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(musique) - bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, je m'entretiens au sujet du marché du travail bien portant en Amérique du Nord et de ses conséquences pour les taux d'intérêt avec Justin Flowerday de Gestion d'actifs TD. Anthony Okolie commente la coupure surprise de production pétrolière de l'Arabie Saoudite et ses répercussions sur les marchés de l'énergie. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Nugwa Haruna nous montre comment se renseigner sur les obligations à haut rendement. Posez-nous vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés en ce premier jour de bourse de la semaine. L'indice TSX composite est légèrement en recul de 27 points, soit un peu plus de dixièmes de pour cent, malgré la coupure de production pétrolière surprise de l'Arabie Saoudite à la sortie de la réunion de l'OPEP plus. Il y a un léger raffermissement du cours de référence américain mais un secteur, plutôt une entreprise d'énergie comme personne. Ne progresse que légèrement, d'un demi pour cent. Canadian Natural Resources illustre cet effet mitigé sur le marché de l'énergie. Canadian Natural Resources chose est en baisse modestement. L'indice S&P 500 confine à un marché de type haussier. Environ un cinquième de pour cent de hausse. L'indice attaque spécialiser dans la technologie se porte encore mieux, en hausse de près d'un demi pour cent. Apple pulvérise de nouveaux records sous l'effet notamment des rumeurs quant à l'annonce de nouveaux produits. Apple est en hausse de 1,8 % à 10 heures heure du Pacifique. La téléconférence des développeurs va commencer. Les données économiques positives récentes et les signes de persistance de l'inflation amènent les investisseurs à s'interroger sur l'éventualité de nouvelles hausses de taux. Justin Flowerday, responsable des cent (...) ce sera la question de l'été. Peut-être allons-nous commencer à obtenir des réponses rapidement. La Banque du Canada s'exprimant cette semaine et la Fed dans peu de temps, que pensez-vous des taux ? - Des données intéressantes sont parues vendredi avec les statiques sur l'emploi qui était sans doute plus positives que beaucoup de gens ne le pensaient. Mais il y a une ou deux réserves. 340 000 emplois nouveaux ont été créés aux États-Unis, c'était plus que quiconque ne l'avait envisagé. Donc un excellent chiffre pour l'emploi. En revanche, le taux de chômage a augmenté, passant à 3,7 % à cause d'une enquête différente que la Fed réalise. Le chiffre qui intéressait surtout les marchés, c'était les gains horaires moyens, une indication de l'inflation salariale qui s'est établie à 4,3 % de hausse, ce qui est un léger ralentissement dans le rythme de hausse des gains, mais à toutes fins pratiques, le marché du travail américain demeure très florissant. Le rapport paru cette semaine, dans le courant de la semaine dernière, le nombre de postes à pourvoir par employé cherchant à en obtenir un s'est établi à 1,8, 11 sur le mois précédent. Globalement, le marché du travail très porteur aux États-Unis. Ce qui amène à se demander ce que la Fed va faire au mois de juin. Est-ce qu'il relève les taux, ce qui les maintient? Je crois qu'il est vraisemblable que la Fed va attendre à la réunion de juillet et augmenter les taux une nouvelle fois. Il s'agit non pas d'une pause, mais d'une suspension, si vous voulez. On parle de donnés ponctuels. Les banques centrales cherchent des tendances. Est-ce que la tendance évolue comme les banques centrales soient? - Il se passe une ou deux choses différentes. Le marché du travail est très fort. Les gains salariaux n'affichent pas la tendance à la baisse que la Fed recherche. En revanche, il y a un ralentissement qui se poursuit dans l'indice ISM pour les services parus ce matin affiche une certaine faiblesse. Il y a une ou deux choses différentes qui se passent, mais il faut que la Fed arrête la tendance du marché du travail. La Fed s'attend à ce que le taux de chômage continue sa tendance à la hausse. Simplement, le marché du travail est plus résistant, plus coriace qu'elle ne l'avait prévu. Les pronostics économiques de la Fed montrent que celle-ci s'attend à ce que le taux de chômage finisse Anna 4 1/2 %, ce qui serait 1 % de plus qu'en début d'année. Ce qui entraînerait vraisemblablement le genre de ralentissement dans l'économie qui permettrait à la Fed de conclure que l'économie ne serait pas persistant à 4 % et plus. Est-ce que c'est ce que les machines-outils? L'indice S&P 500 instantané démarche américain est un nouveau record depuis neuf mois. On parle de marché aussi. Or, il y a ce problème inflation, de marché du travail, de politique des taux d'intérêts qui ne sont pas résolus. Comment concilier tout cela? - C'est délicat. Si on avait entamé une pause en octobre dernier, quand les CP avaient baissé de quelque 25 %, ça aurait été excellent pour la Fed car cela resserre les conditions financières et c'est ce que celle-ci doit réaliser afin de ralentir l'économie. Mais il y a des cycles dans l'éthique. Il y a eu une remontée à partir de ce creux. C'était en partie attribuable au fait que l'automne dernier, les marchés ont commencé à anticiper sur la récession. Ils ont même spéculé sur la récession. Or, la récession était toujours distante de 12 à 18 mois. Les gens ont tendance à vouloir passer directement à la fin du film parce qu'ils savent comment celui-ci se termine, mais en l'occurrence il était trop tôt. C'est donc un cycle dans le cycle. Ça va se poursuivre. Les données les plus récentes amènent à croire que la récession a été différée jusqu'à 2024. Il serait très particulier de voir le genre de statistiques de l'emploi qui ont paru vendredi suivi dans les six mois d'un net recul de l'économie. Ça signifie-t-il que toute éventuelle coupure de tous on reporte l'an prochain? Car depuis quelque temps, les marchés semblent avoir changé leurs hypothèses. Remonté il y a trois mois, on s'attendait à ce que l'étau soit réduit cet été. On ne parlait pas d'une potentielle hausse de taux au mois de juin. On a commencé à différer les pronostics de réduction de taux. Il y a un décalage entre les prédictions qui sont incorporées sur le marché et celle que je fais moi-même. Je pense qu'il n'y aura pas de coupure de taux cette année. Je pense que c'est reporte à 2024. En définitive, tout dépendra des statistiques. Il reste des statistiques sur l'inflation apparaître avant la prochaine réunion de la Fed. Il y a d'autres données économiques que la Fed surveille. L'indice des salaires de la Fed d'Atlanta paraît cette semaine. Toutes ces statistiques vont nous donner une meilleure idée de l'avenir. Notre banque centrale prend sa décision cette semaine, avant la Fed. Il y a eu des données économiques très positives au Canada et l'inflation semble persistant chez nous aussi, mais nous sommes en pause. À présent, on envisage que la Banque du Canada pourrait considérer de nouvelles augmentations. - Oui, les statistiques de l'emploi globalement, notamment la croissance de l'emploi, ont été meilleur que prévu. Tout ceci est relié à la demande globale de l'économie canadienne, laquelle continue d'augmenter grâce à l'immigration et grâce au fait que notre base de consommateurs augmente trimestre après trimestre et augmente beaucoup. C'est un facteur très positif pour l'économie canadienne, certes. Le Canada était en pointe dans l'arrêt des hausses de taux. D'aucuns avaient prédit que c'est os serait suivi de coupure de taux cette année. Nous pensons que la Banque du Canada va se maintenir au point où elle en est. Je ne pense pas qu'elle va augmenter cette semaine, même si elle aurait suffisamment de statistiques pour étayer une hausse si elle souhaitait la mettre en œuvre. Mais les banques centrales ne veulent pas créer des chocs sur le marché. Elles veulent annoncer la couleur. Les deux banques centrales ont fait su le faire très bien. Je dirais que nous verrons sans doute une pause au Canada et aux États-Unis en fonction des déclarations faites par les banques centrales depuis quelques semaines. - Nous vivons une époque intéressant. Excellent début d'émission! Justin Flowerday répond à vos questions sur les marchés dans quelques instants. Je vous rappelle que vous pouvez nous le poser en tout temps par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, dans la boîte de questions au bas de votre écran. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés. les investisseurs surveillaient à Paul aujourd'hui les actions atteignent de nouveaux sommets. Le gérant de la technologie tient aujourd'hui la conférence annuelle des développeurs et devrait annoncer des nouveaux produits des mises à jour de produits existants. Selon certaines rumeurs, des casques de réalité mixte pour le marché de la réalité augmentée virtuelle pourraient être annoncés par Apple cet après-midi. L'événement commence à 13 heures de liste, 10 heures heure du Pacifique. Nous verrons ce qu'Apple propose au marché. 184 à 28 l'action, celle-ci progresse (. ..) les actions de Palo Alto Networks sont en vedette. Ajoutées à l'indice S&P 500. L'an dernier, Palo Alto a relevé ses pronostics de ventes et de bénéfices grâce à la demande résiliente de ses produits de cybersécurité. L'action sera ajoutée au S&P 500 à compter du 20 juin. Le titre progresse de plus de 5 %. Cela se produit souvent lorsque l'action est incorporée dans un indice puisqu'elle doit désormais être acquise par défaut indiciel. Au Canada, FNI Group annonce avoir remporté un contrat pour fournir jusqu'à 621 autobus électriques pour le transport en commun de Toronto. 186 autobus sont achetés fermes, une option pour 435 véhicules supplémentaires. Les transports en commun de Toronto annonçaient la conversion de leur parc intégral aux véhicules à zéro émission d'ici 2040. À présent, un coup d'œil sur les marchés. L'indice S&P TSX composite recule modestement de 13 points, soit moins de 1/10 de pour cent. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 prise avec un marché haussier. Les gains d'Apple alimentent sa progression qui demeure modeste, un cinquième de pour cent. Justin Flowerday répond à vos questions sur les marchés. Que pensez-vous de la mode de l'intelligence artificielle qui fait monter les actions des technologies? Est-ce exagéré? - Je crois que l'intelligence artificielle, ce n'est pas exagéré. Dans le groupe des investissements, nous avons approfondi l'évolution de la technologie, l'impact sur les entreprises, leur profil de marche, la rentabilité. Nous avons conclu qu'il ne s'agit pas d'une mode. C'est vraiment la réalité. Mais quand il s'agit de l'impact à court terme sur les marchés, et de ce que les grandes six ou sept compagnies de technologie ont annoncé, d'ores et déjà les marchés anticipent sur une croissance future des revenus qui dépassent les deux trimestres prochains. Les marchés envisagent une croissance considérable, chiffre d'affaires attribuables à l'intelligence artificielle, pour calculer les valorisations actuelles. Ce qui a entraîné un rétrécissement du marché que nous n'avons pas souvent vu dans le passé. Songer au fait que les sept principaux titres de technologies qui ont alimenté cette relance sont en hausse à moins de 50 % sur un mois. À part cela, l'indice S&P 500 est inchangé. Il s'agit d'une disparité énorme. La dernière fois qu'on a vu ce genre d'étroitesse du marché, c'était au moment de la bulle de la technologie. Oui, intelligence artificielle c'est bien réel, ça met en mettant un avantageux pour des compagnies comme NVIDIA, Microsoft, Alphabet. Ce qui sera très intéressant, c'est que certaines entreprises dans l'économie régulière, emploie beaucoup des technologies d'intelligence artificielle. Les fabricants de semi-conducteurs, les fabricants d'outils, fabrication de semi-conducteurs, mais toutes les compagnies devaient affecter. En définitive, ceci pourrait augmenter le niveau de productivité et favoriser les marges bénéficiaires d'ici cinq à 10 ans pour toutes sortes d'entreprises. nous avons assisté une croissance de productivité plutôt décevante pour l'ensemble de l'économie nord-américaine. Je crois qu'il y a (...) soutient la productivité qui est la véritable locomotive de la croissance du PIB réel et cela va se répercuter sur toutes autres industries qui vont ressentir les avantages, surtout celles qui sont au contact des consommateurs. Le secteur financier pour en tirer des avantages considérables. Le complexe industriel pourrait beaucoup utiliser les technologies d'intelligence artificielle pour l'automatisation des usines. Beaucoup d'avantages qui ne se ressentiront pas seulement cette année 12h05 à 10 ans ou 10 à 15 ans. On a évoqué le fait que le S&P 500 avait atteint un sommet depuis neuf mois et que la hausse se concentre dans un très petit nombre de titres de technologie dont le cours est fondé sur une anticipation des revenus futurs. Est-ce que le marché donc risqué? Il faut qu'il tienne ses promesses d'ici quelque temps. - La phase la plus récente de la hausse a commencé avec NVIDIA, qui a annoncé des ventes tout à fait exceptionnelles de semi-conducteurs qui servent à former les appareils d'IA et gérer les demandes. Les chiffres étaient vraiment extraordinaires. L'accession qui se pose est de savoir alors que nous abordons la saison des bénéfices du deuxième trimestre qui commence en juillet, est-ce que d'autres compagnies de technologie qui ont remonté, qui ont été entraîné par cette tendance, est-ce que par exemple l'augmentation de l'utilisation des centres de données sera au rendez-vous pour Amazon et alphabet? Est-ce qu'il y aura une hausse dans la demande de Lucile proposée par Microsoft qui permet l'autorisation de l'IA et est-ce que cela suffit pour justifier les gains? Une autre question sur les bancs canadiennes. Elles obtiennent de bons résultats depuis longtemps. Leur trajectoire à la hausse se poursuit. Le système bancaire cette année a subi quelques pressions compte tenu du contexte économique incertain. Je vous ai pris amis gorgés d'eau. - Le secteur bancaire canadien vient d'annoncer des résultats pour le deuxième trimestre d'exercice. La série a pris fin la semaine dernière. Les résultats étaient peut-être un peu plus négatifs comme l'avait vu depuis quelque temps. Il y a eu de très bon trimestre d'expansion démarche d'intérêt net de croissance des prêts. Le crédit n'était pas un problème pendant longtemps. Or, il y a un certain revirement sur deux plans. Tout d'abord, les marges d'intérêt net. Ces marges étaient un élément clé de la croissance lorsque les taux d'intérêt augmenté. C'était un facteur clé de la rentabilité des banques. Ce facteur évolue. Il y a également le facteur des dépenses. La croissance des dépenses de beaucoup de ces banquiers >10 %, ce qui est acceptable lorsque les revenus augmentent, lorsque la croissance des prêts augmente, lorsque les marges d'intérêt net sont florissantes, lorsqu'il n'y a pas de problème de crédit, mais quand les marges d'intérêt net commencent à augmenter moins vite, la croissance des prêts, il n'y a pas beaucoup de gens qui veulent acheter une maison avec un taux d'intérêt élevé, dont la croissance des prêts ralentis. L'écriture demeure possible mais il y a sans doute un des avantages à court terme quant à la croissance des bénéfices et au maintien de cette croissance des bénéfices. Il y a un autre facteur que j'évoquerai qui me rassure à l'idée qu'il y a sans doute un risque de baisse limitée, ce sont les niveaux de fonds propres de toutes les banques, qui sont tellement simples, plus que jamais, ce qui est favorable pour le rachat d'actions, les hausses de dividendes. Nous en avons parlé plus tôt. La croissance démographique pour le pays, encore une fois, offre une base naturelle de croissance pour les nouveaux arrivants qui cherchent des prêts, pour acheter une maison, des prêts pour acheter une voiture. Cela est évidemment très favorable pour les banques canadiennes. L'état de l'économie. Qu'est-ce qui pourrait arriver au marché si nous entrions en récession? Typiquement, ce qui arrive au marché, en cas de récession, ce que les marchés n'anticipent pas immédiatement sur la récession. On arrive au point où plusieurs indicateurs prospectifs commencent à entamer une baisse brutale et les marchés emboîtent le pas. En rétrospective, les autorités économiques constatent que la récession a commencé à telle date, mais c'est en rétrospective. Si nous entrions récession, les marchés vivraient quelques jours difficiles. En fonction de la gravité de la récession et des autres conséquences, les marchés pourraient être durement touchés. On l'a vu en 2008, en 2000, je pense qu'à ce stade, notre scénario de base, c'est que l'économie va entrer en récession, et lorsque cela arrivera, les marchés vont s'en ressentir. La méfiance engendrée par la psychologie des investisseurs lorsqu'ils entendent le mot récession amènent les investisseurs arrivés à louer leurs fonds dans d'autres domaines plus sûrs. Je ne serais pas étonné d'assister à une correction de 10 à 15 % en cas de récession. Toutefois, je pense que la récession a été reportée jusqu'en 2024. Il y a une forte dynamique à court terme dans cette économie qu'il sera difficile d'enrayer. Aucune récession se déclenche, mettons au troisième trimestre de cette année, comme on le prévoyait il y a un an. - Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Justin Flowerday répond à d'autres questions sur les marchés dans quelques minutes. Vous pouvez nous les posions tout temps, par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb. Si vous souhaitez faire des recherches sur le secteur des obligations à rendement élevé, CourtierWeb vous propose des outils. Nugwa Haruna informatrice Placements directs TD. Parlons des investisseurs qui ont acheté des produits à revenu fixe sur CourtierWeb comme les obligations et les CPG mais qui ne connaissent pas nécessairement les obligations rendement élevées. De quoi s'agit-il? - Vous-même et Justin Flowerday évoquiez des hausses potentielles de tout intérêt. C'est la raison pour laquelle les produits de titres à revenu fixe sont de plus en plus populaires. Lorsqu'il s'agit des obligations ordinaires, vous achetez une obligation émise par un gouvernement ou une société qui promet de vous verser le principal à la fin du terme. Les obligations ont une valeur nominale qui est typiquement 200 $ est en cours de route l'émetteur, gouvernement ou entreprise, vous payez un coupon d'intérêt. Les obligations élevées fonctionnent de la même façon, mais la différence est la qualité des crédits. Voici où vous pouvez trouver cette information. On entre sur CourtierWeb, on clique sur recherche, et sous la rubrique placements, titres à revenu fixe. Quand on parle de qualité du crédit, un investisseur qui a une faible cote de crédit peut obtenir un prêt, mais à un taux d'intérêt plus élevé. C'est la même idée avec ses obligations rendement élevées. Ce sont les obligations qui ont typiquement une cote de crédit plus basses, et pour cette raison, pour attirer les investisseurs, elle s'escompte leur cours d'achat, ce qui a tendance à engendrer un taux d'intérêt plus élevé versait l'investisseur. Pour chercher des obligations sur CourtierWeb, rendez-vous, cliquez à droite, on va ouvrir ça comme un onglet séparé où on peut l'ouvrir comme une fenêtre surgissant. Je grossis. Voilà on trouve la liste des obligations rendement élevées sur CourtierWeb. Par exemple, vous pouvez voir l'une de ses obligations qui se vantent à 70. La valeur nominale et de sang. Ceci signifie que si vous achetez cette obligation, vous bénéficiez d'un rabais notable. Lorsque cette obligation arrive à échéance en 2030, vous allez toucher 100 $ pour cette chaque tranche de 70 qu'il détient et l'investisseur recevra plus de 12 % pour l'intégralité du terme. Voilà pourquoi les investisseurs peuvent envisager d'utiliser des obligations rendement élevées. Voici une explication générale de leurs avantages et de leurs risques. Mettons que l'investisseur veut acheter une obligation rendement élevée. Un investisseur qui souhaite l'acheter doit téléphoner au bureau de négociation. Il existe également de procéder autrement et je vais vous montrer cette option. Un investisseur pourrait utiliser un fonds commun de placement ou un fonds coté en Bourse. Vous allez sous recherche, investissement, FNB, ici, on peut voir sous l'onglet catégorie et trouver un fonds où le gestionnaire prend le temps de recueillir différents, les étudiants un fonds auquel investisseur existe accès. Le risque est plus élevé. Un investisseur pour avoir un risque de défaillance plus élevée, la compagnie pourrait ne pas restituer le principal original et l'investisseur doit savoir qu'il ne touchera pas nécessairement tous les paiements d'intérêts. Voilà les risques inconsidérés. Lorsqu'il s'agit d'obligations rendement élevées. - Merci. - Ça me fait toujours plaisir. - Nugwa Haruna formatrice à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage sur CourtierWeb, où vous trouverez encore plus de ressources. À présent, je vous rappelle comment vous pouvez poser vos questions. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct. Justin Flowerday répond à vos questions sur les marchés. Si les taux d'intérêt continu d'augmenter, qu'est-ce que cela signifie pour les dividendes? - Cela dépend d'un certain nombre de choses. Les entreprises qui versent des dividendes peuvent être affectées par les taux d'intérêt, car le taux d'intérêt sans risque augmente si vous rapportez 5 % et que le taux sans risque et de 5 %, ça fait de la concurrence de la part des placements garantis. Mais encore plus, il y a certaines entreprises qui ont un profil d'endettement élevé, ce qui entraîne des taux d'intérêt, une hausse des taux de service de la dette. Si vous recherchez des entreprises à rendements élevés qui ont profil de risque élevé, cela peut être délicat. Mais à part cela, je dirais qu'il s'agit du modèle d'affaires de l'entreprise et de sa capacité d'augmenter son chiffre d'affaires, son flux de trésorerie disponible de manière stable tout au long du cycle. Si nous pouvons trouver une entreprise qui se profile, avantage concurrentiel, un fossé qui entoure son secteur, qu'elle procure quatre ou 5 %, c'est vraiment le flux de trésorerie disponible future qui nous intéresse. Ça peut être un environnement délicat pour certaines entreprises perçues comme procurant un rendement élevé lorsque les investisseurs se tournent plutôt vers les titres à revenu fixe. Mais si nous croyons dans le modèle d'entreprise, nous adoptons points de vue à plus long terme. Il s'agit donc de faire ses recherches. - Une autre question. Quelles sont les perspectives pour le secteur canadien de l'énergie? L'Arabie Saoudite a semblé prendre une initiative en faveur de l'OPEP. - Oui. C'était un communiqué de presse assez ambiguë qui est parue pendant la fin de semaine. L'Arabie Saoudite indique qu'il faudrait d'abord que le pétrole soit à 80 $ ou plus pour le brut, et deuxièmement, l'Arabie Saoudite ne veut pas que les cours à court terme soient plus élevés que les cours à long terme. Cette décision devrait lui permettre d'obtenir une courbe des cours comme le préfère et un cours au-delà de 80 $. Si le prix du brut peut approcher, voire dépasser 80 $, c'est un secteur de l'énergie qui est favorisée. Depuis un ou deux trimestres, le secteur de l'énergie réalise toujours un flux de trésorerie disponible très intéressant. Qu'il emploie pour servir la DT payer la dette. Le niveau d'endettement global du secteur de l'énergie à diminuer. La plupart des entreprises affectent au moins la moitié de leur flux de trésorerie disponible de rachat d'actions et des dividendes. Je crois que cela se poursuit. Le coût plus élevé du brut va donc accroître le flux de trésorerie disponible à court terme, c'est-à-dire une réduction des profils d'endettement, ce qui engendrera des rachats plus élevés, ce qui devrait être favorable au cours de ses actions. - J'allais dire compte tenu de cela, parce qu'une question vient de nous armer pendant cet entretien. Compte tenu de tous ces éléments, pourquoi les secteurs du pétrole au Canada affichent toujours une telle baisse? - Il y a d'autres éléments qui sont un peu plus intéressants sur le marché que les gens recherchent et il s'agit d'une recherche de la gratification immédiate. Si vous avez des repas très attrayants fondamentalement, c'est peut-être une bonne occasion. Pour le secteur de l'énergie, jusqu'ici les investisseurs, compte tenu de l'état de l'économie, de la possibilité d'une récession d'ici 12 à 18 mois, ce qui va sans doute engendrer des secteurs de faiblesse, des passages de faiblesse dans le cours du pétrole, les investisseurs ont un horizon de 12 mois ou on pourrait avoir le pétrole à 75, voire 60 $. Ou plutôt 70 ou 65. C'est une fourchette dans laquelle ces entreprises peuvent toujours dégager un flux de trésorerie intéressant. La valorisation de ces entreprises est désormais exempte de risque. La volatilité va demeurer. Si vous investissez dans ce secteur, vous devriez être prêts à gérer de la volatilité. Mais beaucoup de risques ont été simplement préservés du fait des décisions prises par les compagnies d'énergie. - Le retour des voyages après la pandémie. Quelles sont les perspectives pour les compagnies de voyages dans le monde? - Comme vous le savez, il y a une remontée des déplacements d'agrément et d'affaires. D'agrément surtout en ce qui concerne les transports aériens et l'hôtellerie. Il y a une dynamique très positive pour ses actions. Le secteur de l'économie. Dans certains cas, il en s'est dissipé depuis quelque temps. On pense que les voyages d'agrément ont déjà fortement augmenté, les voyages d'affaires il y a eu un boum initial, mais je pense que nous n'avons pas terminé cette tendance. Il y a une dynamique dans les voyages d'agrément qui se poursuivra. C'est la mentalité selon laquelle les gens veulent saisir l'occasion de vivre après le confinement. Quant au voyage d'affaires, puis on se rend compte de l'avantage qu'il y a des rencontres en personne des clients ou des collègues, je pense que cette vague là se poursuivra. Bien sûr, une réussite réception ne sera pas possible pour ce secteur. C'est un secteur cyclique et sensible. Mais je pense que la dynamique a encore de beaux jours devant elle. Au niveau des voyages d'agrément et d'affaires. - Justin Flowerday répond à d'autres questions sur les marchés dans quelques instants. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Je vous rappelle comment nous poser vos questions. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct. L'Arabie Saoudite a étonné les marchés après avoir annoncé une coupure volontaire d'un million de barils par jour au mois de juillet. Est-ce que cette coupure va soutenir les cours globaux du pétrole? - Merci. Cette réduction volontaire d'un million de barils par jour pour l'Arabie Saoudite amène des coupures de production à 9 millions de barils par jour. Il s'agit du niveau le plus bas depuis 2021. Il y a eu un léger rebond. Cette évolution prolonge la promesse de coupures mensuelles totalisant 500 000 barils par jour qui a commencé au mois de mai. À part les coupures volontaires, l'OPEP et ses partenaires ont conclu un accord plus général qui prévoit une prolongation des coupeurs volontaires total de l'alliance pendant un an. Ces coupures annoncées au mois d'avril devaient expirer à la fin de cette année. L'alliance a également annoncé des projets pour réduire à 14 millions de batteries et demi la production globale de pétrole entre janvier et décembre 2024. C'est une réduction d'environ 4 millions de barils par jour. Les conséquences clés. La décision marque la troisième tentative engagée par l'OPEP de resserrer l'offre depuis octobre 2022. Mais les coupures antérieures n'ont pas été favorables au cours malgré la crainte d'une récession. Le cours du WTI dépasse les 80 $ américains avant de se stabiliser un peu en deçà de 70 au mois de mai. Services économiques TD considère que la dernière annonce montre que les saoudiens ont l'intention d'aller détacher unilatéralement au besoin pour maintenir les cours du pétrole à court terme. Services économiques TD pense que l'action récente de l'OPEP et de ses partenaires va créer un plancher pour les cours du brut et croit également que les coupures globales sont importantes même sans compter l'incertitude reliée à la demande globale. L'OPEP a mis en œuvre des coupeurs de production importante qui représente 5 % de la demande mondiale en 2023. On croit également que cela va faire pencher la balance vers un état de récession pendant le deuxième semestre de cette année. Services économiques TD annonce que la dernière décision de l'OPEP plus et la décision du marché le cartel a reconquis entend que producteurs clés. Services économiques TD affirme qu'elle pense que c'est une augmentation importante. Les saoudiens se déclarent disposés à soutenir les cours. Services économiques TD considère que cette nouvelle est positif pour le pétrole. Cela rééquilibre également le pronostic du brut de référence à 90 $ avant la fin de l'année. Pour 2024, Services économiques TD considère que les coupures de production prévue qui se prolonge largement dans l'année 2024, allié à une demande mondiale forte, vont soutenir les prix à des niveaux élevés d'ici l'an prochain. - Merci Anthony Okolie. À présent une mise à jour sur les marchés. Nous allons jeter un coup d'œil à la plate-forme de tableau de bord avancé de la Banque TD, disponible sur Placements directs TD à l'intention des investisseurs évolués. Voici une représentation non seulement du pourcentage de hausse ou de baisse, mais encore du volume des opérations. Plus vaste le carré ou le rectangle, plus le volume est important. Il s'agit du TSX 60 par cours et par volume. Le secteur de l'énergie, les saoudiens se déclarent disposés à faire cavalier seul. Suscite des réactions mixtes pour le secteur de l'énergie. Cenovus est en hausse. Suncor fait du surplace et Enbridge n'augmente que modestement. Avant de quitter le secteur de l'énergie, je signale si l'on ne parle pas de pétrole, on part peut-être uranium. Cameco poursuit sa remontée entamée il y a quelques jours. Il y a eu une évolution positive dans le secteur nucléaire aux États-Unis. À présent, un coup d'œil sur les matériaux. Teck Resources affiche une certaine faiblesse. Récemment,C'est l'offre escomptée de Glencore, Greg Barnes a déclaré sur ce plateau qu'il pensait que Glencore aurait agi. Il y a donc une pause tandis que l'on se demande ce qui attend la compagnie. Shopify remonte, car en début de session, l'action était en vert sur la carte thermique, mais à présent certain titres de la technologie. Shopify est en hausse depuis plus de trois et demis pour cent. Vous pouvez trouver davantage d'informations sur le tableau de bord avancé des TD sur le site web de la banque. Justin Flowerday répond à vos questions sur les marchés. après la réception le ralentissement de l'économie, quels sont les secteurs les plus propices? - À la fin d'une récession, mais tant qu'il y a une récession, nous y avons survécu, quels sont les secteurs propices à l'investissement? Typiquement, certains secteurs spécifiques sont sensibles à la dynamique du début d'un nouveau cycle. Il y a les métaux de base. La demande de métaux augmente généralement, surtout si c'est relié à la hausse de la demande dans les économies en développement comme la Chine. Les produits de base en général, le pétrole devrait bien se comporter dans cet environnement. Et puis, il y a le secteur financier. C'est un avant-coureur économique qui bénéficie en début de cycle car une fois les provisions pour pertes sur créances reprises, la tendance des bénéfices devient très positif. Et puis, il y a le secteur industriel. Je ne parle pas des actions à ce que l'on met des secteurs à cycle court, qui sont très sensibles activités économiques dans le cycle de vente depuis le moment où le client envisage un produit et le moment où il reçoit ou l'achète, est court. voilà quelques secteurs de l'économie qui bénéficie il bénéficie typiquement d'une reprise de l'économie. - Avant de nous quitter, nous avons commencé par parler des prochaines maisons des banques centrales. Nous sommes presque arrivés à mi-chemin de l'année. Au début de l'année, nous pensions qu'il y aurait une pause et puis des coupures, mais tout semble évoluer. que se passe-t-il réellement? - Je crois que l'économie mondiale est très complexe. Plus que jamais. Car les États-Unis représentent une part plus réduite relativement parlant du marché mondial, compte tenu de la montée en puissance de la Chine dans l'économie mondiale, compte tenu de l'intégration des chaînes d'approvisionnement dans le monde entier. Il y a beaucoup plus de facteurs qui peuvent entrer en jeu dans une dynamique, que ce soit à la hausse ou à la baisse. Il faut tâcher de demeurer discipliner, faute de pouvoir pronostiquer l'avenir de l'économie. Quand on constate une statistique de l'emploi, il faut distinguer le nombre d'emplois créés du taux de chômage, comprendre la signification des données, et puis procéder à une analyse globale. C'est plus difficile aujourd'hui que cela ne l'a jamais été. - Ça me fait toujours plaisir de m'entretenir avec vous. Justin Flowerday, responsable des gestions de deux sociétés ouvertes à Gestion d'actifs TD. Faites toujours vos propres recherches avant le prend des décisions de placement. Demain, un spécialiste des semi-conducteurs à Gestion d'actifs TD va répondre à vos questions sur les semi-conducteurs. C'est un secteur qui est en vedette récemment. Vous pouvez nous poser vos questions d'ores et déjà, par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à demain!