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(musique)
Bonjour Ici Greg Bonnell, bienvenue à Parlons d'argent en direct une émission de Placements direct TD. Jason Hyatky envoyez-nous vos questions par courriel à cette adresse courriel ou de la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais tout d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
- En ce premier jour de bourse de la semaine, l'indice TSX est essentiellement inchangé.
En baisse de 1,39.
points soit (mot en anglais) aujourd'hui, le titre recule à 80,74 $ l'action soit 1/3 %.
J'ai remarqué qu'Air Canada était en hausse en début de séance le titre quelque peu reculé mais demeurant au-delà un peu plus de 1/2 %.
Aux États-Unis, la semaine sera chargée.
Dans quelques instants, nous allons commenter les perspectives en matière de politique monétaire future.
L'indice S&P 500 est modestement os de 26 points soit 1/2 %. L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie est en hausse de 1 %.
Le goût du risque semble être de retour aujourd'hui notamment des tests titre comme Apple et les autres actions amigo capitalisation. Apple est en hausse d'un peu plus de 3 %.
- La banque du Canada se réunit cette semaine, on pense qu'elle maintiendra les taux inchangés à 4,5 % s'agiraient de la première 11 après une série de huit hausses de plus de un an.
Où en sommes-nous dans le cycle économique?
Derek Burleton.
- La banque du Canada avait annoncé une hausse. Elle peut changer d'avis ou maintenir le cap.
- Une pause conditionnelle. Il y a seulement six semaines, la banque a annoncé après un mois de données la situation n'est pas changée par rapport à ce qu'elle annonçait. Tant que les indicateurs économiques sont conformes à ses pronostics et que la croissance notamment de l'emploi commence à faiblir, la banque a annoncé qu'elle maintiendrait cette pause mais il n'est pas question de réduction de taux. Six semaines plus tard, les données sur le mois de janvier montrent que l'économie se porte bien et notamment l'emploi. Toutefois, le chiffre de l'inflation taux inférieure aux pronostics de la banque cela doit donc compenser. Après une si courte période, il serait étrange que la banque du Canada qui avait annoncé une pause fut-elle conditionnelle à changer d'avis. Je pense que la banque va différer les grandes décisions aux réunions Finul futures du prix l'été.
Ce serait une pause étrange entre les deux réunions parce que c'est ce que la banque faite de toute façon.
- Vous parler du marché du travail nous avons été averti par la cède et la banque du Canada que à partir de cette série de hausse de taux, on s'attendait à des dégâts dans l'économie du travail.
Or ce n'est pas le cas,.
- Justement, c'est une anomalie. Les données ne sont pas vraiment compréhensibles.
Songez à la croissance explosive de l'emploi pour une économie qui est en croissance, mais pas très rapide que l'on pourrait qualifier de résilience, les hausses de taux on aurait pensé qu'ils avaient commencé à avoir les conséquences sur l'emploi. Il y a tout de même une évolution dans le nombre de places à pourvoir, ce qui représente tout de même une évolution intéressante.
- Le mois de janvier difficile car il existe des ajustements saisonniers. La pandémie entraînait des distorsions. Je pense que la banque du Canada va sans doute faire la part des choses lorsqu'elle étudiera les plus récents indicateurs économiques. Elle veut se donner le temps de voir un recul de l'emploi.
Maintenir les taux en pause devrait se prolonger pendant quelques mois pour faire en sorte que la croissance des salaires commence à rétrograder.
- C'est important aussi bien qu'au Canada qu'aux États-Unis. Est-ce que cela nous rassure à l'idée que nous pourrions éviter une récession grave si l'économie se maintient malgré la hausse de coût d'emprunt? Est-ce que nous pourrons inviter le scénario duper?
- Je le pense. C'est notre prévision depuis quelque temps.
Malgré que l'économie se porte très bien, nous prévoyons des facteurs atténuants qui compenseraient l'épargne excédentaire l'épargne excédentaire dans la société. Il y a sans doute des employeurs qui vont annuler les annonces d'emploi avant de procéder à des licenciements. C'est donc notre prévision. Le défi, c'est que si le marché du travail ne ralentit pas davantage et plus nettement et plus rapidement, la banque Canada pourrait devoir renoncer à sa pause qui pourrait entraîner des décisions imprévisibles en 2024. C'est là où le risque réside actuellement.
- Cette pause conditionnelle ne place une trajectoire différente que celle de la Fed aux États-Unis là où le marché du travail se porte très bien, mais de l'avis général va procéder à de nouvelles hausses de taux. Pourquoi la différence? Hein ça cause de la nature de notre économie à l'endettement notamment quinté qui inquiétait la banque Canada?
- Oui. Le gouvernement a invoqué l'endettement dans ses interventions publiques. C'est le facteur qui distingue le Canada des États-Unis.
La dette des ménages est élevée au Canada, pas autant qu'aux États-Unis. Je pense tout de même que le parrain d'eau de la frontière, on se demande si le hausse de taux non peut-être pas leur impact prévu.
Au Canada ce qui est intéressant, c'est que les chiffres du PIB du quatrième trimestre paru la semaine dernière en ce qui concerne les dépenses des consommateurs et surtout les revenus, les revenus ont explosé pendant le quatrième trimestre mais il s'agissait surtout de paiements de transfert. Il y a une augmentation de 60 % dans les transferts des gouvernements au fond de ménages ristournes TPS.
Subventions pour les garderies et surtout ce rapport en définitive obligée la banque du Canada a augmenté davantage, parce que la saison des budgets des gouvernements comment il pourrait avoir davantage de mesures la semaine dernière, je ne sais pas si la banque du Canada ne doit pas en tenir compte.
- La possibilité que la politique budgétaire n'est à l'encontre de la politique monétaire n'est pas négligée.
La banque du Canada n'est pas la seule qui prendre une décision aujourd'hui.
Général Powell vers témoigner devant le congrès pendant deux jours. Est-ce que nous allons entendre quelque chose que la banque centrale nous apprend qu'on dit?
- C'est vrai, à moins que général Powell ne décide de passer un message marché, je ne pense pas que ce soit sa nature.
Il cite il aime s'en remettre au comité.
La semaine prochaine, le 22, la prochaine décision de taux intervient il se contentera de généralisation je crois. Il se peut que les taux demeurent plus élever plus longtemps, c'est le message que transmet les autres banques centrales, on ne sait jamais.
Les données montrent que l'économie se porte bien l'inflation contrairement à celle du Canada remonté en janvier plus que prévu.
Compte tenu de la prépondérance des données, il se peut que la Fed des décide soit d'envisager une hausse de 50 points de base alors que les marchés ne prévoient que 25 % 25 points de base plutôt mais il se pourrait que ce soit le taux terminal.
C'est-à-dire que le taux d'intérêt à partir de la banque du Canada mettra fin à sa série de taux pourrait être plus élevé que prévu.
- Pour en revenir à ce que vous disiez sur la divergence en matière de politique monétaire, il faudra surveiller le dollar canadien. Les marchés prévoient déjà une divergence de 70 points de base dans les taux d'intérêts terminaux aux États-Unis.
On prévoit une légère augmentation des taux d'ici l'été par rapport aux niveaux actuels.
Mais le dollar canadien ne faiblit pas tellement.
Pour ceux qui se demandent si nous pouvons suivre des trajectoires divergentes, jusqu'ici, les marchés s'en accommodent.
La situation changera peut-être mais il s'agit de véritable facteur de risque pour le Canada six agit de relever les taux.
C'est plutôt la résidence des consommateurs et le marché de l'emploi sont à surveiller.
Les statistiques de l'emploi ont pas vont paraître vendredi.
C'est assez aléatoire ces jours-ci.
Je suis d'accord avec le consensus: 200 000 nouveaux emplois, ce s'est beaucoup moins qu'en janvier 1000 200 000 c'est toujours beaucoup.
Les marchés… en déduisant qu'il est davantage probable que la hausse des taux se tienne à 50 points. Au Canada, on s'attend un chiffre d'emploi inchangé après les chiffres très élevés des deux derniers mois.
- Excellent début d'émission. Derek Burleton répondre à vos questions sur l'économie y compris les perspectives du secteur du logement. Posez-nous vos questions à cette adresse courriel ou dans la boîte de questions bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
(...
) Test cela réduit encore les taux les prix d'au moins deux de ses modèles. Site Web du constructeur de véhicules électriques sur le modèle version performante et le modèle X. Elon Musk chef des directions étincelants après préposé sa stratégie de susciter la demande grâce à des baisses de prix pour les véhicules tesla. Les actions de Cargojet annoncent des bénéfices de la compagnie le chef a augmenté de plus de 10 % à cause du commerce électronique mais les bénéfices tombaient sur 12 mois.
Cargojet continue de surveiller l'économie globale et le fait qu'une récessive le fait qu'une récession probante sur les consommateurs. L'action est en baisse de plus de 9 %.
Les grands indices à présent l'indice TSX composite était très modestement os de cinq points.
- Les marchés sont indécis au début de l'émission l'indice était légèrement en baisse. L'indice instantané des marchés américains progresse assez raisonnablement en raison de 26 points soit un peu plus d'un demi pour cent. Derek Burleton répond à vos questions sur l'économie.
- On se demande quel est le chiffre de l'inflation globale.
On part de 5,9 %, et ce spectateur déclare que le sens des produits alimentaires ont doublé ou triplé. On pourrait expliquer la corbeille que suit statistique Canada?
- C'est une question qu'on oppose souvent.
Les chiffres publiés de l'inflation semblent faibles. Par rapport à ce qu'on voit dans le commerce de détail.
6 %, cela ressemble plutôt à 18. Il s'agit, pour beaucoup de gens d'une corbeille moyenne utilisée par un statistique Canada elle accorde beaucoup d'importance au logement, y compris les coûts des terrains prêts!
Hypothécaire cela représente un bon tiers de la corbeille.
L'alimentation est importante, l'essence mais toutes les corbeilles ne sont pas les mêmes, c'est une moyenne. Ceux qui dépensent davantage en logement par exemple, c'est un domaine où les pressions sont particulièrement fortes, cela rendait davantage ressenti l'inflation.
Moi-même, j'insiste davantage sur la hausse des prix plutôt que de les voir inchangé. Si on considère l'IPC, il y a des pressions ce qui s'exerce sur les prix dans certains domaines, ce ne sont pas tous les prix qui augmentent et par exemple avec l'amélioration des chaînes d'approvisionnement et le ralentissement du marché du logement, et le secteur de l'ameublement est un domaine dans lequel est os de prix ont commencé à ralentir.
L'essence par exemple, même si les prix de l'Ascension semblent étriper, ils sont légèrement inférieurs à ce qu'ils étaient il y a 12 mois puisqu'il y a une forte hausse suivie de recul rapide.
Lorsque je paye quelque chose et qu'il me semble que la hausse de prix est important, c'est une perception. Cela m'amène à croire que tu es prêt augmentes rapidement.
Je signalerai également qu'il y a un autre facteur qui fausse la situation, c'est là justement relié à la qualité, statistique Canada inclut un facteur qui tient compte de l'amélioration de la qualité des biens, ce qui réduit le prix tel que le mesure même si lorsque je paye le prix au détail je n'établis pas ces ajustements.
Il y a beaucoup de facteurs différents mais question qu'on oppose souvent.
Ce n'est pas que statistique Canada cherche à me tromper, elle fait de son mieux pour calculer l'inflation mais c'est un peu différemment de la méthode que l'on attendrait.
- Si nous nous trouvions à la 3 % annoncés par la banque du Canada, si nous nous retrouvions autour de deux ou 3 %, qu'est-ce qu'il faut se rappeler? Les prix ne font pas baisser, ils vont cesser de monter aussi rapidement qu'avant?
- Oui. Il se peut qu'il y ait une certaine déclaration des biens, nous n'y sommes pas encore, mais contenu différent qu'ils ont bondi les prix des voitures d'occasion pourraient redescendre mais je ne pense pas qu'ils vont redescendre au niveau pré pandémie.
Autrement dit, ce sera un peu comme un bâton de hockey dans la plupart des secteurs, la hausse des prix va redevenir plus acceptable en l'absence d'une récession sévère, je ne vois pas beaucoup de recul de l'inflation.
L'idée, c'est de contrer le rythme des hausses de prix.
- Quand croyez-vous que la banque du Canada et la Fed vont commencer à réduire les taux?
- C'est une question que l'on se pose depuis le début de l'année.
Les marchés envisageaient des coupures d'ici la fin de cette année puis cela a évolué.
Nous prévoyons toujours une ou deux réductions de taux au quatrième trimestre au Canada.
Mais nous en sommes de moins en moins certain.
Pourquoi cela se produit? Il faudrait que l'emploi commença un revirement et ralentissent considérablement.
C'est un domaine qui me rassure davantage, mais le marché du travail, c'est un secteur où les coupures de taux pourraient bien être repoussées en 2024.
C'est ce que les banques centrales nous tous nous disent il y songe même pas.
Elles vont conserver un discours très ferme, puisqu'ils ne veulent pas que les attentes en matière d'inflation évoluent hors de leur contrôle. Nous leur demandons que le taux d'inflation comment se porte le marché du travail. Hypocondrie est toujours une possibilité même si celle-ci vend diminuant. Pourquoi y aurait-il même une réduction de taux même si l'inflation se situe à 3 %? Si la bonne Canada maintient son taux d'intérêt nominal à 4 % où il est aujourd'hui au fur et à mesure que l'inflation diminue le taux d'intérêt réel augmente puisque c'est le taux nominal moins l'inflation, ce qui maintiendrait les taux à un niveau très restrictif.
Est-ce que la banque du Canada voudra les y laisser si l'inflation est redescendue à 3 % d'ici la fin de l'année?
Je ne crois que ce ne sera pas le cas.
- Voilà une justification pour lesquels nous prévoyons jurer réduction du taux d'ici la fin de l'année.
- Je pense que la banque a reconnu que son taux est restrictif ce n'est pas un niveau auquel on souhaite maintenir les taux. Il s'agit de parvenir à un taux d'équilibre revenu voir le taux actuel d'équilibre vise à atténuer la croissance économique si la banque parvient son objectif elle tiendra certainement à faire redescendre les taux nominaux, mais ici le chômage ou plutôt si l'emploi ne diminue pas aussi les gains du mois de février ne sont pas au moins en partie renversée, il faudra réfléchir à la possibilité de réduction à la possibilité d'une hausse en cours de 25.
Points.
- Que pensez-vous du valeur du dollar canadien dollar américain cette année?
- C'est une autre question difficile. Vous m'en posez en série.
Nous pensons toujours que les situe à dollar canadien se situera autour de 0,80 €. La question de savoir quand il parviendra à ce niveau. Ce qui retarde le processus et le différentiel négatif entre le Canada et les États-Unis.
Je pense que le dollar canadien pourrait reculer quelque peu tandis que les marchés entre les deux banques centrales mais pour les Canadiens qui passent l'hiver aux États-Unis, on se situera au bas de la fourchette de 72 à 80 ou le dollars se maintient depuis cinq ans mais en définitive, nous allons revenir au milieu de cette fourchette plus tard cette année une fois que nous aurons tourné Lecointe que l'inflation diminuera et que la divergence entre la Fed et la banque du Canada s'estompe.
- L'an dernier, certaines questions étaient posées quant à la valeur du dollar canadien.
Les prix de l'énergie augmentent en flèche mais le dollar canadien ne réagit pas comme on s'y attendrait. Est-ce que c'est plutôt attribuable aux politiques des banques centrales?
- Oui.
Il y a des hauts et des bas.
Des valeurs qui affectent le dollar canadien le tout différentiel et cours des produits de base également la tolérance au risque.
À l'heure actuelle, c'est plutôt la politique de taux qui affecte l'évolution du dollar canadien je pense que cela ne va pas changer. Si le cours du brut descend à 650 cela chasserait le goût du risque ce qui ferait dégringoler l'économie canadienne et le dollar canadien.
Nous pensons que les cours du brut se maintiendront autour de 75 $ contenus des Marchès essaieraient de la demande en provenance de Chine.
Je pense que ce sera un facteur relativement neutre et ce sont surtout les qui affecteront le taux de change dollar canadien.
Switchita toujours vos propres recherches avant de prendre les vos décisions de placement.
Derek Berl autour de répondre à vos questions dans quelques instants.
Posez vos questions en tout temps à cette adresse courriel est à présent poursuivre la découverte de courtier Web.
- Aujourd'hui nous allons parler des ordres limites et de l'usage que vous pouvez encore enfant.
Jason Hyatky est directeur à placement direct et des points parlons d'ordres limitent de quoi s'agit-il?
- - Ça me fait toujours plaisir de passer à votre mission.
Les ordres limitent sont donc invaincus excellents pour les investisseurs d'établir l'ordre exécuté.
Si vous voulez indiquer le minimum que vous êtes acceptés pour vendre un titre le maximum que vous attrapez pour l'acheter les ordres limites peut vous aider.
- Jetant un coup d'œil sur les caractéristiques lézardées sur la manière de les passer.
J'ai un graphique à l'écran. Lorsqu'on songe aux ordres limite, il s'agit du maximum que l'on est disposé à payer pour acheter et du minimum qu'on est disposé à recevoir pour vendre.
Mettons que… vous envisagez d'investir dans cette action et que vous voulez établir un objectif à la hausse, vous pouvez saisir un ordre limite auto minimum auxquels est disposé à vendre afin de verrouiller vos gains et si les actions montent. Il est possible de maîtriser le coût est de ne pas dépenser au-dessus de ses moyens on prendrait l'habitude ce qui n'est pas une stratégie prometteuse. La deuxième ligne représente un objectif peut-être ambitieux disons voilà le maximum que je suis disposé à payer pour cette action.
Je veux afficher un ordre afin que nous puissions expliquer comment passer l'ordre limite. Donc on peut cliquer sur le bouton achat ou vente à côté de la cote ou encore, on peut cliquer sur le bouton au sommet à droite ou encore sous la rubrique compte et dans la colonne on peut cliquer sur la rubrique de l'ordre.
Donc, les symboles de l'action est saisie d'avance, ont saisi la quantité sur la droite, s'affiche tous les détails de la cote de cette action.
Courtier Web est en temps réel, mais n'est pas actualisé automatiquement. Si vous réfléchissiez quelques instants au courrier auquel vous voulez les payer, cliquez sur le bouton actualiser en bas de votre écran. Ce sera une habitude à prendre.
Voici où l'on choisit l'ordre limite parmi les différents types d'ordres qui sont offerts. On sélectionne sur la list.
Cette case s'affiche ici la possibilité de spécifier le cours exact que vous voulez inclure dans votre ordre.
Sur la droite, l'action dernièrement changée à 488,80.
On peut déclarer qu'on ne va jamais dépenser plus que 85.
Cela garantit que l'ordre sera exécuté mais si le cours baisse, l'ordre sera dans la file d'attente prêt à être exécuté lorsque ce paramètre est atteint.
- Un dernier élément qui est distinctif dans ce type d'ordres, c'est la possibilité de contrôler la durée pendant laquelle il entre en vigueur.
Il peut arriver en fin de journée ou bien on peut fixer une date ou bien précisée que l'ordre demeurant vigueur jusqu'à ce qu'il soit annihilé, c'est-à-dire 90 jours sur le marché sur le marché américain.
- Merci Jason.
Mettons donc la durée combien ils existent en indiquant qu'ils entrent en vigueur pendant plus d'une journée et est-ce qu'ils sont valables pour les séances après la clôture?
- Alors nous pourront répondre aux questions tout de suite.
Quand on songe à réaliser des opérations après la clôture, sur l'ordre donc valable jusqu'à l'annulation, vous remarquez au bas de l'écran qu'il est possible de saisir une journée plus après clôture.
Vous aurez peut-être remarqué si vous êtes le veto voyez qu'il y a des opérations qui sont réalisées et vous demandez comment peut participer participer.
Certains certaines actions sur le marché américain des actions plus importantes cotées au Nasdaq ou à la bourse de New York peuvent changer de mains avant l'ouverture de l'agent de bourse ou bien après la clôture.
Placement direct TD propose à une heure de lest vous pouvait donc réagir avant l'actualité avant l'ouverture des marchés ou après les annonces de bénéfices vous n'êtes pas forcés d'attendre passivement que le marché ouvre et TD participe jusqu'à 16 heures heure de lest.
Possible de spécifier la quantité dans l'ordre limite. Cet ordre limite n'est accepté que pendant les séances après clôture. Ils pourraient être exécutés pendant des périodes sont peut-être plus commodes pour vous.
- L'autre stipulation pour passer l'ordre, c'est la fonction journée plus après clôture si on n'est pas exécuté pendant la journée de bourse il pourra l'être après la clôture.
Si leur donnait pas exécuter après 19 heures vous pouvez essayer le lendemain.
- Merci les hommes.
Jason Hyatky et formateur à placement direct TD.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de courtier Web vous trouvez davantage de ressources.
Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou alors sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser soit par courriel à cette adresse courriel, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Derek Berl autour répond à vos questions sur l'économie.
La chaîne d'approvisionnement.
La chaîne d'approvisionnement continu d'évoluer et la relocalisation augmente au Canada.
Quelles seront les secteurs qui sont affectés?
- - Il est difficile de se procurer des données concluantes sur la relocalisation Canada, les données sont beaucoup sont beaucoup plus approfondies aux États-Unis il existe même un groupe qui fait le décompte des emplois du secteur manufacturier qui ont été rapatrié aux États-Unis après les problèmes d'échanges commerciaux sinon américains après la pandémie, donc c'est un phénomène qui est bel et bien réel.
Nous au Canada nous penchons sur les données de l'emploi dans le secteur on s'attendre à avoir une relocalisation on ne voit pas beaucoup de signes de ce phénomène.
L'investissement direct étranger dans le secteur manufacturier a augmenté depuis deux ans, c'est trop tôt pour le dire.
- Puisque nous sommes anciens trois contacts avec les États-Unis le milieu commercial, une amélioration de la situation économique de notre voisin du Sud et ils peuvent-elles secteur de l'économie le secteur de l'automobile est un bon exemple.
Donne le passage à l'électricité, la richesse du Canada en ressources naturelles, la possibilité existe donc de créer des chaînes d'approvisionnement entièrement que ce soit pour les batteries ou les mini minerais critiques.
Cette année comportera beaucoup d'incitatifs pour accélérer ce processus tout comme la voie de l'inflation aux États-Unis aux États-Unis qui visent à attirer ce sont des investissements qui sont riches et dont le Canada va bénéficier.
Mais c'est ce que j'espère en tout cas, il nous faudra des investissements ici aussi.
- Contenu datant de notre économie, est-ce que nous avons un espoir de pouvoir rivaliser avec la loi sur l'inflation quant aux possibilités que sacré aux États-Unis?
- Je ne crois pas.
Le gouvernement fédéral a déjà déclaré qu'il ne saignait et n'essaiera pas de l'émuler la loi sur la protection de l'inflation qui peut être sack 400 milliards de dollars cela représenterait 40 milliards avec le nouvel accord sur les soins de santé le gouvernement du Canada n'est qu'une marge budgétaire réduite.
- Mais le gouvernement va se concentrer sur des investissements ciblés.
Ce serait intéressant.
Il y a un domaine qui n'est pas tellement relié à nos chaînes d'approvisionnement mais plutôt l'exportation du pétrole et les technologies de captage du carbone.
Jusqu'où va-t-on aller au niveau du secteur manufacturier et aider le secteur pétrolier? Le problème est que c'est un secteur qui obtient d'excellents résultats financiers il se pourrait qu'il soit controversé de soutenir un secteur qui obtient de si bons résultats.
- Les mesures prises par le gouvernement seront ciblées et non pas généralisées comme aux États-Unis.
- Une question vient de nous être posée: quelles sont vos attentes vis-à-vis des États-Unis et dans le reste du monde au plan économique?
- Le Canada affiche un net écart dans les résultats de décembre. L'économie canadienne a effectivement stagné pendant six mois six trimestres plus tôt, l'économie américaine sur place de un demi points.
Les la croissances établissement 1/2 % au Canada. Une version mise à jour pour induire considérablement ces chiffres.
J'ai été frappé par la résidence de l'économie canadienne et notamment des dépenses de consommation.
- Je crois que certaines des mesures prises par le gouvernement contribuent à lutter contre les impacts des taux d'intérêt sans toutefois les annuler entièrement.
Mais ces mesures vont en compenser partiellement les effets. Cette année, nous prévoyons 1 % pour les deux économies, ce qui est une réévaluation réévaluation à la hausse quoiqu'elles ne sont pas encore certaines.
La croissance va donc demeurer faible.
Nous allons tout à l'heure envisager la faible probabilité de résultats sévères.
Ce risque recule beaucoup, contenu l'arrêt de la résilience de l'économie, mes inquiétudes se portent à présent sous 2024, si les banques centrales ont trop appuyé sur le levier des hausses de taux, cela pourrait créer une risque de récession à moyen terme.
- Une question difficile mais tout le monde cela pose.
Jusqu'où le prix des logements résidentiels continus continueront il diminue?
- Je pense que nous avons presque tous les touchers le fond.
Des chiffres préliminaires pour février à la barre du printemps les baisses de ventes commencent à ralentir.
Il y a eu un mois de janvier défavorable pour les ventes et c'est là où la loi sur les acheteurs étrangers est entrée en vigueur et interdiction des de revente immédiate, donc la cour de baisse des ventes commence à s'estomper et les ventes sont encore faibles.
Mais nous n'avons pas atteint le niveau devant la pandémie.
Le problème, ce sont les mises en vente.
Il y en a très peu sur le marché.
Il y a une certaine faiblesse de part et d'autre après un gel pendant les périodes de hausse de taux.
La question est donc de savoir si nous allons hiberner pendant le premier semestre mais je pense qu'il y aura une relance légère.
Quant aux mesures d'abordabilité, cela limite une remontée trop forte puisque le taux d'intérêt ne vont pas diminue rapidement.
Du moins pas de sitôt.
Il y aura peut-être une légère remontée dans le deuxième semestre mais cela commence à se produire.
- Les chiffres de Toronto qui sont parus à la fin de la semaine dernière laissant voir rencontrer les prix, il y avait des gains dans la catégorie des prix plus bas.
- Les acheteurs ont dû modérer leur ambition l'abordabilité demeure un problème il y a des hypothèses de base.
Ces je vous en rends l'augmentation du rendement a fait augmenter les taux le rendement des obligations rebondies puisque tout le monde s'inquiète à l'idée de nouvelles mesures monétaires.
Le rendement sur deux ans a beaucoup augmenté ce qui exerce une pression sur les taux de prêt hypothécaire à moyen terme et pourrait retarder retarder cette évolution.
Le TSI F le régulateur des banques envisage de serrer la réglementation sur les prêts ce qui pourrait entrer en vigueur le BSI F sauf qu'il y a toute une série de potentiel pour les emprunteurs à risque.
Mais jusqu'ici, nous devrons attendre pour voir si cela doit figurer dans le pronostic.
- Est une question sur les taux d'intérêt jusqu'à l'année dernière les taux d'intérêt est stable puisque le taux préférentiel devrait fluctuer régulièrement.
D'ici cinq à 10 ans.
Depuis la crise financière que la pandémie, on assistait qu'à très peu de fluctuations.
- Oui maintenant c'est beaucoup plus intéressant de suivre l'évolution des taux d'intérêt.
Les risques reliés au pronostic de tous les terrains sont doubles.
Tout comme pour l'inflation au plan économique et une collection de volatilités des données mais en ce qui concerne les taux d'intérêt, la fourchette sera un peu plus large.
Si vous pensez que le tout à long terme s'établit entre deux et 4 %, ou de mini quatre selon le secteur de la courbe que vous envisagez, c'est une moyenne et il pourrait y avoir des périodes proches de zéro je ne l'excluais pas.
Si l'économie faiblit trouver que les banques centrales réagiraient qu'en définitive, on pourrait penser que l'inflation ne diminuerait.
Est-ce que les banques pourraient redescendre jusqu'à presque zéro?
Ce serait une crise mais à court terme.
Les banques ont appris qu'ils ne vont pas rester zéro dans l'avenir aussi longtemps que l'on fait pendant la reprise après la pandémie.
Elles ont appris cette leçon il faut tenir compte de la politique budgétaire des gouvernements de leur décision.
Mais inversement, nous savons que le plafond des taux est beaucoup plus élevé qu'il ne l'a été depuis des dizaines d'années.
- Je pense que cette fourchette est très large, mais dans un environnement sain, il y a un risque double.
S'il y a trop de prévisibilité, cela pourrait entraîner trop de prise de risque et ce n'est pas positif.
Je pense que l'imprévisibilité n'est pas une mauvaise chose, c'est d'ailleurs plus intéressant pour les pronostics.
- Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Faites toujours propres recherches avant de prendre une décision de placement.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser soit par courriel à cette adresse courriel, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
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La saison de l'annonce des bénéfices trimestriels prend fin.
Les entreprises du S&P 500 ont annoncé une baisse des bénéfices sur 12 mois depuis le troisième trimestre 2020.
Anthony Okolie commente.
- Oui, les compagnies du S&P 500 ont accompli un quatrième trimestre c'est la première baisse depuis deux ans.
99 % des entreprises du S&P 500 ont annoncé le résultat et 68 % ont dépassé les attentes.
Ce qui est largement en deçà de la moyenne sur cinq ans de 77 % de la moyenne sur 10 ans de 73 %.
Plus de 225 et 500 compagnies du S&P 500 ont cité le mot inflation pendant leur téléconférence, ce qui est largement en deçà de la moyenne.
Vendu ventilant par secteur.
Certains des secteurs décevants les technologies les communications les biens de consommation discrétionnaire.
Dans le secteur de la technologie les géants comme Amazon ont annoncé des résultats trimestriels décevants.
Apple pour la première fois depuis sept ans annoncés des bénéfices inférieurs au pronostic après les confinements atteints de la colite Covid-19 en Chine suspendre la en Chine.
La société mère de Google a été mise sous pression par l'absence des annonceurs.
Exxon mobile dans le secteur de l'énergie annonce de nouveaux bénéfices record pour le deuxième trimestre de suite.
Les entreprises du secteur affichent d'énormes bénéfices depuis que la guerre russe ou ukrainien a fait flamber les cours du thé du pétrole et du gaz.
Le service public obtenu de bons résultats avec la forte augmentation de revenus.
Les compagnies industrielles annonçaient hausse sur 12 mois le plus important de tous les secteurs sont l'impulsion de Boeing et des transporteurs aériens qui ont profité du regard de la demande de voyage les consommateurs américains.
- Et la fin d'une annonce des bénéfices signifie qu'on a notre nouvelle.
Quelles sont les attentes pour la prochaine?
- Compte tenu des préoccupations du marché quand un ralentissement économique potentiel une récession, les analystes réduisent leurs estimations de bénéfices plus que d'habitude pour les compagnies du S&P 500 à l'approche du premier trimestre.
Les évaluations de BPA ont diminué.
10 des 11 secteurs devraient constater une baisse de leurs estimations de BPA.
- Merci Anthony.
Vous venez d'entendre Anthony Okolie.
Un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite est en tant Huard c'est en tombant il est légèrement en recul présentement.
Une certaine faiblesse dans le secteur de l'énergie rien de trop important, mais qui nuit à l'indice 9,89 $ pour Crescent en baisse de trois quarts de pour cent.
Après avoir été davantage en déclin depuis le début de la matinée.
(mot en anglais) en hausse de près de 2 % 42,49 $ l'action.
Aux États-Unis, l'indice S&P 500 dans l'attente des deux jours de témoignage du gouverneur de la Fed, puis la parution des chiffres de l'emploi à la fin de la semaine.
L'indice S&P 500 progresse d'un peu plus d'un demi pour cent.
L'indice Nasdaq spécialisé dans les technologies caracole en tête du marché à presque 1 %.
Tesla annonce une réduction de prix sur certains modèles pour augmenter la demande et les les actions sont désarmant légèrement baisses deux à 194 $ l'action.
Derek Burleton répond à vos questions sur l'économie.
Pensez-vous qu'il y aura un ralentissement une récession sur cette année?
- Vous disiez tout à l'heure qu'il s'il y a des problèmes, les indicateurs prospectifs les plus importants, la courbe de rendement français, c'est un des autres indicateurs traditionnels d'une récession clignotant rouge ou du moins en jaune vif.
Au niveau du PIB, nous nous situons dans une situation de stagnation zéro croissance pendant un trimestre de plus, cela va contribuer à rééquilibrer l'économie.
Mais je ne vois rien de grave pronostic du taux de chômage on prévoit qu'il augmentera de plus d'un pour cent après deux ans et demis pour cent aussi bien au Canada qu'aux États-Unis.
Plus de 0,5 % du taux de chômage est associé à une légère récession traditionnellement.
Au jour un peu sur les mots en fait pour sortir de ce cycle d'inflation, il faudra qu'il y ait je pense que nous allons pouvoir… éviter des scénarios trop graves.
Et c'est ce que mes collègues pensent également.
La stagnation devrait nous aider à maîtriser l'inflation, mais si la stagnation est au rendez-vous mais que l'inflation demeure élever, nous nous trouvons dans une situation de stagflation.
- Oui.
Nous espérons ne pas nous y retrouver mais les banques centrales, sur la concentré sur la réduction de l'inflation qu'elles vont continuer de relever les taux, ce qui accroît le risque d'une récession.
Je ne pense pas qu'ils vont constamment tourner avec 5 % d'inflation dans cet environnement, il faut que quelque chose soit fait.
On passe maintenant aux banques centrales de leur engagement envers leur cible de 2 %.
- Merci Derek.
C'était des reliques cités Derek Burleton à la banque TD. Demain David Sekera de mon instant répond à vos questions sur les actions américaines.
Vous pouvez nous poser vos questions par courriel à cette adresse courriel.
Merci et à demain!
Bonjour Ici Greg Bonnell, bienvenue à Parlons d'argent en direct une émission de Placements direct TD. Jason Hyatky envoyez-nous vos questions par courriel à cette adresse courriel ou de la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais tout d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
- En ce premier jour de bourse de la semaine, l'indice TSX est essentiellement inchangé.
En baisse de 1,39.
points soit (mot en anglais) aujourd'hui, le titre recule à 80,74 $ l'action soit 1/3 %.
J'ai remarqué qu'Air Canada était en hausse en début de séance le titre quelque peu reculé mais demeurant au-delà un peu plus de 1/2 %.
Aux États-Unis, la semaine sera chargée.
Dans quelques instants, nous allons commenter les perspectives en matière de politique monétaire future.
L'indice S&P 500 est modestement os de 26 points soit 1/2 %. L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie est en hausse de 1 %.
Le goût du risque semble être de retour aujourd'hui notamment des tests titre comme Apple et les autres actions amigo capitalisation. Apple est en hausse d'un peu plus de 3 %.
- La banque du Canada se réunit cette semaine, on pense qu'elle maintiendra les taux inchangés à 4,5 % s'agiraient de la première 11 après une série de huit hausses de plus de un an.
Où en sommes-nous dans le cycle économique?
Derek Burleton.
- La banque du Canada avait annoncé une hausse. Elle peut changer d'avis ou maintenir le cap.
- Une pause conditionnelle. Il y a seulement six semaines, la banque a annoncé après un mois de données la situation n'est pas changée par rapport à ce qu'elle annonçait. Tant que les indicateurs économiques sont conformes à ses pronostics et que la croissance notamment de l'emploi commence à faiblir, la banque a annoncé qu'elle maintiendrait cette pause mais il n'est pas question de réduction de taux. Six semaines plus tard, les données sur le mois de janvier montrent que l'économie se porte bien et notamment l'emploi. Toutefois, le chiffre de l'inflation taux inférieure aux pronostics de la banque cela doit donc compenser. Après une si courte période, il serait étrange que la banque du Canada qui avait annoncé une pause fut-elle conditionnelle à changer d'avis. Je pense que la banque va différer les grandes décisions aux réunions Finul futures du prix l'été.
Ce serait une pause étrange entre les deux réunions parce que c'est ce que la banque faite de toute façon.
- Vous parler du marché du travail nous avons été averti par la cède et la banque du Canada que à partir de cette série de hausse de taux, on s'attendait à des dégâts dans l'économie du travail.
Or ce n'est pas le cas,.
- Justement, c'est une anomalie. Les données ne sont pas vraiment compréhensibles.
Songez à la croissance explosive de l'emploi pour une économie qui est en croissance, mais pas très rapide que l'on pourrait qualifier de résilience, les hausses de taux on aurait pensé qu'ils avaient commencé à avoir les conséquences sur l'emploi. Il y a tout de même une évolution dans le nombre de places à pourvoir, ce qui représente tout de même une évolution intéressante.
- Le mois de janvier difficile car il existe des ajustements saisonniers. La pandémie entraînait des distorsions. Je pense que la banque du Canada va sans doute faire la part des choses lorsqu'elle étudiera les plus récents indicateurs économiques. Elle veut se donner le temps de voir un recul de l'emploi.
Maintenir les taux en pause devrait se prolonger pendant quelques mois pour faire en sorte que la croissance des salaires commence à rétrograder.
- C'est important aussi bien qu'au Canada qu'aux États-Unis. Est-ce que cela nous rassure à l'idée que nous pourrions éviter une récession grave si l'économie se maintient malgré la hausse de coût d'emprunt? Est-ce que nous pourrons inviter le scénario duper?
- Je le pense. C'est notre prévision depuis quelque temps.
Malgré que l'économie se porte très bien, nous prévoyons des facteurs atténuants qui compenseraient l'épargne excédentaire l'épargne excédentaire dans la société. Il y a sans doute des employeurs qui vont annuler les annonces d'emploi avant de procéder à des licenciements. C'est donc notre prévision. Le défi, c'est que si le marché du travail ne ralentit pas davantage et plus nettement et plus rapidement, la banque Canada pourrait devoir renoncer à sa pause qui pourrait entraîner des décisions imprévisibles en 2024. C'est là où le risque réside actuellement.
- Cette pause conditionnelle ne place une trajectoire différente que celle de la Fed aux États-Unis là où le marché du travail se porte très bien, mais de l'avis général va procéder à de nouvelles hausses de taux. Pourquoi la différence? Hein ça cause de la nature de notre économie à l'endettement notamment quinté qui inquiétait la banque Canada?
- Oui. Le gouvernement a invoqué l'endettement dans ses interventions publiques. C'est le facteur qui distingue le Canada des États-Unis.
La dette des ménages est élevée au Canada, pas autant qu'aux États-Unis. Je pense tout de même que le parrain d'eau de la frontière, on se demande si le hausse de taux non peut-être pas leur impact prévu.
Au Canada ce qui est intéressant, c'est que les chiffres du PIB du quatrième trimestre paru la semaine dernière en ce qui concerne les dépenses des consommateurs et surtout les revenus, les revenus ont explosé pendant le quatrième trimestre mais il s'agissait surtout de paiements de transfert. Il y a une augmentation de 60 % dans les transferts des gouvernements au fond de ménages ristournes TPS.
Subventions pour les garderies et surtout ce rapport en définitive obligée la banque du Canada a augmenté davantage, parce que la saison des budgets des gouvernements comment il pourrait avoir davantage de mesures la semaine dernière, je ne sais pas si la banque du Canada ne doit pas en tenir compte.
- La possibilité que la politique budgétaire n'est à l'encontre de la politique monétaire n'est pas négligée.
La banque du Canada n'est pas la seule qui prendre une décision aujourd'hui.
Général Powell vers témoigner devant le congrès pendant deux jours. Est-ce que nous allons entendre quelque chose que la banque centrale nous apprend qu'on dit?
- C'est vrai, à moins que général Powell ne décide de passer un message marché, je ne pense pas que ce soit sa nature.
Il cite il aime s'en remettre au comité.
La semaine prochaine, le 22, la prochaine décision de taux intervient il se contentera de généralisation je crois. Il se peut que les taux demeurent plus élever plus longtemps, c'est le message que transmet les autres banques centrales, on ne sait jamais.
Les données montrent que l'économie se porte bien l'inflation contrairement à celle du Canada remonté en janvier plus que prévu.
Compte tenu de la prépondérance des données, il se peut que la Fed des décide soit d'envisager une hausse de 50 points de base alors que les marchés ne prévoient que 25 % 25 points de base plutôt mais il se pourrait que ce soit le taux terminal.
C'est-à-dire que le taux d'intérêt à partir de la banque du Canada mettra fin à sa série de taux pourrait être plus élevé que prévu.
- Pour en revenir à ce que vous disiez sur la divergence en matière de politique monétaire, il faudra surveiller le dollar canadien. Les marchés prévoient déjà une divergence de 70 points de base dans les taux d'intérêts terminaux aux États-Unis.
On prévoit une légère augmentation des taux d'ici l'été par rapport aux niveaux actuels.
Mais le dollar canadien ne faiblit pas tellement.
Pour ceux qui se demandent si nous pouvons suivre des trajectoires divergentes, jusqu'ici, les marchés s'en accommodent.
La situation changera peut-être mais il s'agit de véritable facteur de risque pour le Canada six agit de relever les taux.
C'est plutôt la résidence des consommateurs et le marché de l'emploi sont à surveiller.
Les statistiques de l'emploi ont pas vont paraître vendredi.
C'est assez aléatoire ces jours-ci.
Je suis d'accord avec le consensus: 200 000 nouveaux emplois, ce s'est beaucoup moins qu'en janvier 1000 200 000 c'est toujours beaucoup.
Les marchés… en déduisant qu'il est davantage probable que la hausse des taux se tienne à 50 points. Au Canada, on s'attend un chiffre d'emploi inchangé après les chiffres très élevés des deux derniers mois.
- Excellent début d'émission. Derek Burleton répondre à vos questions sur l'économie y compris les perspectives du secteur du logement. Posez-nous vos questions à cette adresse courriel ou dans la boîte de questions bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
(...
) Test cela réduit encore les taux les prix d'au moins deux de ses modèles. Site Web du constructeur de véhicules électriques sur le modèle version performante et le modèle X. Elon Musk chef des directions étincelants après préposé sa stratégie de susciter la demande grâce à des baisses de prix pour les véhicules tesla. Les actions de Cargojet annoncent des bénéfices de la compagnie le chef a augmenté de plus de 10 % à cause du commerce électronique mais les bénéfices tombaient sur 12 mois.
Cargojet continue de surveiller l'économie globale et le fait qu'une récessive le fait qu'une récession probante sur les consommateurs. L'action est en baisse de plus de 9 %.
Les grands indices à présent l'indice TSX composite était très modestement os de cinq points.
- Les marchés sont indécis au début de l'émission l'indice était légèrement en baisse. L'indice instantané des marchés américains progresse assez raisonnablement en raison de 26 points soit un peu plus d'un demi pour cent. Derek Burleton répond à vos questions sur l'économie.
- On se demande quel est le chiffre de l'inflation globale.
On part de 5,9 %, et ce spectateur déclare que le sens des produits alimentaires ont doublé ou triplé. On pourrait expliquer la corbeille que suit statistique Canada?
- C'est une question qu'on oppose souvent.
Les chiffres publiés de l'inflation semblent faibles. Par rapport à ce qu'on voit dans le commerce de détail.
6 %, cela ressemble plutôt à 18. Il s'agit, pour beaucoup de gens d'une corbeille moyenne utilisée par un statistique Canada elle accorde beaucoup d'importance au logement, y compris les coûts des terrains prêts!
Hypothécaire cela représente un bon tiers de la corbeille.
L'alimentation est importante, l'essence mais toutes les corbeilles ne sont pas les mêmes, c'est une moyenne. Ceux qui dépensent davantage en logement par exemple, c'est un domaine où les pressions sont particulièrement fortes, cela rendait davantage ressenti l'inflation.
Moi-même, j'insiste davantage sur la hausse des prix plutôt que de les voir inchangé. Si on considère l'IPC, il y a des pressions ce qui s'exerce sur les prix dans certains domaines, ce ne sont pas tous les prix qui augmentent et par exemple avec l'amélioration des chaînes d'approvisionnement et le ralentissement du marché du logement, et le secteur de l'ameublement est un domaine dans lequel est os de prix ont commencé à ralentir.
L'essence par exemple, même si les prix de l'Ascension semblent étriper, ils sont légèrement inférieurs à ce qu'ils étaient il y a 12 mois puisqu'il y a une forte hausse suivie de recul rapide.
Lorsque je paye quelque chose et qu'il me semble que la hausse de prix est important, c'est une perception. Cela m'amène à croire que tu es prêt augmentes rapidement.
Je signalerai également qu'il y a un autre facteur qui fausse la situation, c'est là justement relié à la qualité, statistique Canada inclut un facteur qui tient compte de l'amélioration de la qualité des biens, ce qui réduit le prix tel que le mesure même si lorsque je paye le prix au détail je n'établis pas ces ajustements.
Il y a beaucoup de facteurs différents mais question qu'on oppose souvent.
Ce n'est pas que statistique Canada cherche à me tromper, elle fait de son mieux pour calculer l'inflation mais c'est un peu différemment de la méthode que l'on attendrait.
- Si nous nous trouvions à la 3 % annoncés par la banque du Canada, si nous nous retrouvions autour de deux ou 3 %, qu'est-ce qu'il faut se rappeler? Les prix ne font pas baisser, ils vont cesser de monter aussi rapidement qu'avant?
- Oui. Il se peut qu'il y ait une certaine déclaration des biens, nous n'y sommes pas encore, mais contenu différent qu'ils ont bondi les prix des voitures d'occasion pourraient redescendre mais je ne pense pas qu'ils vont redescendre au niveau pré pandémie.
Autrement dit, ce sera un peu comme un bâton de hockey dans la plupart des secteurs, la hausse des prix va redevenir plus acceptable en l'absence d'une récession sévère, je ne vois pas beaucoup de recul de l'inflation.
L'idée, c'est de contrer le rythme des hausses de prix.
- Quand croyez-vous que la banque du Canada et la Fed vont commencer à réduire les taux?
- C'est une question que l'on se pose depuis le début de l'année.
Les marchés envisageaient des coupures d'ici la fin de cette année puis cela a évolué.
Nous prévoyons toujours une ou deux réductions de taux au quatrième trimestre au Canada.
Mais nous en sommes de moins en moins certain.
Pourquoi cela se produit? Il faudrait que l'emploi commença un revirement et ralentissent considérablement.
C'est un domaine qui me rassure davantage, mais le marché du travail, c'est un secteur où les coupures de taux pourraient bien être repoussées en 2024.
C'est ce que les banques centrales nous tous nous disent il y songe même pas.
Elles vont conserver un discours très ferme, puisqu'ils ne veulent pas que les attentes en matière d'inflation évoluent hors de leur contrôle. Nous leur demandons que le taux d'inflation comment se porte le marché du travail. Hypocondrie est toujours une possibilité même si celle-ci vend diminuant. Pourquoi y aurait-il même une réduction de taux même si l'inflation se situe à 3 %? Si la bonne Canada maintient son taux d'intérêt nominal à 4 % où il est aujourd'hui au fur et à mesure que l'inflation diminue le taux d'intérêt réel augmente puisque c'est le taux nominal moins l'inflation, ce qui maintiendrait les taux à un niveau très restrictif.
Est-ce que la banque du Canada voudra les y laisser si l'inflation est redescendue à 3 % d'ici la fin de l'année?
Je ne crois que ce ne sera pas le cas.
- Voilà une justification pour lesquels nous prévoyons jurer réduction du taux d'ici la fin de l'année.
- Je pense que la banque a reconnu que son taux est restrictif ce n'est pas un niveau auquel on souhaite maintenir les taux. Il s'agit de parvenir à un taux d'équilibre revenu voir le taux actuel d'équilibre vise à atténuer la croissance économique si la banque parvient son objectif elle tiendra certainement à faire redescendre les taux nominaux, mais ici le chômage ou plutôt si l'emploi ne diminue pas aussi les gains du mois de février ne sont pas au moins en partie renversée, il faudra réfléchir à la possibilité de réduction à la possibilité d'une hausse en cours de 25.
Points.
- Que pensez-vous du valeur du dollar canadien dollar américain cette année?
- C'est une autre question difficile. Vous m'en posez en série.
Nous pensons toujours que les situe à dollar canadien se situera autour de 0,80 €. La question de savoir quand il parviendra à ce niveau. Ce qui retarde le processus et le différentiel négatif entre le Canada et les États-Unis.
Je pense que le dollar canadien pourrait reculer quelque peu tandis que les marchés entre les deux banques centrales mais pour les Canadiens qui passent l'hiver aux États-Unis, on se situera au bas de la fourchette de 72 à 80 ou le dollars se maintient depuis cinq ans mais en définitive, nous allons revenir au milieu de cette fourchette plus tard cette année une fois que nous aurons tourné Lecointe que l'inflation diminuera et que la divergence entre la Fed et la banque du Canada s'estompe.
- L'an dernier, certaines questions étaient posées quant à la valeur du dollar canadien.
Les prix de l'énergie augmentent en flèche mais le dollar canadien ne réagit pas comme on s'y attendrait. Est-ce que c'est plutôt attribuable aux politiques des banques centrales?
- Oui.
Il y a des hauts et des bas.
Des valeurs qui affectent le dollar canadien le tout différentiel et cours des produits de base également la tolérance au risque.
À l'heure actuelle, c'est plutôt la politique de taux qui affecte l'évolution du dollar canadien je pense que cela ne va pas changer. Si le cours du brut descend à 650 cela chasserait le goût du risque ce qui ferait dégringoler l'économie canadienne et le dollar canadien.
Nous pensons que les cours du brut se maintiendront autour de 75 $ contenus des Marchès essaieraient de la demande en provenance de Chine.
Je pense que ce sera un facteur relativement neutre et ce sont surtout les qui affecteront le taux de change dollar canadien.
Switchita toujours vos propres recherches avant de prendre les vos décisions de placement.
Derek Berl autour de répondre à vos questions dans quelques instants.
Posez vos questions en tout temps à cette adresse courriel est à présent poursuivre la découverte de courtier Web.
- Aujourd'hui nous allons parler des ordres limites et de l'usage que vous pouvez encore enfant.
Jason Hyatky est directeur à placement direct et des points parlons d'ordres limitent de quoi s'agit-il?
- - Ça me fait toujours plaisir de passer à votre mission.
Les ordres limitent sont donc invaincus excellents pour les investisseurs d'établir l'ordre exécuté.
Si vous voulez indiquer le minimum que vous êtes acceptés pour vendre un titre le maximum que vous attrapez pour l'acheter les ordres limites peut vous aider.
- Jetant un coup d'œil sur les caractéristiques lézardées sur la manière de les passer.
J'ai un graphique à l'écran. Lorsqu'on songe aux ordres limite, il s'agit du maximum que l'on est disposé à payer pour acheter et du minimum qu'on est disposé à recevoir pour vendre.
Mettons que… vous envisagez d'investir dans cette action et que vous voulez établir un objectif à la hausse, vous pouvez saisir un ordre limite auto minimum auxquels est disposé à vendre afin de verrouiller vos gains et si les actions montent. Il est possible de maîtriser le coût est de ne pas dépenser au-dessus de ses moyens on prendrait l'habitude ce qui n'est pas une stratégie prometteuse. La deuxième ligne représente un objectif peut-être ambitieux disons voilà le maximum que je suis disposé à payer pour cette action.
Je veux afficher un ordre afin que nous puissions expliquer comment passer l'ordre limite. Donc on peut cliquer sur le bouton achat ou vente à côté de la cote ou encore, on peut cliquer sur le bouton au sommet à droite ou encore sous la rubrique compte et dans la colonne on peut cliquer sur la rubrique de l'ordre.
Donc, les symboles de l'action est saisie d'avance, ont saisi la quantité sur la droite, s'affiche tous les détails de la cote de cette action.
Courtier Web est en temps réel, mais n'est pas actualisé automatiquement. Si vous réfléchissiez quelques instants au courrier auquel vous voulez les payer, cliquez sur le bouton actualiser en bas de votre écran. Ce sera une habitude à prendre.
Voici où l'on choisit l'ordre limite parmi les différents types d'ordres qui sont offerts. On sélectionne sur la list.
Cette case s'affiche ici la possibilité de spécifier le cours exact que vous voulez inclure dans votre ordre.
Sur la droite, l'action dernièrement changée à 488,80.
On peut déclarer qu'on ne va jamais dépenser plus que 85.
Cela garantit que l'ordre sera exécuté mais si le cours baisse, l'ordre sera dans la file d'attente prêt à être exécuté lorsque ce paramètre est atteint.
- Un dernier élément qui est distinctif dans ce type d'ordres, c'est la possibilité de contrôler la durée pendant laquelle il entre en vigueur.
Il peut arriver en fin de journée ou bien on peut fixer une date ou bien précisée que l'ordre demeurant vigueur jusqu'à ce qu'il soit annihilé, c'est-à-dire 90 jours sur le marché sur le marché américain.
- Merci Jason.
Mettons donc la durée combien ils existent en indiquant qu'ils entrent en vigueur pendant plus d'une journée et est-ce qu'ils sont valables pour les séances après la clôture?
- Alors nous pourront répondre aux questions tout de suite.
Quand on songe à réaliser des opérations après la clôture, sur l'ordre donc valable jusqu'à l'annulation, vous remarquez au bas de l'écran qu'il est possible de saisir une journée plus après clôture.
Vous aurez peut-être remarqué si vous êtes le veto voyez qu'il y a des opérations qui sont réalisées et vous demandez comment peut participer participer.
Certains certaines actions sur le marché américain des actions plus importantes cotées au Nasdaq ou à la bourse de New York peuvent changer de mains avant l'ouverture de l'agent de bourse ou bien après la clôture.
Placement direct TD propose à une heure de lest vous pouvait donc réagir avant l'actualité avant l'ouverture des marchés ou après les annonces de bénéfices vous n'êtes pas forcés d'attendre passivement que le marché ouvre et TD participe jusqu'à 16 heures heure de lest.
Possible de spécifier la quantité dans l'ordre limite. Cet ordre limite n'est accepté que pendant les séances après clôture. Ils pourraient être exécutés pendant des périodes sont peut-être plus commodes pour vous.
- L'autre stipulation pour passer l'ordre, c'est la fonction journée plus après clôture si on n'est pas exécuté pendant la journée de bourse il pourra l'être après la clôture.
Si leur donnait pas exécuter après 19 heures vous pouvez essayer le lendemain.
- Merci les hommes.
Jason Hyatky et formateur à placement direct TD.
Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de courtier Web vous trouvez davantage de ressources.
Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou alors sur les marchés?
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Derek Berl autour répond à vos questions sur l'économie.
La chaîne d'approvisionnement.
La chaîne d'approvisionnement continu d'évoluer et la relocalisation augmente au Canada.
Quelles seront les secteurs qui sont affectés?
- - Il est difficile de se procurer des données concluantes sur la relocalisation Canada, les données sont beaucoup sont beaucoup plus approfondies aux États-Unis il existe même un groupe qui fait le décompte des emplois du secteur manufacturier qui ont été rapatrié aux États-Unis après les problèmes d'échanges commerciaux sinon américains après la pandémie, donc c'est un phénomène qui est bel et bien réel.
Nous au Canada nous penchons sur les données de l'emploi dans le secteur on s'attendre à avoir une relocalisation on ne voit pas beaucoup de signes de ce phénomène.
L'investissement direct étranger dans le secteur manufacturier a augmenté depuis deux ans, c'est trop tôt pour le dire.
- Puisque nous sommes anciens trois contacts avec les États-Unis le milieu commercial, une amélioration de la situation économique de notre voisin du Sud et ils peuvent-elles secteur de l'économie le secteur de l'automobile est un bon exemple.
Donne le passage à l'électricité, la richesse du Canada en ressources naturelles, la possibilité existe donc de créer des chaînes d'approvisionnement entièrement que ce soit pour les batteries ou les mini minerais critiques.
Cette année comportera beaucoup d'incitatifs pour accélérer ce processus tout comme la voie de l'inflation aux États-Unis aux États-Unis qui visent à attirer ce sont des investissements qui sont riches et dont le Canada va bénéficier.
Mais c'est ce que j'espère en tout cas, il nous faudra des investissements ici aussi.
- Contenu datant de notre économie, est-ce que nous avons un espoir de pouvoir rivaliser avec la loi sur l'inflation quant aux possibilités que sacré aux États-Unis?
- Je ne crois pas.
Le gouvernement fédéral a déjà déclaré qu'il ne saignait et n'essaiera pas de l'émuler la loi sur la protection de l'inflation qui peut être sack 400 milliards de dollars cela représenterait 40 milliards avec le nouvel accord sur les soins de santé le gouvernement du Canada n'est qu'une marge budgétaire réduite.
- Mais le gouvernement va se concentrer sur des investissements ciblés.
Ce serait intéressant.
Il y a un domaine qui n'est pas tellement relié à nos chaînes d'approvisionnement mais plutôt l'exportation du pétrole et les technologies de captage du carbone.
Jusqu'où va-t-on aller au niveau du secteur manufacturier et aider le secteur pétrolier? Le problème est que c'est un secteur qui obtient d'excellents résultats financiers il se pourrait qu'il soit controversé de soutenir un secteur qui obtient de si bons résultats.
- Les mesures prises par le gouvernement seront ciblées et non pas généralisées comme aux États-Unis.
- Une question vient de nous être posée: quelles sont vos attentes vis-à-vis des États-Unis et dans le reste du monde au plan économique?
- Le Canada affiche un net écart dans les résultats de décembre. L'économie canadienne a effectivement stagné pendant six mois six trimestres plus tôt, l'économie américaine sur place de un demi points.
Les la croissances établissement 1/2 % au Canada. Une version mise à jour pour induire considérablement ces chiffres.
J'ai été frappé par la résidence de l'économie canadienne et notamment des dépenses de consommation.
- Je crois que certaines des mesures prises par le gouvernement contribuent à lutter contre les impacts des taux d'intérêt sans toutefois les annuler entièrement.
Mais ces mesures vont en compenser partiellement les effets. Cette année, nous prévoyons 1 % pour les deux économies, ce qui est une réévaluation réévaluation à la hausse quoiqu'elles ne sont pas encore certaines.
La croissance va donc demeurer faible.
Nous allons tout à l'heure envisager la faible probabilité de résultats sévères.
Ce risque recule beaucoup, contenu l'arrêt de la résilience de l'économie, mes inquiétudes se portent à présent sous 2024, si les banques centrales ont trop appuyé sur le levier des hausses de taux, cela pourrait créer une risque de récession à moyen terme.
- Une question difficile mais tout le monde cela pose.
Jusqu'où le prix des logements résidentiels continus continueront il diminue?
- Je pense que nous avons presque tous les touchers le fond.
Des chiffres préliminaires pour février à la barre du printemps les baisses de ventes commencent à ralentir.
Il y a eu un mois de janvier défavorable pour les ventes et c'est là où la loi sur les acheteurs étrangers est entrée en vigueur et interdiction des de revente immédiate, donc la cour de baisse des ventes commence à s'estomper et les ventes sont encore faibles.
Mais nous n'avons pas atteint le niveau devant la pandémie.
Le problème, ce sont les mises en vente.
Il y en a très peu sur le marché.
Il y a une certaine faiblesse de part et d'autre après un gel pendant les périodes de hausse de taux.
La question est donc de savoir si nous allons hiberner pendant le premier semestre mais je pense qu'il y aura une relance légère.
Quant aux mesures d'abordabilité, cela limite une remontée trop forte puisque le taux d'intérêt ne vont pas diminue rapidement.
Du moins pas de sitôt.
Il y aura peut-être une légère remontée dans le deuxième semestre mais cela commence à se produire.
- Les chiffres de Toronto qui sont parus à la fin de la semaine dernière laissant voir rencontrer les prix, il y avait des gains dans la catégorie des prix plus bas.
- Les acheteurs ont dû modérer leur ambition l'abordabilité demeure un problème il y a des hypothèses de base.
Ces je vous en rends l'augmentation du rendement a fait augmenter les taux le rendement des obligations rebondies puisque tout le monde s'inquiète à l'idée de nouvelles mesures monétaires.
Le rendement sur deux ans a beaucoup augmenté ce qui exerce une pression sur les taux de prêt hypothécaire à moyen terme et pourrait retarder retarder cette évolution.
Le TSI F le régulateur des banques envisage de serrer la réglementation sur les prêts ce qui pourrait entrer en vigueur le BSI F sauf qu'il y a toute une série de potentiel pour les emprunteurs à risque.
Mais jusqu'ici, nous devrons attendre pour voir si cela doit figurer dans le pronostic.
- Est une question sur les taux d'intérêt jusqu'à l'année dernière les taux d'intérêt est stable puisque le taux préférentiel devrait fluctuer régulièrement.
D'ici cinq à 10 ans.
Depuis la crise financière que la pandémie, on assistait qu'à très peu de fluctuations.
- Oui maintenant c'est beaucoup plus intéressant de suivre l'évolution des taux d'intérêt.
Les risques reliés au pronostic de tous les terrains sont doubles.
Tout comme pour l'inflation au plan économique et une collection de volatilités des données mais en ce qui concerne les taux d'intérêt, la fourchette sera un peu plus large.
Si vous pensez que le tout à long terme s'établit entre deux et 4 %, ou de mini quatre selon le secteur de la courbe que vous envisagez, c'est une moyenne et il pourrait y avoir des périodes proches de zéro je ne l'excluais pas.
Si l'économie faiblit trouver que les banques centrales réagiraient qu'en définitive, on pourrait penser que l'inflation ne diminuerait.
Est-ce que les banques pourraient redescendre jusqu'à presque zéro?
Ce serait une crise mais à court terme.
Les banques ont appris qu'ils ne vont pas rester zéro dans l'avenir aussi longtemps que l'on fait pendant la reprise après la pandémie.
Elles ont appris cette leçon il faut tenir compte de la politique budgétaire des gouvernements de leur décision.
Mais inversement, nous savons que le plafond des taux est beaucoup plus élevé qu'il ne l'a été depuis des dizaines d'années.
- Je pense que cette fourchette est très large, mais dans un environnement sain, il y a un risque double.
S'il y a trop de prévisibilité, cela pourrait entraîner trop de prise de risque et ce n'est pas positif.
Je pense que l'imprévisibilité n'est pas une mauvaise chose, c'est d'ailleurs plus intéressant pour les pronostics.
- Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Faites toujours propres recherches avant de prendre une décision de placement.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
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La saison de l'annonce des bénéfices trimestriels prend fin.
Les entreprises du S&P 500 ont annoncé une baisse des bénéfices sur 12 mois depuis le troisième trimestre 2020.
Anthony Okolie commente.
- Oui, les compagnies du S&P 500 ont accompli un quatrième trimestre c'est la première baisse depuis deux ans.
99 % des entreprises du S&P 500 ont annoncé le résultat et 68 % ont dépassé les attentes.
Ce qui est largement en deçà de la moyenne sur cinq ans de 77 % de la moyenne sur 10 ans de 73 %.
Plus de 225 et 500 compagnies du S&P 500 ont cité le mot inflation pendant leur téléconférence, ce qui est largement en deçà de la moyenne.
Vendu ventilant par secteur.
Certains des secteurs décevants les technologies les communications les biens de consommation discrétionnaire.
Dans le secteur de la technologie les géants comme Amazon ont annoncé des résultats trimestriels décevants.
Apple pour la première fois depuis sept ans annoncés des bénéfices inférieurs au pronostic après les confinements atteints de la colite Covid-19 en Chine suspendre la en Chine.
La société mère de Google a été mise sous pression par l'absence des annonceurs.
Exxon mobile dans le secteur de l'énergie annonce de nouveaux bénéfices record pour le deuxième trimestre de suite.
Les entreprises du secteur affichent d'énormes bénéfices depuis que la guerre russe ou ukrainien a fait flamber les cours du thé du pétrole et du gaz.
Le service public obtenu de bons résultats avec la forte augmentation de revenus.
Les compagnies industrielles annonçaient hausse sur 12 mois le plus important de tous les secteurs sont l'impulsion de Boeing et des transporteurs aériens qui ont profité du regard de la demande de voyage les consommateurs américains.
- Et la fin d'une annonce des bénéfices signifie qu'on a notre nouvelle.
Quelles sont les attentes pour la prochaine?
- Compte tenu des préoccupations du marché quand un ralentissement économique potentiel une récession, les analystes réduisent leurs estimations de bénéfices plus que d'habitude pour les compagnies du S&P 500 à l'approche du premier trimestre.
Les évaluations de BPA ont diminué.
10 des 11 secteurs devraient constater une baisse de leurs estimations de BPA.
- Merci Anthony.
Vous venez d'entendre Anthony Okolie.
Un coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite est en tant Huard c'est en tombant il est légèrement en recul présentement.
Une certaine faiblesse dans le secteur de l'énergie rien de trop important, mais qui nuit à l'indice 9,89 $ pour Crescent en baisse de trois quarts de pour cent.
Après avoir été davantage en déclin depuis le début de la matinée.
(mot en anglais) en hausse de près de 2 % 42,49 $ l'action.
Aux États-Unis, l'indice S&P 500 dans l'attente des deux jours de témoignage du gouverneur de la Fed, puis la parution des chiffres de l'emploi à la fin de la semaine.
L'indice S&P 500 progresse d'un peu plus d'un demi pour cent.
L'indice Nasdaq spécialisé dans les technologies caracole en tête du marché à presque 1 %.
Tesla annonce une réduction de prix sur certains modèles pour augmenter la demande et les les actions sont désarmant légèrement baisses deux à 194 $ l'action.
Derek Burleton répond à vos questions sur l'économie.
Pensez-vous qu'il y aura un ralentissement une récession sur cette année?
- Vous disiez tout à l'heure qu'il s'il y a des problèmes, les indicateurs prospectifs les plus importants, la courbe de rendement français, c'est un des autres indicateurs traditionnels d'une récession clignotant rouge ou du moins en jaune vif.
Au niveau du PIB, nous nous situons dans une situation de stagnation zéro croissance pendant un trimestre de plus, cela va contribuer à rééquilibrer l'économie.
Mais je ne vois rien de grave pronostic du taux de chômage on prévoit qu'il augmentera de plus d'un pour cent après deux ans et demis pour cent aussi bien au Canada qu'aux États-Unis.
Plus de 0,5 % du taux de chômage est associé à une légère récession traditionnellement.
Au jour un peu sur les mots en fait pour sortir de ce cycle d'inflation, il faudra qu'il y ait je pense que nous allons pouvoir… éviter des scénarios trop graves.
Et c'est ce que mes collègues pensent également.
La stagnation devrait nous aider à maîtriser l'inflation, mais si la stagnation est au rendez-vous mais que l'inflation demeure élever, nous nous trouvons dans une situation de stagflation.
- Oui.
Nous espérons ne pas nous y retrouver mais les banques centrales, sur la concentré sur la réduction de l'inflation qu'elles vont continuer de relever les taux, ce qui accroît le risque d'une récession.
Je ne pense pas qu'ils vont constamment tourner avec 5 % d'inflation dans cet environnement, il faut que quelque chose soit fait.
On passe maintenant aux banques centrales de leur engagement envers leur cible de 2 %.
- Merci Derek.
C'était des reliques cités Derek Burleton à la banque TD. Demain David Sekera de mon instant répond à vos questions sur les actions américaines.
Vous pouvez nous poser vos questions par courriel à cette adresse courriel.
Merci et à demain!