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(musique) En même temps que le pain il y a quelques semaines s'est engagé à mettre ses limites de production jusqu'à septembre au moins.
Ceci laisse escompter des prélèvements importants pendant l'été, c'est pourquoi nous pensons qu'il y a une possibilité d'augmentation des cours.
Prélèvements, saison des trajets en automobile cet été, mais tension dans le Moyen-Orient qui irait dans l'autre direction.
- Oui, depuis six ou huit mois, il y a beaucoup de tensions sur le marché.
Beaucoup ont racheté des options d'achat à la hausse au cas où il y aurait des hostilités au Moyen-Orient.
Ces éléments sont largement débouclés, semble-t-il.
Il y a moins de décalage dans les options d'achat.
Et moins de potentiel de hausse supposée par les marchés.
- Les tensions dans le Moyen-Orient ne sont pas résolues. Le ministère canadien des affaires étrangères à conseiller aux Canadiens au Liban de quitter le pays aussi rapidement que possible.
Il y a des concentrations de troupes de part et d'autre la frontière. Je ne suis pas certain que ces tensions soient apaisées.
(...) À présent, parlant justement des stocks. Vous avez montré un graphique sur les stocks de brut aux États-Unis.
- Oui, une des raisons pour lesquelles les marchés sont devenus un peu baissiers ou les cours ont baissé depuis quelques semaines, c'est parce que les stocks s'accumulaient. Ces saisonniers à cette époque de l'année, mais dans un contexte historique, c'est ce que j'essaie de montrer dans ce café, les stocks sont extrêmement serrés.
Je pense que les données remontent au année 90. Plus serré que dans les années 90, la demande a augmenté considérablement dans le monde depuis les années 90. La croissance de la demande s'établit à un ou 2 millions de barils par an.
À mon avis, nous n'avons pas un niveau confortable de stocks pour gérer une perturbation éventuelle et il y a toujours des augmentations de la demande pendant l'été que l'on peut envisager. Je pense que le paysage montre un équilibre très serré.
La courbe des contrats à terme du brut est toujours en décalage, pardon, en déport, c'est-à-dire que les raffineurs sont prêts à payer davantage 10 % de plus pour acheter du pétrole aujourd'hui que dans un où dans 10 mois.
Il faut forer davantage. L'an dernier, la production américaine a revendu considérablement, cela a étonné beaucoup de gens. Vous parlez d'installation de forage. Une bonne partie de cette croissance est attribuable à des sociétés privées qui pourraient devenir plus intéressantes.
(...) Il y a des gains de productivité dans les régions de pétrole de schiste qui permet d'augmenter la production, mais sans un augmentation de forage il n'y aura pas (...) alors que la demande mondiale continue d'augmenter, il faut une augmentation de la production. L'idée que nous n'allons pas consommer de pétrole dans 5,7, 10 ans, (...) prennent beaucoup de temps à entrer en service. Cet équilibre entre l'offre et la demande demeure préoccupant en 2025, 2026, 2027 si on continue de consommer le pétrole et je crois que ce sera le cas.
- En supposant que l'industrie se penche sur les mêmes données que vous, quel est l'encouragement?
- Je crois que le défi réside en partie dans le fait que le cours du pétrole aujourd'hui devrait justifier davantage activité questionner le cas, mais les entreprises ne veulent pas investir pour plusieurs raisons. Tout d'abord, les critiques qui leur sont adressés par les investisseurs dans leurs actions qui ont des priorités ESG et ne veulent pas voir leur empreinte carbone augmentée.
(...) La demande de pétrole va atteindre un sommet. Cela depuis presque aussi longtemps que ce produit de base vend. La demande diminue pas. La demande diminue lorsque le PIB diminue. Si vous pensez que l'économie mondiale ne va pas afficher le croissance, (...) le problème aujourd'hui c'est que les entreprises hésitent beaucoup à investir à cause des facteurs ESG et de l'idée que dans 10 ans nous n'allons plus consommer de pétrole. Je ne vais pas dépenser trois ou 4 milliards de dollars à mettre un champ pétrolifère en service.
- Parlons-en. Les entreprises scrutent leur marge. On a également une image des marges de raffinage.
- Oui, la raison pour laquelle je pars des marges de raffinage qu'elles ont faibli.
Elle se situe autour de 30 à 40 $ par baril.
(...) Non seulement parce que l'offre de raffineries serrées, tout comme on ne dépense pas dans le développement de champ pétrolifère, on ne dépense pas l'argent pour construire des raffineries. Pourquoi construire une raffinerie signera pas de consommation d'essence et de diesel d'ici trois à cinq ans? Les raffineurs vont consommer du brut pour fabriquer des produits que vous et moi consommons. J'ai montré ce graphique parce que cela montre le potentiel de hausse à court terme.
- Vous dites qu'il y a de la poudre sèche.
- Oui, voilà les données de la commission des contrats à terme aux États-Unis qui montrent le positionnement sur le marché.
La durée nette que les spéculateurs détiennent sur le marché. C'est-à-dire qu'il y a beaucoup de poudre sèche. Quand je concerne positionnement aujourd'hui par rapport aux donnés historiques, nous sommes plutôt dans un creux. Au fur et à mesure que le marché se resserre cette idée, il y aura de plus en plus d'argent qui jusqu'ici était dans l'expectative ou peut-être qui est utilisé pour acheter des actions de NVIDIA qui va affluer sur le marché.
- Nous allons à présent jeter un coup d'œil plus général sur le marché des produits de base. Commençons par l'or. Il y a beaucoup de questions à ce sujet.
- L'or a été négocié depuis 16,18, 24 pouvoirs à un niveau plus élevé que beaucoup de gens l'avaient prévu. Je le dis parce que typiquement nous considérons le dollar et les taux réels, le dollar est plus élevé et les taux réels sont plus élevés. Typiquement, il s'agit de facteurs négatifs pour l'or. Or, l'or a donné de bons résultats parce qu'il y a beaucoup de banques centrales qui veulent diversifier leurs réserves.
Globalement parlant, ces banques détiennent 90 % de dollars américains ou de dollars américains et d'euros. Depuis 12 mois, il y a eu un très net changement dans leur tolérance à détenir de l'or. On parle beaucoup de la Chine, mais beaucoup de banques centrales de marchés émergents sur la situation. Il y a 15 jours la Chine a déclaré: nous avons acheté beaucoup d'or, nous allons marquer une pause.
Je l'ai déjà dit sur votre plateau, les perspectives de l'or à court terme, je ne sais pas. Je ne sais pas comment évolueront les taux réels, mais je crois qu'à moyen terme, si je considère la quantité de monnaie papier toujours détenue par les banques centrales des marchés émergents, la faible quantité d'or détenu par les institutions individuelles dans leur portefeuille, le manque d'appétit pour l'or de la part des investisseurs institutionnels et individuels est attribuable à la vigueur des marchés boursiers. Si j'ai le choix entre le S&P et l'or, l'or ne vaut rien, il faut détenir des actions.
C'est quand il y a un peu d'angoisse sur les marchés boursiers que l'argent influera de la part des investisseurs individuels sur le marché de l'or. Les investisseurs institutionnels, comme songer à la construction le portefeuille, il y a très peu de risque extrême. L'or est avantageux dans le cas de risque extrême. On a vu des chiffres de l'IPC canadiens ce matin. L'intérêt à l'égard de la construction de portefeuille va augmenter et je crois que l'or bénéficiera.
- Voulez-vous parler des métaux industriels, en particulier le cuivre?
- Oui. Nous étions très optimistes quant au cuivre, mais nous avons allégé notre exposition au cuivre car je crois que le métal a progressé trop loin trop rapidement. La remontée du cuivre, qui nous a fait passer à 11 000 par tonne, était surtout attribuable à l'idée que tandis que les compagnies comme NVIDIA besoin de centres de données, elles auront besoin de plus grande production d'électricité, ce qui exigera davantage de cuivre. Nous considérons que la progression a été trop rapide. Le marché du bâtiment en Chine est toujours très important pour le cuivre. Je constate que le cuivre offre d'excellentes possibilités sur une base pluriannuelle mais il faudra avoir une amélioration dans les données fondamentales en Chine.
Il y a des signes de réduction des inventaires sociaux en Chine. Il y a une amélioration, cela nous plaît, 9200 à 9300 plus qu'à 10 000.
- Parlons des céréales.
Les céréales, on a parlé de l'or, on a parlé des métaux. Les céréales prennent beaucoup de temps pour susciter une réponse au niveau de l'offre.
Le cuivre peut passer à 15 000 $, on ne va pas ouvrir de nouvelles mines de cuivre, ça pensait des annmées pour (...) les céréales répondent plus rapidement.
Après l'invasion de l'Ukraine, les cours ont flambé, cela a stimulé les agriculteurs à augmenter la superficie cultivée, mais ils sont plus à l'aise alors ils peuvent consacrer davantage d'engrais, de soins à leur école, ce qui donne de meilleurs rendements. Tous ensemble, les stocks de maïs, de fèves de soja augmentent, passe jusqu'à des niveaux excessifs, mais le marché n'est pas suffisamment serré. Nous pensons qu'il y a un déclin qui se poursuivra. Le sou composants de céréales de l'indice a diminué cette année. Le risque, c'est la météo. Les marchés s'inquiètent de la météo. Aux États-Unis il y a quelques semaines, il a fait très sec et très chaud et ensuite très humide. Circonstances événement indépendamment, s'inquiétant pour le rendement.
C'est excellent pour les rendements. Nous pensons que les rendements sont très bons cette année et cela s'applique pour l'Amérique du Sud de l'Amérique du Nord.
Il y a bien entendu des risques météorologiques, en définitive les céréales vont baisser.
- Hussein Allidina de Gestion de placements TD. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Bryan Rogers nous présente les différentes fonctions disponibles sur le centre d'apprentissage.
- En tant qu'investisseur autonome, l'information et la formation sont très importants.
Quand vous regardez ces segments, vous voyez que nous vous montrons différents conseils, différentes astuces CourtierWeb et nous pouvons partager beaucoup de choses, mais il y a beaucoup de choses que vous pouvez apprendre de manière autonome.
Je voulais vous faire visiter rapidement le centre d'apprentissage de CourtierWeb.
Vous voyez sur la droite l'onglet apprendre. Vous voyez tout de suite il y a des leçons vidéo, des itinéraires, des classes de maître, des webinaires.
Enfin, vous allez être interrogé sur votre situation. Êtes-vous débutant, voulez-vous en apprendre davantage au niveau de l'analyse technique, les options, que si vous intéresse? Comment faire?
J'avais déjà procédé à cet exercice, donc je suis 1, Cours sur l'investissement axé sur la valeur. Il s'agit du tableau de bord.
Les événements auxquels vous avaient déjà assisté sont indiqués afin d'en reprendre le film. Il y a également des événements en direct, comment gérer vos positions en option, ensuite les thèmes suggérés, les préférences d'apprentissage, en cliquant sur le survol, on peut voir l'ensemble des options disponibles, ajouter des thèmes, par exemple au-delà de la base sciences économique etc., la page de survol représenté des vidéos et des webinaires qui correspondent à ce que je recherche. À part cela, il y a une très longue liste de leçons, vidéo ainsi que des cours mis au point, des vidéos plus courtes.
Il y a également différents niveaux, et si on revient à l'onglet apprendre, c'est-à-dire la page d'accueil, il y a des itinéraires d'apprentissage. Ce sont des séries de vidéos qui permettent de progresser dans l'apprentissage d'un thème. Ce qui est bien, c'est que ces webinaires sont archivés, des événements directs archivés qui mettent en jeu des experts de l'industrie comme Sarah Potter et d'autres. Il y a une description rapide. Vous pouvez également utiliser l'onglet sélection pour rechercher des webinaires par exemple sur la gestion des impôts, la retraite et ainsi de suite. Il y a donc un certain nombre de façons de personnaliser ces éléments afin de poursuivre le parcours d'apprentissage.
- Voilà un rapide tour d'horizon du centre d'apprentissage. Merci à Bryan Rogers.
Pour trouver davantage de ressources et de formation, vous pouvez visiter le centre apprentissage sur CourtierWeb ou balayer ce code QR pour parvenir à la page YouTube de Placements directs TD vous trouverez encore plus de vidéos.
La Banque du Canada a récemment pour la première fois réduit son taux directeur.
Plusieurs autres réductions sont potentiellement à l'horizon, mais cela ne semble pas beaucoup aidé les fonds de placement immobilier. Sam Damiani de TD Cowen m'a rejoint pour évoquer ce qui doit changer pour que les FPI se redresse.
- Nous avons longtemps attendu ce jour qui est enfin venu.
Depuis ma dernière intervention, l'indice a baissé de 7 %.
La prochaine fois, j'espère que les FPI ont remonté.
(...) Ils ont progressé de 2 % le jour où il y a eu cette coupures de taux, mais reculer depuis lors.
Il s'agit de visibilité, de répertoire, de cadence.
La Banque du Canada a arrêté les taux, la BCE a réduite, on attend toujours la Fed.
Le Canada ne peut diverger des États-Unis que dans une certaine mesure. Il faudra que les marchés constatent une première coupure par la Fed, et la prévisibilité des coupures. Il faut que la courbe de rendement redescende mais surtout ne soit plus inversée afin que les taux des CPG diminuent.
(...) Nous attendons toujours.
- C'est intéressant que vous ayez évoqué la Fed parce que d'autres catégories d'actifs dont on s'attendrait qu'elle aurait bénéficié de cette première coupures de taux Parlement du Canada en ont bénéficié le jour mêmes les jours suivants mais à présent les évolutions en fonction des rendements obligataires américains et non pas des rendements obligataires canadiens même s'il s'agit d'actes canadiens.
- Oui, il s'agit d'actifs canadiens et les propriétés détenues par la grande majorité des FPI dans notre univers de couverture est au Canada. Le marché est assez tranquille. Il faut une visibilité au niveau des opérations, il faut qu'il y ait des opérations sur les portefeuilles, sur les actifs, puisque la tarification de ses activités de ces portefeuilles est fondée sur l'extrémité à long terme de la courbe de rendement. Or, l'extrémité est axée sur ce qui se passe aux États-Unis. Il faudra attendre de voir ce qui se passe cette année. Mis à part la sensibilité au rendement, ce que les banques centrales pourront ou non faire d'ici la fin de l'année, quand nous ventilant les FPI, (...) puisque les gens ne viennent pas au bureau cinq jours par semaine, les bureaux sont en difficulté depuis des années.
Honnêtement, la confiance touche peut-être le fond. Peut-être remonte-t-elle, au moins temporairement. Je m'entretenais avec la direction de Dream Office récemment, il y a un intérêt pour la location à bail alors que il y a un an ou deux les locataires potentiels prenaient beaucoup de temps pour prendre des desserts. La dynamique a repris à un niveau qu'on avait peut-être pas vu depuis deux ans. Je ne sais pas si c'est une illusion, mais compte tenu de cet élément et de la valorisation des FPI de bureaux cotés en Bourse, sont très peu nombreux, mais ce sont de loin les meilleur marché en ce qui concerne les multiples et les taux d'actualisation. Pour quelqu'un qu'une tolérance élevée au reste, cela semble représenter une possibilité à saisir.
- Quand on parle de visibilité globalement, lorsqu'il s'agit des politiques monétaires, la visibilité quant à l'évolution du marché du travail, anecdotiquement, le train est plus achalandé le matin. Parfois, je ne trouve pas une place assise, ce qui me met de mauvaise humeur, me mets pas, c'est la vie qui revient au centre-ville. Est-ce que cela signifie à long terme?
- Oui, je crois que nous nous installons, nous n'allons pas être hors du bureau cinq jours par semaine, mais pendant une partie de la semaine.
Cela varie en fonction du rôle de l'entreprise, mais nous sommes beaucoup plus proches aujourd'hui qu'il y a six à 12 mois. Les données de recensement physique pour le centre-ville de Toronto continue d'augmenter chaque semaine, progressivement, plus lentement bien sûr, donc il semble que nous nous rapprochons de la nouvelle norme.
La maire Chow demande aux banques de ramener davantage de personnel dans leur bureau. Les pouvoirs publics, les gouvernements cherchent à ramener davantage de fonctionnaires au bureau donc les décideurs cherchent à faire en sorte que cela se produise. Il s'agit d'un compromis.
Il faut régler le navettage quotidien au centre-ville de Toronto. Avec le temps, certains de ces problèmes vont être résolus quand il y aura davantage de gens qui seront heureux et désireux de rentrer au bureau.
- Améliorer mon trajet quotidien le matin, je suis pour. Que dire du détail?
- Le détail est très bien.
Je l'ai dit dans mon dernier passage à votre antenne. Les écarts de location, c'est-à-dire les augmentations de loyer au moment du renouvellement, sont revenus à des sommets historiques. Ce que cela signifie, c'est que les détaillants ont redécouvert la nécessité de locaux physiques. Pendant la pandémie, il y a eu une montée en puissance du magasinage en ligne, et puis avec la réouverture, les gens sont revenus au magasinage, surtout au restaurant.
L'autre facteur important depuis deux ans, c'est la croissance démographique. Notre population a augmenté de 8 % depuis la fin de la pandémie, ce qui est encore plus important que le nombre de personnes ayant un emploi augmenté de 6 % depuis la fin de la pandémie. Il y a beaucoup plus de gens qui magasinent que ce n'était le cas avant la pandémie. Il n'y a pas eu beaucoup de locaux de détail construit. Quand on considère la superficie de locaux de détails par habitant, elle a beaucoup diminué.
Il a donc une pénurie de locaux de détails.
C'est ainsi que j'ai interprété donner.
Certains détaillants sont en difficulté.
Par exemple, une chaîne de restauration rapide qui voudrait avoir 300 applaudissements au Canada, c'est absolument impossible d'ici trois ans avant 300 placements Canada. Mais ils veulent annonce aux propriétaires que si vous avez un local, téléphonez moi, je veux votre local disponible.
- Donc voilà pour le commerce de détail. À présent, les appartements de location. Il y a une pénurie.
- Oui, c'est la même chose.
Il y a eu des immeubles bâtis pour la copropriété et le locatif, mais ça ne s'est pas maintenu.
(...) Les gens demeurent dans leur appartement alors que le loyer du marché et le doute, les gens ne sont pas disposés à déménager, alors le taux de roulement qui aurait pu être de 25 % chaque année et à présent de 10 ou 11 %. Par conséquent, c'est un marché très serré. Le problème est l'abordabilité.
Il y a un plafond sur certains marchés, pas globalement mais sur certains marchés, mais le marché locatif est très porteur.
- Concluons avec l'immobilier industriel.
Que se passe-t-il sur ce marché?
- La dynamique a ralenti. Les taux d'occupation sont faibles.
Du point de vue des propriétaires, si vous avez un local disponible et que vous le louez directement en tant que propriétaire que ce loyer du marché n'a pas vraiment baissé. C'est pour la sous-location il y a un recul qui a fait baisser la moyenne dans les sondages relatifs au loyer du marché. La dynamique ralentie mais il s'agit d'un secteur qui selon nous présente beaucoup de potentiel de croissance des loyers et des capacités par ce que ces immeubles exigent tellement de terrains à bâtir, donc il y a un obstacle à l'entrée sur le marché. Au fur et à mesure que les taux d'intérêt s'apaisent, que l'économie trouve son rythme, nous pensons qu'il y aura une remontée de l'activité de location et cela coïncidera avec une réduction de l'offre également parce qu'il y a peu de nouvelles mises en chantier depuis un an avec la volatilité des taux d'intérêt. Par conséquent, au prochain, nous pensons qu'il s'agira d'une résurgence de la dynamique dans le secteur des biens industriels, qui est notre secteur numéro un en ce moment.
- Vous venez d'entendre Sam Damiani de TD Cowen. À présent, un coup d'oeil sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée conçue pourr les négociateurs actifs et proposés par Placements directs TD. Voici le TSX 60 entre en fonction du cours et du volume.
Le brut de référence américain tourne autour, il y a eu un ouragan dans les carrés, des craintes quant à un conflit élargi au Moyen-Orient, cela se répercute inégalement dans le secteur de l'énergie, mais Cenovus progresse, Suncor pas loin derrière.
Le secteur des télécommunications subit une forte pression.(...) Il y a eu une remontée des rendements obligataires depuis quelques sessions. Ce sont des actions sensibles au rendement, ainsi que les services publics comme Amira. BCE, hier, pendant le jour férié du Canada, a annoncé qu'elle avait reçu un avis une offre de mini achats voulant acheter 2 000 000 1/2 d'action de BCE en deçà du cours du marché. Lorsque l'offre a été annoncée, ce qui a fait redescendre le cours de BCE en deçà de ce seuil. Il se passe des choses intéressantes.
L'on recherche du vert à l'écran, ce serait First Quantum. Ce matin, Jerome Powell est intervenu à l'étranger je crois, déclarant qu'il était satisfait de l'évolution de l'inflation.
Parallèlement, il a prêché la patience et déclaré que la Fed veut être certaine que l'inflation recule avant d'envisager des coupures de taux. Tesla a annoncé des livraisons moins importantes que prévu.
L'action progresse de 9 %. NVIDIA, la puissante NVIDIA, en ce deuxième jour de bourse du deuxième semestre aux États-Unis, est en pointe sur le marché mais la situation est un peu plus inégale récemment.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Restez à l'écoute, demain Ben Gossack de Gestion de placements TD nous dira si les grands noms de la technologie sont les seuls à tirer les marchés vers le haut ou si le marché a davantage d'ampleur. Ben Gossack a toujours des considérations intéressantes, à ne pas rater. Merci et à demain!
Ceci laisse escompter des prélèvements importants pendant l'été, c'est pourquoi nous pensons qu'il y a une possibilité d'augmentation des cours.
Prélèvements, saison des trajets en automobile cet été, mais tension dans le Moyen-Orient qui irait dans l'autre direction.
- Oui, depuis six ou huit mois, il y a beaucoup de tensions sur le marché.
Beaucoup ont racheté des options d'achat à la hausse au cas où il y aurait des hostilités au Moyen-Orient.
Ces éléments sont largement débouclés, semble-t-il.
Il y a moins de décalage dans les options d'achat.
Et moins de potentiel de hausse supposée par les marchés.
- Les tensions dans le Moyen-Orient ne sont pas résolues. Le ministère canadien des affaires étrangères à conseiller aux Canadiens au Liban de quitter le pays aussi rapidement que possible.
Il y a des concentrations de troupes de part et d'autre la frontière. Je ne suis pas certain que ces tensions soient apaisées.
(...) À présent, parlant justement des stocks. Vous avez montré un graphique sur les stocks de brut aux États-Unis.
- Oui, une des raisons pour lesquelles les marchés sont devenus un peu baissiers ou les cours ont baissé depuis quelques semaines, c'est parce que les stocks s'accumulaient. Ces saisonniers à cette époque de l'année, mais dans un contexte historique, c'est ce que j'essaie de montrer dans ce café, les stocks sont extrêmement serrés.
Je pense que les données remontent au année 90. Plus serré que dans les années 90, la demande a augmenté considérablement dans le monde depuis les années 90. La croissance de la demande s'établit à un ou 2 millions de barils par an.
À mon avis, nous n'avons pas un niveau confortable de stocks pour gérer une perturbation éventuelle et il y a toujours des augmentations de la demande pendant l'été que l'on peut envisager. Je pense que le paysage montre un équilibre très serré.
La courbe des contrats à terme du brut est toujours en décalage, pardon, en déport, c'est-à-dire que les raffineurs sont prêts à payer davantage 10 % de plus pour acheter du pétrole aujourd'hui que dans un où dans 10 mois.
Il faut forer davantage. L'an dernier, la production américaine a revendu considérablement, cela a étonné beaucoup de gens. Vous parlez d'installation de forage. Une bonne partie de cette croissance est attribuable à des sociétés privées qui pourraient devenir plus intéressantes.
(...) Il y a des gains de productivité dans les régions de pétrole de schiste qui permet d'augmenter la production, mais sans un augmentation de forage il n'y aura pas (...) alors que la demande mondiale continue d'augmenter, il faut une augmentation de la production. L'idée que nous n'allons pas consommer de pétrole dans 5,7, 10 ans, (...) prennent beaucoup de temps à entrer en service. Cet équilibre entre l'offre et la demande demeure préoccupant en 2025, 2026, 2027 si on continue de consommer le pétrole et je crois que ce sera le cas.
- En supposant que l'industrie se penche sur les mêmes données que vous, quel est l'encouragement?
- Je crois que le défi réside en partie dans le fait que le cours du pétrole aujourd'hui devrait justifier davantage activité questionner le cas, mais les entreprises ne veulent pas investir pour plusieurs raisons. Tout d'abord, les critiques qui leur sont adressés par les investisseurs dans leurs actions qui ont des priorités ESG et ne veulent pas voir leur empreinte carbone augmentée.
(...) La demande de pétrole va atteindre un sommet. Cela depuis presque aussi longtemps que ce produit de base vend. La demande diminue pas. La demande diminue lorsque le PIB diminue. Si vous pensez que l'économie mondiale ne va pas afficher le croissance, (...) le problème aujourd'hui c'est que les entreprises hésitent beaucoup à investir à cause des facteurs ESG et de l'idée que dans 10 ans nous n'allons plus consommer de pétrole. Je ne vais pas dépenser trois ou 4 milliards de dollars à mettre un champ pétrolifère en service.
- Parlons-en. Les entreprises scrutent leur marge. On a également une image des marges de raffinage.
- Oui, la raison pour laquelle je pars des marges de raffinage qu'elles ont faibli.
Elle se situe autour de 30 à 40 $ par baril.
(...) Non seulement parce que l'offre de raffineries serrées, tout comme on ne dépense pas dans le développement de champ pétrolifère, on ne dépense pas l'argent pour construire des raffineries. Pourquoi construire une raffinerie signera pas de consommation d'essence et de diesel d'ici trois à cinq ans? Les raffineurs vont consommer du brut pour fabriquer des produits que vous et moi consommons. J'ai montré ce graphique parce que cela montre le potentiel de hausse à court terme.
- Vous dites qu'il y a de la poudre sèche.
- Oui, voilà les données de la commission des contrats à terme aux États-Unis qui montrent le positionnement sur le marché.
La durée nette que les spéculateurs détiennent sur le marché. C'est-à-dire qu'il y a beaucoup de poudre sèche. Quand je concerne positionnement aujourd'hui par rapport aux donnés historiques, nous sommes plutôt dans un creux. Au fur et à mesure que le marché se resserre cette idée, il y aura de plus en plus d'argent qui jusqu'ici était dans l'expectative ou peut-être qui est utilisé pour acheter des actions de NVIDIA qui va affluer sur le marché.
- Nous allons à présent jeter un coup d'œil plus général sur le marché des produits de base. Commençons par l'or. Il y a beaucoup de questions à ce sujet.
- L'or a été négocié depuis 16,18, 24 pouvoirs à un niveau plus élevé que beaucoup de gens l'avaient prévu. Je le dis parce que typiquement nous considérons le dollar et les taux réels, le dollar est plus élevé et les taux réels sont plus élevés. Typiquement, il s'agit de facteurs négatifs pour l'or. Or, l'or a donné de bons résultats parce qu'il y a beaucoup de banques centrales qui veulent diversifier leurs réserves.
Globalement parlant, ces banques détiennent 90 % de dollars américains ou de dollars américains et d'euros. Depuis 12 mois, il y a eu un très net changement dans leur tolérance à détenir de l'or. On parle beaucoup de la Chine, mais beaucoup de banques centrales de marchés émergents sur la situation. Il y a 15 jours la Chine a déclaré: nous avons acheté beaucoup d'or, nous allons marquer une pause.
Je l'ai déjà dit sur votre plateau, les perspectives de l'or à court terme, je ne sais pas. Je ne sais pas comment évolueront les taux réels, mais je crois qu'à moyen terme, si je considère la quantité de monnaie papier toujours détenue par les banques centrales des marchés émergents, la faible quantité d'or détenu par les institutions individuelles dans leur portefeuille, le manque d'appétit pour l'or de la part des investisseurs institutionnels et individuels est attribuable à la vigueur des marchés boursiers. Si j'ai le choix entre le S&P et l'or, l'or ne vaut rien, il faut détenir des actions.
C'est quand il y a un peu d'angoisse sur les marchés boursiers que l'argent influera de la part des investisseurs individuels sur le marché de l'or. Les investisseurs institutionnels, comme songer à la construction le portefeuille, il y a très peu de risque extrême. L'or est avantageux dans le cas de risque extrême. On a vu des chiffres de l'IPC canadiens ce matin. L'intérêt à l'égard de la construction de portefeuille va augmenter et je crois que l'or bénéficiera.
- Voulez-vous parler des métaux industriels, en particulier le cuivre?
- Oui. Nous étions très optimistes quant au cuivre, mais nous avons allégé notre exposition au cuivre car je crois que le métal a progressé trop loin trop rapidement. La remontée du cuivre, qui nous a fait passer à 11 000 par tonne, était surtout attribuable à l'idée que tandis que les compagnies comme NVIDIA besoin de centres de données, elles auront besoin de plus grande production d'électricité, ce qui exigera davantage de cuivre. Nous considérons que la progression a été trop rapide. Le marché du bâtiment en Chine est toujours très important pour le cuivre. Je constate que le cuivre offre d'excellentes possibilités sur une base pluriannuelle mais il faudra avoir une amélioration dans les données fondamentales en Chine.
Il y a des signes de réduction des inventaires sociaux en Chine. Il y a une amélioration, cela nous plaît, 9200 à 9300 plus qu'à 10 000.
- Parlons des céréales.
Les céréales, on a parlé de l'or, on a parlé des métaux. Les céréales prennent beaucoup de temps pour susciter une réponse au niveau de l'offre.
Le cuivre peut passer à 15 000 $, on ne va pas ouvrir de nouvelles mines de cuivre, ça pensait des annmées pour (...) les céréales répondent plus rapidement.
Après l'invasion de l'Ukraine, les cours ont flambé, cela a stimulé les agriculteurs à augmenter la superficie cultivée, mais ils sont plus à l'aise alors ils peuvent consacrer davantage d'engrais, de soins à leur école, ce qui donne de meilleurs rendements. Tous ensemble, les stocks de maïs, de fèves de soja augmentent, passe jusqu'à des niveaux excessifs, mais le marché n'est pas suffisamment serré. Nous pensons qu'il y a un déclin qui se poursuivra. Le sou composants de céréales de l'indice a diminué cette année. Le risque, c'est la météo. Les marchés s'inquiètent de la météo. Aux États-Unis il y a quelques semaines, il a fait très sec et très chaud et ensuite très humide. Circonstances événement indépendamment, s'inquiétant pour le rendement.
C'est excellent pour les rendements. Nous pensons que les rendements sont très bons cette année et cela s'applique pour l'Amérique du Sud de l'Amérique du Nord.
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- Hussein Allidina de Gestion de placements TD. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
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J'avais déjà procédé à cet exercice, donc je suis 1, Cours sur l'investissement axé sur la valeur. Il s'agit du tableau de bord.
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Il y a également différents niveaux, et si on revient à l'onglet apprendre, c'est-à-dire la page d'accueil, il y a des itinéraires d'apprentissage. Ce sont des séries de vidéos qui permettent de progresser dans l'apprentissage d'un thème. Ce qui est bien, c'est que ces webinaires sont archivés, des événements directs archivés qui mettent en jeu des experts de l'industrie comme Sarah Potter et d'autres. Il y a une description rapide. Vous pouvez également utiliser l'onglet sélection pour rechercher des webinaires par exemple sur la gestion des impôts, la retraite et ainsi de suite. Il y a donc un certain nombre de façons de personnaliser ces éléments afin de poursuivre le parcours d'apprentissage.
- Voilà un rapide tour d'horizon du centre d'apprentissage. Merci à Bryan Rogers.
Pour trouver davantage de ressources et de formation, vous pouvez visiter le centre apprentissage sur CourtierWeb ou balayer ce code QR pour parvenir à la page YouTube de Placements directs TD vous trouverez encore plus de vidéos.
La Banque du Canada a récemment pour la première fois réduit son taux directeur.
Plusieurs autres réductions sont potentiellement à l'horizon, mais cela ne semble pas beaucoup aidé les fonds de placement immobilier. Sam Damiani de TD Cowen m'a rejoint pour évoquer ce qui doit changer pour que les FPI se redresse.
- Nous avons longtemps attendu ce jour qui est enfin venu.
Depuis ma dernière intervention, l'indice a baissé de 7 %.
La prochaine fois, j'espère que les FPI ont remonté.
(...) Ils ont progressé de 2 % le jour où il y a eu cette coupures de taux, mais reculer depuis lors.
Il s'agit de visibilité, de répertoire, de cadence.
La Banque du Canada a arrêté les taux, la BCE a réduite, on attend toujours la Fed.
Le Canada ne peut diverger des États-Unis que dans une certaine mesure. Il faudra que les marchés constatent une première coupure par la Fed, et la prévisibilité des coupures. Il faut que la courbe de rendement redescende mais surtout ne soit plus inversée afin que les taux des CPG diminuent.
(...) Nous attendons toujours.
- C'est intéressant que vous ayez évoqué la Fed parce que d'autres catégories d'actifs dont on s'attendrait qu'elle aurait bénéficié de cette première coupures de taux Parlement du Canada en ont bénéficié le jour mêmes les jours suivants mais à présent les évolutions en fonction des rendements obligataires américains et non pas des rendements obligataires canadiens même s'il s'agit d'actes canadiens.
- Oui, il s'agit d'actifs canadiens et les propriétés détenues par la grande majorité des FPI dans notre univers de couverture est au Canada. Le marché est assez tranquille. Il faut une visibilité au niveau des opérations, il faut qu'il y ait des opérations sur les portefeuilles, sur les actifs, puisque la tarification de ses activités de ces portefeuilles est fondée sur l'extrémité à long terme de la courbe de rendement. Or, l'extrémité est axée sur ce qui se passe aux États-Unis. Il faudra attendre de voir ce qui se passe cette année. Mis à part la sensibilité au rendement, ce que les banques centrales pourront ou non faire d'ici la fin de l'année, quand nous ventilant les FPI, (...) puisque les gens ne viennent pas au bureau cinq jours par semaine, les bureaux sont en difficulté depuis des années.
Honnêtement, la confiance touche peut-être le fond. Peut-être remonte-t-elle, au moins temporairement. Je m'entretenais avec la direction de Dream Office récemment, il y a un intérêt pour la location à bail alors que il y a un an ou deux les locataires potentiels prenaient beaucoup de temps pour prendre des desserts. La dynamique a repris à un niveau qu'on avait peut-être pas vu depuis deux ans. Je ne sais pas si c'est une illusion, mais compte tenu de cet élément et de la valorisation des FPI de bureaux cotés en Bourse, sont très peu nombreux, mais ce sont de loin les meilleur marché en ce qui concerne les multiples et les taux d'actualisation. Pour quelqu'un qu'une tolérance élevée au reste, cela semble représenter une possibilité à saisir.
- Quand on parle de visibilité globalement, lorsqu'il s'agit des politiques monétaires, la visibilité quant à l'évolution du marché du travail, anecdotiquement, le train est plus achalandé le matin. Parfois, je ne trouve pas une place assise, ce qui me met de mauvaise humeur, me mets pas, c'est la vie qui revient au centre-ville. Est-ce que cela signifie à long terme?
- Oui, je crois que nous nous installons, nous n'allons pas être hors du bureau cinq jours par semaine, mais pendant une partie de la semaine.
Cela varie en fonction du rôle de l'entreprise, mais nous sommes beaucoup plus proches aujourd'hui qu'il y a six à 12 mois. Les données de recensement physique pour le centre-ville de Toronto continue d'augmenter chaque semaine, progressivement, plus lentement bien sûr, donc il semble que nous nous rapprochons de la nouvelle norme.
La maire Chow demande aux banques de ramener davantage de personnel dans leur bureau. Les pouvoirs publics, les gouvernements cherchent à ramener davantage de fonctionnaires au bureau donc les décideurs cherchent à faire en sorte que cela se produise. Il s'agit d'un compromis.
Il faut régler le navettage quotidien au centre-ville de Toronto. Avec le temps, certains de ces problèmes vont être résolus quand il y aura davantage de gens qui seront heureux et désireux de rentrer au bureau.
- Améliorer mon trajet quotidien le matin, je suis pour. Que dire du détail?
- Le détail est très bien.
Je l'ai dit dans mon dernier passage à votre antenne. Les écarts de location, c'est-à-dire les augmentations de loyer au moment du renouvellement, sont revenus à des sommets historiques. Ce que cela signifie, c'est que les détaillants ont redécouvert la nécessité de locaux physiques. Pendant la pandémie, il y a eu une montée en puissance du magasinage en ligne, et puis avec la réouverture, les gens sont revenus au magasinage, surtout au restaurant.
L'autre facteur important depuis deux ans, c'est la croissance démographique. Notre population a augmenté de 8 % depuis la fin de la pandémie, ce qui est encore plus important que le nombre de personnes ayant un emploi augmenté de 6 % depuis la fin de la pandémie. Il y a beaucoup plus de gens qui magasinent que ce n'était le cas avant la pandémie. Il n'y a pas eu beaucoup de locaux de détail construit. Quand on considère la superficie de locaux de détails par habitant, elle a beaucoup diminué.
Il a donc une pénurie de locaux de détails.
C'est ainsi que j'ai interprété donner.
Certains détaillants sont en difficulté.
Par exemple, une chaîne de restauration rapide qui voudrait avoir 300 applaudissements au Canada, c'est absolument impossible d'ici trois ans avant 300 placements Canada. Mais ils veulent annonce aux propriétaires que si vous avez un local, téléphonez moi, je veux votre local disponible.
- Donc voilà pour le commerce de détail. À présent, les appartements de location. Il y a une pénurie.
- Oui, c'est la même chose.
Il y a eu des immeubles bâtis pour la copropriété et le locatif, mais ça ne s'est pas maintenu.
(...) Les gens demeurent dans leur appartement alors que le loyer du marché et le doute, les gens ne sont pas disposés à déménager, alors le taux de roulement qui aurait pu être de 25 % chaque année et à présent de 10 ou 11 %. Par conséquent, c'est un marché très serré. Le problème est l'abordabilité.
Il y a un plafond sur certains marchés, pas globalement mais sur certains marchés, mais le marché locatif est très porteur.
- Concluons avec l'immobilier industriel.
Que se passe-t-il sur ce marché?
- La dynamique a ralenti. Les taux d'occupation sont faibles.
Du point de vue des propriétaires, si vous avez un local disponible et que vous le louez directement en tant que propriétaire que ce loyer du marché n'a pas vraiment baissé. C'est pour la sous-location il y a un recul qui a fait baisser la moyenne dans les sondages relatifs au loyer du marché. La dynamique ralentie mais il s'agit d'un secteur qui selon nous présente beaucoup de potentiel de croissance des loyers et des capacités par ce que ces immeubles exigent tellement de terrains à bâtir, donc il y a un obstacle à l'entrée sur le marché. Au fur et à mesure que les taux d'intérêt s'apaisent, que l'économie trouve son rythme, nous pensons qu'il y aura une remontée de l'activité de location et cela coïncidera avec une réduction de l'offre également parce qu'il y a peu de nouvelles mises en chantier depuis un an avec la volatilité des taux d'intérêt. Par conséquent, au prochain, nous pensons qu'il s'agira d'une résurgence de la dynamique dans le secteur des biens industriels, qui est notre secteur numéro un en ce moment.
- Vous venez d'entendre Sam Damiani de TD Cowen. À présent, un coup d'oeil sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée conçue pourr les négociateurs actifs et proposés par Placements directs TD. Voici le TSX 60 entre en fonction du cours et du volume.
Le brut de référence américain tourne autour, il y a eu un ouragan dans les carrés, des craintes quant à un conflit élargi au Moyen-Orient, cela se répercute inégalement dans le secteur de l'énergie, mais Cenovus progresse, Suncor pas loin derrière.
Le secteur des télécommunications subit une forte pression.(...) Il y a eu une remontée des rendements obligataires depuis quelques sessions. Ce sont des actions sensibles au rendement, ainsi que les services publics comme Amira. BCE, hier, pendant le jour férié du Canada, a annoncé qu'elle avait reçu un avis une offre de mini achats voulant acheter 2 000 000 1/2 d'action de BCE en deçà du cours du marché. Lorsque l'offre a été annoncée, ce qui a fait redescendre le cours de BCE en deçà de ce seuil. Il se passe des choses intéressantes.
L'on recherche du vert à l'écran, ce serait First Quantum. Ce matin, Jerome Powell est intervenu à l'étranger je crois, déclarant qu'il était satisfait de l'évolution de l'inflation.
Parallèlement, il a prêché la patience et déclaré que la Fed veut être certaine que l'inflation recule avant d'envisager des coupures de taux. Tesla a annoncé des livraisons moins importantes que prévu.
L'action progresse de 9 %. NVIDIA, la puissante NVIDIA, en ce deuxième jour de bourse du deuxième semestre aux États-Unis, est en pointe sur le marché mais la situation est un peu plus inégale récemment.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Restez à l'écoute, demain Ben Gossack de Gestion de placements TD nous dira si les grands noms de la technologie sont les seuls à tirer les marchés vers le haut ou si le marché a davantage d'ampleur. Ben Gossack a toujours des considérations intéressantes, à ne pas rater. Merci et à demain!