Print Transcript
(musique) Bonjour, ici Greg Bonnel. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés répondent à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, nous serons rejoints par Hussein Allidina de gestion de placement TD qui nous dira si la récente hausse du pétrole est appelée à se prolonger.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Jason Hnatyk nous montre ou trouver des données sur les produits de base. Posez -nous vos questions par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composée avec la hausse du cours du brut à presque 84 $ le baril de brut de référence américain. L'indice TSX composite progresse de presque 57. Soit 0,25 %. Parmi les titres les plus activement négociés, Baytex Energy, secteur de l'énergie progresse avec la hausse du brut, à 4,74 $ de l'action de Bettex est en hausse de 4 %. On a remarqué tout à l'heure un plateau, je ne dirais pas reculer, dans la hausse du brut dépendant du cours de l'or. Certains des titres du secteur minier sont modestement sous pression par Kinross Gold à 7h57 recul de près de 20 %. Aux États-Unis, tandis que le Woodstock de l'intelligence artificielle, le congrès des développeurs de NVIDIA a été le théâtre d'une annonce de nouveau semiconducteurs, le marché s'attendait, indice S&P 500 progresse de :, c'est-à-dire qu'il est essentiellement inchangé par l'indice Nasdaq est sous une légère pression en baisse de 47. 60,3 %.
Nous reviendrons sur une citation d'annonces tout à l'heure. L'action reculerait modestement, mais celles de ses concurrents le sont encore plus, y compris AMD à 178,38 $, celle-ci recul de 0,36 %.
Le cours du pétrole augmenté ce mois-ci pour les événements géopolitiques attirant l'attention des investisseurs, mais le cours du brut se résument-ils à une simple prime de risque. Hussein Allidina de gestion de placement TD nous rejoint pour en discuter. Bonjour, Hussein.
- Bonjour, Greg. Ça fait plaisir de participer à votre émission.
Je suis désolé de ne pas être en personne.
- Parlons de ce qui justifie cette récente percée du pétrole. Vous avez évoqué des préoccupations géopolitiques. Celles-ci sont en arrière-plan depuis cinq mois et récemment, avec l'intensification des attaques en mer Rouge. Mais quand on considère les données fondamentales, la plupart des participants au début de cette année prévoyaient que les stocks augmenteraient pendant le premier trimestre que le premier trimestre n'est pas terminé, mais en janvier il y a eu d'importants prélèvements. En février il y a une augmentation normale des stocks.
Selon les dernières données, les stocks continus de diminuer.
Tout ceci est très positif. La demande est ferme. J'ai un graphique qui montre la demande d'essence aux États-Unis, la demande d'essence aux États-Unis se maintient bien. De fait, à des niveaux que l'on s'attendrait à voir pendant l'été.
Nous ne sommes pas allaités par la météo clémente encourage peut-être les déplacements en automobile. Mais la demande est très ferme. Quand on conjugue tous ces éléments, on constate une situation de stock plus serré que prévu.
Nous avions des stocks très limités au début, nous pensions qu'il sera reconstitué pendant premier trimestre, cela ne s'est pas reproduit. Par conséquent, le départ du marché du brut est très marqué. La courbe des contrats à terme du WTI, il s'agit des données dia, et beaucoup plus prononcé par rapport à ce qu'il était il y a un mois, une semaine, ceci souligne que la demande est effectivement très serrée.
- Quand on parle de l'économie mondiale, des taux d'intérêt élevé, économie américaine, c'est très bien maintenu face à l'augmentation des coûts d'emprunt.
C'est peut-être un facteur important pour l'économie américaine se porte très bien et c'est la plus importante au monde.
- Oui, la demande aux États-Unis tourne autour de 20 millions de barils par jour.
C'est plus gros consommateur de pétrole.
La croissance de la demande est généralement attribuable aux marchés émergents. C'est le cas depuis plusieurs années. La demande des marchés émergents et plus faible en partie à cause de la faiblesse de l'économie chinoise, mais cette dernière poursuit son revirement.
Les États-Unis ont annoncé une consommation supérieure aux prévisions et le prix de l'essence est également en hausse, ce qui alimente la participation sur le marché de la part des spéculateurs.
Celle-ci a été relativement terne jusqu'ici. Le graphique suivant montre que la participation des spéculateurs aujourd'hui est plus basse qu'elle ne l'a été depuis 10 ans lorsque la situation globale est loin d'être aussi prometteuse qu'elle est aujourd'hui. Vous me demandiez au début ce que je pense que le cours du pétrole a continué d'augmenter. Je pense que nous devons prendre conscience du fait que si les stocks sont aussi serrés qu'ils le sont c'est parce que l'OPEP a réduit sa production. L'OPEP a réduit sa production, ce qui a emmené une augmentation de la capacité excédentaire. Je pense que pétrole ne va pas dépasser les 90 ou 95 $ le baril.
- Notre connexion avec Hussein Allidina… ah le voici.
Vous avez interrompu il y a quelques instants.
Vous avez parlé des marchés émergents et du fait que la demande étend rendez-vous là-bas mais vous avez dit quelque chose de très important c'est que l'OPEP a tenu ses engagements de limiter l'offre plus qu'elle ne devrait l'être.
-, L'OPEP a réduit la production, et puisqu'elle a réduit la production cela a considéré un resserrement de l'équilibre.
Je ne suis pas de ceux qui pensent que le corps du pétrole va dépasser les 90 ou 95 $ le baril cette année. En effet si c'était le cas, l'OPEP augmenterait à nouveau la production. Mais en tant qu'investisseur et produit basse n'est pas nécessaire que le cours du pétrole augmente considérablement. Avec le départ de la courbe, je réalise 10 % sur l'opération et cela avec les équilibres serrés que l'on voit sur le marché du brut.
- Parlant des investissements dans le secteur. Le corps du brut augmente et que je ne considère pas qu'il va monter mon coup parce que l'OPEP ouvrira les vannes.
Mais le sous investissement dans ce secteur est un thème depuis près de deux ans.
Vous êtes régulièrement intervenus. Ça n'a pas beaucoup changé.
- Non.
Nous n'investissons pas dans les produits de base en général, dans pétrole en particulier depuis 10 à 12 ans. La croissance que nous avons constaté l'an dernier dans l'offre or OPEP à part le pétrole de schiste aux États-Unis dans le cycle relativement court, émané du Brésil, Anna Gainey du Canada. Il s'agit de projets avec de longs mis en œuvre, sept ou 10 ans, pas beaucoup de projets les premières immobilisations ont été causées pendant le dernier super cycle. Si la demande continue d'augmenter, si vous pensez que la croissance économique se poursuivra, il faudra investir ou les équilibres demeureront serrer ce qui exigera une hausse des prix pour limiter la croissance de la demande. L'an dernier les marchés ont adopté une attitude pessimiste à l'égard de la croissance de la production aux États-Unis, leur celle-ci augmentée nettement quatrième trimestre. J'ai passé votre émission j'ai dit qu'une partie de cette augmentation est attribuable au producteur privé qui cherche à augmenter leur production afin de pouvoir être racheté dans le secteur des fusions-acquisitions. Des données plus récentes États-Unis montrent que la production a reculé. Je ne parle pas de moi janvier il y a eu un jaloux Texas, mais de donner plus récent depuis une quinzaine de jours, on tourne autour de 13 millions de barils par jour, ce qui est de 100 000 barils de moins qu'au quatrième trimestre l'an dernier.
- Il faut vraiment qu'une augmentation de l'investissement puisque la demande continue d'augmenter la situation réelle et très serrée.
Pensez-vous que ces investissements seront au rendez-vous? Que faudrait-il pour que les investissements soient faits? Quel seraient l'encourageant producteur si le pétrole ne augmentait pas tellement?
- Le problème c'est que nous sommes d'ores et déjà au-dessus du seuil de rentabilité mais à cause de l'importance attachée au principe de la transition énergétique, les actionnaires, depuis cinq à 10 ans ont enjoint aux entreprises de restituer leur flux de trésorerie qu'elle continue de le faire ce qui est formidable à court terme en tant qu'investisseur sur le marché boursier, mais à moyen terme les compagnies énergétiques ne ressembleront pas des compagnies énergétiques puisque elle ne s'investissement dans l'amont.
Mais au fur et à mesure que les corps montés demeurent élever il y aura des immobilisations supplémentaires, mais nous sommes très loin des niveaux où nous devrions être comptes tenus de la rareté des investissements depuis 10 ans.
- Dans quelle mesure pourrait-il aborder aux débats d'ici quelques années si les investisseurs tentent de soupeser les facteurs ESG, la transition énergétique d'une part et d'autre part la nécessité de combustibles fossiles dans l'actualité?
Il ne semble pas qu'il s'agira d'une transition nette. Je crois que ce sera un peu désordonné.
- Oui, nous en avons parlé. Je pense que les marchés estiment qu'il sera facile de passer des hydrocarbures aux énergies renouvelables et c'est une idée fausse. Le monde tel que nous le connaissons est basé sur une infrastructure depuis 10 ans qui est tributaire des hydrocarbures. Il y a déjà des difficultés quant à la disponibilité par exemple la capacité de chargement des véhicules électriques, il y a un ralentissement dans le monde développé dans les ventes de véhicules électriques parce que le taux d'adoption est moins élevé.
Je pense que cette transition ne sera pas net.
L'idée que la transition se fera sans erreur est erronée dangereuse à mon avis.
- Excellent début d'émission. Hussein Allidina répond à vos questions sur les produits de base dans quelques instants.
Je rappelle que vous pouvez nous les présente tant par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte question bas de votre écran.
À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
L'inflation globale a ralenti au Canada le mois dernier s'établissant un taux annualisé de 2,8 % alors que les économistes s'attendaient à plus de 3 %.
Les automobilistes ayant payé plus cher à la pompe, bien que les prix de l'essence et était plus élevé statistique Canada indique que la baisse des prix des services sans fil et des produits d'épicerie à contribuer à réduire le taux d'inflation. Selon service économie TD, bien que ce rapport soit une bonne nouvelle dans une certaine mesure, on s'attend à ce que la Banque du Canada attendent jusqu'en juillet avant de réduire les taux d'intérêt.
À travers un écart a convenu d'acheter le fabricant faisant format cycle de Hamilton Ontario au prix de 2,4 milliards de dollars américains. L'entreprise britannique paiera 21 $ par action profusion et 400 milliards de dollars supplémentaires dépendant de la réalisation de certains objectifs. Fusion met au point un traitement sur le cancer à la d'isotopes radioactifs. L'action de fusion naturellement bondit à cette annonce de plus de 97 %. Les actions de NVIDIA sont sous les feux de la rampe aujourd'hui. La société a dévoilé une nouvelle puce d'intelligence artificielle à sa conférence de développeurs.
Cette puce est dotée d'une puissance de 20 pétaflops en FP4 grâce à 208 milliards de transistors. Si vous savez ce que cela signifie vous êtes bien plus intelligents que moi.
Mais à l'approche de cette conférence, NVIDIA vantait la puissance de cette puce, mais ton patient ne comprend pas les détails, elle est plus puissante les plus précédentes. On s'attendait à cette annonce donc à 868 $ action recul de 1,5 %. Un coup d'œil sur les marchés. Indice TSX composite dans le contexte de la hausse des cours de l'énergie progresse de 51. Soit 0,25 %. Aux États-Unis, indice S&P 500 avec une certaine faiblesse du secteur de la technologie aujourd'hui et malgré tout en hausse mais très légèrement, 1/10 de pour cent, soit cinq points. Hussein Allidina répond à vos questions sur les produits de base.
Tout d'abord, que pensez-vous des perspectives du cuivre?
- Le cuivre est mon produit de base depuis préférée début 2024, surtout parce que cela offre est assez serré, je répète. Par dernier il y a eu l'impact de la mise à l'arrêt de la mine de Cobre Panama qui est demeure à l'arrêt, d'autres producteurs ont réduit leurs perspectives de production. Par conséquent, la balance de 2024 déficitaires. En 2023 la plupart des observateurs pensaient qu'il y aurait un équilibre en 2024 et sept ans de production entraînait un marché déficitaire pour le cuivre. Si on considère ce qui se produit en Chine depuis deux semaines, il y a eu une chute des prix payés par les fonderies pour le minerai, ce qui souligne un marché très serré. Les fonderies en Chine pour la toute première fois à ma connaissance coordonnent une réduction de la production ce qui signifiant définitivement de produits raffinés et souligne encore une fois le fait que le marché du minerai est très serré.
Il y a un élément qui devra changer au niveau de la demande afin, il faudra avoir une amélioration dans la demande du marché immobilier de l'infrastructure en Chine.
Il faut se rappeler que malgré la forte intensité de cuivre dans la transition énergétique des véhicules renouvelables, réseaux d'électricité, plus de la moitié de la production de cuivre au-delà demande que dans le monde est utilisé en Chine et historiquement surtout pour l'immobilier d'infrastructure. Nous savons que ces marchés étaient faibles et il commence à s'améliorer légèrement, mais il faut qu'il s'améliore considérablement. Si c'est le cas le cuivre augmentera considérablement ici la fin de l'année.
- Quand on songe à la situation du cuivre à la mine Cobre Panama, bien sûr on attend des élections Panama qui pourraient mois modifier le sens de la mine, est-ce si difficile de tenir compte de cela dans les calculs? Même si c'est pas un facteur important malgré les manchettes.
- C'est un très important facteur, et 7000 devaient par magie être remis en service après l'élection, cela ferait changer la situation à court terme sur le marché du cuivre. Elle réduire l'optimisme. Il faut très longtemps pour mettre une mine de cuivre, mais si on considère la chaîne d'approvisionnement au cours des cinq et 10 prochaines années, surtout dans le contexte de la croissance de la demande véhicules électriques de production d'électricité, il y a des déficits. Nous n'avons pas suffisamment investi depuis 10 ans pour mettre des mises en service.
Vous évoquiez tout à l'heure NVIDIA et l'intelligence artificielle. La quantité d'électricité que ce secteur va consommer exigera des installations de production d'électricité, lesquels, quelle que soit la source de combustible, charbon, nucléaire, gaz, comporte énormément de cuivre dans la production d'électricité.
Donc le cuivre est l'un des maîtres sur lequel je suis le plus optimiste d'ici cinq à 10 ans au niveau de l'offre aussi bien que de la demande.
- Parlant d'une question plus proche de chez nous. Élections américaines. Quel pourrait être l'impact sur les produits de base?
- C'est intéressant. Au niveau du pétrole, le consensus veut que si Trump est réélu président, cela pourrait être positif pour le pétrole à court terme car Trump sera plus ferme à l'égard des sanctions envers l'Iran. L'Iran augmentait sa production de 500 à 700 000 barils par jour ce qui a beaucoup contribué au ramollissement des équilibres à la marge. Si Trump devait se concentrer davantage sur ces sanctions puisque Biden ne l'a fait, c'est sans doute positif pour le pétrole à court terme. À moyen terme on pourrait soutenir que compte tenu de l'importance que Trump attache à la production de pétrole et non pas au facteur ESG, il se peut qu'il permette aux producteurs américains d'augmenter considérablement la production. Ceci dit, je Biden, malgré son discours, a été assez bien disposé à l'égard du pétrole et du gaz aux États-Unis. La production de pétrole sans l'État fédéral et plus et aujourd'hui que depuis très longtemps.
- Je songe à la Maison-Blanche, à la prochaine élection qu'après celle-ci, en général, on fait plaisir aux électeurs, réduisant les coûts de l'énergie notamment.
- Cette année on entend pas parler d'un conflit entre la Maison-Blanche et l'OPEP.
Je suis sûr que cela se passe en coulisses. La difficulté, c'est que du point de vue des États-Unis, nous ne pouvons pas prélever autant de pétrole qui a été prélevé à la réserve stratégique en réponse à l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Je suis sûr qu'il y a des pourparlers en coulisses pour encourager l'Arabie Saoudite augmenter sa production.
Je ne sais pas qui les saoudiens veulent voir la Maison-Blanche, donc je ne puis déterminer si l'Arabie Saoudite tempérera ou non, surtout compte tenu du conflit au Moyen-Orient aujourd'hui.
- Intéressant. À surveiller. Une autre question.
Beaucoup d'actions du secteur minier énergétique sont à la traîne par rapports produits pas sous-jacents. Pourquoi?
- Une ou deux raisons. Cela dépend du produit de base dont nous parlons. Mais en général, on a parlé tout à l'heure des compagnies énergétiques qui ne dépensent pas de capital supplémentaire pour l'augmentation de leur capacité de production et qui restitue des capitaux aux actionnaires. Si l'on considère l'énergie en pourcentage de lundi CCP, c'est sans doute autour de trois ou 4 %.
La norme c'est entre 7 et 15 pour cent.
Les investisseurs n'apprécient pas les produits de base et ce depuis quelque temps.
C'est l'objet en faveur de la [---]. Nous savons en face d'exportation depuis 10 à 12 ans, je crois que le consensus ne veut pas que les produits de base augmentent.
Ce qui considère les équipes sous-jacents, peut-être un point de vue différent. Je montre un graphique qui montrait le déport de la courbe du pétrole. En général, les produits de base à négocier à l'extrémité de la courbe parce que le cours différé dans les modèles lorsque les analystes calculent la valeur d'une compagnie se fondent sur 1, Cours à long terme. Le cours à long terme du pétrole tourne autour de 65 70,75 $ le baril. Ça n'a pas changé. C'est ce que marché soit serré comme nous le voyons aujourd'hui Kiko permet ce départ par les compagnies d'énergies produits basses en général se fonde sur l'extrémité de la courbe à long terme. Lorsque les produits de base en départ, ils ont tendance à surclasser l'action correspondant. S'agissant des actions du secteur de l'énergie en particulier, puisque l'emprise de produits de base augmente pas, au fil du temps il ressemble rarement à des compagnies d'énergie avant qu'il n'augmente la capacité production. Sous tu as toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Hussein Allidina répond à d'autres questions sur les produits basses dans quelques instants. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com.
À présent poursuivre la découverte de CourtierWeb.
Dans cette séquence, nous examinons où vous pouvez trouver des informations sur les produits de base sur la plateforme CourtierWeb. Jason Hnatyk formateur principal à Placements directs TD.
- Bonjour, Greg. Parlant de produits de base. Il n'est pas possible de négocier des produits basses à Placements directs TD, néanmoins il est important de les surveiller. À titre d'indicateurs de l'économie ou peut-être parce que l'on possède des actions de compagnies qui utilisent différents produits de base. Il y a quatre domaines clés que l'on peut montrer sur la plate-forme qui permette de surveiller les prix de ces produits de base. Le plus simple et que c'est à la page d'accueil, au sommet de la page, par défaut il y a l'or, ainsi que le pétrole, tout en dollars américains. Ensuite, cliquant sur l'onglet recherche.
Et allons à la page aperçue sous la rubrique marchée. Cette page regorge d'informations, entre autres sur les produits basses. Tout d'abord il y a une bannière qui montre des cotations sur de nombreux autres grands indices, sur la droite il existe un bouton modifier.
Sélectionnons modifier cela permet de modifier les éléments qui répondent à nos besoins. On pourrait par exemple remplacer l'indice composite TSX en voyant qu'il Yanis de grands produits de base au bas.
Par exemple le brut WTI, vous voyez que ce cours s'applique sur l'écran. Troisième élément toujours sur cette page survole, aperçue, on déroule la page sur la gauche, juste en dessous des indices. Vous voyez qu'il y a une section produits de base qui offre agriculture, énergie et métaux.
Continuons toujours le brut WTI, on voit le dernier cours, sa variation journalière ainsi que la fourchette cumulative du cours du produit dans la durée du contrat.
Le WTI se situe au milieu. Dernier élément, quatrième élément, il s'agit d'une façon d'approfondir un peu. Toujours sous l'onglet recherche, cette fois-ci dans la colonne des marchés, on choisit rapport. Je voudrais signaler deux sections. Sur la droite, il y a les rapports sectoriels m'en une star, et sans déroule également, il y a également les rapports de et Research qui soulignent certains secteurs spécifiques de l'économie lesquels pourraient utiliser les produits qui vous intéressent.
Énergie aux produits industriels. C'est une façon pour vous d'approfondir et d'obtenir davantage d'informations en connaissance de cause sur vos placements.
Soit il y a donc beaucoup de sources de renseignements sur les produits basses à la plateforme CourtierWeb. – Merci à Jason Hnatyk formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb vous trouverez encore plus de ressources. À présent, je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous imploser ça par courriel à Moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Hussein Allidina répond à d'autres questions sur les produits de base.
Comment la baisse de demande de véhicules électriques affecte-t-elle les produits de base?
- C'est effectivement une dynamique très en vue, notamment dans les pays de l'OCDE.
La faiblesse de la demande de véhicules électriques, surtout le fait des États-Unis, du moins les pays de l'OCDE.
L'essentiel est la pénétration de véhicules électriques dans le monde est attribuable aux marchés émergents et surtout à la Chine. Au fur et à mesure que la demande de véhicules électriques faiblit, la demande de cuivre en particulier et d'aluminium à la marge diminue.
Je ne crois pas que la plupart des analystes qui modélisent cette situation prévoient une croissance aussi rapide qu'au cours des quelques dernières années.
À ce stade, cela ne représente pas un problème à mon avis.
Si la demande de véhicules électriques continus diminués cela pourrait représenter une difficulté pour le cuivre, aluminium et le nickel, ce qui serait en revanche très positif au plus tôt ceci traite serait positif pour le pétrole parce que si je ne circule par des stages circulant véhicules à moteur à combustion interne.
- Il est difficile d'infléchir la demande.
Autrefois on disait que le monde entier voulait des véhicules électriques, et maintenant les grands constructeurs disent : nous proposons une gamme. Que se passera-t-il en 3,5, ou 10 ans.
- Effectivement, au fur et à mesure que de nouvelles technologies sans découverte, la composition des batteries et des véhicules va charger ce qui représente un autre élément de risque dans les pronostics. Je m'occupe de produits de base depuis une vingtaine d'années. Au cours des 10 à 12 dernières années, plusieurs groupes affirmaient que la demande de pétrole atteindrait applique après cinq ans ou 10 ans, et des groupes imminents, des spécialistes, et nous n'avons pas atteint un pic, ça voit un record en dernier, même avec un relatif faiblesse des marchés émergents et surtout de la Chine. Je suis davantage convaincu que la demande de pétrole demeurera dans l'économie. Je suis davantage convaincu à garder pétrole qu'à l'égard des véhicules électriques, mais il y aura une transition d'ici 10 à 20 ans et je pense que cela ne se produira pas aussi rapidement que certains des plus optimistes le pensent. Soutient une autre question. Vous venez de parler de la Chine. La demande chinoise de produits de base s'améliore-t-elle?
- Oui.
Si on considère l'énergie, la demande s'améliore, la demande de disait, mais il n'y a pas le genre de croissance que nous avons vue dans les années 2006 à 2012.
L'industrialisation de la Chine. Encore une fois nous en avons parlé tout à l'heure lorsque nous évoquions le cuivre.
C'est surtout parce qu'un élément très important l'économie chinoise est représentée par l'immobilier et l'infrastructure. L'immobilier en particulier demeure faible. Il y a de jeunes pousses malgré tout là-bas avec de légères améliorations.
En ce qui concerne le réseau électrique, les dépenses de consommation, la situation semble nettement meilleure ce qui encore une foie et très positif pour l'énergie, mais il nous faut vraiment assister à une stabilisation de l'ancienne économie en Chine avant de devenir réellement optimiste quant au cours du pétrole. Suite vous avait évoqué les marchés émergents, au niveau de la demande de Petra, est-ce qu'il y a une remontée là aussi? Je n'imagine pas que ces pays puissent remplacer l'ampleur de la Chine mais quelle est la situation dans les marchés émergents?
- Eh bien, si nous considérons l'Inde, la demande de pétrole se porte très bien. En fait au point que j'en suis étonné. Et cette demande continue d'exister. Ça m'a étonné parce qu'il faut se rappeler qu'en Inde, le cours que paye le pays pour le pétrole à cause de la faiblesse de la roupie est proche de ce qui est payant 2009 lorsque les prix en dollars américains étaient de près de 130 $ le baril, même si le prix payé par l'un des proches de ce niveau, la demande continue d'augmenter. Il y a un autre élément.
Tandis que les cours des produits de base augmentent ou demeure ferme c'est la demande du Moyen-Orient et d'Amérique latine. Il y a une corrélation très élevée entre l'activité économique dans les pays producteurs de produits de base comme le Moyen-Orient et l'Amérique latine, et par extension leur demande de produits de base. S'il est produit de base demeure élever, à ce niveau-là, je pense que la demande dans ces régions continuera d'augmenter également.
- Ensuite une question sur l'or. Lors peut-il être négocié à court terme?
- Nous ne pouvons pas vous donner des stratégies de négociation sur cette plate-forme nous pouvons parler de ce qui se passe avec l'or.
- Merci pour cette question. Je crois que lors, je l'ai dit bien des fois, lors devrait trouver sa place dans tous les portefeuilles. Laure peut couvrir les risques extrêmes d'un portefeuille, que ce soit une inflation très élevée ou une déflation. Et ce, aucune autre catégorie d'actifs ne peut le faire. Comment alors s'est-il comporté depuis 10 à 18 mois, la plupart des analyses qui modélisent le cours de l'or tiennent compte des tourelles et du dollar. Les taux réels puisque le coût d'opportunité de détenir lors, c'est le taux réel avec les taux réels ont augmenté et le dollar s'est maintenu. Ces deux facteurs devraient indiquer que le cours de l'or est faible, or l'or a continue d'augmenter. Ceci est en grande partie, pas entièrement, attribuable à la demande d'or métal. Pas nécessairement aux détails, mais la demande FNB relativement faible, c'est surtout la demande des banques centrales des marchés émergents, lesquels ont acheté d'énormes quantités d'or, année 2022 était l'année record pour les achats d'or métal.
L'année 2023 presque atteint ce record. Je ne sais pas combien d'or la Chine va acheter demain, ou l'inde, la Russie, la Turquie et ainsi de suite, mais quand je considère la réserve, ces dernières sont toujours en majorité constituée de monnaie papier.
Nous prêchant la diversification et la répartition d'actifs. Les travaux universitaires signalent l'importance de la diversification pas ça n'a pas de bon sens pour moi que les banques centrales des pays émergents détiennent toute la réserve en dollars ou en euros. Je pense que continuera d'avoir une demande raisonnable de la part des banques centrales, surtout dans les marchés émergents. Si la Fed réduit les taux, comme le marché suppose d'ici la fin d'année et que cela engendre un recul du dollar, je pense qu'il y aurait un facteur positif pour l'heure, mais ce n'est pas ce qui impulse le cours de l'or depuis 10 à 18 mois.
- Vous avez parlé de l'inquiétude à l'écart de la monnaie papier. Certains sur les marchés saccadés monnaient papier se tournent vers la crypto monnaie. Certains pensent que la crypto monnaie est un succédané de l'or. Qu'en pensez-vous?
- Je ne comprends pas vraiment les crypto monnaie. Je suis convaincu que la crypto monnaie n'est pas l'or. Considérer la façon dans l'or et côté et les crypto monnaie, surtout les bitcoins, le bitcoins et côté commun actif à risque, avec un très fort levier. La corrélation entre le bitcoins et l'indice Nasdaq par exemple, une corrélation très élevée.
Lors n'est pas un actif à risque. L'or est une façon de conserver de la valeur, de se couvrir contre une inflation non prévue.
Je pense que ce n'est pas la même chose pendant parle comme si c'était des actifs identiques mais fondamentalement ce ne sont pas encore les mêmes.
- Hussein Allidina répond à d'autres questions sur les produits bas dans quelques instants. Comme toujours fêtent vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements?
Ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser soit par courriel à Moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Voici sa passion avancée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD pour la carte thermique permet de visualiser l'évolution des marchés par l'indice TSX croissante, en fonction du corps et du volume, le cours du brut est en hausse aujourd'hui.
Commençons par le secteur de l'énergie.
Plusieurs titres s'en enlevèrent aujourd'hui, rien de trop important, mais la hausse du pétrole faire remonter certaines que de presque 1 %, Cenovus Energy, à 1 % environ, Suncor est un peu à la traîne mais toujours en augmentation de 5,5 %. Également duvet à l'écran sur le secteur financier. Il s'agit de poids-lourds qui contribuent beaucoup indice TSX composite. Aujourd'hui nous parlons des produits de base que le cours de l'or est modestement baisse après une hausse record depuis quelques semaines. Il y a donc un léger recul mais rien de trop grave. Certains des titres des produits de bas y compris par école qui est en baisse de 1 %. Aux États-Unis, voyant indice S&P 500 qui permet de visualiser plus nettement les marchés américains indice Nasdaq est en baisse, indice S&P 500 est en hausse. Comment ces thèmes sont-ils déclinés? NVIDIA se maintient après ce qu'un analyste de Wall Street a appelé la voûte de l'intelligence artificielle avec cette conférence développeurs, les campagnes technologies en organisent autant. NVIDIA annonce une nouvelle puce puissante que les précédentes. L'action se maintient. L'un des concurrents est en baisse de presque 5 %, il s'agit d'AMD. Le secteur financier aux États-Unis progresse également. Bank of America, Morgan Stanley et Schwab sont en hausse. Pour vous renseigner sur la plate-forme avancée visiter le site Web de Placements directs TD. Hussein Allidina de gestion de Placementss TD répond à vos questions sur les produits de base. Les coupures de taux que s'il y a des coupures de taux quelles sont les conséquences pour les produits de base?
- S'il y a des coupures de taux, on pourrait soutenir que ce serait baissier pour le dollar et aussi pour la croissance. Il se pourrait que cela engendre une augmentation des attentes en matière d'inflation. Elle s'en commence à progresser depuis quelques mois. Tous ces facteurs seraient positifs pour les produits de base. La plupart des produits bas sont tarifées en dollars, un dollar plus faible ferait augmenter le cours des produits de base. Fondamentalement un dollar plus faible et positif pour les produits de base. Une amélioration dans les attentes en matière de croissance à cause de l'assouplissement des conditions monétaires et budgétaires serait positifs pour la croissance. En 2021, 2022, les produits bas endettement surclassés et c'est en partie attribuable au fait que l'inflation était plus élevée que prévue par 2023 les produits de base mesurée selon l'indice que les produits de base étaient en baisse de sept à 8 %. Pendant cette année, les attentes en matière d'inflation t'étaient plus basses que prévu. L'inflation était plus faible qu'on avait envisagé.
L'inflation est relativement créée autour de 3,5 %. En juin et juillet de l'an dernier, il a été dit que les réductions de taux pourraient engendrer des attentes en matière de ski seraient favorables aux produits de base. En opposant une question qui n'est pas spécifiquement reliée aux produits de base, mais certains spectateurs se demandent et demande à nos invités : et s'il n'y avait pas de réduction de taux pour une raison quelconque? Qu'est-ce que ça signifierait pour les produits bas?
- C'est intéressant. S'il n'y a pas de réduction de taux, Greg, j'imagine qu'il n'y aura pas de réduction de taux soit parce que l'inflation est plus élevée que la Fed et les banques centrales en général ne le prévoient et ne le souhaiteraient, ou parce que la croissance est très forte.
Les marchés du travail sont serrés, activité économique se porte bien. Ce sont ces facteurs qui ont été favorables au cours des produits pas jusqu'ici les produits basses sont bien comportés, malgré la solidité du dollar, malgré le fait que les conditions financières sont resserrées. Donc il est difficile, et ce serait un peu trompeur de dire que les deux scénarios seraient positifs pour les produits basses mais il pourrait s'agir d'un scénario dans lequel l'absence de coupure de taux par la Fed refléterait une économie plus robuste ce qui est positif pour les produits de base, et si ça n'est pas une bonne croissance mais une inflation, c'est-à-dire sa création, quelle activité tenir dans un environnement de stagflation? Ce ne sont pas les actions certainement pas les titres à revenu fixe.
- Une autre question. Quels sont vos perspectives pour l'uranium?
On vient de nous demander une question semblable au sujet de la demande P… vous dîtes qu'il n'y aura pas un pic d'ici une décennie, ce spectateur considère que la transition sera vers le nucléaire mais pas vers l'éolien ou le solaire. Que pensez-vous donc de l'uranium?
- Il y a deux éléments.
Quand on songe à l'usage qui est fait du pétrole et des deux tiers de la demande de pétroles qui sont consacrés au transport.
Si je peux m'éloigner du recours au pétrole diesel dans les transports et que l'on utilise plutôt des véhicules électriques des véhicules électriques, il faut savoir d'où proviendra l'énergie pour répondre à cette demande. Ce n'est pas une quantité négligeable d'énergie qui passerait des véhicules hydrocarbures aux véhicules électriques.
Qu'est-ce qui produit l'électricité aujourd'hui? Le charbon, gaz naturel, et à la marge, les produits renouvelables. Le nucléaire joug un rôle important et une partie de la raison pour laquelle les cours de l'uranium ont augmenté non seulement le cours au comptant, mais ce qui est importants ce sont les corps à terme, c'est là où la plus grande partie l'activité se passe. Il y a une augmentation des cours de l'uranium parce que l'on se rend compte de plus en plus que si je n'utilise pas de charbon et qu'il n'y a pas suffisamment d'énergie éolienne ou solaire à la base, il faudra être capable non seulement de construire c'était cela et de produire ses puces.
Nous savons que le nucléaire ça fonctionne mais il nous faut uranium pour l'alimenter. C'est pourquoi les perspectives de l'uranium, encore une fois c'est un produit parce que les autres qui a été négligés depuis 15 ans, au niveau des immobilisations, et dans la perspective de demander relativement positif pour un avenir prévisible. Nous ne pouvons pas, Greg, avoir le beurre et l'argent du beurre. Ne pouvons pas dire nous n'avons pas utilisé du pétrole et nous allons passer à la production d'électricité qui émanera du solaire et de l'éolien. Ce n'est pas possible. Nous ne savons pas comment stocker autant d'électricité et, il faut donc une production d'électricité de base par les choix sont le charbon est extrêmement sale, le pétrole qui est extrêmement coûteux pour la production d'électricité, gaz ou le nucléaire. Je pense que nous si nous nous projetons à 5,10 ou 15 en avant avec la production d'électricité sera assurée par le gaz naturel et j'espère que le Canada jouera un rôle, ainsi que le nucléaire.
- Nous n'avons plus le temps de poser des questions mais avant de nous séparer, qu'est-ce que vous surveillez alors que nous avançons dans l'année dans le secteur des produits de base?
- Je suis optimiste quant à l'augmentation de la croissance. Je suis inquiet quant à l'impact d'une hausse des taux qui selon moi n'ont pas encore été ressentis dans l'économie. Si au niveau de la croissance, si nous avons une croissance synchronisée ce que nous n'avons pas eu depuis 10 ans, nous n'avons pas suffisamment de produits de base pour répondre à la demande est associé typiquement une bonne croissance, en Chine, en Europe et aux États-Unis.
- Hussein ça fait toujours plaisir de m'entretenir avec vous. À bientôt, j'espère.
- À bientôt, Greg.
- Merci à Hussein Allidina de gestion de placements TD. Faites vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.
Si nous n'avons pas répondu à votre question aujourd'hui nous nous efforcerons de l'inclure dans une émission future.
Restez à l'écoute. Demain, Craig Hutchinson et TD Cowen répondre à vos questions sur les actions minières. Vous pouvez nous déposer d'ores et déjà par courriel à moneytalklive@td.com.
Merci, et à demain.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Jason Hnatyk nous montre ou trouver des données sur les produits de base. Posez -nous vos questions par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composée avec la hausse du cours du brut à presque 84 $ le baril de brut de référence américain. L'indice TSX composite progresse de presque 57. Soit 0,25 %. Parmi les titres les plus activement négociés, Baytex Energy, secteur de l'énergie progresse avec la hausse du brut, à 4,74 $ de l'action de Bettex est en hausse de 4 %. On a remarqué tout à l'heure un plateau, je ne dirais pas reculer, dans la hausse du brut dépendant du cours de l'or. Certains des titres du secteur minier sont modestement sous pression par Kinross Gold à 7h57 recul de près de 20 %. Aux États-Unis, tandis que le Woodstock de l'intelligence artificielle, le congrès des développeurs de NVIDIA a été le théâtre d'une annonce de nouveau semiconducteurs, le marché s'attendait, indice S&P 500 progresse de :, c'est-à-dire qu'il est essentiellement inchangé par l'indice Nasdaq est sous une légère pression en baisse de 47. 60,3 %.
Nous reviendrons sur une citation d'annonces tout à l'heure. L'action reculerait modestement, mais celles de ses concurrents le sont encore plus, y compris AMD à 178,38 $, celle-ci recul de 0,36 %.
Le cours du pétrole augmenté ce mois-ci pour les événements géopolitiques attirant l'attention des investisseurs, mais le cours du brut se résument-ils à une simple prime de risque. Hussein Allidina de gestion de placement TD nous rejoint pour en discuter. Bonjour, Hussein.
- Bonjour, Greg. Ça fait plaisir de participer à votre émission.
Je suis désolé de ne pas être en personne.
- Parlons de ce qui justifie cette récente percée du pétrole. Vous avez évoqué des préoccupations géopolitiques. Celles-ci sont en arrière-plan depuis cinq mois et récemment, avec l'intensification des attaques en mer Rouge. Mais quand on considère les données fondamentales, la plupart des participants au début de cette année prévoyaient que les stocks augmenteraient pendant le premier trimestre que le premier trimestre n'est pas terminé, mais en janvier il y a eu d'importants prélèvements. En février il y a une augmentation normale des stocks.
Selon les dernières données, les stocks continus de diminuer.
Tout ceci est très positif. La demande est ferme. J'ai un graphique qui montre la demande d'essence aux États-Unis, la demande d'essence aux États-Unis se maintient bien. De fait, à des niveaux que l'on s'attendrait à voir pendant l'été.
Nous ne sommes pas allaités par la météo clémente encourage peut-être les déplacements en automobile. Mais la demande est très ferme. Quand on conjugue tous ces éléments, on constate une situation de stock plus serré que prévu.
Nous avions des stocks très limités au début, nous pensions qu'il sera reconstitué pendant premier trimestre, cela ne s'est pas reproduit. Par conséquent, le départ du marché du brut est très marqué. La courbe des contrats à terme du WTI, il s'agit des données dia, et beaucoup plus prononcé par rapport à ce qu'il était il y a un mois, une semaine, ceci souligne que la demande est effectivement très serrée.
- Quand on parle de l'économie mondiale, des taux d'intérêt élevé, économie américaine, c'est très bien maintenu face à l'augmentation des coûts d'emprunt.
C'est peut-être un facteur important pour l'économie américaine se porte très bien et c'est la plus importante au monde.
- Oui, la demande aux États-Unis tourne autour de 20 millions de barils par jour.
C'est plus gros consommateur de pétrole.
La croissance de la demande est généralement attribuable aux marchés émergents. C'est le cas depuis plusieurs années. La demande des marchés émergents et plus faible en partie à cause de la faiblesse de l'économie chinoise, mais cette dernière poursuit son revirement.
Les États-Unis ont annoncé une consommation supérieure aux prévisions et le prix de l'essence est également en hausse, ce qui alimente la participation sur le marché de la part des spéculateurs.
Celle-ci a été relativement terne jusqu'ici. Le graphique suivant montre que la participation des spéculateurs aujourd'hui est plus basse qu'elle ne l'a été depuis 10 ans lorsque la situation globale est loin d'être aussi prometteuse qu'elle est aujourd'hui. Vous me demandiez au début ce que je pense que le cours du pétrole a continué d'augmenter. Je pense que nous devons prendre conscience du fait que si les stocks sont aussi serrés qu'ils le sont c'est parce que l'OPEP a réduit sa production. L'OPEP a réduit sa production, ce qui a emmené une augmentation de la capacité excédentaire. Je pense que pétrole ne va pas dépasser les 90 ou 95 $ le baril.
- Notre connexion avec Hussein Allidina… ah le voici.
Vous avez interrompu il y a quelques instants.
Vous avez parlé des marchés émergents et du fait que la demande étend rendez-vous là-bas mais vous avez dit quelque chose de très important c'est que l'OPEP a tenu ses engagements de limiter l'offre plus qu'elle ne devrait l'être.
-, L'OPEP a réduit la production, et puisqu'elle a réduit la production cela a considéré un resserrement de l'équilibre.
Je ne suis pas de ceux qui pensent que le corps du pétrole va dépasser les 90 ou 95 $ le baril cette année. En effet si c'était le cas, l'OPEP augmenterait à nouveau la production. Mais en tant qu'investisseur et produit basse n'est pas nécessaire que le cours du pétrole augmente considérablement. Avec le départ de la courbe, je réalise 10 % sur l'opération et cela avec les équilibres serrés que l'on voit sur le marché du brut.
- Parlant des investissements dans le secteur. Le corps du brut augmente et que je ne considère pas qu'il va monter mon coup parce que l'OPEP ouvrira les vannes.
Mais le sous investissement dans ce secteur est un thème depuis près de deux ans.
Vous êtes régulièrement intervenus. Ça n'a pas beaucoup changé.
- Non.
Nous n'investissons pas dans les produits de base en général, dans pétrole en particulier depuis 10 à 12 ans. La croissance que nous avons constaté l'an dernier dans l'offre or OPEP à part le pétrole de schiste aux États-Unis dans le cycle relativement court, émané du Brésil, Anna Gainey du Canada. Il s'agit de projets avec de longs mis en œuvre, sept ou 10 ans, pas beaucoup de projets les premières immobilisations ont été causées pendant le dernier super cycle. Si la demande continue d'augmenter, si vous pensez que la croissance économique se poursuivra, il faudra investir ou les équilibres demeureront serrer ce qui exigera une hausse des prix pour limiter la croissance de la demande. L'an dernier les marchés ont adopté une attitude pessimiste à l'égard de la croissance de la production aux États-Unis, leur celle-ci augmentée nettement quatrième trimestre. J'ai passé votre émission j'ai dit qu'une partie de cette augmentation est attribuable au producteur privé qui cherche à augmenter leur production afin de pouvoir être racheté dans le secteur des fusions-acquisitions. Des données plus récentes États-Unis montrent que la production a reculé. Je ne parle pas de moi janvier il y a eu un jaloux Texas, mais de donner plus récent depuis une quinzaine de jours, on tourne autour de 13 millions de barils par jour, ce qui est de 100 000 barils de moins qu'au quatrième trimestre l'an dernier.
- Il faut vraiment qu'une augmentation de l'investissement puisque la demande continue d'augmenter la situation réelle et très serrée.
Pensez-vous que ces investissements seront au rendez-vous? Que faudrait-il pour que les investissements soient faits? Quel seraient l'encourageant producteur si le pétrole ne augmentait pas tellement?
- Le problème c'est que nous sommes d'ores et déjà au-dessus du seuil de rentabilité mais à cause de l'importance attachée au principe de la transition énergétique, les actionnaires, depuis cinq à 10 ans ont enjoint aux entreprises de restituer leur flux de trésorerie qu'elle continue de le faire ce qui est formidable à court terme en tant qu'investisseur sur le marché boursier, mais à moyen terme les compagnies énergétiques ne ressembleront pas des compagnies énergétiques puisque elle ne s'investissement dans l'amont.
Mais au fur et à mesure que les corps montés demeurent élever il y aura des immobilisations supplémentaires, mais nous sommes très loin des niveaux où nous devrions être comptes tenus de la rareté des investissements depuis 10 ans.
- Dans quelle mesure pourrait-il aborder aux débats d'ici quelques années si les investisseurs tentent de soupeser les facteurs ESG, la transition énergétique d'une part et d'autre part la nécessité de combustibles fossiles dans l'actualité?
Il ne semble pas qu'il s'agira d'une transition nette. Je crois que ce sera un peu désordonné.
- Oui, nous en avons parlé. Je pense que les marchés estiment qu'il sera facile de passer des hydrocarbures aux énergies renouvelables et c'est une idée fausse. Le monde tel que nous le connaissons est basé sur une infrastructure depuis 10 ans qui est tributaire des hydrocarbures. Il y a déjà des difficultés quant à la disponibilité par exemple la capacité de chargement des véhicules électriques, il y a un ralentissement dans le monde développé dans les ventes de véhicules électriques parce que le taux d'adoption est moins élevé.
Je pense que cette transition ne sera pas net.
L'idée que la transition se fera sans erreur est erronée dangereuse à mon avis.
- Excellent début d'émission. Hussein Allidina répond à vos questions sur les produits de base dans quelques instants.
Je rappelle que vous pouvez nous les présente tant par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte question bas de votre écran.
À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
L'inflation globale a ralenti au Canada le mois dernier s'établissant un taux annualisé de 2,8 % alors que les économistes s'attendaient à plus de 3 %.
Les automobilistes ayant payé plus cher à la pompe, bien que les prix de l'essence et était plus élevé statistique Canada indique que la baisse des prix des services sans fil et des produits d'épicerie à contribuer à réduire le taux d'inflation. Selon service économie TD, bien que ce rapport soit une bonne nouvelle dans une certaine mesure, on s'attend à ce que la Banque du Canada attendent jusqu'en juillet avant de réduire les taux d'intérêt.
À travers un écart a convenu d'acheter le fabricant faisant format cycle de Hamilton Ontario au prix de 2,4 milliards de dollars américains. L'entreprise britannique paiera 21 $ par action profusion et 400 milliards de dollars supplémentaires dépendant de la réalisation de certains objectifs. Fusion met au point un traitement sur le cancer à la d'isotopes radioactifs. L'action de fusion naturellement bondit à cette annonce de plus de 97 %. Les actions de NVIDIA sont sous les feux de la rampe aujourd'hui. La société a dévoilé une nouvelle puce d'intelligence artificielle à sa conférence de développeurs.
Cette puce est dotée d'une puissance de 20 pétaflops en FP4 grâce à 208 milliards de transistors. Si vous savez ce que cela signifie vous êtes bien plus intelligents que moi.
Mais à l'approche de cette conférence, NVIDIA vantait la puissance de cette puce, mais ton patient ne comprend pas les détails, elle est plus puissante les plus précédentes. On s'attendait à cette annonce donc à 868 $ action recul de 1,5 %. Un coup d'œil sur les marchés. Indice TSX composite dans le contexte de la hausse des cours de l'énergie progresse de 51. Soit 0,25 %. Aux États-Unis, indice S&P 500 avec une certaine faiblesse du secteur de la technologie aujourd'hui et malgré tout en hausse mais très légèrement, 1/10 de pour cent, soit cinq points. Hussein Allidina répond à vos questions sur les produits de base.
Tout d'abord, que pensez-vous des perspectives du cuivre?
- Le cuivre est mon produit de base depuis préférée début 2024, surtout parce que cela offre est assez serré, je répète. Par dernier il y a eu l'impact de la mise à l'arrêt de la mine de Cobre Panama qui est demeure à l'arrêt, d'autres producteurs ont réduit leurs perspectives de production. Par conséquent, la balance de 2024 déficitaires. En 2023 la plupart des observateurs pensaient qu'il y aurait un équilibre en 2024 et sept ans de production entraînait un marché déficitaire pour le cuivre. Si on considère ce qui se produit en Chine depuis deux semaines, il y a eu une chute des prix payés par les fonderies pour le minerai, ce qui souligne un marché très serré. Les fonderies en Chine pour la toute première fois à ma connaissance coordonnent une réduction de la production ce qui signifiant définitivement de produits raffinés et souligne encore une fois le fait que le marché du minerai est très serré.
Il y a un élément qui devra changer au niveau de la demande afin, il faudra avoir une amélioration dans la demande du marché immobilier de l'infrastructure en Chine.
Il faut se rappeler que malgré la forte intensité de cuivre dans la transition énergétique des véhicules renouvelables, réseaux d'électricité, plus de la moitié de la production de cuivre au-delà demande que dans le monde est utilisé en Chine et historiquement surtout pour l'immobilier d'infrastructure. Nous savons que ces marchés étaient faibles et il commence à s'améliorer légèrement, mais il faut qu'il s'améliore considérablement. Si c'est le cas le cuivre augmentera considérablement ici la fin de l'année.
- Quand on songe à la situation du cuivre à la mine Cobre Panama, bien sûr on attend des élections Panama qui pourraient mois modifier le sens de la mine, est-ce si difficile de tenir compte de cela dans les calculs? Même si c'est pas un facteur important malgré les manchettes.
- C'est un très important facteur, et 7000 devaient par magie être remis en service après l'élection, cela ferait changer la situation à court terme sur le marché du cuivre. Elle réduire l'optimisme. Il faut très longtemps pour mettre une mine de cuivre, mais si on considère la chaîne d'approvisionnement au cours des cinq et 10 prochaines années, surtout dans le contexte de la croissance de la demande véhicules électriques de production d'électricité, il y a des déficits. Nous n'avons pas suffisamment investi depuis 10 ans pour mettre des mises en service.
Vous évoquiez tout à l'heure NVIDIA et l'intelligence artificielle. La quantité d'électricité que ce secteur va consommer exigera des installations de production d'électricité, lesquels, quelle que soit la source de combustible, charbon, nucléaire, gaz, comporte énormément de cuivre dans la production d'électricité.
Donc le cuivre est l'un des maîtres sur lequel je suis le plus optimiste d'ici cinq à 10 ans au niveau de l'offre aussi bien que de la demande.
- Parlant d'une question plus proche de chez nous. Élections américaines. Quel pourrait être l'impact sur les produits de base?
- C'est intéressant. Au niveau du pétrole, le consensus veut que si Trump est réélu président, cela pourrait être positif pour le pétrole à court terme car Trump sera plus ferme à l'égard des sanctions envers l'Iran. L'Iran augmentait sa production de 500 à 700 000 barils par jour ce qui a beaucoup contribué au ramollissement des équilibres à la marge. Si Trump devait se concentrer davantage sur ces sanctions puisque Biden ne l'a fait, c'est sans doute positif pour le pétrole à court terme. À moyen terme on pourrait soutenir que compte tenu de l'importance que Trump attache à la production de pétrole et non pas au facteur ESG, il se peut qu'il permette aux producteurs américains d'augmenter considérablement la production. Ceci dit, je Biden, malgré son discours, a été assez bien disposé à l'égard du pétrole et du gaz aux États-Unis. La production de pétrole sans l'État fédéral et plus et aujourd'hui que depuis très longtemps.
- Je songe à la Maison-Blanche, à la prochaine élection qu'après celle-ci, en général, on fait plaisir aux électeurs, réduisant les coûts de l'énergie notamment.
- Cette année on entend pas parler d'un conflit entre la Maison-Blanche et l'OPEP.
Je suis sûr que cela se passe en coulisses. La difficulté, c'est que du point de vue des États-Unis, nous ne pouvons pas prélever autant de pétrole qui a été prélevé à la réserve stratégique en réponse à l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Je suis sûr qu'il y a des pourparlers en coulisses pour encourager l'Arabie Saoudite augmenter sa production.
Je ne sais pas qui les saoudiens veulent voir la Maison-Blanche, donc je ne puis déterminer si l'Arabie Saoudite tempérera ou non, surtout compte tenu du conflit au Moyen-Orient aujourd'hui.
- Intéressant. À surveiller. Une autre question.
Beaucoup d'actions du secteur minier énergétique sont à la traîne par rapports produits pas sous-jacents. Pourquoi?
- Une ou deux raisons. Cela dépend du produit de base dont nous parlons. Mais en général, on a parlé tout à l'heure des compagnies énergétiques qui ne dépensent pas de capital supplémentaire pour l'augmentation de leur capacité de production et qui restitue des capitaux aux actionnaires. Si l'on considère l'énergie en pourcentage de lundi CCP, c'est sans doute autour de trois ou 4 %.
La norme c'est entre 7 et 15 pour cent.
Les investisseurs n'apprécient pas les produits de base et ce depuis quelque temps.
C'est l'objet en faveur de la [---]. Nous savons en face d'exportation depuis 10 à 12 ans, je crois que le consensus ne veut pas que les produits de base augmentent.
Ce qui considère les équipes sous-jacents, peut-être un point de vue différent. Je montre un graphique qui montrait le déport de la courbe du pétrole. En général, les produits de base à négocier à l'extrémité de la courbe parce que le cours différé dans les modèles lorsque les analystes calculent la valeur d'une compagnie se fondent sur 1, Cours à long terme. Le cours à long terme du pétrole tourne autour de 65 70,75 $ le baril. Ça n'a pas changé. C'est ce que marché soit serré comme nous le voyons aujourd'hui Kiko permet ce départ par les compagnies d'énergies produits basses en général se fonde sur l'extrémité de la courbe à long terme. Lorsque les produits de base en départ, ils ont tendance à surclasser l'action correspondant. S'agissant des actions du secteur de l'énergie en particulier, puisque l'emprise de produits de base augmente pas, au fil du temps il ressemble rarement à des compagnies d'énergie avant qu'il n'augmente la capacité production. Sous tu as toujours vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Hussein Allidina répond à d'autres questions sur les produits basses dans quelques instants. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com.
À présent poursuivre la découverte de CourtierWeb.
Dans cette séquence, nous examinons où vous pouvez trouver des informations sur les produits de base sur la plateforme CourtierWeb. Jason Hnatyk formateur principal à Placements directs TD.
- Bonjour, Greg. Parlant de produits de base. Il n'est pas possible de négocier des produits basses à Placements directs TD, néanmoins il est important de les surveiller. À titre d'indicateurs de l'économie ou peut-être parce que l'on possède des actions de compagnies qui utilisent différents produits de base. Il y a quatre domaines clés que l'on peut montrer sur la plate-forme qui permette de surveiller les prix de ces produits de base. Le plus simple et que c'est à la page d'accueil, au sommet de la page, par défaut il y a l'or, ainsi que le pétrole, tout en dollars américains. Ensuite, cliquant sur l'onglet recherche.
Et allons à la page aperçue sous la rubrique marchée. Cette page regorge d'informations, entre autres sur les produits basses. Tout d'abord il y a une bannière qui montre des cotations sur de nombreux autres grands indices, sur la droite il existe un bouton modifier.
Sélectionnons modifier cela permet de modifier les éléments qui répondent à nos besoins. On pourrait par exemple remplacer l'indice composite TSX en voyant qu'il Yanis de grands produits de base au bas.
Par exemple le brut WTI, vous voyez que ce cours s'applique sur l'écran. Troisième élément toujours sur cette page survole, aperçue, on déroule la page sur la gauche, juste en dessous des indices. Vous voyez qu'il y a une section produits de base qui offre agriculture, énergie et métaux.
Continuons toujours le brut WTI, on voit le dernier cours, sa variation journalière ainsi que la fourchette cumulative du cours du produit dans la durée du contrat.
Le WTI se situe au milieu. Dernier élément, quatrième élément, il s'agit d'une façon d'approfondir un peu. Toujours sous l'onglet recherche, cette fois-ci dans la colonne des marchés, on choisit rapport. Je voudrais signaler deux sections. Sur la droite, il y a les rapports sectoriels m'en une star, et sans déroule également, il y a également les rapports de et Research qui soulignent certains secteurs spécifiques de l'économie lesquels pourraient utiliser les produits qui vous intéressent.
Énergie aux produits industriels. C'est une façon pour vous d'approfondir et d'obtenir davantage d'informations en connaissance de cause sur vos placements.
Soit il y a donc beaucoup de sources de renseignements sur les produits basses à la plateforme CourtierWeb. – Merci à Jason Hnatyk formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb vous trouverez encore plus de ressources. À présent, je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous imploser ça par courriel à Moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Hussein Allidina répond à d'autres questions sur les produits de base.
Comment la baisse de demande de véhicules électriques affecte-t-elle les produits de base?
- C'est effectivement une dynamique très en vue, notamment dans les pays de l'OCDE.
La faiblesse de la demande de véhicules électriques, surtout le fait des États-Unis, du moins les pays de l'OCDE.
L'essentiel est la pénétration de véhicules électriques dans le monde est attribuable aux marchés émergents et surtout à la Chine. Au fur et à mesure que la demande de véhicules électriques faiblit, la demande de cuivre en particulier et d'aluminium à la marge diminue.
Je ne crois pas que la plupart des analystes qui modélisent cette situation prévoient une croissance aussi rapide qu'au cours des quelques dernières années.
À ce stade, cela ne représente pas un problème à mon avis.
Si la demande de véhicules électriques continus diminués cela pourrait représenter une difficulté pour le cuivre, aluminium et le nickel, ce qui serait en revanche très positif au plus tôt ceci traite serait positif pour le pétrole parce que si je ne circule par des stages circulant véhicules à moteur à combustion interne.
- Il est difficile d'infléchir la demande.
Autrefois on disait que le monde entier voulait des véhicules électriques, et maintenant les grands constructeurs disent : nous proposons une gamme. Que se passera-t-il en 3,5, ou 10 ans.
- Effectivement, au fur et à mesure que de nouvelles technologies sans découverte, la composition des batteries et des véhicules va charger ce qui représente un autre élément de risque dans les pronostics. Je m'occupe de produits de base depuis une vingtaine d'années. Au cours des 10 à 12 dernières années, plusieurs groupes affirmaient que la demande de pétrole atteindrait applique après cinq ans ou 10 ans, et des groupes imminents, des spécialistes, et nous n'avons pas atteint un pic, ça voit un record en dernier, même avec un relatif faiblesse des marchés émergents et surtout de la Chine. Je suis davantage convaincu que la demande de pétrole demeurera dans l'économie. Je suis davantage convaincu à garder pétrole qu'à l'égard des véhicules électriques, mais il y aura une transition d'ici 10 à 20 ans et je pense que cela ne se produira pas aussi rapidement que certains des plus optimistes le pensent. Soutient une autre question. Vous venez de parler de la Chine. La demande chinoise de produits de base s'améliore-t-elle?
- Oui.
Si on considère l'énergie, la demande s'améliore, la demande de disait, mais il n'y a pas le genre de croissance que nous avons vue dans les années 2006 à 2012.
L'industrialisation de la Chine. Encore une fois nous en avons parlé tout à l'heure lorsque nous évoquions le cuivre.
C'est surtout parce qu'un élément très important l'économie chinoise est représentée par l'immobilier et l'infrastructure. L'immobilier en particulier demeure faible. Il y a de jeunes pousses malgré tout là-bas avec de légères améliorations.
En ce qui concerne le réseau électrique, les dépenses de consommation, la situation semble nettement meilleure ce qui encore une foie et très positif pour l'énergie, mais il nous faut vraiment assister à une stabilisation de l'ancienne économie en Chine avant de devenir réellement optimiste quant au cours du pétrole. Suite vous avait évoqué les marchés émergents, au niveau de la demande de Petra, est-ce qu'il y a une remontée là aussi? Je n'imagine pas que ces pays puissent remplacer l'ampleur de la Chine mais quelle est la situation dans les marchés émergents?
- Eh bien, si nous considérons l'Inde, la demande de pétrole se porte très bien. En fait au point que j'en suis étonné. Et cette demande continue d'exister. Ça m'a étonné parce qu'il faut se rappeler qu'en Inde, le cours que paye le pays pour le pétrole à cause de la faiblesse de la roupie est proche de ce qui est payant 2009 lorsque les prix en dollars américains étaient de près de 130 $ le baril, même si le prix payé par l'un des proches de ce niveau, la demande continue d'augmenter. Il y a un autre élément.
Tandis que les cours des produits de base augmentent ou demeure ferme c'est la demande du Moyen-Orient et d'Amérique latine. Il y a une corrélation très élevée entre l'activité économique dans les pays producteurs de produits de base comme le Moyen-Orient et l'Amérique latine, et par extension leur demande de produits de base. S'il est produit de base demeure élever, à ce niveau-là, je pense que la demande dans ces régions continuera d'augmenter également.
- Ensuite une question sur l'or. Lors peut-il être négocié à court terme?
- Nous ne pouvons pas vous donner des stratégies de négociation sur cette plate-forme nous pouvons parler de ce qui se passe avec l'or.
- Merci pour cette question. Je crois que lors, je l'ai dit bien des fois, lors devrait trouver sa place dans tous les portefeuilles. Laure peut couvrir les risques extrêmes d'un portefeuille, que ce soit une inflation très élevée ou une déflation. Et ce, aucune autre catégorie d'actifs ne peut le faire. Comment alors s'est-il comporté depuis 10 à 18 mois, la plupart des analyses qui modélisent le cours de l'or tiennent compte des tourelles et du dollar. Les taux réels puisque le coût d'opportunité de détenir lors, c'est le taux réel avec les taux réels ont augmenté et le dollar s'est maintenu. Ces deux facteurs devraient indiquer que le cours de l'or est faible, or l'or a continue d'augmenter. Ceci est en grande partie, pas entièrement, attribuable à la demande d'or métal. Pas nécessairement aux détails, mais la demande FNB relativement faible, c'est surtout la demande des banques centrales des marchés émergents, lesquels ont acheté d'énormes quantités d'or, année 2022 était l'année record pour les achats d'or métal.
L'année 2023 presque atteint ce record. Je ne sais pas combien d'or la Chine va acheter demain, ou l'inde, la Russie, la Turquie et ainsi de suite, mais quand je considère la réserve, ces dernières sont toujours en majorité constituée de monnaie papier.
Nous prêchant la diversification et la répartition d'actifs. Les travaux universitaires signalent l'importance de la diversification pas ça n'a pas de bon sens pour moi que les banques centrales des pays émergents détiennent toute la réserve en dollars ou en euros. Je pense que continuera d'avoir une demande raisonnable de la part des banques centrales, surtout dans les marchés émergents. Si la Fed réduit les taux, comme le marché suppose d'ici la fin d'année et que cela engendre un recul du dollar, je pense qu'il y aurait un facteur positif pour l'heure, mais ce n'est pas ce qui impulse le cours de l'or depuis 10 à 18 mois.
- Vous avez parlé de l'inquiétude à l'écart de la monnaie papier. Certains sur les marchés saccadés monnaient papier se tournent vers la crypto monnaie. Certains pensent que la crypto monnaie est un succédané de l'or. Qu'en pensez-vous?
- Je ne comprends pas vraiment les crypto monnaie. Je suis convaincu que la crypto monnaie n'est pas l'or. Considérer la façon dans l'or et côté et les crypto monnaie, surtout les bitcoins, le bitcoins et côté commun actif à risque, avec un très fort levier. La corrélation entre le bitcoins et l'indice Nasdaq par exemple, une corrélation très élevée.
Lors n'est pas un actif à risque. L'or est une façon de conserver de la valeur, de se couvrir contre une inflation non prévue.
Je pense que ce n'est pas la même chose pendant parle comme si c'était des actifs identiques mais fondamentalement ce ne sont pas encore les mêmes.
- Hussein Allidina répond à d'autres questions sur les produits bas dans quelques instants. Comme toujours fêtent vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements?
Ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser soit par courriel à Moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Voici sa passion avancée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD pour la carte thermique permet de visualiser l'évolution des marchés par l'indice TSX croissante, en fonction du corps et du volume, le cours du brut est en hausse aujourd'hui.
Commençons par le secteur de l'énergie.
Plusieurs titres s'en enlevèrent aujourd'hui, rien de trop important, mais la hausse du pétrole faire remonter certaines que de presque 1 %, Cenovus Energy, à 1 % environ, Suncor est un peu à la traîne mais toujours en augmentation de 5,5 %. Également duvet à l'écran sur le secteur financier. Il s'agit de poids-lourds qui contribuent beaucoup indice TSX composite. Aujourd'hui nous parlons des produits de base que le cours de l'or est modestement baisse après une hausse record depuis quelques semaines. Il y a donc un léger recul mais rien de trop grave. Certains des titres des produits de bas y compris par école qui est en baisse de 1 %. Aux États-Unis, voyant indice S&P 500 qui permet de visualiser plus nettement les marchés américains indice Nasdaq est en baisse, indice S&P 500 est en hausse. Comment ces thèmes sont-ils déclinés? NVIDIA se maintient après ce qu'un analyste de Wall Street a appelé la voûte de l'intelligence artificielle avec cette conférence développeurs, les campagnes technologies en organisent autant. NVIDIA annonce une nouvelle puce puissante que les précédentes. L'action se maintient. L'un des concurrents est en baisse de presque 5 %, il s'agit d'AMD. Le secteur financier aux États-Unis progresse également. Bank of America, Morgan Stanley et Schwab sont en hausse. Pour vous renseigner sur la plate-forme avancée visiter le site Web de Placements directs TD. Hussein Allidina de gestion de Placementss TD répond à vos questions sur les produits de base. Les coupures de taux que s'il y a des coupures de taux quelles sont les conséquences pour les produits de base?
- S'il y a des coupures de taux, on pourrait soutenir que ce serait baissier pour le dollar et aussi pour la croissance. Il se pourrait que cela engendre une augmentation des attentes en matière d'inflation. Elle s'en commence à progresser depuis quelques mois. Tous ces facteurs seraient positifs pour les produits de base. La plupart des produits bas sont tarifées en dollars, un dollar plus faible ferait augmenter le cours des produits de base. Fondamentalement un dollar plus faible et positif pour les produits de base. Une amélioration dans les attentes en matière de croissance à cause de l'assouplissement des conditions monétaires et budgétaires serait positifs pour la croissance. En 2021, 2022, les produits bas endettement surclassés et c'est en partie attribuable au fait que l'inflation était plus élevée que prévue par 2023 les produits de base mesurée selon l'indice que les produits de base étaient en baisse de sept à 8 %. Pendant cette année, les attentes en matière d'inflation t'étaient plus basses que prévu. L'inflation était plus faible qu'on avait envisagé.
L'inflation est relativement créée autour de 3,5 %. En juin et juillet de l'an dernier, il a été dit que les réductions de taux pourraient engendrer des attentes en matière de ski seraient favorables aux produits de base. En opposant une question qui n'est pas spécifiquement reliée aux produits de base, mais certains spectateurs se demandent et demande à nos invités : et s'il n'y avait pas de réduction de taux pour une raison quelconque? Qu'est-ce que ça signifierait pour les produits bas?
- C'est intéressant. S'il n'y a pas de réduction de taux, Greg, j'imagine qu'il n'y aura pas de réduction de taux soit parce que l'inflation est plus élevée que la Fed et les banques centrales en général ne le prévoient et ne le souhaiteraient, ou parce que la croissance est très forte.
Les marchés du travail sont serrés, activité économique se porte bien. Ce sont ces facteurs qui ont été favorables au cours des produits pas jusqu'ici les produits basses sont bien comportés, malgré la solidité du dollar, malgré le fait que les conditions financières sont resserrées. Donc il est difficile, et ce serait un peu trompeur de dire que les deux scénarios seraient positifs pour les produits basses mais il pourrait s'agir d'un scénario dans lequel l'absence de coupure de taux par la Fed refléterait une économie plus robuste ce qui est positif pour les produits de base, et si ça n'est pas une bonne croissance mais une inflation, c'est-à-dire sa création, quelle activité tenir dans un environnement de stagflation? Ce ne sont pas les actions certainement pas les titres à revenu fixe.
- Une autre question. Quels sont vos perspectives pour l'uranium?
On vient de nous demander une question semblable au sujet de la demande P… vous dîtes qu'il n'y aura pas un pic d'ici une décennie, ce spectateur considère que la transition sera vers le nucléaire mais pas vers l'éolien ou le solaire. Que pensez-vous donc de l'uranium?
- Il y a deux éléments.
Quand on songe à l'usage qui est fait du pétrole et des deux tiers de la demande de pétroles qui sont consacrés au transport.
Si je peux m'éloigner du recours au pétrole diesel dans les transports et que l'on utilise plutôt des véhicules électriques des véhicules électriques, il faut savoir d'où proviendra l'énergie pour répondre à cette demande. Ce n'est pas une quantité négligeable d'énergie qui passerait des véhicules hydrocarbures aux véhicules électriques.
Qu'est-ce qui produit l'électricité aujourd'hui? Le charbon, gaz naturel, et à la marge, les produits renouvelables. Le nucléaire joug un rôle important et une partie de la raison pour laquelle les cours de l'uranium ont augmenté non seulement le cours au comptant, mais ce qui est importants ce sont les corps à terme, c'est là où la plus grande partie l'activité se passe. Il y a une augmentation des cours de l'uranium parce que l'on se rend compte de plus en plus que si je n'utilise pas de charbon et qu'il n'y a pas suffisamment d'énergie éolienne ou solaire à la base, il faudra être capable non seulement de construire c'était cela et de produire ses puces.
Nous savons que le nucléaire ça fonctionne mais il nous faut uranium pour l'alimenter. C'est pourquoi les perspectives de l'uranium, encore une fois c'est un produit parce que les autres qui a été négligés depuis 15 ans, au niveau des immobilisations, et dans la perspective de demander relativement positif pour un avenir prévisible. Nous ne pouvons pas, Greg, avoir le beurre et l'argent du beurre. Ne pouvons pas dire nous n'avons pas utilisé du pétrole et nous allons passer à la production d'électricité qui émanera du solaire et de l'éolien. Ce n'est pas possible. Nous ne savons pas comment stocker autant d'électricité et, il faut donc une production d'électricité de base par les choix sont le charbon est extrêmement sale, le pétrole qui est extrêmement coûteux pour la production d'électricité, gaz ou le nucléaire. Je pense que nous si nous nous projetons à 5,10 ou 15 en avant avec la production d'électricité sera assurée par le gaz naturel et j'espère que le Canada jouera un rôle, ainsi que le nucléaire.
- Nous n'avons plus le temps de poser des questions mais avant de nous séparer, qu'est-ce que vous surveillez alors que nous avançons dans l'année dans le secteur des produits de base?
- Je suis optimiste quant à l'augmentation de la croissance. Je suis inquiet quant à l'impact d'une hausse des taux qui selon moi n'ont pas encore été ressentis dans l'économie. Si au niveau de la croissance, si nous avons une croissance synchronisée ce que nous n'avons pas eu depuis 10 ans, nous n'avons pas suffisamment de produits de base pour répondre à la demande est associé typiquement une bonne croissance, en Chine, en Europe et aux États-Unis.
- Hussein ça fait toujours plaisir de m'entretenir avec vous. À bientôt, j'espère.
- À bientôt, Greg.
- Merci à Hussein Allidina de gestion de placements TD. Faites vos propres recherches avant de prendre une décision de placement.
Si nous n'avons pas répondu à votre question aujourd'hui nous nous efforcerons de l'inclure dans une émission future.
Restez à l'écoute. Demain, Craig Hutchinson et TD Cowen répondre à vos questions sur les actions minières. Vous pouvez nous déposer d'ores et déjà par courriel à moneytalklive@td.com.
Merci, et à demain.