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(musique) Bonjour Ici Greg Bonnell, et bienvenue à Placements direct TD qui vous est présentée par Parlons d'argent en direct. Aujourd'hui nous verrons combien de hausse de taux la réserve fédérale pourrait encore avoir lieu avec James Marple et aussi Bill Booth qu'au chef déplacement et expliquera pourquoi une inflation plus élevée pourrait s'inscrire dans la durée et Michael O'Brien nous dira si l'inflation canadienne se calme suffisamment pour que la banque canadienne râlant ralentissant les hausses des taux. Jason expliquera les ordres à cours limité. Mais avant tout cela, le point sur le marché. C'est difficile aujourd'hui sur le marché. À Toronto, le TSXprévoir une baisse de cinq 100. 1 baisse de 2,8 %. Tous les secteurs sont en territoire négatif. L'énergie les services financiers et les matériaux sont touchés par la baisse du pétrole brut. C'est difficile donc de regarder Suncor l'énergie les baisses de près de 1 % ça ne veut pas dire qu'il y a des points qui n'a pas de point positif. Il y a Victoria les fabricants de logiciels juridiques déplorent que Ondres a été interrompu le marché avec une augmentation de 5 % et c'est seulement un petit nombre de titres qui sont en territoire positif aujourd'hui. Au sud de la frontière, le S&P 500, une baisse de 2 % avec 66. Deux baisses et puis pour le Nasdaq avec le titre technologique la baisse n'est pas aussi prolongée une baisse négative baisse de 1,7 %. Et comment Toronto à Wall Street, le titre de l'énergie sont en baisse avec Exxon mobile par exemple qui baisse de plus de 5 %. Voilà pour la mise à jour des marchés. Pour parler de cette volatilité qu'on voit sur le marché, nous avons Anthony Okolie c'est une journée difficile encore sur les marchés. Il y a eu beaucoup de mouvements cette semaine. - Oui cet été on parlait d'une nouvelle hausse et on pensait que la Fed allait ralentir les actions del impact et donc on voit des crèmes. Elle est. Les banques n'appréciaient pas nécessairement la hausse des taux d'intérêt. Elle se sentait surtout sur les problèmes d'inflation. Le fait que l'inflation ne ralentissait pas. C'est intéressant parce que les banques centrales agissent maintenant de 12 à 18 mois. - C'est tout à fait vrai. La banque d'Angleterre par exemple augmentait ses taux d'intérêt et la banque nationale suisse aussi la Norvège également à augmenter ses taux d'intérêt de 50 points de base et les messages des différentes banques centrales pour faire baisser l'inflation à une cible gérable. Des douleurs du point de vue économique et du point de vue de l'emploi ça va cocher du chômage mais les banques centrales sont surtout centrées sur les problèmes de l'inflation. Et bien sûr, il y a cette préoccupation est-ce que les banques centrales vont aller trop loin? Est-ce qu'on risque de tomber en récession? Évidemment, ce sont des craintes sur convois sur les marchés avec le (mot en anglais) qui a énormément baissé. Une baisse de 6 % à cette séance. Une crainte que les banques centrales vont trop loin on se rend récession. - Et puis la confiance des consommateurs quel impact esquissera sur la confiance? Et les dépenses des consommateurs? Et aussi pour les sociétés. Les villes les sociétés sans prendre incident sur la rentabilité des entreprises. On prendra bientôt les annonces des bénéfices de troisième trimestre et donc il y a beaucoup de craintes sur les marchés. - Le gros événement de la semaine c'était mercredi avec la réserve fédérale américaine avec l'augmentation et les déclarations de général PowerPoint vous avaient une discussion avec James Marple? - Oui. C'est une des choses qu'il a mentionnées si le changement de la situation de la réserve fédérale. Tout le monde s'attendait à ce type d'augmentation mais ce qui a été le plus surprenant, c'est que c'étaient les projections un sondage sur les projections économiques avec les membres du comité fédéral deux open markets pour pouvoir anticiper l'évolution des taux. Pour le moment ils en sont en 4,4 % et prévoit d'autres augmentations au cours de la prochaine année. C'est le grand changement et ils ont également abaissé la projection économique. Économie vu, il n'y a pratiquement pas de croissance économique en 2020 aux États-Unis et les deux premiers trimestres ont été négatifs. Et le taux de croissance de l'année prochaine est prévu comme étant plus bas. Est très important. Il y a également une incidence sur le taux d'emploi qui est plutôt louche taux de chômage était quatre 4,4 %. Et on prévoit que ça reste à ce niveau-là en 2023 et 2024. Donc il y aura certaines douleurs économiques pour faire baisser l'inflation et du côté de l'inflation, ils ont également revu leurs prévisions en matière d'inflation les informations à prendre plus de temps pour un état de pour cent. Vous avez dit qu'il faudra augmenter les taux de croissance à moyen terme, on s'attend également à ce qu'il y a une augmentation. - Tuisava continue d'augmenter et il y aura encore des augmentations à notre avis. J'ai au moins 4 % d'ici la fin de l'année et bien sûre, il faudra voir les données économiques pour voir le résultat. L'emploi, chômage etc. on peut s'attendre à ce que augmenter? La même chose aux États-Unis mais agressifs. On veut s'assurer de ne pas considérer un déclin temporaire et faire l'erreur de ne pas continuer augmenter les taux. Comment est-ce que les marchés des obligations réagissent à ses commentaires? Par exemple bons du trésor qui ont vu leur rendement réduit de 4 %? - C'est vrai qu'au moment de la déclaration, tous les taux obligataires ont augmenté. Et le général PowerPoint a ensuite commencé à soulager les craintes certaines craintes donc on rabaissait un petit peu. En tout cas il faut croire la réserve fédérale quand ils disent qu'ils sont vraiment centrés sur l'inflation et le signal quand même une petite hausse de chômage ne va pas changer l'attitude de la réserve fédérale voilà ce qu'on peut s'attendre. Alors bien sûr, il y a le conflit en Ukraine et d'autres risques géopolitiques. Quels sont les autres risques pour ce qui est qui pour avoir une incidence planétaire? - Il est secteur de l'économie sont intéressants comme le marché de l'immobilier avec la vente des maisons et la vente des voitures aussi qui sont en général assez faible. Et donc ils vont examiner cela. Examiner les indicateurs généraux de l'activité économique surtout du côté de la consommation des dépenses des ménages. Qui sont assez faibles également. Ils vont examiner l'inflation et pour les risques économiques tout choc économique majeur pourra faire en sorte qu'ils réagissent de manière plus lente mais ils vont continuer de se centrer sur l'inflation et vont tolérer une certaine détérioration économique pour arriver à leur objectif de 2 % d'inflation. - Oui effectivement il veut arriver à cette cible de 2 %. Et finalement le dollar américain qui est arrivé à un record en 20 ans, comment est-ce qu'il va évoluer? - Et bien, je pense beaucoup dollar canadien par rapport au dollar américain. De ce point de vue, et que l'économie canadienne jusqu'à présent ensemble sur performer. Il y a certains doutes à savoir si cela est durable, mais on peut avoir une résilience continue de l'économie canadienne ont pour avoir dollar canadien plus élevé par rapport au dollar américain. Et puis, bien sûr il y a les divergences en matière d'inflation. On voit l'inflation baisser légèrement au Canada et cela une incidence à la baisse sur le huard, puisque le taux interaméricain continu d'augmenter. Donc je pense qu'il est encore une faiblesse du dollar canadien pendant un certain temps et je ne crois pas que la politique monétaire et de pays sobrement différent et l'autre puisque les deux rives l'arrivée une inflation de 2 %. Pour ce qui est de l'euro, on continue continue de s'affaiblir par rapport à aujourd'hui les défis sont vraiment des défis durables, par exemple dans le secteur de l'énergie et l'Europe arrivait en inflation en récession cette année. James Marple économiste en chef économie TD. Et maintenant une nouvelle du monde des affaires. Les ventes de détail au Canada affichent la première baisse en sept mois en raison de reculer à la station de station-service magasin de vêtements. Statistique Canada indique une baisse de 9 % de vente pour les mois de juillet 1000 analyse préliminaire de l'agence indique que les ventes ont connu une modeste hausse en août le taux agressif de la banque du Canada a soulevé des inquiétudes. Des consommateurs canadiens. En matière de bénéfices au dernier trimestre le détaillant a constaté une forte demande en alimentation en carburant. L'inflation est également importante qui essaie de naviguer au plus élevé sur le cours de par rapport à la même manière. FedEx prévoit une augmentation d'expédition moyen de près de 7 % court de la nouvelle année cette annonce intervient occlusion de l'expédition est aux prises avec une baisse de la demande en raison des craintes croissances de récession mondiale. Indique également jusqu'à 2,7 millions de dollars de mesures de réduction des coûts. - Lorsqu'il est investi sur le marché bien sûr si vous êtes nombres cette semaine, c'est toujours plus difficile du côté des actions en septembre on le sait du côté d'IPX avec une baisse de 560 point touché principalement par les différents secteurs particuliers le secteur énergétique. Du côté du S&P 500 là aussi des chiffres négatifs 85. Deux baisses de et encore pour cent à cette séance. L'inflation est restée liée aux États-Unis malgré les hausses de taux répétés de la réserve fédérale. Selon Bill Booth l'amant le marché pourrait être entré dans une nouvelle ère pour la croissance lente. Il nous en parle. La volatilité concernant ces annonces et particulièrement importantes. Avec une baisse et ensuite une petite remontée au fur et à mesure des déclarations de la salle que veut faire réserve fédérale c'est de tuer l'inflation. Elle confère tout ce qu'il faut pour que le patient ramène son objectif plus long terme. Donc les investisseurs doivent gérer cette réalité. Que la réserve fédérale est prête à sacrifier l'économie dans une certaine mesure, les marchés financiers. Général Power a dit que s'il faisait une erreur, c'est que le taux d'intérêt resterait trop pendant trop longtemps plutôt que de faire l'erreur de les rabaisser trop tôt. Et ça, c'est quelque chose qui commence à être pris par les marchés. - Oui, c'est un peu la douche écossaise. Ça été vraiment clair alors maintenant, le refuge pour les investisseurs, c'est que la réserve fédérale mutuelle inflation. Mais une fois que l'inflation baissera les taux d'intérêt vont commencer à baisser mais finalement ce ne sera pas comme ça. Elles sont vraiment préoccupées par les attentes en matière d'inflation que l'inflation reste durable. Et reste une attente chez les consommateurs américains. Et donc, l'inflation est vraiment la priorité des préoccupations de la réserve fédérale. Et donc ils ne vont pas s'arrêter d'augmenter les taux d'intérêt. En fait la surprise que le terminal est à 4,6 %. Ou sur enquête, 6 % en 2023. C'est vrai que les titres des technologies sont touchés ce qui est logique parce que les et tout l'intérêt c'est sur les multiples de valorisation. Et ces titres technologiques avaient des multiples très élevés surtout sur pendant l'époque de l'assouplissement quantitatif. - Alors parlons de cela. On un changement de régime en quelque sorte. Mais je vais-je regarder certains articles on était habitué depuis une dizaine d'années à un certain régime. Et en fait, c'est terminé. Les décennies qui est détenu est derrière nous et maintenant, nous avons nouvelle décennie qui s'ouvre. Qu'est-ce que ça les investisseurs? - Cela veut dire d'un niveau plus élevé d'inflation. On a connu une décennie d'inflation modeste, une croissance à ses récentes mais à plus long terme, l'inflation va être plus élevée que ceux à quoi on est habitué je ne pas cinq ou 6 %, mais pour au moins 3 % ça devrait devenir la norme et du point de vue de la croissance économique, il y a beaucoup de problèmes. Qui ont une incidence sur la croissance potentielle. Les aspects démographiques avec une population vieillissante cela va faire ralentir la croissance et puis les problèmes d'approvisionnement lié à la Covid-19 et bien sûr, le conflit entre l'Ukraine et la Russie. Nous sommes dans une nouvelle période de mondialisation je dirais. C'était mondialisation veut dire à terme, les chaînes d'approvisionnement ne seront plus fiables mais seront aussi plus coûteuses. Donc à l'avenir je crois que la croissance sera moindre Émile inflation sera plus élevée. Pour les investisseurs qui recherchent des rendements dans cet environnement, qu'est-ce qu'ils doivent rechercher? Et quel est leur état d'esprit? - Il y avait une grosse augmentation sur les marchés des actions très bien si vous avez gagné beaucoup d'argent grâce à cela, mais où est-ce qu'on va trouver des rendements à long terme? - Si vous regardez les décennies passées ce qui est intéressant quand on regarde les composants des rendements des actions, des multiples de valorisations qui ont augmenté, et puis les dividendes, ce qui est intéressant également, c'est l'expansion des évaluations et valorisation qui a amené à des grands rendements au cours de la décennie passée et maintenant, je crois qu'il est important de se tourner vers les bénéfices de croissance et les dividendes pour générer des rendements sur les marchés des actions. Et cela pour nous il faut rechercher des titres de sociétés qui vendent des produits et des services et les sociétés qui sont sur une bonne croissance des sociétés qui sont rentables. Les sociétés technologiques qui ne sont pas rentables et qui étaient les favoris des investisseurs pendant des années la je crois que le jeu est terminé. Et quand vous achetez une action indigeste une participation dans une entreprise. Il ne s'agit pas simplement de regarder 1, Cours d'action, mais vraiment de voir comment se comporte la société l'entreprise et pour se centrer sur les entreprises solides et qui génèrent des liquidités. Par ce que il doit y avoir beaucoup plus d'incertitudes et de volatilité lors de mondiale est beaucoup plus désordonné il y a des problèmes géopolitiques et donc, je dirais que il y a beaucoup de résultats qui sont très différents par rapport au passé. Alors il semble qu'il y ait un nouveau paradigme et donc, qu'il faudra être patient. Évitez les émotions. J'ai été surpris moi-même pour ce qui est de gérer mes émotions un excès d'émotions de ma part. Mais l'avenir, je crois qu'il faut être beaucoup plus discipliné en tant qu'investisseur. - Je crois que oui. Et je crois qu'il faudra voir la forêt plutôt que chaque arbre. Si vous regardez les marchés à l'heure actuelle, il y a des marchés ou des titres qui ont des perspectives de croissance assez bonne les énergies renouvelables et la technologie verte. Je crois que cela peut permettre justement une pollution industrielle nuagique les méga données etc. Donc si vous prenez un recul par rapport à la volatilité quotidienne,… plus ou moins le. Donc si on peut être patient donc petit et bien tu investisseurs considéreront qu'il y a des qui aura des opportunités. Savez, pendant un marché quand on est trop tard, – et donc peut-être que les investisseurs sont plus intéressés et pourront voir les opportunités après les douleurs du court terme pour trouver des sociétés qui peuvent être intéressantes au moment de marcher qui baissent. - Bill Booth chef déplacement en (mot en anglais). Maintenant notre segment éducatif de la journée. Si vous voulez faire déplacement et les différents types d'ordre que vous pouvez utiliser pour répondre à vos besoins, y compris les ordres et les heures de cours limité, voici Jason Delaporte placement TD quels sont les facteurs que vous utilisez pour choisir? - Céline pouvant choisir quand vous investissez, il y a différents types d'ordre que vous pouvez utiliser. Aujourd'hui on va se centrer sur les ordres au cours du marché, les heures de cours limité avant de prendre des heures, prenons le contexte pour ce qui est des éléments de base, pour ce qui est de la cote. Alors vous avez par exemple ici la cote de Felipe. Vous avez donc le dernier cours et le changement dans la journée. Ce changement, n'oubliez pas, est très prononcée aujourd'hui. À la baisse aujourd'hui, un jour, une autre journée ça peut être en augmentation. Donc c'est l'évolution par rapport au dernier cours de la dernière journée. - Alors pour comprendre le marché, il faut voir quels sont les ce qui est demandé et l'argent qui est demandé. Et ce qu'on peut offrir. Vous avez, par exemple, pour le cours vendeur et le cours acheteur. Le cours vendeur, c'est l'offre la plus basse de vente. Alors parlons des facteurs que vous pouvez prendre en compte pour choisir un ordre plutôt qu'un autre. Il faut voir ce qui est important pour vous. Est-ce que c'est la vitesse d'exécution ou le prix? Est-ce que le marché très volatile? Est-ce que les marchés avancent très rapidement dans une direction particulière? Est-ce qu'il y a suffisamment de négociations sur un titre sur l'action? Pour permettre l'achat ou la vente? Et puis autre chose à prendre en compte, si si le marché est même ouvert à l'heure en question. Alors regardons les différents types d'ordre. Dans ces situations fictives, on va par exemple acheter au cours du marché. Donc ça veut dire, que nous serons au cours vendeur, donc avec le P qui est demandé. Et… je vais essayer ce qui m'intéresse l'exécution la vitesse d'exécution et non pas vraiment le cours de l'action et donc, je regarde le cours vendeur et on voit que le marché n'est pas statique. Il continue de monter et de baisser, ce qui peut toucher donc le cours auquel il sera exécuté votre ordre. Donc on ne sait pas exactement quelle sera le cours au moment de l'exécution. Maintenant pour les heures de cours limité ce serait l'inverse. Vous avez le contrôle sur le prix c'est-à-dire que voici le prix auquel je veux bien acheter versus le prix auquel je veux bien vendre. Alors à partir de là on ne peut pas garantir une exécution parce que par exemple si on a 366 et que je veux acheter à 365 et que personne ne vend 365, lors de ne sera pas exécutée. Donc il n'y a pas de garantie d'exécution donc il y a des avantages et les inconvénients en fonction des autres. Alors maintenant, est-ce que vous pouvez nous dire comment on peut placer un ordre? Sur la plate-forme. - C'est la chose la plus facile après avoir fait son choix qui aurait été difficile. Sur la plate-forme, vous pouvez le faire dans plusieurs endroits donc vous pouvez aller dans la négociation ou achat et vente. Vous avez le bouton à droite. Moi, j'aime bien utiliser ces boutons par ce que ça permet de prêt remplir le symbole du titre que je veux acheter et donc, je peux entrer la quantité et on voit la cote qui s'affiche à droite. C'est en temps réel si vous passez du temps est-ce que je devrais pas acheter? N'oubliais pas de rafraîchir avec la petite flèche. Pour voir s'il y a un changement. Vous pouvez choisir votre ordre donc autre ordre au cours du marché on a cours limité, il y a d'autres types d'ordre également dont on pourrait parler légalement l'avenir. Vous pouvez choisir en haut du menu. Et le prix limite, le cours limite, vous spécifiez ici j'achète. Je mets le plus gros chiffre que je suis prêt à payer 365 $. Et puis, dernière information, si nous choisissons le cours du marché, la période sera toujours la journée, par ce que l'ordre du marché toujours exécuté au moment où le marché est ouvert. Si le marché fermé, ce sera exécuté au cours de la prochaine journée ouvrable. Maintenant, si vous avez un ordre limité, vous pouvez choisir jusqu'à quand vous voulez que cet ordre soit ouvert et soit valide. La journée ou alors vous pouvez aussi choisir annuler 90 jours au Canada et 180 jours au marché sur les bourses américaines. - Merci pour toutes ces informations qu'on apprécie. C'était Jason chez chez placement direct et des points assurez-vous d'aller pour aller sur courtier Web pour avoir des vidéos éducatives, des leçons interactives et des webinaire. Alors nous avons aussi les données sur l'inflation cette semaine. L'IPC a démontré une petite baisse, mais cela prenait peut-être pas suffisant pour entrer au détour des banques du Canada. Je ne crois pas que ça aurait une incidence sur la prochaine décision de la banque du Canada qui semble déterminé pour la prochaine réunion. Mais au moins, c'est une étape dans la bonne direction. Un pas dans la bonne direction. Cette inflation qui est un peu baissée, puisqu'on veut que l'inflation baisse pour que les banques centrales arrêtent d'arrêter à un taux augmenter les taux d'intérêt. Donc maintenant que nous avons deux mois consécutifs ou la pression inflationniste semble être à son sommeil ensuite baissé, ou du moins ne pas trop augmentait, disons que c'est une chose positive. Acceptons cette nouvelle positive. - On pourra dire ce que ça représente pour les portefeuilles d'actions évidemment ça été dit plus difficile jusqu'à maintenant et la réserve fédérale France annonce demain. Quel est votre opinion? Est-ce que le général Powers par exemple était assez agressif lorsque dans ce qu'il va annoncer demain? - Je crois que c'est quelque chose qui va être intéressant. - Oui effectivement avant la réunion de Jackson je dirais que le comité fédéral était très clair sur ce qu'il voulait accomplir. Il voulait agir rapidement, tout comme la banque du Canada qui a suivi la même stratégie. Et ils ont communiqué qui voulaient augmenter les taux d'intérêt à un niveau qui allait ralentir l'inflation, même si ça voulait dire une croissance lente. Et garder les taux d'intérêt pendant un moment. Ensuite en juillet, il y a un certain enthousiasme de la part des marchés. Après une sorte d'adaptation de la part de la réserve fédérale qui semblait pouvoir reculer. En fait un type passé. En fait le président de la Fed a bien indiqué que les taux d'intérêt allaient rester élevés pendant un bon moment. C'est là qu'on s'est réveillé en quelque sorte, beaucoup de gens se sont rendus compte que les taux d'intérêt vont continuer d'augmenter et vont rester élevés pendant un bon moment. Et je crois que pendant l'été, le comité fédéral deux open Marquette est un peu dérangé. Par les problèmes et les messages changeants. Maintenant le message beaucoup plus clair. Parce que certains pensaient qu'il y aurait des baisses d'intérêt au deuxième et troisième trimestre 2023. Mais la réserve fédérale a clairement indiqué que ce ne serait pas le cas. Et je ne m'attendais pas est-ce qu'il y a une la même surprise avec les décisions de demain. Mais je crois qu'il faut qu'on comprenne clairement que ils considèrent qu'ils font leur travail et qu'il y a encore beaucoup de travail à faire. Oui, ils ont indiqué qu'il y aurait encore qu'est-ce que ça veut dire pour nos portefeuilles? Nous savons que la banque centrale, les banques centrales veulent réduire l'inflation et la crainte, c'est que les êtres au loin et qu'il n'y ait pas de récession mineure, mais une récession beaucoup plus majeure. Et donc qu'est-ce que ça veut dire pour les actions? Si on a une récession plus forte on l'a vu sur les marchés depuis plusieurs mois déjà. Cette crainte, il faut être réaliste. C'est un environnement difficile pour les actions comme catégorie d'actifs. Et pour cela je veux dire que si les banques centrales réduisent la possibilité de croissance, puisque l'inflation est mit numéro un, pas seulement d'Amérique du Nord mais dans toute la planète, et bien, c'est une période difficile pour les actions. Ça veut pas dire qu'il n'y a pas d'occasion sur le marché, que certains sites ne représenteraient pas des occasions. Mais ça ne veut pas dire concernant cette situation pour toujours. Mais il faut être patient. Il y aura de meilleures journées, mais avant d'y arriver il faut que les banques centrales arrêtent augmenter les taux d'intérêt et pourra arrêter d'augmenter les taux d'intérêt, les banques centrales doivent voir l'inflation et commencer à baisser et pas seulement ponctuellement, mais de manière constante sur tout un spectre de mesure. Et donc comme je l'ai dit, une bonne nouvelle pour l'IPC canadien. On a vu le taux principal baissé un point sur l'autre et par rapport à juin, donc on fait des progrès. Mais en dehors du choc énergétique et des prix de l'essence qui baisse ce qui augmente, les mesures principales de l'IPC au Canada sont sur une tendance positive. Et donc, pour ce qui est des marchés, il faut qu'on continue d'avancer les nouvelles comme ça et les mesures principales de l'inflation qui indique que le pire est derrière nous parce que c'est ainsi que les banques centrales veulent voir. Une fois qu'elles considéreront qu'elles ont fait suffisamment de travail, elles vont pouvoir communiquer sur ce qui pourrait se passer en termes de taux d'intérêt. Mais il y a encore du temps à attendre. Vous avez dit qué c'est ça qui était être patient risque si ça difficile dans la discipline parce qu'on n'a traversé une longue période on avait pas être patient. La réserve fédérale allait remplir nos besoins. On s'attendait à ce que la réserve fédérale nous aide. Mais maintenant, il faut être patient. Je pense être patient mon âge, mais quelquefois je me pose la question. - Vous avez quelque chose de très important. Il s'agit d'un environnement très différent par rapport à cela qu'on est habitué au cours de la dernière décennie. Au cours de la dernière décennie, les banques centrales arrivaient par avoir suffisamment d'inflation. Il semblait à chaque fois que la croissance allait faillir. La banque centrale était très rapide pour résoudre le problème ici la cible d'inflation était trop basse et donc, c'est pour ça que la réserve fédérale était notre ami pendant 10 ans. La réserve fédérale et nous sauver. C'est ce qu'ils ont fait. Pendant 10 ou 15 ans. Mentionnée en 2009. Maintenant l'environnement d'aujourd'hui très différent. Il n'y a pas cet alignement d'intérêts entre les investisseurs et les décideurs politiques. Et monétaire. À l'heure actuelle, les investisseurs ne veulent pas la même chose que ce que veulent les banques centrales. Les banques centrales veulent une moindre croissance des taux d'intérêt plus élevé, moins d'inflation alors que nous, nous voulons des taux plus bas aider la croissance plus élevée. Donc on est plus dans la même équipe. Et quant à ces divergences et c'est la réserve fédérale qui décide. Ce sont les banques centrales la bataille c'est pour ça que nous devons être patient en attendant la fin du processus. C'était Michael O'Brien chez placement TD. Nous avons une discussion bien sûre avant la décision de la Fed et bien sûre comme ça été dit, ce dont on a parlé, ces produits et c'est vrai et de la banque centrale des banques centrales. On se tourne encore les marchés et répond sa réputation et les TSX plus de 3 % dans tous les secteurs les l'énergie en baisse avec une baisse du pétrole brut, une baisse de 6 % du pétrole brut et seulement une seule séance. On a parlé de Suncor tout à l'heure, vous avez le titre qui est en baisse de plus de huit et 8 %. Alors on peut essayer de trouver certains activités positives en j'avais choisi un petit groupe Dollarama qui était positif mais qui maintenant se retrouve en territoire négatif. Il n'a pas réussi à rester dans le terrain positif en tout cas. On peut penser que dans les périodes économiques difficiles, des titres comme Dollarama pourrait mieux s'en sortir, puisque les gens cherchent des aubaines. En raison de l'inflation. Ils vont dans des magasins Dollarama. Le S&P 500 maintenant aux États-Unis, une baisse de 92 % environ. Une baisse de 8 %. Et le Nasdaq s'en sort un peu mieux, même s'il est toujours en territoire négatif une baisse de 2 % et pas autant que les autres pour cent. Et puis regardons les banques américaines. À 107 $, vous avez J.P. Morgan qui est en baisse de trois et demis pour cent. Alors que les Canadiens continuent à faire face à une hausse élevée des coûts d'emprunt et avec la croissance de récession, les consommateurs sont obligés de dépenser plus prudemment alors nous avons maintenant des données sur la consommation avec Anthony Okolie. On voit que les données de statistique Canada qui nous indique que les ventes au détail en juillet de 2008 %. Donc une baisse beaucoup plus important que prévu. Les ventes de commerce de base autour voient une baisse de quelques pour cent. On voit une baisse des ventes également dans les stations-service. Et les gens achètent moins de tout. Ils attendent l'inflation et la demande des consommateurs continus de baisser. Il y a un ralentissement sur le marché immobilier et puis, les ventes des meubles par exemple, de l'électroménager et des appareils électroniques ont également baissé au mois de juillet. Il y a une vente une baisse des ventes des automobiles qui représentent une grosse portion des ventes en général. Et donc on peut dire que les services économiques TD considèrent que l'inflation et les taux d'intérêt élevé une baisse du pouvoir d'achat font que les investisseurs… les consommateurs sont beaucoup plus frigos. Alors quelles sont les perspectives des services économiques TD concernant les dépenses consommation pour le reste de l'année 2023 également? - On s'attend une rotation. Et ce sera les biens durables plutôt que les biens services et cela au troisième trimestre 2022. Voyez les prévisions des services économiques de TD. On voit une baisse de la demande des biens durables cette année et en 2023 et on voit également une baisse à l'automne 2022. - Merci Anthony. C'est Anthony Okolie. C'est tout le temps dont on avait besoin aujourd'hui. Lundi, James Marple Juliana Faircloth sera notre invité. La défense et les sociétés d'expédition comme FedEx. Vous pouvez envoyer vos questions à l'avance à cette adresse courriel et merci d'avoir été les nôtres aujourd'hui pendant toute la semaine. À lundi! Notre invité de la semaine prochaine sera Juliana Faircloth.