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(musique)
Bonjour Ici Greg Bonnell, bienvenue à Parlons d'argent en direct une émission de Placements direct TD nos invités répondre à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui il y a cette peur de la récession nous entendrons Hussein Allidina de gestion de placements TD au sujet des produits de base.
Et puis en matière d'éducation Caitlin Cormier va nous parler d'utilisation de la plate-forme et voici comment communiquer avec nous envoyer-nous un courriel à cette adresse courriel ou poser vos questions sur dans la bonne question au bas de votre camp. Alors voici la mise à jour petit coup d'œil sur les marchés nous sommes à deux heures d'un événement important c'est-à-dire que la Fed américaine à 14 heures devrait nous annoncer dès sa décision quant au taux d'intérêt.
C'est plutôt verre à l'écran pour l'instant il y a un peu de rattrapage 20 063 pour les S&P 500 TSX une hausse de 40 point et puis il y a une hausse de 8 % pour le pétrole donc c'est parfois intéressant pour les sociétés du domaine de l'énergie je n'ai pas vu beaucoup de sociétés pétrolières – partie de cette vague et même que Suncor est à la baisse quantum First est à la hausse 32 $ le cours actuel une hausse de 3 %.
Au sud de la frontière, c'est intéressant aussi en attendant la décision de la Fed le S&P 500 une hausse de presque grosso modo de 1/2 % et le Nasdaq une hausse de trois quarts de point de pourcentage. Il y a eu des hausses important hier évidemment à la suite des chiffres sur l'inflation et le grand aujourd'hui ce sera l'annonce de la Fed. Microsoft a fait des gains plutôt aujourd'hui 261 le cours donc une hausse de presque 2 % voilà pour le coup d'œil sur les marchés.
- Toute l'année on a entendu parler d'une offre serrée pour plusieurs produits de base il y a des inquiétudes quant à une récession qui s'annoncerait. Est-ce que la demande alors sera la véritable préoccupation 2023?
Nous entendrons Hussein Allidina toujours un plaisir de vous accueillir bienvenue.
- Merci de m'accueillir.
- Bientôt la fin de 2022 on a souvent discuté cette année de la situation de l'offre de la demande et départ de récession pour l'année prochaine.
- Je pense que si on examine ces dernières semaines et ces derniers mois, le marché s'est concentré sur le ralentissement de la croissance mondiale et les conséquences sur les produits de base.
Quand je regarde le pétrole tout spécialement pour l'an prochain, il y a des chiffres revus à la hausse ce matin une hausse de 1,7 millions de barils par jour donc pour ce qui est de l'offre, et de la capacité supplémentaire, il y a des contraintes quand même en 2023 24 25 c'est un symptôme du manque d'investissement depuis 10 ans maintenant.
Donc je dirais que c'est assez bien cerné maintenant la question c'est de voir comment la demande pose un problème en 2023 1,7 millions de dollars par jour qu'on prévoit pour lampes l'année prochaine il y aura quand même une demande plus faible que cette année en bout de piste.
Donc on a déjà indiqué que si on parle de demande en pétrole depuis 1970, il n'y a que trois ou quatre situations où la demande a été réduite donc il faut une grosse réduction de la croissance économique comme on a vu pendant la pandémie en mars 2020, la crise financière et même alors, la demande a été réduite mais c'était plutôt de courte durée et ensuite ça rebondit.
Donc on part de 100 millions de dollars par jour aujourd'hui pour la demande en dépit du fait que c'est un peu plus chaud que d'habitude ce qui atténuait la demande et je pense que l'an prochain on va se concentrer sur la demande à vrai dire.
Je vous dirai que la croissance économique probablement sera assez robuste pour qu'il y ait un resserrement, donc il y a plusieurs… variable difficile à prévoir, mais sur le plan purement économique, pour tenir le coup il y aura peut-être un ralentissement de l'économie, qu'est-ce qui pourrait avoir un effet contraire?
Parlons de la Chine par exemple.
- Une chose qu'il faut nous rappeler ici que cette année a été une année très volatile pour les cours pour le prix des matières premières, mais la demande en Chine a été plus faible si on part de croissance que ce qu'on a vu de ce qu'on a vu depuis 1995 ou 96.
Je ne pense pas que ça grimpe en Chine de façon linéaire mais je pense que la demande en Chine en 2023 sera plus élevée et s'il aura des conséquences sur la demande de pétrole en 2023, en comparaison de 2022 il y a des indicateurs précoces en examen des chiffres sur les vols et le transport donc en Chine, ça semble être à la hausse.
Une des préoccupations cette année, c'est évidemment l'inflation et le coût de l'énergie en fait partie.
Donc pour l'année prochaine, alors que manifestement il y a plusieurs raisons pour lesquelles l'offre sera serrée et si la demande grimpe de manière ferme, est-ce qu'on retrouve une situation où les banques centrales vont intervenir?
- Je pense qu'en matière d'inflation, évidemment les prix des matières premières n'ont pas été trop élevés mais quand on aura des problèmes tant qu'on aura des problèmes d'offres, les prix risquent de grimper. Une des raisons plus lesquelles la demande est aussi faible aujourd'hui qu'elle aurait été si les prix avaient été au niveau qu'on a eu pendant l'été, c'est que il y a eu plus de consommation en 2023 maintenant, si ce que je pense de l'offre et de la demande des saveurs justes, les prix du pétrole ont de nouveau grimper cette année l'an prochain il faudra voir la demande, et de nouveau, ça va devenir une préoccupation matière d'inflation ce n'est pas réglé on a l'impression que inflation faiblit, en matière de produits de base, on n'en est qu'au début de cette histoire pour ainsi dire, parce qu'il y a encore la question de l'offre.
Il n'y a pas eu suffisamment d'immobilisations dans ce secteur d'activité donc je pense que l'inflation va demeurer une préoccupation peut-être pas huit ou 9 %, mais disons à 2 % de façon soutenue on verra bien si ça ne sera pas plus haut.
- Qu'est-ce qu'il faudra pour que l'industrie gazière et pétrolière et minière en général fasse le nécessaire?
- Donc on extrait pas suffisamment de pétrole par exemple.
- Je pense qu'il nous faut répartir les choses en fonction de chaque produit de base ou en sous-catégorie. Je pense qu'il y a comment dire?
Il n'y a pas un grand désir de la part des pétrolière et des gazières d'investir, parce qu'il y a la transition énergétique, donc est-ce qu'est-ce que les gens vont consommer ces produits dans 10 ou 15? On sait que ces déplacements aujourd'hui, ça n'entraînera pas une hausse de la production avant 56 ou sept ans il faut passer à long terme quand on prend ses décisions d'investissement.
Donc il y a toute la question des critères ESG on insiste beaucoup là-dessus plusieurs pétrolières sont mis au défi par les investisseurs quand ils en discutent de ces questions, donc il faudra qu'il y a un nouveau cycle d'immobilisations. On a encore besoin de ces produits voyez-vous il faudra qu'il y ait des augmentations importantes du rendement sur le capital pour que ces compagnies fassent les placements requis et les données cette année, en dépit de l'augmentation des prix qu'on a vus, ça n'a pas été ça n'a pas traîné autant de placement investissement du côté du secteur privé un peu quand même, il y a eu la demande qui venait de secteur privé et maintenant le coût de l'argent est à la hausse et c'est un phénomène qui n'était pas problématique pendant longtemps, côté minier, et les métaux, il y aura plus d'investissement dans la mesure où les cours resteront élevés il y aura des encouragements pour qu'on investisse, parce que de ce côté-là, il y a moins d'impact je dirais négatif des facteurs ESG mais ses décisions évidemment sont difficiles à prendre si on parle un conseil d'administration à investir dans le côté du pétrole, on passe à 90 $ le baril aujourd'hui, c'est 70 $ le baril je ne sais pas où on entre dans trois mois, mais cette volatilité faite en sorte qu'il faut trouver de meilleurs justifient justification pour investir.
- On peut avoir l'impression qu'on ne rend pas les produits requis à moins qu'il y ait un peu de magie dans tout ça.
Donc il faudrait investir pour obtenir par exemple des minerais pour les véhicules électriques?
- Je pense que s'il y a une croissance électrique, l'équilibre entre les prix et la demande de ses produits de base, il n'y a pas assez de demandes on investisse pas suffisamment aujourd'hui à tel point qu'on n'est pas en mesure de s'éloigner assez rapidement des sources d'énergie conventionnelle.
Donc on se retrouvera dans une situation où l'offre sera un peu serrée, il y aura du retard dans l'offre et s'il y avait des perturbations, les prix à ce moment-là devront grimper considérablement pour établir un nouvel équilibre.
Il faudra rationner la demande dans ce genre de situation et c'est un peu produit cet été, mais je pense que 70 $ le baril, ce n'est pas tellement qu'à l'heure actuelle.
- Si fascinant.
Bon début d'émission. Nous répondrons à vos questions, mais d'abord, je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous à tout moment à l'adresse qui, figurent à l'écran ou en utilisant la boîte de questions bas de votre écran.
Donc qu'est-ce qui se passe dans le monde des affaires et qu'est-ce qui se passe du côté des marchés boursiers?
- Delta Airlines dit qu'il y a une bonne demande pour les voyages aériens, ces bénéfices devraient doubler l'an prochain.
Le transporteur aérien prévoit aussi que son flux de trésorerie disponible va grimper et a l'intention de réduire ses dettes et l'industrie dans son ensemble est optimiste en dépit des inquiétudes en matière de récession.
Le secteur de la fabrication au Canada a donné des résultats meilleurs que prévu en octobre statistique Canada dit que les livraisons manufacturières ont augmenté de 2,8 % pour ce mois.
Donc c'est assez bien réparti, notamment du côté du pétrole et du charbon.
Les plaidoiries en vue de l'effusion rageur 26 millions de dollars orageux au tribunal de la concurrence.
Ces étudiants sont probablement la dernière table avant qu'il y ait une décision de la part de la cour fédérale.
Ici même au Canada, l'indice S&P 500 le grand événement TSX le grand événement va annoncer la Fed à 14 heures aujourd'hui et donc pour l'instant, c'est envers l'écrin c'est plutôt modeste à Toronto. Une hausse de 31 point au sud de la frontière, le S&P 500 une hausse d'un peu plus qu'un de 8 % l'inflation aux États-Unis était moins poussée que prévue, on l'a vu hier.
Qu'est-ce que la fête en tirant comme conclusion?
On verra bientôt. Retour à Hussein Allidina pour répondre aux questions sur les produits de base.
Premier question: quelles sont vos perspectives pour les gaz naturels cet hiver?
- Question épineuse. Parlons d'abord de l'Europe avant d'aller en Amérique du Nord. En Europe, pour le gaz, les prix grimpent évidemment, ces dernières semaines, par ce que il y a eu des stocks qui se sont accumulés pendant tout l'été, on savait qu'il aurait des problèmes d'offres à cause de la guerre en Russie et en Ukraine, et maintenant, la température et le climat font en sorte de réduire les prix, mais maintenant, l'hiver arrive et les prix recommencent à grimper.
Je pense à court terme si on part de l'Europe, il y a beaucoup de volatilité et ça dépendra du temps qu'il fera quand je pense à l'équilibre pour le rapport 2023 2024 2025, à moi de constater une offre qui redémarre du côté de la Russie, ce qui semble peu probable, il y aura une lacune qu'il faudra combler grâce au gaz naturel liquide et a été pour beaucoup absent cette année à cause de la fermeture du confinement Chine, équilibre les plus de charbon. Je pense qu'en 2023 2024, les prix du gaz en Europe seront plus élevés que ce qu'on a connu historiquement.
Il y a beaucoup de géhenne elle qui se présente au marché pense-t-on en 2024 25 et 26, mais d'ici là, ce sera plus serré.
Donc il faudra plus des prix plus élevés pour limiter la demande industrielle toute les produits aux États-Unis c'est un peu mieux, parce que la production ici même, il y a eu beaucoup de volatilité des prix, c'est conforme à ce qui se passe d'habitude cette année, d'un jour à l'autre, les prévisions quant au climat changent d'un jour à l'autre, et maintenant, évidemment les prévisions sont de 14 jours on annonce plus de froid et les prix du gaz grimpent quand je vois les prévisions pour 2023, on a un peu l'impression qu'il y a un peu plus d'optimisme c'est-à-dire que la production aux États-Unis va continuer à augmenter considérablement certains de ces prévisions sont peut-être trop optimistes.
Les États-Unis, il y aura moins qu'en Europe, mais je ne suis pas sûr qu'on aura la croissance de demandes comme pour qu'on prévoit et on fait des extrapolations qui seront peut-être pas juste en fin de compte, l'équilibre aux États-Unis c'est quand même un marché fermé sauf pour le géhenne elle et les exportations vers le Mexique.
On n'est pas en mesure d'exporter beaucoup plus de géhenne elle d'ici l'année prochaine.
Il y en aura plus en 2025 2026 et les prix en Europe pourront baisser alors, évidemment, ça ferait grimper les prix en Amérique du Nord.
- Importation de général qu'est-ce que ça signifie pour le Canada?
- On part d'une opportunité pour aider l'Europe.
En ces temps difficiles, vu ce qui se passe en Ukraine ou à moi que en Asie une offre plus de géhenne elle ou en est le Canada dans tout ça?
Est-ce qu'on peut vraiment livrer la marchandise?
- Il nous faut construire ou renforcer nos capacités d'exportation de géhenne elle on a des bonnes ressources pays le gaz ce n'est pas aussi propre que le solaire, mais c'est beaucoup plus propre que le charbon.
Signent une création une occasion ratée. Nous aurions pu approvisionner l'Europe et même l'Asie, mais je ne pense pas que cette opportunité soit complètement perdue. Il y a beaucoup de possibilités quand je vous dis qu'on ne pourra pas laisser tomber les formes d'énergie conventionnelle assez rapidement, il reste la possibilité d'exporter ce genre de produit depuis le Canada pour déplacer du charbon qu'on brûle en Chine.
Par ailleurs, quand on examine les ventes de véhicules électriques en Chine, la Chine mène de par le monde pour ce qui est des ventes de véhicules électriques 20 à 25 % mondial des ventes sont en Chine.
Il produit de l'électricité à partir du charbon et ce n'est pas bon pour le climat.
Nous devrions plutôt encore une fois accroître notre provision de gaze et partager avec le reste du monde pour atténuer pourrait réduire l'utilisation de produits moins propres comme le charbon.
Les gens se demandent ce qu'il en est de la demande de véhicules électriques était la hausse. Alors quels métaux vont profiter le plus?
- Les métaux, de façon générale maintenant, on plutôt bien réussi récemment, étant donné qu'il y a un des confinements en Chine et si ça se poursuivait, tous les métaux vont grimper et tirer parti de la situation notamment le cuivre et l'aluminium à cause de là où on en est, dans le siècle en Chine, il y a beaucoup d'immeubles qui vont finir de construire en Chine donc il faut du cuivre et de l'aluminium et ses deux métaux aussi sont très importants dans l'électrification qu'on parle donc des batteries pour les voitures ou du transport d'électricité, ou de génération électricité il y a beaucoup de cuves d'aluminium donc, c'est favorable pour ses produits à cause de la demande, mais aussi et je me répète, à cause de l'offre.
Les mines creusées pour le cuivre, ce n'est pas facile, il faut s'éloigner des grands ensembles pour trouver ces cuvées les gouvernements se concentrent sur les conséquences environnementales des activités minières, donc il faut tenir compte évidemment, dans les pays d'où on extrait le cuivre, dont nous pensons que le cuivre et l'aluminium seront beaux.
Pour ce qui est du cuivre dont on aura besoin, il vous dit qu'il faut s'éloigner des centres de consommation et investir dans les régions éloignées, mais ce qu'on trouvera le cuivre requis? Est-ce que tout est bien aligné?
- Il y a un coup à payer pour l'obtenir.
Il y a toujours un prépayé.
Un prix à payer. Quand le pétrole est passé à 90 $ le baril, pour la première fois, on s'est dit on pouvait aller au Venezuela un sable bitumineux, mais je dis que 10 000 à 12 000 ou 15 000 pour le cuivre, ça va faire en sorte qu'on trouvera plus d'offres il faut trouver un bon moment et obtenir les approbations.
- Autre question maintenant que pensez-vous de l'uranium?
- On a déjà évoqué ça je pense je trouve que je suis optimiste par rapport à l'aluminium je reviens l'électrification pour les transports d'électricité et les gens comprennent maintenant que le solaire et l'éolien c'est très propre, mais ce n'est pas suffisant pour la charge de base son avion Europe ces derniers jours, c'était plus froid, il y a eu moins devant.
Comment répondre à la demande de base?
- Aujourd'hui, ça provient du gaz naturel et du charbon et dans une moindre mesure de lui l'hydroélectricité et puis aussi d'autres types de distillat ou de carburant.
Mais il y a le solaires et les énergies renouvelables pour les demandes de piquets de pointe.
Donc pour la base, vous dîtes que ce n'est pas propre le charbon et le pétrole, et dans certains coins du monde, on n'est pas trop le gaz naturel, il faut le remplacer par quoi? On peut pas le remplacer par de l'éolien du solaire parce qu'il n'y a pas du jour du soleil et c'est là que le nucléaire joug un rôle et c'est un peu comme les autres produits de base personne investie du côté de l'offre en urémie uranium, et ce qui se passe en Russie avec la guerre c'est très important.
Donc tout cela évidemment ce n'est pas une ligne droite, ce n'est pas saine, mais quand on parle d'uranium aujourd'hui dans cinq ans, l'uranium va se vendre plus cher qu'aujourd'hui.
- Le risque intermédiaire et ses risques de façon générale, qu'est-ce qu'arrivera la demande mondiale?
Qu'est-ce qu'arrivera au niveau du dollar américain?
- Est-ce qu'on voudra plus d'uranium ou de nucléaire à moyen terme s'il y avait un épisode un incident nucléaire?
- Se fera en sorte que les gens vont hésiter mais si vous croyez qu'il y aura de la croissance et que voulait pas consommer du charbon du gaz il faudra que ce soit du nucléaire.
- Je vous rappelle de faire vos propres recherches de prendre des décisions de placement. Nous reviendrons en Hussein Allidina dans quelques instants.
Envoyez-nous vos questions à cette adresse courriel en utilisant la base la casse au bas de votre écran.
Éducation maintenant aujourd'hui nous voyons comment faire des cotisations en espèces en utilisant la plate-forme courtier Web.
Caitlin Cormier est des nôtres aujourd'hui alors qué Kleine ravi de vous retrouver et rappelons à notre auditoire qui n'a pas l'habitude de faire ça qu'est-ce qu'on entend par cotisations en espèces.
- Bien sûr, alors c'est le moment de l'année où les gens planifient et on approche évidemment de 2023 les gens se demandent quoi faire en matière de cotisations quand ils ont de l'espace pour contribuer à leur compte, donc une façon de procéder, c'est de faire des cotisations en espèces, donc vous prenez essentiellement un titre que vous détenez déjà dans un contenant enregistrer un compte sur marge ou un compte de liquidité et vous, le fait passer de votre site CELI vous transférer des titres de l'argent sans devoir racheter le titre dans l'autre compte.
Donc évidemment, c'est plus simple on est vite obligé de vendre de racheter.
Il y a quand même des conséquences matière fiscales, donc c'est comme quand vous versez une cotisation il y a toujours des conséquences au plan fiscal, donc assurez-vous de discuter avec un fiscaliste un professionnel pourra avoir les conséquences que ça pourra avoir pour vous avant de faire un tel transfert.
Vous voulez vous assurer d'être au courant avant de cliquer et de faire un transfert.
Donc c'est quand même une façon de faire ses cotisations.
Il faut demander des conseils professionnels pour faire bien aligner.
Comment faire ça sur courtier Web?
- C'est assez simple au fond.
Vous allez sur courtier Web et voyons un peu à quoi ça ressemble. On voit l'onglet compte et on va au troisième de la colonne du centre pour un transfert et c'est le même endroit où on pourrait faire penser le titre américain vers le côté canadien de son compte.
Il y a toutes sortes de transactions certains transferts ne peuvent pas se faire en ligne.
Vous pouvez vous renseigner là-dessus en cliquant sur la ligne ici, mais pour ce qu'on voit ici, il s'agit de compte d'où proviendrait le transfert et on pourrait par ailleurs trouver un compte rayonne un CELI où on peut faire un transfert en fonction des devises et ont choisi le titre qu'on voudra transférer ce sera sur le prochain écran et qui provient par exemple FNB, donc ça se fait rapidement en ligne, s'il y avait des problèmes évidemment on communiquera avec vous il y aura une réaction et on ne vous annoncera le problème mais au fond, c'est assez simple quand j'aurais fait quand j'avais pris la décision.
Donc vous avez ce qui apparaît à l'écran, qui vous permet d'effectuer la transaction.
- Merci beaucoup qué Kleine. C'était Caitlin Cormier, instructrice séchée plan placement directe et des.
Je te coup d'œil à votre centre d'apprentissage vous y trouverait des classes de mettre des vidéos.
Avant de revenir aux questions au sujet des produits de base, questions adressées à Hussein Allidina comment communiquer avec nous?
Si vous avez mais il y a de connaître il y a défaut de façon de procéder envoyez-nous un courriel à tout moment ou encore, cliquez sur la boîte de questions au bas de votre écran.
Tapez votre question et envoyez les, on verra si l'un de nos invités puis répondre ici même.
De retour maintenant à la Hussein Allidina qui répondra à vos questions sur les produits de base.
Donc est-ce que les taux d'intérêt plus élevé auront des conséquences sur les secteurs des produits de base?
Il y a il y avait des taux d'intérêt alors cette année.
- C'est une très bonne question c'est bien le cas.
Quand on parle de taux d'intérêt élevé, on se dit d'abord que des taux d'intérêt plus élevé, ça signifie moins d'activités économiques, moins de demandes pour des produits de base. Par contre, l'autre côté de la médaille, les taux d'intérêt plus élevé, c'est-à-dire des coûts d'immobilisation plus élevé.
Donc c'est plus difficile d'investir si je suis un agriculteur qui va acheter un nouveau tracteur aussi je suis un producteur de gaz de schiste, il me faut des équipements pour creuser de nouveau.
Donc gardons l'esprit notamment pour le pétrole mais aussi pour les tous les produits de base que le contexte de taux d'intérêt faible depuis 10 ou 12 ans maintenant à faciliter l'évolution de la production de gaz de schiste.
Maintenant qu'il y a un coût du capital plus élevé, et ont constaté je l'ai dit, donc le nom le nom d'installation évidemment est plus difficile à faire grimper.
C'est plus difficile du côté de l'offre. Il faut un prix plus élevé pour que les gens investissent dans ces secteurs. Donc probablement qu'il y a un effet négatif du côté de l'offre à cause des taux d'intérêt plus élevé.
- Depuis la vigueur du dollar américain qu'est-ce que ça peut signifier pour les produits de base?
- Dans un contexte de tout intérêt à la hausse et de dollar américain plus vigoureux.
- Synthé remarquable en 2023 pour les produits de base, 15 à 16 % de hausse en dépit du fait glissement depuis quelques mois à une époque où le dollar américain a beaucoup grimpé.
Quand je pense 2023, est-ce que ça pourrait grimper de nouveaux?
- C'est possible, mais si j'ai à miser, je dirais que la devise américaine sera la baisse alors que la Fed à ces hausses de taux d'intérêt tandis que le monde va s'améliorer pour la croissance.
Si j'ai raison et que le dollar américain s'est atteint son sommet, ce sera bon pour les prix des produits de base.
Donc pour mon cousin en Inde, si le prix si le dollar américain c'est la devise américaine est plus élevé, ça aura des conséquences pour lui.
Un dollar qui faiblit évidemment c'est bon pour la demande et pour le reste du monde, y compris mon cousin en Chine, mais par contre, le producteur agricole au Brésil, subira des conséquences.
Et pour une autre question maintenant au sujet de l'or.
Est-ce qu'il y a encore des gens qui pensent que lors nous protège de l'inflation?
- Je pense que l'or, et je l'ai dit déjà à cette émission, Laurent a un rôle à jouer dans un portefeuille, car il y a des caractéristiques du risque qui nous protège.
Je pense que l'on nous protège de l'inflation, notamment vers la fin, alors que l'incertitude est très élevée.
Est-ce que l'on performe de façon très très bien, très bonne quand l'inflation est à trois ou 4 %?
- Peut-être pas, mais si l'inflation est plus de 5 %, oui.
Et pour vous dire que l'inflation est beaucoup plus importante que 5 % cette année pourquoi est-ce que l'on s'en est pas mis –?
- Lors élevés et les dollars américains ça très bien fonctionné.
Et pour ce qui est dollar américain, l'or est assez bon si cette année on l'a vu.
Alors que le marché commence à comprendre que la Fed atteint peut-être la fin de ces hausses de cycle, lors comment s'est bien performé.
Si la Fed 16 son ralentissement ces hausses de ton intérêt en dépit du fait que l'inflation est élevée, c'est bon pour lors les orifices les accompagne aurifères.
Une autre chose à signaler, pas beaucoup d'intérêt pour lors de la part des investisseurs au détail.
Par ce que l'on a été en mesure de trouver des rendements dans d'autres domaines colore.
Il y a une chose que changer qui est important à mon avis il faut garder ça l'esprit, c'est que les banques centrales qui s'intéressent à la valeur dans les pays en développement des marchés émergents ont continué d'acheter beaucoup d'or.
Et les banques centrales les marchés émergents qui ont beaucoup d'or et qui détiennent un pourcentage sans sont mis – que les autres devises.
Donc, ça nous indique que ça nous confirme en fait que Laure a un rôle à jouer dans les portefeuilles et je pense qu'il faut prévoir un peu d'or quand même dans les portefeuilles.
Maintenant, le risque de lors le dossier de le dollar américain continu des de se renforcer, enfin, si le coût d'opportunité de détenir de lors reste élevé, si le grain de 10 ou 15 % si je veux mettre de l'argent dans la devise américaine, c'est dur pour le cours de l'or.
Le cours le coût d'opportunité évidemment il faut tenir compte.
- Une question sur la sécurité alimentaire maintenant.
Et une grande préoccupation pour bien des gens.
Est-ce que le secteur agricole est à risque en 2023?
- Heureusement, à mon avis, les perturbations qu'on redoutait de la guerre en Ukraine ne se sont pas concrétisés. Du moins, pas de façon importante si on voit l'équilibre dans le secteur agricole dont comprend les inventaires la juste en fonction de la demande.
Les inventaires en fonction de la demande sont serrés, mais moins serrée que pour certains autres produits de base. Et moins serré qu'il ne l'était pour l'agriculture en 2000 donc je pense que ça ira du côté agricole.
Mais s'il y avait un problème du côté d'une récolte importante, on n'a pas de surabondance, donc il faut faire attention.
Par ailleurs, ce qui pourrait présenter des possibilités de hausse des prix du blé et du maïs etc., ce serait des préliminaires l'énergie parce que ça joue dans les coûts de production.
Ça coûte plus cher pour faire tourner des moteurs, détracteurs, et puis pour faire sécher les produits agricoles et ça a des conséquences sur les produits de substitution utilisée du biodiesel et de l'éthanol est à la hausse donc la réponse à votre question je suis moins préoccupé de l'inflation que je n'étais il y a six mois alors que j'étais à l'espacé du côté de l'Europe, mais on n'est pas complètement sorti du bois.
On dit car ça reste serré.
- Merci donc vos questions et reviendra dans quelques instants.
Faites votre propre recherche évidemment avant de prendre une décision de placement.
Communiquer avec nous quand vous le voulez soit par courriel, nos invités vous pourront vous répondre envoyez-nous vos questions de deux façons je l'ai dit déjà par courriel à tout moment elle aide-vous et voyez l'adresse à l'écran ou en cliquant sur la bonne question au bas de votre écran.
Écrivez votre question et envoyez-la et on verra si un de nos invités peut vous répondre ici même.
Il reste à peine 90 minutes avant l'annonce de la décision de la Fed.
Alors maintenant, nous allons entendre Anthony Okolie.
Chez valeurs mobilières TD nous prévoyons une hausse de taux d'intérêt de presque 50 point de base pour atteindre quatre ennemis quatre carreaux quatre il n'y pour cent.
Donc ce serait un peu restrictif et c'est là que les taux d'intérêt pourraient ralentir la croissance économique en général de deux à 3 % de hausse et c'est plutôt neutre comme conséquence la croissance économique ça ne stimule ça ne limite plus la croissance.
Valeurs mobilières TD Satan ainsi que la Fed s'attend à ce que la Fed passe un taux plus élevé passe qu'on avait vu en six en septembre.
La Fed n'a pas fini de hausser les taux d'intérêt.
Ça été signalé en novembre il faut maintenir des taux d'intérêt de façon à réduire l'inflation pour atteindre la cible.
Donc, par conséquent, nous pensons que les taux d'intérêt sont plutôt élevés.
L'inflation le taux d'inflation de base est assez serré, donc nous pensons qu'il y aura de nouvelles hausses et qu'on pourra atteindre cinq écarts à cinq il n'y pour cent de taux d'intérêt.
Donc les coûts de l'argent sont plus élevés.
Qu'est-ce que ça signifiera pour l'économie américaine?
- On pense que ça va un peu ralenti ralentir la dynamique actuelle de la croissance économique alors que la demande sera la baisse.
Donc en conjuguant cela avec un dynamique dans le marché du travail, ça pourrait signifier une augmentation du taux de chômage aux États-Unis.
Nous prévoyons que la croissance du PNB sera plus prononcée en 2023 et qu'il y aura une récession probablement au troisième trimestre l'an prochain.
Nous croyons que ça obligera la banque centrale la Fed à intervenir et à réduire ses taux de base vers la fin de l'année prochaine.
Merci beaucoup Anthony.
- Donc on attend la décision décision de la Fed en moins de 90 minutes.
Donc les marchés boursiers c'est en verre, plutôt modeste cependant, le STP TSX hausse de 1/10 de pour cent.
Air Canada donc une dynamique positive de monsignor du côté du transport aérien on pense que la demande va tenir le couleur prochaine, donc 19,3 le cours de l'action maintenant côté minier, c'est plutôt beau fixe, 5,85 pour le S&P 500 au sud de notre frontière.
Toujours en attendant la décision de la Fed, donc pour l'instant, le S&P 500, une hausse de presque 1/2 %.
Le Nasdaq maintenant secteur des technos une hausse est là aussi de presque 1/2 %.
Delta je l'ai dit on est plutôt optimiste pour la demande de voyage aérien en prochain.
Le cours de l'action 34,24, donc Hussein Allidina va de nouveau répondre à vos questions.
- Est-ce qu'il y a une offre suffisante pour les métaux de terres rares?
- Question épineuse.
Cela dépend des prévisions dont on tient compte pour ce qui est du nombre de véhicules électriques.
Donc il y a des préoccupations pour ce qui est de la disponibilité de ces minerais de la terre rare.
- Une autre préoccupation donc il y a de l'investissement il y aura plus d'offres, on a parlé plus tôt, ça dépend du prix et on peut évidemment offrir plus ou moins, mais ce qu'on sait aujourd'hui, c'est beaucoup de ces minerais sept erreurs ne sont pas vraiment produits ou exploités en Amérique du Nord.
Dans beaucoup de cas, c'est plutôt dans des endroits qui ne sont pas les plus amis ou les meilleurs alliés d'Amérique du Nord, que ce soit la Russie ou la Chine.
Si on voit de par le monde, espionnaient assez de ces produits?
- Peut-être pas, étant donné la quantité des investissements l'heure actuelle.
Ou est-ce que ce sera dans des coins du monde qui sont nos alliés de nos amis?
- Quant à trouver ces minerais aux États-Unis, ce sera peut-être mieux que de dépend d'autres pays du monde.
J'ai passé beaucoup de temps à parler de l'équilibre du côté du du cobalt et du lithium, du cuivre plutôt qu'en ces minéraux de terre rare, ce sens ce ne sera pas simple.
Il faut faire de l'exploration pour répondre à la demande éventuellement.
- D'autres questions qui s'adressent à Hussein Allidina. Est-ce que vous pensez qu'il il y aura des taxes très élevées pour le secteur des produits de base?
- Quand les produits de base augmentent, il y a deux choses qui sont négatives pour l'avenir.
- Du point de vue de l'économie. Je n'ai pas dit les choses clairement les gouvernements veulent d'abord offrir au consommateur un certain soulagement réduisant les taxes les impôts en réduisant le prix de l'essence à la pompe.
C'est contraire à ce qu'on veut par ailleurs par ailleurs que le marché cherche un équilibre et que le prix grimpe, c'est un prix plus élevé, ça décourage des gens comme Greg de voyager.
On offre le prix de l'essence plus faible pour Greg, Greg va peut-être voyager, les secrets de l'inflation.
Par ailleurs, quand les compagnies de produits de base commencent à faire des bénéfices, le gouvernement dit: on va vous imposer pour redistribuer vos bénéfices extravagants.
Ça a des conséquences pour Greg, le prix du baril n'est plus le même et en bout de piste, il y a un équilibre plus serré.
Est-ce que le risque de ces impositions imposition supplémentaires existe?
- Peut-être.
Quand on parle des produits de base plus élevée, il montre par exemple que ce soit en Afrique de l'Ouest au Brésil, offrir un peu plus de cet argent.
Cela veut dire moins d'offres, un peu plus de ces produits donc un peu moins d'offres ailleurs.
Alors je pense qu'il y a une véritable risque et c'est une des raisons pour lesquelles certains investisseurs préfèrent acheter des produits de base plutôt que le titre, parce que le producteur subit les conséquences de ces hausses de des impôts.
Il faut donc une autre question maintenant sur la place des produits de base dans un portefeuille.
- D'abord, les produits de base n'ont pas de corrélation avec les rendements.
Et un titre à revenu fixe et les titres boursiers en général, car cela sont plutôt dans l'anticipation de l'avenir.
Alors que les produits de base c'est plutôt ce qui se passe ici et maintenant, cette faible corrélation joue dans l'édification du portefeuille.
Les produits de base dans un contexte inflationniste sont de plus grande valeur encore parce que la corrélation entre les actions et les titres à revenu fixe change énormément.
Les prix de base sont toujours en hausse de 15 % quand je pense 2023 ou 2024, ça m'intéresse les produits de base à cause de la macroéconomie.
J'ai aussi ce que ça signifie du point de vue macro-économique parce que les répartiteurs d'actifs regardent la répartition des actifs sont souvent 60 40.
Comment protéger le portefeuille encore inflation?
- Les produits de base un rôle à jouer.
D'autres produits aussi mais surtout en fait, ce qui vient des produits de base et de l'énergie, et ça continuera d'être le cas en 2023.
- Je suis toujours fasciné Hussein Allidina de tout ce que vous nous apprenez.
- Merci non invités.
- Merci de m'avoir accueilli.
Demain on entendra le stratège en matière de tout?
Canada qui va nous parler de la décision de la fête aujourd'hui et de ses conséquences sur l'économie.
En vue de 2023.
Prenez un peu d'avance envoyez-nous vos questions à cette adresse courriel.
C'est tout pour nous aujourd'hui, merci d'avoir été des nôtres, et à demain!
Bonjour Ici Greg Bonnell, bienvenue à Parlons d'argent en direct une émission de Placements direct TD nos invités répondre à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui il y a cette peur de la récession nous entendrons Hussein Allidina de gestion de placements TD au sujet des produits de base.
Et puis en matière d'éducation Caitlin Cormier va nous parler d'utilisation de la plate-forme et voici comment communiquer avec nous envoyer-nous un courriel à cette adresse courriel ou poser vos questions sur dans la bonne question au bas de votre camp. Alors voici la mise à jour petit coup d'œil sur les marchés nous sommes à deux heures d'un événement important c'est-à-dire que la Fed américaine à 14 heures devrait nous annoncer dès sa décision quant au taux d'intérêt.
C'est plutôt verre à l'écran pour l'instant il y a un peu de rattrapage 20 063 pour les S&P 500 TSX une hausse de 40 point et puis il y a une hausse de 8 % pour le pétrole donc c'est parfois intéressant pour les sociétés du domaine de l'énergie je n'ai pas vu beaucoup de sociétés pétrolières – partie de cette vague et même que Suncor est à la baisse quantum First est à la hausse 32 $ le cours actuel une hausse de 3 %.
Au sud de la frontière, c'est intéressant aussi en attendant la décision de la Fed le S&P 500 une hausse de presque grosso modo de 1/2 % et le Nasdaq une hausse de trois quarts de point de pourcentage. Il y a eu des hausses important hier évidemment à la suite des chiffres sur l'inflation et le grand aujourd'hui ce sera l'annonce de la Fed. Microsoft a fait des gains plutôt aujourd'hui 261 le cours donc une hausse de presque 2 % voilà pour le coup d'œil sur les marchés.
- Toute l'année on a entendu parler d'une offre serrée pour plusieurs produits de base il y a des inquiétudes quant à une récession qui s'annoncerait. Est-ce que la demande alors sera la véritable préoccupation 2023?
Nous entendrons Hussein Allidina toujours un plaisir de vous accueillir bienvenue.
- Merci de m'accueillir.
- Bientôt la fin de 2022 on a souvent discuté cette année de la situation de l'offre de la demande et départ de récession pour l'année prochaine.
- Je pense que si on examine ces dernières semaines et ces derniers mois, le marché s'est concentré sur le ralentissement de la croissance mondiale et les conséquences sur les produits de base.
Quand je regarde le pétrole tout spécialement pour l'an prochain, il y a des chiffres revus à la hausse ce matin une hausse de 1,7 millions de barils par jour donc pour ce qui est de l'offre, et de la capacité supplémentaire, il y a des contraintes quand même en 2023 24 25 c'est un symptôme du manque d'investissement depuis 10 ans maintenant.
Donc je dirais que c'est assez bien cerné maintenant la question c'est de voir comment la demande pose un problème en 2023 1,7 millions de dollars par jour qu'on prévoit pour lampes l'année prochaine il y aura quand même une demande plus faible que cette année en bout de piste.
Donc on a déjà indiqué que si on parle de demande en pétrole depuis 1970, il n'y a que trois ou quatre situations où la demande a été réduite donc il faut une grosse réduction de la croissance économique comme on a vu pendant la pandémie en mars 2020, la crise financière et même alors, la demande a été réduite mais c'était plutôt de courte durée et ensuite ça rebondit.
Donc on part de 100 millions de dollars par jour aujourd'hui pour la demande en dépit du fait que c'est un peu plus chaud que d'habitude ce qui atténuait la demande et je pense que l'an prochain on va se concentrer sur la demande à vrai dire.
Je vous dirai que la croissance économique probablement sera assez robuste pour qu'il y ait un resserrement, donc il y a plusieurs… variable difficile à prévoir, mais sur le plan purement économique, pour tenir le coup il y aura peut-être un ralentissement de l'économie, qu'est-ce qui pourrait avoir un effet contraire?
Parlons de la Chine par exemple.
- Une chose qu'il faut nous rappeler ici que cette année a été une année très volatile pour les cours pour le prix des matières premières, mais la demande en Chine a été plus faible si on part de croissance que ce qu'on a vu de ce qu'on a vu depuis 1995 ou 96.
Je ne pense pas que ça grimpe en Chine de façon linéaire mais je pense que la demande en Chine en 2023 sera plus élevée et s'il aura des conséquences sur la demande de pétrole en 2023, en comparaison de 2022 il y a des indicateurs précoces en examen des chiffres sur les vols et le transport donc en Chine, ça semble être à la hausse.
Une des préoccupations cette année, c'est évidemment l'inflation et le coût de l'énergie en fait partie.
Donc pour l'année prochaine, alors que manifestement il y a plusieurs raisons pour lesquelles l'offre sera serrée et si la demande grimpe de manière ferme, est-ce qu'on retrouve une situation où les banques centrales vont intervenir?
- Je pense qu'en matière d'inflation, évidemment les prix des matières premières n'ont pas été trop élevés mais quand on aura des problèmes tant qu'on aura des problèmes d'offres, les prix risquent de grimper. Une des raisons plus lesquelles la demande est aussi faible aujourd'hui qu'elle aurait été si les prix avaient été au niveau qu'on a eu pendant l'été, c'est que il y a eu plus de consommation en 2023 maintenant, si ce que je pense de l'offre et de la demande des saveurs justes, les prix du pétrole ont de nouveau grimper cette année l'an prochain il faudra voir la demande, et de nouveau, ça va devenir une préoccupation matière d'inflation ce n'est pas réglé on a l'impression que inflation faiblit, en matière de produits de base, on n'en est qu'au début de cette histoire pour ainsi dire, parce qu'il y a encore la question de l'offre.
Il n'y a pas eu suffisamment d'immobilisations dans ce secteur d'activité donc je pense que l'inflation va demeurer une préoccupation peut-être pas huit ou 9 %, mais disons à 2 % de façon soutenue on verra bien si ça ne sera pas plus haut.
- Qu'est-ce qu'il faudra pour que l'industrie gazière et pétrolière et minière en général fasse le nécessaire?
- Donc on extrait pas suffisamment de pétrole par exemple.
- Je pense qu'il nous faut répartir les choses en fonction de chaque produit de base ou en sous-catégorie. Je pense qu'il y a comment dire?
Il n'y a pas un grand désir de la part des pétrolière et des gazières d'investir, parce qu'il y a la transition énergétique, donc est-ce qu'est-ce que les gens vont consommer ces produits dans 10 ou 15? On sait que ces déplacements aujourd'hui, ça n'entraînera pas une hausse de la production avant 56 ou sept ans il faut passer à long terme quand on prend ses décisions d'investissement.
Donc il y a toute la question des critères ESG on insiste beaucoup là-dessus plusieurs pétrolières sont mis au défi par les investisseurs quand ils en discutent de ces questions, donc il faudra qu'il y a un nouveau cycle d'immobilisations. On a encore besoin de ces produits voyez-vous il faudra qu'il y ait des augmentations importantes du rendement sur le capital pour que ces compagnies fassent les placements requis et les données cette année, en dépit de l'augmentation des prix qu'on a vus, ça n'a pas été ça n'a pas traîné autant de placement investissement du côté du secteur privé un peu quand même, il y a eu la demande qui venait de secteur privé et maintenant le coût de l'argent est à la hausse et c'est un phénomène qui n'était pas problématique pendant longtemps, côté minier, et les métaux, il y aura plus d'investissement dans la mesure où les cours resteront élevés il y aura des encouragements pour qu'on investisse, parce que de ce côté-là, il y a moins d'impact je dirais négatif des facteurs ESG mais ses décisions évidemment sont difficiles à prendre si on parle un conseil d'administration à investir dans le côté du pétrole, on passe à 90 $ le baril aujourd'hui, c'est 70 $ le baril je ne sais pas où on entre dans trois mois, mais cette volatilité faite en sorte qu'il faut trouver de meilleurs justifient justification pour investir.
- On peut avoir l'impression qu'on ne rend pas les produits requis à moins qu'il y ait un peu de magie dans tout ça.
Donc il faudrait investir pour obtenir par exemple des minerais pour les véhicules électriques?
- Je pense que s'il y a une croissance électrique, l'équilibre entre les prix et la demande de ses produits de base, il n'y a pas assez de demandes on investisse pas suffisamment aujourd'hui à tel point qu'on n'est pas en mesure de s'éloigner assez rapidement des sources d'énergie conventionnelle.
Donc on se retrouvera dans une situation où l'offre sera un peu serrée, il y aura du retard dans l'offre et s'il y avait des perturbations, les prix à ce moment-là devront grimper considérablement pour établir un nouvel équilibre.
Il faudra rationner la demande dans ce genre de situation et c'est un peu produit cet été, mais je pense que 70 $ le baril, ce n'est pas tellement qu'à l'heure actuelle.
- Si fascinant.
Bon début d'émission. Nous répondrons à vos questions, mais d'abord, je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous à tout moment à l'adresse qui, figurent à l'écran ou en utilisant la boîte de questions bas de votre écran.
Donc qu'est-ce qui se passe dans le monde des affaires et qu'est-ce qui se passe du côté des marchés boursiers?
- Delta Airlines dit qu'il y a une bonne demande pour les voyages aériens, ces bénéfices devraient doubler l'an prochain.
Le transporteur aérien prévoit aussi que son flux de trésorerie disponible va grimper et a l'intention de réduire ses dettes et l'industrie dans son ensemble est optimiste en dépit des inquiétudes en matière de récession.
Le secteur de la fabrication au Canada a donné des résultats meilleurs que prévu en octobre statistique Canada dit que les livraisons manufacturières ont augmenté de 2,8 % pour ce mois.
Donc c'est assez bien réparti, notamment du côté du pétrole et du charbon.
Les plaidoiries en vue de l'effusion rageur 26 millions de dollars orageux au tribunal de la concurrence.
Ces étudiants sont probablement la dernière table avant qu'il y ait une décision de la part de la cour fédérale.
Ici même au Canada, l'indice S&P 500 le grand événement TSX le grand événement va annoncer la Fed à 14 heures aujourd'hui et donc pour l'instant, c'est envers l'écrin c'est plutôt modeste à Toronto. Une hausse de 31 point au sud de la frontière, le S&P 500 une hausse d'un peu plus qu'un de 8 % l'inflation aux États-Unis était moins poussée que prévue, on l'a vu hier.
Qu'est-ce que la fête en tirant comme conclusion?
On verra bientôt. Retour à Hussein Allidina pour répondre aux questions sur les produits de base.
Premier question: quelles sont vos perspectives pour les gaz naturels cet hiver?
- Question épineuse. Parlons d'abord de l'Europe avant d'aller en Amérique du Nord. En Europe, pour le gaz, les prix grimpent évidemment, ces dernières semaines, par ce que il y a eu des stocks qui se sont accumulés pendant tout l'été, on savait qu'il aurait des problèmes d'offres à cause de la guerre en Russie et en Ukraine, et maintenant, la température et le climat font en sorte de réduire les prix, mais maintenant, l'hiver arrive et les prix recommencent à grimper.
Je pense à court terme si on part de l'Europe, il y a beaucoup de volatilité et ça dépendra du temps qu'il fera quand je pense à l'équilibre pour le rapport 2023 2024 2025, à moi de constater une offre qui redémarre du côté de la Russie, ce qui semble peu probable, il y aura une lacune qu'il faudra combler grâce au gaz naturel liquide et a été pour beaucoup absent cette année à cause de la fermeture du confinement Chine, équilibre les plus de charbon. Je pense qu'en 2023 2024, les prix du gaz en Europe seront plus élevés que ce qu'on a connu historiquement.
Il y a beaucoup de géhenne elle qui se présente au marché pense-t-on en 2024 25 et 26, mais d'ici là, ce sera plus serré.
Donc il faudra plus des prix plus élevés pour limiter la demande industrielle toute les produits aux États-Unis c'est un peu mieux, parce que la production ici même, il y a eu beaucoup de volatilité des prix, c'est conforme à ce qui se passe d'habitude cette année, d'un jour à l'autre, les prévisions quant au climat changent d'un jour à l'autre, et maintenant, évidemment les prévisions sont de 14 jours on annonce plus de froid et les prix du gaz grimpent quand je vois les prévisions pour 2023, on a un peu l'impression qu'il y a un peu plus d'optimisme c'est-à-dire que la production aux États-Unis va continuer à augmenter considérablement certains de ces prévisions sont peut-être trop optimistes.
Les États-Unis, il y aura moins qu'en Europe, mais je ne suis pas sûr qu'on aura la croissance de demandes comme pour qu'on prévoit et on fait des extrapolations qui seront peut-être pas juste en fin de compte, l'équilibre aux États-Unis c'est quand même un marché fermé sauf pour le géhenne elle et les exportations vers le Mexique.
On n'est pas en mesure d'exporter beaucoup plus de géhenne elle d'ici l'année prochaine.
Il y en aura plus en 2025 2026 et les prix en Europe pourront baisser alors, évidemment, ça ferait grimper les prix en Amérique du Nord.
- Importation de général qu'est-ce que ça signifie pour le Canada?
- On part d'une opportunité pour aider l'Europe.
En ces temps difficiles, vu ce qui se passe en Ukraine ou à moi que en Asie une offre plus de géhenne elle ou en est le Canada dans tout ça?
Est-ce qu'on peut vraiment livrer la marchandise?
- Il nous faut construire ou renforcer nos capacités d'exportation de géhenne elle on a des bonnes ressources pays le gaz ce n'est pas aussi propre que le solaire, mais c'est beaucoup plus propre que le charbon.
Signent une création une occasion ratée. Nous aurions pu approvisionner l'Europe et même l'Asie, mais je ne pense pas que cette opportunité soit complètement perdue. Il y a beaucoup de possibilités quand je vous dis qu'on ne pourra pas laisser tomber les formes d'énergie conventionnelle assez rapidement, il reste la possibilité d'exporter ce genre de produit depuis le Canada pour déplacer du charbon qu'on brûle en Chine.
Par ailleurs, quand on examine les ventes de véhicules électriques en Chine, la Chine mène de par le monde pour ce qui est des ventes de véhicules électriques 20 à 25 % mondial des ventes sont en Chine.
Il produit de l'électricité à partir du charbon et ce n'est pas bon pour le climat.
Nous devrions plutôt encore une fois accroître notre provision de gaze et partager avec le reste du monde pour atténuer pourrait réduire l'utilisation de produits moins propres comme le charbon.
Les gens se demandent ce qu'il en est de la demande de véhicules électriques était la hausse. Alors quels métaux vont profiter le plus?
- Les métaux, de façon générale maintenant, on plutôt bien réussi récemment, étant donné qu'il y a un des confinements en Chine et si ça se poursuivait, tous les métaux vont grimper et tirer parti de la situation notamment le cuivre et l'aluminium à cause de là où on en est, dans le siècle en Chine, il y a beaucoup d'immeubles qui vont finir de construire en Chine donc il faut du cuivre et de l'aluminium et ses deux métaux aussi sont très importants dans l'électrification qu'on parle donc des batteries pour les voitures ou du transport d'électricité, ou de génération électricité il y a beaucoup de cuves d'aluminium donc, c'est favorable pour ses produits à cause de la demande, mais aussi et je me répète, à cause de l'offre.
Les mines creusées pour le cuivre, ce n'est pas facile, il faut s'éloigner des grands ensembles pour trouver ces cuvées les gouvernements se concentrent sur les conséquences environnementales des activités minières, donc il faut tenir compte évidemment, dans les pays d'où on extrait le cuivre, dont nous pensons que le cuivre et l'aluminium seront beaux.
Pour ce qui est du cuivre dont on aura besoin, il vous dit qu'il faut s'éloigner des centres de consommation et investir dans les régions éloignées, mais ce qu'on trouvera le cuivre requis? Est-ce que tout est bien aligné?
- Il y a un coup à payer pour l'obtenir.
Il y a toujours un prépayé.
Un prix à payer. Quand le pétrole est passé à 90 $ le baril, pour la première fois, on s'est dit on pouvait aller au Venezuela un sable bitumineux, mais je dis que 10 000 à 12 000 ou 15 000 pour le cuivre, ça va faire en sorte qu'on trouvera plus d'offres il faut trouver un bon moment et obtenir les approbations.
- Autre question maintenant que pensez-vous de l'uranium?
- On a déjà évoqué ça je pense je trouve que je suis optimiste par rapport à l'aluminium je reviens l'électrification pour les transports d'électricité et les gens comprennent maintenant que le solaire et l'éolien c'est très propre, mais ce n'est pas suffisant pour la charge de base son avion Europe ces derniers jours, c'était plus froid, il y a eu moins devant.
Comment répondre à la demande de base?
- Aujourd'hui, ça provient du gaz naturel et du charbon et dans une moindre mesure de lui l'hydroélectricité et puis aussi d'autres types de distillat ou de carburant.
Mais il y a le solaires et les énergies renouvelables pour les demandes de piquets de pointe.
Donc pour la base, vous dîtes que ce n'est pas propre le charbon et le pétrole, et dans certains coins du monde, on n'est pas trop le gaz naturel, il faut le remplacer par quoi? On peut pas le remplacer par de l'éolien du solaire parce qu'il n'y a pas du jour du soleil et c'est là que le nucléaire joug un rôle et c'est un peu comme les autres produits de base personne investie du côté de l'offre en urémie uranium, et ce qui se passe en Russie avec la guerre c'est très important.
Donc tout cela évidemment ce n'est pas une ligne droite, ce n'est pas saine, mais quand on parle d'uranium aujourd'hui dans cinq ans, l'uranium va se vendre plus cher qu'aujourd'hui.
- Le risque intermédiaire et ses risques de façon générale, qu'est-ce qu'arrivera la demande mondiale?
Qu'est-ce qu'arrivera au niveau du dollar américain?
- Est-ce qu'on voudra plus d'uranium ou de nucléaire à moyen terme s'il y avait un épisode un incident nucléaire?
- Se fera en sorte que les gens vont hésiter mais si vous croyez qu'il y aura de la croissance et que voulait pas consommer du charbon du gaz il faudra que ce soit du nucléaire.
- Je vous rappelle de faire vos propres recherches de prendre des décisions de placement. Nous reviendrons en Hussein Allidina dans quelques instants.
Envoyez-nous vos questions à cette adresse courriel en utilisant la base la casse au bas de votre écran.
Éducation maintenant aujourd'hui nous voyons comment faire des cotisations en espèces en utilisant la plate-forme courtier Web.
Caitlin Cormier est des nôtres aujourd'hui alors qué Kleine ravi de vous retrouver et rappelons à notre auditoire qui n'a pas l'habitude de faire ça qu'est-ce qu'on entend par cotisations en espèces.
- Bien sûr, alors c'est le moment de l'année où les gens planifient et on approche évidemment de 2023 les gens se demandent quoi faire en matière de cotisations quand ils ont de l'espace pour contribuer à leur compte, donc une façon de procéder, c'est de faire des cotisations en espèces, donc vous prenez essentiellement un titre que vous détenez déjà dans un contenant enregistrer un compte sur marge ou un compte de liquidité et vous, le fait passer de votre site CELI vous transférer des titres de l'argent sans devoir racheter le titre dans l'autre compte.
Donc évidemment, c'est plus simple on est vite obligé de vendre de racheter.
Il y a quand même des conséquences matière fiscales, donc c'est comme quand vous versez une cotisation il y a toujours des conséquences au plan fiscal, donc assurez-vous de discuter avec un fiscaliste un professionnel pourra avoir les conséquences que ça pourra avoir pour vous avant de faire un tel transfert.
Vous voulez vous assurer d'être au courant avant de cliquer et de faire un transfert.
Donc c'est quand même une façon de faire ses cotisations.
Il faut demander des conseils professionnels pour faire bien aligner.
Comment faire ça sur courtier Web?
- C'est assez simple au fond.
Vous allez sur courtier Web et voyons un peu à quoi ça ressemble. On voit l'onglet compte et on va au troisième de la colonne du centre pour un transfert et c'est le même endroit où on pourrait faire penser le titre américain vers le côté canadien de son compte.
Il y a toutes sortes de transactions certains transferts ne peuvent pas se faire en ligne.
Vous pouvez vous renseigner là-dessus en cliquant sur la ligne ici, mais pour ce qu'on voit ici, il s'agit de compte d'où proviendrait le transfert et on pourrait par ailleurs trouver un compte rayonne un CELI où on peut faire un transfert en fonction des devises et ont choisi le titre qu'on voudra transférer ce sera sur le prochain écran et qui provient par exemple FNB, donc ça se fait rapidement en ligne, s'il y avait des problèmes évidemment on communiquera avec vous il y aura une réaction et on ne vous annoncera le problème mais au fond, c'est assez simple quand j'aurais fait quand j'avais pris la décision.
Donc vous avez ce qui apparaît à l'écran, qui vous permet d'effectuer la transaction.
- Merci beaucoup qué Kleine. C'était Caitlin Cormier, instructrice séchée plan placement directe et des.
Je te coup d'œil à votre centre d'apprentissage vous y trouverait des classes de mettre des vidéos.
Avant de revenir aux questions au sujet des produits de base, questions adressées à Hussein Allidina comment communiquer avec nous?
Si vous avez mais il y a de connaître il y a défaut de façon de procéder envoyez-nous un courriel à tout moment ou encore, cliquez sur la boîte de questions au bas de votre écran.
Tapez votre question et envoyez les, on verra si l'un de nos invités puis répondre ici même.
De retour maintenant à la Hussein Allidina qui répondra à vos questions sur les produits de base.
Donc est-ce que les taux d'intérêt plus élevé auront des conséquences sur les secteurs des produits de base?
Il y a il y avait des taux d'intérêt alors cette année.
- C'est une très bonne question c'est bien le cas.
Quand on parle de taux d'intérêt élevé, on se dit d'abord que des taux d'intérêt plus élevé, ça signifie moins d'activités économiques, moins de demandes pour des produits de base. Par contre, l'autre côté de la médaille, les taux d'intérêt plus élevé, c'est-à-dire des coûts d'immobilisation plus élevé.
Donc c'est plus difficile d'investir si je suis un agriculteur qui va acheter un nouveau tracteur aussi je suis un producteur de gaz de schiste, il me faut des équipements pour creuser de nouveau.
Donc gardons l'esprit notamment pour le pétrole mais aussi pour les tous les produits de base que le contexte de taux d'intérêt faible depuis 10 ou 12 ans maintenant à faciliter l'évolution de la production de gaz de schiste.
Maintenant qu'il y a un coût du capital plus élevé, et ont constaté je l'ai dit, donc le nom le nom d'installation évidemment est plus difficile à faire grimper.
C'est plus difficile du côté de l'offre. Il faut un prix plus élevé pour que les gens investissent dans ces secteurs. Donc probablement qu'il y a un effet négatif du côté de l'offre à cause des taux d'intérêt plus élevé.
- Depuis la vigueur du dollar américain qu'est-ce que ça peut signifier pour les produits de base?
- Dans un contexte de tout intérêt à la hausse et de dollar américain plus vigoureux.
- Synthé remarquable en 2023 pour les produits de base, 15 à 16 % de hausse en dépit du fait glissement depuis quelques mois à une époque où le dollar américain a beaucoup grimpé.
Quand je pense 2023, est-ce que ça pourrait grimper de nouveaux?
- C'est possible, mais si j'ai à miser, je dirais que la devise américaine sera la baisse alors que la Fed à ces hausses de taux d'intérêt tandis que le monde va s'améliorer pour la croissance.
Si j'ai raison et que le dollar américain s'est atteint son sommet, ce sera bon pour les prix des produits de base.
Donc pour mon cousin en Inde, si le prix si le dollar américain c'est la devise américaine est plus élevé, ça aura des conséquences pour lui.
Un dollar qui faiblit évidemment c'est bon pour la demande et pour le reste du monde, y compris mon cousin en Chine, mais par contre, le producteur agricole au Brésil, subira des conséquences.
Et pour une autre question maintenant au sujet de l'or.
Est-ce qu'il y a encore des gens qui pensent que lors nous protège de l'inflation?
- Je pense que l'or, et je l'ai dit déjà à cette émission, Laurent a un rôle à jouer dans un portefeuille, car il y a des caractéristiques du risque qui nous protège.
Je pense que l'on nous protège de l'inflation, notamment vers la fin, alors que l'incertitude est très élevée.
Est-ce que l'on performe de façon très très bien, très bonne quand l'inflation est à trois ou 4 %?
- Peut-être pas, mais si l'inflation est plus de 5 %, oui.
Et pour vous dire que l'inflation est beaucoup plus importante que 5 % cette année pourquoi est-ce que l'on s'en est pas mis –?
- Lors élevés et les dollars américains ça très bien fonctionné.
Et pour ce qui est dollar américain, l'or est assez bon si cette année on l'a vu.
Alors que le marché commence à comprendre que la Fed atteint peut-être la fin de ces hausses de cycle, lors comment s'est bien performé.
Si la Fed 16 son ralentissement ces hausses de ton intérêt en dépit du fait que l'inflation est élevée, c'est bon pour lors les orifices les accompagne aurifères.
Une autre chose à signaler, pas beaucoup d'intérêt pour lors de la part des investisseurs au détail.
Par ce que l'on a été en mesure de trouver des rendements dans d'autres domaines colore.
Il y a une chose que changer qui est important à mon avis il faut garder ça l'esprit, c'est que les banques centrales qui s'intéressent à la valeur dans les pays en développement des marchés émergents ont continué d'acheter beaucoup d'or.
Et les banques centrales les marchés émergents qui ont beaucoup d'or et qui détiennent un pourcentage sans sont mis – que les autres devises.
Donc, ça nous indique que ça nous confirme en fait que Laure a un rôle à jouer dans les portefeuilles et je pense qu'il faut prévoir un peu d'or quand même dans les portefeuilles.
Maintenant, le risque de lors le dossier de le dollar américain continu des de se renforcer, enfin, si le coût d'opportunité de détenir de lors reste élevé, si le grain de 10 ou 15 % si je veux mettre de l'argent dans la devise américaine, c'est dur pour le cours de l'or.
Le cours le coût d'opportunité évidemment il faut tenir compte.
- Une question sur la sécurité alimentaire maintenant.
Et une grande préoccupation pour bien des gens.
Est-ce que le secteur agricole est à risque en 2023?
- Heureusement, à mon avis, les perturbations qu'on redoutait de la guerre en Ukraine ne se sont pas concrétisés. Du moins, pas de façon importante si on voit l'équilibre dans le secteur agricole dont comprend les inventaires la juste en fonction de la demande.
Les inventaires en fonction de la demande sont serrés, mais moins serrée que pour certains autres produits de base. Et moins serré qu'il ne l'était pour l'agriculture en 2000 donc je pense que ça ira du côté agricole.
Mais s'il y avait un problème du côté d'une récolte importante, on n'a pas de surabondance, donc il faut faire attention.
Par ailleurs, ce qui pourrait présenter des possibilités de hausse des prix du blé et du maïs etc., ce serait des préliminaires l'énergie parce que ça joue dans les coûts de production.
Ça coûte plus cher pour faire tourner des moteurs, détracteurs, et puis pour faire sécher les produits agricoles et ça a des conséquences sur les produits de substitution utilisée du biodiesel et de l'éthanol est à la hausse donc la réponse à votre question je suis moins préoccupé de l'inflation que je n'étais il y a six mois alors que j'étais à l'espacé du côté de l'Europe, mais on n'est pas complètement sorti du bois.
On dit car ça reste serré.
- Merci donc vos questions et reviendra dans quelques instants.
Faites votre propre recherche évidemment avant de prendre une décision de placement.
Communiquer avec nous quand vous le voulez soit par courriel, nos invités vous pourront vous répondre envoyez-nous vos questions de deux façons je l'ai dit déjà par courriel à tout moment elle aide-vous et voyez l'adresse à l'écran ou en cliquant sur la bonne question au bas de votre écran.
Écrivez votre question et envoyez-la et on verra si un de nos invités peut vous répondre ici même.
Il reste à peine 90 minutes avant l'annonce de la décision de la Fed.
Alors maintenant, nous allons entendre Anthony Okolie.
Chez valeurs mobilières TD nous prévoyons une hausse de taux d'intérêt de presque 50 point de base pour atteindre quatre ennemis quatre carreaux quatre il n'y pour cent.
Donc ce serait un peu restrictif et c'est là que les taux d'intérêt pourraient ralentir la croissance économique en général de deux à 3 % de hausse et c'est plutôt neutre comme conséquence la croissance économique ça ne stimule ça ne limite plus la croissance.
Valeurs mobilières TD Satan ainsi que la Fed s'attend à ce que la Fed passe un taux plus élevé passe qu'on avait vu en six en septembre.
La Fed n'a pas fini de hausser les taux d'intérêt.
Ça été signalé en novembre il faut maintenir des taux d'intérêt de façon à réduire l'inflation pour atteindre la cible.
Donc, par conséquent, nous pensons que les taux d'intérêt sont plutôt élevés.
L'inflation le taux d'inflation de base est assez serré, donc nous pensons qu'il y aura de nouvelles hausses et qu'on pourra atteindre cinq écarts à cinq il n'y pour cent de taux d'intérêt.
Donc les coûts de l'argent sont plus élevés.
Qu'est-ce que ça signifiera pour l'économie américaine?
- On pense que ça va un peu ralenti ralentir la dynamique actuelle de la croissance économique alors que la demande sera la baisse.
Donc en conjuguant cela avec un dynamique dans le marché du travail, ça pourrait signifier une augmentation du taux de chômage aux États-Unis.
Nous prévoyons que la croissance du PNB sera plus prononcée en 2023 et qu'il y aura une récession probablement au troisième trimestre l'an prochain.
Nous croyons que ça obligera la banque centrale la Fed à intervenir et à réduire ses taux de base vers la fin de l'année prochaine.
Merci beaucoup Anthony.
- Donc on attend la décision décision de la Fed en moins de 90 minutes.
Donc les marchés boursiers c'est en verre, plutôt modeste cependant, le STP TSX hausse de 1/10 de pour cent.
Air Canada donc une dynamique positive de monsignor du côté du transport aérien on pense que la demande va tenir le couleur prochaine, donc 19,3 le cours de l'action maintenant côté minier, c'est plutôt beau fixe, 5,85 pour le S&P 500 au sud de notre frontière.
Toujours en attendant la décision de la Fed, donc pour l'instant, le S&P 500, une hausse de presque 1/2 %.
Le Nasdaq maintenant secteur des technos une hausse est là aussi de presque 1/2 %.
Delta je l'ai dit on est plutôt optimiste pour la demande de voyage aérien en prochain.
Le cours de l'action 34,24, donc Hussein Allidina va de nouveau répondre à vos questions.
- Est-ce qu'il y a une offre suffisante pour les métaux de terres rares?
- Question épineuse.
Cela dépend des prévisions dont on tient compte pour ce qui est du nombre de véhicules électriques.
Donc il y a des préoccupations pour ce qui est de la disponibilité de ces minerais de la terre rare.
- Une autre préoccupation donc il y a de l'investissement il y aura plus d'offres, on a parlé plus tôt, ça dépend du prix et on peut évidemment offrir plus ou moins, mais ce qu'on sait aujourd'hui, c'est beaucoup de ces minerais sept erreurs ne sont pas vraiment produits ou exploités en Amérique du Nord.
Dans beaucoup de cas, c'est plutôt dans des endroits qui ne sont pas les plus amis ou les meilleurs alliés d'Amérique du Nord, que ce soit la Russie ou la Chine.
Si on voit de par le monde, espionnaient assez de ces produits?
- Peut-être pas, étant donné la quantité des investissements l'heure actuelle.
Ou est-ce que ce sera dans des coins du monde qui sont nos alliés de nos amis?
- Quant à trouver ces minerais aux États-Unis, ce sera peut-être mieux que de dépend d'autres pays du monde.
J'ai passé beaucoup de temps à parler de l'équilibre du côté du du cobalt et du lithium, du cuivre plutôt qu'en ces minéraux de terre rare, ce sens ce ne sera pas simple.
Il faut faire de l'exploration pour répondre à la demande éventuellement.
- D'autres questions qui s'adressent à Hussein Allidina. Est-ce que vous pensez qu'il il y aura des taxes très élevées pour le secteur des produits de base?
- Quand les produits de base augmentent, il y a deux choses qui sont négatives pour l'avenir.
- Du point de vue de l'économie. Je n'ai pas dit les choses clairement les gouvernements veulent d'abord offrir au consommateur un certain soulagement réduisant les taxes les impôts en réduisant le prix de l'essence à la pompe.
C'est contraire à ce qu'on veut par ailleurs par ailleurs que le marché cherche un équilibre et que le prix grimpe, c'est un prix plus élevé, ça décourage des gens comme Greg de voyager.
On offre le prix de l'essence plus faible pour Greg, Greg va peut-être voyager, les secrets de l'inflation.
Par ailleurs, quand les compagnies de produits de base commencent à faire des bénéfices, le gouvernement dit: on va vous imposer pour redistribuer vos bénéfices extravagants.
Ça a des conséquences pour Greg, le prix du baril n'est plus le même et en bout de piste, il y a un équilibre plus serré.
Est-ce que le risque de ces impositions imposition supplémentaires existe?
- Peut-être.
Quand on parle des produits de base plus élevée, il montre par exemple que ce soit en Afrique de l'Ouest au Brésil, offrir un peu plus de cet argent.
Cela veut dire moins d'offres, un peu plus de ces produits donc un peu moins d'offres ailleurs.
Alors je pense qu'il y a une véritable risque et c'est une des raisons pour lesquelles certains investisseurs préfèrent acheter des produits de base plutôt que le titre, parce que le producteur subit les conséquences de ces hausses de des impôts.
Il faut donc une autre question maintenant sur la place des produits de base dans un portefeuille.
- D'abord, les produits de base n'ont pas de corrélation avec les rendements.
Et un titre à revenu fixe et les titres boursiers en général, car cela sont plutôt dans l'anticipation de l'avenir.
Alors que les produits de base c'est plutôt ce qui se passe ici et maintenant, cette faible corrélation joue dans l'édification du portefeuille.
Les produits de base dans un contexte inflationniste sont de plus grande valeur encore parce que la corrélation entre les actions et les titres à revenu fixe change énormément.
Les prix de base sont toujours en hausse de 15 % quand je pense 2023 ou 2024, ça m'intéresse les produits de base à cause de la macroéconomie.
J'ai aussi ce que ça signifie du point de vue macro-économique parce que les répartiteurs d'actifs regardent la répartition des actifs sont souvent 60 40.
Comment protéger le portefeuille encore inflation?
- Les produits de base un rôle à jouer.
D'autres produits aussi mais surtout en fait, ce qui vient des produits de base et de l'énergie, et ça continuera d'être le cas en 2023.
- Je suis toujours fasciné Hussein Allidina de tout ce que vous nous apprenez.
- Merci non invités.
- Merci de m'avoir accueilli.
Demain on entendra le stratège en matière de tout?
Canada qui va nous parler de la décision de la fête aujourd'hui et de ses conséquences sur l'économie.
En vue de 2023.
Prenez un peu d'avance envoyez-nous vos questions à cette adresse courriel.
C'est tout pour nous aujourd'hui, merci d'avoir été des nôtres, et à demain!