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(musique) Bonjour ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une mission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, nous réagissons au dernier budget fédéral à ce qu'il pourrait signifier par la Banque du Canada tandis qu'elle établit sa politique monétaire avec Hafiz Noordin de gestion de placements TD. Anthony Okolie examine l'état de la confiance des investisseurs avec les résultats du dernier indice Placements directs TD. Nous poursuivons la découverte de la plate-forme avancée. Ryan Massad nous montre comment passer un ordre. Posez-nous vos questions par courriel@moneytalklive@td.com dans la boîte de questions bas de votre écran.
Mais tout d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
La remontée du pétrole marque une pause ainsi que celle de l'or. 18. Deux rose pour l'indice TSX composite soient 0,1 %.
Même si le cours de l'or du pétrole marque une pause, je remarque un certain mouvement dans les chantiers de l'énergie et minier, Baytex Energy maintient ses gains du début de la séance. Ah non, cinq dollars, cinq l'action, elle ne progresse plus. Kinross progressait ce matin, Valenciennes a progressé Séguin, celle-ci progresse de presque 2 %.
Aux États-Unis, les marchés cherchent l'orientation. Lorsque j'étais en train ce matin, le marché était légèrement positif avec de bonnes annonces de bénéfices, puis le cours s'est effrité pendant la séance.
Rien de grave, en recul de 16 ; 63 % pour Ladislas de certains des fabricants de semi-conducteurs sont en baisse aujourd'hui. L'indice baisse de cinq points, soit 0,6 %. United Airlines était nettement en hausse après ces derniers rapports trimestriels. Nous y reviendrons tout à l'heure. L'action bondit de 14,2 %.
Le budget fédéral prévoit plus de 500 milliards de dollars de nouvelles dépenses au cours des cinq prochaines années.
Qu'est-ce que ça pourrait signifier par la Banque du Canada qui tente de ramener l'inflation à 2 %? Hafiz Noordin de gestion de placements TD se joint à nous pour en discuter. Bonjour, à fils.
- Bonjour, Greg.
- Nous avons eu un peu de temps pour assimiler le budget. 50 milliards de dollars de nouvelles dépenses annoncées dans ce document, d'ici cinq ans. Le gouvernement fédéral avait annoncé un budget déflationniste à fin de ne pas agir à contre-courant de la Banque du Canada.
- Il y a certainement une grave aggravation dans le déficit d'ici quelques années. Cela en soi n'est pas résultat très favorable. Mais quand on n'y songe, il y a eu une hausse des recettes fiscales compensées par les dépenses.
Au T que l'objet n'a pas vraiment fait trop de vagues sur les marchés financiers.
Les rendements obligataires n'ont pas beaucoup évolué. Au niveau des recettes, annonce surprise quant au taux d'inclusion des gains en capital pour les sociétés et les particuliers aisés, mais inversement il y a eu davantage de dépenses surtout en ce qui concerne le logement et dans d'autres domaines comme la défense et les soins de santé. Les nouvelles mesures de relance, on peut envisager les chiffres sous plusieurs ans, mais 35 milliards de dollars, ce sont les nouvelles mesures de relance lettre par rapport à ce qui avait été intégré après l'annonce du mois de novembre. Ces 35 milliards d'ici cinq ans.
Quand en répartissant pourcentage du PIB, ce n'est pas une augmentation énorme.
Mais la principale conclusion —, c'est que les déficits persisteront. Il n'y a pas vraiment de trajectoire par un budget équilibré de sitôt. C'est là où il faut faire preuve de prudence.
- Parlons-en. Comme vous l'avez dit le déficit est persistant. Il n'y a pas de trajectoire vers le retour à l'équilibre.
Ça va alourdir la dette et bien entendue le gouvernement est un important émetteur de dette. Comment ça se passera-t-il?
- Oui.
Le budget comporte notamment une stratégie de gestion de la dette. Comment le gouvernement va-t-il financer les tout cela. Les chiffres globaux relatifs à cet objectif représentent environ 500 milliards de dollars, ce c'est énorme il faut toujours tenir compte de la dette qui est renouvelée, c'est-à-dire les titres de créance qui arrive à échéance. Quand on soustraie les dates qui arrivent à échéance, ça fait 85 milliards de nouvelles émissions. Par ailleurs, il faut se demander dans quelle mesure les émissions prendront la forme de bons du trésor, soit de moins d'un an par rapport aux obligations qui sont à 2,5, 10 ou 30 ans. Si vous commencez à avoir trois émissions d'obligations ça peut commencer à exercer une pression là au sol rendements obligataire car les marchés exigeant une concession. Mais c'est plutôt le résultat opposé par le nombre d'émissions émit cette année s'établit à 230 milliards. Les analystes en général s'attendaient à 240 à 250° donc c'est un peu moins que prévu. De ce point de vue, la stratégie d'émission dans le cadre de la gestion des déficits est relativement bénigne, donc il n'y aura pas encore une fois trop de vagues.
- La dernière fois que Tiff Macklem s'est exprimé, c'était il y a quelques jours mais il sent que c'était il y a longtemps, il déclarait que la banque maintenait sa position. Est-ce que moi tu représentes une possibilité, il a répondu que c'était impossible. Les marchés envisagent mois de juillet. Dans un entretien j'ai eu avec vous, je précisais que la Banque du Canada les prend connaissance du budget fédéral.
Maintenant, c'est fait. D'après vous est-ce que ça va changer la vision du monde qu'à la Banque du Canada?
- Je crois que la Banque du Canada va naturellement voir l'impact sur ses projections à long terme lorsqu'il s'agit du montant de dépenses du gouvernement, ça va avoir un impact sur le déficit et que peut-être l'impact légèrement inflationniste. Par ailleurs nous avons vu hier IPC pour le mois de mars qui était un peu inférieur aux prévisions dans cette pandémie journalière ou en fait pendant toute la journée, il y a une lettre montée des obligations Canada tandis que les obligations États-Unis étaient en baisse.
Donc à très court terme, c'est sans doute vers ce quoi la Banque du Canada va se tourner, car le budget n'était pas très différent de la déclaration de l'automne.
La banque va se demander comment extrapoler les données sur l'inflation et surveiller. L'inflation globale de base, ce sont tous les deux établit à 9 % sur 12 mois au mois de mars. Nous sommes à présent deçà de 3 %. De ce point de vue là, c'est conforme au discours que tient la banque quant à l'inflation qui est en baisse progressive. La dynamique de l'inflation a certainement baissé dans la mesure où le mois de juin est certainement une possibilité.
- Tiff Macklem a participé à un panel avec Jerome Powell je crois, Bill Monroe aussi, je regarde du coin de l'œil, et il a pu réagir, ce n'est pas souvent que le gouvernement de la Banque du Canada réagit à la statistique de l'inflation qui par elle-même chocolat budget. Il a semblé satisfait la trajectoire.
- Oui. Il a toutefois émis des réserves, parce qu'il y a encore des données apparaît ici le mois de juin. Il y aura des chiffres sur le reste mois d'avril et le mois de mai. La banque va chercher la régularité de cette tendance.
Et vont vouloir voir si elle est suivie d'ici le mois de juin si l'inflation suit cet homme trajectoire autour de donnés pour cent ça plus conforme à l'idée de réduire les taux pour descendre au moins par rapport au niveau restrictif le plus élevé. C'est un contraste par rapport à la situation à laquelle doit faire face Jerome Powell. Les données sont favorables. Le gouverneur veut voir la dynamique de la tendance.
- Les prix de l'énergie, si on a réduit au cours de base, l'inflation globale, sans l'essentiel Employer une certaine volatilité, c'est pourquoi dans le reposant sur la mesure de base. Et même au niveau global, y compris l'énergie, y compris l'alimentation, nous sommes toujours très légèrement deçà de 3 %. Je pense qu'il y a une augmentation plus récente des prix de l'essence et certains pourraient commencer à se répercuter. Mais sachant qu'il y a encore une certaine volatilité au niveau des cours du pétrole, il y a des inquiétudes Moyen-Orient qui affectent les attentes en matière d'offres à court terme, et en même temps il y a une forte croissance aux États-Unis, la demande énergie est également en augmentation.
Ce roman des produits de base n'a pas été important au point d'affecter les attentes en matière d'inflation. C'est-à-dire dans quelle mesure les consommateurs s'attendent à ce que l'inflation augmente.
C'est ce que la banque doit surveiller pour s'assurer qu'elle doit réduire encore davantage la demande. Pour l'instant elle peut faire abstraction de ces phénomènes.
- Hafiz Noordin répond à vos questions sur les titres en utilisant quelques instants plafonnant les présentes autant@moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés Les actions de United Airlines, nous l'avons vu, sont en hausse nettement en hausse de près de 14 %. Que se passe-t-il?
Le transporteur aérien a annoncé une perte ajustée de 0,15 € par action au dernier trimestre une perte de 15 interactions alors qu'il a subi une perte de 200 millions de dollars en raison de l'immobilisation de sa flotte de Boeing-737 max. Ceci dit il s'agit d'une Per Bank moins importante par rapport à ce qu'attendent les investisseurs. L'action est très nettement en hausse.
Eli Lilly affirme que son médicament pour la perte de poids est également prometteur pour les patients souffrant d'apnée du sommeil. Le fabricant déclare que le traitement aide à réduire la respiration régulière chez les personnes souffrant d'apnée du sommeil instructive dans le cadre de la phase finale. On estime que [---] est touché par l'appel du sommeil.
Il agrémente un peu moins qu'en début de séance que mais toujours en état positif.
Le camion de transfert de données Snowmobile n'existe plus. Le véhicule a dit Giroux d'Amazon conçu pour transporter de grandes quantités de données vers le nuage réglant par la caméra dit Giroux, est en train d'être remplacé par un appareil qui tient dans une valise et pèse 50 livres. Le Snowmobile a été dévoilé il y a huit ans lorsque le camion a été conduit sur la scène de la conférence annuelle d'Amazon sur le nuagique.
Emprunt caméra dit Giroux, et maintenant il suffit d'une valise de 50 livres.
L'action n'a pas beaucoup évolué, mais je pensais que c'était amusant. À présent un coup d'œil sur les marchés, indice TSX composite recule modestement tandis qu'aux États-Unis les marchés cherchent toujours à trouver une direction vers la hausse par l'indice S&P 500 recul de 33. Soit 0,3 %.
Hafiz Noordin répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Que pensez-vous de l'idée de plus en plus répandue selon laquelle la fête pourrait ne pas réduire les taux cette année et pourrait en fait les augmenter?
- C'est le thème de la divergence, c'est sûr.
Nous parlons de données vers l'inflation qui sont en baisse au Canada, aux États-Unis c'est le contraire de la sentence de manière surprenante par début la fête parlait de facteurs saisonniers et provisoires, mais les derniers chiffre de l'IPC pour le mois de mars par la semaine dernière étaient très nettement en hausse.
Dans cela engendre un report des attentes en matière de coupure de taux. Le mois de juin était devenu le cas de base. Cela est à présent reporté peut-être à une période ultérieure dans l'année. Il y a donc la possibilité, en fait il est raisonnable de s'attendre à ce que la persistance de l'inflation pourrait s'étendre jusqu'à la fin de l'année.
C'est une réalité pour l'économie américaine, à cause du fait que la sensibilité de l'économie au taux d'intérêt diminué. Les entreprises se sont désendettées, les prêts hypothécaires ont une durée de 30 ans, l'économie américaine n'est pas frappée dans la même mesure que d'autres économies comme l'économie canadienne lorsqu'il s'agit des coûts d'emprunt. Il faut surveiller cela. Nous avons l'élection qui s'en vient et qui pourrait également engendrer quelque volatilité en ce qui concerne les résultats budgétaires qui pourraient s'ensuivre. Si en définitive la croissance de me reprendre elle en est, que l'inflation est persistante, alors oui, nous pouvons nous attendre à ce que les attentes en matière de taux soient différées. Mais ça ne signifie pas qu'il n'y en a pas dans d'autres pays.
Simplement qu'à titre d'investisseurs à revenu fixe, vous devez savoir à quel marché il y a le plus de bon sens de vous exposer au niveau des rendements.
- Cette tribune que nous avons mentionné Total avec Jerome Powell, il y avait Tiff Macklem, il y avait Bill Monroe, ancien ministre des finances qui évoquaient la divergence entre le Canada et les États-Unis. Je surveillais la télé d'un du coin de l'œil et par ailleurs le budget, et Jerome Powell a déclaré : nous ne voyons pas la trajectoire de l'inflation que nous cherchons. Tiff Macklem a dit le contraire, cette divergence est étalée au grand jour. Oui, normalement inflation est vue de manière semblable dans les deux pays. Mais je parlais des différences en matière de politique relative au prêt hypothécaire. C'est à des moments comme celui-ci que l'on peut constater des différences dans les trajectoires de la politique monétaire. En définitive, Jerome Powell a enfin reconnu comme d'autres intervenants de la fête qu'il faut faire preuve de patience.
Pas toujours dans la mesure où y aurait une reprise de l'inflation, donc le scénario de base pourrait être qu'il faut simplement maintenir les taux au niveau actuel de 5 % pendant quelque temps, c'est-à-dire qu'il faut faire preuve d'une plus grande patience en attendant que les rendements obligataires diminués de façon durable. Suite les Américains ont des résultats économiques tellement exceptionnels avec une inflation aussi élevée, quel est le nouveau taux neutre?
Est-ce qu'on pourrait soutenir qu'avec des toits et voilà l'économie pourrait donner d'aussi bons résultats, et c'est peut-être là où elle devrait se situer.
- C'est certainement là où se situe la discussion en ce moment. La Fed avait toujours envisagé un tonneau de deux ou 2,5 %. Je crois que ça n'est plus aussi évident.
La courbe du rendement envisage un taux neutre qui se situe plutôt autour de trois, ou 3,5 %. Dans la mesure où ceux-ci persistent que les ventes au détail se portent très bien, on l'a vu il y a un ou deux jours avec le marché du travail se porte très bien. Le taux neutre va progressivement augmenter. Ce que ça signifie, c'est que même si un jour nous voyons une baisse des rendements des obligations à 10 ans, ça signifie que le point final de la baisse des rendements obligataires n'est pas ce qu'il est avant la pandémie. À très long terme, même si cela se produit, si on n'a pas d'importants gains en capital à cause de la baisse des rendements, on aura toujours d'importants revenus à long terme. Donc cela crée un environnement ou à long terme les niveaux de revenus pourraient être supérieurs pour les investisseurs étaient à revenu fixe qui ne l'est avant la pandémie.
- Une autre question. En fait une bonne occasion lorsqu'il s'agit de divergence, ou de perspectives pour le buvard.
- Le tueur canadien, par rapport au dollar américain, il y a essentiellement trois éléments qui influencent la valorisation du dollar canadien. Le différentiel du taux d'intérêt, c'est-à-dire dans quelle mesure les rendements aux États-Unis sont élevés par rapport rendements canadien sont extrémité à court termes de la courbe ce qui reflète ce que font la fête de la Banque du Canada, ensuite les cours du pétrole, et troisièmement l'attitude à l'égard du risque boursier. Parce que les actions se portent bien avec le dollar canadien tendance à bien se porter. Le dollar canadien est une devise à risque.
Mais c'est ce premier facteur, facteur de différentiel des taux d'intérêt qui domine. Même si le cours du pétrole étend aussi que les actions sont en hausse à ce jour, en cumul annuel le dollar canadien tout en baisse de quelque 2 % par rapport au dollar américain on en revient au thème de la divergence. Le fait que les coppeur de taux par la fête sont différés dans les attentes du marché alors qu'au Canada en prévoient toujours des coupures éventuellement mois de juin, quand on considère le rendement des obligations à 10 ans, la différence entre les États-Unis et le Canada est de 90 points de base, c'est-à-dire presque 1 % de plus au niveau des rendements États-Unis et lorsque cela se produit, les capitaux ont tendance à affluer vers les pays à rendements plus élevés ce qui fait remonter le dollar américain non seulement par rapport au dollar canadien mais aussi par rapport à la plupart des autres monnaies. Suite donc la solidité du dollar américain, il y a des périodes où celui-ci se porte extrêmement bien, on a pensé que c'était peut-être fini, mais il s'agit d'une monnaie extrêmement forte. La géopolitique joue un rôle?
- Oui dans une certaine mesure, cela se produit. Je crois que les marchés éprouvent de la difficulté à trouver un refuge dans un environnement où l'inflation demeure opiniâtrement élever.
Les obligations pas remontaient comme l'ont fait vendredis, en ce qui concerne les inquiétudes relatives aux événements géopolitiques, mais de façon générale, puisque les déficits sont toujours élevés aux États-Unis et que l'inflation est toujours élevée avec les obligations ne sont plus le refuge qu'elles étaient.
Donc le dollar américain est une monnaie refuge, en plus de l'or, une manière de se couvrir contre des résultats négatifs sur le marché boursier.
- En parle cette divergence. Une période très érudite et peut-être vous, en dit que même si les banques centrales peuvent diverger au début, historiquement parlant, elles arrivent en même temps définitive.
- Oui. Et c'est en fait un phénomène d'amortissement, en ce sens que si un pays réduire les taux considérablement à notre pays non, leur monnaie va perdre de la valeur, mais le Picardy le taux a commencé à importer l'inflation puisque les produits de notre pays ressent plus coûteux et entraînement une remontée de l'inflation. Donc ce facteur d'équilibre existe puisque les marchés des capitaux sont ouverts et que les monnaies sont flottants. À long terme, cela aide, mais cela ne signifie pas que cela se maintient toujours à court terme. Ces divergences peuvent causer, engendrer des possibilités pour les investisseurs surtout marchés où l'on peut investir dans un marché sur les devises. Suite fait vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Hafiz Noordin répond à d'autres questions sur les titres à revenu fixe dans quelques instants. Vous pouvez les poser en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com. À présent qu'en suivant la découverte de CourtierWeb et la plate-forme avancée.
Aujourd'hui nous allons voir comment passer un ordre sur la plate-forme avancée de TD. À la salle des formateur principal - Bonjour Ryan. Voyons comment passer un an sympa ton avancée.
- Ça fait toujours, plaisir, Greg, de passer à votre mission pas sur la plate-forme avancée, il s'agit de permettre à l'investisseur de passer un ordre aussi simple que possible. Voyons comment faire. Alors sur la plate-forme avancée, une des façons de procéder, si vous avez votre liste de veille, vous pouvez cliquer sur le symbole et un ordre pré-remplies s'affiche il y a le symbole, voué bien sûr cliquait sur le bouton achat ou vente ou encore sur les trois. Sur la gauche. Vous pouvez alors ouvrir l'ordre.
Mais je voudrais explorer l'ordre profits et pertes. Tout de suite, si vous cliquez sur cette petite boîte, vous allez pouvoir rajouter ce que l'on appelle une marge de profit ou une marge de perte. Alors si vous cliquez sur profit, dès que vous achetez l'action, il s'agit de l'action de la tédé, dès que vous l'achetez, il y a une flèche qui la pointe, je voudrais que vous passiez immédiatement un ordre de vente pour accord limite particulier, pouvez saisir immédiatement. Vous pouvez également joindre un ordre stop. Ou bien la vente sera effectuée un taux plus élevé, ou bien il y aura un ordre stop un corps moins élevé. Vous pouvez fixer ça dès le début. Vous pouvez fixer l'un ou l'autre les deux en même temps et cela vous permet de mieux planifier vos opérations de manière plus efficace. C'est une manière beaucoup plus facile d'avoir de nombreux ordres en cours en même temps.
- Est-ce que c'est ce qu'on appelle désordres par défaut?
- Oui, on peut en fait régler ses ordres par défaut. Voici comment faire. Sur la plate-forme avancée.
Donc lorsque vous voyez ces rouages, il y en a un jusqu'ici, si je clique sur le rouage, ça va me donner les ordres par défaut. Outre le fait de saisir la quantité par défaut, la tranche par défaut, vous allez pouvoir saisir donc ajouter désordres de profits et désordres stop. C'est-à-dire que chaque fois que vous cliquez sur un ordre, à passer, souhaiterait spécifiquement spécifique à l'ordre s'affiche. Une fois que c'est sauvegardé, par exemple si je devais utiliser cet ordre ou encore cette liste de veille et cliquez sur un ordre, mais tant que je clique sur l'ordre vendeur, le formulaire d'ordre s'affiche automatiquement et présente les éléments par défaut que vous aurez fixé. Il vous suffira de saisir la quantité. Dans ses ordres par défaut représente une manière très facile d'accroître l'efficacité de vos ordres, de les personnaliser de passer beaucoup moins de temps à cliquer et à cocher des cases.
- Un outil extrêmement puissant, Ryan, merci pour cette démonstration.
- Je vous en prie, Y.
- Ryan Massad et formateur principal à Placements directs TD.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb, pouvez utiliser ce code qui s'affiche à l'écran, qui vous mène directement à la page type de Placements directs TD vous pourrez trouver des vidéos.
Avant de répondre à d'autres questions, je vous rappelle comment vous pouvez nous les poser. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous les poser en tout temps soit par courriel à moneytalklive@td.com, soit un dans la boîte de questions bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Hafiz Noordin répond à vos questions sur les titres à revenu fixe. Nous avons brièvement évoqué l'élection américaine à l'automne. Comment prévoyez-vous qu'elle affectera les marchés obligataires?
- En général, les élections américaines sont toujours un événement d'importance, mais dans la pratique, sur le plan historique, ce n'est pas scientifique, mais en général, il n'y a pas beaucoup de volatilité jusqu'à trois à quatre mois avant l'élection. L'élection a lieu au mois de novembre, c'est alité que l'on pourrait s'attendre à ce que l'actualité affecte les marchés davantage. Ça, c'est un point de vue. Mais je crois qu'il y a un autre point de vue qui porte sur les perspectives du déficit américain.
C'est une situation sans précédent.
L'économie américaine est en plein essor mais le déficit s'établit toujours à 6 % du PIB et n'est pas redescendu à un niveau que l'on pourrait qualifier de prudent quand on considère ce qui se passe avant la pandémie. Je crois que c'est là la préoccupation. À très court terme, il faut toujours nous demander quelle politique pourrait être adopté par bail donne automnal 30. À l'heure actuelle, beaucoup d'investisseurs s'attendent à ce que quel que soit le locataire de la Maison-Blanche, il n'y aura toujours pas beaucoup de considération du budget.
Quel que soit le président, il va toujours dépenser la nature des dépenses changera peut-être, mais les déficits seront persistants. C'est ce qui préoccupe les marchés obligataires américains où les rendements demeurent élever. C'est un élément. Alors actuel, cette relaxation qui domine les préoccupations, mais nous savons que le discours peut changer considérablement. Les inquiétudes quant à la quantité d'emprunt et le déficit et se savons pas certainement persister.
- C'est une bonne transition à une question qu'on oppose à nos spectateurs.
Le FMI émet un avertissement sur la dette américaine. Je ne sais pas si vous avez lu cet article.
- Oui, c'est l'époque de l'année où le FMI publie des rapports et des recommandations sur la manière de rendre la trajectoire de la dette plus durable. Je crois qu'à l'époque n'est plus à la publication d'un chiffre exact en disant au-delà de 90 % par exemple du PIB, c'est un niveau d'urgence a été évoqué pendant la crise financière, aujourd'hui il y a tellement de pays qui sont au-delà de 90 % de rapport de la dette au PIB y comprit les États-Unis, ce n'est plus tellement dans une approche basée sur une formule, mais il s'agit de s'assurer surtout à présent que les taux d'intérêt demeurent élever que le gouvernement américain ne parvient pas à un niveau qui serait intolérable au niveau de ses besoins de l'emprunt. Pour l'instant, ce qui aide les États-Unis, cela va certainement être très favorable dans longtemps, c'est que le dollar américain la monnaie de réserve du monde.
Il y a un certain montant structurel d'argentier placé en dollars américains dans le monde parce que c'est le marché obligataire le plus étendu. Il y aura donc toujours une capacité structurelle de financer le gouvernement américain. Mais il y aura une érosion fil du temps. Les banques centrales diversifient leurs réserves en achetant de l'or et des monnaies autres que le dollar américain.
Donc c'est une situation qui évolue lentement, mais à court terme il n'y aura pas un choc massif au niveau du marché obligataire américain à cause des préoccupations relatives à la dette, mais cela contribue nettement la détérioration de la confiance à l'égard du dollar américain. Suite il y a longtemps que la livre sterling et la monnaie de réserve du monde, mais c'était le cas.
Il y a peut-être deux ans, les justiciers du marché obligataire apprécié par les projets de gouvernement. Ça été reflété sur le marché obligataire. Georges trajectoire. Y a-t-il une chance que les justiciers du marché obligataire refassent leur apparition?
- Oui je pense que c'est possible.
Pas par des évolutions de sang points de base dans le rendement des obligations à 30 ans comme on l'a vu au Royaume-Uni. À l'heure actuelle une économie plus petite comme celle du Royaume-Uni représente 5 % environ du PIB mondial, les États-Unis sont beaucoup plus importants, 30 à 40 %.
Les capitaux qui quitteraient le marché américain n'auraient aucun autre exutoire, mais il y aurait d'autres épisodes semblables à ce qu'il y a eu pendant l'automne elle était en dernier ou les annonces trimestrielles de refinancement montraient une hausse des besoins d'emprunt en obligations à 10 ans et 30 ans alors qu'en novembre, alors que le trésor annonçait dans son annonce financement trimestrielle qu'il y aurait moins de besoin emprunt d'obligations, cela jouait le rôle de soupape à l'approche de 2024 au mois de novembre.
Donc la prochaine annonce trimestrielle sur le financement intervient à la fin du mois d'avril. Elle sera surveillée de près. C'est un processus constant qui consiste à voir comment les enchères des obligations américaines se portent, quels sont les statistiques, y a-t-il un recul de la part des investisseurs américains.
- En a parlé du budget canadien au début des missions, du déficit fédéral, il y a une question j'ai oublié de vous poser.
Dans voilà situation fédérale. Si on ajoute les provinces que les budgets provinciaux, à quoi ressemble la situation au total?
- Oui c'est une excellente observation. En effet, c'est facile de taper sur les États-Unis en disant que le rapport de la dette au PIB au niveau fédéral est bien supérieur à 100. Mais au Canada, la dette niveau fédérale est relativement faible, environ 40 % du rapport de la dette au PIB est également un montant énorme au niveau provincial. Quand on additionne tout, état général du gouvernement se situe au niveau de 200 %. Donc ce n'est guère mieux. Mais c'est là où il y a cette inquiétude. Quant à la rosière. Il y a des déficits persistants et il y a peut-être un ou 1,5 %. Le fait que cela persiste même lorsque la croissance est favorable, ce n'est pas prometteur. Ceci suppose également qu'il y a des attentes de croissance chaque année qui sont intégrés dans la formule. Est-ce que cela va se concrétiser que personne ne sait pas et voudrait bien avoir un processus de gestion du risque avec une actualisation de la dette et une tentative d'équilibrer le budget plutôt afin de donner une marge de dépenser pendant la récession lorsque c'est nécessaire. Voilà la préoccupation.
- Une autre question. Que pensez-vous du Japon?
Dans le contexte des titres à revenu fixe.
- Est bien calculé niveau d'endettement au Japon, c'est toujours intéressant niveau des titres à revenu fixe parce que les niveaux d'endettement sont gigantesques.
250 %. Mais on sait aujourd'hui que quelque chose allait sauter. Mais ce n'est pas le cas parce que la plus grande partie de la dette est devenue à l'interne. Le Japon ne compte pas beaucoup sur les capitaux étrangers. Donc la plus grande question qui se pose niveau déjà pour la suivante. C'est vraiment la devise. Les actions ont beaucoup progressé. Cela est en partie attribuable au fait que la monnaie est demeurée faible ce qui favorise les exportations, même mal atteint les entreprises se portent bien.
En tant qu'investisseur était à revenu fixe Japon, vous avez des rendements très faibles qui étaient négatifs il y a encore peu de temps. Ce n'est pas un bon moment de se lancer au Japon au niveau du rendement. Il est préférable de rester chez vous pour obtenir les rendements. Il faut avoir une thèse au niveau de l'évolution de la monnaie. Il se pourrait que la monnaie remonte à partir de niveau très faible et anormalement faible. Le défi, ce qu'il faut avoir une thèse au sujet de la monnaie, il faut avoir une thèse sur les mesures que prendra le ministère des finances pour intervenir sur les marchés des devises pour soutenir la monnaie et c'est bien difficile d'anticiper. Une fois que cela se produit, et marchant déjà tellement évoluer. Voilà la mise en garde que j'émettrais à l'égard des actifs japonais non gouvernés avec une couverture en couvrant le taux de change en dollars canadiens il y a des opportunités.
- Hafiz Noordin répond à Docteur Christian sur la cithare unifie dans quelques instants prophètes en vos propres recherches avant de prendre une décision de placement je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les marchés, ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser.
Soit par courriel@moneytalklive@td.com soit dans la boîte de questions bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Chaque mois, Placements directs TD publie un indice de la confiance des investisseurs. Anthony Okolie commente.
- L'indice de placement tédé pour le mois de mars apparu par les investisseurs autonomes continus lettre optimistes.
Voici les détails. Commençons par l'indice global de placements directs tédé qui mesure la confiance sur une échelle de moins sans vague la plus pessimiste à puissant le plus optimiste. La tendance est à B A+ 17,1 gain de huit. Sur le mois dernier, c'est le cinquième mois consécutif d'optimisme. Le dernier trimestre, l'économie résiliant et excellent bénéfice d'entreprise, et l'enthousiasme à l'égard de la révolution de l'intelligence artificielle les optimistes à l'égard de la coupe de taux ont permis de monter en flèche.
Les chiffres du mois de mars ont permis de contribuer à ce que l'indice S&P 500 obtient son meilleur résultat depuis 2019.
Quand encore par la confiance de l'an dernier, un gain considérable, la confiance était à -20.
Les éléments qui constituent l'indice de Placements directs TD, il y en a un qui explique pourquoi la confiance augmente au mois de mars. L'indice qui mesure combien d'investisseurs ont acheté des actions sur le marché en haut soient en baisse à flamber de neuf. D'un mois sur lot A+ 12 indiquant un plus grand nombre d'investisseurs ont acheté alors que le cours des actions a augmenté. Quelques éléments clés qui ressortent par la technologie demeurent le secteur le plus activement négocié mois de mars, grimpant de : sur un mois A+ Karsenti que les communications se passant dans leur place après avoir chuté à moi… tous les groupes d'âges sont enthousiastes à l'égard des marches mois de mars pour la génération du baby-boom né entre 46 64 affiches le plus grand bond de la confiance. Il n'est pas étonnant que NVIDIA soit l'un des titres les plus activement négociés dans le secteur détaillé alimenté par la croissance explosive bénéficieraient de sa puce qui se place en tête des marchés.
Superman computer et AMD sont parmi les autres titres du secteur activement négocié. Les inquiétudes à l'égard de la dette, la concurrencer en obligataire des secteurs comme les télécommunications, l'immobilier service public ont baissé. PC avaient élu sont pas mes actions les plus vendus avec alphabet le géant de la technologie. La société mère est l'une des 7 magnifiques auxquels s'ajoute appelée Tesla dans les rendements en trébuchait récemment.
La confiance pour la génération du baby-boom a bondi de huit poêles à bois sur le Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés, mois de mars. Tous les groupes d'âges sont à présent optimiste à l'égard des marchés.
Pour tous les groupes d'âges des actions très achetées comprenaient NVIDIA, Tesla, AMD, supermarket micro computer et baissé avec le géant canadien des télécommunications dans le rendement dividendes c'est-à-dire presque 9 %. Voilà pour l'indice de Placements directs TD pour le mois de mars 2024.
- Merci, Anthony Okolie. À présent un coup d'œil sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs et proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet d'officialiser l'évolution du marché. Voici Distel 60 % du corps et du volume.
Le cours du pétrole et du bruit continu de reculer pendant la séance, ce qui affecte les actions reliées à ces produits de base et avec la quotité du secteur énergétique progressé ce matin contribuant à la hausse de l'indice TSX mais presque tous sont en territoire négatif. Senghor est en recul de 125 % avec le Cenovus Energy est essentiellement inchangé. Le cours de l'or a continué de reculer pendant la séance, une certaine faiblesse dans le secteur minier. Bien encore quelques-uns qui sont en hausse. Kinross Gold était en hausse de 34 % début de séance matin et se maintient à peine 1 % hausse. Aux États-Unis, l'indice S&P100 montre un marché qui semble chercher une tendance. Ce matin les contrats internes étaient en modeste hausse. Alors actuel indice S&P 500 est en baisse de 0,6 %.
J'étends un coup d'œil sur l'indice S&P 500 constitué des titres les plus importants, les fabricants qui sont en recul, NVIDIA enrobe de presque 3 %, AMD de 4 %. La situation est meilleure dans le secteur financier.
Hafiz Noordin de gestion de placement tédé répond à vos questions sur les titres à revenu fixe. Quels sont vos perspectives pour les obligations à rendement élevé?
- Les obligations d'entreprise en générale donne de bons résultats et dans un environnement où la croissance aux États-Unis mais encore dans le monde entier donne de bons résultats, les obligations d'entreprise offrent un rendement supplémentaire par rapport aux obligations d'État. Une certaine volatilité mais en général cette relation peut demeurer stable et vous pouvez acquérir le rendement supplémentaire au fil du temps. Pour les obligations rendement élevées, elle se situe plus en deçà sur la gamme des notes de crédit à triple B au plus bas les obligations à rendement élevé sont corrélées à 60 % avec les actions. À long terme. Cependant bien réussi cette année mais quand on considère les valorisations cet écart supplémentaire pour les obligations rendement élevées d'environ 350 points de base, c'est plutôt vers le bas de la gamme historique. La moyenne est plutôt autour de 400 ou 450 points de base. Donc de ce point de vue, les valorisations représentent un facteur plutôt négatif. Mais même si la croissance demeure bonne, une modeste allocation un portefeuille diversifié de titres rendement élevés à justifier pour doper le rendement mais il est important de s'assurer qu'il y ait beaucoup de marge pour ajouter de la location lorsqu'elle est meilleure marchée. Alors actuel les actions vacillaient un peu et les obligations rendement élevées affichent le même phénomène récemment. Il y a des inquiétudes persistantes quant au report éventuel des coppeur de taux de la fête.
Il y a une montée des tensions au Moyen-Orient. On peut certainement envisager la possibilité d'un écart plus important. Il y aura sans doute meilleur point d'entrée pour ajouter considérablement un portefeuille d'obligations rendement élevées mais globalement c'est une catégorie d'actifs qui représentent une part bien utile portefeuille.
- Une autre question sur les marchés émergents. Vous paraît-il intéressant?
- Oui les marchés émergents générale donnent de bons résultats quand les actions se portent bien, coller en obligataire sont stables ou en baisse et quand le dollar américain est également stable ou en baisse. Or aucun de ces facteurs n'est présent alors actuel. Il est difficile de préconiser de se lancer sur les marchés émergents. Il y a eu d'ailleurs une soue performance récemment.
Les actions ont perdu tout le terrain acquis au début de l'année dans les titres à revenu fixe et les devis ce que les rendements sont plutôt décevants. Les gars enregistraient jusqu'ici cette année sont essentiellement annulés. Il faut faire preuve de prudence, même quand on considère les marchés émergents plus fort, qui sont les coqueluches de ces secteurs, le Mexique et notamment qui est très populaire avec le Brésil qui a obtenu de bons résultats, l'Indonésie, tous ces marchés sont sous pression récemment, en devisant beaucoup baisser. Par conséquence quand on commence à voir quand même les titres de grande qualité donne de bons de résultats décevants il faut faire preuve de prudence. Au niveau des titres Harris, il serait prudent de se fier plutôt à des obligations de société qui sont en dollars américains. Dollar canadien encore en Europe, et de faire preuve d'une plus grande agilité tactique. Le Mexique se porte encore bien à cause de ses liens étroits avec l'économie américaine. Le Mexique bénéficiera de la reprise de la consommation aux États-Unis. Mais il faut toujours se rappeler la volatilité de la monnaie qui peut vraiment diminuer les rendements.
- Nous n'avons plus le temps de poser d'autres questions mais j'aimerais revenir au début de notre discussion.
Au niveau du budget fédéral.
- Encore une fois ça n'a pas fait de vagues sur les marchés financiers mais à court terme il faut surveiller d'abord la persistance des déficits et la conséquence de ce phénomène sur la capacité budgétaire pendant la prochaine récession.
Idéalement, il faudrait que nous dégageons davantage de place pour que le gouvernement puisse dépenser et puis nous avons eu un budget équilibré, mais les mesures sur les gains en capital, nous nous y attendions pas mais au niveau de la productivité ça pourrait commencer à donner des résultats par exemple joue un rôle incitatif pour les placements par effort à surveiller sa quant aux perspectives de croissance.
- Hafiz Noordin, merci pour cet entretien Château prochain.
- Aussi.
- Hafiz Noordin de gestion de placement TD.
Faites vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement et restez à l'écoute. Demain.
Julien Palardy de gestion de placement TD spécialisé en investissement quantitatif va répondre à vos questions sur l'investissement quantitatif. Puis nous les poser entre-temps par courriel à moneytalklive@td.com.
Merci et à demain.
Aujourd'hui, nous réagissons au dernier budget fédéral à ce qu'il pourrait signifier par la Banque du Canada tandis qu'elle établit sa politique monétaire avec Hafiz Noordin de gestion de placements TD. Anthony Okolie examine l'état de la confiance des investisseurs avec les résultats du dernier indice Placements directs TD. Nous poursuivons la découverte de la plate-forme avancée. Ryan Massad nous montre comment passer un ordre. Posez-nous vos questions par courriel@moneytalklive@td.com dans la boîte de questions bas de votre écran.
Mais tout d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
La remontée du pétrole marque une pause ainsi que celle de l'or. 18. Deux rose pour l'indice TSX composite soient 0,1 %.
Même si le cours de l'or du pétrole marque une pause, je remarque un certain mouvement dans les chantiers de l'énergie et minier, Baytex Energy maintient ses gains du début de la séance. Ah non, cinq dollars, cinq l'action, elle ne progresse plus. Kinross progressait ce matin, Valenciennes a progressé Séguin, celle-ci progresse de presque 2 %.
Aux États-Unis, les marchés cherchent l'orientation. Lorsque j'étais en train ce matin, le marché était légèrement positif avec de bonnes annonces de bénéfices, puis le cours s'est effrité pendant la séance.
Rien de grave, en recul de 16 ; 63 % pour Ladislas de certains des fabricants de semi-conducteurs sont en baisse aujourd'hui. L'indice baisse de cinq points, soit 0,6 %. United Airlines était nettement en hausse après ces derniers rapports trimestriels. Nous y reviendrons tout à l'heure. L'action bondit de 14,2 %.
Le budget fédéral prévoit plus de 500 milliards de dollars de nouvelles dépenses au cours des cinq prochaines années.
Qu'est-ce que ça pourrait signifier par la Banque du Canada qui tente de ramener l'inflation à 2 %? Hafiz Noordin de gestion de placements TD se joint à nous pour en discuter. Bonjour, à fils.
- Bonjour, Greg.
- Nous avons eu un peu de temps pour assimiler le budget. 50 milliards de dollars de nouvelles dépenses annoncées dans ce document, d'ici cinq ans. Le gouvernement fédéral avait annoncé un budget déflationniste à fin de ne pas agir à contre-courant de la Banque du Canada.
- Il y a certainement une grave aggravation dans le déficit d'ici quelques années. Cela en soi n'est pas résultat très favorable. Mais quand on n'y songe, il y a eu une hausse des recettes fiscales compensées par les dépenses.
Au T que l'objet n'a pas vraiment fait trop de vagues sur les marchés financiers.
Les rendements obligataires n'ont pas beaucoup évolué. Au niveau des recettes, annonce surprise quant au taux d'inclusion des gains en capital pour les sociétés et les particuliers aisés, mais inversement il y a eu davantage de dépenses surtout en ce qui concerne le logement et dans d'autres domaines comme la défense et les soins de santé. Les nouvelles mesures de relance, on peut envisager les chiffres sous plusieurs ans, mais 35 milliards de dollars, ce sont les nouvelles mesures de relance lettre par rapport à ce qui avait été intégré après l'annonce du mois de novembre. Ces 35 milliards d'ici cinq ans.
Quand en répartissant pourcentage du PIB, ce n'est pas une augmentation énorme.
Mais la principale conclusion —, c'est que les déficits persisteront. Il n'y a pas vraiment de trajectoire par un budget équilibré de sitôt. C'est là où il faut faire preuve de prudence.
- Parlons-en. Comme vous l'avez dit le déficit est persistant. Il n'y a pas de trajectoire vers le retour à l'équilibre.
Ça va alourdir la dette et bien entendue le gouvernement est un important émetteur de dette. Comment ça se passera-t-il?
- Oui.
Le budget comporte notamment une stratégie de gestion de la dette. Comment le gouvernement va-t-il financer les tout cela. Les chiffres globaux relatifs à cet objectif représentent environ 500 milliards de dollars, ce c'est énorme il faut toujours tenir compte de la dette qui est renouvelée, c'est-à-dire les titres de créance qui arrive à échéance. Quand on soustraie les dates qui arrivent à échéance, ça fait 85 milliards de nouvelles émissions. Par ailleurs, il faut se demander dans quelle mesure les émissions prendront la forme de bons du trésor, soit de moins d'un an par rapport aux obligations qui sont à 2,5, 10 ou 30 ans. Si vous commencez à avoir trois émissions d'obligations ça peut commencer à exercer une pression là au sol rendements obligataire car les marchés exigeant une concession. Mais c'est plutôt le résultat opposé par le nombre d'émissions émit cette année s'établit à 230 milliards. Les analystes en général s'attendaient à 240 à 250° donc c'est un peu moins que prévu. De ce point de vue, la stratégie d'émission dans le cadre de la gestion des déficits est relativement bénigne, donc il n'y aura pas encore une fois trop de vagues.
- La dernière fois que Tiff Macklem s'est exprimé, c'était il y a quelques jours mais il sent que c'était il y a longtemps, il déclarait que la banque maintenait sa position. Est-ce que moi tu représentes une possibilité, il a répondu que c'était impossible. Les marchés envisagent mois de juillet. Dans un entretien j'ai eu avec vous, je précisais que la Banque du Canada les prend connaissance du budget fédéral.
Maintenant, c'est fait. D'après vous est-ce que ça va changer la vision du monde qu'à la Banque du Canada?
- Je crois que la Banque du Canada va naturellement voir l'impact sur ses projections à long terme lorsqu'il s'agit du montant de dépenses du gouvernement, ça va avoir un impact sur le déficit et que peut-être l'impact légèrement inflationniste. Par ailleurs nous avons vu hier IPC pour le mois de mars qui était un peu inférieur aux prévisions dans cette pandémie journalière ou en fait pendant toute la journée, il y a une lettre montée des obligations Canada tandis que les obligations États-Unis étaient en baisse.
Donc à très court terme, c'est sans doute vers ce quoi la Banque du Canada va se tourner, car le budget n'était pas très différent de la déclaration de l'automne.
La banque va se demander comment extrapoler les données sur l'inflation et surveiller. L'inflation globale de base, ce sont tous les deux établit à 9 % sur 12 mois au mois de mars. Nous sommes à présent deçà de 3 %. De ce point de vue là, c'est conforme au discours que tient la banque quant à l'inflation qui est en baisse progressive. La dynamique de l'inflation a certainement baissé dans la mesure où le mois de juin est certainement une possibilité.
- Tiff Macklem a participé à un panel avec Jerome Powell je crois, Bill Monroe aussi, je regarde du coin de l'œil, et il a pu réagir, ce n'est pas souvent que le gouvernement de la Banque du Canada réagit à la statistique de l'inflation qui par elle-même chocolat budget. Il a semblé satisfait la trajectoire.
- Oui. Il a toutefois émis des réserves, parce qu'il y a encore des données apparaît ici le mois de juin. Il y aura des chiffres sur le reste mois d'avril et le mois de mai. La banque va chercher la régularité de cette tendance.
Et vont vouloir voir si elle est suivie d'ici le mois de juin si l'inflation suit cet homme trajectoire autour de donnés pour cent ça plus conforme à l'idée de réduire les taux pour descendre au moins par rapport au niveau restrictif le plus élevé. C'est un contraste par rapport à la situation à laquelle doit faire face Jerome Powell. Les données sont favorables. Le gouverneur veut voir la dynamique de la tendance.
- Les prix de l'énergie, si on a réduit au cours de base, l'inflation globale, sans l'essentiel Employer une certaine volatilité, c'est pourquoi dans le reposant sur la mesure de base. Et même au niveau global, y compris l'énergie, y compris l'alimentation, nous sommes toujours très légèrement deçà de 3 %. Je pense qu'il y a une augmentation plus récente des prix de l'essence et certains pourraient commencer à se répercuter. Mais sachant qu'il y a encore une certaine volatilité au niveau des cours du pétrole, il y a des inquiétudes Moyen-Orient qui affectent les attentes en matière d'offres à court terme, et en même temps il y a une forte croissance aux États-Unis, la demande énergie est également en augmentation.
Ce roman des produits de base n'a pas été important au point d'affecter les attentes en matière d'inflation. C'est-à-dire dans quelle mesure les consommateurs s'attendent à ce que l'inflation augmente.
C'est ce que la banque doit surveiller pour s'assurer qu'elle doit réduire encore davantage la demande. Pour l'instant elle peut faire abstraction de ces phénomènes.
- Hafiz Noordin répond à vos questions sur les titres en utilisant quelques instants plafonnant les présentes autant@moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés Les actions de United Airlines, nous l'avons vu, sont en hausse nettement en hausse de près de 14 %. Que se passe-t-il?
Le transporteur aérien a annoncé une perte ajustée de 0,15 € par action au dernier trimestre une perte de 15 interactions alors qu'il a subi une perte de 200 millions de dollars en raison de l'immobilisation de sa flotte de Boeing-737 max. Ceci dit il s'agit d'une Per Bank moins importante par rapport à ce qu'attendent les investisseurs. L'action est très nettement en hausse.
Eli Lilly affirme que son médicament pour la perte de poids est également prometteur pour les patients souffrant d'apnée du sommeil. Le fabricant déclare que le traitement aide à réduire la respiration régulière chez les personnes souffrant d'apnée du sommeil instructive dans le cadre de la phase finale. On estime que [---] est touché par l'appel du sommeil.
Il agrémente un peu moins qu'en début de séance que mais toujours en état positif.
Le camion de transfert de données Snowmobile n'existe plus. Le véhicule a dit Giroux d'Amazon conçu pour transporter de grandes quantités de données vers le nuage réglant par la caméra dit Giroux, est en train d'être remplacé par un appareil qui tient dans une valise et pèse 50 livres. Le Snowmobile a été dévoilé il y a huit ans lorsque le camion a été conduit sur la scène de la conférence annuelle d'Amazon sur le nuagique.
Emprunt caméra dit Giroux, et maintenant il suffit d'une valise de 50 livres.
L'action n'a pas beaucoup évolué, mais je pensais que c'était amusant. À présent un coup d'œil sur les marchés, indice TSX composite recule modestement tandis qu'aux États-Unis les marchés cherchent toujours à trouver une direction vers la hausse par l'indice S&P 500 recul de 33. Soit 0,3 %.
Hafiz Noordin répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Que pensez-vous de l'idée de plus en plus répandue selon laquelle la fête pourrait ne pas réduire les taux cette année et pourrait en fait les augmenter?
- C'est le thème de la divergence, c'est sûr.
Nous parlons de données vers l'inflation qui sont en baisse au Canada, aux États-Unis c'est le contraire de la sentence de manière surprenante par début la fête parlait de facteurs saisonniers et provisoires, mais les derniers chiffre de l'IPC pour le mois de mars par la semaine dernière étaient très nettement en hausse.
Dans cela engendre un report des attentes en matière de coupure de taux. Le mois de juin était devenu le cas de base. Cela est à présent reporté peut-être à une période ultérieure dans l'année. Il y a donc la possibilité, en fait il est raisonnable de s'attendre à ce que la persistance de l'inflation pourrait s'étendre jusqu'à la fin de l'année.
C'est une réalité pour l'économie américaine, à cause du fait que la sensibilité de l'économie au taux d'intérêt diminué. Les entreprises se sont désendettées, les prêts hypothécaires ont une durée de 30 ans, l'économie américaine n'est pas frappée dans la même mesure que d'autres économies comme l'économie canadienne lorsqu'il s'agit des coûts d'emprunt. Il faut surveiller cela. Nous avons l'élection qui s'en vient et qui pourrait également engendrer quelque volatilité en ce qui concerne les résultats budgétaires qui pourraient s'ensuivre. Si en définitive la croissance de me reprendre elle en est, que l'inflation est persistante, alors oui, nous pouvons nous attendre à ce que les attentes en matière de taux soient différées. Mais ça ne signifie pas qu'il n'y en a pas dans d'autres pays.
Simplement qu'à titre d'investisseurs à revenu fixe, vous devez savoir à quel marché il y a le plus de bon sens de vous exposer au niveau des rendements.
- Cette tribune que nous avons mentionné Total avec Jerome Powell, il y avait Tiff Macklem, il y avait Bill Monroe, ancien ministre des finances qui évoquaient la divergence entre le Canada et les États-Unis. Je surveillais la télé d'un du coin de l'œil et par ailleurs le budget, et Jerome Powell a déclaré : nous ne voyons pas la trajectoire de l'inflation que nous cherchons. Tiff Macklem a dit le contraire, cette divergence est étalée au grand jour. Oui, normalement inflation est vue de manière semblable dans les deux pays. Mais je parlais des différences en matière de politique relative au prêt hypothécaire. C'est à des moments comme celui-ci que l'on peut constater des différences dans les trajectoires de la politique monétaire. En définitive, Jerome Powell a enfin reconnu comme d'autres intervenants de la fête qu'il faut faire preuve de patience.
Pas toujours dans la mesure où y aurait une reprise de l'inflation, donc le scénario de base pourrait être qu'il faut simplement maintenir les taux au niveau actuel de 5 % pendant quelque temps, c'est-à-dire qu'il faut faire preuve d'une plus grande patience en attendant que les rendements obligataires diminués de façon durable. Suite les Américains ont des résultats économiques tellement exceptionnels avec une inflation aussi élevée, quel est le nouveau taux neutre?
Est-ce qu'on pourrait soutenir qu'avec des toits et voilà l'économie pourrait donner d'aussi bons résultats, et c'est peut-être là où elle devrait se situer.
- C'est certainement là où se situe la discussion en ce moment. La Fed avait toujours envisagé un tonneau de deux ou 2,5 %. Je crois que ça n'est plus aussi évident.
La courbe du rendement envisage un taux neutre qui se situe plutôt autour de trois, ou 3,5 %. Dans la mesure où ceux-ci persistent que les ventes au détail se portent très bien, on l'a vu il y a un ou deux jours avec le marché du travail se porte très bien. Le taux neutre va progressivement augmenter. Ce que ça signifie, c'est que même si un jour nous voyons une baisse des rendements des obligations à 10 ans, ça signifie que le point final de la baisse des rendements obligataires n'est pas ce qu'il est avant la pandémie. À très long terme, même si cela se produit, si on n'a pas d'importants gains en capital à cause de la baisse des rendements, on aura toujours d'importants revenus à long terme. Donc cela crée un environnement ou à long terme les niveaux de revenus pourraient être supérieurs pour les investisseurs étaient à revenu fixe qui ne l'est avant la pandémie.
- Une autre question. En fait une bonne occasion lorsqu'il s'agit de divergence, ou de perspectives pour le buvard.
- Le tueur canadien, par rapport au dollar américain, il y a essentiellement trois éléments qui influencent la valorisation du dollar canadien. Le différentiel du taux d'intérêt, c'est-à-dire dans quelle mesure les rendements aux États-Unis sont élevés par rapport rendements canadien sont extrémité à court termes de la courbe ce qui reflète ce que font la fête de la Banque du Canada, ensuite les cours du pétrole, et troisièmement l'attitude à l'égard du risque boursier. Parce que les actions se portent bien avec le dollar canadien tendance à bien se porter. Le dollar canadien est une devise à risque.
Mais c'est ce premier facteur, facteur de différentiel des taux d'intérêt qui domine. Même si le cours du pétrole étend aussi que les actions sont en hausse à ce jour, en cumul annuel le dollar canadien tout en baisse de quelque 2 % par rapport au dollar américain on en revient au thème de la divergence. Le fait que les coppeur de taux par la fête sont différés dans les attentes du marché alors qu'au Canada en prévoient toujours des coupures éventuellement mois de juin, quand on considère le rendement des obligations à 10 ans, la différence entre les États-Unis et le Canada est de 90 points de base, c'est-à-dire presque 1 % de plus au niveau des rendements États-Unis et lorsque cela se produit, les capitaux ont tendance à affluer vers les pays à rendements plus élevés ce qui fait remonter le dollar américain non seulement par rapport au dollar canadien mais aussi par rapport à la plupart des autres monnaies. Suite donc la solidité du dollar américain, il y a des périodes où celui-ci se porte extrêmement bien, on a pensé que c'était peut-être fini, mais il s'agit d'une monnaie extrêmement forte. La géopolitique joue un rôle?
- Oui dans une certaine mesure, cela se produit. Je crois que les marchés éprouvent de la difficulté à trouver un refuge dans un environnement où l'inflation demeure opiniâtrement élever.
Les obligations pas remontaient comme l'ont fait vendredis, en ce qui concerne les inquiétudes relatives aux événements géopolitiques, mais de façon générale, puisque les déficits sont toujours élevés aux États-Unis et que l'inflation est toujours élevée avec les obligations ne sont plus le refuge qu'elles étaient.
Donc le dollar américain est une monnaie refuge, en plus de l'or, une manière de se couvrir contre des résultats négatifs sur le marché boursier.
- En parle cette divergence. Une période très érudite et peut-être vous, en dit que même si les banques centrales peuvent diverger au début, historiquement parlant, elles arrivent en même temps définitive.
- Oui. Et c'est en fait un phénomène d'amortissement, en ce sens que si un pays réduire les taux considérablement à notre pays non, leur monnaie va perdre de la valeur, mais le Picardy le taux a commencé à importer l'inflation puisque les produits de notre pays ressent plus coûteux et entraînement une remontée de l'inflation. Donc ce facteur d'équilibre existe puisque les marchés des capitaux sont ouverts et que les monnaies sont flottants. À long terme, cela aide, mais cela ne signifie pas que cela se maintient toujours à court terme. Ces divergences peuvent causer, engendrer des possibilités pour les investisseurs surtout marchés où l'on peut investir dans un marché sur les devises. Suite fait vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Hafiz Noordin répond à d'autres questions sur les titres à revenu fixe dans quelques instants. Vous pouvez les poser en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com. À présent qu'en suivant la découverte de CourtierWeb et la plate-forme avancée.
Aujourd'hui nous allons voir comment passer un ordre sur la plate-forme avancée de TD. À la salle des formateur principal - Bonjour Ryan. Voyons comment passer un an sympa ton avancée.
- Ça fait toujours, plaisir, Greg, de passer à votre mission pas sur la plate-forme avancée, il s'agit de permettre à l'investisseur de passer un ordre aussi simple que possible. Voyons comment faire. Alors sur la plate-forme avancée, une des façons de procéder, si vous avez votre liste de veille, vous pouvez cliquer sur le symbole et un ordre pré-remplies s'affiche il y a le symbole, voué bien sûr cliquait sur le bouton achat ou vente ou encore sur les trois. Sur la gauche. Vous pouvez alors ouvrir l'ordre.
Mais je voudrais explorer l'ordre profits et pertes. Tout de suite, si vous cliquez sur cette petite boîte, vous allez pouvoir rajouter ce que l'on appelle une marge de profit ou une marge de perte. Alors si vous cliquez sur profit, dès que vous achetez l'action, il s'agit de l'action de la tédé, dès que vous l'achetez, il y a une flèche qui la pointe, je voudrais que vous passiez immédiatement un ordre de vente pour accord limite particulier, pouvez saisir immédiatement. Vous pouvez également joindre un ordre stop. Ou bien la vente sera effectuée un taux plus élevé, ou bien il y aura un ordre stop un corps moins élevé. Vous pouvez fixer ça dès le début. Vous pouvez fixer l'un ou l'autre les deux en même temps et cela vous permet de mieux planifier vos opérations de manière plus efficace. C'est une manière beaucoup plus facile d'avoir de nombreux ordres en cours en même temps.
- Est-ce que c'est ce qu'on appelle désordres par défaut?
- Oui, on peut en fait régler ses ordres par défaut. Voici comment faire. Sur la plate-forme avancée.
Donc lorsque vous voyez ces rouages, il y en a un jusqu'ici, si je clique sur le rouage, ça va me donner les ordres par défaut. Outre le fait de saisir la quantité par défaut, la tranche par défaut, vous allez pouvoir saisir donc ajouter désordres de profits et désordres stop. C'est-à-dire que chaque fois que vous cliquez sur un ordre, à passer, souhaiterait spécifiquement spécifique à l'ordre s'affiche. Une fois que c'est sauvegardé, par exemple si je devais utiliser cet ordre ou encore cette liste de veille et cliquez sur un ordre, mais tant que je clique sur l'ordre vendeur, le formulaire d'ordre s'affiche automatiquement et présente les éléments par défaut que vous aurez fixé. Il vous suffira de saisir la quantité. Dans ses ordres par défaut représente une manière très facile d'accroître l'efficacité de vos ordres, de les personnaliser de passer beaucoup moins de temps à cliquer et à cocher des cases.
- Un outil extrêmement puissant, Ryan, merci pour cette démonstration.
- Je vous en prie, Y.
- Ryan Massad et formateur principal à Placements directs TD.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb, pouvez utiliser ce code qui s'affiche à l'écran, qui vous mène directement à la page type de Placements directs TD vous pourrez trouver des vidéos.
Avant de répondre à d'autres questions, je vous rappelle comment vous pouvez nous les poser. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous les poser en tout temps soit par courriel à moneytalklive@td.com, soit un dans la boîte de questions bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Hafiz Noordin répond à vos questions sur les titres à revenu fixe. Nous avons brièvement évoqué l'élection américaine à l'automne. Comment prévoyez-vous qu'elle affectera les marchés obligataires?
- En général, les élections américaines sont toujours un événement d'importance, mais dans la pratique, sur le plan historique, ce n'est pas scientifique, mais en général, il n'y a pas beaucoup de volatilité jusqu'à trois à quatre mois avant l'élection. L'élection a lieu au mois de novembre, c'est alité que l'on pourrait s'attendre à ce que l'actualité affecte les marchés davantage. Ça, c'est un point de vue. Mais je crois qu'il y a un autre point de vue qui porte sur les perspectives du déficit américain.
C'est une situation sans précédent.
L'économie américaine est en plein essor mais le déficit s'établit toujours à 6 % du PIB et n'est pas redescendu à un niveau que l'on pourrait qualifier de prudent quand on considère ce qui se passe avant la pandémie. Je crois que c'est là la préoccupation. À très court terme, il faut toujours nous demander quelle politique pourrait être adopté par bail donne automnal 30. À l'heure actuelle, beaucoup d'investisseurs s'attendent à ce que quel que soit le locataire de la Maison-Blanche, il n'y aura toujours pas beaucoup de considération du budget.
Quel que soit le président, il va toujours dépenser la nature des dépenses changera peut-être, mais les déficits seront persistants. C'est ce qui préoccupe les marchés obligataires américains où les rendements demeurent élever. C'est un élément. Alors actuel, cette relaxation qui domine les préoccupations, mais nous savons que le discours peut changer considérablement. Les inquiétudes quant à la quantité d'emprunt et le déficit et se savons pas certainement persister.
- C'est une bonne transition à une question qu'on oppose à nos spectateurs.
Le FMI émet un avertissement sur la dette américaine. Je ne sais pas si vous avez lu cet article.
- Oui, c'est l'époque de l'année où le FMI publie des rapports et des recommandations sur la manière de rendre la trajectoire de la dette plus durable. Je crois qu'à l'époque n'est plus à la publication d'un chiffre exact en disant au-delà de 90 % par exemple du PIB, c'est un niveau d'urgence a été évoqué pendant la crise financière, aujourd'hui il y a tellement de pays qui sont au-delà de 90 % de rapport de la dette au PIB y comprit les États-Unis, ce n'est plus tellement dans une approche basée sur une formule, mais il s'agit de s'assurer surtout à présent que les taux d'intérêt demeurent élever que le gouvernement américain ne parvient pas à un niveau qui serait intolérable au niveau de ses besoins de l'emprunt. Pour l'instant, ce qui aide les États-Unis, cela va certainement être très favorable dans longtemps, c'est que le dollar américain la monnaie de réserve du monde.
Il y a un certain montant structurel d'argentier placé en dollars américains dans le monde parce que c'est le marché obligataire le plus étendu. Il y aura donc toujours une capacité structurelle de financer le gouvernement américain. Mais il y aura une érosion fil du temps. Les banques centrales diversifient leurs réserves en achetant de l'or et des monnaies autres que le dollar américain.
Donc c'est une situation qui évolue lentement, mais à court terme il n'y aura pas un choc massif au niveau du marché obligataire américain à cause des préoccupations relatives à la dette, mais cela contribue nettement la détérioration de la confiance à l'égard du dollar américain. Suite il y a longtemps que la livre sterling et la monnaie de réserve du monde, mais c'était le cas.
Il y a peut-être deux ans, les justiciers du marché obligataire apprécié par les projets de gouvernement. Ça été reflété sur le marché obligataire. Georges trajectoire. Y a-t-il une chance que les justiciers du marché obligataire refassent leur apparition?
- Oui je pense que c'est possible.
Pas par des évolutions de sang points de base dans le rendement des obligations à 30 ans comme on l'a vu au Royaume-Uni. À l'heure actuelle une économie plus petite comme celle du Royaume-Uni représente 5 % environ du PIB mondial, les États-Unis sont beaucoup plus importants, 30 à 40 %.
Les capitaux qui quitteraient le marché américain n'auraient aucun autre exutoire, mais il y aurait d'autres épisodes semblables à ce qu'il y a eu pendant l'automne elle était en dernier ou les annonces trimestrielles de refinancement montraient une hausse des besoins d'emprunt en obligations à 10 ans et 30 ans alors qu'en novembre, alors que le trésor annonçait dans son annonce financement trimestrielle qu'il y aurait moins de besoin emprunt d'obligations, cela jouait le rôle de soupape à l'approche de 2024 au mois de novembre.
Donc la prochaine annonce trimestrielle sur le financement intervient à la fin du mois d'avril. Elle sera surveillée de près. C'est un processus constant qui consiste à voir comment les enchères des obligations américaines se portent, quels sont les statistiques, y a-t-il un recul de la part des investisseurs américains.
- En a parlé du budget canadien au début des missions, du déficit fédéral, il y a une question j'ai oublié de vous poser.
Dans voilà situation fédérale. Si on ajoute les provinces que les budgets provinciaux, à quoi ressemble la situation au total?
- Oui c'est une excellente observation. En effet, c'est facile de taper sur les États-Unis en disant que le rapport de la dette au PIB au niveau fédéral est bien supérieur à 100. Mais au Canada, la dette niveau fédérale est relativement faible, environ 40 % du rapport de la dette au PIB est également un montant énorme au niveau provincial. Quand on additionne tout, état général du gouvernement se situe au niveau de 200 %. Donc ce n'est guère mieux. Mais c'est là où il y a cette inquiétude. Quant à la rosière. Il y a des déficits persistants et il y a peut-être un ou 1,5 %. Le fait que cela persiste même lorsque la croissance est favorable, ce n'est pas prometteur. Ceci suppose également qu'il y a des attentes de croissance chaque année qui sont intégrés dans la formule. Est-ce que cela va se concrétiser que personne ne sait pas et voudrait bien avoir un processus de gestion du risque avec une actualisation de la dette et une tentative d'équilibrer le budget plutôt afin de donner une marge de dépenser pendant la récession lorsque c'est nécessaire. Voilà la préoccupation.
- Une autre question. Que pensez-vous du Japon?
Dans le contexte des titres à revenu fixe.
- Est bien calculé niveau d'endettement au Japon, c'est toujours intéressant niveau des titres à revenu fixe parce que les niveaux d'endettement sont gigantesques.
250 %. Mais on sait aujourd'hui que quelque chose allait sauter. Mais ce n'est pas le cas parce que la plus grande partie de la dette est devenue à l'interne. Le Japon ne compte pas beaucoup sur les capitaux étrangers. Donc la plus grande question qui se pose niveau déjà pour la suivante. C'est vraiment la devise. Les actions ont beaucoup progressé. Cela est en partie attribuable au fait que la monnaie est demeurée faible ce qui favorise les exportations, même mal atteint les entreprises se portent bien.
En tant qu'investisseur était à revenu fixe Japon, vous avez des rendements très faibles qui étaient négatifs il y a encore peu de temps. Ce n'est pas un bon moment de se lancer au Japon au niveau du rendement. Il est préférable de rester chez vous pour obtenir les rendements. Il faut avoir une thèse au niveau de l'évolution de la monnaie. Il se pourrait que la monnaie remonte à partir de niveau très faible et anormalement faible. Le défi, ce qu'il faut avoir une thèse au sujet de la monnaie, il faut avoir une thèse sur les mesures que prendra le ministère des finances pour intervenir sur les marchés des devises pour soutenir la monnaie et c'est bien difficile d'anticiper. Une fois que cela se produit, et marchant déjà tellement évoluer. Voilà la mise en garde que j'émettrais à l'égard des actifs japonais non gouvernés avec une couverture en couvrant le taux de change en dollars canadiens il y a des opportunités.
- Hafiz Noordin répond à Docteur Christian sur la cithare unifie dans quelques instants prophètes en vos propres recherches avant de prendre une décision de placement je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les marchés, ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser.
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Chaque mois, Placements directs TD publie un indice de la confiance des investisseurs. Anthony Okolie commente.
- L'indice de placement tédé pour le mois de mars apparu par les investisseurs autonomes continus lettre optimistes.
Voici les détails. Commençons par l'indice global de placements directs tédé qui mesure la confiance sur une échelle de moins sans vague la plus pessimiste à puissant le plus optimiste. La tendance est à B A+ 17,1 gain de huit. Sur le mois dernier, c'est le cinquième mois consécutif d'optimisme. Le dernier trimestre, l'économie résiliant et excellent bénéfice d'entreprise, et l'enthousiasme à l'égard de la révolution de l'intelligence artificielle les optimistes à l'égard de la coupe de taux ont permis de monter en flèche.
Les chiffres du mois de mars ont permis de contribuer à ce que l'indice S&P 500 obtient son meilleur résultat depuis 2019.
Quand encore par la confiance de l'an dernier, un gain considérable, la confiance était à -20.
Les éléments qui constituent l'indice de Placements directs TD, il y en a un qui explique pourquoi la confiance augmente au mois de mars. L'indice qui mesure combien d'investisseurs ont acheté des actions sur le marché en haut soient en baisse à flamber de neuf. D'un mois sur lot A+ 12 indiquant un plus grand nombre d'investisseurs ont acheté alors que le cours des actions a augmenté. Quelques éléments clés qui ressortent par la technologie demeurent le secteur le plus activement négocié mois de mars, grimpant de : sur un mois A+ Karsenti que les communications se passant dans leur place après avoir chuté à moi… tous les groupes d'âges sont enthousiastes à l'égard des marches mois de mars pour la génération du baby-boom né entre 46 64 affiches le plus grand bond de la confiance. Il n'est pas étonnant que NVIDIA soit l'un des titres les plus activement négociés dans le secteur détaillé alimenté par la croissance explosive bénéficieraient de sa puce qui se place en tête des marchés.
Superman computer et AMD sont parmi les autres titres du secteur activement négocié. Les inquiétudes à l'égard de la dette, la concurrencer en obligataire des secteurs comme les télécommunications, l'immobilier service public ont baissé. PC avaient élu sont pas mes actions les plus vendus avec alphabet le géant de la technologie. La société mère est l'une des 7 magnifiques auxquels s'ajoute appelée Tesla dans les rendements en trébuchait récemment.
La confiance pour la génération du baby-boom a bondi de huit poêles à bois sur le Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés, mois de mars. Tous les groupes d'âges sont à présent optimiste à l'égard des marchés.
Pour tous les groupes d'âges des actions très achetées comprenaient NVIDIA, Tesla, AMD, supermarket micro computer et baissé avec le géant canadien des télécommunications dans le rendement dividendes c'est-à-dire presque 9 %. Voilà pour l'indice de Placements directs TD pour le mois de mars 2024.
- Merci, Anthony Okolie. À présent un coup d'œil sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs et proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet d'officialiser l'évolution du marché. Voici Distel 60 % du corps et du volume.
Le cours du pétrole et du bruit continu de reculer pendant la séance, ce qui affecte les actions reliées à ces produits de base et avec la quotité du secteur énergétique progressé ce matin contribuant à la hausse de l'indice TSX mais presque tous sont en territoire négatif. Senghor est en recul de 125 % avec le Cenovus Energy est essentiellement inchangé. Le cours de l'or a continué de reculer pendant la séance, une certaine faiblesse dans le secteur minier. Bien encore quelques-uns qui sont en hausse. Kinross Gold était en hausse de 34 % début de séance matin et se maintient à peine 1 % hausse. Aux États-Unis, l'indice S&P100 montre un marché qui semble chercher une tendance. Ce matin les contrats internes étaient en modeste hausse. Alors actuel indice S&P 500 est en baisse de 0,6 %.
J'étends un coup d'œil sur l'indice S&P 500 constitué des titres les plus importants, les fabricants qui sont en recul, NVIDIA enrobe de presque 3 %, AMD de 4 %. La situation est meilleure dans le secteur financier.
Hafiz Noordin de gestion de placement tédé répond à vos questions sur les titres à revenu fixe. Quels sont vos perspectives pour les obligations à rendement élevé?
- Les obligations d'entreprise en générale donne de bons résultats et dans un environnement où la croissance aux États-Unis mais encore dans le monde entier donne de bons résultats, les obligations d'entreprise offrent un rendement supplémentaire par rapport aux obligations d'État. Une certaine volatilité mais en général cette relation peut demeurer stable et vous pouvez acquérir le rendement supplémentaire au fil du temps. Pour les obligations rendement élevées, elle se situe plus en deçà sur la gamme des notes de crédit à triple B au plus bas les obligations à rendement élevé sont corrélées à 60 % avec les actions. À long terme. Cependant bien réussi cette année mais quand on considère les valorisations cet écart supplémentaire pour les obligations rendement élevées d'environ 350 points de base, c'est plutôt vers le bas de la gamme historique. La moyenne est plutôt autour de 400 ou 450 points de base. Donc de ce point de vue, les valorisations représentent un facteur plutôt négatif. Mais même si la croissance demeure bonne, une modeste allocation un portefeuille diversifié de titres rendement élevés à justifier pour doper le rendement mais il est important de s'assurer qu'il y ait beaucoup de marge pour ajouter de la location lorsqu'elle est meilleure marchée. Alors actuel les actions vacillaient un peu et les obligations rendement élevées affichent le même phénomène récemment. Il y a des inquiétudes persistantes quant au report éventuel des coppeur de taux de la fête.
Il y a une montée des tensions au Moyen-Orient. On peut certainement envisager la possibilité d'un écart plus important. Il y aura sans doute meilleur point d'entrée pour ajouter considérablement un portefeuille d'obligations rendement élevées mais globalement c'est une catégorie d'actifs qui représentent une part bien utile portefeuille.
- Une autre question sur les marchés émergents. Vous paraît-il intéressant?
- Oui les marchés émergents générale donnent de bons résultats quand les actions se portent bien, coller en obligataire sont stables ou en baisse et quand le dollar américain est également stable ou en baisse. Or aucun de ces facteurs n'est présent alors actuel. Il est difficile de préconiser de se lancer sur les marchés émergents. Il y a eu d'ailleurs une soue performance récemment.
Les actions ont perdu tout le terrain acquis au début de l'année dans les titres à revenu fixe et les devis ce que les rendements sont plutôt décevants. Les gars enregistraient jusqu'ici cette année sont essentiellement annulés. Il faut faire preuve de prudence, même quand on considère les marchés émergents plus fort, qui sont les coqueluches de ces secteurs, le Mexique et notamment qui est très populaire avec le Brésil qui a obtenu de bons résultats, l'Indonésie, tous ces marchés sont sous pression récemment, en devisant beaucoup baisser. Par conséquence quand on commence à voir quand même les titres de grande qualité donne de bons de résultats décevants il faut faire preuve de prudence. Au niveau des titres Harris, il serait prudent de se fier plutôt à des obligations de société qui sont en dollars américains. Dollar canadien encore en Europe, et de faire preuve d'une plus grande agilité tactique. Le Mexique se porte encore bien à cause de ses liens étroits avec l'économie américaine. Le Mexique bénéficiera de la reprise de la consommation aux États-Unis. Mais il faut toujours se rappeler la volatilité de la monnaie qui peut vraiment diminuer les rendements.
- Nous n'avons plus le temps de poser d'autres questions mais j'aimerais revenir au début de notre discussion.
Au niveau du budget fédéral.
- Encore une fois ça n'a pas fait de vagues sur les marchés financiers mais à court terme il faut surveiller d'abord la persistance des déficits et la conséquence de ce phénomène sur la capacité budgétaire pendant la prochaine récession.
Idéalement, il faudrait que nous dégageons davantage de place pour que le gouvernement puisse dépenser et puis nous avons eu un budget équilibré, mais les mesures sur les gains en capital, nous nous y attendions pas mais au niveau de la productivité ça pourrait commencer à donner des résultats par exemple joue un rôle incitatif pour les placements par effort à surveiller sa quant aux perspectives de croissance.
- Hafiz Noordin, merci pour cet entretien Château prochain.
- Aussi.
- Hafiz Noordin de gestion de placement TD.
Faites vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement et restez à l'écoute. Demain.
Julien Palardy de gestion de placement TD spécialisé en investissement quantitatif va répondre à vos questions sur l'investissement quantitatif. Puis nous les poser entre-temps par courriel à moneytalklive@td.com.
Merci et à demain.