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Bonjour. Ici Greg Bonnel. Bienvenue à Parlons d'Argent, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondre à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, le ralentissement de la croissance mondiale pourrait-il freiner le rebond du secteur des voyages? Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Aujourd'hui Caitlin Cormier nous explique comment filtrer les titres axés sur la croissance. Posez-nous vos questions par courriel à moneytalk@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés. Les indices reculent un peu aujourd'hui après une forte remontée pendant les deux premiers jours de la semaine, du mois du dernier trimestre de l'année. L'indice d'indice composite cède un peu moins de 1 %, soit 184 points. Le secteur de l'énergie est fort intéressant aujourd'hui. La réunion de l'OPEP s'est entendue pour une coupure de 2 millions de barils par jour. Le brut de référence américain est en hausse de près de 2 %. À 88 $. Suncor qui avait reculé pendant la séance est désormais en territoire positif. C'est modeste, mais c'est une inversion de la tendance, 44,03 $ actions en hausse de 1,5 %, ou 0,74 €. Certains titres miniers ont profité de la hausse du court Delors à cause de la pose de billets verts. Rien de spectaculaire. Barrick Gold, 21,52 $ en baisse d'un peu moins de 1 %. L'indice S&P 500, après cette forte remontée du début de la semaine subit une pression à la baisse 3541 ; en baisse de 50 ; soit 1,33 %. La technologie, l'indice Nasdaq recule un peu plus. Vous rappellerez que certaines des actions de technologie ont fortement remonté au début de cette semaine. Le Nasdaq est à présent en baisse d', 75 %. Twitter. Elon Musk se propose de privatiser une nouvelle fois la compagnie à 53,50 $ l'action. Twitter a bondi hier et recule un peu aujourd'hui à 50,85 $ l'action, en baisse de 2,2 %. La situation est enfin favorable pour les transporteurs aériens. La plupart des restrictions de voyage ils y a la COVID ont pris fin, et le chaos des aéroports pendant l'été se règle. Mais une récession à l'horizon pourrait-elle freiner ce rebond? David Mau j'ai serre de portefeuille ATD ne réponds. Il y a une explosion de la demande cet été. Le chaos à l'aéroport, tout semble bien aller pour l'instant. - Oui, le transport aérien est un secteur très porteur depuis le début de l'année. Le printemps est excellent, était encore mieux. Le troisième trimestre qui vient de prendre fin il y a quelques jours sera également excellent. En fonction des chiffres dont nous avons connaissance, le quatrième trimestre, c'est-à-dire la saison des fêtes se présente également très bien. Les réservations pour les déplacements d'agrément et d'affaires sont très forts. Nous savons que le prix des billets d'avion sont plus élevés qu'ils ne l'étaient avant la pandémie. Globalement, l'année s'annonce bien pour les transporteurs aériens. Ce qui est incertain, c'est ce qui nous attend 2023. Si nous allons entrer en récession, et que ses premières vagues de demandes insatisfaites de voyage pourra déferler, qu'est-ce qui nous attend? - L'IATA, l'institution des transports prédits que l'année 2022 sera le première année depuis la pandémie que les compagnies aériennes seront rentables. Il y a trois ans que les transporteurs aériens non réalisés de bénéfices. Cette année, ils le feront sans doute. Quand on parle du retour des déplacements cette année, les voyages d'agrément sont les premiers qui ont repris. Les gens n'ayant pas voyagé depuis quelque temps. Les voyages d'affaires ont accusé un certain retard. Comment ces deux catégories de voyages agrément et affaires réagissent-elles? - Les entreprises ont beaucoup réduit leurs dépenses de voyage. S'agissant des voyages d'agrément, si vous perdez votre travail ou que vous avez moins d'heures de travail, vous êtes également affectés par l'inflation, le prix d'autres éléments augmente. Les voyages, les vacances, sont l'une des premières dépenses que l'on réduit. Cela aura un impact. Quant aux entreprises, beaucoup d'entre elles commencent à envisager des licenciements ou des mesures de réduction de coûts. Cela pourrait avoir encore plus d'impact sur les compagnies aériennes, car les voyages représentent qu'une faible part, voyages d'affaires représentent qu'une faible part du trafic, mais une grosse part des entreprises. À la radio dit qu'il n'y a pas assez de place pour satisfaire la demande. On offre des encouragements voyageurs pour changer de vol. Peut-être que les transporteurs aériens pourraient-ils augmenter leur flotte, mais cela semble peut-être incertain? - En général et transporteurs aériens nord-américains européens ont maintenu une capacité plus basse que ce qu'elle était avant la pandémie. Dans la plupart des cas, les compagnies aériennes en cinq à 10 % de vol de moins, mais ces vols sont complets, bondés à plus de 100 %. Comme vous venez de le dire, les vols sont sur vendus. Il y a 300 places à bord d'un appareil, la compagnie aérienne envoie 317 espère que dit personne ne se présente pas. Or les 310 voyageurs qui ont réservé une place présente il y aura du malchanceux qui ont oublié leurs billets qui n'arriveront pas là où il voulait aller. Les compagnies aériennes maintiennent une capacité plus basse que ce qu'elle était normalement dans le passé. Ils sont en mesure de recruter moins de personnel. Les compagnies aériennes manquent de personnel navigant et au sol. Beaucoup de pilotes qui ont quitté l'industrie depuis quelques années ne sont pas revenus dans l'industrie. Certains ont pris leur retraite, d'autres ont choisi d'autres métiers. Ça prend longtemps de former un pilote. Si les transporteurs peuvent gérer les niveaux d'occupation actuelle et gagner de l'argent et avoir des vols qui sont à 100 % pleins, ils vont sans doute continuer à le faire d'ici quelque temps. Est-ce que cela les place dans une meilleure position en cas de récession? Les banques centrales ont clairement annoncé ce qu'elle voulait réaliser les pronostiqueurs économiques affirme qu'on ne peut pas éviter une récession si les banques centrales veulent sérieusement maîtriser l'inflation. Est-ce qu'il est possible de se préparer? Je songe à la pandémie, tout le monde y comprit les transporteurs aériens a été pris par surprise. Bien sûr tout le monde a été pris par surprise. Mais ces niveaux de capacité plus bas, lorsque la baisse arrivera, les compagnies aériennes auront moins de travail à faire pour réduire la capacité encore plus. Pour l'instant c'est sans doute favorable. Le coût du carburant. Autrefois, avant la pandémie, on se préoccupait de cet énorme coût. Ce secteur la accuse une volatilité importante. Hier, notre invité disait que le pétrole pourrait très bien être à 100 $ ou à 60 $. Les compagnies aériennes ont mis en place un programme de couverture, mais ce n'est pas tout le monde qui le fait, ce n'est pas tout le monde qui couvre le coût de carburant à 100 %. Comme vous l'avez dit, le coût du pétrole pourrait augmenter ou baisser. Donc les compagnies aériennes ne veulent pas couvrir un coup complètement et bénéficier d'une baisse éventuelle des prix du pétrole. En fonction des programmes de couverture mise en œuvre par les compagnies aériennes, ils seront plus ou moins affectés par la volatilité des corps du pétrole. Vous avez récemment voyagé en Europe, différentes régions seront différemment affectées par une récession en fonction de la situation géopolitique. En Europe, il y a une situation unique avec la crise en Ukraine. Les entreprises européennes font face aux mêmes défis que les entreprises nord-américaines. Inflation plus élevée, taux de l'intérêt plus élevé, il y a un facteur négatif supplémentaire, c'est la dépendance de la Russie au plan du gaz naturel. Or le gaz naturel est un élément essentiel pour le chauffage et pour l'alimentation des usines. Les sanctions imposées à la Russie ont réduit le volume de gaz livré à l'Europe en général et à l'Allemagne en particulier. Ceci créé une difficulté supplémentaire et beaucoup d'incertitudes pour les entreprises là-bas, pas seulement pour les entreprises, pour les ménages également. Ils ne savent pas exactement comment ils vont se chauffer cet hiver. Nous allons bientôt poser vos questions à David Mau sur les actions mondiales industrielles. Vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Mais d'abord l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés. La forte hausse du coût des emprunts continus de plomber les principaux marchés du logement au Canada. Les nouvelles statistiques du conseil de l'immobilier de la région de Toronto montrent une chute de 11 % du nombre de logements vendus et achetés en routé septembre et sans que les propriétaires de la région de Toronto hésitent à proposer leurs biens à la vente. Les nouvelles offres sont au niveau le plus bas depuis 2002 pour le mois de septembre. À Vancouver, les ventes de logements sont en baisse de près de 36 % par rapport à la moyenne sur 10 ans, le mois dernier. Les OPEP et les alliés se sont entendus pour réduire la production de 2 millions de barils par jour, la plus importante coupure de production par le cartel depuis le début de la pandémie. Cette décision intervient en dépit de la pression exercée par les États-Unis en vue d'une production accrue de brut, puisque les banques centrales cherchent à maîtriser l'inflation. Washington a antérieurement tenté de modérer les prix d'énergie en préservant sur ses réserves stratégiques. Le marché du travail aux États-Unis continue de se porter bien. La firme de services de paye ADP annonce que les entreprises ont ajouté 208 000 emplois en septembre, plus que les économistes attendaient. Et Wadoux, Carrie – Delahousse. Les statistiques sur le marché du travail aux États-Unis paraient vendredi ainsi que les statistiques pour le Canada. Les indices à présent. L'indice TSX compose rétrograde un peu, après une forte hausse pendant deux jours, en baisse d'un peu moins de 1 %. L'indice S&P 500 une forte remontée lundi et mardi, une pause et un léger recul, 34. En baisse pour cette instantanée des marchés américains, presque 1 %. David Mau répond à vos questions au sujet des titres mondiaux et industriels. Tout d'abord, que pensez-vous de FedEx? C'est une compagnie qui a fait les manchettes récemment. - FedEx a annoncé ses résultats pour le premier trimestre il y a deux mois. Ces résultats étaient largement inférieurs au pronostic. Forte déception, donc. FedEx dans l'activité principale est la livraison des colis a constaté une baisse notable du nombre de colis livrés. L'entreprise a pu compenser cela en augmentant les prix mais ne pourra pas le faire indéfiniment. On ne peut augmenter les prix que dans une certaine mesure avant de réduire la demande et la demande accuse déjà un fléchissement. FedEx a retiré ses orientations pour l'exercice, ce qui est toujours un mauvais signe. C'est inquiétant, car l'entreprise elle-même ne sait pas ce qui va se produire cette année. Au niveau positif en revanche, FedEx a mis en œuvre des initiatives de réduction des coûts considérables, et quand les entreprises pratiquent de telles coupures, cela signifie qu'elle se prépare à une baisse à venir. FedEx est un titre qui est très surveillé, car il s'agit d'un indicateur de la demande mondiale, un indicateur macro-économique. On s'intéresse beaucoup aux bénéfices qu'annoncera UPS dans quelques jours. Il s'agit non seulement d'une entreprise que l'on suit pour elle-même, mais d'un indicateur, d'un annonciateur mondial. Il est difficile d'imaginer une entreprise dans cette situation affirmait que tout va bien. Alors que devrions-nous attendre du côté d'UPS? - Je prévoirai qu'UPS va afficher la même tendance que FedEx. Baisse des volumes compensés par une hausse des prix. Mais comme je l'ai dit, la hausse des prix ne peut durer éternellement. Au fur et à mesure que les volumes baissent, je pense qu'UPS va également envisager des coupures de coups. À surveiller dans la saison d'annonce des bénéfices qui approchent, Elon Musk fait hurler manchettes, mais pourriez-vous commenter l'évolution de testa? - Testa n'a pas encore publié ses bénéfices, mais lundi il a annoncé ses livraisons pour le trimestre, clos en septembre, et le chiffre était légèrement décevant. T cela a livré 344 000 voitures. On s'attendait environ 365 à 370 000 livraisons. Testa a commenté. Nous avons les voitures, nous les avons produites, mais il y avait des problèmes logistiques à la fin du mois, à la fin du trimestre. Le nombre de voitures était bloqué en transit et n'ont pas été livré aux clients. Voilà comment est cela explique les statistiques inférieures aux prévisions. Les résultats du trimestre seront annoncés dans 15 jours. Nous en serons davantage. Mais c'est effectivement un problème logistique, il n'y a pas trop de soucis à l'égard de T cela. T cela construit 365 000 unités, ce qui est conforme aux prévisions. C'était cela avait pu livrer l'intégralité de sa production, les chiffres auraient correspondu il n'y aurait pas eu de déception. Tant qu'il n'y a pas de problème de demande, il semble qu'il n'y a pas de preuve de demandes ni de problèmes de production, testa se portera bien. Donc Elon Musk fait toujours les manchettes. Cette semaine, il a décidé qu'il va de nouveau acheter Twitter. Un investisseur dans testa doit-il s'inquiétait de ces péripéties? - Oui. Il faut toujours se demander ce que fait le chef de la direction. S'il fallait manchettes mais que cela n'a rien à voir avec la compagnie que cela pourrait affecter la confiance avec la compagnie, c'est à surveiller. Pour développer l'entretien, au niveau des autres constructeurs, dans quelle mesure sont-ils bien positionnés pour s'opposer à testa au niveau des véhicules électriques? - En ce qui concerne les véhicules électriques, les constructeurs européens s'intéressent davantage aux véhicules électriques à cause des directives gouvernementales en matière de pollution. Parmi les grandes constructeurs dans le monde, Volkswagen sera sans doute le principal concurrent de T cela. À l'heure actuelle, il dispose de moyens à grande échelle, année réseau de distribution très vaste, et compte investir près de 100 milliards de dollars dans la recherche, le développement, sur les véhicules électriques la production de ceux-ci sur cinq ans. Cela leur donnera les moyens de réussir. Certaines personnes se rendent peut-être pas compte, mais Volkswagen, en Europe, en plus de véhicules électriques test là. Volkswagen a déjà rattrapé test là en Europe. À ce rythme, et en fonction des attentes de l'industrie, Volkswagen va sans doute surpasser T cela au plan du volume de véhicules électriques vendus d'ici 2024, 2025. Il semble qu'il y a beaucoup de dynamiques dans ce secteur quand je songe aux contractions économiques, pas difficile, récession. Il semble parfois que certaines de ces initiatives pourraient être mises de côté. Des entreprises pourraient se dire on reverra plus tard ouvre ses projets ambitieux. Est-ce que cela compromet la tendance favorable aux véhicules électriques et les compagnies qui sont trop engagées? - Tout le monde est engagé. Il n'y a pas vraiment de virage, à moins que les gouvernements n'assouplissent les règles antipollution ou ne prolonge les délais de conformité à celle-ci. Je pense que ce ne sera pas le cas, surtout en Europe. Peut-être aux États-Unis selon l'éventualité d'un retour de Monsieur Trump à la Maison-Blanche. Comme nous le savons, il a assoupli certains règlements sur les émissions lorsqu'il était président il y a plus de deux ans, mais je ne pense pas que ça se produit en Europe. Je crois que la probabilité que ça se produise États-Unis vraiment très faibles. - Vous n'êtes pas spécialistes des mines, mais s'agissant des matières premières dans les constructeurs ont besoin pour qu'on soit des véhicules électriques, tout simplement les batteries, est-ce qu'il y a un environnement concurrentiel. D'autres invités nous ont dit qu'il n'y avait pas beaucoup d'investissements dans les mines. - Il y aura une demande accrue depuis pour l'électrification et tout le reste. Qu'est-ce que ça signifiera au niveau des constructeurs? Ils rivaliseront pour des ressources rares. - Tout à fait, rivaliseront avec d'autres acteurs pour les sources rares. Le cuivre, à part le huitième, c'est une matière très important pour le secteur manufacturier en général et pour les batteries en particulier. Nous savons qu'il y aura une pénurie de cuivre d'ici cinq à 10 ans. Les entreprises devront établir des prévisions en fonction de l'offre de la demande de cuivre. Nous savons que ça prend 10,15 ans, pour mettre en service une nouvelle mine de cuivre. Donc il y a un délai très important… pour obtenir l'offre. Mais la demande, elle, elle est immédiate. Peut-être êtes-vous spécialistes des mines. Cette réponse me paraît excellente. Comme toujours, faites vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Vous pouvez poser des questions en tout temps… Si vous vous intéressez au titre axé sur la croissance, CourtierWeb vous propose des outils pour affiner vos recherches. (.. .) Nous explique tout cela. Tout d'abord quel genre de titres s'agit-il? - L'investissement axé sur la croissance et une stratégie d'achat de titres que les investisseurs peuvent utiliser. Il s'agit d'entreprises dont on attend qu'elles affichent une croissance supplémentaire à la moyenne de l'industrie ou des marchés dans son ensemble. Les investisseurs axés sur la croissance recherchent plutôt des entreprises plus petites, plus jeunes, qui ont beaucoup de potentiel de croissance, et de rentabilité accrue dans l'avenir. Il y a typiquement cinq facteurs que les investisseurs axés sur la croissance prennent en compte. Les marges bénéficiaires, rendement du capital investi, le comportement du corps de l'action. Bon nombres de ces titres ont un ratio coût bénéfice plus élevé puisque les entreprises ne réalisent pas encore des bénéfices sont au stade de développement et Nevers généralement pas de dividendes non plus car elles veulent continuer de réinvestir la technologie et de prolonger leur croissance et s'intéresse moins à verser des dividendes. Bon, nous savons ce que nous recherchons, alors quels outils sont à notre disposition sur CourtierWeb pour trouver ces entreprises? - Alors allons sur CourtierWeb et commençons par le filtre. Cliquant sur recherches, épissures filtrent, sous la rubrique outils. Alors nous allons créer notre propre filtre en choisissant des facteurs qui s'appliquent à ces titres axés sur la croissance. Tout d'abord, je vais effacer les données présélectionnées et cliquer sur d'autres critères. On a parlé de la croissance du bénéfice par action. Voyons une croissance entre 5 et 50 pour cent de croissance des bénéfices. Également, choisissant le secteur. Typiquement les titres axés sur la croissance se retrouvent dans des industries comme la technologie. Alors choisissons ce secteur pour nous aider à réduire la liste, et puis, un dernier critère, cour de l'action sur 52 semaines. Nous voulons des industries dans le corps de l'action augmente. Dans une direction positive il y a toujours des exceptions surtout dans un marché comme celui-ci, mais nous envolons une trajectoire positif. On va commencer à zéro, les titres qui ont augmenté sur les 52 semaines. On pourrait ajouter de nombreux autres critères, mais nous avons d'ores et déjà 18 occurrences, ce qui me semble un nombre approprié. On peut voir le comportement de l'action, ainsi que le pourcentage des bénéfices par action historique sur cinq ans. On peut ensuite approfondir et réaliser des recherches supplémentaires pour voir si ces entreprises nous intéresseraient à titre d'investissement. Choisissant au hasard la première compagnie, et si on clique sur le nom, on trouve des renseignements sur l'activité de l'entreprise. Il s'agit souvent d'entreprises plus récentes, plus jeune, moins connue. On peut voir pourquoi elle est classée au premier rang dans notre filtre. On peut également cliquer sur survol et trouver davantage de détails sur l'action. L'investissement axé sur la croissance recherche le potentiel futur, l'augmentation potentielle des bénéfices dans l'avenir. Donc l'onglet bénéfices nous permet de voir quel est le potentiel des bénéfices dans l'avenir. Il s'agit de la fourchette estimatif des bénéfices, moyenne actuel et l'écart type. Troisième trimestre 2022, quatrième trimestre 2022, et puis les deux premiers trimestres 2023, cela nous donne une projection pour l'avenir de la croissance. Et l'on peut également, sous la rubrique donnée fondamentale, avoir des informations sur ces entreprises, ainsi que les énoncés financiers, rapport financier, il s'agit d'informations historiques pour montrer la croissance du chiffre d'affaires au fil du temps. Il est possible de visionner le résultat d'exploitation pour les années passées, ce qui permet de déterminer si l'entreprise progresse au niveau du chiffre d'affaires et de la croissance, pour voir si cette entreprise est intéressant comme placement. L'investissement axé sur la croissance est subjectif. Il y a beaucoup de titres que les investisseurs pourraient faisant l'envisager, mais voici un coup d'œil sur les outils coffre CourtierWeb. L'erreur que j'ai faite trop souvent, quand je crée un filtre formidable, je me disais bravo, et j'oublie de le sauvegarder. Toujours sauvegarder. Toujours cliquer sur le bouton sauvegarder afin de vous permettre d'y revenir, car les actions que vous aurez filtrées vont être continuellement mis à jour. Vous aurez donc les données les plus récentes. Excellent conseil, cliquez sur le bouton sauvegarder. Mes erreurs pourront servir aux autres. Merci Caitlin. - Je vous en prie. - Caitlin Cormier spécialisa formation ATD. Le mois d'octobre et le mois de l'éducation des investisseurs pendant le mois tout entier. Placements directs TD offre un accès gratuit aux vidéos interactives pour vous aider à accroître votre Q.I. de placement. Avant de revenir aux questions pour David Mau, je vous rappelle comment nous rejoindre. Avez-vous des questions sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous les poser soit par courriel à moneytalklive@td. com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct. David Mau répond de nouveaux à vos questions sur les titres mondiaux industriels. Caterpillar, qu'en pensez-vous? Est-ce que le ralentissement va affecter ce gros constructeur de machines et d'engins? - Le ralentissement semble avoir déjà commencé. Caterpillar a affiché un chiffre d'affaires conformes aux provisions, mais ceux parce qu'elle a pu augmenter les prix. Le nombre d'engins vendus commence à diminuer. Caterpillar assistait le ralentissement de la construction domiciliaire aux États-Unis, l'affaiblissement de l'économie qui ralentit les ventes. Nous constatons également une perte de confiance des responsables des achats. L'indice de confiance mondiale des responsables des achats est inférieur à cinq ans. Le secteur manufacturier mondial semble vouloir entrer en récession. Toutefois, bonne nouvelle, Caterpillar un carnet de commandes bien garnies ce qui permet d'avoir une visibilité sur le chiffre d'affaires d'ici 12 à 18 mois. Il reste qu'à construire et livrer ces engins déjà commandés. Mais la situation ralentit pour Caterpillar. Je pense que dans deux semaines, entreprise publiera ses bénéfices et nous donnera davantage de détails. Donc le carnet de commandes offre un coussin. Je songe à une entreprise comme Caterpillar qui construit des produits de grande envergure est très coûteux, il est parfois très difficile à une compagnie comme celle-là de s'adapter à une conjoncture défavorable. Il n'est possible que d'attendre des jours meilleurs. - En effet. Les engins vendus par Caterpillar ont des délais de production très long, certains sont conçus spécifiquement pour un client. Il n'est pas possible d'arrêter et de reprendre facilement la production. Quel sera le sort de cette entreprise? Dire et un titre très intéressant long terme. Il y a des tendances lourdes très favorables. C'était constructeur de machines agricoles et dire se spécialise dans l'agriculture de précision. À partir des données de l'intelligence artificielle, ils construisent des machines qui est les agriculteurs à améliorer les rendements. En utilisant moins de pesticides, ou en utilisant les engrais plus efficacement ou en utilisant l'eau plus efficacement plutôt que d'asperger un champ tout entier, on ne diffuse les pesticides rouleaux que sur les parties de la récolte qui en ont besoin. Cela permet de réduire les intrants de l'exploitation agricole tout en améliorant le rendement pour un champ donné. Dire ajoute beaucoup de valeur avec sa stratégie d'agriculture de précision. Pour eux ainsi que pour Caterpillar, avec tous les problèmes de chaîne d'approvisionnement après la fin des confinements du à la pandémie, ont-elles été frappé? - Oui, elles ont été touchées, moins certainement que les constructeurs automobiles, mais si on écoute les appels trimestriels de ces entreprises, elles sont toujours affectées par des problèmes de chaîne d'approvisionnement. Toutefois, ceci semble s'atténuer, mais nous ne sommes pas revenus anormales. En parlant de chaîne d'approvisionnement, que dire des chemins de fer? Est-ce qu'il bénéficie de la demande de produits de base? - Oui. Jusqu'ici, cette année, il y a une forte demande de produits agricoles, potasse, la potasse canadienne comme vous le savez, la Russie est un gros exportateur de potasse, et le reste du monde n'importe plus la potasse russe. La demande potasse canadienne a donc été très forte. En outre, la récolte céréalière a été excellente dans l'ouest du Canada. Il faudra donc transporter beaucoup plus de grains cette année que l'an dernier lorsque la récolte a été très affectée par la météo. Il y aura une croissance dans ce domaine aussi. Le charbon présent une certaine résurgence, comme on l'a dit tout à l'heure. Il y a une pénurie d'énergie dans le monde, des endroits où l'on avait renoncé au charbon songe à consommer de nouveaux ce combustible pour produire de l'énergie et les expositions de charbon commencent à reprendre alors qu'elles affichaient une baisse à long terme jusqu'à il y a 12 à 18 mois lorsque les volumes d'expédition commencent à remonter. Alors il y a des produits que les chemin de fer doive transporter. On va subir des pressions inflationnistes. Est-ce qu'il leur est possible de répercuter l'augmentation de leur prix de reviens sur les consommateurs? - Oui, jusqu'ici, il semble avoir pu augmenter leur prix afin de compenser l'augmentation de leur prix de revient. Ce qui est un peu inquiétant, c'est que chemin de fer canadien transporte beaucoup de produits directement reliés à la consommation. Par exemple, les téléviseurs à écran plat que l'on achète chez Best Buy ou les produits que l'on achète chez home dépôt, si nous sommes au début d'une récession, ces volumes vont certainement beaucoup diminuer. Il faut continuer à surveiller cela. Nous parlons donc de la sécurité énergétique, justement un de nos spectateurs de savoir ce que vous pensez de la sécurité énergétique comme thème de placement. - Pour nous en Amérique du Nord, je pense que ce n'est pas un problème énorme pour l'instant. Mais en Europe, et surtout cet hiver, la situation est assez effrayante, en fait. On a parlé de rationnement de l'énergie en Europe. Si vous êtes une entreprise en Europe et que le gouvernement vous dit qu'au lieu de faire tourner votre église cinq jours par semaine, vous ne pouvez la faire tourner que trois jours par semaine parce qu'on va rationner l'énergie, afin que les gens puissent chauffer leur maison, continuer leur vie quotidienne, donc nous vous réduisons de cinq jours à trois jours. Ça, c'est incroyablement difficile à gérer pour une entreprise, parce qu'elle ne peut pas planifier l'avenir, elle ne sait pas si la situation va s'améliorer, empirer… l'entreprise ne saura pas combien de matières premières commandées, de combien personnel a besoin, elle ne peut pas promettre des délais de livraison à ses clients. Ce genre d'incertitude est un facteur extrêmement négatif. Non seulement financier au plan opérationnel, mais les investisseurs vont tenir compte de cette incertitude dans le corps de l'action, ce qui entraîne une baisse de la valorisation. Une époque difficile. Nous reviendrons à vos questions à David Mau sur les titres industriels dans quelques instants. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre décision de placement. Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions en tout temps. Avez-vous une question sur les placements encore sur les marchés? Vous pouvait nous la poser. Soit par courriel, à moneytalklive@td.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct. Malgré le recul récent du marché du logement Canada, la portabilité demeure un défi pour certains acheteurs à revenus moyens ou modiques. Est-ce que ceci entraîne un accroissement de l'écart de la richesse au Canada? Anthony Okholie nous répond. Contrairement perception du public, les valeurs de l'immobilier au Canada n'ont pas contribué à un élargissement de l'inégalité au Canada selon les services économiques TD. En fait, l'augmentation du taux de propriété immobilière parmi les Canadiens à faible revenu a contribué à rétrécir l'écart de richesse entre 2005 et 2010. L'écart entre les 1 % plus riches et les 10 % les moins riche Canada a diminué pendant cette période. Les 25 à 34 ans ont un revenu plus élevé que le revenu du ménage moyen à revenus modiques. Ces jeunes ménages ont vu leurs revenus augmenter entre 2005 et 2019, dépassant la moyenne des foyers à faibles revenus. Services économiques TD notent que ces ménages plus jeunes ont bénéficié de transfert de richesses de leurs parents. Le rapport signale une enquête menée par à Bacchus en Ontario en 2020 montrant que 46 % des parents ayant des enfants de moins de 38 ans les ont aidés à acheter un logement. Le taux moyen dépassant 73 000 $ et le prix moyen dépassant 40 000 $. Mais en dépit de cette davantage, la baisse de la portabilité des logements résulte également d'un levier plus important pour ses propriétaires de logements comme le graphique suivant le monde. La dette hypothécaire de ces jeunes propriétaires dans les 30 % inférieurs à augmenter pendant cette période et dépasse la dette hypothécaire moyenne. La raison pour laquelle ces foyers ont accédé à ce que services économiques TD appellent la catégorie à faible patrimoine. La portabilité est à son plus bas niveau depuis des décennies. Les ménages qui n'ont pas un revenu plus élevé ou des contributions de leurs parents devront surmonter des obstacles plus élevés pour accéder à la propriété immobilière et cela va exacerber les disparités. Services économiques TD notent qu'un foyer habitant de la région du Grand Toronto cas notamment revenu moyen devront consacrer 56 % de son revenu mensuel avant impôts aux mensualités hypothécaires à fin d'acheter une maison après moyens en supposant que l'acheteur a suffisamment d'argent pour la mise de fonds. Services économiques TD concluent qu'il est trop simpliste de définir l'inégalité de la richesse au Canada comme ses parents, il y avait dépôt au fil du temps, il s'agit plutôt d'une distinction entre les propriétaires de maisons et les autres. C'est assez important parce qu'il y a toute une génération de gens qui veulent faire leurs études et qui cherchent à acheter un logement. Que peut-on faire pour ces noms propriétaires? Selon services économiques TD, il n'y a pas de solution simple à court terme. Services économiques TD signalent qu'il y a de nombreuses initiatives du gouvernement pour régler près de de logements qui devraient être accélérés. Par exemple les encouragements aux primo accédant, ou les comptes d'épargne libre d'impôt pour les acheteurs d'un premier logement. Services économiques TD mettent en garde le gouvernement devrait s'assurer que les politiques existantes ne bénéficient pas d'une manière disproportionnée aux Canadiens plus aisés, creusant le fossé de richesses au fil du temps. - Merci, Anthony. Vous venez d'entendre Anthony Okholie de Parlons Argent en direct. À présent un coup d'œil sur les marchés après deux jours de remonter, pour commencer la semaine, mois, trimestre, un certain recul. L'indice TSX à 19 206. En baisse de 164. . J'ai remarqué que certains titres de lait n'énergie commençait à regagner du terrain. TC Energy est actuellement légèrement baisse, 58 $ 25,49 $ l'action en baisse de plus de 1 %. Les titres miniers sont également modes de recul, après cette forte remontée de deux jours. Kinross Gold en baisse, aux États-Unis, indice S&P 500, nous avons vu les rendements obligataires remonter d'ici deux jours, certaines discussions quant aux prochaines mesures prises avec la Fed et en particulier quant à la nécessité pourrait être plus ou moins ferme, cela fait affluer des capitaux dans différents thèmes et selon différentes théories. L'indice S&P 500 3555 en baisse un peu moins de 1 %. Le secteur de la technologie est davantage sous pression, l'indice Nasdaq cède 1,2 %. Les croisières existent des boucles les gains importants réalisés hier. La Norvège a annoncé qu'elle allait éliminer les règles reliées à la COVID. Kearney vol, c'est de larbin de l'action, en baisse de 53 ans. David Mau de Gestion d'actifs TD répond à vos questions. On a beaucoup entendu parler de problèmes de chaîne d'approvisionnement. La situation s'est améliorée, mais n'est pas résolu. Je crois que nous avons un graphique pour montrer exactement de quoi il s'agit, puisque les coûts d'expédition ont flambé. - Oui. Ce graphique montre le prix de l'expédition d'un conteneur standard de 40 pieds du port de Shanghai au port de Los Angeles. Vous pouvez voir que pendant les années avant la pandémie, le coût était largement inférieur à 2000 $. Autour de 1300 ou 1500 $ pour respect d'un conteneur. Et voyez copie de la pandémie en 2021, le coût du conteneur à flambé jusqu'à au-delà de 12 000 $. Si vous êtes une PME aux États-Unis et que vous importez soit des matières premières ou des produits finis de Chine, et que vous importez dit conteneurs parents, avant la COVID ça vous aurait coûté 12 000 $. Une copie de la COVID, ça vous aurait coûté 120 000 $. Donc imaginez-vous ce que cela fait au niveau de la marge bénéficiaire. Cela va rendre certaines activités impraticables lorsqu'il s'agit d'importation et d'exportation. Mais cela a beaucoup diminué, nous sommes en-deçà de 4000 $ par conteneur, mais c'est toujours plus du double. Donc les coûts de transport sont toujours très élevés. Pas autant que auparavant, mais très élevé par rapport aux antécédents historiques. Donc c'est une bonne indication que les chaînes d'approvisionnement s'améliorent, mais il y a encore du chemin à faire pour revenir à la normale. - Merci pour cette réponse ce graphique. Encore une dernière question. Le secteur du détail. Nike. Afficher des résultats décevants la semaine dernière je crois. La semaine dernière, Nike publié ses résultats pour le trimestre au mois doutent, et les stocks étaient nettement en hausse. Cela signifie, je parle d'une hausse de 65 %, en général, cela signifie, c'est que la demande des consommateurs commence à faiblir. Nike affirme que l'augmentation des inventaires était attribuable aux problèmes de chaîne d'approvisionnement. Il y a eu beaucoup d'expéditions retardées qui ont été commandées il y a 36 mois et qui commence à être livré maintenant. C'est ainsi que Nike expliquait la hausse des inventaires. Est-ce que cela signifie, c'est qu'il faudra que Nike commence à démarquer ses produits, puisque ce sont les produits de la dernière saison dans quelques mois. Ce n'est pas excellent pour les marges de Nike qui va devoir démarquer davantage de produits et pratiquer des démarques plus importantes que cela n'était prévu à l'origine. Cela va nuire à la rentabilité. Nous avons une attention très soutenue aux autres entreprises d'habillement et de chaussures. Adidas, et même l'ensemble du secteur de détail, par Jed, Walmart, ces titres sont suivis de très près afin de déceler des signes de faiblesse ment de la demande notamment de la publication des résultats du troisième trimestre. Mais deux Fils adolescent adore Nike, mais je crois qu'ils ont suffisamment de père. - David, ça me fait toujours plaisir de vous accueillir. Merci. David Mau gestionnaire de portefeuille à Gestion d'actifs TD. Restez à l'écoute. Demain, (. .. ) va répondre à vos questions sur les produits de base. Vous pouvez toujours nous poser vos questions par courriel à moneytalklive@td.com. Merci et à demain.