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Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, nouvelle émission de Placements directs TD diffusés chaque jour sur CourtierWeb. Nos invités commentent l'actualité du marché et répondre à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, un entretien avec Francis Fong. Selon lui, les prix de l'immobilier baissent mais les maisons n'en sont pas plus abordables. Dans la séquence de formation, nous apprendrons comment vous pouvez comparer le rendement de vos placements aux grands indices. Voici comment vous pouvez nous poser vos questions. Envoyez-nous un courriel à MoneyTalklivetd. com ou saisissez vos questions sous l'écran. Il s'agit du dernier jour du trimestre et de la première moitié de l'année. Un semestre avec lequel je suis heureux d'avoir terminé. La tendance n'est pas reluisante. L'indice composite TSX est en baisse de 260 points. Les domaines comme l'énergie, les mines, qui sont sous pression à Toronto. La société Canopy Growth est sous pression particulièrement, une baisse de 18 %. Les investisseurs sont peut-être effrayés par un projet de conversion de dette en participation. L'indice SCB 500 est en baisse de demi pour cent. Une légère remontée depuis le creux de ce matin. Tandis que nous nous préparons à dire au revoir à ce premier semestre, l'indice SCB 500 est en baisse de près de 20 % depuis le début de l'année. L'indice Nasdaq axé sur la technologie, 1 % baisse, 130 points. L'indice Nasdaq a cédé presque 29 % depuis le début de l'année. Un coup d'œil sur Bank of America, un des grands titres de Wall Street. En baisse de 1,8 %. L'augmentation des taux d'intérêt a pour effet d'atténuer l'augmentation des prix des logements dans certains secteurs au Canada, mais cela ne signifie pas que l'immobilier devient plus abordable. Nous en discutons avec Francis Fong, économiste principal au service économique TD. Bonjour Francis, c'est une notion intéressante que le prix des loyers, son pronostic y compris par les services économiques TD, ne deviendront pas plus abordables. Vous voulez acheter un logement, vous vous dîtes que c'est le moment de vous lancer vous sur le marché, mais ce ne sera pas aussi simple. Les prix ont déjà diminué, nous prévoyons que les prix diminueront de 10 % corps. Une baisse de 20 % depuis le pic cette année. Tout cela, c'est à cause de l'augmentation des taux d'intérêt. La banque du Canada déjà augmentait les taux de 125 points de base. Les taux des prêts hypothécaires sont en hausse de 40. Depuis l'automne dernier. Si on prévoit encore plus d'augmentation de taux, cela fait une augmentation considérable dans les taux de prêt hypothécaire. Nous estimons que si les taux augmentent de 1 %, il faudrait huit à 11 % de baisse de prix pour que les mensualités d'un prêt hypothécaire demeurent inchangé. Une baisse de huit à 11 % pour que les mentalités restent inchangées, ce sera un défi pour ceux qui espèrent acheter un logement. Ça aide au niveau du dépôt, mais si vos épaules sont sur le marché depuis un an, le roman n'aura pas été très positif. Vous avez dit que si les prévisions se réalisent, les prix baisseraient de 20 % par rapport au pic, mais cela ne nous ramène même pas au prix d'avant la pandémie. Il y a eu une forte hausse des prix pendant la pandémie. Prenons l'Ontario par exemple. Il y a eu une augmentation inouïe de presque deux tiers dans le grand Toronto. Les augmentations de prix à l'extérieur du grand Toronto est encore plus élevé. On a vu ce genre de baisse d'abordabilité qui a nuit à tout le monde. Beaucoup de gens dans la pandémie quittaient les grandes villes et cherchait des logements plus abordables ailleurs. Il y a certainement eu une flambée des prix pendant la pandémie. Cette baisse de 20 % nous ramène au début de 2020 ou à la fin de 2019 et déjà les logements n'était pas très abordable. Certains affirment qu'avec ce genre d'augmentation de taux, des pressions qui s'exercent sur les prix hypothécaires et les loyers, cela pourrait très défavorable pour le marché canadien du logement. n'étant pas économiste, vous invitez. Depuis 10 années, le marché de l'immobilier canadien paraît surmonter tous les obstacles qui ont été créés. Peut-être va-t-il finir par trébucher? Cette résilience a été une caractéristique de l'économie canadienne par rapport à celle de beaucoup d'autres pays. Le message a toujours été fondé sur un certain nombre d'éléments clés. Si on considère les cycles de bulles dans certains marchés, par exemple aux États-Unis entre 2000 et 2006, énorme augmentation de prix puis effondrement pendant la crise financière. Ce qui distingue les États-Unis du Canada, c'est la qualité du crédit. Aux États-Unis, cette forte hausse des prix était alimentée par des emprunteurs qui n'avaient pas les moyens d'acheter leur logement. Au Canada, depuis 10 ou 20 ans, il y a une hausse globale de la qualité du crédit, ce qui est incroyable car essentiellement, ceux qui achètent des logements à ces prix incroyables exorbitants sont ceux qui ont les moyens de les payer. si on ajoute le fait que la formation de ménage par sa rapidité la construction de logements, et que la demande augmente pour toute sorte de raison, le marché canadien du logement s'est maintenu malgré tous les chocs que nous auquel nous avons assistés. Un excellent exemple, l'Alberta. Après 2014, le cours du pétrole s'est effondré. On aurait pensé que la flambée des prix aurait été débouclée avec une augmentation du chômage et des taux d'intérêt, mais il n'y a pas eu d'effondrement. Les prix des logements sont restés plus ou moins inchangés jusqu'à une nouvelle augmentation depuis peu. Il y a eu effectivement énormément de résilience. Maintenant, nous nous attendons à ce qu'il y a une forte hausse des taux d'intérêt à l'échelle du Canada et la résilience du marché canadien de l'immobilier va être mise à l'épreuve. Est-ce que serait le marché du travail? Avant les dislocations causées par la pandémie, si j'avais discuté du marché du logement avec des invités, il m'aurait dit le plus gros défi pour le marché du logement, ce serait l'emploi. Quand les gens un emploi, il paie leurs mensualités de prêt hypothécaire. Où nous dirigeons-nous? Est-ce que cela pourrait un défi? - Tout à fait. Un taux de chômage le plus bas depuis 1974 à 5,1 %. Le marché du travail est extrêmement serré. C'est un bon point de départ. Mais par la même, cela signifie qu'il existe un risque qu'il y ait une tendance inverse, notamment avec l'augmentation progressive des taux d'intérêt. Je pense que le marché du logement est nettement vulnérable aux pertes d'emploi. Le vrai défi encore une fois,Si l'on remonte même aux antécédents récents en Alberta, le taux de chômage a doublé pendant cette période. C'est la seule province qualité aussi durement touchée à cause de l'effondrement des cours du pétrole. Même avec un doublement du taux de chômage, il n'y a pas eu de baisse structurelle du prix des logements.(...) qu'est-ce que ça prendrait pour faire reculer les prix des logements? Tout le monde se demande quelles était les facteurs. la banque du Canada a étudié l'intérêt des investisseurs à l'égard du marché qui a été considérable. Dans une période de baisse comme celle-ci, est-il possible que les investisseurs tournent les talons? - Les données récentes de la banque du Canada dans un rapport fantastique décrivent la manière dont la part des achats par les primo accédant, ce qui achète leur premier logement, représente environ 50 %, baisse progressivement, mais le déclin s'est accéléré pendant la pandémie. Les investisseurs comblant l'écart. D'où vient la croissance de la demande des ménages? Il y a des jeunes qui quittent les foyers de leurs parents, des immigrants, est-ce que ce recul si les taux d'intérêt augmentent quelle abordabilité diminuent, puisque nous entrons dans une période difficile au point des abordabilité à cause des taux élevés, est-ce que ce recul entraîne un risque pour le marché du logement? - Certes, mais là nous apprendre à s'agir de problèmes structurels. - Excellent début de notre mission, nous allons répondre à vos questions dans quelques minutes. Pour nous rejoindre, envoyer un courriel ou saisissez votre question dans le cadre situé sous l'écran. à présent, une mise à jour sur les actes dans le monde des affaires et des marchés. Statistique Canada annonce une augmentation de 0,3 % du PIB pendant le mois d'avril, une augmentation générale de l'activité économique. Le secteur du pétrole et du gaz affichant une bonne santé. Ceci dit, la prévision préliminaire de statistique Canada pour le mois de mai envisage une baisse modeste d'activité économique. La confiance des petites entreprises continues de diminuer à cause de la hausse des coûts d'énergie et des pénuries de main-d'œuvre. La fédération canadienne de l'entreprise indépendante montre que son baromètre de la confiance des entreprises diminue pour le troisième mois de suite. La pénurie de travailleurs spécialisés demeure le plus grand défi pour l'augmentation des ventes de la production. Air Canada réduit sa grille de vol pour l'été face à ce qu'elle appelle des défis complexes inévitables. Il s'agit d'éviter des perturbations de dernière minute pour les voyageurs. Quelque 150 vols au Canada et aux États-Unis seront éliminés au mois de juillet et d'août. 15 % de son horaire. Air Canada déclare que malgré l'embauche de personnel et des investissements dans ses appareils son équipement, ces opérations sont perturbées par des phénomènes liés à l'industrie mondiale des logements. Aussi un coup d'œil sur les marchés. 1,6 % de baisse pour l'indice TSX. L'ensemble des secteurs sont en rouge. Avec les matières premières, l'énergie certains biens cycliques de consommation en tête. Aux États-Unis, le consommateur américain semble ralentir ses dépenses, ce qui semble inquiéter les investisseurs. L'indice SCP 500 est en baisse de près de 1 %. Il s'agit de la fin du trimestre ainsi que de la fin du premier semestre de l'année des négociations. Une demie année qui aura été difficile. Vous nous posez de nombreuses questions. Commençons à y répondre. le PIB canadien, il y a de bonnes nouvelles mais peut-être pas si bonnes que cela. Comment interprétez-vous ces chiffres? - Oui. Les résultats sont très favorables, conformesmais je crois qu'il y a une bifurcation entre le Canada des États-Unis. Nous continuons de constater une demande très forte dans tous les secteurs. Ce qu'il faut faire, c'est distingué ce qui se produit dans les secteurs où les données sont très fréquentes, comme les marchés financiers par exemple, d'une part, et d'autre part, les données économiques générales. Nous avons toujours un taux de chômage qui atteint un creux record. Quels sont les risques que nous escomptons avec l'inflation de plus en plus élevée et l'augmentation des taux au fur et à mesure que les taux augmentent, ils vont se répercuter sur l'économie en générale et cela va par définition ralentir la croissance. Ces mêmes faits extraits. C'est étudié pour. L'idée, c'est de maîtriser l'inflation, ce qui aura des effets sur l'économie en général. Quand on songe à une récession, ce mot qu'on prononce de plus en plus, la plupart des voix modérées affirment qu'il ne s'agit pas d'une certitude. Mais de plus en plus d'experts affirment qu'il faut envisager ce risque. De toute évidence, il y a beaucoup d'inquiétude quant au degré, à la mesure dans laquelle une récession obligera plutôt l'inflation obligera les ménages à dépenser non plus pour le logement, mais pour les produits de base comme l'alimentation. C'est une inquiétude, mais en définitive, toutes les données économiques laissent escompter une croissance soutenue. Modéré certes, mais bien réel. Même les données sur les dépenses des consommateurs aux États-Unis manifestent toujours un certain degré de croissance. Cela pourrait changer rapidement puisque, comme vous le disiez, les consommateurs pourraient faire basculer leurs dépenses vers des nécessités de base. Au fur et à mesure que les taux augmentent, nous pensons que l'économie en 2023 et au-delà va reprendre sa croissance. Il existe un véritable risque en tout cas que ce phénomène soit perturbé par un certain nombre de facteurs. Est-ce que nous prévoyons récession? Ce n'est pas notre scénario de base. Nous prévoyons que les choses ralenties vont au fur et à mesure que le taux d'intérêt augmente, et l'économie rattrapera en 2023 et au-delà. Il existe un risque, 3 % d'ici la fin de l'année. Est-ce que nous avons encore du chemin à faire? C'est certain. Mais par la même occasion, nous devons tenir compte du fait que les défis pour la banque du Canada consistent à déterminer dans quelle mesure nous somment disposés à accepter une baisse de la croissance économique pour lutter contre l'inflation, puisqu'elle amène des inconvénients. Il y a donc un arbitrage pour les banques centrales dans la lutte contre l'inflation. Les attentes à l'égard de l'inflation n'ont pas beaucoup évolué. Les sondages évoluent à la hausse, mais les indicateurs du marché demeurent stables. Ce qui nous permet de penser que la banque du Canada fait un travail suffisant pour stabiliser les attentes à l'égard de l'inflation, mais cela pourrait changer très rapidement. La banque Canada a affirmé qu'elle ferait tout ce qu'il faudrait pour juguler l'inflation. Est-ce qu'il y a une limite au-delà de laquelle la banque du Canada n'acceptera pas une baisse de la croissance du PIB ou une augmentation du taux chômage? Vraisemblablement, il y a une limite mais nous ne sommes pas et de loin puisque le taux de chômage est plus bas qu'il ne l'a été depuis très longtemps. Nous prévoyons qu'il y aura encore une ou deux augmentations et puis ensuite une pause pour essentiellement évaluer quel sera l'impact qui se répercutera sur l'économie. Une seule augmentation de taux d'intérêt peut prendre 12 à 18 mois pour se répercuter sur l'activité économique réelle. Il y a donc un délai entre l'augmentation d'un taux par la banque et les conséquences pour l'économie. La banque à son mandat qui est de lutter contre l'inflation, la stabilité de la monnaie, il faut que la banque détermine combien de dégâts elle est prête à causer pour y parvenir. La banque fédérale de réserve à un double mandat. Inflation il emploie aussi. Si vous pouvez prendre la pochette inflation, il y a un élément considérable sur lequel il banquent centrale n'ont pas d'influence. La banque du Canada ne va pas mettre fin au conflit en Ukraine, ne va pas soulager la crise de l'énergie, que nous subissons depuis deux ans. Dans le monde entier, y compris la Chine, Europe, Australie et le Canada. Il y a ce volet il y a un autre volet qui émane de la croissance économique. L'économie est presque en surchauffe. C'est là où la banque centrale peut intervenir en réduisant l'impact de l'inflation. Ce que nous prévoyons, ce que la banque du Canada va réduire un peu la croissance économique pour compenser les autres facteurs. Une fois de plus, c'est un équilibre à établir. Puisque la banque fédérale de réserve américaine a toujours ce double montage de lutter contre l'inflation et protéger l'emploi. Il y a une chose qui est très intéressant dans ce cycle d'augmentation de taux, c'est que certains intervenants du marché pronostique que la banque centrale vont continuer à réduire les taux. Pensez-vous que c'est vraisemblable que la banque se dise: nous avons réduit l'inflation dans la mesure où nous le souhaitions et maintenant il est possible de réduire les taux? - c'est possible mais c'est improbable. Au début des années 2000, on a augmenté les taux puis diminuer relativement peu de temps après. Il faut quand même prendre une pause, marque une pause pour évaluer les résultats. Les diminutions n'a pas suivi immédiatement les augmentations. Le taux du jour au lendemain est un instrument très brutal. Il y a toutes sortes d'objectifs qui rivalisent. On veut favoriser la croissance dans une situation d'excès de l'offre d'accès de la demande, en fonction de ce que, hélas l'inflation, les conditions financières dont il faut se préoccuper. Il faut se préoccuper de la liquidité. On ne dispose que d'un seul levier. Je crois que ce serait irresponsable de la part d'une banque centrale de ne pas marquer une pause pour évaluer la situation et l'état de l'économie. Par la même occasion, tout peut se produire. Si nous nous retrouvons dans une crise importante, une récession, la banque centrale n'aura aucune inquiétude pour baisser les taux rapidement. C'est toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Je vous rappelle que vous pouvez communiquer avec nous en tout cas. Envoyez-nous un courriel à MoneyTalklivetd. com. À présent, notre séance de formation. Lorsque vous examinez le roman de vos placements, il peut être utile à les comparer à des repères mondiaux. Caitlin Cormier, formatrice à Placements directs TD, peut nous expliquer comment nous pouvons y parvenir grâce à CourtierWeb. - Bonjour. Il est important surtout lorsque les marchés sont tellement volatiles d'avoir une perspective. Lorsque les marchés augmentent, nous nous inquiétons pas tellement, parce que tout va bien, mais que les marchés baissent, c'est une bonne idée de nous assurer de connaître la situation de votre portefeuille par rapport à celle du marché. Comment pouvons-nous le faire avec votre portefeuille en CourtierWeb? Cliquons sur l'onglet compte et allons à rendement. Nous allons obtenir un graphique du rendement de notre portefeuille. Imaginons que nous avons un peu plus qu'une ligne droite aux fins d'illustration. On peut voir que vous avez un graphique, différente fourchette de temps, sur lesquels faut comparer le rendement. Vous pouvez afficher une période plus longue ou choisir une période plus courte ou même une période personnalisée. Choisissons par exemple les six derniers mois. Nous pouvons choisir soit un compte ou un groupe de comptes tous les comptes. Dans notre portefeuille. En fonction de ce que nous recherchons. Et puis, on déroulant, nous pouvons ajouter des indices. Il y a l'indice composite SCP TSX, donc le marché canadien, dans son ensemble, que l'on peut superposer au rendement de notre portefeuille. Notre portefeuille n'est pas très actif, mais il est au-delà de l'indice repart. On peut choisir le SCP 500, les 500 plus grosses compagnies aux États-Unis. Encore une fois, on peut voir le rendement de l'indice par rapport à notre portefeuille par rapport au TSX. Nous pouvons ensuite sur imposer à cette cible notre propre cible annuelle. Si nous avons l'objectif de croissance dans notre portefeuille pendant l'année, par exemple nous avons peut-être déjà un chiffre en tête, pour répondre à nos objectifs de placement, nous font saisir cela et ajouter cela sur le graphique. Ici, un objectif annuel de 10 %. Depuis six mois, j'aurais d'avoir une croissance d'au moins 5 %. Encore une fois, ce n'est pas tout à fait ça. Par rapport au rendement réel. Vous pouvez voir le rendement de vos placements annuel ou un peu plus annuel pour la comparaison de votre portefeuille par bâtiment dans ces indices. - C'est intéressant. Il y a également un onglet pour le taux de rendement personnel? - excellente question. Le taux de rendement est pondéré en fonction du temps. C'est un calcul sur une période en particulier. Le taux de rendement personnel, c'est un peu différent. Si vous remontez à CourtierWeb et que vous cliquez sur taux de rendement personnel, cela va nous montrer un rendement plus pertinent pour notre portefeuille spécifique. Cela montre le changement de la valeur de marché compte tenu des intérêts dividendes acquis(.. .) il s'agit du rendement des placements sous-jacents, mais en tenant compte des dividendes des intérêts, des dépôts et des retraits. Le rendement peut donc être différent. Beaucoup d'investisseurs aiment également constater ces chiffres plus spécifiques que l'indice général. - Merci et bonne fin de semaine. - Vous aussi. - Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage CourtierWeb. Vous trouverez beaucoup de ressources. Je vous rappelle que mon fait communiquer avec nous. Vous avez une question sur les placements ou les facteurs qui affectent les marchés, nos invités les attendent. Envoyez-nous vos questions en nous envoyant un courriel en tout temps ou en saisissant votre question dans la cadre au bas de l'écran. Il vous suffit de cliquer sur envoyer. nous revoici avec Francis Fong. Vous avez dit quelle augmentation des coûts d'emprunt exerce une pression à la baisse sur les coûts de logement, mais les coûts d'acquisition sont plus élevés à cause de l'augmentation des taux. Les spectateurs déclarent: est-ce que vous pourriez avoir davantage de logements ou un logement plus important pour votre argent? C'est ce qui est arrivé dans l'eau dans les années 80. - La question difficile et délicate, mais je peux vous dire une de choses. Il y a une chose que nous avons observée: la baisse des prix des logements, 10 % par rapport à février, c'est la mesure du prix délicat des maisons existantes. C'est affecté par ce qu'on appelle la composition des ventes. (.. .) si vous considérez l'indice des prix du système MLS, les prix Nobel étiques de 2 % février. Ceci signifie que nous avons davantage de vente, des marchés à prix plus élevé dans des zones a appris moins élever. ce qui pourra vous donner la possibilité de vous loger mieux, mais il est impossible d'évoquer un marché national du logement. Tout est régional voir local. Il sera affecté par la dynamique locale. L'endroit où vu vous prévoyez emménager, ce que vous voulez vous rendre dans une autre ressort à prix plus élevé? C'est tout à fait possible. les gens veulent en avoir plus pour un prix moins élevé, ce qui empêche les participants dans ce marché de s'y retrouver. Le gain d'une personne est la perte d'une autre personne avec un marché où le frais fixe. Ou l'offre est fixe. Vous vous intéressez au ESG. Une question est à ce sujet. (...)quand les choses vont bien, qu'on demande aux gens d'ordonner un peu plus pour le bien du pays de la planète, les gens répondent oui. Quand la situation devient plus difficile, que c'est plutôt? - Oui, c'est effectivement le cas. Beaucoup de pays face aux pénuries d'énergie, difficultés d'approvisionnement en cases naturelles, en pétrole brut, plutôt que de privilégier les énergies renouvelables, elle rétrograde en disant: il faut que nous privilégions la sécurité énergétique. C'est important de faire en sorte que les gens soient pris en charge, qu'il aient suffisamment d'énergie pour se chauffer, s'alimenter. La situation dans laquelle nous nous trouvons comporte des tiraillements intéressants. nous rétrogradant en revenant aux combustibles fossiles, mais par ailleurs, il y a une tendance très lourde en faveur de l'énergie renouvelable qui est très difficile à arrêter. Ce matin même, un article paru évoquant la cour suprême des États-Unis qui limite le pouvoir de régulation de l'EPA. Une politique implique l'administration Biden à l'utiliser pour réduire les émissions. Ça permet à l'EPA de dire: nous allons établir des normes pour la production d'énergie dans votre état. La conséquence, c'est qu'il faut s'éloigner de la production d'énergie par les combustibles fossiles, mais quelque soit la décision de la cour suprême, ça se produit déjà. 80 % des ajouts des capacités d'électricité en 2021 étaient solaires et éoliens. Le coût de l'énergie et plus bas. Le solaire est beaucoup moins cher à produire que le pétrole brut, par exemple. Les énergies renouvelables deviennent la norme même en l'absence de réglementation. Au fur et à mesure que l'économie se développe et qu'elle la demande en énergie augmente, les énergies renouvelables joueront un rôle de plus en plus important. Même au Canada l'Alberta, il y a énormément de capacités d'énergie. Quand on part d'une décision d'un tribunal, il y a un risque politique. Si un nouveau parti venait au pouvoir au Canada siège qui avait une vision différente de l'énergie. Est-ce que les entreprises sur cette voie? - Je dirais que c'est sans doute un éventail. Il y en a qui sont très engagés, d'autres qui entament en pleine ce parcours vers net zéro. En Alberta, il y a énormément de capacités d'énergies renouvelables entrées en service depuis quelques années, presque exclusivement sur les pressions du secteur privé. En Alberta, il a des ententes d'achat d'énergie. Une entreprise en Alberta peut acheter son énergie directement des fournisseurs d'énergies renouvelables. Il y a donc plus de 2 GW de capacités de production construite en Alberta. L'Alberta mettant les chefs de file dans la capacité de production d'énergie solaire et éolienne, et cela sous l'impulsion du secteur privé. Un spectateur nous interroge sur le prix du carbone, la tarification du carbone. Est-ce que ça n'a pas un effet inflationniste? - la question est très délicate. prenant un peu de recul et demandons-nous comment le prix du carbone affecte l'idée d'énergie. Prenons celui de l'essence. On estime que le prix du carbone ajouteront saine au prix total de l'essence et l'augmentation récente au mois d'avril acheté environ deux, cent le litre. (...) ce que l'on oublie souvent sur la tarification du carbone, c'est d'abord qu'il a une ristourne important au ménage, que tout le monde touche, alors payez plus à la station-service mais ce montant vous est reversé au moment où vous produisez votre déclaration de revenus. (... ) les biens et services produits émissions par rapport aux autres. Il se peut que ce soit inflationniste à certains égards, mais cela ne l'est pas dans tous les cas. Il s'agit de faire évoluer progressivement vers les énergies renouvelables. Ensuite, toutes les provinces sont pas les mêmes. La garantie fédérale s'appliquait dans quatre provinces. Sinon, partout ailleurs, c'est un programme provincial. La Colombie Britannique les siens, la Nouvelle-Écosse également. Il n'y a que quatre provinces dans lesquels cela s'applique. Les autres provinces peuvent décider restituer cet argent. Au Québec, il a une politique de tarification de longue date, pas de ristourne, tout le monde prix intégral. En Colombie Britannique, il y a une ristourne. Dans d'autres provinces que l'on utilise pour réduire l'impôt sur le revenu. Tout le monde trouve le moyen de restituer l'argent. (. ..) si vous voulez acheter un véhicule électrique, il y a un encouragement pour le faire. comme d'habitude, assurez-vous de faire vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Vous prenez contact en tout temps. Avez-vous une question par rapport au placement ou ceux qui affectent les marchés? Nos invités souhaitent les connaître. Envoyez-nous vos questions. Vous pouvez nous rejoindre par courriel en tout temps à MoneyTalk@td. com ou saisir votre question au bas de l'écran. Un invité pourra peut-être répondre en direct. L'année a commencé difficilement pour les marchés. À la clôture de la journée d'aujourd'hui, nous aurons achevé le premier semestre. Dans quelle mesure la confiance vis-à-vis satellite affectée? voici Antonio Okolie pour nous parler de l'indice des Placements directs TD. - (...) très baissier à très haussier. Le score s'établit à -7, soit légèrement plus élevé que -12 au mois d'avril. Essentiellement, les investisseurs autogérés se sentaient toujours en bonne posture par rapport au marché. les investisseurs ont fait augmenter la croissance au mois de mai. Les investisseurs actifs suivent les tendances en énergie et en TI. Les titres les plus achetés (...) la génération Z et celles du Millénaire sont les plus optimistes et favorisent le secteur des TI. Parmi les plus achetés par ce groupe, Shopify Apple et Amazon. par est-ce qu'on peut repartir géographiquement? - Oui. Lorsqu'on répartit géographiquement, les provinces des Prairies sont en fait les plus optimistes. Il y a un biais en faveur du secteur de l'énergie. L'Ontario est à l'opposé. Une confiance très basse même s'il y a un optimisme au niveau de l'énergie. - était Anthony Okolie. Les 10 TSX est en baisse de 1 %, 202; une baisse généralisée en ce dernier jour du trimestre. Ce sera le dernier jour du premier semestre de 2022. Le début d'année aura été difficile. Les 10 TSX est en baisse d'environ 9 % pour l'année. Beaucoup de difficultés dans plusieurs secteurs, y compris les actions minières. Quantum Minerals en baisse. Aux États-Unis, l'indice a un peu moins de 1 % baisse. De part et d'autre de la frontière, la tendance est à la baisse. Je ne veux pas vous annoncé de mauvaises nouvelles, mais l'indice S&P 500 est en baisse de presque 20 % aujourd'hui. L'indice Nasdaq axé sur la technologie est en baisse. Uber, l'un des titres à la baisse sur Wall Street. Revoici avec Francis Fong des services économiques TD. Vous vous intéressez aux considérations éméchées. Est-ce qu'il a des problèmes de gouvernance au niveau du nouveau marché vert? - Si vous songez à ce qui s'est vraiment que les facteurs ESG, il y a beaucoup d'engagements nets zéro, ce qui est très positif. Beaucoup d'entreprises commencent à réfléchir à la façon dont est lointaine certains objectif. C'est très bien, c'est la gouvernance qui liait la clé. S'il n'y a pas de reddition de compte, il ne se passera rien. La gouvernance représente un parapluie critique, mais il y a des défis liés gouvernances très intéressantes dans des domaines particuliers du secteur ESG. Il y a les compensations de carbone volontaire. Nous commençons créer des systèmes, du marché des six permette de mettre en place un processus pour réduire les émissions capturées le carbone et générer des compensations de carbone. Ces compensations de carbone peuvent être vendues à quiconque, n'importe quel acheteur, et cela vous donne essentiellement un encouragement financier, non pas seulement pour les firmes pour produire, mais n'importe où dans le monde. Vous pouvez avoir la destruction du méthane dans des décharges dans les régions rurales du Kenya, produisant des crédits carbone vont d'une compagnie à Londres qui veut réduire son empreinte carbone. Le défi que cela soulève, c'est de proposer des encouragements financiers pour aider la réduction des missions. Jusqu'ici, on utilise des plus carbones, qui est un outil coercitif. Nous allons imposer un coût, mais cela ne fonctionne peut-être pas aussi bien, même avec les remises, qu'un exercice axé sur les bénéfices. - C'est ça. Nous avons le bâton, où est la carotte? À titre d'exemple, on estime que si nous voulions développer le marché de l'hydrogène pour parvenir au net zéro d'ici 2050, il nous faudrait des kilomètres de pipelines dans toute l'Amérique du Nord. Essentiellement la même longueur de pipeline qui a été construite pour soutenir le marché du gaz naturel depuis 20 ans. Quel encouragement financier pour que quiconque construit cette infrastructure? Il nous faut une bonne gouvernance afin d'assurer que ce ne soit pas une conversion environnementale de façade. Il faut que les mesures donnant droite à des crédits soit permanente il faut que ce soit vérifié par des tiers. Nous nous demandons au juste comment envoyer des gens,, premièrement l'exemple dans une région rurale du Kenya pour vérifier la réduction des émissions est aussi réel qu'on le prétend? La gouvernance est la clé qu'on oublie souvent mixer est très important. C'est un élément un peu oublié des facteurs PSG. Voilà tout le temps d'une dont nous disposions. Avez-vous quelques ultimes réflexions pour notre auditeur? Nous abordons une longue fin de semaine, nous oublierons nos soucis pendant quelque temps, puis nous aborderons le deuxième semestre. Un premier service avec lesquels je ne suis pas fâché d'en avoir fini. - Je crois que la période sera inégale. Il y a beaucoup d'incertitudes malheureusement. Ce qui est souvent difficile à comprendre, pour en revenir aux banques centrales, c'est la mesure dans laquelle le cycle d'augmentation de taux actuel est différent de ce qui s'est passé autrefois dans l'histoire. Beaucoup de gens qui connaissent le marché, par exemple marché du logement depuis 20 ans, n'ont jamais assisté à un telle augmentation de taux. Le dernier remonte aux années 80. Cela entraîne un malaise chez les entreprises, chez les investisseurs. Cela va se poursuivre car malheureusement ne l'ont pas nécessairement savoir comment ça va se terminer puisque seul le temps nous l'apprendra. Il y aura donc des difficultés à surmonter pendant le deuxième semestre, mais il est très probable que nous en sortirons en relativement bonne posture. - Francis Fong, merci. Économiste principal au service économique TD. Je vous rappelle les invités des prochaines émissions. Après une pause pour la longue fin de semaine. Nous reviendrons la semaine prochaine, mardi, Andrew Kelvin sera avec nous de valeurs mobilières des dépôts parle d'économie. Mercredi, nous allons parler des actions avec Damian Fernandes test de Gestion d'actifs TD. Jeudi 7 juillet, Greg Barnes va aborder le secteur minier. Je vous souhaite une excellente longue fin de semaine et à la semaine prochaine.