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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités aujourd'hui, nous entendrons Benjamin Chim qui nous parlera de l'endettement des entreprises et le centre d'apprentissage mètre en vedette Bryan Rogers. Mais avant, parlons de ce qui se passe dans les marchés. Vendredi a été une journée difficile. Des perturbations suites et biscuits. C'est également une séance en baisse. Rien de trop dramatique, mais vous le voyez tout de même à l'écran, des baisses considérables. Environ 44. Pour le TSX. Pourquoi sommes-nous toujours en mauvaise posture dans l'énergie? L'énergie signifie que le Canada a un secteur positif. Il reste dans le rouge. du côté de l'uranium, tout va bien. Une augmentation de près de 12 %. Diminution par rapport à l'année ou la semaine dernière plutôt. Le Japon parlait de peut-être remettre en démarrage certaines centrales nucléaires pour répondre à ses demandes énergétiques. Ensuite, du côté des Teck Resources, diminution de 3,2 %. Du côté des États-Unis, nous examinons les tendances actuelles. Les secteurs sont en difficulté. L'énergie a une petite augmentation ainsi que les services publics des télécommunications, mais les autres secteurs semblent être en diminution. Surtout le secteur de la santé. SIP 500, 4039, diminution légère. Nasdaq, diminution de plus de 1 %. Mais il y a certains titres énergétiques qui ont de bons résultats obtenus. Entre autres Exxon, augmentation de près de 3,3 %. Voilà la mise à jour sur les marchés. Aujourd'hui, pour parler davantage de ce qui se passe dans les marchés, les événements à regarder, avant la prochaine hausse de la banque centrale, nous sommes accompagnés (...) bien sûr, la première chose à observer(...) le taux de chômage était très faible à 3,5 %, plus bas depuis 50 ans. Avec une augmentation de la situation de la main-d'œuvre. Nous pourrions avoir une nouvelle augmentation de ses taux directeurs. Quand vous pensez à ce qu'il disait Jérôme Powell, je ne sais pas c'étais le caractère énergétique de ladite déclaration, mais nous dit que la banque centrale américaine, la Fed suivra son parcours d'augmentation. J'ai eu l'impression que cette fois-ci, Jérôme Powell ne disait nous allons observer de près la situation. Je ne sais pas comment c'était vraiment le ton, mais vendredi, nous avons vraiment constaté une variation par rapport au taux précédent chez Jérôme Powell. Je pense que les marchés c'est un peu de mettre à l'épreuve. - Vous avez raison. Après le dernier rapport sur l'inflation, (... ) peut-être que la Fed ne sera pas aussi énergique, et pourtant Jérôme Powell a persisté et signé. Je crois que c'est sans doute ce qui a retenu l'attention des marchés. Évidemment, suite à ces données d'inflation, on peut s'attendre à ce que la Fed s'ajuste, mais ces observations ont certainement prient le marché un peu de cours. Jérôme Power a redoublé en vigueur sur le plan de la lutte à l'inflation. Peut-être que l'assiette devra ralentir l'augmentation, mais ils nous disaient: l'histoire nous apprend que les cadres sera long. On ne peut pas ralentir la cadence des augmentations. Regardez ses observations. Il disait que ce (...) des dommages à l'économie américaine. Les taux élevés devraient perdurer durant un moment, alors les marchés ont certainement pris acte de ces observations et les marchés se sont sans doute dits qu'il est important de corriger les points de vue du point de vue de ce que nous dit la Fed. - Merci. Rapport sur la santé du marché immobilier. Les entreprises de l'Occident annoncent qu'ils vont supprimer leurs activités en Russie. Le rival d'Ericsson, Nokia, a ajouté son nom à la liste des entreprises qui quittent la Russie depuis l'invasion de l'Ukraine. D'autres sociétés technologiques, dont Dell, suspendre leurs activités au pays. Walmart propose d'acheter toutes les parts de Massmart qu'elle ne possède pas déjà. Déjà acheté en 2010. 300 millions pour les parts restantes, ce qui représente une prime de 50 %. Massmart, détaillant de l'Afrique du Sud, à des difficultés depuis les dernières années. Elon Musk nous dit que le monde continu de produire du pétrole. Pour répondre aux besoins énergétiques de la planète. Lors d'une conférence en Norvège, Elon Musk a déclaré que le pétrole était nécessaire à court terme si long de la civilisation s'effondrerait. Une exploitation supplémentaire justifiée. Le prix du pétrole a été pris dans une lutte acharnée ces dernières semaines. Évidemment, subit les contrecoups d'un ralentissement éventuel. L'indice TSX composite est en recul léger. 19 834. Au sud de la frontière, les sociétés énergétiques ont des difficultés mais ce sont surtout les titres technologiques qui maintiennent le S&P 500 en territoire négatif. Le resserrement énergique des banques centrales a provoqué une onde de choc dans les marchés tout en évoquant le spectre d'une récession à l'horizon. Qu'est-ce que cela signifie pour les entreprises? Benjamin Chim en a parlé un peu plus tôt. - Pour répondre à la question, quelles sont les craintes de récession, l'impact sur l'endettement des sociétés, en bref, ça a un impact considérable. C'est une des raisons pour lesquelles on constate une diminution importante dans les obligations des sociétés pour l'investissement comme rendement élevé. Le marché a réévalué les obligations en fonction de ses perspectives, c'est-à-dire que les taux d'intérêt vont continuer d'augmenter et si on n'a pas de récession d'ici la fin de l'année, on peut certainement s'attendre à la tâche à l'avoir d'ici la fin de l'année prochaine. L'ethos ajuste en conséquence. Mais si on réfléchit à ce que l'avenir nous réserve comment les choses vont évaluer évoluer à l'avenir, on passe toujours investir dans des obligations de société avec prudence. On pense qu'il y a une certaine volatilité d'ici la fin de l'exercice possiblement même l'année prochaine. Nous sommes toujours inquiets, car les niveaux d'inflation comme sa vie sont toujours élevés et il persiste. Les chiffres de juillet étaient encourageants, l'inflation légèrement diminuée, mais on continue de parler de banque centrale qui tente de faire passer l'inflation de cette il n'y a 8 % à la cible de trois à 4 % et éventuellement deux à 3 %. Il y a plusieurs éléments de mesure de l'inflation qui sont assez persistantes, dont le salaire et le loyer. Il y a un potentiel de stagnation d'inflation autour de quatre à 5 %. S'il demeure à ce niveau pendant une période assez longue, ce sera assez difficile pour le financement des obligations de société et évidemment on aura sans doute une récession pendant cette période. La clé crédit pourrait diminuer. Ce scénario n'est pas vraiment pris en compte les marches à l'heure actuelle. C'est pourquoi on procède avec prudence. Avec les obligations de société, il faut s'attendre à une volatilité important à l'avenir. - Parlons justement de cette prudence. Le segment des obligations de société est-il en question? (...) - L'élément positif du côté des obligations de sociétés pendant cette période, c'est que la situation jusqu'à présent a été assez particulière en ce sens que la qualité du crédit était assez bonne, bien meilleur que ce qu'on constate normalement en début de récession. C'est tout simplement parce que la dernière récession remonta peu de temps. La pandémie des covid19, les mesures de confinement, alors les entreprises avaient du mal à joindre les deux bouts car elles étaient fermées. beaucoup de sociétés fragiles ont disparu, et depuis, beaucoup de sociétés se sont concentrées sur la reconstitution de leur liquidité et l'étalement de leurs profils d'échéances de dette, ce qui les met en position aujourd'hui où elles sont confrontées à un marché financier plus difficile, mais elles ont les reins plus solides. Elles peuvent trouver d'autres moyens de maintenir leurs activités. Cela nous conforte l'idée que même si on constate une certaine perturbation dans les marchés du crédit, nous n'aurons pas ce que nous avons connu en 2008 ou 2020. Quand on passe au défi auquel on est confronté à l'heure actuelle, évidemment il y a beaucoup de sujets d'inquiétude, illogique de procéder plus prudemment. - Qui pourrait se passer le positif du point de vue déplacement dans les obligations de sociétés dans le contexte de l'économie générale? Qu'est-ce qui pourrait se résoudre dans le monde pour que l'on puisse sentir un peu plus positifs? - Eh bien, je pense que si les banques centrales réussissent à mieux gérer l'inflation, par rapport à ce à quoi on s'attend et à quoi le marché s'attend, ce serait extrêmement favorable pour les écarts de taux et les primes de risque, car cela pourrait signifier que nous aurons un atterrissage en douceur. Il semble pour le moment un espoir assez distant. Le cas échéant, les marchés à risque devraient remonter, surtout les obligations de sociétés. Les rendements potentiels (...) les rendements potentiels sont intéressants car le taux (...) c'est beaucoup plus ce qu'on a eu en début d'année. Ce qui nous inquiète bien sûr, c'est lorsqu'on approfondit, c'est moins intéressant que ce qu'on voit normalement réflexion. L'écart habituel de 145 points de base, 1,4 par (.. .) normalement, en cas de récession, l'écart est beaucoup plus élevé. Pendant la COVID, par exemple, les quarts de tour des obligations à rendement élevé avaient atteint 1000 points. Ou 10 %. on est à la moitié. On aimerait que ce soit davantage pris en compte dans les marchés. Si vous voulez investir dans des obligations de société, oui, il y a un potentiel roman long terme, mais il faut être prêt à faire face à une grande volatilité. On essaie toujours de soupeser le risque dans le cadre de l'audition de placement. C'est intéressant, vous parlez du fait que vous faut avoir un rendement global attrayant, mais il faut approfondir un peu pour savoir ce qui se passe sous la surface. Je pense à ce titre (. ..) dividendes. Pourquoi le chiffre est-il si important? Qu'est-ce qui se passe en dessous de la surface? - La même chose que ce que j'évoquais pour laisse le crédit. Sous la surface, les écarts peuvent être encore plus importants. Pour le moment, on n'est pas dans un marché disloqué. On n'est pas dans une situation où la qualité du crédit est préoccupante principaux plutôt une question de taux inflation. La volatilité pourrait augmenter. - C'était Benjamin Chim. Passons d'abord au segment de l'éducation. Vous avez peut-être des prix que vous surveillez? C'est peut-être des ordres de déclenchement? Pour en parler, Bryan Rogers, instructeur chez placements directs TD. Expliquez-nous comment fonctionnent les ordres de déclenchement. - Heureux de vous retrouver. Vous savez, l'autre jour on a parlé des ordres automatisés. Vous savez, l'investissement ligne offre beaucoup de possibilités d'automatisation par rapport aux ordres. Aujourd'hui, j'aimerais parler des ordres de déclenchement. ces ordres de déclenchement sont des ordres successifs. Un autre aura un impact sur les autres suivants. Pour avoir un bénéfice, par exemple, ou pour éviter une perte, on peut tout simplement programmer ses ordres à l'avance et prévoir aussi des ordres d'achat. Associer directement un déclenchement d'achat. vous savez que si la première condition est rempli, le deuxième ordre de déclenchement aura lieu. J'aimerais vous présenter comment le faire. j'ajoute acheter Apple. Au lieu d'aller à action, je vais stratégie. J'ai One triggers another, OTA. je vais choisir Apple. Une fois que vous saisissez, vous avez l'information sur le titre. Les deux sections. OTA. Ensuite, vous pouvez choisir la quantité, 100, je peux mettre le prix limite, dont je vais acheter Apple un peu moins qu'à l'heure actuelle, je vais mettre 160, et ensuite pendant la deuxième fenêtre. Une fois que Apple est déclenchée à 160 d'achat, je peux choisir vendre. Je choisis Apple, je peux mettre la quantité, 100 actions. Je peux mettre un prix limite. Ce sera automatiquement déclenché dès que la première commande sera déclenchée. Il est important d'afficher le symbole. Autrement, peut-être que la commande ne sera pas saisie. C'est tout ce que vous avez à faire. Un ordre déclenche le suivant. - Intéressant et très utile. Qu'en est-il de la structure de commission? - C'est une question qu'on reçoit beaucoup. La structure de commission est la même. Toute commande est associée au frais conventionnel et ça n'est payé que si la commande est passée. Si l'ordre ne déclenche jamais de vente ou d'achat, l'ordre sera ouvert et ne sera pas facturé. Donc c'est seulement facturé si la commande est passée. par ailleurs, étant donné que l'autre jour on a parlé de (...) vous pouvez les combiner à présent. on a parlé de OCO. Vous pouvez mettre une commande d'arrêt au-dessus ou autre en deçà de la valeur du marché, mais vous pouvez combiner cela à ce qu'on appelle un first triggers OCO. Vous passez la commande cela peut déclencher une annulation de la commande d'un autre titre vous pouvait vous protéger si jamais ça commande en deçà de certains niveaux. Vous pouvez rajouter cet autre niveau de protection qui permet d'annuler un autre ordre. - Merci d'avoir été des nôtres. Bryan Rogers, instructeur chez TD. (...) Anthony Okolie est de nouveau des nôtres pour nous en parler davantage. - Service économique TD nous dit que la valeur des domiciles(...) services économiques des 17 heures à une diminution plus importante en Colombie Britannique et en Ontario, où le domicile moyen coûte plus d'un million de dollars. On s'attend à ce que il y a un rééquilibrage de ce marché plutôt qu'un marché baissier important. Ce recalibrage est associé au fait qu'on s'attend à ce qu'il y ait des taux d'intérêt en augmentation de la part de la banque centrale, mais on s'attend à ce que cela prenne fin pendant l'exercice 20 23. On s'attend aussi à ce que les prêts hypothécaires, le taux de financement des prêts hypothécaires diminue l'année prochaine. Enceinte aussi est-ce qu'il y a un atterrissage en douceur, c'est-à-dire que les revenus des particuliers devraient continuer d'augmenter et cela pourrait rééquilibrer le marché immobilier. On explique aussi que les Canadiens ont amassé des économies qui permettent de financer les prêts hypothécaires et des dépôts. On attend aussi à ce que les marchés des nouvelles mises en chantier de la revente soient l'objet d'une requalification. Service économique TD est plus positif sur le long terme. Cela dit, une augmentation des taux pourrait effacer les bouquins qu'on a vus lors de la pandémie. Et l'abordabilité devrait demeurer la même pour les années à venir. comment cela se convertit au premier trimestre de cette année? Ça constatera que c'est un écart important. Dans le passé, l'immobilier est un facteur important de l'économie. Espace pour l'économie si on a une chute comme celle que vous proposez? - Eh bien, on s'attend à perdre un à un une 8 % du PIB dans le deuxième trimestre de cette année au premier trimestre 2023. C'est un ralentissement inférieur à ce qu'on a constaté pendant la crise financière de 2008. Mais ce n'est pas suffisant pour qu'il y ait un recul du PIB dans l'ensemble. Sur le long terme, on parle de plus d'immigration, une augmentation de la population. Quels sont les risques associés à cela? Alors, il y a divers risques évoqués dans ce rapport, mais le risque le plus important est associé à un recul plus important que ce à quoi on s'attend. La valeur de référence est une valeur faible. Si jamais il y avait un recul plus important que le scénario de référence, l'immobilier pourrait avoir un impact sur l'économie en général. - merci Anthony Okolie qui était dénote pour cette mise à jour. Le prix du brut aux États-Unis atteints quasi 96 $. Cela renforce le côté énergétique des marchés boursiers. Plus de 36 $. Nous avons montré Denison Mines au tout début. L'uranium qui poursuit sa forte progression suite à l'annonce du Japon à l'effet qu'il allait redémarrer les centrales nucléaires. Le nucléaire semble regagner en popularité depuis les difficultés en approvisionnement du gaz vécu par l'Europe. Cameco a une augmentation de presque huit et demis pour cent. (...) Concernant les augmentations à venir. Vous avez tout de même une diminution de certains titres. Les titres technologiques semblent être la base de ces réductions. Nasdaq à présent. On a une diminution même depuis le début de notre émission. On a une diminution prudente de un. 1,04 %. Occidental Petroleum semble(...) le prix du pétrole évidemment . . . après avoir essayé autour de 90 $ pendant l'été. J'ai parlé avec Bart Melek de valeurs mobilières TD. Malheureusement, pour le rapprocher, je crois qu'il y a des pressions à la baisse. Une des raisons qui expliquent cela, c'est la piètre performance de la Chine. Valeurs mobilières TD tend à croire qu'il y aurait une croissance de deux à 3 % en Chine. C'est très très faible par rapport aux normes historiques. Certainement très faible par rapport à ce à quoi nous sommes habitués. Au même moment, nous avons un groupe croissant d'investisseurs qui croient que le monde pourrait en fait se diriger vers une récession. La réserve fédérale pourrait ne pas changer de cap au début de février, contrairement au cours du marché obligataire qui pourrait entraîner une hausse des taux pendant plus longtemps. Cela signifie que la demande de pétrole, qui devrait maintenant atteindre bien au-delà de 2 millions de barils par jour en 2023, pourrait ne pas se matérialiser. En effet, selon modèle de valeurs mobilières TD, cela se situerait bien au-delà de ça, entre 1,2 et 1,5 millions de barils. Quand j'intègre ces données, à mon modèle, je constate un surplus. Pour le troisième trimestre. Et probablement un marché équilibré dans le quatrième trimestre. En gros, cela signifie que le prix ou le risque important de perturbation est exclue du marché. Cela explique en grande partie ce que nous avons observé sur le marché du pétrole brut. Ici, votre graphique montre bien la baisse de la demande que vous évoquez. Expliquez-nous ce que cela signifie pour notre public. - Eh bien, vous avez une estimation ici exclusive de l'évolution de la demande des produits de base. Ces forts axés sur les signaux de prix. Ces signaux de prix ne vient pas de nulle part. Ils sont largement fondés sur de très mauvaises données en provenance de la Chine. On le sait tous maintenant, la Chine applique toujours la politique COVID zéro. Activité industrielle laisse entrevoir une contraction au cours des prochains mois. On a récemment été témoin de ralentissement de la surveillance du mouvement et les données sur la mobilité montrent également que la mobilité ne se redresse pas autant qu'on l'espérait. Mais outre le volet de la demande, il existe un risque important d'une forte augmentation de l'offre en provenance de l'Iran. C'est à ce niveau que réside la solution potentielle au problème nucléaire iranien. Les États-Unis et ce qu'on appelle les P5, les membres permanents,songe à conclure un accord qui permettra grandement de nouveaux accès au marché mondial. Bien sûr, l'Iran devrait se conformer à certaines limites de son programme nucléaire, mais on estime que cela pourrait ajouter jusqu'à 1 million de barils de pétrole brut au cours des 12 prochains mois. - Avait un excellent graphique à ce sujet. Tandis qu'on en parle, examinons ce graphique. Nous savons que ce il y a du pétrole, mais à quelle rapidité peut-il former ce pétrole? Assez rapidement, n'est-ce pas, d'après ce graphique? - Oui. D'après les donnés historiques 2015, lorsque les champs pétrolifères(.. .) ce qui signifie que l'Iran pourrait introduire une offre de 2 millions de Marie en environ un mois, 0,7 millions de barils au cours des six prochains mois, et 1 million de Paris au cours des deux ou 12 prochains mois. Un élément très important à retenir, lire l'Iran à des stocks d'environ 5 millions de barils de produits pétroliers de pétrole brut qui pourrait le déployer assez rapidement. La dernière fois, lorsque l'accord nucléaire de p5 (...) on a constaté une réduction du prix depuis 52 lorsque l'accord a été annoncé, et un peu après, un mois après environ, on a constaté un crû d'environ 32 $. C'est ce qu'on a dans la publication mercredi dernier. S'il n'y avait pas d'entente, on n'en parle depuis un moment, est-ce qu'il a d'autres aspects? Je pense à l'OPEP et sa capacité d'être un participant dynamique. On a récemment entendu des avertissements de l'OPEP qui nous dit qu'elle ne peut pas augmenter la cadences de production si rapidement. C'est un problème qui dure depuis longtemps.l'OPEP a promis délivrer beaucoup plus de pétrole brut qu'elle ne l'a fait en réalité. Le mois dernier, elle a promis une hausse de 648 000 barils, mais n'a pas respecté son engagement. Je crois que c'est très peu probable qu'elle arrive à livrer autant de pétrole que bien des gens l'expert. Ça peut être stratégique. Cela peut s'expliquer par des contraintes dans les champs pétrole pétrolifères, mais au final, nous savons que l'OPEP(...) le problème bien sûr au sein de l'OPEP, c'est que les pays qui ont les quotas n'ont pas les stocks et les pays qui ont les stocks ou les pays qui n'ont pas les stocks pour les quotas. Il faudra donc revoir la politique de l'organisation. Au même moment, je ne crois pas que ce sera un problème. Tout le monde se concentre sur le ralentissement de la demande et c'est certainement le cas des marchés à terme. On a vu des négociateurs stratégiques serait-il en partie de cette position au cours des derniers mois et on a observé des sorties de position acheteurs sur une position plus neutre. Parlant de politique, je pense au cycle électoral de mes mandats États-Unis. L'administration Biden a de bonnes raisons de vouloir non seulement faire baisser les prix à la pompe, comme on l'a vu depuis quelques semaines, mais les intérêts des nouveaux bas et les réduire encore davantage car essentiellement les électeurs se mettent en colère lorsque de plus en plus leur argent sert à faire le plein. Quelle a été l'influence de l'administration Biden ce qu'on observe sur le marché du pétrole brut? - Elle a eu beaucoup d'influence. Elle a demandé la réserve stratégique des pétroles des États-Unis délibère une quantité importante de pétrole brut. Environ 1 million de barils par jour. Sans cela, les marchés auraient été beaucoup plus serrés. Même si on est quelque peu négatif, on ne peut pas vraiment dire qu'on laisse trop. On a des prévisions trimestrielles pour 2022 et les trois derniers mois de 2023 qui reposent sur des prix dans les 80. On pense essentiellement que le déblocage du pétrole dans la réserve stratégique des pétroles va finir par s'arrêter. Comme prévu. même si l'Iran intervient que cela crée une offre excédentaire, l'OPEP . . . pratiquement certaine et haute de pétrole brut promise du plan. à ce niveau-là, comme vous dîtes, on tourne toujours au de 90 $. C'est le point où on était. - d'après ce que l'on sait de la structure de coûts dans le secteur du gaz de schiste en des endroits comme l'Arabie Saoudite et la Russie, ainsi que les sables bitumineux du Canada, tout le monde couvre ses coûts et plus encore. Est-ce qu'on aimerait gagner plus d'argent? Je pense bien sûr la réponse est inévitablement oui, mais là où ça devient problème, pour l'instant, je dirais que non. Demain, nous accueillons Jennifer Nowski, gestionnaire de portefeuille à TD gestion d'actifs, sera invité à répondre à vos questions sur les actions en matière de matières premières. Je vous rappelle que vous pouvez prendre de l'avance en envoyant vos courriels, MoneyTalkLive@TD.com. Avant de vous quitter, nous révèle (...)c'est une bonne partie de l'économie. Comme vous dîtes, c'est une bonne partie de l'économie américaine. Ça représente les trois quarts du PIB. Ce chiffre est la confiance des investisseurs est très important pour les marchés. Nos consommateurs sont-ils confiants par la main? Sont-ils optimistes par rapport à leurs perspectives d'emploi? Vont-ils dépenser? Je pense que cela important (...) évidemment, ça aura un impact non seulement sur les consommateurs, mais aussi les marchés. Nous observerons cela ainsi que la Fed. 10 heures heure de l'Est demain pour les derniers chiffres sur la confiance des investisseurs aux États-Unis. C'est tout le temps que nous avions. Au nom de moi-même et d'Anthony, à très bientôt.