
Cela ne représente pas nécessairement une économie qui est au bord de la récession.
On songe également marcher du travail. Nous avons reçu il y a quelques semaines des données pôles emploi, en décembre, économie ajoutait 200 000 emplois. C'est un niveau cinq. Le taux de chômage a diminué à trois et demis pour cent. Encore une fois, c'est le plus bas depuis presque 50 ans. Une fois de plus, cela n'indique pas nécessairement une récession d'ici trois à six mois, pas encore du moins.
Nous venons de vivre deux années étranges.
Est-ce que l'on ne constate pas un déphasage?
Le marché résiliant le consommateur et résiliant.
Par exemple, l'indice du secteur manufacturier de l'État de New York apparaisse aussi. Celui-là est plus faible. Ce qu'il y a un déphasage?
- Oui. Quand on envisage la gamme 10 10 différent élèves indicateur des services manufacturiers, il y a un certain recul. Il se pourrait que cela indique le rythme rapide des ajustements qui exercent enfin un effet de rattrapage sur l'économie. Les économistes insistent dessus depuis un an. Les hausses de tous répercutent sur l'économie après un certain délai, qui peut aller de 12 à 18 mois. Nous savons que la politique monétaire qui a été faite à retardement et nous pensons avoir les conséquences à leur actuelle. Il y a peut-être quand même un certain degré de résilience au niveau de l'économie, surtout consommateurs, ce qui pourrait nous aider à conjurer la récession.
- Ce serait un équilibre délicat.
La raison pour laquelle la faible, la banque Canada les autres banques centrales ont relevé les taux de façon synergique, c'était pour donner un coup de frein pour faire reculer l'inflation.
On nous annonce que le ralentissement économique, mais il n'y a pas de ralentissement économique, nous allons de vont devoir faire les banques centrales?
- Je crois que nous allons certainement constater un ralentissement. Nous attend pour le croissant cette année l'an prochain, nous prévoyons une croissance inférieure à 1 %; par rapport à plus du double pour 2022.
Il y a un certain ralentissement de l'activité sous-jacente.
La Fed commence à arriver au point où d'ici un ou deux mois, il va sans doute marquer une pause des hausses de taux. Nous prévoyons que rencontre du mois de février, elle va sans doute ralentir encore le rythme des hausses et en revenir à 25 points de base, ce qui est plus normal.
Encore une fois quelque chose de semblable en mars, de 25 points de base. Ceci portera le tout terminal à 5 %.
Les marchés ont manifesté presque une joie à l'idée que la fin du cycle de resserrement approche. Mais ce que l'on perd de vue, c'est que même si le tout terminal sera atteint d'ici deux mois peut-être, le taux réel, tout directeur et elle continue d'augmenter puisque les taux demeureront élever et que l'inflation va refluer.
Pour vous donner un peu de contexte, il y a eu, on prévoit 50 points de base de resserrement de la part de la Fed, d'ici deux mois.
Il y aura une augmentation encore 200 points de base, compte tenu du reflux de l'inflation. C'est un écart important dont il faut tenir compte quant à la trajectoire à long terme lié aux conséquences pour l'économie. Semble y avoir un certain désaccord entre le marché obligataire et les propos que tiennent les banques centrales.
Les banques centrales affirment essentiellement qu'elles vont parvenir un certain point y rester.
De crainte de faire l'erreur qui a été faite dans le passé de changer de cap trop rapidement. Le marché obligataire n'en croit rien.
- Je pense qu'il s'agit effectivement au niveau du marché obligataire d'une prise de conscience des signes d'affaiblissement, notamment au niveau de la croissance des salaires.
Qui semblait plus faible que prévu.
Et puis un recul de la croissance en décembre.
Qui était inférieur aux attentes du marché.
C'était un indicateur pour savoir que la situation est peut-être caractéristique de ralentissement plus important que prévu.
Il y a de plus en plus de cycles d'inflation, qui commence refluer, ce qui donne au marché un certain optimiste à l'idée que le changement de cap pourrait intervenir plutôt que la Fed ne le laisse entendre.
L'inflation est sous-jacente dans tout cela.
Il s'agit de la ramener à un taux cible.
Les dernières statistiques aux États-Unis et au Canada montre un certain ralentissement, mais l'inflation est toujours largement au-delà de la cible.
Pendant la deuxième moitié de l'an dernier, nous avons vu l'inflation atteinte un pic en juin et baissé au deuxième semestre.
Donc, le chiffre de basse baissée de 200 points de base, et l'IPC de base de 1 % par rapport à son sommet.
Ce qui exercent la pression à la baisse sur les prix de l'énergie qui ont diminué de 15 % au deuxième semestre.
Et puis depuis quelques mois, le prix des biens de base a commencé à baisser.
Il y a eu des problèmes de chaînes approvisionnement qui avaient exercé une pression à la hausse sur les prix en début de pandémie sont en cours de résolution.
La demande des consommateurs se détourne des biens au profit des services.
Ce qui a permis de réaliser un ralentissement des hausses de prix de bien. Mais les biens ne représentent que 25 % de la corbeille de l'IPC de base.
Ce phénomène n'exerce donc une pression des inflationnistes limités. Le reste doit émaner du secteur des services.
Et c'est là où il y a beaucoup plus de persistance.
Quand on songe à l'inflation niveau des services, il y a deux catégories, il y a le volet logement et le volet ex logement.
Pendant la deuxième moitié de l'an dernier, il y a une accélération continue du volet logement de l'IPC. Ce qui n'est pas conforme aux mesures de loyer sur le marché qu'il est à croire que les loyers ont atteint un sommet et vont refluer.
Cela prend beaucoup de temps pour que cela se répercute sur les le pots de location entoure en cours, ce qui va générer pression à la baisse sur l'IPC. Au chapitre du logement.
Si l'on exclut le logement, le reste sont des catégories à plus forte intensité. Le service de nettoyage, coiffure, transport aérien.
Plus forte intensité de main-d'œuvre.
Or les postes non pourvues dans ces industries sont des niveaux historiquement des records.
Et cette pression au niveau des salaires s'exerce donc.
Il s'agira donc fois de le marché du travail afin que les pressions à la hausse des salaires s'atténuent.
Ce qui crée une pression des inflationnistes.
Slice vous venez d'entendre Thomas, économique principal à la banque TD. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Alphabet s'ajoute à la liste d'entreprises de technologie qui réduise les emplois face à la crainte récession. Dans une note aux employés, s'endort chef de la direction annonce que l'entreprise va licencier 12 000 travailleurs, commençons immédiatement aux États-Unis.
Déjà, Google, Amazon et Microsoft ont réduit leur personnel de plusieurs milliers d'effectifs.
Les actions de Netflix sont en vedette aujourd'hui après que le géant du streaming a largement dépassé les attentes à l'égard du chiffre de nouveaux abonnés.
C'était la première fois que Netflix incluait son service avec publicité, même si la compagnie n'a pas annoncé combien de ces abonnés se sont inscrits pour ce service.
Nordstrom avertit les investisseurs cultivant pendant la saison des fêtes ont été décevantes. En baisse de 3,5 % sur 12 mois. Nordstrom réduit également son annonce bénéfice.
L'action a commencé en territoire négatif il est pratiquement inchangé à l'heure actuelle.
Un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX est en hausse un peu plus de sens; mettant 1/2 % en cette dernière journée de négociation de la semaine.
Les deux dernières journées ayant été quelque peu morose.
Un petit peu de verre à l'écran, ça fait du bien! Aux États-Unis, l'indice CP 500 affiche également une modeste remontée de 33; soit un peu moins de 1 %.
Après plusieurs années de dynamisme, les actions de technologie marquent une pause.
À quels critères devront-elles satisfaire pour reconquérir le leadership du marché?
Vitali Mossounov commande.
- Les choses ont commencé à changer en 2021.
Au premier semestre 2021, la technologie surclassée, deuxième semestre 2022, c'est là où on commence par l'inflation, hausses de taux, deuxième semestre 2021, faiblesse et en 2022, la technologie a beaucoup déçu en raison de 10 %.
En 2023 sera l'année de tous les dangers.
Alors donc, quels sont les critères auxquels le secteur doit satisfaire s'il doit reconquérir le leadership?
- Eh bien, parlons justement deux ou de critères. Le premier critère, que nous allons surveiller, celle-ci ces entreprises, surtout bien sûr les grandes entreprises technologie ce sont souvent d'elle qu'on parle pas du secteur, église que ces entreprises peuvent poursuivre leur croissance à un niveau supérieur au PIB?
- Plus rapidement que le rest entreprise de CP 500?
- C'est long, nous l'avons pris pour acquis année après année, en passant, c'est intégré dans leur valorisation.
Ces titres tournent toujours avec une prime de 10 % par rapport aux CP 500.
Il faut qu'ils livrent, et un il y a un certain désaccord.
C'était des années jusqu'ici expansionnistes.
Comment ces titres vont-ils se tirer d'affaire pendant une récession?
- Alors donc le chiffre d'affaires, premier critère.
Il y a donc un second.
Je ne vais pas présager de votre réponse mais il y a peut-être des engagements?
- Les entreprises font des commentaires à défaut de prendre des engagements.
Elles vous diront qu'il s'agit de commentaires et non pas d'engagement.
De le découvrir bientôt.
Les annonces bénéfice commencent la semaine prochaine.
Si leurs commentaires sont des engagements ou autres chose.
Et la nature des commentaires va faire évoluer le cours de l'action.
Le deuxième critère est la discipline au niveau des coûts. Dans les années où les économies étaient en pleine expansion, et la technologie confère les parts de marché sur les autres secteurs, les coûts ne importaient pas tout le monde étaient obnubilés par la croissance.
Pendant que tout le monde se concentre sur la croissance, les entreprises sont devenues un peu indisciplinées ont commencé à prendre pour acquis qu'elle pouvait dépenser des millions pour porter le projet qui ne pourrait pas être nécessaire. Les investisseurs à leurs rituels de faire preuve de discipline sur les coûts. La discipline sur les couples d'entraîner des licenciements. Il y a déjà eu des annonces au-delà des licenciements.
Que peuvent-elles faire d'autres ou de réduire les coûts?
- Licenciements sont le principal moyen de procéder.
Prenez méta.
On remonte résultats du troisième trimestre.
Méta avait annoncé toutes sortes de dépenses y comprises au niveau du réseau, les projets, parfois en apparier toute la compagnie.
Mais enfin, la compagnie a dit que les temps sont difficiles mais nous allons poursuivre nos plans d'exploitation, pour ce nos plans d'immobilisation.
Le marché les a sévèrement corrigés, le titre a dégringolé de 20 % après mon annonce bénéfice. Peu de temps après, la pression des investisseurs a entraîné un changement de cap jusqu'au niveau de fondateur.
Marcq Duquesne Bercot début novembre a déclaré que la compagnie allait maîtriser ses coûts, et c'est malheureux, mais c'est ainsi qu'on fonctionne.
Ils vont licencier 11 000 personnes.
Ça fait beaucoup.
Il semble que Facebook, dans cet exemple, reçu le marche le message du marché.
Ce que vous pensez que les autres grosses entreprises technologie ont entendu le message du marché au niveau de la discipline sur les coûts?
- Nous verront. N'a pas encore d'engagement, parce qu'elle est après les résultats du troisième trimestre, la correction était sévère. Globalement, chacune des grandes entreprises technologie a fait des déclarations encourageantes, annonçant qu'elle va œuvrer dans l'intérêt des actionnaires. Amazon a évoqué également sa discipline d'exploitation et sa capacité d'assumer, réduire les coûts. Par exemple une réduction de l'effectif non seulement niveau régional mais au niveau du siège. Microsoft a fait des délibérations les plus décisifs pendant l'ensemble de ces entreprises.
Elle va annoncer qu'après une année d'exercice 2022 de croissance défectueux de 20 %, ce de rugby demeurera inchangé. Appel enfin, c'est une question qui se pose depuis quelque temps pour moi.
Apple a été la compagnie qui a eu le chiffre d'affaires brésiliens l'an dernier.
Au niveau des investisseurs, la question du coup ne suppose pas aussi sévèrement pour Apple que pour les autres titres.
Mais Apple a fait des déclarations encourageantes et les quatre acceptaient une réduction de rénumération à seulement 49 millions.
- Seulement 49 millions!
On parle des ventes, et de la rentabilité.
Vous avez un graphique au niveau de la tendance.
Pourriez-vous nous montrer ce que cela suggère?
- Oui.
Il s'agit de graphique très simple qui est très éloquent.
La ligne du haut, c'est la croissance du chiffre d'affaires depuis le premier trimestre.
On voit l'impact du rendement de l'économie.
La croissance des revenus ralentis et se normalise autour des 4,5, six ou 7 %.
Le niveau PIB plus.
- D'accord.
Le problème a été que si vous touchez une croissance de revenus de 7 %, mais la compagnie dit: je ne vais pas vous donner une croissance des bénéfices de 5 %, mais une baisse de 20 % des bénéfices.
Donc les actionnaires sont lésés, parce que la différence est consacrée à des serveurs rois du personnel. C'est ce qui doit changer.
Découvrez la lignée des marges doivent remonter, parce que ces terrils pour les investisseurs et les niveaux de dépenses soient tellement élevés.
Vous venez d'entendre Vitali Mossounov, analyste du secteur technologique sur gestion d'actifs de TD.
Vitali et moi avons eu cet entretien en début de semaine.
Il parlait de discipline des coûts. Les compagnies de technologie Google ou la société mère a annoncé le licenciement de 20 000 employés.
À présent, découvrons la fonction courtier Web.
- Si vous voulez mettre à l'essai le placement avant de passer à l'action, courtier Web vous propose des outils.
Caitlin Cormier, formatrice placement directe Ltd commente. Comment courtier Web peut-il aider les investisseurs ainsi leur stratégie?
- Bonjour.
C'est un élément très important de l'investissement.
Faut faire des recherches préalables avant de faire le saut.
Il y a un outil très intéressant dans courtier Web qui est notre liste de veille.
Aujourd'hui, nous allons supposer que nous avons déjà des actions en tête que nous voulons ajouter un portefeuille.
Allons donc sur courtier Web.
Cliquant sur l'étoile à l'extrême droit intitulé liste de veille, ce qui m'amène à la page principale.
Une fois que j'y suis, je peux cliquer sur cette case, nous avons une liste vide et ajouter autant, jusqu'à 10 actions.
On peut saisir le symbole, le nom de la compagnie, ajoutons Apple, Google, et méta. J'ajoute quelques valeurs un peu au hasard.
Bon.
Il semble que je suis très intéressé par la technologie, mais je peux ajouter tous ses compagnies à cette liste de veille.
Vous constatez que j'ai la possibilité d'ajouter des FNB, les fonds communs de placement, les options ou des indices. Alors, si je voulais, je pourrais ajouter par exemple l'indice S&P 500, je voulais pouvoir le comparer aux valeurs que j'ai inscrites.
Il faut que cette liste décrit, vous avez donc une liste d'actions que je peux rapidement afficher et approfondir.
J'ai leur cote sous les yeux et je peux utiliser le menu déroulant pour afficher un graphique, je peux choisir l'échelle de temps, voir comment l'action se comporte au fil du temps ainsi que le volume.
De négociation.
Sur le droit il y a davantage d'informations sur le cours qui serait moyen aujourd'hui.
Les hauts et les bas pour la dernière année, les 50 dernières semaines, et les commentaires des analyses ainsi que les données fondamentales.
Cette action verse des dividendes, il y a la date des dividendes la date de versement des derniers dividendes.
Il y a beaucoup d'informations disponibles d'un coup d'œil. On peut également cliquer sur l'un ou l'autre des onglets au bas pour obtenir davantage d'informations. Des graphiques plus détaillés, les informations, survolent.
C'est disponible pour toutes les actions sur la liste de veille. On peut y inscrire jusqu'à 10 types par liste de veille, 10 listes de veille.
Une dernière chose que je vous monde, c'est qu'on peut également cliquer sur l'affichage de plusieurs listes.
On peut donc les voir toutes en même temps.
Pour bien revenir à une liste unique et nous concentrer sur celle que nous avons créée. Nous avons fait nos recherches, créer notre liste de veille, nous surveillons toutes les entreprises.
Mais toute l'idée de mettre les c'est ce qui se serait produit si vous aviez investi.
Comment le fait-on?
- Si nous voulons créer un portefeuille, ou peut-être ne sommes-nous pas prêts à mettre un à chemin de l'Avent, nous pouvons utiliser l'outil de suivi et surveiller ce que nous aurions réalisé.
Revenons à notre liste de veille.
On peut cliquer sur le bouton suivi, vous voyez qu'on montre la valeur de marché, la valeur aux livres et le gain ou la perte.
Donc nous allons créer ce portefeuille en cliquant sur la quantité.
Commençons par Apple.
Admettons que j'ai acheté 500 actions d'Apple, admettons que c'est au cours actuel, à titre d'exemple de sauvegarder.
Vous voyez que leur valeur de ce titre a déjà été mise à jour, et j'ai déjà perdu 12,57 $.
On peut continuer de le faire, admettons que nous voulons ajouter 150 actions de Google à 98 04, sauvegarde.
Vous voyez?
J'ai gagné un peu d'argent.
Ça évolue dans la bonne direction.
Encore une fois, je vais ajouter tous ces titres à leur dernier cours.
Et puis achetons sans action de tesla.
Alors encore une fois, je remplis les autres colonnes en ajoutant les quantités et le prix auquel j'ai acheté ce titre.
Et le système affiche l'information à jour sur le fonctionnement de ces titres.
Je suis passé d'un gain à une perte sur le titre d'Apple, c'était rapide.
Alphabets émetteurs sont tous les dunes légèrement positifs, mais je suis déjà dans la gamme positive, autrement dit je semble avoir choisi un bon portefeuille bon moment d'investir.
Pendant cette brève période pendant laquelle nous avons surveillé. Mais nous pourrons y revenir dans une semaine et voir si la décision était bonne ou si nous avons eu la chance que ce ne soit qu'un portefeuille décès.
- Merci Caitlin!
Caitlin Cormier et formatrice placement directe Ltd.
Kevin sera des nôtres mardis pour répondre à vos questions sur courtier Web de la manière dont tirer davantage.
La crainte de ralentissement économique de plus en plus vive. On suit de près les annonces bénéfice des grandes banques américaines cette semaine.
Stephen Biggar, direction de recherche sur les institutions financières commande.
- Il y a des fluctuations.
Les intérêts mettent en hausse de 20 à 30 %, dans certains cas.
Donc c'est très favorable à cause des taux d'intérêt plus élevé de la réserve fédérale. Le trimestre précédent, les taux étaient de presque zéro.
Donc toute amélioration que nous avons eue de 400 points de base de hausse des taux.
Donc c'est merveilleux sur la ligne d'intérêt de revenus d'intérêts mette.
Mais la provision pour pertes sur créance qui est un autre secteur clé était largement compensée.
Les banques nous disent que nous avons une économie plus faible, nous avons des frais de carte de crédit plus élevé.
Un affaiblissement de la consommation.
Le marché du travail se débrouille pas mal, ce qui est en général un excellent présage des défaillances.
Tandis qu'on envisage les deux prochains trimestres, on prévoit que l'irradiation, qui était faible depuis deux ans, augmente.
Dans bien des cas, il y a un doublement des perturbations sur pertes sur créances profondes certains cas d'une reprise au prochain provision cette année. L'autre élément clé, ça été au niveau du secteur d'investissement.
Dans la plupart des grandes banques, il y a eu une baisse de 40 à 45 %.
C'est un environnement très faible, très morose pour la recherche de capitaux.
Les entreprises marquent une pause avant de voir à quoi ressemblera l'année.
C'est une certaine faiblesse de ce côté-là. En général, les banques sont dans un état stable.
Cette fois-ci, il y a eu des fluctuations très importantes.
- Parlons un peu des marchés des capitaux.
C'est incompréhensible, nous abordons ralentissement économique, voire une légère récession.
Il y a davantage de provision pour presse créances et ralentissement de l'économie marché financier.
Si le deuxième semestre de cette année se porte mieux, est-ce qu'il y aura de l'activité des marchés, des capitaux qui n'attendent que l'occasion?
- Oui.
Je pense qu'il y a pas mal de demandes, beaucoup d'entreprises.
Les marchés de capitaux et l'innovation qu'ils y introduisent est toujours présent.
Il y a de nouvelles entreprises qui attendent de faire appel à l'épargne, il y a donc pas mal de demandes insatisfaites surtout dans le domaine de la santé et presque toujours dans le domaine de la technologie aussi.
Technologie financière.
Mais nous avons besoin d'aller au-delà des augmentations de la faible, les augmentations de taux par la fin de l'heure actuelle.
Morgan Stanley, James de Morgan Stanley a dit qu'il pense que c'est la première fois qu'il y aura 02 augmentation de taux. Tout le monde prédit encore 2 , 25, peut-être 50 et 25 augmentations de Tours.
Mais quand on passe au signal zéro, il pourrait s'agir d'un catalyseur pour le marché dans son ensemble.
Associer une certaine stabilité.
Donner aux entreprises américaines la confiance de nouveau.
C'est un autre domaine où on veut de nouveaux une stabilité sur le marché. Les taux sont plus élevés, ça va leur coûter davantage chez lui un financement.
Mais il y a beaucoup de demandes inassouvies dans le secteur des fusions et acquisitions.
Cela va peut-être se répercuter plus tard cette année, mais à l'heure actuelle il y a des indications que le consommateur américain se ressent des coûts d'emprunt plus élevé.
Comment cela se répercute sur l'activité de carte de crédit?
- Cela vaut la peine d'être évoqué.
Les ventes au détail ont annoncé aujourd'hui une baisse de 1 %. Le consommateur est beaucoup plus prudent que cela n'a été le cas pendant une bonne partie de 2022.
C'était le pire mois de baisse, qui correspond au chiffre de novembre, lequel a été également révisé à la baisse à 1 %.
Donc, il y a moins de dépenses de la part des consommateurs.
Cela signifie moins de dépenses au niveau des cartes de crédit.
Quand on songe à certains autres éléments, les prêts hypothécaires, l'achat de logement, ça baissé largement.
Les prêts automobiles également.
Alors, alors actuelle, il s'agit d'une gamme d'éléments.
Et le chiffre des ventes au détail était très défavorable.
Les ventes en ligne, la restauration, les appareils électroniques.
Le mobilier, le logement.
C'était une baisse généralisée dans les ventes au détail.
Alors donc, les compagnies de carte de crédit ont une tendance lourde, positive.
Il s'agit plutôt d'une migration du liquide au chaque moyen de paiement numérique, ce qui bénéficie en termes de croissance à long terme.
Il y a également un facteur favorable au niveau de l'inflation.
Si une corbeille de bien vous coûtait 100 $ l'an dernier, 108 $ cette année, c'est ce que vous facturez à la carte.
Il s'agit bien sûr d'un facteur favorable pour les compagnies de carte de crédit.
Je ne prévois pas une forte baisse et ralentissement de la croissance conformément à l'humeur des consommateurs.
- Nous osons à toutes sortes d'éléments du secteur bancaire.
Certains ont un profil très élevé.
Que dire des dépôts?
Que voyons-nous dans cette tendance après la pandémie?
Ça devrait un secteur fort intéressant.
- Oui, les dépôts, tout le monde la pandémie, les banques regorgeaient de dépôt.
Les consommateurs épargnés beaucoup.
Il recevait des chèques du gouvernement, aux États-Unis, au Canada, les consommateurs dépensaient moins.
On ne pouvait pas prendre l'avion, on ne pouvait pas voyager, tous les magasins étaient fermés.
On pouvait dépenser en ligne dans une certaine mesure, mais il n'y avait pas énormément de dépenses.
Les comptes de dépôt et les comptes chèques ont accueilli des soldes beaucoup plus élevées.
Les banques ont été inondées de liquide les taux étaient à zéro.
On ne pouvait pas avoir un bon rendement, rend mes obligations avaient beaucoup baissé.
Beaucoup de gens conservaient donc leur argent en liquide.
Et ce n'est qu'au deuxième semestre 2022 que les augmentations de taux de la Fed ont permis d'obtenir des rendements décents.
Avec des obligations de première qualité, des titres municipaux, et des certificats de dépôt, les comptes d'épargne qui donne des rendements beaucoup plus élevés.
Il y a une migration qui est en cours.
L'extension de la marge d'intérêt net des banques a été spectaculaire pendant une bonne partie de 2022.
Tandis que les banques relevaient des taux sur les prêts.
Mais pas aussi rapidement au niveau des dépôts.
Mais alors actuelle, cela a changé.
La plus grande partie de l'avantage a été réalisée lorsqu'il s'est agi de relever les taux de prêt. Mais à présent, les consommateurs deviennent plus malins.
Il voit des rendements beaucoup plus élevés qui sont disponibles sur le marché par l'intermédiaire de certificats de dépôt, et d'autres valeurs, et en transférant leur dépôt non bonifié d'intérêts, à des investissements qui procurent un bon rendement.
Cela s'est produit vers la fin de l'année, et cela va avoir un effet sur les marges d'intérêt net en 2023.
- Vous venez d'entendre Stephen Biggar, directeur chez August richesse.
Un coup d'œil sur les marchés.
Les esthétiques composites progressent 94 points.
Une augmentation de presque 1/2 %.
Globalement, la semaine était plutôt décevant pour les actions, mais aujourd'hui il y a une hausse.
Cameco remonte depuis quelques jours.
De près de 4 % aujourd'hui à 35 000,39 $ l'action.
Birchcliff Energy a annoncé ce matin qu'elle a décuplé son dividende en annonçant son plan quinquennal aux investisseurs.
Le titre est en hausse de quatre et demis pour cent à neuf dollars et 37.
Aux États-Unis, la remontée de Wall Street se maintient en hausse de 33 points, soit presque 1 %.
Le secteur Nasdaq, le goût du risque et de retour, surtout après que Netflix annonce des bénéfices supérieurs aux prévisions, et que Google a annoncé des licenciements.
Alphabet, la société mère de Google annonce des coupures d'emploi très importante.
12 000, je crois.
Oui, 12 000 effectivement.
Le chef de la direction annoncée ces licenciements et cela attire les investisseurs.
Vitali Mossounov plutôt dans l'émission, à parler de la discipline au niveau des coûts pour ces grands titres de technologie.
Les marchés ont fait grimper l'action de 4 % sur ces nouvelles.
Lundi, Scott de (.
..
) responsable des titres à revenu fixe la gestion d'actif Tedey rapport à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Vous pouvez nous poser nos questions partout en or par courriel, moneytalklivetd.
com.
Merci en mon nom ayant au nom de Anthony Okolie.
Et à lundi!