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(musique) - Bonjour. Ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Plusieurs personnes comme vous (...) entendre aujourd'hui vont répondre à vos questions en matière de placement. Aujourd'hui donc, nous allons aborder le contexte pour les sociétés qui versent des dividendes grâce à Jennifer Nowski de Gestion de Placements TD. Mon collègue Anthony Okolie va aborder la question du marché immobilier notamment le marché des condominiums. Et puis en matière d'éducation, Ryan Massad va vous montrer comment retrouver des titres qui versent des dividendes sur CourtierWeb.
Donc voici comment communiquer avec nous par courriel, à l'adresse que vous voyez à l'écran, ou alors en cliquant sur la case au bas de l'écran.
Alors, mise à jour des marchés. L'indice TSX, en baisse de 36 ; environ 0,16 %.
Donc voilà un début pour septembre c'était plutôt calme hier. Un peu plus de pression aujourd'hui sur (...)? Ensuite pas. Barrick est maintenant légèrement à la hausse.
À 26,37, presque 1 % à la hausse. J'ai remarqué aussi nous reviendrons aux sociétés qui versent des dividendes, société de télécom.
Ces sociétés, on voit que ça bouge de ce côté.
Telus, en hausse de 1/2 % ou presque, et au sud de la frontière maintenant, donc on a eu des données sur l'emploi.
Et ça ralentit aux États-Unis, ça soulève des préoccupations comme au début du mois d'août. Pour ce qui est de l'économie américaine. Donc le S&P 500 à la baisse légèrement. Le Nasdaq à la baisse aussi.
Mais presque 10 %. MA cœur maintenant, les marges maintenant sont décevantes pour ce trimestre. Une baisse de d'un peu plus de 6 %. Voilà pour le marché.
Alors, les taux d'intérêt semblent passer à la baisse. Certains investisseurs voient un peu ce qui se passe dans d'autres secteurs d'activité, notamment les sociétés qui versent des dividendes.
Voici Jennifer Nowski.
Directrice de portefeuille chez Gestion de Placements TD. Comme le dit le poète les temps changent, on a un contexte d'intérêt, le taux d'intérêt élevé, maintenant les coûts d'emprunt d'argent sont moins élevés. Qu'est-ce que cela signifie pour le contexte pour les sociétés qui versent des dividendes?
- Écoutez. C'est un contexte plus intéressant pour certains des titres qui versent des dividendes. Pour ce qui est des facteurs fondamentaux, peut-être aussi un meilleur accès au fond. Pour les facteurs fondamentaux, les taux d'intérêt plus bas. Ça veut dire moins de dépenses pour les sociétés.
Et donc, sans contrainte peut-être de valorisation plus élevée. Maintenant, du côté des fonds, les Canadiens n'ont pas vu les taux de ce genre depuis plusieurs années. C'est très attractif. Maintenant, c'est peut-être à la baisse. Les investisseurs qui veulent des revenus voudront peut-être de nouveau examiner les titres qui versent des dividendes plus élevés, secteur public par exemple le service de communication, services financiers et pipelines. On peut trouver des taux de dividendes 300 %, même plus parfois. Donc, il en résulte que nous avons dévalorisation un peu plus élevée, les corrections grimpées cet été.
- Très intéressant. Évidemment, ce qu'on a vu cet été, quand on parle sociétés qui versent dividendes qu'il est grand ton nom sur le marché canadien, s'incluent les banques, donc quoi retenir de ce que les banques rapportent?
- Les banques ont indiqué depuis une semaine qu'en général les résultats, c'était plutôt stable. Il y a quelques signes précurseurs effectués atteigne un peu la fin de la normalisation pour l'argent qu'on met de côté pour les dettes à risque. Donc des nouvelles positives.
Et les banques maintiennent une main un meilleur contrôle de dépenses en comparaison. Donc c'est positif. De plus, pour ce qui est des banques au Canada, on s'en tire bien pour une hausse des prêts de cinq à 10 %. Donc une stabilité. Enfin, les banques sont bien capitalisées.
Donc le ratio soit environ 13 %, et non pas besoin d'attirer beaucoup plus de capitaux.
Elles ont cessé d'offrir des escomptes.
Comme nous le faisions auparavant, il y a un an, certaines de ces banques achètent leurs actions pour les investisseurs surveillent cette normalisation des fonds communs de côté pour perte éventuelle.
Ça a des conséquences évidemment sur la croissance du bénéfice par action.
Ça va varier selon les banques, mais il y aura peut-être encore des moments difficiles. On commence à comprendre que ça devient, ça retourne au beau plat. Au beau fixe peut-être.
Donc pour l'avenir, à quoi s'attendre? Et à la contacter taux d'intérêt, la Banque du Canada de nouveau réduit les taux d'intérêt hier. Ça réduit les pressions sur les consommateurs. Par ailleurs, il y a la question du taux de chômage est plutôt stable.
- Oui. C'est très important de relever évidemment le secteur financier, est bonne dans le marché canadien, parlons maintenant du secteur énergétique.
Du cours du pétrole. Il y a eu un petit recul récemment.
Et c'est en fonction de deux facteurs.
D'abord la demande qui est moins prononcée. Par ailleurs, on se concentre beaucoup sur l'offre et ce que fait l'OPEP+.
D'abord du côté de la demande. Cette année, ce serait une année peut-être plus normale en matière de demande. Il y a beaucoup de perturbations ces dernières années à cause de la pandémie, les conséquences sur le secteur du transport.
Cette année, la croissance de la demande du pétrole est plutôt normale. En comparaison de la croissance mondiale du PNB. Et puis, il y a ce qui se passe du côté du pays qui sont non pas membres de l'OPEP. L'Inde, la Chine, en Asie.
C'est là que les attentes risquent d'être décevantes. On risque d'être déçu.
- Et on passe maintenant a l'or.
L'OPEP+ compte il y a une certaine croissance de l'offre à l'extérieur de l'OPEP. Ils ont quand même beaucoup de capacités résiduelles. Que vont-ils faire début du printemps, les indiqués que peut-être il voudrait offrir de nouveau cette surcapacité, mais ils se sont donnés beaucoup de marge de manœuvre.
- Maintenant, étant donné que la demande semble être un peu faible, on se pose la question par rapport à ce qu'ils vont faire.
Peut-être qu'ils vont réajuster leur plan, mais il va falloir continuer de surveiller cela. Parce que l'OPEP+ est indispensable pour un marché équilibré.
- Oui, les forces puissantes dans ses marchés. Il y a certaines compagnies des sables bitumineux au Canada qui ont rapporté leur tendance. Qu'en est-il?
- De ce côté, c'est la discipline financière qui compte. Ces dernières années, les sociétés canadiennes de sables bitumineux ont réduit leur niveau d'endettement, et donc resserrer leurs dépenses. Ils sont plus disciplinés pour ce qui est de leur envoyer de l'argent aux actionnaires.
Donc, ces titres canadiens ont un flux de trésorerie disponible de presque 10 %, ce qui est quand même très bien. Maintenant qu'ils ont atteint la cible en matière d'endettement, ils rendent aux actionnaires beaucoup de dividendes.
De rachat d'actions. Aussi, il faut signaler que de leur côté, à la fin de ce trimestre, en nous tournant vers l'avenir, ils veulent réduire leurs coûts d'exploitation.
Donc ça plutôt bien été ces derniers trimestres, il y a une croissance du volume, et des coûts moins élevés du gaz et du pétrole. Pour l'avenir, on veut évidemment réduire les coûts de production, et notamment, ce sera grâce à la croissance du volume grâce à des améliorations et les opérations, dans le fonctionnement.
Leur productivité, évidemment, réduction de la consommation énergétique et ainsi de suite.
Donc on a quand même l'impression que ces compagnies sont bien ciblées pour ce qui est de la discipline.
Donc les pipelines est important, alors parlons un peu maintenant. Ainsi que des services publics. On dit que ce sont des sociétés star. Qu'en est-il?
- Leurs bénéfices restent stables.
Ce sont des contrats sont signés longtemps avant que c'est très réglementé.
Maintenant pour l'année, il y a des occasions qui s'offrent pour ce qui est de la demande énergétique aux États-Unis.
Là-bas, c'était plutôt au beau fixe depuis une décennie. Maintenant on pense que ça va croître.
Étant donné l'accroissement de la demande d'en électrification. Les centres de données intelligence artificielle et le rapatriement des productions.
Pour les sociétés canadiennes maintenant, il y en a qui sont très présentes aux États-Unis, qui sont exposés à cette tendance.
Côté service public, il tire partie de la demande croissance.
Dans leur territoire. Ainsi que des nouvelles occasions de transport d'énergie.
Côté gazier maintenant, il y a toutes sortes de sources d'approvisionnement, y compris des produits renouvelables.
Donc il aura peut-être de nouvelles usines gazières.
- Bien sûr, il y a le gaz naturel liquide, et ça, c'est très important pour la croissance.
Maintenant, on n'en est qu'au tout début.
Il faudra du temps pour voir ce qui s'annonce vraiment. Certaines de ces sociétés sont grandes.
Donc c'est positif de manière marginale.
- Très intéressant donc. Parlons de marché canadien. Nous allons aborder vos questions sur ces points avec notre invité dans quelques instants. Vous pouvez communiquer à tout moment grâce à l'adresse courriel qui figure à l'écran.
Ou en cliquant sur le cas au bas de l'écran. Maintenant, mise à jour de ce qui se passe du côté du monde des affaires et des marchés.
Alors, beaucoup d'activités dans le domaine de l'immobilier à Toronto.
Il y a un cycle de réduction des taux d'intérêt de la Banque du Canada depuis juin. Les chiffres nous montrent que ç'a baissé de quelque 5 %. Les résidences.
Donc, les chiffres pour le mois d'août dont nous parlons maintenant, de réduction des taux d'intérêt de la Banque du Canada.
Et la chambre immobilière de Toronto indique que ça devrait attirer d'ici peu de nouveaux acheteurs.
La société folle dit que la demande de camions ou de véhicule hybride a grimpé de 13 % aux États-Unis le mois dernier.
Donc la camionnette toute électrique F 150 a fait une bonne croissance.
Mais ça été encore plus marqué du côté des produits hybrides. Évidemment, les véhicules à combustion interne, c'est toujours 80 % des ventes de fortes.
Plusieurs grands fabricants automobiles dont Ford ont ralenti l'emplacement du côté des véhicules toute électriques.
Une entente plusieurs milliards de dollars maintenant du côté des télécommunications.
Horizon indique qu'elle doit acheter frontière communication. Une transaction entièrement content de quelque 20 milliards de dollars.
Verizon fait concurrence à des sociétés comme AT&T. Frontière, en baisse de quelques 9 %. Le cours de l'action a grimpé de quelque 38 % hier à cause des rumeurs du menton, et c'est ce qu'on dit: acheter au moment de la rumeur et vendez au moment de la rumeur. Maintenant, bien située dite pour le TSX. Le début septembre a été un peu cahoteux. C'est le cas depuis quelques trois jours maintenant, donc 35. À la baisse, le 15e de pour cent au sud de la frontière. Le S&P 500 maintenant. On a eu des données sur les salaires.
Il y aura d'autres données importantes demain. Donc au sud des États-Unis, on embauche toujours, mais pas aussi rapidement que ça aurait pu se faire dans le passé. Donc une baisse du S&P 500 d'environ 1/2 %.
Maintenant, de nouveau notre invité qui va répondre à vos questions au sujet de divers titres. D'abord, on lui demande ses commentaires sur les sociétés de télécommunications qui traitent de la PAQ cette année. Pourquoi?
- Ce titre, vous savez, ont des dividendes qui sont à des hauts historiques, il y a des pressions sur le cours de ses actions, étant donné la concurrence de la part du sans fil. Il y a beaucoup de capacités du côté de Rodgers qui achète Shaw il y a eu l'achat de Verizon par hasard par ailleurs s'exerce des pressions sur les recettes. La croissance des recettes a été très faible. Ces derniers trimestres.
Cependant, et ça, c'est plus intéressant, ils ont réduit leurs coûts et gérer leurs coûts. Ce contrôle des coûts, sera commencé à s'appliquer aux dépenses en immobilisations. Pour maintenir de bons flux de trésorerie disponible. L'autre facteur important est l'effet de bélier.
Ces sociétés vont réduire leur effet. Il faudra du temps pour y parvenir. Ce qui pourrait accélérer cela s'ils avaient des banques de certains actifs.
Le marché est à l'affût pour voir ce qui va se passer du côté de la concurrence.
Et puis donc si ça deviendra positif.
- Intéressant les télécoms depuis un an et demi. Vous toutes les raisons fondamentales, c'était qu'il y a eu des pressions sur le cours des actions.
- Déjà de façon superficielle on dit que les taux d'intérêt sont à la hausse, les télécoms vont moins s'en tirer, mais évidemment il y a d'autres facteurs qui jouent.
- Oui, tout à fait il y a des facteurs fondamentaux. En plus du contexte macro-économique, il faut voir ce qui est propre à tel ou tel secteur d'activité, à telle ou telle société. Voilà. Quelqu'un demande: ce qui se passe du côté des titres des sociétés d'assurance vie.
- De ce côté, on sentait plutôt bien au Canada. Les résultats ont été solides depuis un an, grosso modo. La croissance des bénéfices par action est à peu près conforme à leur cible et aux attentes des marchés.
Le rendement a été soutenu dans un contexte pour les taux d'intérêt, ce qui les aidait à maintenir un abonnement pour les produits assurances. Ils sont très bien capitalisés. Il achète des actions il pourrait peut-être envisager des fusions et acquisitions. De même croissance pour eux: l'Asie et le secteur des clients bien aisés, du patrimoine. Donc, il faut tenir compte si on parle des conditions macro-économiques maintenant, du côté de la gestion des actifs, c'est parfois inégal.
Ça dépend de ce qui se passe dans les marchés de ce qui se passe du côté de la concurrence.
- Revient toujours au TD ou ton intérêt. On en a parlé depuis longtemps, maintenant une réduction des taux de la Banque du Canada.
Et ça a des conséquences pour les compagnies d'assurances.
- Oui. Alors, écoutez comme je l'ai indiqué, pour ce qui est des revenus, c'est positif. Les taux plus faibles, ce serait peut-être moins intéressant pour eux.
Il y en a qui ont d'autres actifs, de l'immobilier par exemple, et donc, ça pourrait leur être bénéfique s'il y a des baisses de taux d'intérêt.
- Évidemment, c'est plus compliqué que de voir simplement les taux d'intérêt. Il y a beaucoup de détails. Maintenant l'or.
Est à la hausse cette année pourquoi?
- C'est autour de 2500 aujourd'hui, une hausse d'environ 20 % depuis le début de l'année. Les aurifères au début de ce redressement, c'était en fonction de la demande de la part des banques centrales qui voulaient s'éloigner du dollar américain et diversifier leur portefeuille.
Plus récemment, ce qui se passe de ce côté, cet été, c'était les taux autour d'intérêt. Donc les hausses les taux d'intérêt aux États-Unis baissent. Ça soutient la demande pour l'autre. On a vu une amélioration de certaines demandes aux États-Unis.
Y compris pour l'achat de lingots.
Et les FNB. Qu'est-ce qui pourrait être négatif?
Ça fait en sorte que c'est peut-être plus difficile pour les consommateurs d'en acheter.
Il faut voir ce qui se passe du côté de la Banque de Chine qui a réduit ses achats d'or ces derniers mois.
Donc c'est quand même des taux d'intérêt moins élevé.
- Puis, on a vu une augmentation du cours de l'or.
Qu'en est-il pour les titres aurifères?
- Perspective de ce côté. C'est à peu près en fonction du cours de l'or.
Pour les titres aurifères depuis un an, ce qui comptait beaucoup été les coûts liés à l'inflation, surtout dans un contexte où le cours de l'or ne crée pas beaucoup.
Leur marge bénéficiaire n'était plus ce qu'elle est maintenant. Un peu plus élevé, ce qui est bon pour ces titres. Mais elle arrive aussi à mieux gérer leurs coûts.
Il y a la question de la disponibilité de la main-d'œuvre, meilleur qu'auparavant.
Quand on évolue ces titres aurifères comme producteur, il faut tenir compte des risques opérationnels. C'est très compliqué comme domaine d'activité. On cherche des compagnies qui peuvent atteindre leur cible de production. Il faut tenir compte du contexte géopolitique des pays dans laquelle elle se trouve.
- Mais si leur état de 1500, c'est un bon prix pour les producteurs et si on passe aux grands producteurs, ça leur donne environ 4 % de flux de trésorerie disponible ce qui est très bien.
- Très intéressant pour nos auditeurs.
Les titres aurifères ici au Canada.
Évidemment, faites vos propres recherches avant de prendre les décisions de placement. On reviendra à notre invitée pour répondre à vos questions dans quelques instants. Je vous rappelle comment communiquer avec nous, nous envoyons un courriel à l'adresse à l'écran, et puis maintenant en matière d'éducation.
Donc, nous parlons des sociétés qui versent des dividendes. Si vous cherchez à trouver de telles sociétés, on peut le faire sur notre plateforme.
Ryan, nous sommes contents de vous accueillir. Comment trouver des renseignements sur la plateforme?
Pour les sociétés qui versent des dividendes.
- Il y a beaucoup de renseignements l'attitude CourtierWeb.
Le premier écran, c'est en général l'écran qui affiche quand on ouvre une session.
Et puis si on cherche des dividendes, les actifs qu'on détient déjà, qu'on voit en bas à droite, on voit dividendes. Si vous cliquez là, s'il y a des dividendes qui s'annoncent pour votre compte, vous le verrez là. Vous pouvez retourner en arrière d'une semaine ou avancée d'une semaine pour voir ce qui s'annonce. C'est une bonne façon pour vous de savoir ce qui se passe dans votre compte.
Maintenant, si vous cherchez des dividendes pour tous titres, toujours des titres, on va plutôt dans recherche.
L'onglet recherche, sous investissement et titre action.
Donc disons qu'on voit une banque, TD, une bonne banque, n'est-ce pas?
Et il y a des renseignements sur les dividendes au bas à droite.
Dans le secteur fondamentaux. Donc vous avez les taux dividendes, le versement annuel, la date ex dividendes, la prochaine date. Vous avez les renseignements pour tel ou tel titre précis. En matière de dividendes. Et encore plus de renseignements si on clique sur les facteurs fondamentaux. On voit comment ces dividendes se comparent à ce qui se passe dans le secteur d'activité.
Ou à tel ou tel père. Dans ce cas-ci, on a la TD, si on va vers le bas, comment est-ce que le taux annuel de dividendes de la TD se compare au secteur des services financiers?
Donc de façon plus détaillée, on peut cliquer sur le nom de certain père et voir comment la TD se compare en matière de dividendes toujours, à ses pairs.
Par exemple la Banque Royale, la (...), la Banque de Montréal, et la CIBC. Belle façon donc d'obtenir des renseignements très précis au sujet des dividendes pour tel ou tel titre ici donc CourtierWeb.
- Comme vous l'avez dit, Ryan. C'est un bel exemple. C'est un titre qui nous intéresse. Si on veut tout simplement utiliser la plate-forme pour voir quel titre verse des dividendes.
- Très bonne question aussi. Parfois on n'a pas eu titres en tête, on veut simplement acheter des titres qui versent des dividendes. Une façon d'y parvenir, il y a quelque manière, mais retournons dans la plate-forme, toujours à l'onglet recherche, on voit la colonne sur les marchés, et vers le bas: événement. Si ensuite on clique sur dividendes, en haut à droite, on a le drapeau canadien. Ce sont les dividendes et les dates dividendes aujourd'hui. Le 5 septembre.
Donc je peux choisir une autre date, évidemment, rappelez-vous que la date ex dividendes la date à laquelle si on détient si on achète un titre, on vous versera un dividende selon la date. On porte attention aux dates, et on peut cliquer sur le drapeau américain cette fois et voir la même chose pour les États-Unis. Si on veut des renseignements plus détaillés possiblement ce qui s'annonce sous peu, on peut peut-être utiliser l'outil de tri en cliquant sur recherche, et puis sur outils.
Les façons de faire des tris.
Là, on bah, ça fait partie des critères. Je dégage ici, j'éteins tout pour qu'on voit bien. Parmi les critères, ne colonne dividendes. Dans ce menu, vous avez le rendement des dividendes que le taux de croissance des dividendes.
Et maintenant, on tient compte aussi même des recettes.
Donc, on choisit ces critères pour indiquer la fourchette qui nous intéresse.
Il y aura un tri dans les marchés.
Et vous obtiendrez ainsi des résultats pour ce genre de requête. Donc en fonction des critères pour trouver les sociétés qui versent dividendes. Il y a beaucoup d'outils dans CourtierWeb. Allez-y, fouillez un peu, il y a beaucoup de renseignements intéressants.
- Très bien comme toujours, Ryan. Merci beaucoup.
- Ça me fait plaisir.
- Ryan Massad est formateur chez nous.
Pour plus de renseignements sur ses ressources, voyez notre centre de formation, utiliser le code qui figure à l'écran pour trouver plus de vidéos intéressantes. Maintenant, avant de retourner à vos questions au sujet des titres qui versent des dividendes, voici de nouveau comment communiquer avec nous.
Si vous avez une question matière de placement et sur ce qui se passe dans les marchés, nos invités veulent vous entendre. Envoyez-nous vos questions.
Il y a deux façons de procéder.
Soit par nous envoyant un courriel à l'adresse que vous voyez à l'écran, ou encore vous pouvez cliquer sur la case au bas de l'écran.
Et tapez votre question, envoyez-la et on verra si un de nos invités pour vous répondre ici-même à Parlons Argent en direct.
- On revient de nouveau à Jennifer Nowski pour répondre à vos questions, cette fois une question qui porte sur Fortis.
Fortis est sans doute un bon exemple (...) en tapant le début de émission pour ce qui est de la demande énergétique et les taux d'intérêt.
Services publics au Canada et aux États-Unis. C'est très stable comme société, c'est très réglementé. Ils ont certaines occasions de croissance.
Pour ce qui est d'investir dans de nouveaux projets, ils ont indiqué qu'il y a des signes préliminaires d'une demande intéressante, accru en matière d'énergie, notamment aux États-Unis à cause des centres de données.
Donc ils ont tendance à croître de cinq à 10 %.
Et voilà.
Alors quand je pense aux manchettes il y a plusieurs années, il y a des gens qui allaient magasiner au sud de la frontière pour acheter des titres là-bas. Est-ce qu'il y a des fusions et acquisitions dans ce secteur?
- La plus grande entente du champ, c'est quand Enbridge et qui est un pipeline qui a aussi des services publics. Ils ont acheté trois services gaziers aux États-Unis. Cette entente va bientôt atteindre son terme.
- Très intéressant.
Alors, que pensez-vous de I MO, impériale?
- Écouter. Ça fait partie des sociétés de sables bitumineux au Canada. Ils sont beaucoup d'actifs qui produisent surtout à partir des sables bitumineux. Ils font du raffinage aussi, ils ont une secteur chimique de produits chimiques.
Ils ont une certaine croissance à la hausse, faible, mais ça existe.
Ils veulent réduire leurs coûts d'exploitation.
Un beau projet aussi à Cold Lake.
Il y aura des coûts d'exploitation moins élevée de chaque côté. Par ailleurs, comme ils sont un écrit diversifié, ça veut dire aussi que parfois toutes les divisions ne vont pas performer de façon égale. Les marges à l'heure actuelle sont peut-être plus faibles.
Impériale, beaucoup de disciplines.
La répartition des flux de trésorerie disponible.
Et ils offrent beaucoup à leurs actionnaires.
Donc, ils ont des opérations en amont et en aval, sont très intégrés, il y a des avantages et des risques.
On doit faire un tri pondre on peut se demander qu'est-ce qui se passe du côté de telle ou telle société. Si vous pensez par exemple au cours du pétrole que vous voulez, être très exposé au pétrole, ça me provient des de ceux qui font de l'exploration de la production soient de gaz ou de pétrole ou les deux. Ils sont très exposés aux variations du cours. (...) intégré comme impériale comme je l'ai dit la production, et puis en amont, en aval évidemment ils sont présents aussi.
Donc si c'est très avantageux pour ce qui se passe dans le monde, peut-être qu'est-ce qui se passe du côté de vos activités en aval sera moins intéressant.
Le cours pour ce genre de société c'est différent de ce qu'on trouve comme tendance du côté des sociétés qui sont vraiment simplement des sociétés d'exploration exploitation et production.
- Très intéressant comme toujours. Autre question: qu'est-ce qu'on peut attendre du côté de la potasse des engrais?
- Le cours de la potasse atteinte à la suite de l'invasion de l'Ukraine par la Russie à un sommet.
Mais maintenant, il y a un certain équilibre. Si on veut parler précisément de la potasse, les cours ont un peu baissé.
Pour la Russie et le Bélarus semble s'être repositionné sur le marché.
Il y a eu un peu plus d'offre de la part des pays comme le Laos.
Les inventaires sont à la baisse.
Maintenant la demande semble se stabiliser ou peut-être même augmenter cet automne.
Alors les investisseurs vont surveiller une mine qui va devenir active en 2026.
Une mine importante. Et donc peut-être qu'à ce moment-là, la demande potasse sera plus élevée en même temps. Ça reste à suivre.
- Donc engrais et potasse, enfin compte, est-ce que je m'intéresse toujours à l'agriculture à long terme, qu'est-ce que ça veut dire?
- La demande de Telcos, dans le monde où la population est à la hausse et s'enrichit, c'est une tendance de croissance à long terme pour les produits agricoles. Le problème, c'est évidemment que tout dépend du climat. D'abord. Mais pour la potasse et les autres engrais, il faut tenir compte de l'offre de ces engrais bien précis.
Donc on a parlé des perspectives pour la potasse, pour ce qui est de l'azote par exemple, l'offre est en fonction des coûts du gaz naturel. Il y a certains producteurs, les conducteurs sont baissés, mais il y a encore des exportateurs comme la Chine qui limite les exportations.
Parfois il y a des manques de gaz en Égypte, il faut tenir compte des facteurs fondamentaux.
Il est à la fois de ce qui se passe du côté du secteur agricole.
- Question maintenant sur le gaz naturel.
Votre point de vue sur le cours du gaz naturel.
- Le gaz naturel tout spécialement en Amérique du Nord, ça été plutôt faible cette année.
Environ deux dollars, à la suite d'un hiver plutôt doux en Amérique du Nord. Et puis l'offre, même s'il y a eu une réduction de certains types de production, celle-ci plutôt solide.
Donc on trouve beaucoup de stocks à l'heure actuelle, puisque la moyenne habituelle, donc la demande de croissance en matière de gaz naturel liquide.
Il y aura de nouvelles installations de production aux États-Unis, et au Canada. Aussi.
Si on établit un lien avec ce conditionnement en matière de demande énergétique, le gaz naturel est une solution de source d'énergie. Tirer parti de piquer quelques disques année du fait que les gens sont passés à côté. Parce que c'est plus propre que le charbon.
Évidemment, si on parle de demande énergétique aux États-Unis, ce sera à plus long terme. On ne sait pas quelle sera l'ampleur de cette demande. Alors que pour le gaz naturel liquide, il est clair, on a une idée beaucoup plus claire du moment où il y aura une offre accrue.
- Donc il faudra voir combien on n'en produits, s'ils sont disciplinés, ses producteurs. Et s'ils arrivent envoyer de le gaz dans le marché. Merci.
Donc, c'est très intéressant d'entendre les réponses de notre invité. Je vous rappelle de faire vos propres recherches avant de prendre des décisions en matière de placement. Communiquer avec nous à tout moment en nous indiquant ce que sont vos questions. Envoyez-nous vos questions soient par courriel, moneytalklivetd.com à l'adresse qui figure à l'écran, ou en cliquant dans la base la case au bas de l'écran ou taper votre question et nous envoyer votre question. On verra si un de nos invités peut vous répondre ici même.
Même si la Banque du Canada réduit ses taux d'intérêt, ça été le cas en juin et en juillet et maintenant sept ans, masquée malgré cela, les ventes résidentielles Canada ne sont pas très fortes. Anthony Okolie va nous parler de sexe passe de ce côté et des conséquences de l'offre excédentaire dans la région du grand Toronto.
- Oui, les taux d'intérêt évidemment été réduit à trois reprises, mais on prévoit qu'il y en aura de nouveau. Et que ça atteindra deux et demis pour cent d'ici la fin de 2025.
Donc ça baissé de 90 points de base depuis le début demain. Il y a d'autre baisse probablement d'après nous. Si service économique TD. Mais la croissance dans le secteur immobilier a été plutôt modérée.
Ça devrait s'accroître alors que ces réductions de taux d'intérêt auront des conséquences sur le marché immobilier.
Nous croyons que cette croissance dans région du grand Toronto va être quand même assez lente. D'abord parce que l'abordabilité est à Toronto. Les prix moyens à Toronto, d'après la chambre immobilière, c'est de plus d'un million de dollars en moyenne.
Et une raison clé pour cette faiblesse du côté du grand Toronto, ça été qu'il y a trop de condos, beaucoup de condos qui sont offerts sur le marché.
Et c'est condo donc il y en a beaucoup en construction aussi. Pour vous situer, le ratio de vente nouvelle inscriptions qui met en rapport l'offre et la demande, et l'équilibre dans le marché immobilier, dans le marché domiciliaire, à l'heure actuelle ce ratio de 60 % inférieurs à sa moyenne à long terme. Au deuxième trimestre de cette année.
Donc on comprend qu'il y a trop peu de demandes, trop d'offres dans le grand Toronto.
Or, il y a eu quelques 30 % de plus que d'habitude d'offres en fonction de la croissance de la demande.
Une des raisons pour laquelle il y a une telle offre, d'abord je voudrais vous montrer ce graphique.
On voit qui a une grande vague de condos récemment construits à Toronto, en 2024.
C'est nettement plus élevé que ce qu'on a vu en 2022, 2023 notamment.
Et bien entendu, depuis juillet, les reventes de condos sont de quelque 25 % inférieurs à Toronto, à ce qu'on avait à la pandémie. Il y a d'autres raisons pour ça faiblesse du marché.
Plus d'activité de vente qui n'arrive pas à absorber ce qu'on a en stock. C'est ce que ce n'est pas assez rapide. De plus, les politiques en général de limiter la croissance de la population auront des conséquences sur les loyers. Ce qui fait peur à certains investisseurs. Certains investisseurs sont maintenant endettés.
Ils ont des flux de trésorerie négatif à cause de la faiblesse du secteur de la location à Toronto.
Donc ça accroît le problème. À l'avenir, nous croyons que les ventes de condos vont grimper en 2025, pourquoi?
Les taux d'intérêt seront plus faibles et ça devrait libérer la demande. Cependant, les taux d'intérêt élevé jusqu'en 2025 vont être durs pour l'abordabilité. Les prix des condos étant élevés, et ça va prendre des mois pour absorber cet excédent de condos. Nous prévoyons que le prix des condos pourrait baisser de cinq à 10 % au quatrième trimestre cette année.
Et vers le premier trimestre de l'année prochaine.
Donc, il y aura peu de gain en 2024 2025 de ce côté.
- Très intéressant, vos prévisions.
Quels sont les risques?
- Eh bien, il y a des possibilités à la hausse comme à la baisse.
À la baisse, écouter, attaquer le marché de l'emploi plus faible, ce grand nombre de condos qui sont en train d'être complété, dans le secteur de la construction hors des codecs des conséquences. À la hausse il y a la possibilité que les propriétaires qui vont décider de retirer leur propriété de la bande sur le marché. Ce qui pousse les prix à la hausse.
- Merci. Maintenant, donc les marchés.
Qu'est-ce qui se passe? Alors, voyons un peu notre plateforme avancée.
Elle est conçue pour les visites des négociateurs actifs. On voit ici ce qui se passe en fonction du prix et du volume.
C'est la carte thermique. Qu'est-ce qui bouge aujourd'hui? Donc le TSX, modérément en territoire négatif comme on dit.
Mais du côté du secteur minier, Barrick Gold, Kinross, quantum, un peu à la hausse. C'est assez mixte du côté du secteur financier aussi. Et du secteur de l'énergie.
Enbridge est un peu à la hausse, sont encore à la baisse de presque 1 %. Au sud de la frontière que demain, beaucoup de données. Aux États-Unis et au Canada sur le marché de l'emploi.
Et l'économie américaine ajoute des emplois, mais pas autant qu'auparavant.
Ça suscite des préoccupations dans les marchés. Pour ce qui est de l'économie américaine. Qu'est-ce qu'il nous attend?
Que dira la Fed à la fin du mois?
Alors là, la à l'écran, NVIDIA tient le coup, elle qui avait beaucoup reculé au début du mois.
Et puis dans secteur financier, on voit un peu qui sont à la baisse.
- De nouveau, Jennifer Nowski pour répondre à vos questions. Est-ce un bon moment pour se tourner vers CNQ?
- CNQ, encore c'est une grande société gazière et pétrolière canadienne qui fonctionne en amont surtout.
Pétrole lourd, léger, synthétique, gaz naturel.
Leurs opérations sont très bonnes.
Et il respecte le mandat de la discipline financière. Maintenant qu'ils ont atteint leur cible, il verse 100 % de leur flux de trésorerie disponible en rachat d'actions et en dividendes. Donc, des tendances très semblables à ce qu'on a vu dans le reste de l'industrie.
Quels sont les risques de ce côté?
Le cours de l'action des sociétés pétrolières et gazières, ça dépend du cours des produits eux-mêmes.
- Il y a toujours des risques opérationnels aussi pour ce genre de sociétés de production de gaz de pétrole.
Donc on parle toujours d'énergie, mais du côté des services publics en même temps.
Qu'est-ce vous pensé Enbridge?
- Enbridge c'est une grande société des pipelines.
Gazoducs et oléoducs. Ils ont des produits renouvelables aussi.
Donc le gros de la recette, c'est des contrats à long terme aussi réglementé. Il y a une croissance, ils ont des projets qui sont liés à la côte du Golfe du Mexique.
Donc une chose importante chez Enbridge: il y a eu l'acquisition de trois sociétés aux États-Unis. Ce dernier trimestre, ils ont indiqué qu'ils ont le financement requis. Le marché doit vérifier si ces transactions sont complétées d'ici la fin de l'année.
- Donc voilà pour Enbridge. Une dernière question, très différente pour un autre sujet maintenant.
Les sociétés d'épicerie.
Les chaînes d'épicerie.
Donc ils ont tiré parti du contexte inflationniste.
Et tirer parti aussi du fait qu'il y a une hausse démographique au Canada.
De plus, ils ont fait preuve d'une bonne discipline pour ce qui est de gérer leur coût.
Ils ont parfois un secteur pharmaceutique, une il tire parti du vieillissement de la population. Ils offrent plus de services à cette population. Une tendance du côté de la consommation Canada et aux États-Unis, ça été les pressions sur les consommateurs, notamment les moins aisées.
Donc s'entraîner des conséquences pour les chaînes qui offrent des produits pour marcher.
Pour les sociétés de produits d'épicerie, les ventes ont été à la hausse. S'il y avait moins d'inflation cela pourrait changer et les valorisations ont grimpé.
Donc peut-être qu'il y a moins de possibilités de continuer à la hausse.
- C'est toujours intéressant de vous accueillir.
. Merci d'avoir été des naufrageurs de vous retrouver la prochaine fois. Merci, Jennifer Nowski, gestionnaire de portefeuille chez Gestion de Placements TD. Encore une fois, faites vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Donc nous vous reviendrons demain, évidemment on va parler du marché de l'emploi. Nous allons examiner ces réalités voir ce que le ça signifie pour vous. Lundi, David Sekera, qui s'occupe du marché américain pour Morningstar Research prendra la parole. Vous pouvez d'abord sous envoyer les questions à l'adresse courriel habituelle. C'est tout pour nous aujourd'hui. Merci de nous avoir écouté.
À demain!
Donc voici comment communiquer avec nous par courriel, à l'adresse que vous voyez à l'écran, ou alors en cliquant sur la case au bas de l'écran.
Alors, mise à jour des marchés. L'indice TSX, en baisse de 36 ; environ 0,16 %.
Donc voilà un début pour septembre c'était plutôt calme hier. Un peu plus de pression aujourd'hui sur (...)? Ensuite pas. Barrick est maintenant légèrement à la hausse.
À 26,37, presque 1 % à la hausse. J'ai remarqué aussi nous reviendrons aux sociétés qui versent des dividendes, société de télécom.
Ces sociétés, on voit que ça bouge de ce côté.
Telus, en hausse de 1/2 % ou presque, et au sud de la frontière maintenant, donc on a eu des données sur l'emploi.
Et ça ralentit aux États-Unis, ça soulève des préoccupations comme au début du mois d'août. Pour ce qui est de l'économie américaine. Donc le S&P 500 à la baisse légèrement. Le Nasdaq à la baisse aussi.
Mais presque 10 %. MA cœur maintenant, les marges maintenant sont décevantes pour ce trimestre. Une baisse de d'un peu plus de 6 %. Voilà pour le marché.
Alors, les taux d'intérêt semblent passer à la baisse. Certains investisseurs voient un peu ce qui se passe dans d'autres secteurs d'activité, notamment les sociétés qui versent des dividendes.
Voici Jennifer Nowski.
Directrice de portefeuille chez Gestion de Placements TD. Comme le dit le poète les temps changent, on a un contexte d'intérêt, le taux d'intérêt élevé, maintenant les coûts d'emprunt d'argent sont moins élevés. Qu'est-ce que cela signifie pour le contexte pour les sociétés qui versent des dividendes?
- Écoutez. C'est un contexte plus intéressant pour certains des titres qui versent des dividendes. Pour ce qui est des facteurs fondamentaux, peut-être aussi un meilleur accès au fond. Pour les facteurs fondamentaux, les taux d'intérêt plus bas. Ça veut dire moins de dépenses pour les sociétés.
Et donc, sans contrainte peut-être de valorisation plus élevée. Maintenant, du côté des fonds, les Canadiens n'ont pas vu les taux de ce genre depuis plusieurs années. C'est très attractif. Maintenant, c'est peut-être à la baisse. Les investisseurs qui veulent des revenus voudront peut-être de nouveau examiner les titres qui versent des dividendes plus élevés, secteur public par exemple le service de communication, services financiers et pipelines. On peut trouver des taux de dividendes 300 %, même plus parfois. Donc, il en résulte que nous avons dévalorisation un peu plus élevée, les corrections grimpées cet été.
- Très intéressant. Évidemment, ce qu'on a vu cet été, quand on parle sociétés qui versent dividendes qu'il est grand ton nom sur le marché canadien, s'incluent les banques, donc quoi retenir de ce que les banques rapportent?
- Les banques ont indiqué depuis une semaine qu'en général les résultats, c'était plutôt stable. Il y a quelques signes précurseurs effectués atteigne un peu la fin de la normalisation pour l'argent qu'on met de côté pour les dettes à risque. Donc des nouvelles positives.
Et les banques maintiennent une main un meilleur contrôle de dépenses en comparaison. Donc c'est positif. De plus, pour ce qui est des banques au Canada, on s'en tire bien pour une hausse des prêts de cinq à 10 %. Donc une stabilité. Enfin, les banques sont bien capitalisées.
Donc le ratio soit environ 13 %, et non pas besoin d'attirer beaucoup plus de capitaux.
Elles ont cessé d'offrir des escomptes.
Comme nous le faisions auparavant, il y a un an, certaines de ces banques achètent leurs actions pour les investisseurs surveillent cette normalisation des fonds communs de côté pour perte éventuelle.
Ça a des conséquences évidemment sur la croissance du bénéfice par action.
Ça va varier selon les banques, mais il y aura peut-être encore des moments difficiles. On commence à comprendre que ça devient, ça retourne au beau plat. Au beau fixe peut-être.
Donc pour l'avenir, à quoi s'attendre? Et à la contacter taux d'intérêt, la Banque du Canada de nouveau réduit les taux d'intérêt hier. Ça réduit les pressions sur les consommateurs. Par ailleurs, il y a la question du taux de chômage est plutôt stable.
- Oui. C'est très important de relever évidemment le secteur financier, est bonne dans le marché canadien, parlons maintenant du secteur énergétique.
Du cours du pétrole. Il y a eu un petit recul récemment.
Et c'est en fonction de deux facteurs.
D'abord la demande qui est moins prononcée. Par ailleurs, on se concentre beaucoup sur l'offre et ce que fait l'OPEP+.
D'abord du côté de la demande. Cette année, ce serait une année peut-être plus normale en matière de demande. Il y a beaucoup de perturbations ces dernières années à cause de la pandémie, les conséquences sur le secteur du transport.
Cette année, la croissance de la demande du pétrole est plutôt normale. En comparaison de la croissance mondiale du PNB. Et puis, il y a ce qui se passe du côté du pays qui sont non pas membres de l'OPEP. L'Inde, la Chine, en Asie.
C'est là que les attentes risquent d'être décevantes. On risque d'être déçu.
- Et on passe maintenant a l'or.
L'OPEP+ compte il y a une certaine croissance de l'offre à l'extérieur de l'OPEP. Ils ont quand même beaucoup de capacités résiduelles. Que vont-ils faire début du printemps, les indiqués que peut-être il voudrait offrir de nouveau cette surcapacité, mais ils se sont donnés beaucoup de marge de manœuvre.
- Maintenant, étant donné que la demande semble être un peu faible, on se pose la question par rapport à ce qu'ils vont faire.
Peut-être qu'ils vont réajuster leur plan, mais il va falloir continuer de surveiller cela. Parce que l'OPEP+ est indispensable pour un marché équilibré.
- Oui, les forces puissantes dans ses marchés. Il y a certaines compagnies des sables bitumineux au Canada qui ont rapporté leur tendance. Qu'en est-il?
- De ce côté, c'est la discipline financière qui compte. Ces dernières années, les sociétés canadiennes de sables bitumineux ont réduit leur niveau d'endettement, et donc resserrer leurs dépenses. Ils sont plus disciplinés pour ce qui est de leur envoyer de l'argent aux actionnaires.
Donc, ces titres canadiens ont un flux de trésorerie disponible de presque 10 %, ce qui est quand même très bien. Maintenant qu'ils ont atteint la cible en matière d'endettement, ils rendent aux actionnaires beaucoup de dividendes.
De rachat d'actions. Aussi, il faut signaler que de leur côté, à la fin de ce trimestre, en nous tournant vers l'avenir, ils veulent réduire leurs coûts d'exploitation.
Donc ça plutôt bien été ces derniers trimestres, il y a une croissance du volume, et des coûts moins élevés du gaz et du pétrole. Pour l'avenir, on veut évidemment réduire les coûts de production, et notamment, ce sera grâce à la croissance du volume grâce à des améliorations et les opérations, dans le fonctionnement.
Leur productivité, évidemment, réduction de la consommation énergétique et ainsi de suite.
Donc on a quand même l'impression que ces compagnies sont bien ciblées pour ce qui est de la discipline.
Donc les pipelines est important, alors parlons un peu maintenant. Ainsi que des services publics. On dit que ce sont des sociétés star. Qu'en est-il?
- Leurs bénéfices restent stables.
Ce sont des contrats sont signés longtemps avant que c'est très réglementé.
Maintenant pour l'année, il y a des occasions qui s'offrent pour ce qui est de la demande énergétique aux États-Unis.
Là-bas, c'était plutôt au beau fixe depuis une décennie. Maintenant on pense que ça va croître.
Étant donné l'accroissement de la demande d'en électrification. Les centres de données intelligence artificielle et le rapatriement des productions.
Pour les sociétés canadiennes maintenant, il y en a qui sont très présentes aux États-Unis, qui sont exposés à cette tendance.
Côté service public, il tire partie de la demande croissance.
Dans leur territoire. Ainsi que des nouvelles occasions de transport d'énergie.
Côté gazier maintenant, il y a toutes sortes de sources d'approvisionnement, y compris des produits renouvelables.
Donc il aura peut-être de nouvelles usines gazières.
- Bien sûr, il y a le gaz naturel liquide, et ça, c'est très important pour la croissance.
Maintenant, on n'en est qu'au tout début.
Il faudra du temps pour voir ce qui s'annonce vraiment. Certaines de ces sociétés sont grandes.
Donc c'est positif de manière marginale.
- Très intéressant donc. Parlons de marché canadien. Nous allons aborder vos questions sur ces points avec notre invité dans quelques instants. Vous pouvez communiquer à tout moment grâce à l'adresse courriel qui figure à l'écran.
Ou en cliquant sur le cas au bas de l'écran. Maintenant, mise à jour de ce qui se passe du côté du monde des affaires et des marchés.
Alors, beaucoup d'activités dans le domaine de l'immobilier à Toronto.
Il y a un cycle de réduction des taux d'intérêt de la Banque du Canada depuis juin. Les chiffres nous montrent que ç'a baissé de quelque 5 %. Les résidences.
Donc, les chiffres pour le mois d'août dont nous parlons maintenant, de réduction des taux d'intérêt de la Banque du Canada.
Et la chambre immobilière de Toronto indique que ça devrait attirer d'ici peu de nouveaux acheteurs.
La société folle dit que la demande de camions ou de véhicule hybride a grimpé de 13 % aux États-Unis le mois dernier.
Donc la camionnette toute électrique F 150 a fait une bonne croissance.
Mais ça été encore plus marqué du côté des produits hybrides. Évidemment, les véhicules à combustion interne, c'est toujours 80 % des ventes de fortes.
Plusieurs grands fabricants automobiles dont Ford ont ralenti l'emplacement du côté des véhicules toute électriques.
Une entente plusieurs milliards de dollars maintenant du côté des télécommunications.
Horizon indique qu'elle doit acheter frontière communication. Une transaction entièrement content de quelque 20 milliards de dollars.
Verizon fait concurrence à des sociétés comme AT&T. Frontière, en baisse de quelques 9 %. Le cours de l'action a grimpé de quelque 38 % hier à cause des rumeurs du menton, et c'est ce qu'on dit: acheter au moment de la rumeur et vendez au moment de la rumeur. Maintenant, bien située dite pour le TSX. Le début septembre a été un peu cahoteux. C'est le cas depuis quelques trois jours maintenant, donc 35. À la baisse, le 15e de pour cent au sud de la frontière. Le S&P 500 maintenant. On a eu des données sur les salaires.
Il y aura d'autres données importantes demain. Donc au sud des États-Unis, on embauche toujours, mais pas aussi rapidement que ça aurait pu se faire dans le passé. Donc une baisse du S&P 500 d'environ 1/2 %.
Maintenant, de nouveau notre invité qui va répondre à vos questions au sujet de divers titres. D'abord, on lui demande ses commentaires sur les sociétés de télécommunications qui traitent de la PAQ cette année. Pourquoi?
- Ce titre, vous savez, ont des dividendes qui sont à des hauts historiques, il y a des pressions sur le cours de ses actions, étant donné la concurrence de la part du sans fil. Il y a beaucoup de capacités du côté de Rodgers qui achète Shaw il y a eu l'achat de Verizon par hasard par ailleurs s'exerce des pressions sur les recettes. La croissance des recettes a été très faible. Ces derniers trimestres.
Cependant, et ça, c'est plus intéressant, ils ont réduit leurs coûts et gérer leurs coûts. Ce contrôle des coûts, sera commencé à s'appliquer aux dépenses en immobilisations. Pour maintenir de bons flux de trésorerie disponible. L'autre facteur important est l'effet de bélier.
Ces sociétés vont réduire leur effet. Il faudra du temps pour y parvenir. Ce qui pourrait accélérer cela s'ils avaient des banques de certains actifs.
Le marché est à l'affût pour voir ce qui va se passer du côté de la concurrence.
Et puis donc si ça deviendra positif.
- Intéressant les télécoms depuis un an et demi. Vous toutes les raisons fondamentales, c'était qu'il y a eu des pressions sur le cours des actions.
- Déjà de façon superficielle on dit que les taux d'intérêt sont à la hausse, les télécoms vont moins s'en tirer, mais évidemment il y a d'autres facteurs qui jouent.
- Oui, tout à fait il y a des facteurs fondamentaux. En plus du contexte macro-économique, il faut voir ce qui est propre à tel ou tel secteur d'activité, à telle ou telle société. Voilà. Quelqu'un demande: ce qui se passe du côté des titres des sociétés d'assurance vie.
- De ce côté, on sentait plutôt bien au Canada. Les résultats ont été solides depuis un an, grosso modo. La croissance des bénéfices par action est à peu près conforme à leur cible et aux attentes des marchés.
Le rendement a été soutenu dans un contexte pour les taux d'intérêt, ce qui les aidait à maintenir un abonnement pour les produits assurances. Ils sont très bien capitalisés. Il achète des actions il pourrait peut-être envisager des fusions et acquisitions. De même croissance pour eux: l'Asie et le secteur des clients bien aisés, du patrimoine. Donc, il faut tenir compte si on parle des conditions macro-économiques maintenant, du côté de la gestion des actifs, c'est parfois inégal.
Ça dépend de ce qui se passe dans les marchés de ce qui se passe du côté de la concurrence.
- Revient toujours au TD ou ton intérêt. On en a parlé depuis longtemps, maintenant une réduction des taux de la Banque du Canada.
Et ça a des conséquences pour les compagnies d'assurances.
- Oui. Alors, écoutez comme je l'ai indiqué, pour ce qui est des revenus, c'est positif. Les taux plus faibles, ce serait peut-être moins intéressant pour eux.
Il y en a qui ont d'autres actifs, de l'immobilier par exemple, et donc, ça pourrait leur être bénéfique s'il y a des baisses de taux d'intérêt.
- Évidemment, c'est plus compliqué que de voir simplement les taux d'intérêt. Il y a beaucoup de détails. Maintenant l'or.
Est à la hausse cette année pourquoi?
- C'est autour de 2500 aujourd'hui, une hausse d'environ 20 % depuis le début de l'année. Les aurifères au début de ce redressement, c'était en fonction de la demande de la part des banques centrales qui voulaient s'éloigner du dollar américain et diversifier leur portefeuille.
Plus récemment, ce qui se passe de ce côté, cet été, c'était les taux autour d'intérêt. Donc les hausses les taux d'intérêt aux États-Unis baissent. Ça soutient la demande pour l'autre. On a vu une amélioration de certaines demandes aux États-Unis.
Y compris pour l'achat de lingots.
Et les FNB. Qu'est-ce qui pourrait être négatif?
Ça fait en sorte que c'est peut-être plus difficile pour les consommateurs d'en acheter.
Il faut voir ce qui se passe du côté de la Banque de Chine qui a réduit ses achats d'or ces derniers mois.
Donc c'est quand même des taux d'intérêt moins élevé.
- Puis, on a vu une augmentation du cours de l'or.
Qu'en est-il pour les titres aurifères?
- Perspective de ce côté. C'est à peu près en fonction du cours de l'or.
Pour les titres aurifères depuis un an, ce qui comptait beaucoup été les coûts liés à l'inflation, surtout dans un contexte où le cours de l'or ne crée pas beaucoup.
Leur marge bénéficiaire n'était plus ce qu'elle est maintenant. Un peu plus élevé, ce qui est bon pour ces titres. Mais elle arrive aussi à mieux gérer leurs coûts.
Il y a la question de la disponibilité de la main-d'œuvre, meilleur qu'auparavant.
Quand on évolue ces titres aurifères comme producteur, il faut tenir compte des risques opérationnels. C'est très compliqué comme domaine d'activité. On cherche des compagnies qui peuvent atteindre leur cible de production. Il faut tenir compte du contexte géopolitique des pays dans laquelle elle se trouve.
- Mais si leur état de 1500, c'est un bon prix pour les producteurs et si on passe aux grands producteurs, ça leur donne environ 4 % de flux de trésorerie disponible ce qui est très bien.
- Très intéressant pour nos auditeurs.
Les titres aurifères ici au Canada.
Évidemment, faites vos propres recherches avant de prendre les décisions de placement. On reviendra à notre invitée pour répondre à vos questions dans quelques instants. Je vous rappelle comment communiquer avec nous, nous envoyons un courriel à l'adresse à l'écran, et puis maintenant en matière d'éducation.
Donc, nous parlons des sociétés qui versent des dividendes. Si vous cherchez à trouver de telles sociétés, on peut le faire sur notre plateforme.
Ryan, nous sommes contents de vous accueillir. Comment trouver des renseignements sur la plateforme?
Pour les sociétés qui versent des dividendes.
- Il y a beaucoup de renseignements l'attitude CourtierWeb.
Le premier écran, c'est en général l'écran qui affiche quand on ouvre une session.
Et puis si on cherche des dividendes, les actifs qu'on détient déjà, qu'on voit en bas à droite, on voit dividendes. Si vous cliquez là, s'il y a des dividendes qui s'annoncent pour votre compte, vous le verrez là. Vous pouvez retourner en arrière d'une semaine ou avancée d'une semaine pour voir ce qui s'annonce. C'est une bonne façon pour vous de savoir ce qui se passe dans votre compte.
Maintenant, si vous cherchez des dividendes pour tous titres, toujours des titres, on va plutôt dans recherche.
L'onglet recherche, sous investissement et titre action.
Donc disons qu'on voit une banque, TD, une bonne banque, n'est-ce pas?
Et il y a des renseignements sur les dividendes au bas à droite.
Dans le secteur fondamentaux. Donc vous avez les taux dividendes, le versement annuel, la date ex dividendes, la prochaine date. Vous avez les renseignements pour tel ou tel titre précis. En matière de dividendes. Et encore plus de renseignements si on clique sur les facteurs fondamentaux. On voit comment ces dividendes se comparent à ce qui se passe dans le secteur d'activité.
Ou à tel ou tel père. Dans ce cas-ci, on a la TD, si on va vers le bas, comment est-ce que le taux annuel de dividendes de la TD se compare au secteur des services financiers?
Donc de façon plus détaillée, on peut cliquer sur le nom de certain père et voir comment la TD se compare en matière de dividendes toujours, à ses pairs.
Par exemple la Banque Royale, la (...), la Banque de Montréal, et la CIBC. Belle façon donc d'obtenir des renseignements très précis au sujet des dividendes pour tel ou tel titre ici donc CourtierWeb.
- Comme vous l'avez dit, Ryan. C'est un bel exemple. C'est un titre qui nous intéresse. Si on veut tout simplement utiliser la plate-forme pour voir quel titre verse des dividendes.
- Très bonne question aussi. Parfois on n'a pas eu titres en tête, on veut simplement acheter des titres qui versent des dividendes. Une façon d'y parvenir, il y a quelque manière, mais retournons dans la plate-forme, toujours à l'onglet recherche, on voit la colonne sur les marchés, et vers le bas: événement. Si ensuite on clique sur dividendes, en haut à droite, on a le drapeau canadien. Ce sont les dividendes et les dates dividendes aujourd'hui. Le 5 septembre.
Donc je peux choisir une autre date, évidemment, rappelez-vous que la date ex dividendes la date à laquelle si on détient si on achète un titre, on vous versera un dividende selon la date. On porte attention aux dates, et on peut cliquer sur le drapeau américain cette fois et voir la même chose pour les États-Unis. Si on veut des renseignements plus détaillés possiblement ce qui s'annonce sous peu, on peut peut-être utiliser l'outil de tri en cliquant sur recherche, et puis sur outils.
Les façons de faire des tris.
Là, on bah, ça fait partie des critères. Je dégage ici, j'éteins tout pour qu'on voit bien. Parmi les critères, ne colonne dividendes. Dans ce menu, vous avez le rendement des dividendes que le taux de croissance des dividendes.
Et maintenant, on tient compte aussi même des recettes.
Donc, on choisit ces critères pour indiquer la fourchette qui nous intéresse.
Il y aura un tri dans les marchés.
Et vous obtiendrez ainsi des résultats pour ce genre de requête. Donc en fonction des critères pour trouver les sociétés qui versent dividendes. Il y a beaucoup d'outils dans CourtierWeb. Allez-y, fouillez un peu, il y a beaucoup de renseignements intéressants.
- Très bien comme toujours, Ryan. Merci beaucoup.
- Ça me fait plaisir.
- Ryan Massad est formateur chez nous.
Pour plus de renseignements sur ses ressources, voyez notre centre de formation, utiliser le code qui figure à l'écran pour trouver plus de vidéos intéressantes. Maintenant, avant de retourner à vos questions au sujet des titres qui versent des dividendes, voici de nouveau comment communiquer avec nous.
Si vous avez une question matière de placement et sur ce qui se passe dans les marchés, nos invités veulent vous entendre. Envoyez-nous vos questions.
Il y a deux façons de procéder.
Soit par nous envoyant un courriel à l'adresse que vous voyez à l'écran, ou encore vous pouvez cliquer sur la case au bas de l'écran.
Et tapez votre question, envoyez-la et on verra si un de nos invités pour vous répondre ici-même à Parlons Argent en direct.
- On revient de nouveau à Jennifer Nowski pour répondre à vos questions, cette fois une question qui porte sur Fortis.
Fortis est sans doute un bon exemple (...) en tapant le début de émission pour ce qui est de la demande énergétique et les taux d'intérêt.
Services publics au Canada et aux États-Unis. C'est très stable comme société, c'est très réglementé. Ils ont certaines occasions de croissance.
Pour ce qui est d'investir dans de nouveaux projets, ils ont indiqué qu'il y a des signes préliminaires d'une demande intéressante, accru en matière d'énergie, notamment aux États-Unis à cause des centres de données.
Donc ils ont tendance à croître de cinq à 10 %.
Et voilà.
Alors quand je pense aux manchettes il y a plusieurs années, il y a des gens qui allaient magasiner au sud de la frontière pour acheter des titres là-bas. Est-ce qu'il y a des fusions et acquisitions dans ce secteur?
- La plus grande entente du champ, c'est quand Enbridge et qui est un pipeline qui a aussi des services publics. Ils ont acheté trois services gaziers aux États-Unis. Cette entente va bientôt atteindre son terme.
- Très intéressant.
Alors, que pensez-vous de I MO, impériale?
- Écouter. Ça fait partie des sociétés de sables bitumineux au Canada. Ils sont beaucoup d'actifs qui produisent surtout à partir des sables bitumineux. Ils font du raffinage aussi, ils ont une secteur chimique de produits chimiques.
Ils ont une certaine croissance à la hausse, faible, mais ça existe.
Ils veulent réduire leurs coûts d'exploitation.
Un beau projet aussi à Cold Lake.
Il y aura des coûts d'exploitation moins élevée de chaque côté. Par ailleurs, comme ils sont un écrit diversifié, ça veut dire aussi que parfois toutes les divisions ne vont pas performer de façon égale. Les marges à l'heure actuelle sont peut-être plus faibles.
Impériale, beaucoup de disciplines.
La répartition des flux de trésorerie disponible.
Et ils offrent beaucoup à leurs actionnaires.
Donc, ils ont des opérations en amont et en aval, sont très intégrés, il y a des avantages et des risques.
On doit faire un tri pondre on peut se demander qu'est-ce qui se passe du côté de telle ou telle société. Si vous pensez par exemple au cours du pétrole que vous voulez, être très exposé au pétrole, ça me provient des de ceux qui font de l'exploration de la production soient de gaz ou de pétrole ou les deux. Ils sont très exposés aux variations du cours. (...) intégré comme impériale comme je l'ai dit la production, et puis en amont, en aval évidemment ils sont présents aussi.
Donc si c'est très avantageux pour ce qui se passe dans le monde, peut-être qu'est-ce qui se passe du côté de vos activités en aval sera moins intéressant.
Le cours pour ce genre de société c'est différent de ce qu'on trouve comme tendance du côté des sociétés qui sont vraiment simplement des sociétés d'exploration exploitation et production.
- Très intéressant comme toujours. Autre question: qu'est-ce qu'on peut attendre du côté de la potasse des engrais?
- Le cours de la potasse atteinte à la suite de l'invasion de l'Ukraine par la Russie à un sommet.
Mais maintenant, il y a un certain équilibre. Si on veut parler précisément de la potasse, les cours ont un peu baissé.
Pour la Russie et le Bélarus semble s'être repositionné sur le marché.
Il y a eu un peu plus d'offre de la part des pays comme le Laos.
Les inventaires sont à la baisse.
Maintenant la demande semble se stabiliser ou peut-être même augmenter cet automne.
Alors les investisseurs vont surveiller une mine qui va devenir active en 2026.
Une mine importante. Et donc peut-être qu'à ce moment-là, la demande potasse sera plus élevée en même temps. Ça reste à suivre.
- Donc engrais et potasse, enfin compte, est-ce que je m'intéresse toujours à l'agriculture à long terme, qu'est-ce que ça veut dire?
- La demande de Telcos, dans le monde où la population est à la hausse et s'enrichit, c'est une tendance de croissance à long terme pour les produits agricoles. Le problème, c'est évidemment que tout dépend du climat. D'abord. Mais pour la potasse et les autres engrais, il faut tenir compte de l'offre de ces engrais bien précis.
Donc on a parlé des perspectives pour la potasse, pour ce qui est de l'azote par exemple, l'offre est en fonction des coûts du gaz naturel. Il y a certains producteurs, les conducteurs sont baissés, mais il y a encore des exportateurs comme la Chine qui limite les exportations.
Parfois il y a des manques de gaz en Égypte, il faut tenir compte des facteurs fondamentaux.
Il est à la fois de ce qui se passe du côté du secteur agricole.
- Question maintenant sur le gaz naturel.
Votre point de vue sur le cours du gaz naturel.
- Le gaz naturel tout spécialement en Amérique du Nord, ça été plutôt faible cette année.
Environ deux dollars, à la suite d'un hiver plutôt doux en Amérique du Nord. Et puis l'offre, même s'il y a eu une réduction de certains types de production, celle-ci plutôt solide.
Donc on trouve beaucoup de stocks à l'heure actuelle, puisque la moyenne habituelle, donc la demande de croissance en matière de gaz naturel liquide.
Il y aura de nouvelles installations de production aux États-Unis, et au Canada. Aussi.
Si on établit un lien avec ce conditionnement en matière de demande énergétique, le gaz naturel est une solution de source d'énergie. Tirer parti de piquer quelques disques année du fait que les gens sont passés à côté. Parce que c'est plus propre que le charbon.
Évidemment, si on parle de demande énergétique aux États-Unis, ce sera à plus long terme. On ne sait pas quelle sera l'ampleur de cette demande. Alors que pour le gaz naturel liquide, il est clair, on a une idée beaucoup plus claire du moment où il y aura une offre accrue.
- Donc il faudra voir combien on n'en produits, s'ils sont disciplinés, ses producteurs. Et s'ils arrivent envoyer de le gaz dans le marché. Merci.
Donc, c'est très intéressant d'entendre les réponses de notre invité. Je vous rappelle de faire vos propres recherches avant de prendre des décisions en matière de placement. Communiquer avec nous à tout moment en nous indiquant ce que sont vos questions. Envoyez-nous vos questions soient par courriel, moneytalklivetd.com à l'adresse qui figure à l'écran, ou en cliquant dans la base la case au bas de l'écran ou taper votre question et nous envoyer votre question. On verra si un de nos invités peut vous répondre ici même.
Même si la Banque du Canada réduit ses taux d'intérêt, ça été le cas en juin et en juillet et maintenant sept ans, masquée malgré cela, les ventes résidentielles Canada ne sont pas très fortes. Anthony Okolie va nous parler de sexe passe de ce côté et des conséquences de l'offre excédentaire dans la région du grand Toronto.
- Oui, les taux d'intérêt évidemment été réduit à trois reprises, mais on prévoit qu'il y en aura de nouveau. Et que ça atteindra deux et demis pour cent d'ici la fin de 2025.
Donc ça baissé de 90 points de base depuis le début demain. Il y a d'autre baisse probablement d'après nous. Si service économique TD. Mais la croissance dans le secteur immobilier a été plutôt modérée.
Ça devrait s'accroître alors que ces réductions de taux d'intérêt auront des conséquences sur le marché immobilier.
Nous croyons que cette croissance dans région du grand Toronto va être quand même assez lente. D'abord parce que l'abordabilité est à Toronto. Les prix moyens à Toronto, d'après la chambre immobilière, c'est de plus d'un million de dollars en moyenne.
Et une raison clé pour cette faiblesse du côté du grand Toronto, ça été qu'il y a trop de condos, beaucoup de condos qui sont offerts sur le marché.
Et c'est condo donc il y en a beaucoup en construction aussi. Pour vous situer, le ratio de vente nouvelle inscriptions qui met en rapport l'offre et la demande, et l'équilibre dans le marché immobilier, dans le marché domiciliaire, à l'heure actuelle ce ratio de 60 % inférieurs à sa moyenne à long terme. Au deuxième trimestre de cette année.
Donc on comprend qu'il y a trop peu de demandes, trop d'offres dans le grand Toronto.
Or, il y a eu quelques 30 % de plus que d'habitude d'offres en fonction de la croissance de la demande.
Une des raisons pour laquelle il y a une telle offre, d'abord je voudrais vous montrer ce graphique.
On voit qui a une grande vague de condos récemment construits à Toronto, en 2024.
C'est nettement plus élevé que ce qu'on a vu en 2022, 2023 notamment.
Et bien entendu, depuis juillet, les reventes de condos sont de quelque 25 % inférieurs à Toronto, à ce qu'on avait à la pandémie. Il y a d'autres raisons pour ça faiblesse du marché.
Plus d'activité de vente qui n'arrive pas à absorber ce qu'on a en stock. C'est ce que ce n'est pas assez rapide. De plus, les politiques en général de limiter la croissance de la population auront des conséquences sur les loyers. Ce qui fait peur à certains investisseurs. Certains investisseurs sont maintenant endettés.
Ils ont des flux de trésorerie négatif à cause de la faiblesse du secteur de la location à Toronto.
Donc ça accroît le problème. À l'avenir, nous croyons que les ventes de condos vont grimper en 2025, pourquoi?
Les taux d'intérêt seront plus faibles et ça devrait libérer la demande. Cependant, les taux d'intérêt élevé jusqu'en 2025 vont être durs pour l'abordabilité. Les prix des condos étant élevés, et ça va prendre des mois pour absorber cet excédent de condos. Nous prévoyons que le prix des condos pourrait baisser de cinq à 10 % au quatrième trimestre cette année.
Et vers le premier trimestre de l'année prochaine.
Donc, il y aura peu de gain en 2024 2025 de ce côté.
- Très intéressant, vos prévisions.
Quels sont les risques?
- Eh bien, il y a des possibilités à la hausse comme à la baisse.
À la baisse, écouter, attaquer le marché de l'emploi plus faible, ce grand nombre de condos qui sont en train d'être complété, dans le secteur de la construction hors des codecs des conséquences. À la hausse il y a la possibilité que les propriétaires qui vont décider de retirer leur propriété de la bande sur le marché. Ce qui pousse les prix à la hausse.
- Merci. Maintenant, donc les marchés.
Qu'est-ce qui se passe? Alors, voyons un peu notre plateforme avancée.
Elle est conçue pour les visites des négociateurs actifs. On voit ici ce qui se passe en fonction du prix et du volume.
C'est la carte thermique. Qu'est-ce qui bouge aujourd'hui? Donc le TSX, modérément en territoire négatif comme on dit.
Mais du côté du secteur minier, Barrick Gold, Kinross, quantum, un peu à la hausse. C'est assez mixte du côté du secteur financier aussi. Et du secteur de l'énergie.
Enbridge est un peu à la hausse, sont encore à la baisse de presque 1 %. Au sud de la frontière que demain, beaucoup de données. Aux États-Unis et au Canada sur le marché de l'emploi.
Et l'économie américaine ajoute des emplois, mais pas autant qu'auparavant.
Ça suscite des préoccupations dans les marchés. Pour ce qui est de l'économie américaine. Qu'est-ce qu'il nous attend?
Que dira la Fed à la fin du mois?
Alors là, la à l'écran, NVIDIA tient le coup, elle qui avait beaucoup reculé au début du mois.
Et puis dans secteur financier, on voit un peu qui sont à la baisse.
- De nouveau, Jennifer Nowski pour répondre à vos questions. Est-ce un bon moment pour se tourner vers CNQ?
- CNQ, encore c'est une grande société gazière et pétrolière canadienne qui fonctionne en amont surtout.
Pétrole lourd, léger, synthétique, gaz naturel.
Leurs opérations sont très bonnes.
Et il respecte le mandat de la discipline financière. Maintenant qu'ils ont atteint leur cible, il verse 100 % de leur flux de trésorerie disponible en rachat d'actions et en dividendes. Donc, des tendances très semblables à ce qu'on a vu dans le reste de l'industrie.
Quels sont les risques de ce côté?
Le cours de l'action des sociétés pétrolières et gazières, ça dépend du cours des produits eux-mêmes.
- Il y a toujours des risques opérationnels aussi pour ce genre de sociétés de production de gaz de pétrole.
Donc on parle toujours d'énergie, mais du côté des services publics en même temps.
Qu'est-ce vous pensé Enbridge?
- Enbridge c'est une grande société des pipelines.
Gazoducs et oléoducs. Ils ont des produits renouvelables aussi.
Donc le gros de la recette, c'est des contrats à long terme aussi réglementé. Il y a une croissance, ils ont des projets qui sont liés à la côte du Golfe du Mexique.
Donc une chose importante chez Enbridge: il y a eu l'acquisition de trois sociétés aux États-Unis. Ce dernier trimestre, ils ont indiqué qu'ils ont le financement requis. Le marché doit vérifier si ces transactions sont complétées d'ici la fin de l'année.
- Donc voilà pour Enbridge. Une dernière question, très différente pour un autre sujet maintenant.
Les sociétés d'épicerie.
Les chaînes d'épicerie.
Donc ils ont tiré parti du contexte inflationniste.
Et tirer parti aussi du fait qu'il y a une hausse démographique au Canada.
De plus, ils ont fait preuve d'une bonne discipline pour ce qui est de gérer leur coût.
Ils ont parfois un secteur pharmaceutique, une il tire parti du vieillissement de la population. Ils offrent plus de services à cette population. Une tendance du côté de la consommation Canada et aux États-Unis, ça été les pressions sur les consommateurs, notamment les moins aisées.
Donc s'entraîner des conséquences pour les chaînes qui offrent des produits pour marcher.
Pour les sociétés de produits d'épicerie, les ventes ont été à la hausse. S'il y avait moins d'inflation cela pourrait changer et les valorisations ont grimpé.
Donc peut-être qu'il y a moins de possibilités de continuer à la hausse.
- C'est toujours intéressant de vous accueillir.
. Merci d'avoir été des naufrageurs de vous retrouver la prochaine fois. Merci, Jennifer Nowski, gestionnaire de portefeuille chez Gestion de Placements TD. Encore une fois, faites vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Donc nous vous reviendrons demain, évidemment on va parler du marché de l'emploi. Nous allons examiner ces réalités voir ce que le ça signifie pour vous. Lundi, David Sekera, qui s'occupe du marché américain pour Morningstar Research prendra la parole. Vous pouvez d'abord sous envoyer les questions à l'adresse courriel habituelle. C'est tout pour nous aujourd'hui. Merci de nous avoir écouté.
À demain!