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(musique) Bonjour, ici Greg Bonnell.
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, Jeff Evans de Gestion de placements TD nous dira si des jours meilleurs s'annoncent pour les actions de l'immobilier et de l'infrastructure avec la baisse des taux. Anthony Okolie examinera les principaux résultats de la saison des bénéfices dans le secteur de l'or.
Nous poursuivons la découverte CourtierWeb. Caitlin Cormier nous montrera comment sélectionner différents types d'actions. Posez-nous vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'oeil sur les marchés.
L'indice TSX composé progresse modestement de 36 points. Parmi les actions les plus négociées, Kinross est en baisse, modestement, à 12,61 $, l'action recule de un et demi pour cent.
Il y a une certaine évolution non seulement de cette action depuis un an mais dans le cours du métal sous-jacent, l'or, qui a pulvérisé les records. Le cours du brut a beaucoup évolué cette semaine. Il se situe autour de 73 $ le baril. Suncor à 55,19 $ est en hausse depuis plus d'un demi pour cent. Aux États-Unis, nous surveillons de très près les données économiques ont paru depuis deux ans pour déterminer quand les banques centrales pourraient commencer à réduire les coûts d'emprunt qu'elles avaient rehaussé afin de maîtriser l'inflation. La résilience de l'économie américaine était à l'ordre du jour.
Or, l'institut statistique américaine nous indique que l'économie américaine aurait créé 25 000 emplois de moins que signalé à l'origine pour la période de 12 mois prenants fin en mars 2024. Presque 30 % de moins que la croissance annoncée.
Malgré tout, 2 millions d'emplois ont été créés pendant cette période. Les marchés semblent chercher à analyser cette information.
Le S&P 500 abaissé puis remonté, il se situe essentiellement à un niveau inchangé.
Le procès-verbal de la Fed paraît cet après-midi.
Lesdites attaques progressent un peu plus que l'ensemble du marché.
Target, l'action progresse de 12,5 pour cent près des résultats supérieurs aux attentes.
Colgate voyait ses ventes décliner, il s'agit d'un revirement, les investisseurs s'emballent. Bien sûr, les grandes valeurs technologiques en la faveur des investisseurs depuis quelque temps, mais la tendance à la baisse des taux d'intérêt pourrait créer d'autres opportunités pour certains secteurs comme l'immobilier et l'infrastructure. Jeff Evans de Gestion de placements TD nous rejoint pour discuter.
Bonjour, Jeff. Bienvenue à cette émission.
- C'est la première fois que je suis ici.
Merci de m'avoir invité.
- Nous faisons toujours cela avec de nouveaux invités, présentez-vous au spectateur.
- J'ai passé 20 ans aux recherches quantitatives chez plusieurs firmes canadiennes. Je suis rentré chez Gestion de placements TD pour développer la recherche empirique et les actions. Très généralement, ce que nous faisons, nous travaillons en étroite collaboration avec nos gestionnaires de portefeuille d'actions et nos analystes fondamentales pour tirer des conclusions de l'abondance des données qui paraient sur les entreprises individuelles.
(...) Notre équipe se concentre, un groupe de cinq personnes qui se concentrent sur cela. Nous cherchons à utiliser des méthodes statistiques et mathématiques pour déterminer quels sont les indicateurs les plus importants, sur quoi nos analyses devraient concentrer leur attention, quels sont les facteurs qui créent un rendement supérieur pour certaines entreprises.
Il s'agit de retrouver les meilleures façons de répartir le temps. Les entreprises qui ont les meilleures chances afin de donner à nos analystes une avance au fil du temps. Je suis également gestionnaire de portefeuille pour le produit des fonds structurels immobiliers mondiaux. Nous utilisons les mêmes techniques, recherche empirique, sélection quantitative, qualitative pour trouver les (...) - c'est passionnant. Commençons à parler de certaines de ces domaines auquel vous vous intéressez.
L'immobilier et l'infrastructure, les taux d'intérêt sont en baisse, parfois ces secteurs sont mal-aimés lorsque les taux sont élevés. Quelles sont les opportunités potentielles?
- , Oui, (...) pourquoi c'est important pour ces secteurs? Car il s'agit des secteurs les plus endettés du marché boursier. Également, certains des secteurs sont les plus orientées vers les dividendes. Du point de vue de l'investisseur, car les taux d'intérêt (...) donc ces entreprises ont continué de bien fonctionner depuis quelque temps niveau de l'exploitation mais ils sont très endettés et refinancent leurs dettes à des taux plus élevés. Il est difficile d'augmenter les bénéfices avec les pressions qui s'exercent.
Avec la réduction des taux d'intérêt, il y a eu de pratiquée par la Banque du Canada, on n'en aura une aux États-Unis en septembre, on l'espère, et on aura des mises à jour à la réunion de Jackson Hole cette semaine.
L'effet de ce levier s'inverse, les CPG continuent de diminuer dans le rapport. Ce sera un processus progressif, mais au fur et à mesure que les investisseurs doivent remplacer ce flux de trésorerie, (...) ces facteurs défavorables deviennent facteurs favorables. L'environnement est beaucoup plus favorable.
- Prenons ces deux secteurs à la fois.
Parlons des perspectives pour l'immobilier. Il s'agit d'un secteur très vaste.
- Oui, beaucoup de sous secteurs différents, mais il s'agit de savoir à quel point les immeubles sont pleins, le taux d'inoccupation, les loyers augmentent ville et le financement de ces entreprises. Je pense que les financements s'améliorent, nous en avons parlé. On n'en revient à l'occupation et au loyer. Dans les grands secteurs, que ce soient les appartements, les logements unis familiaux, les tours de cellulaire, les centres de données, le taux d'occupation est très élevé.
Il y a peut-être un peu de glissement de temps à autre, mais essentiellement presque au maximum. Ce qui est encore plus important, c'est qu'à cause de l'inflation qu'il y a eue dans les coûts de construction depuis deux ans, l'augmentation des coûts de financement, personne bâtie.
La rentabilité n'est pas au rendez-vous.
Il y a quelques nouveaux immeubles qui ont été mises en service en 2024, cela va ralentir en 2025.
Il y a une forte occupation aujourd'hui qui, sauf s'il y a une récession, devrait de plus en plus serrer. Les données fondamentales devraient être très porteuses en 2026. C'est important pour les propriétaires, car si un immeuble est plein, on peut exiger des loyers plus élevés et les faire répercutaient sur les locataires.
On le voit déjà aujourd'hui.
Dans l'esprit d'appartement, surtout Canada, il y a beaucoup de logements, nous avons trop peu construit depuis 10 ans, il y a une bonne croissance des loyers partout au pays. C'est un peu plus faible aux États-Unis parce qu'on a ajouté beaucoup d'offres dans les secteurs des états du Sud.
Il y a une bonne croissance quand même dans les appartements.
Il y a une autre dynamique, mais la trajectoire est très bonne pour que les FPI puissent augmenter leurs loyers d'ici deux ans. Toute la dynamique de pouvoir, surtout dans le secteur du détail, il n'y a pas eu d'offres nouvelles depuis 10 ans, la possibilité de relever les loyers (...) ça revient au taux d'intérêt que masquer ces données fondamentales très favorables.
Nous pensons que d'ici 2026 la situation s'améliorera.
- Que dire des bureaux?
Le commerce de détail a fait son retour, les entrepôts etc mais est-ce que les gens reviennent au bureau?
- (...) Il y avait des baux de 5 à 10 ans, l'occupation est assez élevée, autour de 95. Ça a diminué selon l'immeuble, 80 à 85 %. Il y a eu beaucoup de pertes de locataires, mais c'est régional. Quand on considère l'Asie, beaucoup démarcher le bureau en Asie continue de bien se porter, surtout les immeubles peu nouveaux. En général culturellement les gens veulent être au bureau.
(...). Dans beaucoup de régions d'Europe, l'Espagne est un bon exemple, une économie en rapide croissance, une des plus dynamiques de l'Europe. L'occupation des bureaux se situe à 92, 93.1 forte demande.
(...) Les propriétaires éprouvent des difficultés à remplir leurs immeubles. Il y a quelques jeunes pousses ici et là. Les jeunes pousses de l'IA à San Francisco commencent à occuper des locaux. Cela a contribué à éliminer certaines des sous-locations au marché de San Francisco.
Également dans les FPI à la marge, il y a une amélioration dans les secteurs de la technologie. On commence à avoir une amélioration dans le secteur du bureau traditionnel. New York, Boston, (...) certains locataires occupent davantage de superficie.
Une grosse firme de consultation a pris 20 % de locaux en plus qu'auparavant. Ce n'est pas tout le monde fait ça bien sûr, mais anecdotiquement, elle il y a des segmentant que les compagnies ont besoin de superficie. Il y a encore deux ou trois ans de baux à renouveler afin que nous soyons convaincus que l'environnement de la COVID est bel et bien révolu.
Il y a des jeunes pousses. L'accélération de la location cette année, mais surtout en 2025 et 2026, on devrait commencer avoir une activité de location à bail.
Cela va se répercuter sur les statistiques. Il est encore un peu trop tôt pour le secteur des bureaux mais je suis plus optimiste que depuis deux ans.
- Que dire des infrastructures? Que pensez-vous des opportunités dans ce secteur.
- Il y a beaucoup de sous secteurs différents. Commençons par le secteur des transports, chemin de fer, compagnie de camionnage, sont plus sensibles économiquement.
Il y avait des signes prometteurs, les indicateurs, des acheteurs commençaient à remonter, mais malheureusement il y a une baisse depuis un ou deux mois. Cela crée une certaine incertitude quant à la relance de l'économie les chiffres de l'emploi salarié ont été revus à la baisse, ce qui n'aide pas.
Quand on considère les inventaires, il y a eu beaucoup d'épuisement d'inventaire depuis deux ans. Anecdotiquement, (...), Leur niveau d'occupation et de stockages sont presque plus bas que jamais. Ce qui reflète des difficultés pour les consommateurs.
Nous ne sortons pas au restaurant autant qu'auparavant et cela a vraiment changé la demande pour certaines de ces compagnies de réfrigération et de stockage.
Ça se répercute sur le transport. Il n'y a pas de cycle de reconstitution des stocks.
Il semble que les niveaux de stocks sont relativement faibles.
L'indice manufacturier devrait avoir touché le fond et remonter avec les taux d'intérêt mais il faut que ces secteurs sont affermés avant que l'immobilier et l'infrastructure ne soit de retour.
Ensuite, les oléoducs et gazoducs, on s'inquiète beaucoup, il y a cinq on pensait que le pétrole et le gaz aurait disparu et que tout serait renouvelable, mais avec les problèmes géopolitiques depuis quelques années, il y a vraiment eu besoin de pétrole et de gaz. Pendant longtemps encore. On ne peut pas développer les énergies renouvelables aussi rapidement que les gouvernements le voudraient, surtout pour des énergies relativement propres sécurité que nous produisons Canada. Les compagnies d'énergie, c'est bel et bien de dire que l'énergie verte, les compagnons cherchent à réduire autant de carbone que possible, rendre leurs énergies aussi durables que possible, (...) donc il y a un profil de demandes à long terme de favorable (...) si on ajoute le thème des centres de données artificielles depuis un an, nous ne pourrons pas répondre à la demande. Si le gaz naturel en définitive, qui crée un facteur de demandes supplémentaires.
Il y a les services publics. Il y a deux ans, c'était un secteur négligé du marché boursier.
La croissance énergie n'était pas au rendez-vous.
Un ou 2 % par année de pendant des décennies. Maintenant, on parle d'une croissance de 1 % au moins par année. J'ai vu des estimations de croissance Allanche à 4 % par an d'ici 10 ans. En grande partie les centres de données, mais également attribuable au rapatriement des usines de piles, de batteries électriques.
Les fonderies de semi-conducteurs, des installations de manufacturière, avion et autres.
Maintenant les perspectives de demande pour les services publics sont beaucoup plus positives. C'est un secteur qui passait le profil de croissance relativement faible et négligeable à un secteur très positif qui soutient, NVIDIA, Microsoft, on ne peut pas développer l'intelligence artificielle si on n'a pas l'électricité. Le taux de croissance des bénéfices semblables, les compagnies n'ont pas relevé leurs orientations spectaculairement, mais le fait que ces (...) - excellent début d'émission!
Jeff Evans et provocation sur l'immobilier l'infrastructure dans quelques instants.
Vous pouvez nous la poser en tout temps par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. À présent, actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Un autre signe de ralentissement de la demande de véhicules électriques. Ford retarde la construction d'une nouvelle usine de véhicules électriques dans le Tennessee et annule ses projets de production de SUV électrique à trois rangées de sièges, affirmant qu'elle consacrera davantage de ressources aux véhicules hybrides. Tesla qui ne produit que des véhicules électriques a constaté un ralentissement. Les consommateurs à court d'argent stimulent les ventes de la société mère de Winners et Marshalls.
TJX Companies a dépassé les attentes et revoit à la hausse ses prévisions de vente.
(...) Parlant justement de l'un de ses concurrents, TJX progresse de près de 6 %, les actions de Macy's évoluent dans l'autre direction,. Que se passe-t-il?
La chaîne a de la difficulté à attirer ses clients et affirme que même les acheteurs aisés ne dépensent plus autant qu'avant. À présent, couler sur les marchés. L'indice TSX composé est en hausse modestement de 17 points, soit 0,7 %, mais il y a du vert à l'écran.
Aux États-Unis, l'indice S&P 500, les marchés assimilent la nouvelle que le nombre d'emplois créés aux États-Unis est inférieur de 800 000 aux statistiques publiées auparavant pour les 12 mois prenants fait en mars 2024. On attend la procès-verbal de la dernière réunion de la Fed. Jeff Evans et provocation sur les actions immobiliers de service public. À quel point une grève ou un lock-out très perturbé l'activité de CPKC? Il faut s'habituer à le dire.
Canadien Pacifique Kansas City, et de CN?
- Ce seront deux semaines intéressantes.
Une dynamique différent de ce qui se passe dans le passé.
(...)Ça rend très difficile un arrêt de travail au niveau national.
Malheureusement, cette année, les deux conventions collectives seront négociées en même temps, il y a un gouvernement qui est beaucoup plus réceptif au mouvement syndical dans les cas précédents, en régénérant cela a été résolu par des lois de retour au travail.
Le gouvernement conservateur historiquement.
(...) Le gouvernement est disposé à tolérer une certaine perturbation de l'économie pour créer les conditions favorables sur le marché du travail. Ceci dit, il y a un risque élevé de perturbation. Beaucoup de ces entreprises en ont déjà parlé au marché, c'est un problème connu depuis quelques mois, c'est elle a déjà réduit ses prévisions mois de juin, CP a généralement déclaré qu'elle peut maintenir son orientation tant qu'il s'agit d'une perturbation de deux semaines.
Tant que c'est assez limité et bref, les compagnies devraient pouvoir gérer. Le risque serait-ce la perturbation durait jusqu'au mois de septembre, il pourrait y avoir une série de révision de prévisions à la baisse. Cela aura davantage d'impact pour CN que pour CP. 84 % de l'activité se situent (...) à plus long terme, la préoccupation, c'est que si cette perturbation se prolonge à plus long terme, la question qui se pose est de savoir qu'est-ce qui arrive au volume d'expédition par rail? Il y a une baisse régulière depuis 15 ans. En cas de récession, les volumes diminuent considérablement et ne reviennent pas. La préoccupation, c'est que si l'on modifie la demande des consommateurs ou des entreprises qui utilisent le rail dans une mesure excessive, elles ne reviendront peut-être pas. Espérons que la perturbation ne durera que deux semaines.
- À suivre. Nous serons à près de mais il y aura une grève ou un lock-out. Que pensez-vous du Japon? Notre spectateur loyal Jeff nous pose la question.
- Le Japon est un marché très intéressant.
Pendant l'été il y a eu beaucoup de volatilité.
Lorsqu'il y a une économie développée, la bourse du Japon a baissé de 12 % en une journée et a rebondi le lendemain. Cela devrait poser des questions. Ce genre de volatilité intervient lorsque les investisseurs ne sont pas certains il y a un changement important de politique.
(...) De facteurs dans cette baisse. À part les États-Unis, inquiétude à l'idée que la faiblesse de l'économie américaine allait engendrer une récession et comprimer l'écart des taux d'intérêt entre les deux pays.
Cela a un peu influencé les spéculateurs.
Mais la principale préoccupation c'est que la banque du Japon a fait quelque chose de très intéressant en relevant les taux.
Elle a même doublé la mise dans un environnement presque toutes les autres banques centrales réduisent les taux.
C'était une décision très curieuse qui n'était pas conforme à ce que les marchés attendaient. Je crois que c'est le risque clé. Il faut que les marchés soient à l'aise. Est-ce qu'il aura encore une erreur de la banque Japon en matière de politique? Maintenant il y a une incertitude politique quant au premier ministre. C'est une occasion de prendre du recul.
Ceci dit, beaucoup de réformes positives sont en cours Japon, les entreprises des boucles leurs participations croisées, la bourse de Tokyo se concentre sur la réforme des entreprises, faire remonter les valorisations. Globalement, la croissance des bénéfices au Japon est bonne.
(...)Cela peut engendrer une croissance très intéressante. Le Japon avec des multiples beaucoup plus. Pendant un ou deux trimestres, la banque du Japon il faut que s'abstiennent de nous faire des surprises.
Que pensez-vous d'Enbridge?
- Le contexte pour l'énergie en Amérique du Nord et les oléoducs et gazoduc s'est beaucoup amélioré par rapport à quelques années. Enbridge à l'un des réseaux les plus vastes en Amérique du Nord.
Elle transporte le tiers des volumes d'exportation de pétrole qui emprunte ces réseaux. Un réseau de distribution très important niveau résidentielle. Ce qui est important depuis un an, c'est le rendement en dividende. Il y a une Élections Canada forte capitalisation qui a 7 %, deux et demis de plus que sur les CPG et cela ne va qu'augmenter au fil du temps. Cela prendra quelques temps, au fur et à mesure que les CPG ou les fonds du marché monétaire (...) c'est le catalyseur à court terme. Il y a deux questions que nous nous posons sur Enbridge, tout d'abord sur la durabilité du dividende à long terme.
Enbridge verse dividende surtout à partir de son flux de trésorerie plus élevée que ses bénéfices. Une certaine préoccupation quant à savoir s'il y a suffisamment de provisions pour les immobilisations d'entretien. Ce n'est pas un problème cette année, mais dans 10 ans, 15 ans, il faudra ralentir la croissance des dividendes afin d'investir dans ses installations. C'est une préoccupation qui ne s'applique pas aux autres compagnies d'infrastructures intermédiaires en Amérique du Nord. Ensuite, il y a la croissance. Historiquement, (...) Il y a eu un ralentissement net depuis sept ans.
(...) Se concentre sur les champs pétrolifères au Texas, beaucoup plus de potentiel de croissance. Ce sera intéressant compte tenu du rendement en dividende, mais à long terme il faudra trouver un moyen de (...) - faites toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Jeff Evans répond à vos questions sur les valeurs immobilières d'infrastructures dans quelques instants.
Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel MoneyTalkLive@TD.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
CourtierWeb vous propose des outils.
Caitlin Cormier est formatrice principale a Placements directs TD. Caitlin, dites-nous comment CourtierWeb peut nous aider à trouver les différentes actions sur le marché.
- Bonjour, Greg.
Il y a énormément d'actions sur le marché et il est difficile pour un investisseur de s'y retrouver, surtout si vous voulez faire des recherches sur les actions individuelles. Comment trouver une action dans laquelle investir? Comment choisir une action parmi toutes celles qui sont proposées?
Voyons comment utiliser notre outil de sélection, à partir de l'ensemble des titres permet de filtrer en fonction des critères que vous recherchez. Allons sur la plate-forme. Cliquons sur recherche, puis sous la rubrique outils, sur sélection.
Il existe des outils de sélection pour les actions, les FNB, fonds communs de placement et les événements techniques.
Aujourd'hui, nous allons nous intéresser aux actions. Vous pouvez voir qu'il y a des thèmes qui sont déjà réglés qui vous permettent de rechercher une action qui correspond à un secteur de marche. Mettons que vous vous intéressez à l'intelligence artificielle, vous voulez savoir quels sont les entreprises qui sont apparentées dans le secteur de l'intelligence artificielle, vous cliquez sur ce thème et il affichera les entreprises qui pourraient bénéficier de différentes évolutions du marché de l'IA. Vous verrez le comportement du cours de l'action ainsi que le cours proprement dit. Cela vous donne certaines idées d'entreprise sur lesquels vous pouvez faire des recherches.
Vous pouvez obtenir davantage d'informations sur ces entreprises. Si vous cliquez sur un titre, par exemple, vous verrez quelques mots sur l'activité de la compagnie et la raison pour laquelle elle figure sur cette liste et son classement qui en l'occurrence est en première place.
D'après le comportement de l'action et le cours de celle-ci, cette action figure en première place sur cette liste.
Si vous voulez sélectionner un peu plus, un peu plus finement, par exemple que vous recherchez des entreprises canadiennes, et non pas américaine, vous pouvez sélectionner les bourses canadiennes.
Il y a 42 occurrences. Mon thème a disparu.
Alors, j'en reviens au thème de l'intelligence artificielle et je devrais pouvoir sélectionner le Canada.
Non, bon, tant pis.
Donc, encore une fois avec l'outil de sélection, il est possible de sélectionner le pays mais vous pouvez ajouter davantage de critères une fois que vous y êtes afin d'affiner votre recherche. Choisissons l'outil de sélection est davantage action.
Le thème de l'énergie. Si j'étais sur le Canada par exemple, la liste de 39 actions est diminuée à neuf actions je crois spécifiquement ce que je recherche dans ce thème en particulier.
- Je pense que vous avez répondu à la question au niveau du filtre applicable au Canada pour l'intelligence artificielle.
Il ne se passe pas beaucoup de choses pour l'intelligence artificielle au Canada.
Vous nous avez montré comment personnaliser un peu. Que dire si vous voulez créer votre propre outil de sélection?
- Tout à fait. Effectivement, la question a trouvé réponse. Il ne se présente rien dans le secteur de l'IA pour le Canada. Si vous avez des critères spécifiques intéressants. Investisseurs, si vous savez ce que vous recherchez, vous pouvez créer votre propre outil de sélection personnalisée, vous n'êtes pas obligés d'utiliser les thèmes que nous proposons.
Nous allons revenir à l'outil de sélection mais cette fois revenir sur sélection et on commence par une table rase. On commence par 8000 réponses et on peut cliquer sur davantage de critères.
Vous voyez qu'il existe différents choix quant à la manière de filtrer les investissements. Par exemple, si vous envisagez de différents ratios de valorisation, différentes informations financières, vous voulez vous renseigner sur les résultats par action, le volume de négociations, aux fins d'aujourd'hui, choisissons la croissance des dividendes.
Le taux de croissance des dividendes.
Est-ce que les dividendes augmentent au fil du temps? Je vais également, choisissons un secteur, une industrie spécifique également.
Je peux désélectionner tous les secteurs et ne prendre que les actions cycliques de consommation.
On me montre les différents sous secteurs que cela inclut. Je peux exclure ce qui ne m'intéressent pas dans ma recherche. Je clique sur le taux de croissance des dividendes. Si je veux un taux de croissance positif, je peux utiliser ce bouton ou saisir le taux de croissance minimum que je recherche, rendement dividendes, si j'avais au moins 4 % de rendement dividendes, de ces 6000 actions à l'origine, j'ai réduit la liste à 22.
(...) Encore une fois, ses 10 premiers sont choisis en fonction des critères que j'ai saisis, c'est-à-dire la correspondance entre les entreprises et les autres sur la liste.
Je peux voir le taux de croissance en dividendes, évolution du cours et cours de l'action. Toutes ces entreprises proposent des actions ordinaires. C'est un facteur qui est très important pour moi. Mettons que si le rendement dividendes qui m'intéresse le plus, je peux cliquer deux fois sur la rubrique et cela va me montrer un rendement dividendes plus élevé aux plus faibles. Si je veux en savoir davantage sur la compagnie, je peux cliquer pour afficher les formations et m'expliquer pourquoi il figure sur la liste. Par exemple, celle-ci est en première place sur les 22 résultats et cela me montre pourquoi c'est le cas.
Il y a beaucoup d'éléments disponibles.
Une dernière chose.
Il est loisible de sauvegarder l'écran. Si vous avez fait tout le travail de création d'un outil de sélection et que vous voulez revenir et revoir ses actions à une date future, vous pouvez saisir un nom.
Aujourd'hui, je vais mettre consommateur cyclique.
Je peux saisir une description si je veux.
Je peux saisir des alertes, par exemple s'il y a des changements dans les 10 premières entreprises, des compagnies ajoutaient ou retrancher, je peux sauvegarder pour moi-même ou avec d'autres négociateurs afin qu'ils puissent visualiser. Je clique sur sauvegarder l'outil de sélection. La prochaine fois que je j'ouvre une session, je clique sur la petite étoile et je peux revoir mon outil de sélection. Il y a donc beaucoup d'outil qui permet d'affiner vos recherches en matière d'action.
- Merci Caitlin Cormier.
- Je vous en prie.
- Caitlin Cormier est formatrice principale à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage CourtierWeb ou de balayer ce code QR pour vous rendre à la page YouTube de Placements directs TD où vous trouverez beaucoup de ressources éducatives.
Jeff Evans de Gestion de placements TD répond à vos questions sur les actions immobilières d'infrastructure. À présent, quels sont vos perspectives sur la FPI?
- (...) Il y a une forte croissance démographique depuis deux ans grâce à l'immigration. Il y a eu quelques inquiétudes, le gouvernement a pris des mesures pour ralentir l'immigration, ce qui a créé des vents contraires pour ces titres, surtout des entreprises qui comptent sur les étudiants.
Ce n'est pas le cas de la FPI Canadian Apartment Properties, mais il y a énormément de demande et encore une fois pas de nouvelles offres sur le marché.
Pas de nouvelles offres importants. Cela signifie que les loyers continuent d'augmenter sur la plupart des marchés canadiens.
Il y a une assez bonne croissance de nouveaux baux de location lorsque des nouveaux locataires arrivent.
(...) La dynamique de croissance est intéressante pour le secteur et le coût des appartements de location par rapport au logement est beaucoup moins cher de vivre dans un appartement que d'acheter un nouveau logement, ce qui augmente la dépense, la demande pour ses actifs.
La FPI CAP à travailler beaucoup depuis quelques années, dans les logements préfabriqués par exemple, se concentre sur les logements locatifs. Les immeubles plus anciens à plus forte possibilité de capital afin d'investir dans de nouveaux actifs en augmentant la qualité du portefeuille, qui a beaucoup augmenté le rendement. La qualité du portefeuille est augmentée. Il voyait en place par rapport aux loyers du marché, il y a un écart de 30 % au fil du temps, au fur et à mesure que les locataires quittent leur logement, on peut augmenter le loyer de 30 % de ces logements avant que nouveaux locataires emménagent, ce qui crée une perspective de croissance des flux de trésorerie avec une bonne visibilité. Les deux dernières années, ça été un peu plus difficile.
Certaines des FPI plus concentré sur la côte ouest, Boardwalk par exemple (...) au fur et à mesure que la croissance des loyers ralentis, cela devrait engendrer un délaissement des marchés où il n'y a pas de contrôle des loyers en faveur des marchés ou l'augmentation des loyers se fera au fil du temps.
- Un titre à surveiller.
Que pensez-vous des smart centers, le détail?
- Remonte à 2019, avant la COVID. Il y a une période d'incertitude. Amazon, commerce électronique, forte concurrence.
Les gens pensaient qu'on pourrait tout acheter depuis son téléphone cellulaire et qu'un drone viendrait les livrer sur votre porche.
Ce qui est bien dans la COVID, c'est que ça a dissipé certaines de ces mythes.
(...) Les locataires à risques ont été éliminés par la COVID, les locataires sont beaucoup plus solides maintenant et on ne construit plus de locaux de détail en Amérique du Nord. Il y a eu une absence totale de nouvelles hommes, parce que le troupeau les terrains, et si on trouve les terrains en général il vaut mieux construire un immeuble d'appartements en copropriété ou locatif, donc économiquement, la croissance de nouveaux locaux de détail n'est pas à l'ordre du jour. Il y a énormément de travail des locataires et peu d'offres des locataires (...) signaient des locaux alors qu'ils sont encore locataires, ils sont disposés à payer des loyers beaucoup plus élevés pour rester dans ses locaux dans l'avenir.
C'est donc très positif pour le détail.
Les Smart Center, un portefeuille très fort avec Walmart comme locataire principal dans la plupart des centres commerciaux, des locataires de bonne qualité. Seul désavantage, le revenu est en général plus bas compte tenu de la nature. Côté Walmart, ça va bien, mais les autres, les gens vont chez Walmart pour faire leurs courses d'alimentation moins chère, mais est-ce qu'ils magasinent au magasin environnant? C'est la question à court terme.
Pour le moment cela se passe bien, mais si ça prolonge il y aura une pression sur le consommateur.
(...) Édifier de nombreux immeubles sur des terrains vides, ce qui s'est passé malheureusement avec l'augmentation des coûts de construction et des taux d'intérêt. La promotion immobilière est beaucoup moins rentable. C'est vraiment le problème que ces compagnies ont dû gérer.
Il y a énormément de possibilités de perspectives de promotion immobilière au fur et à mesure que les taux d'intérêt diminuent et que les taux de location augmentent. C'est positif à terme il faudra voir davantage de certitude macro-économique avant de pouvoir parier sur cette entreprise?
- Excellent aperçu. Jeff Evans répond à vos questions dans quelques instants.
Faites toujours vos propres recherches avant le premier indice de placement. Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Le deuxième trimestre a été solide pour les producteurs d'ores qui ont bénéficié du cours de l'or qui a atteint des sommets historiques. Anthony Okolie commente la récapitulation de TD Cowen sur le résultat les perspectives.
- 10 des 14 entreprises ont dépassé les attentes de bénéfices à cause d'une production saisonnière supérieure aux prévisions.
Environ 3 % au-delà des attentes.
Quand on considère les indicateurs clés, les marges brutes, au-delà de la moyenne sur cinq ans de 52 %. Bien sûr, le cours de l'or atteint des sommets inégalés pendant le trimestre, avec en moyenne juste un peu plus de 2300 $ l'once. Bien sûr, il y a une faiblesse récemment dans les domaines de la croissance aux États-Unis, ce qui a fait augmenter les attentes à l'égard d'une coupure de taux en septembre nous savons que les coupure de taux sont favorables au cours de l'or.
Commençons par les coûts au comptant. Les producteurs ont dû acquitter des coûts au comptant supérieurs pendant le trimestre.
Il s'agit d'éléments reliés au coût d'extraction, redevance, taxe, salaire, mais ce sont surtout les producteurs à grandes capitalisations qui ont vu une augmentation. Les spécifiques à chaque entreprise, les difficultés connues pendant le trimestre. La bonne nouvelle, c'est que c'était plus favorable pour les entrepreneurs à moyenne capitalisation.
Quant au concert santé des autres indicateurs clés, le flux de trésorerie disponible par exemple, les producteurs d'or dans notre univers de couverture of une augmentation de 22 % de leur flux de trésorerie disponible trimestre sur l'autre. C'est toujours inférieur au niveau de 2020, parce que beaucoup de ces entreprises aménagent des projets d'expansion et de croissance.
À court terme, TD Cowen pronostique des perspectives très positifs. Les cours de l'or dépassent nos pronostics.
C'est un record.
On voit des facteur favorable les banques central utilise l'or de plus en plus pour diversifier leurs réserves de devises.
(...) Les entreprises sont bien positionnées pour faire augmenter leurs marges en 2024 jusqu'à la fin 2024, grâce à la hausse des cours de l'or et l'affaiblissement des pressions inflationnistes.
- Très bien. Pour ces aperçus. Que dire des risques? Il y a des risques techniques au niveau de ses projets miniers. Il y a des risques liés à la délivrance des permis, risques politiques, de prévisions financières ainsi que les risques environnementaux et sociaux. Merci Anthony Okolie. À présent, un coup d'œil sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs activités proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser les actions qui bougent sur le marché. Voici les indice TSX 60. Que se passe-t-il aujourd'hui?
Un peu de vert à l'écran, très modeste, dans l'indice en général, on voit la Manuvie et la Sun Life qui progresse quelque peu Kinross est en légère baisse dans le secteur minier. La forte révision à la baisse du nombre d'emplois créés pendant un aux États-Unis, jusqu'en mars 2024, engendre une certaine perplexité sur le marché. Le procès-verbal de la Fed paraît à 14 heures. Target progresse de près de 4 %. Jesse Evans répond à vos questions.
- (...) Dans les immeubles de catégorie A, dans les quartiers d'affaires centraux, à proximité des transports en commun, en général le taux d'occupation, d'inoccupation de deux à 3 %. Ce sont les immeubles de catégorie B ou C ou le taux d'occupation a beaucoup diminué, dans certains cas de 30 à 40 %, une grosse difficulté pour les propriétaires de ramener ses locataires.
Il y a beaucoup de propriétaires qui offrent des encouragements très favorables, loyers gratuits par exemple, ou prime, qui ont atteint presque des records.
En vue de ramener les locataires.
Malheureusement, dans certains cas, ça ne marche pas.
Donnez plusieurs mois ou un an de loyer gratuit, ça ne marche pas. Il faut que les propriétaires soient créatifs. Dans les catégories B et C, les caractéristiques ESG ou l'énergie verte, beaucoup ne sont pas échos énergiques et non pas les installations ou les aménagements qui recherchent les locataires. Sélectivement, certains propriétaires cherchent à repositionner ces immeubles plus anciens et les moderniser, les repositionner comme actifs de catégorie A. Plusieurs entreprises le font. À Londres, au Royaume-Uni, pratiquement tous les locaux commerciaux doivent être classés en fonction de leur catégorie énergétique.
Certaines compagnies se spécialisent, il faut qu'il y ait l'emplacement, l'accès aux transports en commun, dans la transition. En nettoyant les enveloppes de l'immeuble.
Pour les rendre plus intéressants. Il y a un cas très intéressant. HSBC quitte l'une de ses tours à la fin de l'an prochain. Il y a eu des idées très intéressantes en ligne pour repenser cet immeuble.
On parle littéralement de retirer les fenêtres et les dalles de plancher dans certains immeubles pour créer des locaux extérieurs. Il y aura un parcours au 30e étage. Je ne sais pas s'il sera fait, mais ce sont des idées créatives, changer l'architecture même de certains immeubles.
Ça ne marche pas dans tous les cas, tout cela est basé sur les considérations économiques. Il faut qu'il y ait une densité suffisante et dans bien des cas les catégories B et C, taux d'occupation, le problème du taux d'occupation est réglé par une conversion d'usage.
Au Canada, il y a un processus de modification du zonage, ont démoli un immeuble de bureaux pour édifier une tour d'appartement en copropriété. Ces actifs sont repositionnés au fil du temps.
- Nous n'avons plus de temps, avant de nous séparer, quelques réflexions. Nous avons vu que le secteur de l'immobilier de l'infrastructure qui était mal-aimée, qu'est-ce qui attend ce secteur?
- Il faut se rappeler que l'immobilier et l'infrastructure figure parmi les secteurs les moins corrélées à l'ensemble des indices.
À part les périodes de hausse rapide des taux d'intérêt, ce sont des secteurs stables. Encore une fois, au fur et à mesure que les taux d'intérêt diminuent, pour maintenir le rendement et le revenu sans devoir miser sur les actions habitat élevées. Il s'agit d'augmenter les revenus tout en maintenant ces niveaux pour les investisseurs.
- Merci Jeff Evans. J'espère que nous nous reverrons bientôt. Jeff Evans de Gestion de placements TD. Comme toujours, faites vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Si nous n'avons pas eu le temps de répondre à votre question aujourd'hui, nous nous efforcerons de l'inclure dans les prochaines émissions. Demain, Scott Colbourne de Gestion de placements TD sera notre invité et nous dira ce qu'il attend du discours du président de la Fed Jerome Powell à Jackson Hole et répondra à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à demain!
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, Jeff Evans de Gestion de placements TD nous dira si des jours meilleurs s'annoncent pour les actions de l'immobilier et de l'infrastructure avec la baisse des taux. Anthony Okolie examinera les principaux résultats de la saison des bénéfices dans le secteur de l'or.
Nous poursuivons la découverte CourtierWeb. Caitlin Cormier nous montrera comment sélectionner différents types d'actions. Posez-nous vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'oeil sur les marchés.
L'indice TSX composé progresse modestement de 36 points. Parmi les actions les plus négociées, Kinross est en baisse, modestement, à 12,61 $, l'action recule de un et demi pour cent.
Il y a une certaine évolution non seulement de cette action depuis un an mais dans le cours du métal sous-jacent, l'or, qui a pulvérisé les records. Le cours du brut a beaucoup évolué cette semaine. Il se situe autour de 73 $ le baril. Suncor à 55,19 $ est en hausse depuis plus d'un demi pour cent. Aux États-Unis, nous surveillons de très près les données économiques ont paru depuis deux ans pour déterminer quand les banques centrales pourraient commencer à réduire les coûts d'emprunt qu'elles avaient rehaussé afin de maîtriser l'inflation. La résilience de l'économie américaine était à l'ordre du jour.
Or, l'institut statistique américaine nous indique que l'économie américaine aurait créé 25 000 emplois de moins que signalé à l'origine pour la période de 12 mois prenants fin en mars 2024. Presque 30 % de moins que la croissance annoncée.
Malgré tout, 2 millions d'emplois ont été créés pendant cette période. Les marchés semblent chercher à analyser cette information.
Le S&P 500 abaissé puis remonté, il se situe essentiellement à un niveau inchangé.
Le procès-verbal de la Fed paraît cet après-midi.
Lesdites attaques progressent un peu plus que l'ensemble du marché.
Target, l'action progresse de 12,5 pour cent près des résultats supérieurs aux attentes.
Colgate voyait ses ventes décliner, il s'agit d'un revirement, les investisseurs s'emballent. Bien sûr, les grandes valeurs technologiques en la faveur des investisseurs depuis quelque temps, mais la tendance à la baisse des taux d'intérêt pourrait créer d'autres opportunités pour certains secteurs comme l'immobilier et l'infrastructure. Jeff Evans de Gestion de placements TD nous rejoint pour discuter.
Bonjour, Jeff. Bienvenue à cette émission.
- C'est la première fois que je suis ici.
Merci de m'avoir invité.
- Nous faisons toujours cela avec de nouveaux invités, présentez-vous au spectateur.
- J'ai passé 20 ans aux recherches quantitatives chez plusieurs firmes canadiennes. Je suis rentré chez Gestion de placements TD pour développer la recherche empirique et les actions. Très généralement, ce que nous faisons, nous travaillons en étroite collaboration avec nos gestionnaires de portefeuille d'actions et nos analystes fondamentales pour tirer des conclusions de l'abondance des données qui paraient sur les entreprises individuelles.
(...) Notre équipe se concentre, un groupe de cinq personnes qui se concentrent sur cela. Nous cherchons à utiliser des méthodes statistiques et mathématiques pour déterminer quels sont les indicateurs les plus importants, sur quoi nos analyses devraient concentrer leur attention, quels sont les facteurs qui créent un rendement supérieur pour certaines entreprises.
Il s'agit de retrouver les meilleures façons de répartir le temps. Les entreprises qui ont les meilleures chances afin de donner à nos analystes une avance au fil du temps. Je suis également gestionnaire de portefeuille pour le produit des fonds structurels immobiliers mondiaux. Nous utilisons les mêmes techniques, recherche empirique, sélection quantitative, qualitative pour trouver les (...) - c'est passionnant. Commençons à parler de certaines de ces domaines auquel vous vous intéressez.
L'immobilier et l'infrastructure, les taux d'intérêt sont en baisse, parfois ces secteurs sont mal-aimés lorsque les taux sont élevés. Quelles sont les opportunités potentielles?
- , Oui, (...) pourquoi c'est important pour ces secteurs? Car il s'agit des secteurs les plus endettés du marché boursier. Également, certains des secteurs sont les plus orientées vers les dividendes. Du point de vue de l'investisseur, car les taux d'intérêt (...) donc ces entreprises ont continué de bien fonctionner depuis quelque temps niveau de l'exploitation mais ils sont très endettés et refinancent leurs dettes à des taux plus élevés. Il est difficile d'augmenter les bénéfices avec les pressions qui s'exercent.
Avec la réduction des taux d'intérêt, il y a eu de pratiquée par la Banque du Canada, on n'en aura une aux États-Unis en septembre, on l'espère, et on aura des mises à jour à la réunion de Jackson Hole cette semaine.
L'effet de ce levier s'inverse, les CPG continuent de diminuer dans le rapport. Ce sera un processus progressif, mais au fur et à mesure que les investisseurs doivent remplacer ce flux de trésorerie, (...) ces facteurs défavorables deviennent facteurs favorables. L'environnement est beaucoup plus favorable.
- Prenons ces deux secteurs à la fois.
Parlons des perspectives pour l'immobilier. Il s'agit d'un secteur très vaste.
- Oui, beaucoup de sous secteurs différents, mais il s'agit de savoir à quel point les immeubles sont pleins, le taux d'inoccupation, les loyers augmentent ville et le financement de ces entreprises. Je pense que les financements s'améliorent, nous en avons parlé. On n'en revient à l'occupation et au loyer. Dans les grands secteurs, que ce soient les appartements, les logements unis familiaux, les tours de cellulaire, les centres de données, le taux d'occupation est très élevé.
Il y a peut-être un peu de glissement de temps à autre, mais essentiellement presque au maximum. Ce qui est encore plus important, c'est qu'à cause de l'inflation qu'il y a eue dans les coûts de construction depuis deux ans, l'augmentation des coûts de financement, personne bâtie.
La rentabilité n'est pas au rendez-vous.
Il y a quelques nouveaux immeubles qui ont été mises en service en 2024, cela va ralentir en 2025.
Il y a une forte occupation aujourd'hui qui, sauf s'il y a une récession, devrait de plus en plus serrer. Les données fondamentales devraient être très porteuses en 2026. C'est important pour les propriétaires, car si un immeuble est plein, on peut exiger des loyers plus élevés et les faire répercutaient sur les locataires.
On le voit déjà aujourd'hui.
Dans l'esprit d'appartement, surtout Canada, il y a beaucoup de logements, nous avons trop peu construit depuis 10 ans, il y a une bonne croissance des loyers partout au pays. C'est un peu plus faible aux États-Unis parce qu'on a ajouté beaucoup d'offres dans les secteurs des états du Sud.
Il y a une bonne croissance quand même dans les appartements.
Il y a une autre dynamique, mais la trajectoire est très bonne pour que les FPI puissent augmenter leurs loyers d'ici deux ans. Toute la dynamique de pouvoir, surtout dans le secteur du détail, il n'y a pas eu d'offres nouvelles depuis 10 ans, la possibilité de relever les loyers (...) ça revient au taux d'intérêt que masquer ces données fondamentales très favorables.
Nous pensons que d'ici 2026 la situation s'améliorera.
- Que dire des bureaux?
Le commerce de détail a fait son retour, les entrepôts etc mais est-ce que les gens reviennent au bureau?
- (...) Il y avait des baux de 5 à 10 ans, l'occupation est assez élevée, autour de 95. Ça a diminué selon l'immeuble, 80 à 85 %. Il y a eu beaucoup de pertes de locataires, mais c'est régional. Quand on considère l'Asie, beaucoup démarcher le bureau en Asie continue de bien se porter, surtout les immeubles peu nouveaux. En général culturellement les gens veulent être au bureau.
(...). Dans beaucoup de régions d'Europe, l'Espagne est un bon exemple, une économie en rapide croissance, une des plus dynamiques de l'Europe. L'occupation des bureaux se situe à 92, 93.1 forte demande.
(...) Les propriétaires éprouvent des difficultés à remplir leurs immeubles. Il y a quelques jeunes pousses ici et là. Les jeunes pousses de l'IA à San Francisco commencent à occuper des locaux. Cela a contribué à éliminer certaines des sous-locations au marché de San Francisco.
Également dans les FPI à la marge, il y a une amélioration dans les secteurs de la technologie. On commence à avoir une amélioration dans le secteur du bureau traditionnel. New York, Boston, (...) certains locataires occupent davantage de superficie.
Une grosse firme de consultation a pris 20 % de locaux en plus qu'auparavant. Ce n'est pas tout le monde fait ça bien sûr, mais anecdotiquement, elle il y a des segmentant que les compagnies ont besoin de superficie. Il y a encore deux ou trois ans de baux à renouveler afin que nous soyons convaincus que l'environnement de la COVID est bel et bien révolu.
Il y a des jeunes pousses. L'accélération de la location cette année, mais surtout en 2025 et 2026, on devrait commencer avoir une activité de location à bail.
Cela va se répercuter sur les statistiques. Il est encore un peu trop tôt pour le secteur des bureaux mais je suis plus optimiste que depuis deux ans.
- Que dire des infrastructures? Que pensez-vous des opportunités dans ce secteur.
- Il y a beaucoup de sous secteurs différents. Commençons par le secteur des transports, chemin de fer, compagnie de camionnage, sont plus sensibles économiquement.
Il y avait des signes prometteurs, les indicateurs, des acheteurs commençaient à remonter, mais malheureusement il y a une baisse depuis un ou deux mois. Cela crée une certaine incertitude quant à la relance de l'économie les chiffres de l'emploi salarié ont été revus à la baisse, ce qui n'aide pas.
Quand on considère les inventaires, il y a eu beaucoup d'épuisement d'inventaire depuis deux ans. Anecdotiquement, (...), Leur niveau d'occupation et de stockages sont presque plus bas que jamais. Ce qui reflète des difficultés pour les consommateurs.
Nous ne sortons pas au restaurant autant qu'auparavant et cela a vraiment changé la demande pour certaines de ces compagnies de réfrigération et de stockage.
Ça se répercute sur le transport. Il n'y a pas de cycle de reconstitution des stocks.
Il semble que les niveaux de stocks sont relativement faibles.
L'indice manufacturier devrait avoir touché le fond et remonter avec les taux d'intérêt mais il faut que ces secteurs sont affermés avant que l'immobilier et l'infrastructure ne soit de retour.
Ensuite, les oléoducs et gazoducs, on s'inquiète beaucoup, il y a cinq on pensait que le pétrole et le gaz aurait disparu et que tout serait renouvelable, mais avec les problèmes géopolitiques depuis quelques années, il y a vraiment eu besoin de pétrole et de gaz. Pendant longtemps encore. On ne peut pas développer les énergies renouvelables aussi rapidement que les gouvernements le voudraient, surtout pour des énergies relativement propres sécurité que nous produisons Canada. Les compagnies d'énergie, c'est bel et bien de dire que l'énergie verte, les compagnons cherchent à réduire autant de carbone que possible, rendre leurs énergies aussi durables que possible, (...) donc il y a un profil de demandes à long terme de favorable (...) si on ajoute le thème des centres de données artificielles depuis un an, nous ne pourrons pas répondre à la demande. Si le gaz naturel en définitive, qui crée un facteur de demandes supplémentaires.
Il y a les services publics. Il y a deux ans, c'était un secteur négligé du marché boursier.
La croissance énergie n'était pas au rendez-vous.
Un ou 2 % par année de pendant des décennies. Maintenant, on parle d'une croissance de 1 % au moins par année. J'ai vu des estimations de croissance Allanche à 4 % par an d'ici 10 ans. En grande partie les centres de données, mais également attribuable au rapatriement des usines de piles, de batteries électriques.
Les fonderies de semi-conducteurs, des installations de manufacturière, avion et autres.
Maintenant les perspectives de demande pour les services publics sont beaucoup plus positives. C'est un secteur qui passait le profil de croissance relativement faible et négligeable à un secteur très positif qui soutient, NVIDIA, Microsoft, on ne peut pas développer l'intelligence artificielle si on n'a pas l'électricité. Le taux de croissance des bénéfices semblables, les compagnies n'ont pas relevé leurs orientations spectaculairement, mais le fait que ces (...) - excellent début d'émission!
Jeff Evans et provocation sur l'immobilier l'infrastructure dans quelques instants.
Vous pouvez nous la poser en tout temps par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. À présent, actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Un autre signe de ralentissement de la demande de véhicules électriques. Ford retarde la construction d'une nouvelle usine de véhicules électriques dans le Tennessee et annule ses projets de production de SUV électrique à trois rangées de sièges, affirmant qu'elle consacrera davantage de ressources aux véhicules hybrides. Tesla qui ne produit que des véhicules électriques a constaté un ralentissement. Les consommateurs à court d'argent stimulent les ventes de la société mère de Winners et Marshalls.
TJX Companies a dépassé les attentes et revoit à la hausse ses prévisions de vente.
(...) Parlant justement de l'un de ses concurrents, TJX progresse de près de 6 %, les actions de Macy's évoluent dans l'autre direction,. Que se passe-t-il?
La chaîne a de la difficulté à attirer ses clients et affirme que même les acheteurs aisés ne dépensent plus autant qu'avant. À présent, couler sur les marchés. L'indice TSX composé est en hausse modestement de 17 points, soit 0,7 %, mais il y a du vert à l'écran.
Aux États-Unis, l'indice S&P 500, les marchés assimilent la nouvelle que le nombre d'emplois créés aux États-Unis est inférieur de 800 000 aux statistiques publiées auparavant pour les 12 mois prenants fait en mars 2024. On attend la procès-verbal de la dernière réunion de la Fed. Jeff Evans et provocation sur les actions immobiliers de service public. À quel point une grève ou un lock-out très perturbé l'activité de CPKC? Il faut s'habituer à le dire.
Canadien Pacifique Kansas City, et de CN?
- Ce seront deux semaines intéressantes.
Une dynamique différent de ce qui se passe dans le passé.
(...)Ça rend très difficile un arrêt de travail au niveau national.
Malheureusement, cette année, les deux conventions collectives seront négociées en même temps, il y a un gouvernement qui est beaucoup plus réceptif au mouvement syndical dans les cas précédents, en régénérant cela a été résolu par des lois de retour au travail.
Le gouvernement conservateur historiquement.
(...) Le gouvernement est disposé à tolérer une certaine perturbation de l'économie pour créer les conditions favorables sur le marché du travail. Ceci dit, il y a un risque élevé de perturbation. Beaucoup de ces entreprises en ont déjà parlé au marché, c'est un problème connu depuis quelques mois, c'est elle a déjà réduit ses prévisions mois de juin, CP a généralement déclaré qu'elle peut maintenir son orientation tant qu'il s'agit d'une perturbation de deux semaines.
Tant que c'est assez limité et bref, les compagnies devraient pouvoir gérer. Le risque serait-ce la perturbation durait jusqu'au mois de septembre, il pourrait y avoir une série de révision de prévisions à la baisse. Cela aura davantage d'impact pour CN que pour CP. 84 % de l'activité se situent (...) à plus long terme, la préoccupation, c'est que si cette perturbation se prolonge à plus long terme, la question qui se pose est de savoir qu'est-ce qui arrive au volume d'expédition par rail? Il y a une baisse régulière depuis 15 ans. En cas de récession, les volumes diminuent considérablement et ne reviennent pas. La préoccupation, c'est que si l'on modifie la demande des consommateurs ou des entreprises qui utilisent le rail dans une mesure excessive, elles ne reviendront peut-être pas. Espérons que la perturbation ne durera que deux semaines.
- À suivre. Nous serons à près de mais il y aura une grève ou un lock-out. Que pensez-vous du Japon? Notre spectateur loyal Jeff nous pose la question.
- Le Japon est un marché très intéressant.
Pendant l'été il y a eu beaucoup de volatilité.
Lorsqu'il y a une économie développée, la bourse du Japon a baissé de 12 % en une journée et a rebondi le lendemain. Cela devrait poser des questions. Ce genre de volatilité intervient lorsque les investisseurs ne sont pas certains il y a un changement important de politique.
(...) De facteurs dans cette baisse. À part les États-Unis, inquiétude à l'idée que la faiblesse de l'économie américaine allait engendrer une récession et comprimer l'écart des taux d'intérêt entre les deux pays.
Cela a un peu influencé les spéculateurs.
Mais la principale préoccupation c'est que la banque du Japon a fait quelque chose de très intéressant en relevant les taux.
Elle a même doublé la mise dans un environnement presque toutes les autres banques centrales réduisent les taux.
C'était une décision très curieuse qui n'était pas conforme à ce que les marchés attendaient. Je crois que c'est le risque clé. Il faut que les marchés soient à l'aise. Est-ce qu'il aura encore une erreur de la banque Japon en matière de politique? Maintenant il y a une incertitude politique quant au premier ministre. C'est une occasion de prendre du recul.
Ceci dit, beaucoup de réformes positives sont en cours Japon, les entreprises des boucles leurs participations croisées, la bourse de Tokyo se concentre sur la réforme des entreprises, faire remonter les valorisations. Globalement, la croissance des bénéfices au Japon est bonne.
(...)Cela peut engendrer une croissance très intéressante. Le Japon avec des multiples beaucoup plus. Pendant un ou deux trimestres, la banque du Japon il faut que s'abstiennent de nous faire des surprises.
Que pensez-vous d'Enbridge?
- Le contexte pour l'énergie en Amérique du Nord et les oléoducs et gazoduc s'est beaucoup amélioré par rapport à quelques années. Enbridge à l'un des réseaux les plus vastes en Amérique du Nord.
Elle transporte le tiers des volumes d'exportation de pétrole qui emprunte ces réseaux. Un réseau de distribution très important niveau résidentielle. Ce qui est important depuis un an, c'est le rendement en dividende. Il y a une Élections Canada forte capitalisation qui a 7 %, deux et demis de plus que sur les CPG et cela ne va qu'augmenter au fil du temps. Cela prendra quelques temps, au fur et à mesure que les CPG ou les fonds du marché monétaire (...) c'est le catalyseur à court terme. Il y a deux questions que nous nous posons sur Enbridge, tout d'abord sur la durabilité du dividende à long terme.
Enbridge verse dividende surtout à partir de son flux de trésorerie plus élevée que ses bénéfices. Une certaine préoccupation quant à savoir s'il y a suffisamment de provisions pour les immobilisations d'entretien. Ce n'est pas un problème cette année, mais dans 10 ans, 15 ans, il faudra ralentir la croissance des dividendes afin d'investir dans ses installations. C'est une préoccupation qui ne s'applique pas aux autres compagnies d'infrastructures intermédiaires en Amérique du Nord. Ensuite, il y a la croissance. Historiquement, (...) Il y a eu un ralentissement net depuis sept ans.
(...) Se concentre sur les champs pétrolifères au Texas, beaucoup plus de potentiel de croissance. Ce sera intéressant compte tenu du rendement en dividende, mais à long terme il faudra trouver un moyen de (...) - faites toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Jeff Evans répond à vos questions sur les valeurs immobilières d'infrastructures dans quelques instants.
Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel MoneyTalkLive@TD.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
CourtierWeb vous propose des outils.
Caitlin Cormier est formatrice principale a Placements directs TD. Caitlin, dites-nous comment CourtierWeb peut nous aider à trouver les différentes actions sur le marché.
- Bonjour, Greg.
Il y a énormément d'actions sur le marché et il est difficile pour un investisseur de s'y retrouver, surtout si vous voulez faire des recherches sur les actions individuelles. Comment trouver une action dans laquelle investir? Comment choisir une action parmi toutes celles qui sont proposées?
Voyons comment utiliser notre outil de sélection, à partir de l'ensemble des titres permet de filtrer en fonction des critères que vous recherchez. Allons sur la plate-forme. Cliquons sur recherche, puis sous la rubrique outils, sur sélection.
Il existe des outils de sélection pour les actions, les FNB, fonds communs de placement et les événements techniques.
Aujourd'hui, nous allons nous intéresser aux actions. Vous pouvez voir qu'il y a des thèmes qui sont déjà réglés qui vous permettent de rechercher une action qui correspond à un secteur de marche. Mettons que vous vous intéressez à l'intelligence artificielle, vous voulez savoir quels sont les entreprises qui sont apparentées dans le secteur de l'intelligence artificielle, vous cliquez sur ce thème et il affichera les entreprises qui pourraient bénéficier de différentes évolutions du marché de l'IA. Vous verrez le comportement du cours de l'action ainsi que le cours proprement dit. Cela vous donne certaines idées d'entreprise sur lesquels vous pouvez faire des recherches.
Vous pouvez obtenir davantage d'informations sur ces entreprises. Si vous cliquez sur un titre, par exemple, vous verrez quelques mots sur l'activité de la compagnie et la raison pour laquelle elle figure sur cette liste et son classement qui en l'occurrence est en première place.
D'après le comportement de l'action et le cours de celle-ci, cette action figure en première place sur cette liste.
Si vous voulez sélectionner un peu plus, un peu plus finement, par exemple que vous recherchez des entreprises canadiennes, et non pas américaine, vous pouvez sélectionner les bourses canadiennes.
Il y a 42 occurrences. Mon thème a disparu.
Alors, j'en reviens au thème de l'intelligence artificielle et je devrais pouvoir sélectionner le Canada.
Non, bon, tant pis.
Donc, encore une fois avec l'outil de sélection, il est possible de sélectionner le pays mais vous pouvez ajouter davantage de critères une fois que vous y êtes afin d'affiner votre recherche. Choisissons l'outil de sélection est davantage action.
Le thème de l'énergie. Si j'étais sur le Canada par exemple, la liste de 39 actions est diminuée à neuf actions je crois spécifiquement ce que je recherche dans ce thème en particulier.
- Je pense que vous avez répondu à la question au niveau du filtre applicable au Canada pour l'intelligence artificielle.
Il ne se passe pas beaucoup de choses pour l'intelligence artificielle au Canada.
Vous nous avez montré comment personnaliser un peu. Que dire si vous voulez créer votre propre outil de sélection?
- Tout à fait. Effectivement, la question a trouvé réponse. Il ne se présente rien dans le secteur de l'IA pour le Canada. Si vous avez des critères spécifiques intéressants. Investisseurs, si vous savez ce que vous recherchez, vous pouvez créer votre propre outil de sélection personnalisée, vous n'êtes pas obligés d'utiliser les thèmes que nous proposons.
Nous allons revenir à l'outil de sélection mais cette fois revenir sur sélection et on commence par une table rase. On commence par 8000 réponses et on peut cliquer sur davantage de critères.
Vous voyez qu'il existe différents choix quant à la manière de filtrer les investissements. Par exemple, si vous envisagez de différents ratios de valorisation, différentes informations financières, vous voulez vous renseigner sur les résultats par action, le volume de négociations, aux fins d'aujourd'hui, choisissons la croissance des dividendes.
Le taux de croissance des dividendes.
Est-ce que les dividendes augmentent au fil du temps? Je vais également, choisissons un secteur, une industrie spécifique également.
Je peux désélectionner tous les secteurs et ne prendre que les actions cycliques de consommation.
On me montre les différents sous secteurs que cela inclut. Je peux exclure ce qui ne m'intéressent pas dans ma recherche. Je clique sur le taux de croissance des dividendes. Si je veux un taux de croissance positif, je peux utiliser ce bouton ou saisir le taux de croissance minimum que je recherche, rendement dividendes, si j'avais au moins 4 % de rendement dividendes, de ces 6000 actions à l'origine, j'ai réduit la liste à 22.
(...) Encore une fois, ses 10 premiers sont choisis en fonction des critères que j'ai saisis, c'est-à-dire la correspondance entre les entreprises et les autres sur la liste.
Je peux voir le taux de croissance en dividendes, évolution du cours et cours de l'action. Toutes ces entreprises proposent des actions ordinaires. C'est un facteur qui est très important pour moi. Mettons que si le rendement dividendes qui m'intéresse le plus, je peux cliquer deux fois sur la rubrique et cela va me montrer un rendement dividendes plus élevé aux plus faibles. Si je veux en savoir davantage sur la compagnie, je peux cliquer pour afficher les formations et m'expliquer pourquoi il figure sur la liste. Par exemple, celle-ci est en première place sur les 22 résultats et cela me montre pourquoi c'est le cas.
Il y a beaucoup d'éléments disponibles.
Une dernière chose.
Il est loisible de sauvegarder l'écran. Si vous avez fait tout le travail de création d'un outil de sélection et que vous voulez revenir et revoir ses actions à une date future, vous pouvez saisir un nom.
Aujourd'hui, je vais mettre consommateur cyclique.
Je peux saisir une description si je veux.
Je peux saisir des alertes, par exemple s'il y a des changements dans les 10 premières entreprises, des compagnies ajoutaient ou retrancher, je peux sauvegarder pour moi-même ou avec d'autres négociateurs afin qu'ils puissent visualiser. Je clique sur sauvegarder l'outil de sélection. La prochaine fois que je j'ouvre une session, je clique sur la petite étoile et je peux revoir mon outil de sélection. Il y a donc beaucoup d'outil qui permet d'affiner vos recherches en matière d'action.
- Merci Caitlin Cormier.
- Je vous en prie.
- Caitlin Cormier est formatrice principale à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage CourtierWeb ou de balayer ce code QR pour vous rendre à la page YouTube de Placements directs TD où vous trouverez beaucoup de ressources éducatives.
Jeff Evans de Gestion de placements TD répond à vos questions sur les actions immobilières d'infrastructure. À présent, quels sont vos perspectives sur la FPI?
- (...) Il y a une forte croissance démographique depuis deux ans grâce à l'immigration. Il y a eu quelques inquiétudes, le gouvernement a pris des mesures pour ralentir l'immigration, ce qui a créé des vents contraires pour ces titres, surtout des entreprises qui comptent sur les étudiants.
Ce n'est pas le cas de la FPI Canadian Apartment Properties, mais il y a énormément de demande et encore une fois pas de nouvelles offres sur le marché.
Pas de nouvelles offres importants. Cela signifie que les loyers continuent d'augmenter sur la plupart des marchés canadiens.
Il y a une assez bonne croissance de nouveaux baux de location lorsque des nouveaux locataires arrivent.
(...) La dynamique de croissance est intéressante pour le secteur et le coût des appartements de location par rapport au logement est beaucoup moins cher de vivre dans un appartement que d'acheter un nouveau logement, ce qui augmente la dépense, la demande pour ses actifs.
La FPI CAP à travailler beaucoup depuis quelques années, dans les logements préfabriqués par exemple, se concentre sur les logements locatifs. Les immeubles plus anciens à plus forte possibilité de capital afin d'investir dans de nouveaux actifs en augmentant la qualité du portefeuille, qui a beaucoup augmenté le rendement. La qualité du portefeuille est augmentée. Il voyait en place par rapport aux loyers du marché, il y a un écart de 30 % au fil du temps, au fur et à mesure que les locataires quittent leur logement, on peut augmenter le loyer de 30 % de ces logements avant que nouveaux locataires emménagent, ce qui crée une perspective de croissance des flux de trésorerie avec une bonne visibilité. Les deux dernières années, ça été un peu plus difficile.
Certaines des FPI plus concentré sur la côte ouest, Boardwalk par exemple (...) au fur et à mesure que la croissance des loyers ralentis, cela devrait engendrer un délaissement des marchés où il n'y a pas de contrôle des loyers en faveur des marchés ou l'augmentation des loyers se fera au fil du temps.
- Un titre à surveiller.
Que pensez-vous des smart centers, le détail?
- Remonte à 2019, avant la COVID. Il y a une période d'incertitude. Amazon, commerce électronique, forte concurrence.
Les gens pensaient qu'on pourrait tout acheter depuis son téléphone cellulaire et qu'un drone viendrait les livrer sur votre porche.
Ce qui est bien dans la COVID, c'est que ça a dissipé certaines de ces mythes.
(...) Les locataires à risques ont été éliminés par la COVID, les locataires sont beaucoup plus solides maintenant et on ne construit plus de locaux de détail en Amérique du Nord. Il y a eu une absence totale de nouvelles hommes, parce que le troupeau les terrains, et si on trouve les terrains en général il vaut mieux construire un immeuble d'appartements en copropriété ou locatif, donc économiquement, la croissance de nouveaux locaux de détail n'est pas à l'ordre du jour. Il y a énormément de travail des locataires et peu d'offres des locataires (...) signaient des locaux alors qu'ils sont encore locataires, ils sont disposés à payer des loyers beaucoup plus élevés pour rester dans ses locaux dans l'avenir.
C'est donc très positif pour le détail.
Les Smart Center, un portefeuille très fort avec Walmart comme locataire principal dans la plupart des centres commerciaux, des locataires de bonne qualité. Seul désavantage, le revenu est en général plus bas compte tenu de la nature. Côté Walmart, ça va bien, mais les autres, les gens vont chez Walmart pour faire leurs courses d'alimentation moins chère, mais est-ce qu'ils magasinent au magasin environnant? C'est la question à court terme.
Pour le moment cela se passe bien, mais si ça prolonge il y aura une pression sur le consommateur.
(...) Édifier de nombreux immeubles sur des terrains vides, ce qui s'est passé malheureusement avec l'augmentation des coûts de construction et des taux d'intérêt. La promotion immobilière est beaucoup moins rentable. C'est vraiment le problème que ces compagnies ont dû gérer.
Il y a énormément de possibilités de perspectives de promotion immobilière au fur et à mesure que les taux d'intérêt diminuent et que les taux de location augmentent. C'est positif à terme il faudra voir davantage de certitude macro-économique avant de pouvoir parier sur cette entreprise?
- Excellent aperçu. Jeff Evans répond à vos questions dans quelques instants.
Faites toujours vos propres recherches avant le premier indice de placement. Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Le deuxième trimestre a été solide pour les producteurs d'ores qui ont bénéficié du cours de l'or qui a atteint des sommets historiques. Anthony Okolie commente la récapitulation de TD Cowen sur le résultat les perspectives.
- 10 des 14 entreprises ont dépassé les attentes de bénéfices à cause d'une production saisonnière supérieure aux prévisions.
Environ 3 % au-delà des attentes.
Quand on considère les indicateurs clés, les marges brutes, au-delà de la moyenne sur cinq ans de 52 %. Bien sûr, le cours de l'or atteint des sommets inégalés pendant le trimestre, avec en moyenne juste un peu plus de 2300 $ l'once. Bien sûr, il y a une faiblesse récemment dans les domaines de la croissance aux États-Unis, ce qui a fait augmenter les attentes à l'égard d'une coupure de taux en septembre nous savons que les coupure de taux sont favorables au cours de l'or.
Commençons par les coûts au comptant. Les producteurs ont dû acquitter des coûts au comptant supérieurs pendant le trimestre.
Il s'agit d'éléments reliés au coût d'extraction, redevance, taxe, salaire, mais ce sont surtout les producteurs à grandes capitalisations qui ont vu une augmentation. Les spécifiques à chaque entreprise, les difficultés connues pendant le trimestre. La bonne nouvelle, c'est que c'était plus favorable pour les entrepreneurs à moyenne capitalisation.
Quant au concert santé des autres indicateurs clés, le flux de trésorerie disponible par exemple, les producteurs d'or dans notre univers de couverture of une augmentation de 22 % de leur flux de trésorerie disponible trimestre sur l'autre. C'est toujours inférieur au niveau de 2020, parce que beaucoup de ces entreprises aménagent des projets d'expansion et de croissance.
À court terme, TD Cowen pronostique des perspectives très positifs. Les cours de l'or dépassent nos pronostics.
C'est un record.
On voit des facteur favorable les banques central utilise l'or de plus en plus pour diversifier leurs réserves de devises.
(...) Les entreprises sont bien positionnées pour faire augmenter leurs marges en 2024 jusqu'à la fin 2024, grâce à la hausse des cours de l'or et l'affaiblissement des pressions inflationnistes.
- Très bien. Pour ces aperçus. Que dire des risques? Il y a des risques techniques au niveau de ses projets miniers. Il y a des risques liés à la délivrance des permis, risques politiques, de prévisions financières ainsi que les risques environnementaux et sociaux. Merci Anthony Okolie. À présent, un coup d'œil sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs activités proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser les actions qui bougent sur le marché. Voici les indice TSX 60. Que se passe-t-il aujourd'hui?
Un peu de vert à l'écran, très modeste, dans l'indice en général, on voit la Manuvie et la Sun Life qui progresse quelque peu Kinross est en légère baisse dans le secteur minier. La forte révision à la baisse du nombre d'emplois créés pendant un aux États-Unis, jusqu'en mars 2024, engendre une certaine perplexité sur le marché. Le procès-verbal de la Fed paraît à 14 heures. Target progresse de près de 4 %. Jesse Evans répond à vos questions.
- (...) Dans les immeubles de catégorie A, dans les quartiers d'affaires centraux, à proximité des transports en commun, en général le taux d'occupation, d'inoccupation de deux à 3 %. Ce sont les immeubles de catégorie B ou C ou le taux d'occupation a beaucoup diminué, dans certains cas de 30 à 40 %, une grosse difficulté pour les propriétaires de ramener ses locataires.
Il y a beaucoup de propriétaires qui offrent des encouragements très favorables, loyers gratuits par exemple, ou prime, qui ont atteint presque des records.
En vue de ramener les locataires.
Malheureusement, dans certains cas, ça ne marche pas.
Donnez plusieurs mois ou un an de loyer gratuit, ça ne marche pas. Il faut que les propriétaires soient créatifs. Dans les catégories B et C, les caractéristiques ESG ou l'énergie verte, beaucoup ne sont pas échos énergiques et non pas les installations ou les aménagements qui recherchent les locataires. Sélectivement, certains propriétaires cherchent à repositionner ces immeubles plus anciens et les moderniser, les repositionner comme actifs de catégorie A. Plusieurs entreprises le font. À Londres, au Royaume-Uni, pratiquement tous les locaux commerciaux doivent être classés en fonction de leur catégorie énergétique.
Certaines compagnies se spécialisent, il faut qu'il y ait l'emplacement, l'accès aux transports en commun, dans la transition. En nettoyant les enveloppes de l'immeuble.
Pour les rendre plus intéressants. Il y a un cas très intéressant. HSBC quitte l'une de ses tours à la fin de l'an prochain. Il y a eu des idées très intéressantes en ligne pour repenser cet immeuble.
On parle littéralement de retirer les fenêtres et les dalles de plancher dans certains immeubles pour créer des locaux extérieurs. Il y aura un parcours au 30e étage. Je ne sais pas s'il sera fait, mais ce sont des idées créatives, changer l'architecture même de certains immeubles.
Ça ne marche pas dans tous les cas, tout cela est basé sur les considérations économiques. Il faut qu'il y ait une densité suffisante et dans bien des cas les catégories B et C, taux d'occupation, le problème du taux d'occupation est réglé par une conversion d'usage.
Au Canada, il y a un processus de modification du zonage, ont démoli un immeuble de bureaux pour édifier une tour d'appartement en copropriété. Ces actifs sont repositionnés au fil du temps.
- Nous n'avons plus de temps, avant de nous séparer, quelques réflexions. Nous avons vu que le secteur de l'immobilier de l'infrastructure qui était mal-aimée, qu'est-ce qui attend ce secteur?
- Il faut se rappeler que l'immobilier et l'infrastructure figure parmi les secteurs les moins corrélées à l'ensemble des indices.
À part les périodes de hausse rapide des taux d'intérêt, ce sont des secteurs stables. Encore une fois, au fur et à mesure que les taux d'intérêt diminuent, pour maintenir le rendement et le revenu sans devoir miser sur les actions habitat élevées. Il s'agit d'augmenter les revenus tout en maintenant ces niveaux pour les investisseurs.
- Merci Jeff Evans. J'espère que nous nous reverrons bientôt. Jeff Evans de Gestion de placements TD. Comme toujours, faites vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Si nous n'avons pas eu le temps de répondre à votre question aujourd'hui, nous nous efforcerons de l'inclure dans les prochaines émissions. Demain, Scott Colbourne de Gestion de placements TD sera notre invité et nous dira ce qu'il attend du discours du président de la Fed Jerome Powell à Jackson Hole et répondra à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à demain!