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– Bonjour! Ici Greg Bonnell. Bienvenue à parlons argent en direct, une nouvelle émission quotidienne sur CourtierWeb. Chaque jour, les invités commentent l'actualité des marchés répondre à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, nous allons entendre James Orlando des services économiques TD qui réagira à la méga augmentation de taux de la banque du Canada. Dans notre séquence de formation, on va nous montrer les outils que WebBroker propose pour s'y retrouver dans ces marchés volatils. Pour communiquer avec nous, écrivez-nous ou saisissez votre question dans la case sous l'écran. Tout d'abord, une mise à jour sur les marchés. Les 10 TSX composites est modestement à la baisse, jusqu'à 18 000 (...), soit un peu plus d'un tiers pour cent. Une certaine faiblesse dans le secteur financier, en particulier une assurance vie, Emmanuelli, à quelque peu. L'une des actions qui a beaucoup progressé et celle de Nutrien, en hausse de 7 %, jusqu'à 98 $. l'indice SMP, (...), les ménages et les banques centrales s'y intéressent. Plus de 9 %. Mais les marchés, bien qu'ils ABC, 3800, l'indice S&P 500, (...). L'indice Nasdaq en baisse de 1/3 % avec ses chiffres d'inflation plus élevée que prévu, ce sera plus difficile ces jours-ci de voir comment les marchés vont réagir. Bike of America subissait une pression en début de session. 30,73 $, une légère baisse de 2 %. Voilà pour la mise à jour pour les marchés. La banque du Canada a annoncé une méga augmentation de taux de 1 % afin de de maîtriser la hausse des prix à la consommation. Est-ce que cela fera basculer l'économie canadienne en récession? Interrogeons notre dictée. Bonjour James. Je peux approfondir cette question. Nous vivons dans un environnement d'augmentation des taux, mais sans points de base à la fois? Quels sont les risques? – Les risques sont grands. C'est pourquoi on entend parler de récession, non seulement au Canada, mais dans le monde entier. L'augmentation des taux de 1 %, c'est rare. La dernière fois, c'était en 1998. Que se passe-t-il et comment la banque du Canada décrit à la situation? La banque cherche à prendre les devants sur l'inflation, sachant qu'elle avait pris beaucoup de retard. Il s'agit d'augmenter les taux de 1 % aujourd'hui est de savoir dans quelle mesure ils augmenteront dans l'avenir. Il s'agit de prendre les devants pour parvenir à cet atterrissage en douceur. Est-ce comme tâcher de faire atterrir un long courrier sur la tête d'une épingle? C'est une bonne analogie. L'augmentation des taux rapides, histoire l'a montré, déclenche récession. Le problème que nous avons, c'est que tout le monde espère un atterrissage en douceur. Est-ce résultat difficile à obtenir? Songez ce que signifie l'inflation pour les Canadiens. Elle érode le pouvoir d'achat. Quand vous devez dépenser plus pour une chose, il faut que vous dépensez moins pour autre chose. Les Canadiens achètent moins, la croissance économique diminue, ça se répercute sur les entreprises. Augmentation des taux, vous allez payer de plus en plus cher sur les prêts, que ce soient les mensualités de votre voiture, votre ligne de crédit garanti par votre maison, votre prêt hypothécaire. Nous allons donc vivre une telle période et parvenir un atterrissage en douceur? C'est possible. Mais comme il a été difficile d'obtenir ce résultat dans le passé, c'est un gros problème pour la vente Canada. Elle pronostique un atterrissage en douceur (.. .). C'est une tâche difficile pour la banque. – Le gouverneur de la banque du Canada, dans son intervention, a déclaré qu'il reconnaît que cela peut paraître contre intuitif. Les ménages canadiens sont aux prises avec une augmentation des coûts et la banque va augmenter le coût des emprunts. Mais il affirme que les dégâts immédiats en valent la peine pour les avantages que nous en retirerons. L'inflation est presque universelle. Il n'y a pas que quelques éléments. Au début, ça été l'énergie, puis l'alimentation, puis tout ce que nous achetons ces jours-ci. L'inflation est générale et la banque du Canada augmente les taux d'intérêt, ce qui va augmenter notamment le prix du logement. La façon dont la vente Canada présente la chose, c'est que lorsque vous essayez de maintenir la stabilité des prix, la banque veut arrêter l'inflation enrayer l'inflation. Si elle n'augmente pas les tout comme le fait, l'inflation va constamment augmenter. Quiconque a vécu les années 70 où l'inflation était supérieure à 20 %, saura que c'est une situation qu'il est très difficile de gérer. Voilà la conjoncture dans laquelle la banque du Canada applique cette décision. – Est-ce que nous avons atteint le pic de l'inflation? – Ce n'est pas l'expérience aux États-Unis. Rien ne montre que l'inflation a atteint un sommet. Nous prévoyons que les chiffres seront plus élevés au Canada aussi. Considérer l'inflation aux États-Unis. Les mesures de base de l'inflation, quand on exclut l'alimentation et l'énergie, accélère depuis quelque temps déjà. Mais considérer l'inflation générale. Les prix de l'énergie ne semblent pas refluer, les prix de l'essence n'ont pas diminué avec le cours du pétrole au niveau international. Un autre facteur: tous ces prix qui continuent d'augmenter à un rythme rapide… Les chaînes d'approvisionnement comportent toujours des goulots d'étranglement, même s'il y a eu certaines améliorations, l'approvisionnement demeure perturber. Dans les services, il y a une demande très forte de service et cette demande entraîne une inflation dans ce secteur-là. L'histoire nous apprend que même si on parvient à un sommet dans l'inflation des biens, l'inflation des services atteints un sommet beaucoup plus tard. Au Canada, dans les années 70 et 80, il y a eu de pique d'inflation des biens, mais l'inflation des services n'a atteint le pic qu'un an plus tard. J'imagine à quoi (.. .). Si l'inflation et juguler les conflits en Europe se règlent et il n'est pas nécessaire d'imposer des augmentations sévères. Mais si tout cela ne se produit pas, il s'agit de comprimer la demande et de déclencher une récession malgré le désir d'un atterrissage en douceur. C'est une décision difficile. Le Canada est une économie réduite mais ouverte. Nous sommes très affectés par ce qui se passe dans le monde. Une partie de l'inflation est impulsée par la demande. Mais comme la banque du Canada la vie, la plus grande partie de l'inflation, en excès du pronostic, est dû à des pressions extérieures attribuables à l'offre. Et si cette pression-là ne s'apaise pas, il sera extrêmement difficile. La banque du Canada n'a aucune influence sur ses pressions. La plus grande partie de l'inflation était portée de l'étranger. Il faut donc qu'il y ait un ralentissement mondial. Il n'y a pas que l'énergie, mais encore la coordination entre les banques centrales. Il y a une coordination entre plusieurs banques, spécifiquement la Fed, quand elle augmente les taux d'intérêt, tout le monde le fait. Mais cela ne se répercute pas ailleurs. Il faudrait donc non seulement qu'il y a beaucoup de crises qui se règlent dans le monde entier, les goulots d'étranglement, les problèmes d'approvisionnement, mais il faut qu'il y ait un ralentissement de la demande augmente. Ce phénomène commence à se produire. La croissance des États-Unis n'a pas été impressionnante, la demande en Chine a diminué avec le confinement. Cela se répercute sur (.. .). Cela s'accentue beaucoup. Le pronostic d'inflation montre qu'elle ne pense pas que l'inflation sera inférieure à son objectif cette année ni l'an prochain, mais en 2024. Ça fait longtemps à attendre pour que l'inflation redescendre à un niveau confortable. Une autre question que je pose, selon le marché obligataire, il s'agira bientôt de réduction de taux. Est-ce que c'est trop optimiste pour un investisseur? Il y a des dégâts à court terme, mais avant longtemps il y aura des coupures. – C'est exactement ce que fait la banque du Canada et la réserve fédérale. Il s'agit de la courbe du rendement des obligations relatives au taux d'intérêt fracture, lorsque la banque du Canada augmente les taux pour comprimer la croissance et juguler l'inflation, une fois que ces objectifs ont été obtenus par des taux d'intérêt supérieur au niveau normal, elle pourra réduire les taux à un niveau naturel. C'est tout à fait normal. Mais les marchés obligataires envisagent d'ici deux ans, la banque du Canada va beaucoup augmenter les taux. Ils seront plus élevés qu'ils le sont normalement, ce qui entraîne une inversion de la courbe du rendement. La plupart de ceux qui connaissent ces graphiques savent qu'il s'agit de signes avant-coureurs de la récession. On prévoit que les banques centrales vont aller trop loin, trop réduire la croissance économique, mais il faudra bien qu'elle fasse marche arrière. – Excellent départ de cet entretien pour une grande journée pour les banques centrales. Nous reviendrons à vos questions à l'adresse James Orlando dans un instant. Vous pouvez communiquer avec moi tout temps, envoyer un courriel ou saisissez votre question dans le cadre situé sous l'écran. Les actualités dans le monde des affaires. Chez Delta Airlines, l'augmentation des coûts d'exploitation a entraîné des bénéfices inférieurs aux prévisions pendant le dernier trimestre le coût du carburant est toujours préoccupant pour les transporteurs aériens. Mais (.. .) l'augmentation des coûts de main-d'œuvre exerce des pressions sur les bénéfices. La demande de voyage a rebondi, mais les aéroports dans le monde entier éprouvent des difficultés à répondre à sa demande. Data va maintenir sa capacité de vol au niveau (... ). Il est important de ne pas dépasser les moyens de chaque transporteur, mais il est tentant de répondre à la demande. Détail le premier grand transporteur aérien qui publie ses bénéfices ce trimestre. Royal Lepage réduit notablement ses perspectives pronostics canadiens du logement. Quoiqu'elle prévoit toujours que le prix moyen achève l'année plus élevée (... ). Les augmentations de taux plus important que prévu de la banque du Canada font hésiter les acheteurs potentiels. Royal Lepage prévoit que les prix de vente au Canada s'établissent à 5 % de plus que dans le quatrième trimestre. Alors qu'au printemps, la compagnie prévoyait une augmentation de 15 %. Critères à entamer des poursuites contre Elon Musk après qu'il ait déclaré qu'il ne prévoit plus HT la plate-forme de médias sociaux pour 44 millions de dollars. Dans une lettre publiée la semaine dernière, il affirme que Twitter a fait des aides (. ..). Critères déclarent que ces (... ) représentent moins de 5 % du total des utilisateurs. Jetons un coup d'œil aux grands indices. L'indice TSX est en baisse 44. Quant au marché américain, le S&P 500, à la suite de la publication de chiffres d'inflation plus élevée que prévu en baisse de un tiers de pour cent. Nous voici de retour avec James Orlando des services économiques TD pour répondre à vos questions sur l'économie. C'est une journée importante en matière de nouvelles économiques. Un spectateur demande ce qui va amener les banques centrales à arrêter d'augmenter les taux. Pour l'instant, il semble que rien ne les arrête. – Les banques centrales à 10 que l'inflation est la priorité. Ce qu'elle doit voir, si vous êtes un gouverneur devant centrales, il faut que l'inflation commence à refluer. Ce n'est pas le cas pour l'instant. On espère que d'ici quelques mois, les problèmes de chaîne d'approvisionnement vont se résoudre et le cours des produits de base rétrogradée. À défaut, les banques centrales pour continuer d'augmenter les taux. Les banques centrales se contentent d'emboîter le pas à l'inflation. La seule façon dont les augmentations cesseront, c'est si l'inflation cesse d'augmenter bien que la situation économique se dégrade tellement que cela entraînerait une détérioration de la demande dans une telle mesure que l'inflation commencerait à diminuer, quelque soit la situation. Pour l'instant, les augmentations de l'inflation et des taux ne semblent pas appelés à prendre fin. Dans les manuels d'économie, on nous dit que les augmentations de taux, près de 18 mois pour se répercuter. Cela prend du temps pour que ces mesures se répercutent sur l'économie. Pourrait-on affirmer qu'une réduction de 25 points de base prend du temps à se répercuter? Des augmentations de 100 points de base, les effets sont-ils plus rapides? Bien sûr! Il n'y a pas que les taux d'intérêt. La rapidité des augmentations sont très préoccupantes. Par exemple, sur les marchés de lumen (... ). Il faut noter que l'augmentation de l'inflation a été tellement rapide. Rappelez-vous ce que nous voyons fin 2021. L'inflation était loin d'avoir atteint ses sommets. Si l'inflation augmente très rapidement, cela se répercute sur le portefeuille des Canadiens. Il faut changer de cap très rapidement. L'augmentation des taux d'intérêt va réajuster le pouvoir d'achat. Il y a également un grand changement dans ce que nous appelons, quand on considère le logement et la manière dont les gens utilisent leur logement pour payer autre chose, si les prix du logement diminuent, cela change des comportements. Tout cela se produit en même temps. Il est raisonnable de croire que l'impact économique, c'est-à-dire dans les données économiques réelles, sera plus rapide. Par ailleurs, la capacité pour les gens de voir ce qui se passe et de réagir, demander aux Canadiens et aux Américains, demander lorsqu'il pense. Ils sont très pessimistes quant à leurs perspectives économiques. Et leur avenir. Ce sentiment, le fait que les gens remarqués augmentations, ce sont des actualités de premier plan. Les mesures que nous prenons à la suite de ces impacts négatifs et de ses actualités négatives, cela sera plus rapide. Je fais changer mes dépenses plus rapidement que je ne l'aurais fait si c'était agi d'une augmentation plus lente. – Un téléspectateur demande quels sont vos perspectives pour le marché du logement au Canada. Il y a eu un recul considérable des pronostics de Royal Lepage. Jusqu'ici, le marché canadien du logement ne supportait pas très bien. Une mise en garde: il y a déjà eu une diminution considérable de la crête au creux depuis quelques mois. Mais c'est après une montée très considérable. Est-ce qu'il s'agit d'une remise à niveau des prix du logement qui ont trop grimpé trop rapidement et qui s'établissent à des niveaux plus réalistes? Il s'agit d'une tendance très importante. Elle n'est pas finie. Les taux d'intérêt augmentent rapidement qu'on avait prévu. Et le comportement change les. Les ventes diminuent plus rapidement que ce qu'on avait prévu. Nous pensons donc que le prix des logements a déjà diminué beaucoup, mais qu'il y a encore du chemin à faire au fur et à mesure que les taux d'intérêt augmentent et que les gens commencent à renouveler leur prêt hypothécaire et voir à quel point l'abordabilité des logements a changé. Quel serait l'impact sur l'économie canadienne? Pendant si longtemps, on s'inquiétait l'idée que le logement, l'immobilier, la finance, assurance, représente un élément excessivement important du PIB. Quand on songe au PIB, on songe aux dépenses sont consacrées au logement. Il n'y a pas seulement le fait d'acheter une maison. Quand vous achetez une maison, il faut commencer à l'aveugler. À la remplir, à la garnir. Ce sont des biens qui ne sont pas spécifiques au logement, mais dont les ventes sont fondées sur l'activité du marché du logement. Si cette dernière diminue, la demande pour ses autres biens diminue également. Nous pensons qu'il y aura des chiffres négatifs pour les dépenses présidentielles, les dépenses en biens durables. Gros article, qui ont augmenté très considérablement pendant la pandémie. Il s'agit d'une remise à niveau. Cela aura un impact sur l'économie. La bonne nouvelle pour le Canada, on se demande toujours si le logement sera maître de l'économie à la hausse ou à la baisse. À mon avis, le consommateur représente toujours le facteur le plus important dans l'économie, de loin. Où en sont les taux d'emploi? Où en est la croissance des salaires? Nous croyons que la consommation devrait porter l'économie malgré cet ajustement dans l'investissement résidentiel et l'immobilier (... ) quand on parle du marché du logement et des défis que nous devons relever, les défis, quelque soit la catégorie d'actifs, c'est de savoir si l'on parvient à l'atterrissage en douceur. Beaucoup de gens disent: attendez que les gens renouvellent leur prêt hypothécaire. Au Canada, lorsqu'on a reproché une maison, prouver que l'on peut payer davantage. Est-ce que cela va sauver la mise à beaucoup de Canadiens? L'idée qu'il y a une réglementation quant au niveau d'endettement lors de l'achat de logements, c'est très important. Et ça, c'est l'idée de récession. Beaucoup de gens parlent de récession un peu n'importent comment. Ce qui importe, c'est la profondeur et la durée. Si l'on remonte à des périodes négatifs sur les marchés financiers, par exemple la crise financière mondiale en 2008, le gros problème, n'était pas simplement le fait qu'il y avait beaucoup d'endettement pour l'immobilier, mais que les gens qui s'étaient beaucoup endettés n'haver pas été contrôlés. Il ne s'agit pas de savoir si vous pouvez vous acquitter de taux d'intérêt plus élevé de 2 % sur votre prêt hypothécaire. Ça, c'est très important. Mais l'autre facteur, c'est que le système bancaire est stable. Ce qui a eu un forain sur les États-Unis, c'est la fragilité du système bancaire à l'époque. Au Canada, et aux États-Unis, le système bancaire est désormais beaucoup plus à même de résister à un ralentissement économique, plutôt que de le multiplier. Comme d'habitude, faire des recherches avant de prendre des décisions d'investissement. Nous reviendrons à vos questions. Vous pouvez communiquer avec nous on envoie un courriel. Notre séquence de formation. La volatilité des marchés rend parfois difficile pour les investisseurs le suivi du prix des actifs, qui peuvent changer très rapidement. (. ..) nous expose les outils qui vous permettent de vous y retrouver. Bonjour, Greg! Pendant les périodes d'incertitude ou de volatilité comme celle que nous connaissons aujourd'hui, l'un des éléments qui troublent souvent les investisseurs, c'est la volatilité et l'évolution très rapide des prix des actifs au jour le jour ainsi que les fluctuations quotidiennes plus importantes que prévu dans le cours des actifs. En tant qu'investisseur qui cherche à se lancer sur le marché, ça peut être intimidant. Les investisseurs qui se lançaient sur le marché pendant cette période pourraient envisager d'acheter un titre particulier, il pourrait envisager différents types d'opérations pour investir dans ce titre. Si vous êtes un investisseur cherche à vendre, vous pourriez utiliser un ordre avec une limite pour établir un plancher dans le prix que vous êtes prêts à accepter. CourtierWeb, l'investisseur peut passer un ordre des limites en cliquant sur l'onglet opération dans la colonne achat vente. L'investisseur peut cliquer sur la capacité d'acheter la Vendée FNB. Mettons que je veux acheter ce fonds, je voudrais acheter sans parts. Il s'agit de marché très volatile. L'investisseur peut utiliser une limite. Je clique sur limite dans la rubrique type de prix. Cela me permet de fixer un prix spécifique que je suis prêt à payer. Alors actuel, avant de fixer les limites, je veux voir combien les acheteurs sont prêts à payer afin que je vois tout de suite que d'autres acheteurs proposent 28,66 $. Et je vois que les vendeurs demandent (...). En tant qu'acheteur, je voudrais peut-être payer moins que ce que les vendeurs demandent. Je serais disposé à payer 25 $. Voici avantage de l'utilisation de limites. C'est moi qui fixe le prix que je suis prêt à payer, ce qui me permet de me mettre à la file parce que d'autres acheteurs sont prêts à payer brusquement. J'envisage donc d'attendre pendant un jour, ou bien je peux fixer une période spécifique où je peux utiliser cet outil pour annuler, ce qui me permet de rester en ligne aussi longtemps que possible, c'est-à-dire 90 jours civils pour les valeurs mobilières canadiennes. C'est le jour d'une commande à limite. Ils n'y a peut-être pas de vendeur sont disposés à accepter 25 $ dans les 90 jours civils. Je peux fixer le prix que je suis prêt à payer. Également le risque que ce prix ne sont pas acceptables pour un vendeur et que je ne suis jamais en mesure d'acheter. Très intéressant. Et si l'investisseur n'a pas le temps d'écouter une opération très rapidement… L'investisseur précis qui veut tirer son épingle du jeu durant une période de volatilité est en mesure d'utiliser un autre type d'opération, un autre au prix du marché. Je saisis la même valeur, en l'occurrence, l'investisseur veut acheter cette quantité. Je peux utiliser un ordre au prix du marché. Cela me permet de procéder à l'opération dès que possible. Mon opération est exécutée immédiatement, tant que les marchés sont ouverts. Ceci signifie que puisque je suis disposé à me mettre sur le marché dès que possible, je suis disposé à payer le meilleur prix. Quand fait affaire avec démarche volatile, ce prix n'est peut-être pas un prix que vous serez satisfaits payer. Vous pourrez réaliser votre opération à un prix un peu trop élevé à votre goût, ou si vous vendez, à un prix plus bas que ce que vous recherchez. Voilà le risque que pose une commande au prix du marché. Elle est exécutée sur-le-champ, mais il existe un risque qu'elle soit exécutée à un prix non souhaité. Il y a de type d'opération pour tout le monde. Si vous voulez fixer le prix, vous pouvez utiliser une limite. Mais si vous voulez investir ou vendre tout de suite, vous pouvez utiliser un ordre prix du marché. – C'était nous a Una, le responsable de la formation chez placement direct et des. Visitez le centre de formation où vous trouverez énormément de ressources interactives. Y compris des webinaire sur la nécessité. Je vais peut-être regarder celui-là, car je pose la question aussi. James Orlando nous parle de l'économie dans un instant, mais je vous rappelle comment vous pouvez communiquer avec nous. Si vous avez une question sur les placements ou les facteurs qui affectent les marchés, nous inviter sont à votre écoute. Envoyez-nous vos questions. Vous pouvez communiquer avec nous en nous envoyant un courriel en tout temps ou en saisissant votre question dans le cadre sous l'écran. Il vous suffit de cliquer sur envoyer. Un de nos invités pourra peut-être vous répondre en direct. Nous ne voici en compagnie de James Orlando qui répond aux questions. Le spectateur nous demande: quel est la probabilité en pourcentage d'un atterrissage en douceur pour l'économie canadienne compte tenu de l'augmentation récente de la banque du Canada? – S'il s'agissait de parier, nous venons de publier notre perspective économique. La croissance devrait diminuer en deçà de 1 %. Elle sera légèrement supérieure à zéro. Ce serait le creux. En supposant que les taux d'intérêt vont dépasser les 3 %. Ce qui se produit si l'inflation continue d'augmenter. Nous allons publier un tableau de récession (...). La croissance devient négative et une récession ordinaire et le scénario le plus probable. Sans doute début 2023. Les pronostiqueurs professionnels aux États-Unis ne prévoient pas de récession. Ceux qui le font prévoient qu'elle interviendra fin 2023. Dans le sondage du Wall Street Journal, 48 % des pronostiqueurs pensaient que c'était un pilou face. L'histoire nous apprend que pendant les périodes augmentation de station, voyez ce qui s'est passé entre 1975 et 1982, il y a eu trois périodes de récession. Pendant toute cette période, l'augmentation de tout entraînait une récession. La réserve fédérale évoque la période au milieu des années 90 où la consommation était tellement forte que malgré l'augmentation des taux, il a été possible de parvenir à un atterrissage en douceur. Il y a des cas où cela se produit. Quant à la probabilité, je ne sais pas. Selon les marchés, le fait que nous sommes dans un marché baissier et que les indicateurs sont en augmentation, que la courbe de rendement s'est inversée, la probabilité de récession est plus élevée. On se concentre de plus en plus vers cette situation de pile ou face. Vous travaillez dans les services économiques, les marchés sont un outil prospectif. Est-ce que les marchés nous apprennent quelque chose quant à l'avenir s'il cherche encore à s'y retrouver? – Je pense que les marchés prévoient que les choses en tireront vraisemblablement. Regardez l'agrée dégringolade des actions des (...). L'idée d'un marché baissier, une baisse de 20 %, c'est une chose. Une récession, pendant la pandémie, par exemple, de la crête au creux, il y avait 33 % de baisse aux États-Unis. Dans la crise financière mondiale, une baisse de plus de 50 %. Nous n'en sommes pas là, mais il est sous empire, nous ne prévoyons pas que ce soit le cas, nous ne prévoyons pas qu'il y aura un effondrement, mais si les choses empirent, c'est ce que l'on prévoit entre 30 et 50 pour cent de baisse. Nous ne prévoyons pas ce scénario pour l'instant. La plupart de ceux qui pronostiquent une récession affirment que si récession il y a, elle sera sans doute peu profonde et n'aura pas un impact aussi fort qu'on le craint à l'heure actuelle. Quant à savoir si cela se réalisera, nul ne peut le savoir. Mais les facteurs qui permettraient de prédire que les choses empirent vrai, d'abord, il existe des règlements qui empêchent les baisses du prix du logement, empêchent que les baisses du prix du logement ne multiplient les effets de ralentissement économique. Il y a des économies accumulées par les Canadiens depuis deux ans qui représentent un coussin. Que l'on songe au fait que le marché de la main-d'œuvre est très important. Ce sont des éléments qui sont généralement on pointe dans l'approche de récession. Dans bien des cas, ils n'ont pas bougé. Le secteur de détail, le travail à temps partiel, tous ces indicateurs ne se sont pas réalisés cette fois-ci. Les emplois de technologie, les emplois dans notre potage et dans toutes sortes d'industries sont plus résiliant face au ralentissement économique. Alors que nous parlons de politique monétaire et l'inflation, il y a une question sur les taux de change. Prévoyez-vous que le dollar américain continuera de mieux se portait que le dollar canadien? Car nous augmentons les tous, elle avait également. – Oui, le dollar américain reprend du poil de la bête. Dans bien des cas, quand on scrute le marché des contrats à terme, l'économie américaine est quelque peu protégée contre les facteurs problématiques. Le fait que les États-Unis sont exportateurs d'énergie à l'heure actuelle et profite des augmentations du cours des produits de base, bon nombre des partenaires commerciaux des États-Unis dans le monde, le Japon, Royaume-Uni, si vous croyez que nous avons des problèmes déflation énergétiques, l'augmentation du prix du gaz naturel qui a presque doublé, en Europe, ils ont quadruplé. (...) sur les gens qui vivent dans des régions qui dépendent de l'énergie des produits de base, les conséquences économiques sont beaucoup plus graves. Voilà la principale raison pour lesquels le dollar américain se renforce. Par ailleurs, en cas d'inflation, le dollar américain est le refuge du monde. Il y a une demande de dollars américains, ce qui entraîne une plus-value pour le billet vert. Le Canada n'est pas considéré comme ayant une monnaie refuge, puisque nous sommes très liés au prix du produit de base. Mais quand on se compare, on se retrouve dans une situation où le Canada profite de l'augmentation des cours de l'énergie. Maintenant, les États-Unis, grâce au forage horizontal et à la facturation, peut profiter de l'augmentation des cours. L'avantage relatif du Canada par rapport aux États-Unis s'amenuise. L'endettement du Canada par rapport à la dépendance, par rapport au coût de produits de base. Le dollar canadien, pondérés en fonction des échanges extérieurs, se comportent bien. Quant au taux de change, il y a la tendance. Le Canada surclasse depuis quelque temps (... ). Nous prévoyons que les États-Unis vont s'améliorer d'ici le reste de l'année alors que l'économie canadienne va être à la traîne. Cela favoriserait le dollar américain. Mais cela l'évolution des événements dans l'avenir, il y a une attraction qui s'apparente à la gravitation vers 96 pour le dollar canadien. Combien de temps cela prendrait-il pour y parvenir? La question se pose. La volatilité est certainement à l'ordre du jour. Nous reviendrons à vos questions à James Orlando. Faites vos propres recherches avant de faire des décisions de placement. Vous pouvez communiquer avec notre temps. Avez-vous une question au sujet des placements ou des facteurs qui affectent les marchés? Nos invités sont à votre écoute. Envoyez-nous vos questions. Soit par courriel en tout temps ou bien en utilisant la case située au-dessous de l'écran. Il vous suffit de cliquer sur envoyer. Un de nos invités pourra peut-être vous répondre en direct. Ces rapports d'inflation plus élevée que prévu aux États-Unis se répercute sur le marché. Valeur immobilière TD, un nouveau pronostic le cours des métaux. Voici (...). On affirme que les chiffres de l'inflation plus élevée que prévus aux États-Unis exerceront davantage de pression à la baisse sur les métaux précieux, car la fête devra adopter une attitude énergique à une époque où les craintes d'inflation s'aggravent. Et ça, à un moment où les fonds de produits de base subissent les flux sortants les plus importants depuis le début de la COVID. Les gestionnaires de fonds se précipitent pour tirer leur épingle du jeu on signale que les 15 premiers fonds de (...) par actifs sous gestion ont subi des flux sortants de 1 milliard de dollars dans la première semaine de juillet. On prévoit des (... ) spécifiquement sur le marché de l'or, compte tenu des soldes importants qui ont été acquis pendant la pandémie. Et que prévoit Wallers immobilière TD sur l'aluminium, le zinc? Nous avons que (...) baissier sur le cuivre, quant aux métaux à forte intensité d'énergie, l'aluminium et le zinc, il le surclasse. Surtout avec la flambée des prix d'énergie en Europe. Mais le cycle des produits de base a été rompu plus rapidement que prévu. Les prix des métaux de base vont sans doute revenir à leur valeur normale prochainement. Quoiqu'ils sont généralement corrélés avec les actifs (...). Merci encore une fois, Anthony. À présent, un coup d'œil sur les marchés. L'indice composite TSX est dans le rouge au Canada comme aux États-Unis. 18617 sur indice TSX, un recul de 61. Voici comment Air Canada se comporte. Quelque pression à 5,32 $. En baisse de plus de deux. 5 %. Au début de l'émission, nous avons parlé des résultats de Delta. Même si la demande de voyage augmente, il y a une augmentation des coûts dans plusieurs domaines, et non seulement le carburant. Le (...), a porté très bien en début de séance. Il est toujours en territoire positif. Une baisse de 1,3 % à 7,36 $. Que se passe-t-il à présent à l'écran? L'indice S&P 500 en baisse de un. 5 %. Les chiffres d'inflation plus élevée que prévu aux États-Unis et leurs conséquences pour les politiques des banques centrales dans ce pays. L'indice Nasdaq, spécialisé en technologie, l'indice Nasdaq sans recul d'un cinquièmes 2 %. Twitter affirme qu'elle entame des poursuites à l'adresse d'Elon Musk qui déclare qu'il renonce à son offre d'achat. Un investisseur semble s'y intéresser parce que l'action est en hausse de presque 8 %. À 36,74. Nous revoici avec James Orlando pour répondre à vos questions. Un spectateur se demande qu'est-ce que la réserve fédérale va faire après la méga augmentation de la banque du Canada? Va-t-elle suivre cet exemple? – Il semble que toutes les banques centrales cherchent à se rattraper. Voir même à surenchérir. La réserve fédérale a augmenté les taux. Elle a eu sa propre augmentation plus importante que prévu. Une nouvelle réunion est prévue dans une quinzaine de jours. L'inflation aujourd'hui est tellement élevée. La Fed a dit certainement qu'elle doit agir. Il y a quelques améliorations dans l'augmentation des prix de base, mais le fait que l'indice vedette de l'inflation est tellement élevé, cela augmente les chances d'une hausse de 1 %. Ce n'est pas dans nos pronostics pour l'instant, mais quand ce chiffre d'inflation apparue ce matin, les rendements ont augmenté, ce qui reflète une probabilité plus élevée de nouvelles augmentations de taux de fédérale. Plus que 9 %. On commence à s'habituer à ces chiffres exceptionnels. Alors que nous pensions que 2 %, c'était normal. Quand on songe à la fin de 1981. Étant jeune, je ne me rendais pas compte que le monde était dans une situation économique très grave. Quand nous réalisons nos analyses, la première fois depuis 1998, j'ai regardé tous les films qui étaient à l'affiche ce jour-là. Le Titanic est sorti en décembre de cette année. Mais il faut remonter plus loin dans le temps pour retrouver des problèmes et des mesures comme celle que nous connaissons aujourd'hui. Il s'agit d'une situation qui est rare dans laquelle nous nous trouvons. Une situation d'inflation si élevée qui entraîne des décisions atypiques de la part des banques centrales en matière de taux d'intérêt. Vous avez précisé que bon nombre de personnes qui en parlent, nous étions très jeunes à l'époque, beaucoup de gouverneur était très jeune à l'époque. C'est quelque chose de tout nouveau que l'on a reconnu depuis des années. Pendant des années, les banques centrales affirmaient qu'elle préférait lutter contre la l'inflation plutôt que la déflation. Parfois, on oublie à quel point il peut être douloureux de manier certains de ces outils et les parties peuvent savoir. L'augmentation des taux, c'est une problématique. Cela affecte les gens dans la vraie vie. Quand on parle d'inflation et de prix de l'énergie, un spectateur nous interroge sur l'OPEP. Est-ce que la demande va dépasser l'offre en 2023? Pourquoi est-ce qu'il y a une diminution des cours du pétrole? – Je crois que cela est lié au contexte. Le ralentissement de la croissance devrait entraîner un ralentissement de la demande. Si l'OPEP affirme qu'elle pense que la demande est supérieure à l'autre, les cours du pétrole devraient augmenter. C'est un principe de base de l'économie. Ce que les investisseurs éprouvent, c'est que le ralentissement de la croissance économique, qui est prévu aux États-Unis et en Chine, ce ralentissement de la croissance se répercute dans les métaux. Le cuivre, qui est généralement un signe avant-coureur de la croissance mondiale. Quand la croissance ralentit, (.. .). Je veux vous poser une ultime question. Quoi que le temps me manque presque. L'effet de richesse, le prix des logements diminue, les valeurs des portefeuilles diminuent. Ce que les gens pensent de leur valeur nette, quel est l'effet psychologique? – C'est un effet psychologique énorme. Au Canada, avec l'augmentation du prix des logements, les gens sont en mesure de dépenser de l'argent, emprunter avec leur logement pour garantie, dépenser pour des rénovations ou sur les marchés financiers. C'est pas le simple fait qu'on peut tirer de l'argent et le dépenser, mais si vos actifs et votre âge seulement, vous êtes de bonne humeur. Vous allez dépenser différemment. C'est l'inverse qui se produit. Si vous êtes en mesure d'emprunter, que vous soyez heureux ou non face à l'avenir, votre situation psychologique est affectée. Quand les Canadiens se sont pessimistes, échangent leurs habitudes de dépenses. Ce qui (.. .). La croissance économique sera sous pression d'ici quelques mois. – James, ça nous a fait plaisir de vous accueillir. Merci à vous. Vendredi, Brad Simpson, stratège en chef nos gestions avant va évoquer la répartition des titres et des marchés. Vous n'êtes pas obligés d'attendre, vous pouvez nous envoyer vos questions en tout temps. Écrivez-nous. Merci pour votre attention et à bientôt!