Print Transcript
(musique) Bonjour, ici Greg Bonnel. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés répondent à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, nous évoquons la suite pour la Banque du Canada qui maintient des taux inchangés affirmant que la lutte contre l'inflation n'est pas terminée. Hafiz Noordin de gestion de Placements commente . Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Caitlin Cormier nous explique comment créer un échelonnement des vols d'obligations. Sur la plate-forme, posez-nous vos questions par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions bas de votre écran. Tout d'abord un coup d'œil sur les marchés. L'indice TSX composite, aux dernières nouvelles, le cours du brut remontait le cours de l'or également, l'indice progresse de 0,60 % parmi les titres les plus activement négociés avec la hausse du pétrole et du gaz, les titres de mines d'or et pétroliers. J'aurais pu choisir n'importe quel type de ce secteur, Baytex Energy à 4,34 $ progresse de 3,5 %.
Kinross Gold représente le secteur de l'or à 7,25 $ action est en hausse de presque 3 %.
Aux États-Unis, Jerome Powell s'exprime devant le congrès aux États-Unis. Il réclame toujours plus de temps pour réduire l'inflation, grâce à la hausse des taux. Les marchés ne s'inquiètent pas de ce discours déjà entendu. Le S&P 500 progresse de 40 : soit presque 1 %. Après dépression la baissière surtout sur le secteur de la technologie voyant comment se porte le Nasdaq. Et regagner une partie du terrain perdu avec une progression de 126. Soit presque 1 %. Foot Locker annonce des résultats décevants pour les fêtes et des prévisions décevantes. L'action dégringole, en une seule session de 29 %.
Voilà pour la mise à jour sur le marché.
La Banque du Canada a maintenu les taux inchangés. Le gouverneur Tiff Macklem déclare qu'il est encore trop tôt pour envisager des réductions. Hafiz Noordin de gestion de placements TD nous rejoint pour commenter. Bonjour, Hafiz .
- Bonjour, Greg.
- Alors c'est intéressant. Nous nous attendons pas à une décision sur les taux mais c'était le discours tenu par la banque qui nous intéressait. Trop tôt, ces mots ont été prononcés davantage de temps, l'inflation persistante, voilà une Banque du Canada qui ne veut pas annoncer la couleur.
Les marchés supposent que des coupures de taux s'en viennent et les banques centrales ne l'ont pas démenti. La question c'est de savoir quand et dans quelle mesure. La Banque du Canada aujourd'hui tout comme la fête précédemment a déclaré qu'elle privilégie la patience avant d'entamer ce cycle de coupure et ne veut pas se retrouver dans une situation où elle a réduit les taux trop tôt et où l'inflation reprend. Ce serait le pire résultat de son point de vue. Donc la banque centrale estime qu'elle peut s'en tenir à un taux directeur élevé. Elle a bien remarqué qu'elle ne les relèverait plus. Nous en demeurons à 5 %. Et on laisse les taux faire leur œuvre et on attend des éléments montrant que l'inflation redescend durablement vers 2 %. La Banque du Canada semble s'inquiéter d'une inflation sous-jacente reconnaissant que l'inflation de logement est un élément important mais il y a d'autres secteurs qui gênent la banque et cette dernière estime qu'il y aura des hauts et des bas.
- Il semble que les coupures de taux sont de plus en plus différées mais les marchés pensent qu'elles interviendront au mois de juin.
- Oui, il y a la façon de logement mais l'une des préoccupations, pour la banque, c'est la croissance des salaires. Lorsque le marché du travail très serré, le chômage n'augmente pas tellement depuis l'an dernier, cela engendre des inquiétudes face à l'idée que l'inflation de base persistera dans la zone des 34 %.
Si la croissance des salaires demeure également dans la zone des quatre à 5 %, cela permettra plus difficilement de ramener l'inflation à 2 %.
Inversement, toutefois, à l'heure actuelle les marchés prévoient 80 % de probabilité de réduction de tournois de juin, s'est fondé sur l'idée que l'inflation peut encore diminuer suffisamment pour que ces coupures d'ajustement puissent entrer en vigueur. En passant de 5 % à un peu moins de 5 %, c'est toujours largement au-delà du niveau neutre et c'est toujours une politique monétaire restrictive mais ces ajustements peuvent commencer.
- Une fois que la banque commence à gérer si cette voiture comme vous l'avez dit, nous sommes toujours à niveau restrictive, est-ce qu'on pense qu'il aura des réductions de taux à chaque réunion à partir de ce moment? Peut-être pas énorme mais pour amener le toit niveau plus bas?
- Oui c'est là où les marchés se sont emballés au début d'année. On pense essentiellement que les coupures de taux commencent à la fin du premier trimestre.
Pratiquement à chaque réunion par la suite. Contenu des données économiques à ces récits liantes qui ont récemment paru les perspectives de croissance demeurant forte, marché du travail demeurant bien portant, on pense que cette première coupure à travers Qu'il aura quelques coupures par la suite. Mais je pense qu'on a reconnu qu'il pourrait ne pas s'agir d'un cycle de coupure de taux très rapide avant qu'il y ait un choc de croissance.
Donc dans le scénario le plus probable la croissance légèrement supérieure à 0 % et l'inflation reflux, il se pourrait qu'il y ait des pauses de temps à autre afin que la banque puisse s'assurer que les coupures n'engendrent pas une relance de l'inflation, surtout sachant que le logement a déjà commencé à remonter légèrement, je pense que c'est la principale préoccupation.
La réunion de la Fed n'a pas lieu aujourd'hui, mais Jerome Powell s'est exprimé devant le congrès et encore une fois il a demandé davantage de temps, a demandé de la patience. Je pense qu'il a répété ce qu'il avait déjà dit auparavant et les marchés n'ont pas été surpris.
- Oui, c'est conforme aux autres interventions du gouverneur de la fête récemment. Aux États-Unis s'est particulièrement notable. La croissance à l'heure actuelle est plutôt dans la zone de 3 % de croissance du PIB, c'est au-delà du potentiel alors que Canada nous somme plutôt entre zéro et 1 %. Aux États-Unis, on verra ressente les chiffres de l'emploi mais c'est un risque accru que la croissance des salaires persistera, voir même accélérera. Il est donc justifiable pour la fête de prêcher la patience. Mais même avec un taux directeur de 5,5 % l'idée que certaine coupure d'ajustement pourrait commencer moi duré raisonnable car la dynamique de l'inflation a certainement réalisé un revirement depuis le mois de novembre et s'est reflété dans les cours du marché.
- Avec l'économie américaine qui donne d'excellents résultats, malgré les taux à ce niveau-là, ne pourrait-on pas arguer que le taux neutre pour les États-Unis beaucoup plus élevés qu'on le croit et peut-être que le taux actuel n'empêche pas l'économie de tourner à plein régime.
Pourquoi réduire les taux alors?
- Oui c'est tout à fait pertinent. On voit déjà cette thèse reflétée dans les cours du marché ou le taux terminal après la série de coupure ne se situe plus à un ou 2 %, c'est au-delà de 3 %. Il y a encore des discussions sur les marchés quant aux résultats escomptés. La Fed elle-même déterminera la fin du mois de mars dans son graphisme : quelles sont ses pronostics. Mais on considère que le taux neutre est sans doute plus près de trois ou 3,5 %. Ceci signifierait que les rendements obligataires en général, et beaucoup plus difficile de parvenir au niveau pré-pandémie où il y avait des taux inférieurs à 2 %. La situation de la croissance est beaucoup plus positive il y a beaucoup moins de sensibilité au taux d'intérêt. Aux États-Unis nous savons que les propriétaires de logements peuvent contracter des prêts hypothécaires jusqu'à 30 ans. Les entreprises ont également des dettes à long terme à la sensibilité automatique année puisqu'elle était passée plus difficile au Canada où nous devons renouveler notre hypothèque à tous les cinq ans. Il y a davantage de sensibilité à ce niveau-là. Il se pourrait qu'il y ait une divergence entre les deux économies.
- Si on conjugue tous ces éléments, qu'est-ce que ça signifie pour le marché obligataire cette année?
- Au début de l'année on partait du principe qu'après une forte remontée des rendements obligataires, il y aurait une fourchette assez serrée. Aujourd'hui le rendement des obligations canadiennes, bons du Trésor à 10 ans se situent entre trois et 3,7 %. Il y a une augmentation de 20 à 25 points de base rendement cette année qui reflète la croissance plus forte et ce qui entraîne un report des coupures de taux par rapport aux prévisions ambitieuses du début de l'année.
Nous évoluons dans une fourchette limitée car il est difficile de descendre en deçà de 3 % pour les rendements à 10 ans Canada, à moins qu'il y ait un choc de croissance inversement il est difficile de se rapprocher de 4 % comme ça été le cas lors dernier lorsque l'inflation se comporte de façon rassurante.
Ce que ça signifie pour les investisseurs, ce que vous pouvez tirer un revenu décent avec une certaine volatilité mais le revenu supérieur est relativement le principal facteur de rendement dans la vie c'est toujours attractif d'un point de vue historique.
- Excellent début d'émission. Hafiz Noordin répond à vos questions sur les titres à revenu fixe dans quelques instants. Vous pouvez nous le présente tant par courriel à moneytalklive@td.com dans la boîte de questions bas de votre écran.
À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les actions de la firme de cybersécurité CrowdStrike sont sous les feux de la rampe aujourd'hui. L'entreprise basée à Austin au Texas a dépassé les attentes de chiffre d'affaires et de bénéfices pour le trimestre mais ses prévisions pour l'année en cours sont plus élevées que prévues.
CrowdStrike annonce également qu'elle allait acheter fausse sécurité à un prix non divulgué dans le cadre de l'intensification de ses activités de fusions et acquisitions, action de CrowdStrike progresse de 13 %. Nous avons rapidement évoqué Foot Locker, action et sous pression aujourd'hui en baisse de plus de 29 %, détaillant de vêtements de soie présentée des résultats décevants pour la période important des fêtes de fin d'année. La compagnie a offert de fonds traduction court du trimestre ce qui a eu un impact sur le résultat net.
L'entreprise a également présenté des positions de vente peu encourageant pour cette année.
Chez nous, le géant des gazoducs et oléoducs Enbridge déclarent qu'il dépensera 500 millions de dollars américains pour de nouveaux projets au sud de la frontière. Notamment la prolongation de son oléoduc et ses installations au Texas ainsi qu'à l'achat de deux gares maritimes entre autres projets à 47 heures 58, action progresse de plus de 0,5 %. Le secteur de la technologie a dégringolé hier, ce qui a fait baisser les indices.
Alors est en hausse, le pétrole aussi, ce qui alimente de secteurs importants pour la bourse de Toronto. L'indice TSX composite progresse de 94 points. Aux États-Unis, une remontée après la braderie d'hier, indice S&P 500 progresse de 41 points, soit presque 1 %. Hafiz Noordin répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Ça, c'est une question qui se pose régulièrement. Est-ce qu'il y a une possibilité que nous n'ayons pas de réduction de taux cette année?
- C'est possible. Alors actuel en prévoit trois cas de coupure de taux. Au début d'année c'était plutôt 6 à 7 réduction de taux pour la Fed et peut-être cinq à six pour la Banque du Canada.
Comme j'avais commencé à le dire auparavant, aux États-Unis, il y a peut-être un risque plus important de l'inflation avec des niveaux de croissance très élevée, croissance du PIB de 3 %.
Dans la mesure où cette croissance pourrait se poursuivre et se répercuter, notamment sur une remontée des prix du logement et des loyers qui représentent l'élément le plus important de l'IPC aux États-Unis, 30 à 40 %.
Cela pourrait changer la donne. Mais je crois que pour l'essentiel, il faut nous baser sur les données, c'est la croissance du logement et des salaires si le marché du logement demeure serrer, il se reflétera dans les augmentations de salaire. Cela reste à voir, mais il faut avoir un processus d'investissement qui est flexible et agile. Nous avons appris depuis deux ans que ce que les marchés escomptent au début d'une année peut beaucoup évoluer en fonction des données.
Quant aux États-Unis, l'idée qu'il pourrait y avoir moins de trois coupures peut-être seulement une ou deux, c'est éventuellement possible au Canada quand on considère les tendances générales, je pense qu'il y aura vraisemblablement des coupures parce qu'il y a moins de pression émanant de la croissance économique. La version extrême de cette question serait non seulement à ce qu'il est possible qu'il n'y ait pas coupures de taux mais ce qu'il est possible qu'il y ait une hausse de taux? Quelles conditions devraient être réunies pour que les banques centrales après tout ce que nous avons vécu, et après qu'elle s'est dit qu'il n'y aurait pas de nouvelle hausse, quelles conditions devraient être réunies pour qu'elle change d'avis augmentait-t-on?
- L'inflation persistante. Il faudrait maintenir le taux directeur où il se trouve pour plus longtemps. Mais c'est une réelle accélération de l'inflation avec des niveaux plus élevés de croissance des salaires ou une augmentation des loyers.
Cela exigerait une évaluation de l'efficacité et de la suffisance un taux directeur de 5 % aux même 5,5 aux États-Unis. Ça, ça change la donne. Mais alors actuel, les cours du marché et les hypothèses d'inflations qui y sont incorporées, notamment les obligations liées aux inflations États-Unis sont toujours bénies. En prévoit une inflation de 2,5 % à l'horizon. Rien alors actuel ne laisse à croire qu'il y aurait un rebond important de l'inflation et une persistance de l'inflation, c'est toujours envisageable. Suit une autre question.
Il s'agit je pense à l'article universitaire est apparu il y a quelques semaines. Certains remettent en question l'utilité des obligations dans un portefeuille. Selon université avec les obligations ne comportent aucune valeur dans un portefeuille. Cela modifie notre compréhension de la gestion de portefeuille. C'est une expérience frustrante pour les investisseurs sur le marché obligataire si votre point de départ était il y a deux ans et que vous évaluez la période de deux ans qui vient de s'écouler.
Mais quand on prend du recul, l'idée des titres à revenu fixe se fonde sur deux éléments-clés. Tout d'abord le revenu. Il faut avoir un coupon de votre portefeuille, et deuxièmement une certaine diversification par rapport aux actions.
Historiquement, il y a eu une corrélation négative entre les obligations du gouvernement notamment et les actions. Si les actions dans un portefeuille diminuent, en général il y a une plus-value dans les obligations du gouvernement qui compense cette baisse. Ce qui s'est produit récemment, et je crois que c'est ce qui motive un certain nombre d'analyses comme celle que vous évoquez, c'est qu'il y a eu une évolution de ces corrélations lesquelles sont devenues plus positives. C'est-à-dire que quand les actions baissaient les obligations en fait aussi. C'est l'année 2022, qui vient à l'esprit. C'est frustrant mais ça se produit beaucoup parfois, pourquoi, à cause de l'inflation. L'inflation peut fausser ses relations historiques entre différentes catégories d'actifs. Si vous vous inquiétez à l'idée que l'inflation pourrait être élevée et prolongée, oui, il faut réévaluer la corrélation prospective entre les obligations des actions. Mais de mon point de vue, même si l'inflation est persistante et ne diminue que progressivement nous allons franchir ce seuil et parvenir un environnement d'inflation plus normale et plus stable, une incertitude règne toujours dans l'économie, faisons dépasser cette phase, les obligations et les actions vont revenir à leurs relations historiques, c'est-à-dire que les obligations peuvent servir d'amortissement. Tout dépend de votre environnement temporel, votre horizon temporel pour les investisseurs longtemps il faut être patient. Pour l'instant si vous investissez dans les titres à revenu fixe vous êtes payés pour attendre que les obligations de sociétés de qualité vous procurent quatre à 5 % de rendement s'est largement au-delà du rendement des dividendes ou du S&P 500 qui se situe à 1,5 %. Il s'agit de s'assurer que votre horizon temporel correspond processus de répartition d'actifs. Suit une question intéressante. Un spectateur de savoir ce que vous pensez des marchés émergents.
- Alors donc, les marchés émergents ont eu une excellente année. Les marchés émergents ont surclassé l'an dernier.
L'idée de la désinflation, beaucoup de marchés émergents ont vu une hausse de l'inflation plus rapide, ils ont pris l'initiative de relever les taux considérablement et l'inflation a commencé à refluer plutôt que cela n'a été le cas sur les marchés développés. Il y a eu d'excellents rendements l'an dernier.
Toutefois, globalement, lorsqu'il y a un goût du risque élevé dans le monde, rendement des obligations stables ou en baisse et un dollar américain stable ou en baisse, en général c'est un bon moment pour les marchés émergents avec les titres à revenu fixe les marchés émergents. C'est toujours une catégorie d'actifs intéressantes, mais quand vous considérez les valorisations comme dans beaucoup d'actifs à risque, valorisation sont devenues un peu plus difficiles comme point de départ. Il faut examiner le marché pays par pays. Je vous suggère de vous concentrer sur les marchés à rendement élevé ou le revenu est nettement plus élevé que les rendements des obligations canadiennes, mais les marchés émergents de première qualité ou la politique budgétaire est stable et où la politique politicienne n'est pas un risque. Le Mexique est un très bon exemple.
Le pays est très axé sur l'économie américaine, la croissance a été solide il y a beaucoup de capitaux étrangers qui affluent au Mexique, le thème de la relocalisation est excellent et cela à assurer la stabilité du président mexicain préfère acheter une obligation mexicaine sur 10 ans est réalisé 9 %, 6 % de plus qu'au Canada. Avec une monnaie qui est relativement stable. Je pense que c'est un type d'occasion, il y a un autre cas, ce serait l'Indonésie ou en Asie, alors actuel en général, inflation n'est pas très élevée. Ça, c'est également une situation favorable à l'investissement dans le marché obligataire. L'inflation n'est pas élevée en Indonésie, inflation de 3 % alors actuels qui n'est pas très élevé. Vous pouvez obtenir des revenus stables, en Indonésie les obligations apportées à cette pour cent. Donc voilà le genre d'occasion qu'on peut saisir des marchés émergents avec une note triple B qui vous procure un avantage net au niveau du revenu par rapport au Canada. Si le dollar américain repart, est-ce que ce serait le risque clé? Oui, ce serait le risque que les mettons pour le Mexique qui est encore une fois très liée à l'économie américaine, bénéficie lorsque les États-Unis se portent bien, mais en même temps les rendements obligataires peuvent afficher une volatilité semblable à celle des obligations américaines. Dans ce serait l'élément-clé à surveiller et c'est là où les investisseurs sur les marchés émergents doivent procéder de manière active avec une sélection pays par pays plutôt que d'acheter de détenir, faut avoir un programme de couverture en place pour couvrir l'exposition aux devises s'il y a un risque de choc.
- Fait toujours propre recherche avant de prendre une décision de placement. Hafiz Noordin répond à d'autres questions sur les titres à revenu suffisant quelques instants. Vous n'aurez pas en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com. À présent poursuivre la découverte de CourtierWeb.
On parle de titres à revenu fixe, parlons d'échelonnement des obligations passées une stratégie d'État revenu fixe les investisseurs pas envisagés. Caitlin Cormier formatrice à Placements directs TD va nous montrer comment mettre en place un échelonnement. Caitlin, bonjour. Parlons des salons d'obligations.
- Bonjour, Greg. Je me suis dit que ce sera un thème approprié puisqu'on parle justement de titres à revenu fixe de taux d'intérêt. Qu'est-ce qu'un échelon obligations? Il s'agit d'une stratégie de titres à revenu fixe dans laquelle investisseurs achètent de multiples obligations avec des dates d'échéance multiples. Chiffrer en mois ou plus souvent en année, souvent il y a différents types d'obligations de société et du gouvernement. Pourquoi procéder ainsi, c'est afin d'avoir une meilleure prévisibilité des revenus futurs. Vous savez qu'il y a des obligations qui arrivent à échéance au cours des années à venir, vous savez à quoi va ressembler votre revenu il y a également la liquidité. Si vous avez des obligations Kardashian chaque année plutôt que les avoirs verrouillés pendant cinq ans si vous contenez les cas échéants ça vous procure davantage de liquidités de ce point de vue. L'idée d'investir dans plusieurs obligations permet de réduire le risque, à différente note de crédit, diversification au niveau du rendement, certaines des obligations société rendement plus élevées que les obligations de gouvernement, la note plus élevée, il s'agit de lisser les sources de revenus et d'assurer la diversification.
L'échelonnement des obligations.
- Très bien. Maintenant que nous expliquons ce que les flamands obligations de son utilité, à titre de stratégie d'investissement, parlons des outils qui peuvent nous aider en création CourtierWeb.
- Voilà. Donc allons sur la plate-forme.
Nous cliquant sur recherche puis sous la rubrique placement, sans revenu fixe.
Voici le portail où tous les produits à revenu fixe affiche.
Choisissant une ou deux obligations pour inclure dans un échelonnement hypothétique. Voici donc les liens rapides qui regroupent des catégories de titres à revenu fixe et notamment différent types d'échéance. Choisissant une obligation de société qui a une échéance de 60 à cinq ans. Choisissant au hasard, mettant une date d'échéance 2027, et je vais choisir au hasard voilà. Dollar américain, pourquoi pas. Dans General Motors, au hasard. Je vais cocher la case et ensuite je remonte et je vais sélectionner en fait, j'ai commencé un échelonnement qui s'appelle Mars, alors je l'ajoute au portefeuille. Vous voyez que j'ai déjà deux autres obligations. Il y en a une qui arrive à échéance en 2031, j'en ai dont 2027. Alors ça ne fait pas beaucoup diversification, mais tant pis on va en ajouter. Revenons à l'accueil. Hélas je vais choisir une obligation du gouvernement du Canada à échéance un peu plus longue. Choisissant mettant une date qu'on n'a pas déjà, les dates d'échéance entre milieu, disons 2029.
Encore une fois, nous n'incluons pas dans ce portefeuille, encore une, afin d'en avoir cinq. Hélas, mettant une obligation provinciale, cinq à 10 ans. Voici les différentes provinces qui aimaient des obligations. Choisissant 2030. La province de Terre-Neuve, pourquoi pas. On ajoute cette obligation notre portefeuille.
Alors voici un portefeuille qui comporte cinq obligations avec différents taux de coupons, différentes échéances, différents prix. Certaines des rendements sont semblables, mais nous allons ajouter une quantité, alors je vais mettre 10 000 pour l'instant. Simplement à titre d'illustration. Ensuite, on va cliquer sur calculer et puis sur créer un rapport d'échelonnement.
Alors donc je vais afficher le rapport qui montre cet échelonnement proposé. Donc la quantité, la valeur de marché, mais il y a également le rendement à maturité.
Le rendement annuel, la durée jusqu'à l'échéance, l'intégration qui a trait aux changements de taux d'intérêt ce qui est important parce qu'on prévoit des changements de taux d'intérêt, c'est le changement de courant pourcentage auquel on peut s'attendre sur le portefeuille si les taux d'intérêt changent de 1 %. On voit également le revenu annuel total, donc de 1100 $ de revenus par an de ses obligations. Il y a ensuite un rapport un peu plus étoffé qui montre quels sont les mois pendant lesquels on peut s'attendre à revenu. La répartition d'actifs, c'est-à-dire les différents types d'actions que nous détenons, entrevoir le profil échéance, c'est-à-dire quand seront les échéances, ainsi qu'une ventilation des notes de crédit pour voir la diversification.
- Beaucoup d'informations affichées dans ce rapport. Cela permet de réunir un certain nombre d'obligations et de savoir à quoi cela ressemblerait si vous achetiez. Merci, Caitlin Cormier. Suite je vous en prie. Caitlin Cormier formatrice à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources.
À présent, je vous rappelle comment nous poser vos questions. Avez-vous une question sur les placements? Ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser soit par courriel à Moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Hafiz Noordin répond à d'autres questions sur les titres à revenu fixe. Quel impact de la Banque du Canada aura-t-elle sur le marché du logement? C'est une question épineuse. On la pose souvent, cette question.
- Oui, à la conférence de presse et plusieurs questions justement au sujet du logement. La difficulté tourne autour du fait que maintenir les taux plus élevés plus longtemps entraînent des risques pour ceux qui ont contracté des prêts hypothécaires à taux variable. Et même à taux fixe, car lorsque ceux-ci arrivent à échéance d'ici un ou deux ans, ils seront renouvelés un taux d'intérêt plus élevé.
Il s'agit d'éviter que cela n'engendre un effondrement du marché du logement et de l'économie en général d'une part, et d'autre part la nécessité de ne pas réduire les taux trop rapidement sans que l'inflation ne sont revenus ou ne soit en voie de revenir à 2 %. C'est un équilibre délicat à établir pour la Banque du Canada. À cette réunion, la Banque du Canada n'a pas mis à jour son rapport sur la politique monétaire mais l'offre mois d'avril périodiquement, la Banque du Canada fait des mises à jour sur l'évolution des prêts hypothécaires, sur la manière dont la banque envisage ce mur d'échéance sur le marché du prêt hypothécaire et son évolution d'ici un ou deux ans. Pour l'instant, la Banque du Canada ne trahirent guère d'inquiétude quant au rebond de l'activité sur le marché du logement. Ce phénomène est en parti saisonnier de toute façon, mais un moment donné s'il y a suffisamment de remontée des prix cela pourrait alimenter les inquiétudes quant à une contagion déloyaux Canada. Nous n'en sommes pas encore là mais ce sera un équilibre délicat à établir. J'ai trouvé intéressant qu'après la décision la première question qui était posée au Canada porté sur l'immobilier mais pas l'immobilier résidentiel mais l'immobilier commercial.
Le gouverneur Roger s'est contenté de dire qu'il y a une revue du système financier qui s'en vient. Nous surveillons ce secteur de l'immobilier commercial mais c'est différent Canada des États-Unis.
C'était intéressant que ce soit la première question qui était opposée à la banque.
- Oui, il s'agit, si quelqu'un envisageait un risque extrême, il s'agit d'un cas typique car cela engendrait beaucoup de volatilité aux États-Unis dans le secteur des petites banques régionales.
Nous avons des analystes spécialisés dans la dette qui ont étudié cela et ont procédé à des analyses fondamentales.
L'idée que certaines banques seraient en difficulté demeurent anecdotique nous savons qu'au Canada notre secteur bancaire est beaucoup plus concentré dans des grandes banques à grandes capitalisations qui sont beaucoup plus immunisées contre les risques. Il y aura des revues de la stabilité financière sur ce point mais pas nécessairement risque important pour l'économie canadienne.
- Intéressant dossier immobilier. La deuxième économie du monde, on parle constamment d'un ralentissement de l'économie chinoise. Devrions-nous nous en inquiéter?
Cela pourrait-il affecter les marchés?
- Oui c'est toujours inquiétant quand la Chine qui a impulsé une si forte part de la croissance mondiale depuis quelques décennies éprouve des difficultés à rehausser la croissance. Le gros problème, c'est l'endettement, la vie dans son économie et surtout le marché du logement.
Il y a un débouclage de levier sur le marché de l'immobilier. Une bonne partie de l'ajustement Chine au niveau de la baisse des prix des actifs s'est déjà produite quand on considère le prix des actifs chinois, une bonne partie de ce scénario est déjà répercutée. Donc le point de départ est relativement plus intéressant. Il est difficile de savoir où cela se dirige mais ce qui compte plus pour l'économie canadienne ce sont les produits de base. Quand on songe à la manière dont la demande chinoise nous affiche, le cuivre, le pétrole particulièrement. De ce point de vue là, encore une fois les produits de base ont d'ores et déjà reflétés une baisse de la demande, mais on suppose toujours une croissance de 5 %. Donc il faut que nous continuons de surveiller cela de près. La capacité des pouvoirs publics chinois à gérer une croissance plus faible est-elle remise en question, et cela peut-il engendrer une baisse décisive des cours des produits pas? Cela affecterait l'économie canadienne. Pour l'instant une croissance plus faible que prévu en Chine est incorporé dans beaucoup de scénarios.
- Une autre question. Avec la courbe de rendement actuellement inversé dans l'hypothèse d'un horizon supérieur à cinq ans est-il judicieux d'investir uniquement dans la partie initiale est de renouveler l'échéance? Nous ne pouvons pas vous donner de conseils de placement sur cette plate-forme et l'acompte de rendement s'inverse et ça fait depuis si longtemps, on n'en parle plus. Qu'est-ce que ça signifie pour les investisseurs?
- Entrant dans les mathématiques obligataires pendant un instant. Il faut se rappeler que la courbe des rendements normaux va en remontant. Mais tant que l'obligation à trois ans et à 5 %, l'obligation normalement, quand vous achetez l'obligation à cinq ans, vous touchez un revenu, un coupon d'environ 3 %. Mais un an plus tard, vous avez également bénéficié d'une plus-value parce que le roman de cette obligation va passer de trois à 5 %. Nous savons que dans les pratiques qui obligataires, quand le rendement diminue le prix des obligations augmente.
Ce qui se produira actuel, c'est qu'avec une coupe de rendement à verser cet effet négatif, OK parce qu'il n'y a pas vraiment de possibilité de tacher de capturer la plus-value des obligations uniquement en fonction du passage de 85 ans, de fait, il y a un certain recul du cours des obligations dans cette transition pendant se rendre ment, on se concentre sur le redevenu, c'est le facteur principal du rendement total dans l'avenir et c'est le revenu. Et puis au-delà de cela, si on investit sur cinq ans, 10 ans, 30 ans, l'évolution des rendements obligataires à la baisse à l'inflation, qui baisse également c'est ça qui va engendrer l'effet sur le cours des obligations et pas seulement la façon dont il progresse en la courbe. Suite Hafiz Noordin ré ? Sur les titres en diffusant quelques instants.
Faites vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions en tout temps. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez me les poser soit par courriel à Moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions en bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
À présent un coup d'œil sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs et proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser l'évolution du marché. Voici le TSX 60 en fonction du cours et du volume. Le cours du brut de référence américain progresse un peu plus de 2 %. Lors continue d'atteindre de nouveaux records, 2553 $ l'once. Alors comment cela se répercute-t-il sur les marchés? Le secteur minier progresse.
Kinross d'un peu plus de 3 %, Barrick Gold un peu plus de 3 %. Les grands titres pétroliers sont à la hausse, mais légèrement, Suncor est à la hausse de un an et 1/3 %. Aux États-Unis, Jerome Powell réitère son discours déjà connu. La banque centrale n'est pas préparée dans l'étau pour l'instant. Les marchés assimilent et se tournent de nouveau vers le secteur de la technologie après une baisse qui a touché le secteur. Aujourd'hui NVIDIA est en progression de 3,5, AMD de 3,5, Intel de 5 %. Le secteur de la technologie est donc en forte progression. On pourrait sans doute ajouter le terme d'intelligence artificielle. Pour vous enseigner sympa ton avancée visitait le site Web de Placements directs TD. Hafiz Noordin de Placements directs TD répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Que pensez-vous des obligations d'entreprise?
- Les obligations d'entreprise ont extrêmement bien terminé l'année 2023 et continue à surclasser les obligations du gouvernement cette année avec un niveau de revenus plus élevés. Généralement parlant il faut songer aux données fondamentales dans le secteur des titres de créance.
Est-ce que la croissance économique paraît solide?
Est-ce que la croissance des bénéfices suit le rythme, et la réponse est oui aux deux questions. Et la consommation, tout cela est fondé sur une bonne consommation, soit aux États-Unis sur les marchés développés en général. De ce point de vue, les obligations d'entreprise ont beaucoup de bon sens.
En termes de sous-pondération par rapport aux obligations du gouvernement. Il y a un rendement supplémentaire de 100 points de base dans les obligations de sociétés de première qualité aux États-Unis, au Canada c'est plus élevé, 130 points de base en moyenne de revenus supplémentaires. Donc le risque principal toutefois, c'est le point de départ pour les valorisations.
Les écarts de crédit se sont beaucoup rétrécis et aux États-Unis, il se situe environ 10 à 15, le 15e percentile, c'est-à-dire vers le bas de la gamme historique, mais au Canada, c'est un peu plus attractif à 130 points de base, il s'agit du niveau moyen historique. Bon. Je pense qu'il s'agit de savoir où dans l'univers des obligations il faut investir pour les obligations sociétés canadiennes intéressants l'actuelle. La seule autre considération est la suivante : sachant que les écarts ont beaucoup diminué il est propice d'avoir une part de votre portefeuille dans les obligations du gouvernement liquide pour profiter le cas échéant s'il y avait un choc quelconque et qu'il y avait une braderie des obligations société. Il faut avoir cet équilibre. On touche revenu plus élever mais on s'assure qu'on soit prêt à acheter davantage d'obligations sociétés dans un portefeuille s'il y a une meilleure valorisation. Les obligations de sociétés de première qualité d'accord, mes obligations au rendement?
- S'est semblable au niveau des données fondamentales quant à la croissance des bénéfices, c'est positifs pour les obligations rendement sont toujours assez corrélés avec les actions à long terme, rendement total est corrélé à 60 % avec celui des actions. Les obligations rendement élevées évoluent avec l'ensemble des marchés des actifs à risque. Mais toutefois quand on considère le rendement global c'est très positif. L'indice des obligations rendement élevées donne 8 %, historiquement la moyenne de 6,5. Comme beaucoup d'investisseurs envisagés obligations rendement élevés, ils y allouent des capitaux en fonction du rendement global, mais quand on fait l'analyse, une grande partie de ce rendement plus élevé provient des obligations de gouvernement, les obligations rendement élevées comme les obligations sociétés sont cotées rendement des obligations, plus un écart. Cet écart est actuellement 300 points de base, la moyenne à long terme est plutôt de 400 un peu plus de 400 points de base. Donc elles sont un peu coûteuses au niveau des écarts, mais compte tenu des données fondamentales très forts de l'économie, elles valent la peine d'y répartir les capitaux, il s'agit de s'assurer qu'on évite les obligations de sociétés qui pourraient subir une dégradation de leurs notes, celle de triple c'est ou plus basses. Donc la sélection de l'activité titre à rendement élevé est essentielle.
- Une autre question. Le budget, attendez fixer, c'est le 16 avril. Est-ce que vous allez surveiller quelque chose?
- Oui, d'un côté qu'est-ce qu'il nous faut au niveau de la politique budgétaire. Pour le Canada, la grande préoccupation, de mon point de vue quand je pense volontaire, c'est de savoir comment nous pouvons nous assurer que la croissance potentielle du PIB progresse par rapport au point où elle en est. La productivité est appelée au Canada. Ce que je veux dire par là, c'est que nous recherchons des mesures visant à accroître la capacité productive de l'économie. Le logement, c'est un domaine dont on a beaucoup parlé aujourd'hui, comment l'offre de logements répond à la croissance démographique plus élevée que nous avons constatée au Canada. C'est un domaine critique dans lequel le gouvernement devra agir. Au-delà de ça, il y a les autres secteurs de l'économie où nous devons investir la capacité productive.
Si on avait cinq dollars, il faudrait produire plus d'un dollar. Les États-Unis ont une économie très dynamique, intelligence artificielle, beaucoup d'innovations intégrées au niveau de l'économie américaine, il faut faire en sorte que nous aussi évoluant dans la même direction. Voici les grands éléments. À titre d'investisseurs dans les titres à revenu fixe recherchant également les tendances des missions en fonction des besoins du gouvernement en matière d'emprunt. Les émissions sur le marché des obligations du gouvernement peuvent engendrer une certaine volatilité à certains points de la courbe de rendement.
Les obligations du Canada 30 ans sont assez basses par rapport aux obligations à 10 ans.
Il y a une courbe inversée des obligations de 30 ans qui donnent 10 points de base de moins que les obligations réticents. Et la plupart des autres marchés dans le monde, c'est l'inverse. Il y a des rendements plus élevés à 30 ans qu'à 10 ans. Ce que cela signifie, c'est qu'il y aurait potentiellement une occasion pour le gouvernement d'émettre davantage à 30 ans là où les coûts d'emprunt sont moins élevés, cela affecterait certainement la manière dont on envisage l'exposition à la cour dans un portefeuille à revenu fixe en évitant les obligations à 30 ans et en favorisant des obligations à plus courte échéance. Ce sont des éléments qu'il faut surveiller. Nous n'avons plus le temps de vous poser des questions mais avant de séparer je voudrais revenir au début notre entretien. La Banque du Canada, la lutte contre l'inflation n'est pas terminée affirme-t-elle. Où cela correspond-nous?
Malheureusement pas beaucoup de gens qui veulent une réponse il faut toujours rester dans l'attente et surveiller les données.
Les données sur l'inflation, les données sur l'emploi, les statistiques connaissaient également très important de surveiller les indicateurs prospectifs au niveau de l'inflation de la croissance. En supposant que le regroupement de tous, qu'est-ce que cela va donner en matière d'inflation et de croissance? Est-ce que c'est durable ou non? C'est le grand débat alors actuel. D'ici là, du point de vue des investissements, il reste d'excellentes occasions de réaliser des revenus élevés dans les obligations de sociétés de qualité, rien ne change, cette stratégie pour leur part il faut s'assurer vous avait des liquidités dans votre portefeuille et que vous êtes prêts à agir si les données font changer la donne.
- Merci Hafiz Noordin j'ai beaucoup aimé notre entretien.
- Aussi.
- Hafiz Noordin de gestion de placements TD. Comme toujours, faites vos propres recherches avant de prendre une décision de placement et reste à l'écoute. Demain, Jared Abluss de gestion de placements TD va répondre à vos questions sur le secteur de la santé. Vous pouvez nous les poser d'ores et déjà par courriel à moneytalklive@td.com. Merci et à demain.
Kinross Gold représente le secteur de l'or à 7,25 $ action est en hausse de presque 3 %.
Aux États-Unis, Jerome Powell s'exprime devant le congrès aux États-Unis. Il réclame toujours plus de temps pour réduire l'inflation, grâce à la hausse des taux. Les marchés ne s'inquiètent pas de ce discours déjà entendu. Le S&P 500 progresse de 40 : soit presque 1 %. Après dépression la baissière surtout sur le secteur de la technologie voyant comment se porte le Nasdaq. Et regagner une partie du terrain perdu avec une progression de 126. Soit presque 1 %. Foot Locker annonce des résultats décevants pour les fêtes et des prévisions décevantes. L'action dégringole, en une seule session de 29 %.
Voilà pour la mise à jour sur le marché.
La Banque du Canada a maintenu les taux inchangés. Le gouverneur Tiff Macklem déclare qu'il est encore trop tôt pour envisager des réductions. Hafiz Noordin de gestion de placements TD nous rejoint pour commenter. Bonjour, Hafiz .
- Bonjour, Greg.
- Alors c'est intéressant. Nous nous attendons pas à une décision sur les taux mais c'était le discours tenu par la banque qui nous intéressait. Trop tôt, ces mots ont été prononcés davantage de temps, l'inflation persistante, voilà une Banque du Canada qui ne veut pas annoncer la couleur.
Les marchés supposent que des coupures de taux s'en viennent et les banques centrales ne l'ont pas démenti. La question c'est de savoir quand et dans quelle mesure. La Banque du Canada aujourd'hui tout comme la fête précédemment a déclaré qu'elle privilégie la patience avant d'entamer ce cycle de coupure et ne veut pas se retrouver dans une situation où elle a réduit les taux trop tôt et où l'inflation reprend. Ce serait le pire résultat de son point de vue. Donc la banque centrale estime qu'elle peut s'en tenir à un taux directeur élevé. Elle a bien remarqué qu'elle ne les relèverait plus. Nous en demeurons à 5 %. Et on laisse les taux faire leur œuvre et on attend des éléments montrant que l'inflation redescend durablement vers 2 %. La Banque du Canada semble s'inquiéter d'une inflation sous-jacente reconnaissant que l'inflation de logement est un élément important mais il y a d'autres secteurs qui gênent la banque et cette dernière estime qu'il y aura des hauts et des bas.
- Il semble que les coupures de taux sont de plus en plus différées mais les marchés pensent qu'elles interviendront au mois de juin.
- Oui, il y a la façon de logement mais l'une des préoccupations, pour la banque, c'est la croissance des salaires. Lorsque le marché du travail très serré, le chômage n'augmente pas tellement depuis l'an dernier, cela engendre des inquiétudes face à l'idée que l'inflation de base persistera dans la zone des 34 %.
Si la croissance des salaires demeure également dans la zone des quatre à 5 %, cela permettra plus difficilement de ramener l'inflation à 2 %.
Inversement, toutefois, à l'heure actuelle les marchés prévoient 80 % de probabilité de réduction de tournois de juin, s'est fondé sur l'idée que l'inflation peut encore diminuer suffisamment pour que ces coupures d'ajustement puissent entrer en vigueur. En passant de 5 % à un peu moins de 5 %, c'est toujours largement au-delà du niveau neutre et c'est toujours une politique monétaire restrictive mais ces ajustements peuvent commencer.
- Une fois que la banque commence à gérer si cette voiture comme vous l'avez dit, nous sommes toujours à niveau restrictive, est-ce qu'on pense qu'il aura des réductions de taux à chaque réunion à partir de ce moment? Peut-être pas énorme mais pour amener le toit niveau plus bas?
- Oui c'est là où les marchés se sont emballés au début d'année. On pense essentiellement que les coupures de taux commencent à la fin du premier trimestre.
Pratiquement à chaque réunion par la suite. Contenu des données économiques à ces récits liantes qui ont récemment paru les perspectives de croissance demeurant forte, marché du travail demeurant bien portant, on pense que cette première coupure à travers Qu'il aura quelques coupures par la suite. Mais je pense qu'on a reconnu qu'il pourrait ne pas s'agir d'un cycle de coupure de taux très rapide avant qu'il y ait un choc de croissance.
Donc dans le scénario le plus probable la croissance légèrement supérieure à 0 % et l'inflation reflux, il se pourrait qu'il y ait des pauses de temps à autre afin que la banque puisse s'assurer que les coupures n'engendrent pas une relance de l'inflation, surtout sachant que le logement a déjà commencé à remonter légèrement, je pense que c'est la principale préoccupation.
La réunion de la Fed n'a pas lieu aujourd'hui, mais Jerome Powell s'est exprimé devant le congrès et encore une fois il a demandé davantage de temps, a demandé de la patience. Je pense qu'il a répété ce qu'il avait déjà dit auparavant et les marchés n'ont pas été surpris.
- Oui, c'est conforme aux autres interventions du gouverneur de la fête récemment. Aux États-Unis s'est particulièrement notable. La croissance à l'heure actuelle est plutôt dans la zone de 3 % de croissance du PIB, c'est au-delà du potentiel alors que Canada nous somme plutôt entre zéro et 1 %. Aux États-Unis, on verra ressente les chiffres de l'emploi mais c'est un risque accru que la croissance des salaires persistera, voir même accélérera. Il est donc justifiable pour la fête de prêcher la patience. Mais même avec un taux directeur de 5,5 % l'idée que certaine coupure d'ajustement pourrait commencer moi duré raisonnable car la dynamique de l'inflation a certainement réalisé un revirement depuis le mois de novembre et s'est reflété dans les cours du marché.
- Avec l'économie américaine qui donne d'excellents résultats, malgré les taux à ce niveau-là, ne pourrait-on pas arguer que le taux neutre pour les États-Unis beaucoup plus élevés qu'on le croit et peut-être que le taux actuel n'empêche pas l'économie de tourner à plein régime.
Pourquoi réduire les taux alors?
- Oui c'est tout à fait pertinent. On voit déjà cette thèse reflétée dans les cours du marché ou le taux terminal après la série de coupure ne se situe plus à un ou 2 %, c'est au-delà de 3 %. Il y a encore des discussions sur les marchés quant aux résultats escomptés. La Fed elle-même déterminera la fin du mois de mars dans son graphisme : quelles sont ses pronostics. Mais on considère que le taux neutre est sans doute plus près de trois ou 3,5 %. Ceci signifierait que les rendements obligataires en général, et beaucoup plus difficile de parvenir au niveau pré-pandémie où il y avait des taux inférieurs à 2 %. La situation de la croissance est beaucoup plus positive il y a beaucoup moins de sensibilité au taux d'intérêt. Aux États-Unis nous savons que les propriétaires de logements peuvent contracter des prêts hypothécaires jusqu'à 30 ans. Les entreprises ont également des dettes à long terme à la sensibilité automatique année puisqu'elle était passée plus difficile au Canada où nous devons renouveler notre hypothèque à tous les cinq ans. Il y a davantage de sensibilité à ce niveau-là. Il se pourrait qu'il y ait une divergence entre les deux économies.
- Si on conjugue tous ces éléments, qu'est-ce que ça signifie pour le marché obligataire cette année?
- Au début de l'année on partait du principe qu'après une forte remontée des rendements obligataires, il y aurait une fourchette assez serrée. Aujourd'hui le rendement des obligations canadiennes, bons du Trésor à 10 ans se situent entre trois et 3,7 %. Il y a une augmentation de 20 à 25 points de base rendement cette année qui reflète la croissance plus forte et ce qui entraîne un report des coupures de taux par rapport aux prévisions ambitieuses du début de l'année.
Nous évoluons dans une fourchette limitée car il est difficile de descendre en deçà de 3 % pour les rendements à 10 ans Canada, à moins qu'il y ait un choc de croissance inversement il est difficile de se rapprocher de 4 % comme ça été le cas lors dernier lorsque l'inflation se comporte de façon rassurante.
Ce que ça signifie pour les investisseurs, ce que vous pouvez tirer un revenu décent avec une certaine volatilité mais le revenu supérieur est relativement le principal facteur de rendement dans la vie c'est toujours attractif d'un point de vue historique.
- Excellent début d'émission. Hafiz Noordin répond à vos questions sur les titres à revenu fixe dans quelques instants. Vous pouvez nous le présente tant par courriel à moneytalklive@td.com dans la boîte de questions bas de votre écran.
À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les actions de la firme de cybersécurité CrowdStrike sont sous les feux de la rampe aujourd'hui. L'entreprise basée à Austin au Texas a dépassé les attentes de chiffre d'affaires et de bénéfices pour le trimestre mais ses prévisions pour l'année en cours sont plus élevées que prévues.
CrowdStrike annonce également qu'elle allait acheter fausse sécurité à un prix non divulgué dans le cadre de l'intensification de ses activités de fusions et acquisitions, action de CrowdStrike progresse de 13 %. Nous avons rapidement évoqué Foot Locker, action et sous pression aujourd'hui en baisse de plus de 29 %, détaillant de vêtements de soie présentée des résultats décevants pour la période important des fêtes de fin d'année. La compagnie a offert de fonds traduction court du trimestre ce qui a eu un impact sur le résultat net.
L'entreprise a également présenté des positions de vente peu encourageant pour cette année.
Chez nous, le géant des gazoducs et oléoducs Enbridge déclarent qu'il dépensera 500 millions de dollars américains pour de nouveaux projets au sud de la frontière. Notamment la prolongation de son oléoduc et ses installations au Texas ainsi qu'à l'achat de deux gares maritimes entre autres projets à 47 heures 58, action progresse de plus de 0,5 %. Le secteur de la technologie a dégringolé hier, ce qui a fait baisser les indices.
Alors est en hausse, le pétrole aussi, ce qui alimente de secteurs importants pour la bourse de Toronto. L'indice TSX composite progresse de 94 points. Aux États-Unis, une remontée après la braderie d'hier, indice S&P 500 progresse de 41 points, soit presque 1 %. Hafiz Noordin répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Ça, c'est une question qui se pose régulièrement. Est-ce qu'il y a une possibilité que nous n'ayons pas de réduction de taux cette année?
- C'est possible. Alors actuel en prévoit trois cas de coupure de taux. Au début d'année c'était plutôt 6 à 7 réduction de taux pour la Fed et peut-être cinq à six pour la Banque du Canada.
Comme j'avais commencé à le dire auparavant, aux États-Unis, il y a peut-être un risque plus important de l'inflation avec des niveaux de croissance très élevée, croissance du PIB de 3 %.
Dans la mesure où cette croissance pourrait se poursuivre et se répercuter, notamment sur une remontée des prix du logement et des loyers qui représentent l'élément le plus important de l'IPC aux États-Unis, 30 à 40 %.
Cela pourrait changer la donne. Mais je crois que pour l'essentiel, il faut nous baser sur les données, c'est la croissance du logement et des salaires si le marché du logement demeure serrer, il se reflétera dans les augmentations de salaire. Cela reste à voir, mais il faut avoir un processus d'investissement qui est flexible et agile. Nous avons appris depuis deux ans que ce que les marchés escomptent au début d'une année peut beaucoup évoluer en fonction des données.
Quant aux États-Unis, l'idée qu'il pourrait y avoir moins de trois coupures peut-être seulement une ou deux, c'est éventuellement possible au Canada quand on considère les tendances générales, je pense qu'il y aura vraisemblablement des coupures parce qu'il y a moins de pression émanant de la croissance économique. La version extrême de cette question serait non seulement à ce qu'il est possible qu'il n'y ait pas coupures de taux mais ce qu'il est possible qu'il y ait une hausse de taux? Quelles conditions devraient être réunies pour que les banques centrales après tout ce que nous avons vécu, et après qu'elle s'est dit qu'il n'y aurait pas de nouvelle hausse, quelles conditions devraient être réunies pour qu'elle change d'avis augmentait-t-on?
- L'inflation persistante. Il faudrait maintenir le taux directeur où il se trouve pour plus longtemps. Mais c'est une réelle accélération de l'inflation avec des niveaux plus élevés de croissance des salaires ou une augmentation des loyers.
Cela exigerait une évaluation de l'efficacité et de la suffisance un taux directeur de 5 % aux même 5,5 aux États-Unis. Ça, ça change la donne. Mais alors actuel, les cours du marché et les hypothèses d'inflations qui y sont incorporées, notamment les obligations liées aux inflations États-Unis sont toujours bénies. En prévoit une inflation de 2,5 % à l'horizon. Rien alors actuel ne laisse à croire qu'il y aurait un rebond important de l'inflation et une persistance de l'inflation, c'est toujours envisageable. Suit une autre question.
Il s'agit je pense à l'article universitaire est apparu il y a quelques semaines. Certains remettent en question l'utilité des obligations dans un portefeuille. Selon université avec les obligations ne comportent aucune valeur dans un portefeuille. Cela modifie notre compréhension de la gestion de portefeuille. C'est une expérience frustrante pour les investisseurs sur le marché obligataire si votre point de départ était il y a deux ans et que vous évaluez la période de deux ans qui vient de s'écouler.
Mais quand on prend du recul, l'idée des titres à revenu fixe se fonde sur deux éléments-clés. Tout d'abord le revenu. Il faut avoir un coupon de votre portefeuille, et deuxièmement une certaine diversification par rapport aux actions.
Historiquement, il y a eu une corrélation négative entre les obligations du gouvernement notamment et les actions. Si les actions dans un portefeuille diminuent, en général il y a une plus-value dans les obligations du gouvernement qui compense cette baisse. Ce qui s'est produit récemment, et je crois que c'est ce qui motive un certain nombre d'analyses comme celle que vous évoquez, c'est qu'il y a eu une évolution de ces corrélations lesquelles sont devenues plus positives. C'est-à-dire que quand les actions baissaient les obligations en fait aussi. C'est l'année 2022, qui vient à l'esprit. C'est frustrant mais ça se produit beaucoup parfois, pourquoi, à cause de l'inflation. L'inflation peut fausser ses relations historiques entre différentes catégories d'actifs. Si vous vous inquiétez à l'idée que l'inflation pourrait être élevée et prolongée, oui, il faut réévaluer la corrélation prospective entre les obligations des actions. Mais de mon point de vue, même si l'inflation est persistante et ne diminue que progressivement nous allons franchir ce seuil et parvenir un environnement d'inflation plus normale et plus stable, une incertitude règne toujours dans l'économie, faisons dépasser cette phase, les obligations et les actions vont revenir à leurs relations historiques, c'est-à-dire que les obligations peuvent servir d'amortissement. Tout dépend de votre environnement temporel, votre horizon temporel pour les investisseurs longtemps il faut être patient. Pour l'instant si vous investissez dans les titres à revenu fixe vous êtes payés pour attendre que les obligations de sociétés de qualité vous procurent quatre à 5 % de rendement s'est largement au-delà du rendement des dividendes ou du S&P 500 qui se situe à 1,5 %. Il s'agit de s'assurer que votre horizon temporel correspond processus de répartition d'actifs. Suit une question intéressante. Un spectateur de savoir ce que vous pensez des marchés émergents.
- Alors donc, les marchés émergents ont eu une excellente année. Les marchés émergents ont surclassé l'an dernier.
L'idée de la désinflation, beaucoup de marchés émergents ont vu une hausse de l'inflation plus rapide, ils ont pris l'initiative de relever les taux considérablement et l'inflation a commencé à refluer plutôt que cela n'a été le cas sur les marchés développés. Il y a eu d'excellents rendements l'an dernier.
Toutefois, globalement, lorsqu'il y a un goût du risque élevé dans le monde, rendement des obligations stables ou en baisse et un dollar américain stable ou en baisse, en général c'est un bon moment pour les marchés émergents avec les titres à revenu fixe les marchés émergents. C'est toujours une catégorie d'actifs intéressantes, mais quand vous considérez les valorisations comme dans beaucoup d'actifs à risque, valorisation sont devenues un peu plus difficiles comme point de départ. Il faut examiner le marché pays par pays. Je vous suggère de vous concentrer sur les marchés à rendement élevé ou le revenu est nettement plus élevé que les rendements des obligations canadiennes, mais les marchés émergents de première qualité ou la politique budgétaire est stable et où la politique politicienne n'est pas un risque. Le Mexique est un très bon exemple.
Le pays est très axé sur l'économie américaine, la croissance a été solide il y a beaucoup de capitaux étrangers qui affluent au Mexique, le thème de la relocalisation est excellent et cela à assurer la stabilité du président mexicain préfère acheter une obligation mexicaine sur 10 ans est réalisé 9 %, 6 % de plus qu'au Canada. Avec une monnaie qui est relativement stable. Je pense que c'est un type d'occasion, il y a un autre cas, ce serait l'Indonésie ou en Asie, alors actuel en général, inflation n'est pas très élevée. Ça, c'est également une situation favorable à l'investissement dans le marché obligataire. L'inflation n'est pas élevée en Indonésie, inflation de 3 % alors actuels qui n'est pas très élevé. Vous pouvez obtenir des revenus stables, en Indonésie les obligations apportées à cette pour cent. Donc voilà le genre d'occasion qu'on peut saisir des marchés émergents avec une note triple B qui vous procure un avantage net au niveau du revenu par rapport au Canada. Si le dollar américain repart, est-ce que ce serait le risque clé? Oui, ce serait le risque que les mettons pour le Mexique qui est encore une fois très liée à l'économie américaine, bénéficie lorsque les États-Unis se portent bien, mais en même temps les rendements obligataires peuvent afficher une volatilité semblable à celle des obligations américaines. Dans ce serait l'élément-clé à surveiller et c'est là où les investisseurs sur les marchés émergents doivent procéder de manière active avec une sélection pays par pays plutôt que d'acheter de détenir, faut avoir un programme de couverture en place pour couvrir l'exposition aux devises s'il y a un risque de choc.
- Fait toujours propre recherche avant de prendre une décision de placement. Hafiz Noordin répond à d'autres questions sur les titres à revenu suffisant quelques instants. Vous n'aurez pas en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com. À présent poursuivre la découverte de CourtierWeb.
On parle de titres à revenu fixe, parlons d'échelonnement des obligations passées une stratégie d'État revenu fixe les investisseurs pas envisagés. Caitlin Cormier formatrice à Placements directs TD va nous montrer comment mettre en place un échelonnement. Caitlin, bonjour. Parlons des salons d'obligations.
- Bonjour, Greg. Je me suis dit que ce sera un thème approprié puisqu'on parle justement de titres à revenu fixe de taux d'intérêt. Qu'est-ce qu'un échelon obligations? Il s'agit d'une stratégie de titres à revenu fixe dans laquelle investisseurs achètent de multiples obligations avec des dates d'échéance multiples. Chiffrer en mois ou plus souvent en année, souvent il y a différents types d'obligations de société et du gouvernement. Pourquoi procéder ainsi, c'est afin d'avoir une meilleure prévisibilité des revenus futurs. Vous savez qu'il y a des obligations qui arrivent à échéance au cours des années à venir, vous savez à quoi va ressembler votre revenu il y a également la liquidité. Si vous avez des obligations Kardashian chaque année plutôt que les avoirs verrouillés pendant cinq ans si vous contenez les cas échéants ça vous procure davantage de liquidités de ce point de vue. L'idée d'investir dans plusieurs obligations permet de réduire le risque, à différente note de crédit, diversification au niveau du rendement, certaines des obligations société rendement plus élevées que les obligations de gouvernement, la note plus élevée, il s'agit de lisser les sources de revenus et d'assurer la diversification.
L'échelonnement des obligations.
- Très bien. Maintenant que nous expliquons ce que les flamands obligations de son utilité, à titre de stratégie d'investissement, parlons des outils qui peuvent nous aider en création CourtierWeb.
- Voilà. Donc allons sur la plate-forme.
Nous cliquant sur recherche puis sous la rubrique placement, sans revenu fixe.
Voici le portail où tous les produits à revenu fixe affiche.
Choisissant une ou deux obligations pour inclure dans un échelonnement hypothétique. Voici donc les liens rapides qui regroupent des catégories de titres à revenu fixe et notamment différent types d'échéance. Choisissant une obligation de société qui a une échéance de 60 à cinq ans. Choisissant au hasard, mettant une date d'échéance 2027, et je vais choisir au hasard voilà. Dollar américain, pourquoi pas. Dans General Motors, au hasard. Je vais cocher la case et ensuite je remonte et je vais sélectionner en fait, j'ai commencé un échelonnement qui s'appelle Mars, alors je l'ajoute au portefeuille. Vous voyez que j'ai déjà deux autres obligations. Il y en a une qui arrive à échéance en 2031, j'en ai dont 2027. Alors ça ne fait pas beaucoup diversification, mais tant pis on va en ajouter. Revenons à l'accueil. Hélas je vais choisir une obligation du gouvernement du Canada à échéance un peu plus longue. Choisissant mettant une date qu'on n'a pas déjà, les dates d'échéance entre milieu, disons 2029.
Encore une fois, nous n'incluons pas dans ce portefeuille, encore une, afin d'en avoir cinq. Hélas, mettant une obligation provinciale, cinq à 10 ans. Voici les différentes provinces qui aimaient des obligations. Choisissant 2030. La province de Terre-Neuve, pourquoi pas. On ajoute cette obligation notre portefeuille.
Alors voici un portefeuille qui comporte cinq obligations avec différents taux de coupons, différentes échéances, différents prix. Certaines des rendements sont semblables, mais nous allons ajouter une quantité, alors je vais mettre 10 000 pour l'instant. Simplement à titre d'illustration. Ensuite, on va cliquer sur calculer et puis sur créer un rapport d'échelonnement.
Alors donc je vais afficher le rapport qui montre cet échelonnement proposé. Donc la quantité, la valeur de marché, mais il y a également le rendement à maturité.
Le rendement annuel, la durée jusqu'à l'échéance, l'intégration qui a trait aux changements de taux d'intérêt ce qui est important parce qu'on prévoit des changements de taux d'intérêt, c'est le changement de courant pourcentage auquel on peut s'attendre sur le portefeuille si les taux d'intérêt changent de 1 %. On voit également le revenu annuel total, donc de 1100 $ de revenus par an de ses obligations. Il y a ensuite un rapport un peu plus étoffé qui montre quels sont les mois pendant lesquels on peut s'attendre à revenu. La répartition d'actifs, c'est-à-dire les différents types d'actions que nous détenons, entrevoir le profil échéance, c'est-à-dire quand seront les échéances, ainsi qu'une ventilation des notes de crédit pour voir la diversification.
- Beaucoup d'informations affichées dans ce rapport. Cela permet de réunir un certain nombre d'obligations et de savoir à quoi cela ressemblerait si vous achetiez. Merci, Caitlin Cormier. Suite je vous en prie. Caitlin Cormier formatrice à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb où vous trouverez encore plus de ressources.
À présent, je vous rappelle comment nous poser vos questions. Avez-vous une question sur les placements? Ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser soit par courriel à Moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Hafiz Noordin répond à d'autres questions sur les titres à revenu fixe. Quel impact de la Banque du Canada aura-t-elle sur le marché du logement? C'est une question épineuse. On la pose souvent, cette question.
- Oui, à la conférence de presse et plusieurs questions justement au sujet du logement. La difficulté tourne autour du fait que maintenir les taux plus élevés plus longtemps entraînent des risques pour ceux qui ont contracté des prêts hypothécaires à taux variable. Et même à taux fixe, car lorsque ceux-ci arrivent à échéance d'ici un ou deux ans, ils seront renouvelés un taux d'intérêt plus élevé.
Il s'agit d'éviter que cela n'engendre un effondrement du marché du logement et de l'économie en général d'une part, et d'autre part la nécessité de ne pas réduire les taux trop rapidement sans que l'inflation ne sont revenus ou ne soit en voie de revenir à 2 %. C'est un équilibre délicat à établir pour la Banque du Canada. À cette réunion, la Banque du Canada n'a pas mis à jour son rapport sur la politique monétaire mais l'offre mois d'avril périodiquement, la Banque du Canada fait des mises à jour sur l'évolution des prêts hypothécaires, sur la manière dont la banque envisage ce mur d'échéance sur le marché du prêt hypothécaire et son évolution d'ici un ou deux ans. Pour l'instant, la Banque du Canada ne trahirent guère d'inquiétude quant au rebond de l'activité sur le marché du logement. Ce phénomène est en parti saisonnier de toute façon, mais un moment donné s'il y a suffisamment de remontée des prix cela pourrait alimenter les inquiétudes quant à une contagion déloyaux Canada. Nous n'en sommes pas encore là mais ce sera un équilibre délicat à établir. J'ai trouvé intéressant qu'après la décision la première question qui était posée au Canada porté sur l'immobilier mais pas l'immobilier résidentiel mais l'immobilier commercial.
Le gouverneur Roger s'est contenté de dire qu'il y a une revue du système financier qui s'en vient. Nous surveillons ce secteur de l'immobilier commercial mais c'est différent Canada des États-Unis.
C'était intéressant que ce soit la première question qui était opposée à la banque.
- Oui, il s'agit, si quelqu'un envisageait un risque extrême, il s'agit d'un cas typique car cela engendrait beaucoup de volatilité aux États-Unis dans le secteur des petites banques régionales.
Nous avons des analystes spécialisés dans la dette qui ont étudié cela et ont procédé à des analyses fondamentales.
L'idée que certaines banques seraient en difficulté demeurent anecdotique nous savons qu'au Canada notre secteur bancaire est beaucoup plus concentré dans des grandes banques à grandes capitalisations qui sont beaucoup plus immunisées contre les risques. Il y aura des revues de la stabilité financière sur ce point mais pas nécessairement risque important pour l'économie canadienne.
- Intéressant dossier immobilier. La deuxième économie du monde, on parle constamment d'un ralentissement de l'économie chinoise. Devrions-nous nous en inquiéter?
Cela pourrait-il affecter les marchés?
- Oui c'est toujours inquiétant quand la Chine qui a impulsé une si forte part de la croissance mondiale depuis quelques décennies éprouve des difficultés à rehausser la croissance. Le gros problème, c'est l'endettement, la vie dans son économie et surtout le marché du logement.
Il y a un débouclage de levier sur le marché de l'immobilier. Une bonne partie de l'ajustement Chine au niveau de la baisse des prix des actifs s'est déjà produite quand on considère le prix des actifs chinois, une bonne partie de ce scénario est déjà répercutée. Donc le point de départ est relativement plus intéressant. Il est difficile de savoir où cela se dirige mais ce qui compte plus pour l'économie canadienne ce sont les produits de base. Quand on songe à la manière dont la demande chinoise nous affiche, le cuivre, le pétrole particulièrement. De ce point de vue là, encore une fois les produits de base ont d'ores et déjà reflétés une baisse de la demande, mais on suppose toujours une croissance de 5 %. Donc il faut que nous continuons de surveiller cela de près. La capacité des pouvoirs publics chinois à gérer une croissance plus faible est-elle remise en question, et cela peut-il engendrer une baisse décisive des cours des produits pas? Cela affecterait l'économie canadienne. Pour l'instant une croissance plus faible que prévu en Chine est incorporé dans beaucoup de scénarios.
- Une autre question. Avec la courbe de rendement actuellement inversé dans l'hypothèse d'un horizon supérieur à cinq ans est-il judicieux d'investir uniquement dans la partie initiale est de renouveler l'échéance? Nous ne pouvons pas vous donner de conseils de placement sur cette plate-forme et l'acompte de rendement s'inverse et ça fait depuis si longtemps, on n'en parle plus. Qu'est-ce que ça signifie pour les investisseurs?
- Entrant dans les mathématiques obligataires pendant un instant. Il faut se rappeler que la courbe des rendements normaux va en remontant. Mais tant que l'obligation à trois ans et à 5 %, l'obligation normalement, quand vous achetez l'obligation à cinq ans, vous touchez un revenu, un coupon d'environ 3 %. Mais un an plus tard, vous avez également bénéficié d'une plus-value parce que le roman de cette obligation va passer de trois à 5 %. Nous savons que dans les pratiques qui obligataires, quand le rendement diminue le prix des obligations augmente.
Ce qui se produira actuel, c'est qu'avec une coupe de rendement à verser cet effet négatif, OK parce qu'il n'y a pas vraiment de possibilité de tacher de capturer la plus-value des obligations uniquement en fonction du passage de 85 ans, de fait, il y a un certain recul du cours des obligations dans cette transition pendant se rendre ment, on se concentre sur le redevenu, c'est le facteur principal du rendement total dans l'avenir et c'est le revenu. Et puis au-delà de cela, si on investit sur cinq ans, 10 ans, 30 ans, l'évolution des rendements obligataires à la baisse à l'inflation, qui baisse également c'est ça qui va engendrer l'effet sur le cours des obligations et pas seulement la façon dont il progresse en la courbe. Suite Hafiz Noordin ré ? Sur les titres en diffusant quelques instants.
Faites vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions en tout temps. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez me les poser soit par courriel à Moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions en bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
À présent un coup d'œil sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs et proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser l'évolution du marché. Voici le TSX 60 en fonction du cours et du volume. Le cours du brut de référence américain progresse un peu plus de 2 %. Lors continue d'atteindre de nouveaux records, 2553 $ l'once. Alors comment cela se répercute-t-il sur les marchés? Le secteur minier progresse.
Kinross d'un peu plus de 3 %, Barrick Gold un peu plus de 3 %. Les grands titres pétroliers sont à la hausse, mais légèrement, Suncor est à la hausse de un an et 1/3 %. Aux États-Unis, Jerome Powell réitère son discours déjà connu. La banque centrale n'est pas préparée dans l'étau pour l'instant. Les marchés assimilent et se tournent de nouveau vers le secteur de la technologie après une baisse qui a touché le secteur. Aujourd'hui NVIDIA est en progression de 3,5, AMD de 3,5, Intel de 5 %. Le secteur de la technologie est donc en forte progression. On pourrait sans doute ajouter le terme d'intelligence artificielle. Pour vous enseigner sympa ton avancée visitait le site Web de Placements directs TD. Hafiz Noordin de Placements directs TD répond à vos questions sur les titres à revenu fixe.
Que pensez-vous des obligations d'entreprise?
- Les obligations d'entreprise ont extrêmement bien terminé l'année 2023 et continue à surclasser les obligations du gouvernement cette année avec un niveau de revenus plus élevés. Généralement parlant il faut songer aux données fondamentales dans le secteur des titres de créance.
Est-ce que la croissance économique paraît solide?
Est-ce que la croissance des bénéfices suit le rythme, et la réponse est oui aux deux questions. Et la consommation, tout cela est fondé sur une bonne consommation, soit aux États-Unis sur les marchés développés en général. De ce point de vue, les obligations d'entreprise ont beaucoup de bon sens.
En termes de sous-pondération par rapport aux obligations du gouvernement. Il y a un rendement supplémentaire de 100 points de base dans les obligations de sociétés de première qualité aux États-Unis, au Canada c'est plus élevé, 130 points de base en moyenne de revenus supplémentaires. Donc le risque principal toutefois, c'est le point de départ pour les valorisations.
Les écarts de crédit se sont beaucoup rétrécis et aux États-Unis, il se situe environ 10 à 15, le 15e percentile, c'est-à-dire vers le bas de la gamme historique, mais au Canada, c'est un peu plus attractif à 130 points de base, il s'agit du niveau moyen historique. Bon. Je pense qu'il s'agit de savoir où dans l'univers des obligations il faut investir pour les obligations sociétés canadiennes intéressants l'actuelle. La seule autre considération est la suivante : sachant que les écarts ont beaucoup diminué il est propice d'avoir une part de votre portefeuille dans les obligations du gouvernement liquide pour profiter le cas échéant s'il y avait un choc quelconque et qu'il y avait une braderie des obligations société. Il faut avoir cet équilibre. On touche revenu plus élever mais on s'assure qu'on soit prêt à acheter davantage d'obligations sociétés dans un portefeuille s'il y a une meilleure valorisation. Les obligations de sociétés de première qualité d'accord, mes obligations au rendement?
- S'est semblable au niveau des données fondamentales quant à la croissance des bénéfices, c'est positifs pour les obligations rendement sont toujours assez corrélés avec les actions à long terme, rendement total est corrélé à 60 % avec celui des actions. Les obligations rendement élevées évoluent avec l'ensemble des marchés des actifs à risque. Mais toutefois quand on considère le rendement global c'est très positif. L'indice des obligations rendement élevées donne 8 %, historiquement la moyenne de 6,5. Comme beaucoup d'investisseurs envisagés obligations rendement élevés, ils y allouent des capitaux en fonction du rendement global, mais quand on fait l'analyse, une grande partie de ce rendement plus élevé provient des obligations de gouvernement, les obligations rendement élevées comme les obligations sociétés sont cotées rendement des obligations, plus un écart. Cet écart est actuellement 300 points de base, la moyenne à long terme est plutôt de 400 un peu plus de 400 points de base. Donc elles sont un peu coûteuses au niveau des écarts, mais compte tenu des données fondamentales très forts de l'économie, elles valent la peine d'y répartir les capitaux, il s'agit de s'assurer qu'on évite les obligations de sociétés qui pourraient subir une dégradation de leurs notes, celle de triple c'est ou plus basses. Donc la sélection de l'activité titre à rendement élevé est essentielle.
- Une autre question. Le budget, attendez fixer, c'est le 16 avril. Est-ce que vous allez surveiller quelque chose?
- Oui, d'un côté qu'est-ce qu'il nous faut au niveau de la politique budgétaire. Pour le Canada, la grande préoccupation, de mon point de vue quand je pense volontaire, c'est de savoir comment nous pouvons nous assurer que la croissance potentielle du PIB progresse par rapport au point où elle en est. La productivité est appelée au Canada. Ce que je veux dire par là, c'est que nous recherchons des mesures visant à accroître la capacité productive de l'économie. Le logement, c'est un domaine dont on a beaucoup parlé aujourd'hui, comment l'offre de logements répond à la croissance démographique plus élevée que nous avons constatée au Canada. C'est un domaine critique dans lequel le gouvernement devra agir. Au-delà de ça, il y a les autres secteurs de l'économie où nous devons investir la capacité productive.
Si on avait cinq dollars, il faudrait produire plus d'un dollar. Les États-Unis ont une économie très dynamique, intelligence artificielle, beaucoup d'innovations intégrées au niveau de l'économie américaine, il faut faire en sorte que nous aussi évoluant dans la même direction. Voici les grands éléments. À titre d'investisseurs dans les titres à revenu fixe recherchant également les tendances des missions en fonction des besoins du gouvernement en matière d'emprunt. Les émissions sur le marché des obligations du gouvernement peuvent engendrer une certaine volatilité à certains points de la courbe de rendement.
Les obligations du Canada 30 ans sont assez basses par rapport aux obligations à 10 ans.
Il y a une courbe inversée des obligations de 30 ans qui donnent 10 points de base de moins que les obligations réticents. Et la plupart des autres marchés dans le monde, c'est l'inverse. Il y a des rendements plus élevés à 30 ans qu'à 10 ans. Ce que cela signifie, c'est qu'il y aurait potentiellement une occasion pour le gouvernement d'émettre davantage à 30 ans là où les coûts d'emprunt sont moins élevés, cela affecterait certainement la manière dont on envisage l'exposition à la cour dans un portefeuille à revenu fixe en évitant les obligations à 30 ans et en favorisant des obligations à plus courte échéance. Ce sont des éléments qu'il faut surveiller. Nous n'avons plus le temps de vous poser des questions mais avant de séparer je voudrais revenir au début notre entretien. La Banque du Canada, la lutte contre l'inflation n'est pas terminée affirme-t-elle. Où cela correspond-nous?
Malheureusement pas beaucoup de gens qui veulent une réponse il faut toujours rester dans l'attente et surveiller les données.
Les données sur l'inflation, les données sur l'emploi, les statistiques connaissaient également très important de surveiller les indicateurs prospectifs au niveau de l'inflation de la croissance. En supposant que le regroupement de tous, qu'est-ce que cela va donner en matière d'inflation et de croissance? Est-ce que c'est durable ou non? C'est le grand débat alors actuel. D'ici là, du point de vue des investissements, il reste d'excellentes occasions de réaliser des revenus élevés dans les obligations de sociétés de qualité, rien ne change, cette stratégie pour leur part il faut s'assurer vous avait des liquidités dans votre portefeuille et que vous êtes prêts à agir si les données font changer la donne.
- Merci Hafiz Noordin j'ai beaucoup aimé notre entretien.
- Aussi.
- Hafiz Noordin de gestion de placements TD. Comme toujours, faites vos propres recherches avant de prendre une décision de placement et reste à l'écoute. Demain, Jared Abluss de gestion de placements TD va répondre à vos questions sur le secteur de la santé. Vous pouvez nous les poser d'ores et déjà par courriel à moneytalklive@td.com. Merci et à demain.