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(musique)
Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons argent en direct, votre émission de Placements Directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et réponde nt à vos questions sur les placements, aujourd'hui, nous allons aborder ce qui s'annonce pour ce qui est des taux d'intérêt après que la Fed ait indiqué qu'il y en aurait peut-être pas beaucoup à l'avenir. Et puis, en termes d'éducation, Nugwa Haruna vous montrera comment vous pouvez trouver des alertes sur la plateforme. Voici comment communiquer avec nous: envoyez-nous vos questions par courriel à moneytalklivetd.com ou utilisez la case prévue à cet effet ici-même sur l'écran. Avant d'accueillir notre invité, voyons un peu ce qui se passe dans les marchés.
Remontée intéressante, c'était bien de voir la réaction des marchés après l'annonce de la Fed hier à 14 heures, la décision en conférence de presse, les marchés ne savaietnt pas s'il s voulaient grimper ou chuter. Mais en fin de journée, ça avait chuté. Aujourd'hui on se rattrape. On commence par Toronto, 19 963 TSX, un gain de 120; un peu plus fort que lui pour cent. Les gens sont prêts à assumer plus de risques. Voyons ce qui s'élève en matière de technologie.
Shopify annonce 1/2 %. Teck Resources grimpe aussi de deux et demi pour cent. Maintenant, au sud de la frontière, c'est intéressant aussi. Donc on commence par la SCP 500. Donc une hausse d'un et demi pour cent, 59.. Le Nasdaq sentira encore mieux, un peu plus de 2 % de hausse. Mais les actions de bloc sont à la baisse.
Il y a un rapport défavorable. 63,21 $, une baisse presque 13 %.
Bien sûr la fin des États-Unis à hausser les taux d'intérêt de 25 points de base. Les banques centrales de par le monde prennent des décisions semblables alors qu'il y a évidemment des remises en dans le secteur bancaire. C'est peut-être la fin du cycle aussi de ton intérêt. Nous allons entendre James inégal, économiste principal chez nous, ravis de vous accueillir. Nous sommes en 15 entrées de voir les effets. Cela je pense la bonne décision.cc'est ce que le marché prévoyait, 25 points de base haussent voici ce qu'ils ont livré par marchandise.on s'attendait une pause dans les remous du secteur financier, mais c'est intéressant que voir la les événements récents, on s'attendait à une hausse des taux d'intérêt qui aurait pu atteinte 50 points de base. Étant donné ce qui se passait côté inflation, on aurait pu comprendre. Évidemment, la hausse de l'emploi a beaucoup grimpé, beaucoup plus rapidement qu'on aurait prévu par ailleurs, mais l'inflation reste très présente. Ils veulent faire baisser, une hausse des taux d'intérêt avait été indiquée, par ailleurs, il y a plusieurs choses qui se passent dans le secteur bancaire.
- La banque, c'est dur ce qui se passe. Il y a deux semaines, on parlait de pousser un peu plus loin pour les taux d'intérêt, 50 points de base peut-être, disait Monsieur Jérôme Powell. On a une hausse de seulement 25. On ne sait pas où ça ira, mais il y a des conditions économiques en matière du marché et ça reste salut aux États-Unis. Ça semble compliqué pour la fille: - Ça se reflète dans leur annoncer dans la conférence de presse du président de la Fed qui a parlé de l'incertitude à laquelle fait face la fête. Tous les prévisionnistes aussi sont aux prises avec ce problème.
Combien faut-il resserrer les conditions financières?
Probablement que ce sera un peu plus resserré.
Notamment du côté des plus petites banques qui ont subi des pressions. Qu'est-ce que ça voudra dire pour l'économie? On ne sait plus ou moins. Nous pouvons évidemment chercher les corrélations historiques. Mais c'est un peu sans précédents, surtout la vitesse à laquelle tout se passe. Ces changements dans le secteur financier. Qui s'annonce pour la décennie à venir. On devine un peu, on peut dire à mon avis que quand les conditions financières seront resserrées, ça aura tendance à faire en sorte qu'il y ait moins de demandes, moins d'activité économique. En un sens, ça replace ce que la fête cherche à faire en haussant les taux d'intérêt. Ça paraît insensé pour la Fed de dire que peut-être que c'est presque la fin du cycle haussier des taux d'intérêt. Il faudra voir les données économiques, au fur et à mesure que la situation évoluera. Et voir ce qu'on constate du côté des prêts et des dépôts, des prêts commerciaux, les prêts du côté du secteur hypothécaire. &. Donc, on verra bien. Et nous continuons d'analyser pour voir si les choses vont se calmer et revenir à la normale, ou s'il y aura de nouvelles hausses de taux d'intérêt. Personne ne le sait pour l'instant.
- Évidemment, on verra plus tard. Donc la banque d'Angleterre maintenant, la banque nationale de la suite qui ose les taux d'intérêt, ici au Canada, on appuie sur le bouton pause. La banque du Canada a prie cette décision. On n'a pas l'habitude de recevoir des nouvelles aussi précises de la banque Canada. Qui envoie plus de renseignements que d'habitude. Qu'est-ce que ça implique?
- Oui, c'était à 13h30, avant même la fête qu'ils ont annoncé leur décision du côté de la banque Canada. Quoi qu'il en soit, oui. Rien de trop étonnant de ce côté.
Nous avons un peu mieux compris comment est-elle inflation, ce qu'il faut à accomplir pour que l'inflation baisse, les valeurs ciblent. Nous avons vu que ça continue du côté du marché du travail, mais on a annoncé en matière d'inflation notamment que le constat des footings en effet que ils ont dépassé le niveau qu'il pensait nécessaire pour atteindre leur cible en matière d'inflation. Et du côté des hausses salariales, c'est plus élevé que ce qu'il souhaite pour le 2 % en matière d'inflation. Donc, une bonne croissance de l'emploi, le taux de chômage vraiment très faible. On ne pense pas que ça va disparaître d'ici peu. Ils ont appuyé sur le bouton posent à la banque Canada, mais probablement qu'il y a un risque à la hausse comme à la baisse pour ce qui est de leur politique l'avenir. Ils ont reconnu dans leur énoncé je pense c'est clair, nous le savons, que l'économie canadienne est plus sensible aux donnés intérêts. Nos propres prévisions pensent qu'il y aura une moins bonne performance en comparaison des États-Unis. Donc il est insensé pour la banque Canada de se mettre en pause étant donné le l'incertitude dans le marché financier, secteur financier, et la contagion qui risque de se produire.
Ils nous ont dit depuis longtemps maintenant que pour réduire l'inflation, il doit avoir des conséquences de ses hausses des taux d'intérêt. Ce serait surtout le côté douloureux dans le marché du travail. Donc, aux États-Unis, le marché est très vigoureux, mais pourquoi est-ce qu'on n'a pas cet établissement Canada ici?
J'imagine que les banquiers se creusent la tête.
- Ça me paraît une bonne question. On a souvent constaté que ce n'est pas un indicateur précoce. Plutôt un indicateur tardif. Mais quoi qu'il en soit, en définitive, la pandémie ainsi que certaines des perturbations a constaté on fait en sorte que c'est plus difficile de prévoir la suite et que si l'il s'agit de modifier les variables économiques tardives ou précoces, il y a un certain ralentissement économique, et puis il y a même une accélération du côté du marché du travail. Parfois, ce sont des secteurs qui ne sont pas habituellement cycliques, de l'embauche par exemple certains gouvernementale et dans d'autres secteurs où on pourrait se dire que c'est ponctuel et que ça va se répéter. Quoi qu'il en soit, je suis d'accord que c'est un peu mystérieux. Dans toutes ces prévisions, tenant compte du ralentissement économique, on s'attend que la compression des marges et la demande aussi est des conséquences pour ce qui est de l'embauche qui va ralentir.
- Une chose qui me paraît important au Canada qui est un grand écart en comparaison avec les États-Unis, c'est la vitesse à laquelle la population croit, le facteur démographique. Oui, c'est impressionnant. Ça dépasse le million l'an passé. Une croissance démographique, qui place à la barre plus élevée pour ce qui est des emplois qu'on veut créer avant qu'il y ait des pressions sur le taux d'intérêt. Donc au Canada peut-être le taux de chômage a grimpé alors que l'économie ralentit, même s'il n'y a pas véritablement de perte d'emploi manifeste. Tout simplement parce qu'on on a une place plus admissible plus importante pour ce qui est du nombre d'emplois à créer au pays.
- Très intéressant. Bonne façon de commencer l'émission! Merci à James Marple qui nous reviendra pour répondre aux questions. On voyait@moneytalklivetd.com ou alors ici-même sur courtiers Web. Dans la case appropriée. Voyons un peu ce qu'il en est des marchés à leur actuel.
Ford indique son unité des véhicules électriques a perdu 2 milliards de dollars. L'an dernier, 3 milliards cette année. Le fabricant automobile de Détroit répartit ses résultats en trois secteurs: les véhicules électriques, véhicule à condition interne et vente au pacte de véhicules des entreprises et du gouvernement.
Ces deux autres secteurs ont connu le bénéfice de quelque 10 milliards de dollars. Le fabricant de Ski-Doo et de si doux prévoit une hausse continue cette année, une hausse de vente de 30 % pour le dernier trimestre, notamment grâce à l'introduction du six 12 –, petit bateau son ponton, la compagnie prévue québécoise prévoit aussi des hausses de vente supérieure à celle anticipée. Le fabricant d'avions d'affaires bombardier hausse ses prévisions. Ça été annoncé à la journée des investisseurs. 9 milliards de dollars en recettes annuelles d'ici 2025. C'est la cible. Bombardier évidemment ne fête que fabriquer depuis 2021 des avions. Le marché donc d'abord ici-même, et CPT X, une hausse de 127 %, un peu plus qu'un demi pour cent au sud de la frontière. Les investisseurs voient le climat macro-économique, ce qui se passe du côté des banques centrales, il semble vouloir racheter. La hausse de 60. De son côté, à 1 1/2 % de hausse. De nouveau James Marple de répondre aux questions sur l'économie.
Nous en avons une qui est très intéressant: évidemment, la chute des prix de l'immobilier résidentiel Canada.
Les conséquences pour les demies canadiennes?
- Il y a déjà des conséquences, on l'a vu dans les données économiques depuis 2022 déjà, la construction résidentielle était de plus en plus importante, pour ce qui est dans le PNB depuis plusieurs décennies c'est à la baisse. Une baisse de 30 %, parce que les ventes de résidences, s'entraîne évidemment des conséquences sur d'autres activités en matière de dépenses et de rénovation, si on pensa ce ralentissement depuis cette année, c'est passé de 3 % 2021 à 2 % en 2022. Et tout ça peut s'expliquer par la contraction au niveau de la soustraction, je dirais pour ce qui est de la construction résidentielle. Donc ça ralentit de façon importante déjà. Et puis il y a le marché de l'emploi, c'est un domaine dans lequel il y a un écart.
C'est-à-dire qu'il n'y a pas une réduction des activités qu'on a constatées ailleurs, dans d'autres domaines, peut-être que ça viendra. Et qu'il y aura une faiblesse à l'avenir un marché de l'emploi. Mais par ailleurs, les prix du résidentiel pèsent sur la capacité des consommateurs. Oui, l'effet de richesse.
Quand la valeur de sa maison augmente, on est prêt à dépenser plus.
- On peut emprunter puisque la valeur de la maison vaut plus et devient plus élevée. Donc on ne veut pas évidemment faire ça. Car les prix des maisons chutent.
Donc, nous verrons bien comment ou dans quelle mesure ça pèsera sur l'économie canadienne. Je dirais que probablement, le pire est déjà passé. Pour ce qui est, de la contraction de 20 % des prix de transaction des résidences. Le pic a été atteint au début de 2022.
Déjà, ça fait plus d'une année. À l'avenir, je pense que les taux hypothécaires ne vont pas grimper beaucoup plus. La banque du Canada maintenant à appuyer sur le bouton pause, et dans beaucoup de marché, l'équilibre de l'offre et de la demande est en perte et se répercute plutôt du côté du marché des vendeurs. Comme à Vancouver, ou dans ses coins, la portabilité est compromise. Et la demande est au plus faible. Il y aura peut-être des baisses de prix. Mais dans l'ensemble du marché, de l'immobilier résidentiel canadien, ça ne va pas, je ne pense pas beaucoup chuter. Ce qui nous donne à penser que le pire est passé.
- Oui, ça fait parti de l'histoire. C'est-à-dire qu'une autre facteur émigration. 1 million de nouveaux Canadiens pour la première fois dans notre histoire.
- Oui, c'est important! Évidemment, la demande est soutenue grâce à la croissance démographique. Et puis nous avons trop peu construit en comparaison de la croissance démographique. Pendant les dernières années.
En tenant compte, en ne tenant pas compte des facteurs cycliques, je pense que nous allons constater beaucoup de demandes en matière d'immobilier résidentiel dans les années à venir, parce qu'il n'y aura pas d'offre suffisante. Et les prix devront grimper.
- Bien intéressant! Question de nos auditeurs: vos intentions l'économie du Canada par opposition aux États-Unis et au reste du monde cette année?
- Je pense que dans les deux cas, nous prévoyons, si on pensa l'économie mondiale ou des économies avancées, on peut les placer, les regrouper. L'économie canadienne va un peu moins bien réussir que l'économie américaine, étant donné la hausse des ménages, et les taux d'intérêt. Et nous perdons évidemment que l'économie américaine ralentit. C'est un marché d'exportation important pour nous. Donc on ne va pas, la croissance est proche de zéro au Canada, et aux États-Unis, et en Europe, en fait, les choses se sont améliorées ces derniers mois. Grâce notamment au climat. Il n'y a pas eu un hiver trop rigoureux qui aurait entraîné des problèmes, évidemment s'il y avait eu un manque d'énergie à cause de la guerre en Ukraine. Quoi qu'il en soit, ça ne s'est pas matérialisé. Il y aura probablement une croissance plus lente qu'en Amérique du Nord à long terme, mais pour un meilleur avenir, je crois que c'est autour de 0 %, la croissance des économies européennes. Si on réfléchit maintenant au reste du monde, en Chine, ça s'améliore parce que les confinements de la COVID de son lever et qu'il y a une demande accrue à la suite de la fin des confinements.
Là-bas, il continue à faire face à des défis pour ce qui est de la croissance sur les marchés de l'immobilier, et ils ont une perte évidemment du commerce avec les pays occidentaux. Il y aura moins de croissance attribuable à cela. Mais je dirais une croissance de 5 % en Chine et dans les marchés émergents, une croissance positive est moins poussée que dans un passé récent. Je dirais que pour le Canada, on est à peu près comparable aux pays développés pour ce qui est de l'accélération de l'économie.
- Quand on tient compte des facteurs macro-économiques et cycliques, j'ai eu récemment des choses intéressantes. C'est-à-dire que cette croissance démographique importante au Canada grâce à l'immigration soutient la hausse du PNB et maintien, ça ne contribue pas vraiment à la productivité.
- Non, vous avez raison, malheureusement. Et évidemment, la hausse du niveau de vie doit provenir de la productivité! Et étant donné qu'il y a de plus en plus d'employés, au Canada, ça veut dire que la productivité est moins élevée et ça signifiera une hausse moins marquée du niveau de vie au pays à l'avenir. C'est un défi, un défi qui existe depuis longtemps pour l'économie canadienne. Il faut plus d'investissement pour obtenir une meilleure croissance, une meilleure productivité. J'espère que ça va se produire à l'avenir. Donc ça reste un défi et ça limite la hausse du niveau de vie au Canada comparé aux États-Unis.
- Il y a des gens qui voudraient partir en vacances aux États-Unis. Ça coûte plus cher qu'avant. Maintenant, qu'en est-il de la devise canadienne?
- Évidemment, l'économie va subir les répercussions du dollar américain, ces dernières années, maintenant, nous commençons été conjugués avec le fait que la banque Canada à appuyer sur le bouton pause alors qu'aux États-Unis, ils vont peut-être continuer de hausser les taux d'intérêt. La Fed a annoncé 25 points de base, mais les marchés commencent à prévoir des réductions des taux d'intérêt. De la Fed et de la banque du Canada dans un proche avenir. La pression à la baisse sur le dollar canadien, c'est à peu près relevé. Si nos prévisions s'avèrent justes, les deux économies feront face à un ralentissement économique et peu de croissance économique. Donc il n'y aurait pas beaucoup de hausse du taux de chômage. Et la devise canadienne en restera à peu près au niveau actuel. Je ne veux pas prédire ce qui va se passer en 2024, mais probablement que notre dollar mérite d'être côté un peu plus haut. Il y aura peut-être un rebondissement.
- Des auditeurs ces derniers mois qui suivent ce qui s'est passé du côté des devises de nos deux pays ce disque si ça continue, on va importer de l'inflation parce qu'on achète beaucoup de choses États-Unis, ça coûtera plus cher crée un problème d'inflation.
- La banque du Canada doit en tenir compte, alors qu'elle s'écarte des politiques de la Fed américaine.
Comme vous l'avez indiqué, ça fait parti des facteurs dont ils doivent tenir compte en matière d'inflation.
Suivant que le dollar canadien faiblit, ça modifie les perspectives en matière d'inflation et de productivité, on doit revoir nos politiques. Il y a des limites à cet écart des politiques économiques ou monétaires entre les deux pays. Cela je vous rappelle avant de prendre les décisions en matière de placement, faites vos propres recherches. James nous reviendra bientôt. Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous à nous envoyer un courriel, moneytalklivetd.com.
Maintenant passons domaine de l'éducation.
- Quand on investit, il faut évidemment s'intéresser aux nouvelles. Nous avons des outils à vous offrir. Donc que nous vois Arauna qui est spécialiste en matière de formation des investisseurs, je l'accueil. Bienvenue.
Serge comment rester au courant de ce qui passe dans les marchés?
- Pour les mentionner déjà au début de l'émission, Greg, il y a des conséquences, les nouvelles de la fête sur le marché, ça s'est passé hier. Pour nous investisseurs qui veulent rester au courant des conséquences de ces grands nouvelles sur le marché, ils peuvent le faire en utilisant diverses d'outils donc courtiers Web. Une fois dans courtiers Web, sur la page d'accueil, vous êtes en mesure de voir une mise à jour des marchés pour les actions canadiennes et américaines pour les investisseurs qui s'intéressent. Il y a eu une chute dans les marchés vers 14 heures après l'annonce de la fête. Pour les messes investisseurs qu'il reste au courant et savoir quoi anticiper, ils peuvent le faire en utilisant les rapports qu'on voit sur l'écran.
Par exemple, il y en a un sur les nouvelles aux États-Unis, au Canada, ici j'ai cliqué sur les nouvelles américaines. Et ce rapport indique aux investisseurs les principales nouvelles pour cette journée-là. Et vous donnez une idée des titres à surveiller. Notamment dans ce cadre le marché américain. Et puis pour rester au courant des nouvelles intéressantes, les actualités, vous allez dans recherches, et puis nouvelles et commentaires. Et donc que sur cette page encore une fois, sur cette page je peux choisir le marché canadien ou américain, dans ce cas si on choisira américain pour avoir des nouvelles et des commentaires et si ça vous intéresse d'avoir des nouvelles sur tel ou tel secteur d'activité ou entreprise, vous pouvez taper les mots-clés pour voir des articles au sujet de tel ou tel point qui vous intéresse. Disons les taux d'intérêt ici. Je fais ma requête, il y a plus de 800 articles aujourd'hui. Donc les nouvelles les plus récentes, je peux voir les conséquences de la haute des taux d'intérêt aux États-Unis, et enfin, puisque je suis sur cette page, si je vais tuer cette information, je peux le faire en passant du côté droit de l'écran. Et là, je vois des vidéos, mise à jour de la part de parlons argent en direct et de Morning star et ça nous intéressait au courant évidemment. Serge intéressant, nous quoi, une raison pour laquelle nous voulons rester au on courant des nouvelles de l'actualité, c'est que ça peut avoir des conséquences sur le marché. Donc j'aimerais voir maintenant les réactions des marchés.
- Oui, très bien! Alors, la Fed hier évidemment annonçait quelque chose d'important. Les marchés ont chuté dans certains cas d'un, 6 %, dans certains secteurs. Si vous n'avez pas le temps comme investisseurs pour de passer votre journée sur les courtiers Web, vous pouvez utiliser des alertes. On voit comment les investisseurs peuvent créer des alertes. Dans courtiers Web, je choisis l'indice précis, un indice boursier qui m'intéresse. Et si par exemple je fais définir, et je choisis le Dow Jones, industriel, les 30 principales compagnies et aux États-Unis dans ce secteur industriel, et je choisis ici les tableaux. Donc, une fois sur cette page, je vois des graphiques, après 14 arrières on a vu la chute des marchés, et j'affiche ici à l'écran la comparaison avec le TSX et vous voyez comment ça réagit sur le TSX.
Au bas de l'écran, on a aussi les volumes de transactions. Il y a une pique très prononcée ce matin.
Vous l'avez dit, Greg, les marchés se remettent de la chute d'hier, mais si je restais au courant que je suis très occupé, je n'ai pas l'occasion de faire moi-même une analyse, je peux cliquer sur création d'alerte tout en haut de l'écran. Une fois que je leur ai faite, alerte s'affiche et c'est là que j'ai l'occasion de choisir par exemple une mise à jour toutes les fois qu'il y a un écart de 2,5 % dans tel ou tel indice. Ça peut maintenant mettre envoyer par courriel, je peux recevoir un avis qui est poussé, qui est envoyé sur mon dispositif mobile, mon téléphone par exemple, ou je peux dire 10 % comme seuil, et puis si je vais savoir pourquoi tel ou tel indice sentir mieux qu'un autre, pour une certaine période, je peux créer des alertes pour ça aussi. Donc c'est une bonne façon pour les investisseurs de rester au courant de ce qui se passe dans les marchés.
- Intéressant! Merci beaucoup, Nugwa Haruna. Je suis toujours ravi de vous retrouver Nugwa Haruna qui est responsable de la formation chez placement direct TD.
Allez voir nos vidéos et nos classes de maître webinaire. Avant de retourner à vos questions, je vous rappelle comment communiquer avec nous.
Si vous avez des questions sujet déplacement ou de ce qui se passe dans le marché, nos invités ont hâte de vous entendre. Envoyez-nous vos questions de façon sont passées, vous nous envoyez un courriel à tout moment à l'adresse qui figure à l'écran, ou encore vous pouvez utiliser la case des questions ici-même sur notre écran. Tapez votre question et cliquer pour nous l'envoyer. On verra si un de nos invités pour vous répondre immédiatement. De nouveau, James Marple pour répondre à vos questions. On reçoit beaucoup de questions. En voici une maintenant: est-ce que vous pensez que ce qui est arrivé aux banques américaines c'est une idiot Croatie ou si c'est systémique?
- Est-ce que les choses vont empirer? Comment agir sur les choses empirer? Donc est-ce que c'était particulier à telle ou telle banque ce qui s'est passé hier?
D'après tout ce que j'ai vu et lu au sujet des facteurs de stress du côté de la banque, c'était propre à cette banque, c'était particulier. Ils ont eu une perte de dépôt, c'était sans précédents, et donc ils avaient moins prévu de choses du côté de leurs actifs. Il n'était pas protégé, il n'avait pas de couverture.
C'était propre à cette banque, ce n'est pas quelque chose qu'on retombe général. Évidemment, toutes les fois qu'il y a une nouvelle comme celle-là, à l'effet qu'il y a eu quelques pas d'un grave problème alors que l'économie, on est inquiet d'une récession passée, il y a toujours un risque qu'il y a une perte de confiance qui a un effet de cascade. C'est la raison pour laquelle les décideurs ont opté pour ses mesures, pour protéger les dépôts de ses banques, pour rassurer les gens. Il y avait de bonnes raisons d'agir ainsi, mais quand on lutte contre une panique, un vent de panique et qu'il y a un choc qui affecte la confiance des risques des inquiétudes que ça part tant peur. Grosso modo, il y a de bonnes raisons de penser que c'était particulier, c'est un événement ponctuel. Ce n'est pas tant que ça influence la couleur la décision de la Fed.
On a pensé que les taux d'intérêt grimperaient peut-être à 50 points de base. Donc, ils ont un peu ramené leur position, si je puis dire, c'était 25. Dans le système bancaire, on a dit que ça reste sain, mais il faut en tenir compte.
- Pour eux de décider qu'on avait constaté que le crédit commence à coûter plus cher, notamment pour les banques de taille moyenne de plus petite taille qui ont besoin de crédit pour fonctionner. Donc la Fed on tient compte. Il pose des questions en faite au responsable de ses banques. On a un peu resserré les choses ont tenant compte de l'activité économique, et quand ça se produit. Il y a évidemment un peu de retard dans la réaction. Il y a moins de croissance, moins de dépenses du côté des articles qui sont sensibles aux hausses de taux d'intérêt. C'est un peu comme une hausse des taux d'intérêt. Ne savent pas exactement quelle est l'ampleur des décisions de ses responsables, dans le secteur privé. Pour réduire l'inflation pour atteindre la cible. Retirer les conditions financières, ralentir la demande, et on obtient ses résultats tout simplement à cause des événements qui se sont produits récemment.
Autre question, probablement une question qui suit les banques centrales et ce qu'ils font et qui dit, on parle souvent de l'indice des prix à la consommation, d'IPC, mais parfois les banques centrales s'intéressent à l'indice des prix calculés à partir des dépenses finales. Pouvez-vous nous parler de tout cela?
- Li PDF, on entend souvent dans la presse, et même la banque du Canada. On évoque de plus en plus souvent.
Plus souvent qu'aux États-Unis, où on insiste plutôt sur l'IPC. Ce sont des indices des prix qui acceptent de suivre lancer un ensemble de biens de produits, mais il IPC, ou la pondération de ses biens ne change pas aussi souvent que dans Li PDF. L'indice des prix calculés à partir des dépenses finales qui entrent dans le PNB, ce qui se dépense à tout moment donné, alors que ses patrons de dépenses changent, ce panier de produits échange. Et donc ce que mesure cet indice change. L'IPC, c'est plus stable, ça tient moins compte des changements rapides dans les dépenses. Alors, alors que les prix de certains articles grainent, les gens achètent moins, il y a moins de hausse de prix dans cette année. C'est moins prononcé que si les patrons de consommation ne changeaient pas. Le CPI grimpe un peu vite que Li PDF. Cette mise à jour constante du panier de produits, raison pour laquelle la banque centrale préfère ça, parce que ça reflète mieux ce que font véritablement les consommateurs ce jour-là. Il y a d'autres écarts entre les deux indices pour ce qui est de la pondération de divers articles, notamment tout spécialement les dépenses en soins de santé. Et dans l'IPC, c'est moins important dans la pondération générale alors que dans les PDF, on a des dépenses du côté des assurances qui payent ce qu'on consomme les ménages. Alors, au quotidien, ça peut changer un peu les choses. On a constaté ces dernières années. Une pondération plus élevée en matière d'énergie dans l'IPC. Alors que les prix de l'énergie grimpaient beaucoup. L'écart était plus prononcé entre les deux indices.
- Parfois, ils croissent à la même vitesse, mais le point important à retenir, c'est qu'il y a ces paniques sont remis à jour contact constamment du côté de Li PDF S est la raison pour laquelle afin de décider que ce serait le principe principal indice dont elle tiendrait ton compte. Cherche un autre sujet intéressant: si vous pensez que la réduction des taux d'intérêt risque encore de se produire cette année ou pas?
- Alors, Monsieur Jérôme Powell a dit qu'on ne prévoit pas de réduction des taux d'intérêt cette année.
- Avait pas acquis vous poser la question. Si vous posez la question au marché, on prévoit des réductions de taux d'intérêt. Dès le mois de mai. Pas un point de base au complet mais enfin. La Fed continue de dire que tant que l'inflation est importante, et que l'économie sentit plutôt bien, ils vont continuer de hausser les taux d'intérêt. Mais je vous dirai qu'étant donné la matière d'inflation, la probabilité d'une réduction est réduite. À moins qu'on constate une détérioration marquée de l'économie, l'activité économique.
Évidemment il y a plus d'incertitude sur le cours des événements récents dans le secteur bancaire, mais notre prédiction et notre prédiction séculière un ralentissement de la croissance économique un peu plus de chômage, et qui contribueront à atteindre la cible des banques centrales. Donc il y aura peut-être une autre hausse au mois de mai de la part du banque centrale américaine, la Fed, mais enfin quand, probablement qu'ils vont réduire les taux d'intérêt plus tard. S'ils obtiennent résultats qu'il souhaite.
C'est-à-dire moins d'inflation, moins de croissance économique, ils vont ramener le taux d'intérêt à un niveau plus neutre quand ça se produira, on parle incertitude, mais probablement qu'à l'avenir, les taux d'intérêt vont baisser. Peut-être pas cette année mais tôt ou tard. Cherche très bien. De nouveaux des questions auxquelles nous reviendront. Pour le reste, assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre les décisions en matière de placement. Vous pouvez communiquer à tout moment nous voyons en nous envoyant votre question par courriel moneytalklivetd.com, nos invités veulent vous entendre.
Envoyez-nous par courriel à l'adresse qui figure à l'écran, ou encore en tapant votre question dans la case prévue à cet effet. Au bas de l'écran. Ici-même.
Donc tapez votre question et cliquez sur envoyer. On verra si un de nos invités pour vous répondre ici même à notre mission. Les marchés, d'abord B Street, TSX est toujours en pause. Du côté positif. Une hausse de 92 %.
92., Pardon. Waste Texas avait un peu grimpé ce matin, mettant il a un peu baissé à 70 $ le baril. Ça a des conséquences sur le secteur de l'énergie. Bombardier évidemment, les avions d'affaires, ils ont eu une hausse dans la journée les investisseurs, ils ont aussi leurs prévisions au cours de l'année. Alors c'est intéressant. Ils sont en hausse de 8 % pour la journée.
Maintenant Bettex, un gain modeste. C'est un peu plus fort ce matin, mais 4,66 $, ça reste positif. Une hausse de dessous. Au sud de la frontière, ça grimpe toujours. Le SIP 500, presque 1/2 %. Le Nasdaq, une hausse de presque 2 % de ce côté. C'est quand même très intéressant 227. De hausse. Et maintenant, Nvidia le fabricant de puces fait parti des nouvelles. Donc 274 $, le cours de l'action, une hausse de trois et demis pour cent. De nouveau, James Marple pour parler de l'économie. On attend vos questions. Parlons du prix du pétrole brut. Qu'est-ce qui s'annonce pour l'économie canadienne?
- En 2014 évidemment il y avait eu une baisse importante. Ce serait moins important aujourd'hui.
Donc, pour le secteur pétrolier, le cours du pétrole évidemment, c'est très important par définition. Et dans ce secteur, il y a des problèmes à long terme, il y a des transitions énergétiques. Alors, ce n'est pas tout à fait ce qu'on a vécu dans le passé. Les prix plus faibles pour l'énergie vont réduire l'inflation et vont avoir des changements sur le portefeuille des consommateurs, il va y va y avoir des changements sur les ménages, quand il y a des prix pétroliers plus faibles, le Canada exporte beaucoup. Dans le secteur énergétique. Et probablement que c'est un peu négatif étant donné qu'on exporte beaucoup de ce côté. Mais encore une fois, c'est presque neutre, étant donné les avantages pour les consommateurs. On a un peu parlé de ses problèmes par ma démission, mais ce qu'il y a toujours un risque de récession cette année?
- Tu mentirais si je disais non. Il y a toujours un risque. À tout moment. Mais vous le savez, les risques augmentent les banques centrales cherchent lutter contre l'inflation. Et ils doivent moins réagir aux variations de l'activité économique. Car une partie de leur mandat leur impose de lutter contre l'inflation.
Quand les banques centrales haussent les taux d'intérêt, le plus grand risque de briser quelque chose. Il y a quelque chose effectivement qui a brisé dans le secteur bancaire. On pense que c'est relativement limité, mais somme toute, ça hausse quand même le risque de récession. Je pense que nous sommes passés en matière de prévisions au point où, si on ne passe une récession ou un atterrissage en douceur, qu'il y aura un ralentissement véritable de l'activité économique. Et une hausse du chômage. Et je vous dirais que c'est devenu ceux à quoi on s'attend. On appelle ça récession ou non, ça reflète la probabilité qu'on se retrouve dans ce genre de situation.
- Une autre question: qu'est-ce que vous prévoyez pour ce qui est du budget? Le budget fédéral, celui de l'Ontario qui sera annoncé aujourd'hui je crois. Est-ce que plus de dépense poussera l'inflation à la hausse?
- Les dépenses gouvernementales et les conséquences.
- Eh bien, on est un peu au courant des priorités du gouvernement du Canada. Ça été passait comme message.
Il veut dépenser sur des initiatives vertes, écologiques, mais surtout, après ce qu'on a vu aux États-Unis, la loi sur la réduction de la pollution, l'électrification, je pense que le gouvernement du Canada va beaucoup en tenir compte. Évidemment, les soins de santé, c'est aussi un domaine dans lequel il y a déjà des initiatives de la part des provinces. On va probablement en parler, mais par ailleurs, et le ministre des finances n'a annoncé, ce sont les mesures restrictives en matière fiscale. La pandémie a fait en sorte qu'il y a eue beaucoup de dépenses de l'apport du trésor public, et ça augmentait les déficits ces dernières années. Maintenant, on va peut-être passer dans l'autre direction. Un demi ou 1 %, en comparaison avec le PNB. Beaucoup moins que pendant la pandémie. On s'en tient des mesures plus conservatrices. Alors évidemment, s'il y avait plus de mesures pour relancer l'économie, ce serait difficile de lutter contre l'inflation. Je pense que les changements seront plutôt limités à cause de la prudence de la part du gouvernement fédéral dans ses prévisions, à cause de l'incertitude sur le plan économique. Ils vont recevoir des revenus un peu plus élevés que prévu, et pourront dépenser un peu plus par conséquent, mais on a constaté dans le passé, dans les budgets précédents, qu'ils ne dépensent pas tous d'une seule traite. Bref, ce sera un peu semblable comme trajectoire. Et nous allons voir dans quelle mesure ils tiennent compte de l'incertitude. Il faut économiser en vue des situations plus difficiles. Donc ce ne sera sans doute pas un budget très généreux à cet égard.
- Ça nous fait toujours plaisir de vous recevoir, James.
À la prochaine. James Marple économiste principal à la TD. Demain, mise à jour sur les marchés, et lundi, David Mau gestionnaire de portefeuille sera notre invité. Elle répondra à vos questions sur les actions des secteurs industriels. Vous pouvez nous envoyer d'avance vos questions par courriel. C'est tout pour nous aujourd'hui! Merci d'avoir été des nôtres et à demain!
Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons argent en direct, votre émission de Placements Directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et réponde nt à vos questions sur les placements, aujourd'hui, nous allons aborder ce qui s'annonce pour ce qui est des taux d'intérêt après que la Fed ait indiqué qu'il y en aurait peut-être pas beaucoup à l'avenir. Et puis, en termes d'éducation, Nugwa Haruna vous montrera comment vous pouvez trouver des alertes sur la plateforme. Voici comment communiquer avec nous: envoyez-nous vos questions par courriel à moneytalklivetd.com ou utilisez la case prévue à cet effet ici-même sur l'écran. Avant d'accueillir notre invité, voyons un peu ce qui se passe dans les marchés.
Remontée intéressante, c'était bien de voir la réaction des marchés après l'annonce de la Fed hier à 14 heures, la décision en conférence de presse, les marchés ne savaietnt pas s'il s voulaient grimper ou chuter. Mais en fin de journée, ça avait chuté. Aujourd'hui on se rattrape. On commence par Toronto, 19 963 TSX, un gain de 120; un peu plus fort que lui pour cent. Les gens sont prêts à assumer plus de risques. Voyons ce qui s'élève en matière de technologie.
Shopify annonce 1/2 %. Teck Resources grimpe aussi de deux et demi pour cent. Maintenant, au sud de la frontière, c'est intéressant aussi. Donc on commence par la SCP 500. Donc une hausse d'un et demi pour cent, 59.. Le Nasdaq sentira encore mieux, un peu plus de 2 % de hausse. Mais les actions de bloc sont à la baisse.
Il y a un rapport défavorable. 63,21 $, une baisse presque 13 %.
Bien sûr la fin des États-Unis à hausser les taux d'intérêt de 25 points de base. Les banques centrales de par le monde prennent des décisions semblables alors qu'il y a évidemment des remises en dans le secteur bancaire. C'est peut-être la fin du cycle aussi de ton intérêt. Nous allons entendre James inégal, économiste principal chez nous, ravis de vous accueillir. Nous sommes en 15 entrées de voir les effets. Cela je pense la bonne décision.cc'est ce que le marché prévoyait, 25 points de base haussent voici ce qu'ils ont livré par marchandise.on s'attendait une pause dans les remous du secteur financier, mais c'est intéressant que voir la les événements récents, on s'attendait à une hausse des taux d'intérêt qui aurait pu atteinte 50 points de base. Étant donné ce qui se passait côté inflation, on aurait pu comprendre. Évidemment, la hausse de l'emploi a beaucoup grimpé, beaucoup plus rapidement qu'on aurait prévu par ailleurs, mais l'inflation reste très présente. Ils veulent faire baisser, une hausse des taux d'intérêt avait été indiquée, par ailleurs, il y a plusieurs choses qui se passent dans le secteur bancaire.
- La banque, c'est dur ce qui se passe. Il y a deux semaines, on parlait de pousser un peu plus loin pour les taux d'intérêt, 50 points de base peut-être, disait Monsieur Jérôme Powell. On a une hausse de seulement 25. On ne sait pas où ça ira, mais il y a des conditions économiques en matière du marché et ça reste salut aux États-Unis. Ça semble compliqué pour la fille: - Ça se reflète dans leur annoncer dans la conférence de presse du président de la Fed qui a parlé de l'incertitude à laquelle fait face la fête. Tous les prévisionnistes aussi sont aux prises avec ce problème.
Combien faut-il resserrer les conditions financières?
Probablement que ce sera un peu plus resserré.
Notamment du côté des plus petites banques qui ont subi des pressions. Qu'est-ce que ça voudra dire pour l'économie? On ne sait plus ou moins. Nous pouvons évidemment chercher les corrélations historiques. Mais c'est un peu sans précédents, surtout la vitesse à laquelle tout se passe. Ces changements dans le secteur financier. Qui s'annonce pour la décennie à venir. On devine un peu, on peut dire à mon avis que quand les conditions financières seront resserrées, ça aura tendance à faire en sorte qu'il y ait moins de demandes, moins d'activité économique. En un sens, ça replace ce que la fête cherche à faire en haussant les taux d'intérêt. Ça paraît insensé pour la Fed de dire que peut-être que c'est presque la fin du cycle haussier des taux d'intérêt. Il faudra voir les données économiques, au fur et à mesure que la situation évoluera. Et voir ce qu'on constate du côté des prêts et des dépôts, des prêts commerciaux, les prêts du côté du secteur hypothécaire. &. Donc, on verra bien. Et nous continuons d'analyser pour voir si les choses vont se calmer et revenir à la normale, ou s'il y aura de nouvelles hausses de taux d'intérêt. Personne ne le sait pour l'instant.
- Évidemment, on verra plus tard. Donc la banque d'Angleterre maintenant, la banque nationale de la suite qui ose les taux d'intérêt, ici au Canada, on appuie sur le bouton pause. La banque du Canada a prie cette décision. On n'a pas l'habitude de recevoir des nouvelles aussi précises de la banque Canada. Qui envoie plus de renseignements que d'habitude. Qu'est-ce que ça implique?
- Oui, c'était à 13h30, avant même la fête qu'ils ont annoncé leur décision du côté de la banque Canada. Quoi qu'il en soit, oui. Rien de trop étonnant de ce côté.
Nous avons un peu mieux compris comment est-elle inflation, ce qu'il faut à accomplir pour que l'inflation baisse, les valeurs ciblent. Nous avons vu que ça continue du côté du marché du travail, mais on a annoncé en matière d'inflation notamment que le constat des footings en effet que ils ont dépassé le niveau qu'il pensait nécessaire pour atteindre leur cible en matière d'inflation. Et du côté des hausses salariales, c'est plus élevé que ce qu'il souhaite pour le 2 % en matière d'inflation. Donc, une bonne croissance de l'emploi, le taux de chômage vraiment très faible. On ne pense pas que ça va disparaître d'ici peu. Ils ont appuyé sur le bouton posent à la banque Canada, mais probablement qu'il y a un risque à la hausse comme à la baisse pour ce qui est de leur politique l'avenir. Ils ont reconnu dans leur énoncé je pense c'est clair, nous le savons, que l'économie canadienne est plus sensible aux donnés intérêts. Nos propres prévisions pensent qu'il y aura une moins bonne performance en comparaison des États-Unis. Donc il est insensé pour la banque Canada de se mettre en pause étant donné le l'incertitude dans le marché financier, secteur financier, et la contagion qui risque de se produire.
Ils nous ont dit depuis longtemps maintenant que pour réduire l'inflation, il doit avoir des conséquences de ses hausses des taux d'intérêt. Ce serait surtout le côté douloureux dans le marché du travail. Donc, aux États-Unis, le marché est très vigoureux, mais pourquoi est-ce qu'on n'a pas cet établissement Canada ici?
J'imagine que les banquiers se creusent la tête.
- Ça me paraît une bonne question. On a souvent constaté que ce n'est pas un indicateur précoce. Plutôt un indicateur tardif. Mais quoi qu'il en soit, en définitive, la pandémie ainsi que certaines des perturbations a constaté on fait en sorte que c'est plus difficile de prévoir la suite et que si l'il s'agit de modifier les variables économiques tardives ou précoces, il y a un certain ralentissement économique, et puis il y a même une accélération du côté du marché du travail. Parfois, ce sont des secteurs qui ne sont pas habituellement cycliques, de l'embauche par exemple certains gouvernementale et dans d'autres secteurs où on pourrait se dire que c'est ponctuel et que ça va se répéter. Quoi qu'il en soit, je suis d'accord que c'est un peu mystérieux. Dans toutes ces prévisions, tenant compte du ralentissement économique, on s'attend que la compression des marges et la demande aussi est des conséquences pour ce qui est de l'embauche qui va ralentir.
- Une chose qui me paraît important au Canada qui est un grand écart en comparaison avec les États-Unis, c'est la vitesse à laquelle la population croit, le facteur démographique. Oui, c'est impressionnant. Ça dépasse le million l'an passé. Une croissance démographique, qui place à la barre plus élevée pour ce qui est des emplois qu'on veut créer avant qu'il y ait des pressions sur le taux d'intérêt. Donc au Canada peut-être le taux de chômage a grimpé alors que l'économie ralentit, même s'il n'y a pas véritablement de perte d'emploi manifeste. Tout simplement parce qu'on on a une place plus admissible plus importante pour ce qui est du nombre d'emplois à créer au pays.
- Très intéressant. Bonne façon de commencer l'émission! Merci à James Marple qui nous reviendra pour répondre aux questions. On voyait@moneytalklivetd.com ou alors ici-même sur courtiers Web. Dans la case appropriée. Voyons un peu ce qu'il en est des marchés à leur actuel.
Ford indique son unité des véhicules électriques a perdu 2 milliards de dollars. L'an dernier, 3 milliards cette année. Le fabricant automobile de Détroit répartit ses résultats en trois secteurs: les véhicules électriques, véhicule à condition interne et vente au pacte de véhicules des entreprises et du gouvernement.
Ces deux autres secteurs ont connu le bénéfice de quelque 10 milliards de dollars. Le fabricant de Ski-Doo et de si doux prévoit une hausse continue cette année, une hausse de vente de 30 % pour le dernier trimestre, notamment grâce à l'introduction du six 12 –, petit bateau son ponton, la compagnie prévue québécoise prévoit aussi des hausses de vente supérieure à celle anticipée. Le fabricant d'avions d'affaires bombardier hausse ses prévisions. Ça été annoncé à la journée des investisseurs. 9 milliards de dollars en recettes annuelles d'ici 2025. C'est la cible. Bombardier évidemment ne fête que fabriquer depuis 2021 des avions. Le marché donc d'abord ici-même, et CPT X, une hausse de 127 %, un peu plus qu'un demi pour cent au sud de la frontière. Les investisseurs voient le climat macro-économique, ce qui se passe du côté des banques centrales, il semble vouloir racheter. La hausse de 60. De son côté, à 1 1/2 % de hausse. De nouveau James Marple de répondre aux questions sur l'économie.
Nous en avons une qui est très intéressant: évidemment, la chute des prix de l'immobilier résidentiel Canada.
Les conséquences pour les demies canadiennes?
- Il y a déjà des conséquences, on l'a vu dans les données économiques depuis 2022 déjà, la construction résidentielle était de plus en plus importante, pour ce qui est dans le PNB depuis plusieurs décennies c'est à la baisse. Une baisse de 30 %, parce que les ventes de résidences, s'entraîne évidemment des conséquences sur d'autres activités en matière de dépenses et de rénovation, si on pensa ce ralentissement depuis cette année, c'est passé de 3 % 2021 à 2 % en 2022. Et tout ça peut s'expliquer par la contraction au niveau de la soustraction, je dirais pour ce qui est de la construction résidentielle. Donc ça ralentit de façon importante déjà. Et puis il y a le marché de l'emploi, c'est un domaine dans lequel il y a un écart.
C'est-à-dire qu'il n'y a pas une réduction des activités qu'on a constatées ailleurs, dans d'autres domaines, peut-être que ça viendra. Et qu'il y aura une faiblesse à l'avenir un marché de l'emploi. Mais par ailleurs, les prix du résidentiel pèsent sur la capacité des consommateurs. Oui, l'effet de richesse.
Quand la valeur de sa maison augmente, on est prêt à dépenser plus.
- On peut emprunter puisque la valeur de la maison vaut plus et devient plus élevée. Donc on ne veut pas évidemment faire ça. Car les prix des maisons chutent.
Donc, nous verrons bien comment ou dans quelle mesure ça pèsera sur l'économie canadienne. Je dirais que probablement, le pire est déjà passé. Pour ce qui est, de la contraction de 20 % des prix de transaction des résidences. Le pic a été atteint au début de 2022.
Déjà, ça fait plus d'une année. À l'avenir, je pense que les taux hypothécaires ne vont pas grimper beaucoup plus. La banque du Canada maintenant à appuyer sur le bouton pause, et dans beaucoup de marché, l'équilibre de l'offre et de la demande est en perte et se répercute plutôt du côté du marché des vendeurs. Comme à Vancouver, ou dans ses coins, la portabilité est compromise. Et la demande est au plus faible. Il y aura peut-être des baisses de prix. Mais dans l'ensemble du marché, de l'immobilier résidentiel canadien, ça ne va pas, je ne pense pas beaucoup chuter. Ce qui nous donne à penser que le pire est passé.
- Oui, ça fait parti de l'histoire. C'est-à-dire qu'une autre facteur émigration. 1 million de nouveaux Canadiens pour la première fois dans notre histoire.
- Oui, c'est important! Évidemment, la demande est soutenue grâce à la croissance démographique. Et puis nous avons trop peu construit en comparaison de la croissance démographique. Pendant les dernières années.
En tenant compte, en ne tenant pas compte des facteurs cycliques, je pense que nous allons constater beaucoup de demandes en matière d'immobilier résidentiel dans les années à venir, parce qu'il n'y aura pas d'offre suffisante. Et les prix devront grimper.
- Bien intéressant! Question de nos auditeurs: vos intentions l'économie du Canada par opposition aux États-Unis et au reste du monde cette année?
- Je pense que dans les deux cas, nous prévoyons, si on pensa l'économie mondiale ou des économies avancées, on peut les placer, les regrouper. L'économie canadienne va un peu moins bien réussir que l'économie américaine, étant donné la hausse des ménages, et les taux d'intérêt. Et nous perdons évidemment que l'économie américaine ralentit. C'est un marché d'exportation important pour nous. Donc on ne va pas, la croissance est proche de zéro au Canada, et aux États-Unis, et en Europe, en fait, les choses se sont améliorées ces derniers mois. Grâce notamment au climat. Il n'y a pas eu un hiver trop rigoureux qui aurait entraîné des problèmes, évidemment s'il y avait eu un manque d'énergie à cause de la guerre en Ukraine. Quoi qu'il en soit, ça ne s'est pas matérialisé. Il y aura probablement une croissance plus lente qu'en Amérique du Nord à long terme, mais pour un meilleur avenir, je crois que c'est autour de 0 %, la croissance des économies européennes. Si on réfléchit maintenant au reste du monde, en Chine, ça s'améliore parce que les confinements de la COVID de son lever et qu'il y a une demande accrue à la suite de la fin des confinements.
Là-bas, il continue à faire face à des défis pour ce qui est de la croissance sur les marchés de l'immobilier, et ils ont une perte évidemment du commerce avec les pays occidentaux. Il y aura moins de croissance attribuable à cela. Mais je dirais une croissance de 5 % en Chine et dans les marchés émergents, une croissance positive est moins poussée que dans un passé récent. Je dirais que pour le Canada, on est à peu près comparable aux pays développés pour ce qui est de l'accélération de l'économie.
- Quand on tient compte des facteurs macro-économiques et cycliques, j'ai eu récemment des choses intéressantes. C'est-à-dire que cette croissance démographique importante au Canada grâce à l'immigration soutient la hausse du PNB et maintien, ça ne contribue pas vraiment à la productivité.
- Non, vous avez raison, malheureusement. Et évidemment, la hausse du niveau de vie doit provenir de la productivité! Et étant donné qu'il y a de plus en plus d'employés, au Canada, ça veut dire que la productivité est moins élevée et ça signifiera une hausse moins marquée du niveau de vie au pays à l'avenir. C'est un défi, un défi qui existe depuis longtemps pour l'économie canadienne. Il faut plus d'investissement pour obtenir une meilleure croissance, une meilleure productivité. J'espère que ça va se produire à l'avenir. Donc ça reste un défi et ça limite la hausse du niveau de vie au Canada comparé aux États-Unis.
- Il y a des gens qui voudraient partir en vacances aux États-Unis. Ça coûte plus cher qu'avant. Maintenant, qu'en est-il de la devise canadienne?
- Évidemment, l'économie va subir les répercussions du dollar américain, ces dernières années, maintenant, nous commençons été conjugués avec le fait que la banque Canada à appuyer sur le bouton pause alors qu'aux États-Unis, ils vont peut-être continuer de hausser les taux d'intérêt. La Fed a annoncé 25 points de base, mais les marchés commencent à prévoir des réductions des taux d'intérêt. De la Fed et de la banque du Canada dans un proche avenir. La pression à la baisse sur le dollar canadien, c'est à peu près relevé. Si nos prévisions s'avèrent justes, les deux économies feront face à un ralentissement économique et peu de croissance économique. Donc il n'y aurait pas beaucoup de hausse du taux de chômage. Et la devise canadienne en restera à peu près au niveau actuel. Je ne veux pas prédire ce qui va se passer en 2024, mais probablement que notre dollar mérite d'être côté un peu plus haut. Il y aura peut-être un rebondissement.
- Des auditeurs ces derniers mois qui suivent ce qui s'est passé du côté des devises de nos deux pays ce disque si ça continue, on va importer de l'inflation parce qu'on achète beaucoup de choses États-Unis, ça coûtera plus cher crée un problème d'inflation.
- La banque du Canada doit en tenir compte, alors qu'elle s'écarte des politiques de la Fed américaine.
Comme vous l'avez indiqué, ça fait parti des facteurs dont ils doivent tenir compte en matière d'inflation.
Suivant que le dollar canadien faiblit, ça modifie les perspectives en matière d'inflation et de productivité, on doit revoir nos politiques. Il y a des limites à cet écart des politiques économiques ou monétaires entre les deux pays. Cela je vous rappelle avant de prendre les décisions en matière de placement, faites vos propres recherches. James nous reviendra bientôt. Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous à nous envoyer un courriel, moneytalklivetd.com.
Maintenant passons domaine de l'éducation.
- Quand on investit, il faut évidemment s'intéresser aux nouvelles. Nous avons des outils à vous offrir. Donc que nous vois Arauna qui est spécialiste en matière de formation des investisseurs, je l'accueil. Bienvenue.
Serge comment rester au courant de ce qui passe dans les marchés?
- Pour les mentionner déjà au début de l'émission, Greg, il y a des conséquences, les nouvelles de la fête sur le marché, ça s'est passé hier. Pour nous investisseurs qui veulent rester au courant des conséquences de ces grands nouvelles sur le marché, ils peuvent le faire en utilisant diverses d'outils donc courtiers Web. Une fois dans courtiers Web, sur la page d'accueil, vous êtes en mesure de voir une mise à jour des marchés pour les actions canadiennes et américaines pour les investisseurs qui s'intéressent. Il y a eu une chute dans les marchés vers 14 heures après l'annonce de la fête. Pour les messes investisseurs qu'il reste au courant et savoir quoi anticiper, ils peuvent le faire en utilisant les rapports qu'on voit sur l'écran.
Par exemple, il y en a un sur les nouvelles aux États-Unis, au Canada, ici j'ai cliqué sur les nouvelles américaines. Et ce rapport indique aux investisseurs les principales nouvelles pour cette journée-là. Et vous donnez une idée des titres à surveiller. Notamment dans ce cadre le marché américain. Et puis pour rester au courant des nouvelles intéressantes, les actualités, vous allez dans recherches, et puis nouvelles et commentaires. Et donc que sur cette page encore une fois, sur cette page je peux choisir le marché canadien ou américain, dans ce cas si on choisira américain pour avoir des nouvelles et des commentaires et si ça vous intéresse d'avoir des nouvelles sur tel ou tel secteur d'activité ou entreprise, vous pouvez taper les mots-clés pour voir des articles au sujet de tel ou tel point qui vous intéresse. Disons les taux d'intérêt ici. Je fais ma requête, il y a plus de 800 articles aujourd'hui. Donc les nouvelles les plus récentes, je peux voir les conséquences de la haute des taux d'intérêt aux États-Unis, et enfin, puisque je suis sur cette page, si je vais tuer cette information, je peux le faire en passant du côté droit de l'écran. Et là, je vois des vidéos, mise à jour de la part de parlons argent en direct et de Morning star et ça nous intéressait au courant évidemment. Serge intéressant, nous quoi, une raison pour laquelle nous voulons rester au on courant des nouvelles de l'actualité, c'est que ça peut avoir des conséquences sur le marché. Donc j'aimerais voir maintenant les réactions des marchés.
- Oui, très bien! Alors, la Fed hier évidemment annonçait quelque chose d'important. Les marchés ont chuté dans certains cas d'un, 6 %, dans certains secteurs. Si vous n'avez pas le temps comme investisseurs pour de passer votre journée sur les courtiers Web, vous pouvez utiliser des alertes. On voit comment les investisseurs peuvent créer des alertes. Dans courtiers Web, je choisis l'indice précis, un indice boursier qui m'intéresse. Et si par exemple je fais définir, et je choisis le Dow Jones, industriel, les 30 principales compagnies et aux États-Unis dans ce secteur industriel, et je choisis ici les tableaux. Donc, une fois sur cette page, je vois des graphiques, après 14 arrières on a vu la chute des marchés, et j'affiche ici à l'écran la comparaison avec le TSX et vous voyez comment ça réagit sur le TSX.
Au bas de l'écran, on a aussi les volumes de transactions. Il y a une pique très prononcée ce matin.
Vous l'avez dit, Greg, les marchés se remettent de la chute d'hier, mais si je restais au courant que je suis très occupé, je n'ai pas l'occasion de faire moi-même une analyse, je peux cliquer sur création d'alerte tout en haut de l'écran. Une fois que je leur ai faite, alerte s'affiche et c'est là que j'ai l'occasion de choisir par exemple une mise à jour toutes les fois qu'il y a un écart de 2,5 % dans tel ou tel indice. Ça peut maintenant mettre envoyer par courriel, je peux recevoir un avis qui est poussé, qui est envoyé sur mon dispositif mobile, mon téléphone par exemple, ou je peux dire 10 % comme seuil, et puis si je vais savoir pourquoi tel ou tel indice sentir mieux qu'un autre, pour une certaine période, je peux créer des alertes pour ça aussi. Donc c'est une bonne façon pour les investisseurs de rester au courant de ce qui se passe dans les marchés.
- Intéressant! Merci beaucoup, Nugwa Haruna. Je suis toujours ravi de vous retrouver Nugwa Haruna qui est responsable de la formation chez placement direct TD.
Allez voir nos vidéos et nos classes de maître webinaire. Avant de retourner à vos questions, je vous rappelle comment communiquer avec nous.
Si vous avez des questions sujet déplacement ou de ce qui se passe dans le marché, nos invités ont hâte de vous entendre. Envoyez-nous vos questions de façon sont passées, vous nous envoyez un courriel à tout moment à l'adresse qui figure à l'écran, ou encore vous pouvez utiliser la case des questions ici-même sur notre écran. Tapez votre question et cliquer pour nous l'envoyer. On verra si un de nos invités pour vous répondre immédiatement. De nouveau, James Marple pour répondre à vos questions. On reçoit beaucoup de questions. En voici une maintenant: est-ce que vous pensez que ce qui est arrivé aux banques américaines c'est une idiot Croatie ou si c'est systémique?
- Est-ce que les choses vont empirer? Comment agir sur les choses empirer? Donc est-ce que c'était particulier à telle ou telle banque ce qui s'est passé hier?
D'après tout ce que j'ai vu et lu au sujet des facteurs de stress du côté de la banque, c'était propre à cette banque, c'était particulier. Ils ont eu une perte de dépôt, c'était sans précédents, et donc ils avaient moins prévu de choses du côté de leurs actifs. Il n'était pas protégé, il n'avait pas de couverture.
C'était propre à cette banque, ce n'est pas quelque chose qu'on retombe général. Évidemment, toutes les fois qu'il y a une nouvelle comme celle-là, à l'effet qu'il y a eu quelques pas d'un grave problème alors que l'économie, on est inquiet d'une récession passée, il y a toujours un risque qu'il y a une perte de confiance qui a un effet de cascade. C'est la raison pour laquelle les décideurs ont opté pour ses mesures, pour protéger les dépôts de ses banques, pour rassurer les gens. Il y avait de bonnes raisons d'agir ainsi, mais quand on lutte contre une panique, un vent de panique et qu'il y a un choc qui affecte la confiance des risques des inquiétudes que ça part tant peur. Grosso modo, il y a de bonnes raisons de penser que c'était particulier, c'est un événement ponctuel. Ce n'est pas tant que ça influence la couleur la décision de la Fed.
On a pensé que les taux d'intérêt grimperaient peut-être à 50 points de base. Donc, ils ont un peu ramené leur position, si je puis dire, c'était 25. Dans le système bancaire, on a dit que ça reste sain, mais il faut en tenir compte.
- Pour eux de décider qu'on avait constaté que le crédit commence à coûter plus cher, notamment pour les banques de taille moyenne de plus petite taille qui ont besoin de crédit pour fonctionner. Donc la Fed on tient compte. Il pose des questions en faite au responsable de ses banques. On a un peu resserré les choses ont tenant compte de l'activité économique, et quand ça se produit. Il y a évidemment un peu de retard dans la réaction. Il y a moins de croissance, moins de dépenses du côté des articles qui sont sensibles aux hausses de taux d'intérêt. C'est un peu comme une hausse des taux d'intérêt. Ne savent pas exactement quelle est l'ampleur des décisions de ses responsables, dans le secteur privé. Pour réduire l'inflation pour atteindre la cible. Retirer les conditions financières, ralentir la demande, et on obtient ses résultats tout simplement à cause des événements qui se sont produits récemment.
Autre question, probablement une question qui suit les banques centrales et ce qu'ils font et qui dit, on parle souvent de l'indice des prix à la consommation, d'IPC, mais parfois les banques centrales s'intéressent à l'indice des prix calculés à partir des dépenses finales. Pouvez-vous nous parler de tout cela?
- Li PDF, on entend souvent dans la presse, et même la banque du Canada. On évoque de plus en plus souvent.
Plus souvent qu'aux États-Unis, où on insiste plutôt sur l'IPC. Ce sont des indices des prix qui acceptent de suivre lancer un ensemble de biens de produits, mais il IPC, ou la pondération de ses biens ne change pas aussi souvent que dans Li PDF. L'indice des prix calculés à partir des dépenses finales qui entrent dans le PNB, ce qui se dépense à tout moment donné, alors que ses patrons de dépenses changent, ce panier de produits échange. Et donc ce que mesure cet indice change. L'IPC, c'est plus stable, ça tient moins compte des changements rapides dans les dépenses. Alors, alors que les prix de certains articles grainent, les gens achètent moins, il y a moins de hausse de prix dans cette année. C'est moins prononcé que si les patrons de consommation ne changeaient pas. Le CPI grimpe un peu vite que Li PDF. Cette mise à jour constante du panier de produits, raison pour laquelle la banque centrale préfère ça, parce que ça reflète mieux ce que font véritablement les consommateurs ce jour-là. Il y a d'autres écarts entre les deux indices pour ce qui est de la pondération de divers articles, notamment tout spécialement les dépenses en soins de santé. Et dans l'IPC, c'est moins important dans la pondération générale alors que dans les PDF, on a des dépenses du côté des assurances qui payent ce qu'on consomme les ménages. Alors, au quotidien, ça peut changer un peu les choses. On a constaté ces dernières années. Une pondération plus élevée en matière d'énergie dans l'IPC. Alors que les prix de l'énergie grimpaient beaucoup. L'écart était plus prononcé entre les deux indices.
- Parfois, ils croissent à la même vitesse, mais le point important à retenir, c'est qu'il y a ces paniques sont remis à jour contact constamment du côté de Li PDF S est la raison pour laquelle afin de décider que ce serait le principe principal indice dont elle tiendrait ton compte. Cherche un autre sujet intéressant: si vous pensez que la réduction des taux d'intérêt risque encore de se produire cette année ou pas?
- Alors, Monsieur Jérôme Powell a dit qu'on ne prévoit pas de réduction des taux d'intérêt cette année.
- Avait pas acquis vous poser la question. Si vous posez la question au marché, on prévoit des réductions de taux d'intérêt. Dès le mois de mai. Pas un point de base au complet mais enfin. La Fed continue de dire que tant que l'inflation est importante, et que l'économie sentit plutôt bien, ils vont continuer de hausser les taux d'intérêt. Mais je vous dirai qu'étant donné la matière d'inflation, la probabilité d'une réduction est réduite. À moins qu'on constate une détérioration marquée de l'économie, l'activité économique.
Évidemment il y a plus d'incertitude sur le cours des événements récents dans le secteur bancaire, mais notre prédiction et notre prédiction séculière un ralentissement de la croissance économique un peu plus de chômage, et qui contribueront à atteindre la cible des banques centrales. Donc il y aura peut-être une autre hausse au mois de mai de la part du banque centrale américaine, la Fed, mais enfin quand, probablement qu'ils vont réduire les taux d'intérêt plus tard. S'ils obtiennent résultats qu'il souhaite.
C'est-à-dire moins d'inflation, moins de croissance économique, ils vont ramener le taux d'intérêt à un niveau plus neutre quand ça se produira, on parle incertitude, mais probablement qu'à l'avenir, les taux d'intérêt vont baisser. Peut-être pas cette année mais tôt ou tard. Cherche très bien. De nouveaux des questions auxquelles nous reviendront. Pour le reste, assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre les décisions en matière de placement. Vous pouvez communiquer à tout moment nous voyons en nous envoyant votre question par courriel moneytalklivetd.com, nos invités veulent vous entendre.
Envoyez-nous par courriel à l'adresse qui figure à l'écran, ou encore en tapant votre question dans la case prévue à cet effet. Au bas de l'écran. Ici-même.
Donc tapez votre question et cliquez sur envoyer. On verra si un de nos invités pour vous répondre ici même à notre mission. Les marchés, d'abord B Street, TSX est toujours en pause. Du côté positif. Une hausse de 92 %.
92., Pardon. Waste Texas avait un peu grimpé ce matin, mettant il a un peu baissé à 70 $ le baril. Ça a des conséquences sur le secteur de l'énergie. Bombardier évidemment, les avions d'affaires, ils ont eu une hausse dans la journée les investisseurs, ils ont aussi leurs prévisions au cours de l'année. Alors c'est intéressant. Ils sont en hausse de 8 % pour la journée.
Maintenant Bettex, un gain modeste. C'est un peu plus fort ce matin, mais 4,66 $, ça reste positif. Une hausse de dessous. Au sud de la frontière, ça grimpe toujours. Le SIP 500, presque 1/2 %. Le Nasdaq, une hausse de presque 2 % de ce côté. C'est quand même très intéressant 227. De hausse. Et maintenant, Nvidia le fabricant de puces fait parti des nouvelles. Donc 274 $, le cours de l'action, une hausse de trois et demis pour cent. De nouveau, James Marple pour parler de l'économie. On attend vos questions. Parlons du prix du pétrole brut. Qu'est-ce qui s'annonce pour l'économie canadienne?
- En 2014 évidemment il y avait eu une baisse importante. Ce serait moins important aujourd'hui.
Donc, pour le secteur pétrolier, le cours du pétrole évidemment, c'est très important par définition. Et dans ce secteur, il y a des problèmes à long terme, il y a des transitions énergétiques. Alors, ce n'est pas tout à fait ce qu'on a vécu dans le passé. Les prix plus faibles pour l'énergie vont réduire l'inflation et vont avoir des changements sur le portefeuille des consommateurs, il va y va y avoir des changements sur les ménages, quand il y a des prix pétroliers plus faibles, le Canada exporte beaucoup. Dans le secteur énergétique. Et probablement que c'est un peu négatif étant donné qu'on exporte beaucoup de ce côté. Mais encore une fois, c'est presque neutre, étant donné les avantages pour les consommateurs. On a un peu parlé de ses problèmes par ma démission, mais ce qu'il y a toujours un risque de récession cette année?
- Tu mentirais si je disais non. Il y a toujours un risque. À tout moment. Mais vous le savez, les risques augmentent les banques centrales cherchent lutter contre l'inflation. Et ils doivent moins réagir aux variations de l'activité économique. Car une partie de leur mandat leur impose de lutter contre l'inflation.
Quand les banques centrales haussent les taux d'intérêt, le plus grand risque de briser quelque chose. Il y a quelque chose effectivement qui a brisé dans le secteur bancaire. On pense que c'est relativement limité, mais somme toute, ça hausse quand même le risque de récession. Je pense que nous sommes passés en matière de prévisions au point où, si on ne passe une récession ou un atterrissage en douceur, qu'il y aura un ralentissement véritable de l'activité économique. Et une hausse du chômage. Et je vous dirais que c'est devenu ceux à quoi on s'attend. On appelle ça récession ou non, ça reflète la probabilité qu'on se retrouve dans ce genre de situation.
- Une autre question: qu'est-ce que vous prévoyez pour ce qui est du budget? Le budget fédéral, celui de l'Ontario qui sera annoncé aujourd'hui je crois. Est-ce que plus de dépense poussera l'inflation à la hausse?
- Les dépenses gouvernementales et les conséquences.
- Eh bien, on est un peu au courant des priorités du gouvernement du Canada. Ça été passait comme message.
Il veut dépenser sur des initiatives vertes, écologiques, mais surtout, après ce qu'on a vu aux États-Unis, la loi sur la réduction de la pollution, l'électrification, je pense que le gouvernement du Canada va beaucoup en tenir compte. Évidemment, les soins de santé, c'est aussi un domaine dans lequel il y a déjà des initiatives de la part des provinces. On va probablement en parler, mais par ailleurs, et le ministre des finances n'a annoncé, ce sont les mesures restrictives en matière fiscale. La pandémie a fait en sorte qu'il y a eue beaucoup de dépenses de l'apport du trésor public, et ça augmentait les déficits ces dernières années. Maintenant, on va peut-être passer dans l'autre direction. Un demi ou 1 %, en comparaison avec le PNB. Beaucoup moins que pendant la pandémie. On s'en tient des mesures plus conservatrices. Alors évidemment, s'il y avait plus de mesures pour relancer l'économie, ce serait difficile de lutter contre l'inflation. Je pense que les changements seront plutôt limités à cause de la prudence de la part du gouvernement fédéral dans ses prévisions, à cause de l'incertitude sur le plan économique. Ils vont recevoir des revenus un peu plus élevés que prévu, et pourront dépenser un peu plus par conséquent, mais on a constaté dans le passé, dans les budgets précédents, qu'ils ne dépensent pas tous d'une seule traite. Bref, ce sera un peu semblable comme trajectoire. Et nous allons voir dans quelle mesure ils tiennent compte de l'incertitude. Il faut économiser en vue des situations plus difficiles. Donc ce ne sera sans doute pas un budget très généreux à cet égard.
- Ça nous fait toujours plaisir de vous recevoir, James.
À la prochaine. James Marple économiste principal à la TD. Demain, mise à jour sur les marchés, et lundi, David Mau gestionnaire de portefeuille sera notre invité. Elle répondra à vos questions sur les actions des secteurs industriels. Vous pouvez nous envoyer d'avance vos questions par courriel. C'est tout pour nous aujourd'hui! Merci d'avoir été des nôtres et à demain!