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(musique) Bonjour Ici Greg Bonnell, bienvenue à parlons argent en direct Parlons d'argent en direct une mission de place Placements direct TD de Placements direct TD nos invités répondent aux questions sur les placements. Aujourd'hui, je m'entretiens au sujet des leçons à tirer de chiffres moins élevés que prévu de l'inflation aux États-Unis avec Hafeez Noordin qui travaille pour la gestion ratisse TD. Nous poursuivons le courtier Web. Agrées au dos agrée dodo Hafeez Noordin va répondre à vos questions. Vous pouvez nous poser vos questions est d'abord un coup d'œil sur les marchés. Des réactions aux chiffres de l'inflation aux États-Unis inchangés sur un mois, moins élevés que prévu sur 12 mois, une remontée des actifs à risques, y compris des actions, 19 860: l'indice TSX une solide hausse de 1,5 % une légère baisse des prix du brut qui tourne autour des 90 $ le baril pour le pétrole WTI. Air Canada est en progression aujourd'hui beaucoup de conclusions en tirer, plus de 2008 % ou le plus important pour le transporteur aérien peut bien entendu le carburant. Le producteur d'énergie rétrograde à cause de la baisse au cours du pétrole Athabasca est l'une des actions les plus négociées à la bourse de Toronto en chute d'un peu plus de 1 %. À présent, les bourses américaines réagissent aux chiffres moins élevés prévus de l'inflation pour la plus importante économie du monde. Le S&P 500 des marchés américains progressent au moins de 2 % l'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie progresse encore plus d'avantages que de lui 2,5 %. (...) À présent, écoutons Hafeez Noordin spécialiste des portefeuilles mondiaux. Voici les statistiques nous attendions les marchés boursiers qui réagissent. - Bien sûr. Tout le monde est à la fête aujourd'hui il y a presque un an que l'IPC américain n'a pas été plus élevé que les attentes du consensus des analystes. Les marchés se sont situés juste avant l'annonce IPC et qu'il était systématiquement plus élevé que prévu. Cette fois les économies s'attendaient à 8,7 % sur 12 mois au mois de juillet et le chiffre de 8,5 % beaucoup plus élevés toujours très élevés, mais moins que prévu. Je crois qu'il s'agit d'un chiffre qui va certainement renflouer la confiance, mais l'inflation ne capitule pas. - Oui, les détails sont toujours très importants. Vous avez parlé de l'inflation de base qui est à 5,9 % contre des prévisions de 6,1 %. Que faudra-t-il pour que la fête soit rassurée? - 0 % de moisson est-ce qu'il y a des éléments qui sont un an de cette inflation de base bien sûre. Les prix du logement sont particulièrement à surveiller. Ils ont légèrement baissé ils étaient à 0,6 à présenter une ville cinq mais la tendance est très claire. Or, le coût du logement détermine une forte partie de la courbe de l'IPC. Et c'est relié au cycle lorsque les salaires augmentent, ce qui est le cas, les coûts de logement ont également augmenté. Les prix de logements augmentent de 6 % sur 12 mois. C'est là où la Fed a du pain sur la planche. Les chiffres qui commençons abaisser les billets d'avion, les prix des automobiles qui ont eu un effet démesuré sur l'inflation récemment. Commence abaisser, ce qui a entraîné des chiffres moins élevés que prévu mais l'inflation du logement et des services de base demeurent plus élever que prévu. Et permanentes plus permanents que prévu. Les participants des marchés commencent à affiner leur pari à l'égard de l'augmentation de 75 points de base à la fête. Peut-être pense-t-on que ce ne sera que cinq points de base, 50 points de base. Un mois de statistique ne constitue pas une tendance bien sûre. Je pense que pour l'essentiel, nous savons ce qui va se produire d'ici la fin de 2022. Nous savons que le fait de la banque du Canada vont, d'une façon ou d'une autre, parvenir un taux directeur de 3000 %. Que ce soit une augmentation de 75 points de base les augmentations moins élevées plus tard ou 50 points de base en septembre, je pense que les attentes vont évoluer d'ici un mois ou un mois et demi. 50 points de base et peut-être plus probable que 75 mais il faut attendre et encore des statistiques de l'emploi comme ceux du travail un secteur très important. En ce qui concerne non seulement la croissance des salaires, mais encore la mesure dans laquelle le projet de travail est serré. La croissance des salaires est un indicateur prospectif très important de l'inflation. Il y aura donc volatilité, nous savons que l'effet de la banque du Canada vont continuer d'augmenter d'ici la fin de l'année. Et passer la fin de l'année, certains participants sur le marché pari que nous serons parvenus à la fin du cycle, ainsi qu'un cycle très rapide, beaucoup plus qu'on aurait prévu en pleine pandémie, mais fois passait ce cap de la fête de l'année, on pense qu'il faudra commencer à sabrer dans les taux est-ce trop optimiste? - On a parlé de la bascule de la Fed en terme inventé récemment qui déterminait certaines réactions du marché. Beaucoup de participants pensaient que la Fed commençait à afficher un plus grand optimisme, ce qu'elle entraînée des augmentations dès le deuxième trimestre de l'an prochain. Je pense qu'il s'agit moins d'une bascule que d'une tentative par le fait de se ménager une certaine marge de manœuvre. Puisque la gamme des résultats possibles pour la croissance comme pour l'inflation est tellement vaste et tellement large d'ici six à 12 mois. Je crois que c'est pourtant une certaine activité on prévoit toujours des coupures de tout l'été prochain ce qui laisse entendre que même si l'inflation pourrait être 4 % l'an prochain, les chiffres de croissance devront suffisamment pour que la Fed réalise des coûts moins levés. C'est là qu'il faudra surveiller les données. Si l'économie aux États-Unis et au Canada et résiliant, c'est la partie de la cour de rendement qui pourrait connaître une évolution si nous nous en tenons à ce taux directeur respectif de 350 à 360 soit, 75 %. Parlons de la coupe de rendement autrefois lorsqu'il y avait moins de volatilité, l'inversion de la courbe à deux ans et 10 ans nous laissaient croire que des époques difficiles s'en venaient peut-être même une récession. Cet indicateur est-il toujours aussi important où la volatilité est-elle si important que l'on ne peut plus signifier? - L'inversion de la courbe de rendement toujours est un phénomène intéressant. Oui, historiquement, elle précède récession, mais le délai entre l'inversion et la réception peut varier beaucoup. Varier de moins d'un an à plus de cinq ans. Cela dépend du cycle. On prend avec un peu de recul on peut constater que les obligataires affirment bien… (.. .) Il faut donc prendre un peu de recul et oui le marché obligataire est le bien on se rapproche de 2 % je crois que c'est là où il y a un certain scepticisme les taux sur deux ans doivent donc sans doute demeurer élever. la croissance sera-t-elle au rendez-vous? C'est cela qui déterminera si le taux à 10 ans diminue considérablement par rapport au taux à deux ans, ce qui commence à laisser entrevoir une récession. Cela dépendra des statistiques. Au niveau mondial, au Royaume-Uni par exemple, les pronostics de récession se font plus nombreux que dans d'autres économies développées. On a parlé des éléments plus permanents de l'inflation de base il y a quelques instants et ça a l'air d'une certaine permanence, il est difficile de revenir sur les augmentations de salaire, on part du loyer, les coûts de logement. Est-ce qu'il y a des gros cœurs? - Une statistique est moins élevée que prévue, peut-être tenter le pays de l'inflation. Quels sont les facteurs imprévisibles? - Les coûts de l'énergie seront toujours volatils. L'inflation de base exclut l'alimentation cholinergique. La réalité, c'est que les prix de l'alimentation de l'énergie ont beaucoup beaucoup augmenté pour les consommateurs, non seulement dans les prix actuels, mais encore dans les attentes à l'égard de l'inflation. Si vous voyez que les prix à la pompe et au supermarché sont plus élevés, cela a un. Un impact psychologique. Le prix de l'essence baisse, les prix de l'alimentation continue d'augmenter. Ce sont des éléments qui me préoccupent, car il pourrait facilement entamer un mouvement inverse en fonction de l'évolution de la situation en Russie et en Ukraine l'effet des sanctions. C'est le facteur imprévisible. Par ailleurs, les prix du logement affichent une tendance qui demeure très permanente, il ne s'agit pas de facteurs imprévisibles. Si les attentes à l'égard de l'inflation reculent, il faut toujours se rappeler que c'est le logement qui affecte tout. - Merci pour ces aperçus. Nous posons vos questions à Hafeez Noordin au sujet de l'inflation. Vous pouvez nous rejoindre en tout temps par courriel à cette adresse courriel ou dans la voie de questions au bas de votre écran. Mais d'abord, un coup d'œil sur l'actualité des marchés. Elon Musk encore vendu un bloc de tesla. Il semble que Elon Musk se constitue un trésor de guerre au cas où il perde sa bataille juridique contre Twitter. Dans un tweet, le président de tesla annonce qu'il est important d'éviter une vente d'urgence des actions de tesla s'il est obligé de conclure l'achat de Twitter et que ces financiers ne sont pas présents. Les ventes dans les pharmacies ont été aidées à mes trois augmenter ses bénéfices pendant le dernier trimestre et l'exploitant de supermarché déclare qu'il sait en ce que les ventes d'alimentation augmentent plus rapidement au cours des trimestres à venir. Métro avertit toutefois les investisseurs que les pressions inflationnistes les pénuries de main-d'œuvre continue d'être pire que la normale. S'il est difficile de prédire compte ont un premier temps ces pressions pures persisteront il pourrait fuir aux marges bénéficiaires. Ouest. Les uns annoncent qu'il réduit de manière permanente la production dans trois de ses installations, puisque les problèmes de transport et d'approvisionnement en bois doive continuer à exercer des pressions sur l'entreprise et ses actions marchées. Cette compagnie déclare qu'il prévoit réduire l'impact sur le personnel en offrant des emplois dans ses autres installations. À présent, les indices boursiers. L'indice TSX composite est en hausse de 1/2 % aux États-Unis, la hausse est encore plus prononcée les 10 pistes S&P 500 4202, une hausse de presque 2 %. Nous revoici en compagnie de Hafeez Noordin gestionnaire chez gestion d'actif Tedey. Première question: le moment est-il venu d'acheter des obligations? - Les arguments en faveur des obligations à long Duration sont plus convaincants qu'il y a un an. Le degré de revenus que vous touchez avec une obligation à 30 ans aux États-Unis et au Canada tourne autour de 3 %. Il y a eu beaucoup de volatilité et on s'inquiète du bon moment choisir pour se lancer sur le marché des obligations longues durées. La réalité, c'est qu'il est difficile de prédire ce que sera l'évolution de l'inflation ou d'autres facteurs économiques. Mais un investisseur qui investit pour le long terme, les obligations aventuraient les titres à revenu fixe rejoindront dans un portefeuille. Non seulement touchez-vous le revenu, mais encore, cela va jouer un rôle lorsque vous parviendrez un environnement très cessionnaire ou lorsque les actions seront en baisse à cause du recul de la croissance et là, les obligations longues durées peuvent contribuer à protéger le rendement de votre portefeuille. Il vaut la peine d'étudier cela dans la construction de portefeuille, ça dépend de l'horizon temporel. Il ne faut pas essayer de synchroniser le marché, cela parfois du bon sens de se déployer progressivement en fonction d'une stratégie. - On parle de construction de portefeuille de stratégie. D'après certaines questions qui nous ont été posées depuis l'inauguration de la mission, certaines personnes ont perdu l'idée… ont perdu confiance dans l'idée du portefeuille 40 60, parce que les actions des obligations ont piqué du nez en même temps. - La situation est différente aujourd'hui, mais les investisseurs ont semblé branler. - Bien sûr. Nous étions tellement habitués un environnement dans lequel l'assouplissement quantitatif déterminait le rendement de toutes les catégories de placements or, l'inflation change la donne. Les banques centrales ont dû cesser d'irriguer le marché, surtout les corrélations changées. Lorsque les actions baissées, les applications baissaient également. Il s'agit d'un changement d'ambiance qui a effectivement fait perdre confiance à certains. Il y a toujours de nouvelles méthodes de concevoir le portefeuille 40 60 mais encore une fois, sur ce ton sur le long terme qu'on prévoit que l'inflation finira par baisser, il existe toujours une corrélation en vertu de laquelle les obligations peuvent jouer le rôle d'amortisseur. Pour que tout cela est avoir à venir, il faut attendre que l'inflation s'apaise réellement et nous n'y sommes pas encore. - Une nouvelle question de nos spectateurs: les créances d'entreprise. D'après vous, qui sera l'évolution des obligations d'entreprise? - Des obligations d'entreprises sont plus intéressantes en termes de valorisation cette année. Une obligation d'entreprise de première qualité, avec une triple BO plus élevée, l'écart moyen n'est autour de 90 points de base au début de l'année et maintenant s'établit à 140 points de base. Il y a donc un écart qui est encore plus intéressant par rapport aux bons du trésor des obligations d'entreprises sont moins coûteuses par comparaison. - Les valorisations des entreprises sont attribuables aux fêtes d'abord que les bénéfices des entreprises se portent très bien. Et d'autre part, nous savons que les banques centrales possèdent des mesures de resserrement, les attentes à l'égard de la croissance diminuent, il va sans doute y avoir des difficultés pour les obligations d'entreprise lorsque les banques centrales doivent procéder à ces resserrements. Mon point de vue est le suivant. Des obligations d'entreprise excellent qui ont un bilan sain peuvent survivre à une récession sont assez bon marché. En revanche, il faut éviter les obligations triple ces taux de défaillance est plus élevés les entreprises ne survivront pas nécessairement une récession. Évitez donc les obligations vers le bas de la gamme des de crédit. Dès que j'ai vu cette question je me suis interrogé sur le pilou face de cette compagnie l'économiste en chef cette semaine selon qui il y a une chance sur deux pour que nous nous retrouvions récession. Mais si vous avez un profil investissement plus long terme, vous pouvez vous élever au-dessus de la mêlée. - C'est le genre d'environnement dans lequel il faut regarder les gardiens de la poudre au sec. Les possibilités de déployer des fonds afin que les occasions se présentent en fin de cycle. Vous ayez les moyens d'intervenir en profitant d'une meilleure valorisation que cela aurait été possible il y a un an. Il faut faire preuve de patience, de prudence, identifie les occasions à saisir, mais pas nécessairement se précipiter. - Quand on songe aux obligations d'entreprise, ce qui il y a est-ce qu'il y a des distinctions entre les régions? - Une critique de longue date à l'égard des investisseurs canadiens, c'est que nous nous intéressons trop Canada et/ou à l'Amérique du Nord et moi au reste du monde. Le Canada représente 3 % de l'économie mondiale. Quoi se limiter aux seules opportunités qui s'offrent dans notre pays? - Il y a d'excellents compagnies au Canada qui va la peine qu'on investisse, mais les États-Unis possèdent le marché obligataire le plus profond monde il y a beaucoup d'obligations d'entreprises américaines et mondiales qui aimaient des obligations aux États-Unis. Il faut saisir les occasions que ces entreprises proposent. Le second niveau régional mais également au niveau sectoriel. Il est possible de se diversifier en profitant des différents secteurs qui sont moins représentés au Canada. C'est comme dans le secteur boursier. Quand on songe au marché des États-Unis ainsi qu'au marché des obligations en euro il y a beaucoup d'opportunités à saisir. Nous reviendrons à vos questions à Hafeez Noordin dans un instant. Pour l'instant, continuons à découvrir courtier Web. (. ..) Nous parlons de titres à revenu fixe. Il y a beaucoup d'éléments comprendre lorsque l'on envisage les obligations. Courtier Web vous propose des outils. Hafeez Noordin est formateur à placements directs et des points que lorsqu'il s'agit d'obligations quel outil peut-on chercher? - Ça me fait toujours plaisir de participer à l'émission. Hafeez Noordin a déjà évoqué des éléments auxquels les investisseurs peuvent s'intéresser. Le marché obligataire et de loin le plus important et le plus vaste marché de valeurs mobilières au monde, et il offre aux investisseurs des possibilités d'investissement pratiquement illimité. Jadis, on considérait le marché obligataire simplement comme une façon de gagner un revenu en préservant son capital, mais ce marché voit présents 100 millions de dollars dans le monde qui peuvent offrir davantage d'avant désavantage à votre portefeuille. Avant de nous pencher exactement sur ces données relatives aux obligations, quelques éléments de base sur la nature des obligations. Une obligation est un prêt que l'acheteur consent à l'émetteur. Les émetteurs d'obligations sont des gouvernements, des municipalités et aussi des entreprises. Qui émettent des obligations générales pour réunir des capitaux afin de financer différents projets et initiatives. Par exemple un investisseur achète une obligation d'entreprise essentiellement, l'investisseur près de l'argent à la société tout comme dans le cas d'un prêt, l'acheteur de l'obligation touche des intérêts et se voir rembourser son capital à la date d'échéance précisée dans l'avenir. À présent, jetant un coup d'œil sur courtier Web et nous allons vous montrer comment trouver certains de ces éléments de données au sujet des obligations qui consoleront les recherches sous la rubrique placements et nous qui conçu revenu fixe et c'est là où nous trouvons les données sur les obligations. Choisissons les obligations d'entreprise de cinq à 10 ans à titre d'exemple on n'a une liste la plupart des ces obligations sont entreprises canadiennes nous qui comptent sur les obligations de cette compagnie à titre d'exemple. Voici certaines des données que les investisseurs pourraient visualiser. Alors 12 éléments signalés. Tout d'abord, le coupon, c'est-à-dire au moment où l'obligation est émise quel était le rendement qui était proposé que l'on appelle communément le coupon? Généralement, les obligations sont vendues à valeur à parité 2000 $ ou peut-être parfois 100 $. Au moment de l'émission, il se serait agi de toucher 3,9 $ d'intérêts chaque année en fonction de la valeur aux pertes. Il y a la date d'échéance, c'est-à-dire combien de temps demeure-t-il à s'écouler avant le remboursement du capital propriétaire de l'obligation? En l'occurrence, c'est le 27 septembre 2017. La fréquence des paiements et semi annuel, c'est-à-dire que les intérêts seront versés deux fois par an. Et puis, on voit la date du prochain coupon, c'est-à-dire la prochaine demande d'intérêt. Il convie également de noter que les obligations peuvent s'acheter sur le marché secondaire. La valeur est reflétée en fonction de leur rendement et de la note de crédit. Les obligations ont une valeur au père, c'est-à-dire qu'au moment de l'émission, ils sont valorisés à 100 $ par exemple. Si l'obligation est cotée en deçà de 600 $, il s'agit d'une escompte. Si nous achetons obligations sur le marché secondaire, on pourrait l'acheter à 96,69 $ en fonction du prix auquel nous achetons, nous pouvons calculer le rendement basé sur le prix actuellement demandé. Quiconque achète cette obligation ce prix touche un rendement de 4,63 %. Et puis enfin, un autre élément important, les notes de crédit cette obligation à une note triple B les obligations sont notées il existe de grandes agences de notation au Canada. Nous utilisons des PRS Dominion banque aux États-Unis il y a maudi et ce standard. On commence par un niveau de note donc triple à deux triple à triple B, ce sont les obligations de première qualité, des obligations notées W une note inférieure sont des obligations rendement élevées au titre de pacotille. Les obligations rendement élevées comme son nom l'indique offre rendement plus élevée en raison du risque plus élevé. Voici quelques-uns des détails que quiconque s'intéresse aux aviations doit connaître. Voilà une excellente analyse de tous ces éléments. Maintenant, avec une meilleure compréhension, comment les investisseurs peuvent-ils acheter une obligation sur courtier Web? - Une fois que vous êtes à la page nous avons commencé, maintenant que vous avez décidé vous pouvez cliquer sur la case à côté il y a une fonction vente achat. On va cliquer son achat, ce qui nous amène cette page nous allons avoir indiqué la quantité de nombre d'obligations. Il y a le champ de quantité et le champ de valeur de l'investissement. Quantité c'est la valeur nominale, c'est-à-dire que la somme que nous touchons à maturité. Admettons qu'on va avoir 10 000 $ à mettre à l'échéance on va recevoir 10 000 $. Ensuite, vous cliquez sur recalculer. S'il veut dire qu'en fonction du prix demandé pour cette obligation ça va coûter 9800 $. Quand on achète obligations sur le marché secondaire, il faut payer les intérêts courut c'est-à-dire les taux d'intérêt jusqu'au paiement suivant que nous devons la personne qui l'avons, c'est le coût total pour acheter l'obligation. Et puis, longuet conçu les messages guident pour assurer la transaction. - Merci beaucoup. - Ça me fait plaisir. - C'était le responsable de la formation chez placements directs et des points surtout, visiter le site de deux courtiers Web où vous trouverez encore plus de ressources. Y compris la gestion de portefeuille pendant une période d'inflation plus élevée. Je vous rappelle comment nous poser vos questions. Avez-vous une question sur les placements ou les marchés? Vous pouvaient la poser soient par courriel, à cette adresse courriel, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Un de nos invités pourrait vous répondre en direct nous revoici en compagnie de Hafeez Noordin qui répond à vos questions sur les titres à revenu fixe. Une question qui est arrivée pendant la discussion: si les taux d'intérêt augmentent, est-ce que les CPG augmentent aussi? - Beaucoup de questions sur les CPG depuis que nous avons inauguré cette émission. C'est comme pour les obligations. Tout dépend de la durée des CPG. Il existe toute une série de durée. CPG à très court terme, mettons trois mois, le taux augmenterait une fois que la banque du Canada relèverait ses taux d'intérêt. Mais si votre argent est déjà bloqué, cela ne changera rien. Mettons sur un CPG sur un an ou deux ans, le rendement ne dépend pas nécessairement du taux actuel, mais des taux futurs. Nous savons ce qui va se passer pendant cette année si, mais c'est l'an prochain que c'est davantage incertain. S'il y a des questions à par rapport au rôle de l'ouverture de taux en 2024, cela va avoir un impact sur les taux directeurs pendant cette période. Il n'y a donc pas seulement… seulement les taux d'intérêt qui influence le taux du CPG. Donc quand on parle des taux du CPG, ce que l'on valeurs actuelles sont plutôt prospectifs. Ils indiquent où le marché se situera. Question apparentée est-ce que les taux des CPG vont augmenter? Nous n'avons pas de boule de cristal mais il s'agit d'un instrument prospective, peut-être que certains des augmentations que nous attendons ont été pris en compte dans les taux du CPG. - Oui, les CPG emboîtent le pas au marché obligataire en ce qui concerne les attentes en matière de taux pour l'an prochain. Le principal catalyseur, pour les produits au comptant comme les CPG ou d'autres produits qui sont liés aux attentes en matière de taux pour l'an prochain, la seule façon dont le taux pourrait augmenter, si si le taux terminal est… alors actuel ce taux était de 8003 %. Les coupures de taux sont pratiquées jusqu'à ce qu'il aille au-delà. Si la croissance ne recule pas autant que le marché qui attend, on pourrait soutenir que les banques centrales pourraient juger nécessaire de relever le taux directeur a plus que… ce serait donc l'environnement dans lequel nous verrions que les taux pour les liquidités les CPG bénéficieraient d'une remontée. Une fois que vous avez choisi le taux votre argent bloqué. L'unité du CPG. - Une nouvelle question. Est-ce que vous découvrez des occasions sur les marchés émergents? - La conjoncture est encore difficile pour les marchés émergents au niveau des résultats économiques. En ce sens que lorsque l'inflation est élevée, les attentes en matière de croissance sont en baisse et que la Fed relève les taux, cette combinaison de facteurs est historiquement nuisible aux marchés émergents. Mais laisse cette situation dure depuis quelque temps et à présent, tout comme pour les obligations d'entreprise il y a des occasions qui surgissent dans certains pays, mais c'est vraiment au cas par cas. On ne peut pas dire que tous les marchés émergents commence à évoluer de la même manière. - Un marché intéressant est celui du blé Brésil la banque centrale vient de relever les taux jusqu'à 13,75 %. Ceci fait suite à une campagne depuis 12 à 18 mois d'augmentation de taux en prévision de l'inflation. C'est ce qui s'est effectivement réalisé. Or, l'inflation commence à laisser entrevoir un pique environ 10 %. Donc lorsque le taux nominal étend pour cent et que l'inflation est à 10 %, le rendement réel est la différence entre les 2234 % Brésil. Il faut donc se familiariser avec les placements ou se donner la possibilité de courir le taux de change si on ne juge nécessaire. Par ailleurs, le Brésil est en pleine période électorale, ce qui constitue un risque. (.. .) À cause de l'exposition produits de base, en revanche, un secteur où il existe des opportunités potentielles, c'est l'Europe de l'Est. Nous savons que la conjoncture est très difficile cette année, avec la guerre entre la Russie et l'Ukraine, et des pays comme la Pologne et la République tchèque, la Hongrie qui émet des obligations Sud de première qualité ont fait preuve d'une proximité dans l'augmentation des taux passant d'un taux de presque zéro l'an dernier à 7 % dans certains pays, 10 % au gril. Donc les opportunités en matière de rangement demeurent très élever. Je crois que nous voyons des possibilités potentielles, c'est-à-dire que l'inflation serait en train de se stabiliser sans pourtant refluer. Et c'est un bon moment pour se lancer sur ces marchés émergents lorsque les taux ont déjà été augmentés qu'on peut même profiter des rendements élevés. - Comme d'habitude fêtent vos recherches avant de prendre des décisions de placement. Nous reviendrons à vos questions à Hafeez Noordin très bientôt. Vous pouvez les nous les poser en tout temps. Avez-vous une question sur les placements ou les marchés? Vous pouvaient la poser soient par courriel à cette adresse courriel, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Un de nos invités pourrait vous répondre en direct. Les marchés sont en hausse aujourd'hui après les chiffres moins élevés que prévu de l'inflation aux États-Unis, Anthony Okolie a les détails. - L'inflation des prix à la consommation aux États-Unis reste inchangée en juillet sur 12 mois, l'inflation s'établit à 8,5 % en deçà des attentes puisque les sens et les services énergétiques sont en recul pour le mois. L'IPC pour les États-Unis était de 8 % plus élevés que depuis 40 ans. L'inflation de base exclusion des prix volatiles de l'énergie de l'alimentation était inférieure de quatre points de 0,4 % au mois de juin, ce qui représente une agréable surprise. L'économiste en chef de la Banque TD déclare spécifiquement en ce qui concerne les données sur l'emploi. Les licenciements les séparations sont un creux record. Ici il y a des entreprises très connues qui réalisent des ajustements en raison des tendances passées de leur pronostic. Ce n'est pas généralisé. Plus de 90 % des industries sont toujours en mode d'embauche. Donc à l'approche d'une récession, il faut que cela descende en bas de 60 % il s'agit d'un indicateur prospectif et pendant plusieurs mois, nous en sommes encore très loin. Voici le débat sur les marchés entre les marchés négatifs et la réalité. Les chiffres de l'emploi nous donnent un message différent. Les services économiques des déclare que la croissance demeure supérieure à 5 % en fonction des statistiques de l'emploi en logement et objectifs de 2 % de la fête. Selon les objectifs aidés dans une lettre à son évoluer de façon significative. Vers la baisse jusqu'à ce que la croissance des salaires accuse recule. La grande question que les marchés se posent tous les jours, et la suivante. Est-ce que cela suffit pour convaincre la Fed qui n'est pas obligée de taper aussi durant l'automne avec ses énormes augmentations de taux? - Services économiques et des considère que cela n'amènera pas la Fed a reculé sur sa politique monétaire dynamique. Nous prévoyons environ 50 % 50 points de base d'augmentation, voir 75 surtout s'il y a une autre mauvaise surprise sans doute pour l'inflation un emploi. Ils restent encore plusieurs statistiques publiés. C'était Anthony. Nous avons dépassé la moitié de leur du midi un coup d'œil sur les marchés l'indice TSX composite 19 880 en hausse de un à 8 % ou 300: c'est le fabricant de simulateur de vol révélé ses perspectives de croissance à la baisse et l'action ce ne sont pas tous les secteurs du marché sont en hausse à 28,33 $ l'action C1 est en baisse de presque 15 % aux États-Unis, la remontée de louage cuite alimenté par ces chiffres inflation moins élevés que prévu voit l'indice S&P 500 hausse de presque 2 % à 4002 100. 2 100 point. Spécialisé dans la technologie se comporte encore mieux en hausse un peu plus de deux écarts pour cent. (mot en anglais) était en recule hier il semble avoir regagné le terrain perdu en hausse de 14 %. Nous revoici en compagnie de Hafeez Noordin qui répond à vos questions sur les titres à revenu fixe. Quel est votre perspective pour les actifs risqués après la publication des statistiques récentes? - Il y a donc des chiffres très positifs pour l'inflation et aussi pour le marché du travail. Oui, il y a eu une période pendant l'hiver ou les actifs à risques commençaient à être très bon marché. Les positionnements en matière d'actions et d'obligations d'entreprise ont été réduits. Or, la remontée des marchés depuis quelques mois est alimentée par le fait que ces ses efforts de repositionnement étaient allés un peu loin. Pour l'avenir, les perspectives des actifs à risque dépendent toujours de la situation de l'inflation. L'inflation ne capitule pas, la mission n'est pas encore accomplie. Un jour peut-être, nous pourrons pavoiser, mais pour l'instant, les actifs à risque dépendent de la stabilisation de l'inflation, voire de son recul. C'est la situation d'ensemble pour les actifs à risque. Par ailleurs un atterrissage en douceur ou non? Les obligations d'entreprise pourront être réellement? Est-ce que nous parviendrons à cet atterrissage en douceur? Est-ce que les obligations d'entreprise pourront vraiment donner les rendements qui sont attendus? Eh bien tout dépend des statistiques. Il y a une gamme de résultats possibles. C'est pourquoi il est important d'être agile dans son portefeuille. - Et de se donner toute une gamme d'options. (.. .) Un facteur clé, c'est le fait que les États-Unis aient augmenté les taux plus tôt et plus rapidement que la zone euro et le Japon. Donc la plus value du dollar américain c'est essentiellement par rapport à cette devise 10 % contre l'euro 15 % contre le yen. Pour l'avenir, bon nombres des éléments dépendront de cela. La trajectoire des taux d'augmentation des taux États-Unis par rapport à l'Europe et au Japon lorsqu'il s'agit du Japon, je pense que les taux ne viendront pas augmenter prochainement. Mais dans la zone euro, le cycle d'augmentation à démarrer. Tout dépendra du comportement de ces deux banques centrales. À part cela, le dollar américain de refuges, même dans la situation de la Russie et de l'Ukraine. L'évolution de cette situation sera importante pour l'évolution dollar américain qui est historiquement joue un rôle dans le portefeuille à titre d'assurance contre les résultats négatifs. On a pas parlé récemment de l'hypothèse selon laquelle le dollar américain serait… un refuge dans l'avenir. Ou bien, il serait détrôné. - Est-ce qu'il y a de la concurrence? - Alors actuelle, pas vraiment. Le dollar américain demeure le seul refuge. Les trois grandes monnaies refuges aux États-Unis sur le dollar américain, le yen japonais le franc suisse. Mais alors actuelle, la banque du Japon n'emboîte pas le pas au reste du monde en matière d'augmentation de taux. Cela a entraîné un important recul du yen. Ceci dit, pour l'avenir, c'est toujours le terme clé. Il ne s'agit pas de se concentrer uniquement sur ce qui s'est produit dans le passé, mais pour l'avenir, on pourrait avancer l'argument selon lequel le dollar américain, le taux directeur étend parvenu à un pic, n'aurait peut-être plus énormément de potentiel pour remplir son rôle de refuges. D'autres monnaies refuges comme le yen et le franc suisse rôle plus important. - Il s'agit d'une stratégie de gestion active. Les facteurs qui affectent celle-ci changent toujours. Il est important de voir comment ceci évolue. Et pour l'instant je dirais que le dollar américain nous avons temps de répondre à une dernière question cette question recoupe ce que nous avons eu au début des missions et pourrait presque jouer le rôle ultime réflexion. Pensez-vous que les banques centrales vont continuer d'augmenter les taux à l'automne et l'hiver? - Oui. Une seule statistique ne constitue pas une tendance. L'inflation aux États-Unis s'établit toujours à 8 % et c'est identique au Canada. C'est la mission première des banques centrales. Aux États-Unis, il faut vraiment que on s'y attende. Les banques centrales vont augmenter les taux jusqu'à ce qu'il soit un niveau restrictif et vont les imaginer à ce niveau-là, peut-être plus longtemps que les marchés ne le prévoient. C'est une vulnérabilité sur les marchés, peut-être un excès d'optimisme. - Hafeez Noordin merci pour votre entretien. Il est gestionnaire de portefeuille pour les revenues gestions TD. Vendredi, nous allons évoquer les titres de semi-conducteurs. Nous aurons un invité qui répondra à vos questions. Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions dès maintenant à par courriel à cette adresse courriel. Merci et à bientôt!