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(musique) - Bonjour! Ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements. aujourd'hui, nous verrons avec Daniel Ghali de valeurs mobilières TD si la remontée de l'argent peut se prolonger.
Anthony Okolie se penche sur le dernier rapport sur le PIB aux États-Unis et ses conséquences pour la politique monétaire.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Hiren Amine nous montre comment faire des recherches sur les actions par capitalisation boursière.
Posez-nous vos questions par courriel, moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Mais d'abord, coup d'œil sur les marchés.
Il y a du vert à l'écran à la bourse de Toronto. L'indice TSX composite progresse solidement de 183 points, soit presque 1 %. Parmi les titres activement négociés, New Gold qui vient de faire une annonce au sujet de son projet de minerai de cuivre en Colombie Britannique et les marchés semblent satisfaits.
Et l'action progresse de sept et demi pour cent. Le secteur de l'énergie voyons comment il se porte. Le cours du brut recule aujourd'hui. Le brut de référence américain tourne autour de 78 $ le baril.
Baytex se maintient un peu au-delà du seuil de rentabilité progressant d'ailleurs de presque 1 % à 4,97 $ l'action.
Aux États-Unis, il n'y a pas d'inversion de la pression à la baisse de ces derniers jours. Beaucoup d'inquiétudes quant à l'inflation.
Qu'est-ce que cela signifie pour les taux d'intérêt? Le rendement obligataire monte.
Demain matin, l'indice des prix de consommation personnel privilégié par la Fed va paraître. Les marchés sont prudents ; elle mange desdites annonces mitigées au niveau des bénéfices. L'indice S&P 500 recule (...) demis pour cent. Les 10 (...) à forte composante technologique reculent dans la même mesure que l'ensemble du marché de 89 ; demis pour cent.
Celles-ci forcées un point douloureux sur le marché pour les marchés sont déçus par les annonces de la compagnie. L'action dégringole de 20 % à 216,55 $.
Beaucoup d'investisseurs observent la hausse de l'or cette année. L'argent a connu une progression encore plus importante.
Pour discuter des raisons de ce mouvement et de sa prolongation, Daniel Ghali de Valeurs mobilières TD nous rejoint. Un graphique assez éloquent quant à la remontée de l'or qui a fait les manchettes, mais l'argent monte également.
Qu'est-ce qui a propulsé cette remontée?
- L'argent a extrêmement bien progressé jusqu'ici cette année. Les données fondamentales de l'argent sont parmi les plus ambivalentes dans le complexe des produits de base aujourd'hui. Il s'agit d'un marché qui est déficitaire de +- trois ans. La plupart des analystes dans le monde prévoient qu'il continuera d'afficher un déficit structurel pour l'avenir prévisible.
Depuis une dizaine d'années, personne ne s'en préoccupe. Personne ne se préoccupe des données fondamentales d'offres et de demandes, car il y a d'énormes stocks d'argent métal qui était toujours suffisamment important pour éponger toute déséquilibre de la demande. Or, cette hypothèse sera remise en question d'ici un an ou deux. C'est le résultat de la transition énergétique. L'énergie solaire exige davantage d'argent.
Le boom des véhicules électriques également.
À cause de l'usage accru des circuits électroniques dans les véhicules. La demande est forte, l'offre est limitée, le marché est excitant. Pendant une dizaine d'années, personne ne se préoccupait le déficit structurel et les marchés se sont réveillés. C'est la transition énergétique. Attention, l'argent jouera un rôle clé. Oui, il s'agit d'un environnement très porteur pour les métaux précieux. L'or a très bien progressé. On s'attendrait à ce que l'argent métal progresse également aussi. Dans cet environnement. Ce qui est particulièrement intéressant dans les données fondamentales de l'argent à l'heure actuelle, c'est que ces stocks dont nous parlions commencent à s'amenuiser depuis 10 ans, il y avait environ 1,6 milliards d'onces d'argent dans les coffres forts un peu partout dans le monde. Aujourd'hui, nous constatons qu'il y a sans doute une quantité substantielle d'argent métal qui demeure amorcer coffre-fort et qui a été capturé par des FNB par exemple.
La quantité d'argent librement disponible pour achat dans le plus grand réseau de coffres de métaux précieux à Londres est beaucoup moins important. Nous pensons que 300 millions dont sont disponibles pour achat. Dans le contexte que le déficit moyen de 200 millions depuis trois ans.
Alors, il ne reste pas beaucoup de temps avant que ces inventaires ne sont entièrement épuisés. Cela crée une tension assez intéressante. On parle de l'or qui est détenu dans des coffres pour une raison, joue un rôle dans le système financier. L'argent parle de l'or du pauvre mais si l'argent sert pour fabriquer des choses que c'est une position que je n'avais pas songée.
- Depuis 10 ans, on considère l'argent comme un actif financier comme l'or. Le profil de demande de l'argent est essentiellement attribuable à l'industrie.
- Il est beaucoup utilisé dans la fabrication de bijoux, d'argenterie, dans des applications industrielles également.
Mais surtout, la flambée de la demande est attribuable à la transition énergétique.
L'or est de plus en plus déphasé par rapport à l'argent ou le sera. En conséquence de cela.
- Vous avez parlé de l'offre brièvement.
Si la demande d'argent va augmenter, tandis que nous progressons dans la transition, que dire de la situation minière? Est-ce que l'industrie réagit?
L'industrie ne peut pas ne pas répondre.
- Oui.
avons passé beaucoup de temps à parler du sous-investissement structurel dans les mines et les métaux et les autres industries à forte capacité de carbone depuis une décennie. L'argent est essentiellement un sous-produit de l'extraction d'autre minerai. Le plomb, le zinc, l'or.
Mais il n'y a pas tellement d'argent qui est exploité à partir d'une mine d'argent.
La conséquence est que les sous investissement structurels du secteur minier dont nous avons parlé pour le cuivre par exemple affecte également l'offre d'argent. Est-ce que cela crée une situation de spéculation?
- Oui. Nous pensons que nous sommes dans un environnement il est plausible que l'argent fasse l'objet d'une spéculation.
En effet, les coffres de la bourse des métaux de Londres qui contient 75 % des stocks d'argent visible au monde sont en cours d'épuisement. En cours d'épuisement à cause de la forte demande venant du thème de transition énergétique comme nous en avons parlé, mais aussi, il y a un glissement considérable de métal de l'ouest à l'est. L'Inde et la Chine notamment.
- Affichons ce graphique une nouvelle fois. Que nous avons montré au début.
Montrons l'or et l'argent. Alors a beaucoup progressé, mais que voyons-nous?
Le fait que l'or surclasse l'argent, ça peut surprendre plusieurs personnes.
Il est fréquent que l'argent surclasse l'autre à cause de sa volatilité. Si vous ajustez le rendement de ces deux actifs en fonction de la volatilité, nous constaterons que ce n'est que depuis quelques semaines et quelques mois que l'argent a commencé à dépasser l'or.
La volatilité de l'argent et le double de celle de l'or.
Au fur et à mesure que les cours de l'or augmentent de 1 %, on peut s'attendre à une fluctuation plus importante du cours de l'argent. L'or a beaucoup reculé par rapport au sommet. On avait dit qu'on ne sera pas étonné de voir un recul. Il a eu lieu. Que dire de l'argent? Est-ce que la remontée va se poursuivre à court et moyen terme?
- Voici ce qui est intéressant dans le cours de l'argent. L'argent est négocié près de sommets jamais vu depuis plusieurs années tandis que l'or a légèrement reculé. Ce qui souligne le fait que le cours de l'or est assez ferme. Le fait que la baisse de l'argent n'a pas tiré l'autre vers le bas montre qu'il y a une véritable évolution de la demande d'argent métal.
Nous pensons que cela pourrait représenter une forte demande en provenance de Chine.
Il y a eu certains signes d'une rotation dans les activités de métaux précieux dans le commerce de détail. Il y a eu beaucoup d'opérations sur l'or en avril, il ne possède transition vers l'argent aujourd'hui. Mais aussi parce que les installations solaires de Chine dépassent les attentes. L'an dernier, a été une année exceptionnelle pour la croissance de la capacité d'énergie solaire en Chine. On s'attend cette année au mieux, elle ne pourra faire autant que l'an dernier. Mais les résultats jusqu'ici cette année sont très impressionnants. La demande d'argent métal physique enchaîné très fort.
- Je pense que nous connaissons bien les raisons fondamentales de la remontée de l'argent. Dans mon dernier entretien avec vous, avec votre collègue Bart Melek, l'acheteur mystère de l'or. On s'est rendu compte que c'était essentiellement les banques centrales. En partie, nous pensons que cela pourrait être associé par les banques centrales ou d'autres secteurs officiels.
Mais ce qui vaut la peine d'être évoqué pour les métaux précieux aujourd'hui, c'est qu'il se transforme en un élément de dépréciation de la monnaie. Les marchés sont mondiaux, de nature et à l'heure actuelle, il existe une très forte pression sur les monnaies asiatiques qui donnent des raisons aux investisseurs institutionnels et aux pouvoirs publics de se diversifier. Délaissant les monnaies qui se déprécient et l'or est parfait pour cela.
- Avant de clore cet entretien, nous avons vu la remontée de l'or, le recul de l'or.
Est-ce que la même chose à ton argent?
- Non parce que le risque est assez limité. Bien sûr il existe un risque mais le risque nous paraît limité.
Car la marge de sécurité par rapport à une (---) substantielle par des investisseurs est assez considérable. Il faudrait une forte baisse des prix avant que les investisseurs ne soient obligés de liquider.
La demande émane des marchés physiques et il nous semble que la situation à l'heure actuelle est très solide.
- Nous allons surveiller la situation.
Excellent début d'émission! Toujours d'excellents aperçus de la part de Daniel Ghali. Celui-ci répond à vos questions sur les produits de base dans quelques instants. Posez-nous lès en tout temps, moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Revenons assez force. Le géant des logiciels nuagique. Les actions sont sous pression aujourd'hui recul de presque 20 % pour la compagnie n'a pas atteint les estimations devant pour la première fois depuis 20 ans. Et annonce des prévisions plus faibles que prévu pour le trimestre en cours. Celle-ci force indice que le chiffre d'affaires a baissé d'environ 9 % sur 12 mois. Cela s'explique par le fait que les clients sont plus prudents en matière de dépenses. C'est différent aujourd'hui pour les actions de Foot Locker. Les détaillants de chaussures de course et de vêtements de conditionnement physique dépassent les attentes de votre bénéfice. L'action bondit de presque 20 %.
La compagnie semble progresser dans sa stratégie de redressement. Foot Locker indique le prix de vos moyens a augmenté au cours du trimestre.
Comme le déclare l'entreprise, si l'on propose la bonne chaussure et que le client est prêt à payer. L'entreprise Best Buy réussit à dépasser les prévisions de bénéfices pour son dernier trimestre malgré une baisse continue des ventes. Les consommateurs à court d'argent continuent de repousser l'achat de produits électroniques à prix élevé mais Best Buy réduit aussi ses coûts dans l'ensemble de l'entreprise. Notamment prévoyant de licencier du personnel.
Même si les ventes diminuent, l'action progresse de 11 et demis pour cent.
Un présent, coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite en cas de syndrome indice ; soit presque 1 %. Aux États-Unis, en revanche que les investisseurs sont prudents cette année.
Ils attendent de connaître l'indicateur privilégié de la Fed de demain. D'ici là, les indicateurs restent dans l'expectative. Demain le dernier jour du mois sera un jour important selon ce que les statistiques de demain matin annonceront.
Daniel Ghali répond à vos questions sur les produits de base.
Que faut-il attendre de la réunion de l'OPEP+ cette fin de semaine?
- Dans le monde entier, nous nous attendons que 'OPEP prolonge son entente de production actuelle. C'est en raison, à cause de la faiblesse des cours du pétrole récemment.
Et de la faiblesse des marchés physiques, autrement dit, il faut que les marchés voient que l'OPEP continue de réduire la production. En outre, l'OPEP semble de plus en plus être pris à son propre piège.
L'OPEP limite l'offre au reste du monde c'est l'Arabie Saoudite qui ont fait surtout les frais. Mais les paysans ne paient, les États-Unis, Canada, Brésil et la Guyane entre autres bénéficie tous de cela et augmente l'offre.
Compensant presque parfaitement le nombre de barrils que l'OPEP a réduit.
L'OPEP cherche à maintenir les prix à flot, mais d'autres pays en profitent pour les concurrencer.
C'était à la fin de 2014 quand l'OPEP, tout le monde s'attendait à ce que l'Arabie Saoudite et l'OPEP vole à la rescousse.
L'Arabie Saoudite a dit nous allons laisser continue de pomper vos réserves de schiste. Nous n'allons pas vous secourir.
Tout est possible de bien sûr, mais nous prévoyons que c'est peu probable. C'est peu probable, parce que la production américaine, les États-Unis sont le plus gros producteur au monde, a été dopé par les améliorations de la technologie d'extraction. On extrait davantage de pétrole et de gaz des couches de schiste que ce n'était le cas précédemment. Même si les cours baissent, les États-Unis pourraient continuer de produire au même niveau.
Une tentative dans ce sens pourrait donc bien ne pas aboutir comme ça été le cas en 2014.
Vu que la manchette, au producteur me donner une tape sur l'épaule et c'est très courant avec l'OPEP. Il y a des réunions, des ententes de réduction de production pour stabiliser le cours du pétrole, et peut-être certains nations ne respectent pas ses ententes.
- Tout à fait. La tricherie est un gros problème dans les pays développés.
Il s'agit de groupes de producteurs diversifiés dont chacun a ses propres besoins et ses propres raisons. Depuis quelques années, la production du groupe a été inférieure au quota.
À cause de sous investissement, il y avait beaucoup de risques opérationnels. Des pays ne pouvaient pas produire et ses problèmes ont été largement soulagés. Cela fait parti de la situation aujourd'hui.
Des pays comme le Nigéria par exemple produise presque l'intégralité de leurs quotas. Il s'agit d'un nouvel approvisionnement pétrole qui n'existait pas auparavant sur le marché.
- Excellents commentaires sur le secteur du pétrole! À suivre. Une autre question toujours sur l'énergie: que pensez-vous de l'impact de l'achèvement de l'oléoduc Transmountain sur le secteur des outils canadiens?
- Pendant très longtemps que les producteurs d'énergie canadienne étaient en butte à une limite d'exportation.
En effet, elle ne pouvait pas livrer le pétrole jusqu'à des ports ou des raffineries.
Ou le pétrole pourrait être transformé en un produit comme les distillats ou les sorties. L'achèvement de cet oléoduc permettra une croissance de la production et c'est très positif pour le Canada et son secteur pétrolier.
Le brut de référence canadien historiquement solvant à au rabais par rapport au brut américain cause de ces contraintes. Est-ce que les producteurs canadiens peuvent prévoir un prix plus sain pour le barril?
- Oui absolument. Mais ces contraintes, au cours du marché va s'ajuster très rapidement.
En fonction de la capacité, il se pourrait que nous revenions une situation semblable.
Quand je songe à ce que cela a pris pour mettre cet oléoduc en service, s'agit-il du dernier des grands oléoducs seront construits au pays? C'est difficile. Qu'il s'agisse de Keystone, faire mettre Trans Mountain en service et peut-être le dernier des grands projets.
- Oui. Ça été très difficile. Il est difficile de financer ce genre de projet.
- À présent, une autre question de notre public: quels sont vos perspectives pour le cuivre au cours des trois prochaines années?
- Le cuivre est un marché très intéressant à l'heure actuelle. Nous en avons longuement parlé lors des émissions précédentes.
Il s'agit de marché où nous prévoyons une insuffisance structurelle d'approvisionnement. Il y aura sans doute bientôt une période de déficit structurel qui va s'ouvrir. Alimenté par un baume de la demande dans le cas de l'électrification et vers le long délai de mise en service de nouvelles mines. Ceci étant dit, les cours ont très nettement remonté depuis six mois.
Et les stocks chinois augmentent.
C'est-à-dire que les politiques mises en place par le gouvernement chinois pour alimenter le placement de l'infrastructure dans le marché immobilier ne consomment pas suffisamment de ces métaux. La remontée a été déclenchée par l'espoir que les producteurs chinois allaient réduire leur production.
Les fonderies. Ce qui s'est produit, c'est que cela a attiré beaucoup de flux de gestionnaires de fonds.
Les marchés physiques sont faibles.
Il y a donc un véritable déphasage par rapport à ce marché, à l'aspect que prend le marché physique aujourd'hui.
Les prix, à un moment donné, vont encourager les producteurs ont trouvé davantage et en extraire davantage. Encore une fois, cela ne se fait pas du jour au lendemain. C'était une question sur un à trois ans mais que dire de 5,10 ou 15 ans?
Le monde est avide de cuivre.
- Ça prend sept à 10 ans pour mettre une nouvelle mise en service. Donc même si nous devions investir beaucoup dans l'activité minière aujourd'hui, il faudrait une longue période avant que la mine n'entre en service.
Donc au moins sur une perspective à trois ans, nous allons aborder une période de déficit structurel.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Daniel Ghali répond à d'autres questions sur les produits de base dans quelques instants. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Aujourd'hui, nous allons voir comment rechercher des actions en fonction de leur capitalisation boursière.
Hiren Amin est formateur principal à Placements directs TD. Hiren, bonjour pour répondre aux téléspectateurs qui ne le savent peut-être pas pourquoi ne pas commencer par ce que signifie la capitalisation boursière?
- Volontiers, Greg. Ça me fait toujours plaisir de passer à votre émission pour la capitalisation boursière constitue essentiellement une estimation de la valeur d'une compagnie.
Qui est déterminé par la capitalisation boursière c'est la valeur de la compagnie.
En fait, il s'agit de la valeur de marché.
Par rapport à la valeur évaluée.
C'est calculé de façon très faible simple.
Vous prenez le cours de l'action que l'on peut trouver en ligne, vous le multipliez par les actions en circulation. Les actions en circulation sont essentiellement le nombre total actions émises par la compagnie qui sont détenus par des actionnaires à l'extérieur, ainsi qu'à l'intérieur.
Allons sur CourtierWeb pendant un moment et nous allons vous dire où vous pouvez trouver ces informations. Affichons appel à titre d'exemple.
Voici le profil de l'action d'Apple. Vous pouvez descendre vers cette section, les données fondamentales. Vous verrez tout d'abord le marché, vous donne la capitalisation boursière.
Ensuite, le nombre d'actions en circulation.
Je voulais très rapidement, nous voulons aider nos utilisateurs à utiliser la capitalisation boursière pour comparer une action à l'autre.
Mais encore, pour suivre l'évolution d'une compagnie au fil du temps suivant l'évolution de la capitalisation boursière.
Alors un détail amusant: dans le monde entier, il y a environ 18 grandes bourses qui représentent 110 millions de dollars.
Voici l'univers mondial de capitalisation boursière.
Les places de première et deuxièmes places sont détenues bien sûres par la bourse de New York et la bourse (---) qui représente 42 % de la croissance totale de la capitalisation boursière.
Lorsqu'il s'agit de marchés boursiers.
Pour répercuter sur notre situation, la bourse de Toronto fluctue entre la 10e et la 9, Place avec 3,2 billions.
L'autre représente 15,7 millions de dollars pour le calcul en fonction du cours de l'or et des réserves.
Que l'on détient. Voilà de gros chiffres.
C'est bien d'avoir Apple, Microsoft, NVIDIA contient votre bourse qui explique la prédominance des bourses de New York et Nasdaq. 40 comment faites-vous des recherches sur une action à l'aide de la capitalisation boursière?
- Montrons à vos spectateurs comment faire. Ce faisant, je vous mets sur la sellette. D'après vous quelle est la compagnie avec la plus forte capitalisation boursière? En Amérique du Nord.
Pas au Canada.
On va inclure les États-Unis.
- Je dirais Apple, Microsoft, NVIDIA.
- Ce sont les trois.
- NVIDIA n'est pas en première place encore. Cela joue un peu.
Je suis dans l'outil de sélection.
Je vais éliminer les résultats et ajouter les critères par laquelle on commence. Par les données de base. La capitalisation boursière. On va avoir une base très générale pour montrer aux spectateurs comment vous pouvez faire de la recherche.
Nous voyons les résultats.
Et vous aurez raison. Microsoft est en première place, appelle en second lieu, et puis suivi de très près par NVIDIA. C'est extraordinaire de voir ses capitalisations boursières. Certaines de ces compagnies valent plus que les bourses toutes entières de grand pays du monde.
- Merci. Comme toujours, je suis heureux d'avoir donné la bonne réponse!
Après une petite célébration à laquelle nous avons participé hier. Au revoir!
Hiren Amin est formateur principal à Placements directs TD.
Vous pouvez trouver davantage de ressources sur le centre d'apprentissage CourtierWeb ou en balayant ce code QR pour parvenir à la page Instagram de Placements directs TD.
À présent, je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser.
Soit par courriel, moneytalklivetd.com soit ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Daniel Ghali répond à vos questions sur les produits de base. Une question qui vienne nous arriver: vous avez évoqué l'accélération de la demande de cuivre.
Comment peut-on profiter de cette demande?
- Excellente question!
Si on prend du recul, la transition énergétique selon nous est le grand terme de la décennie. Chaque décennie il y a un thème qui domine et sait dessiner la transition énergétique. Nous avons décomposé les conséquences comme suit. Il y a quatre façons. D'abord, il y a des secteurs qui changent la donne, essentiellement les secteurs où il y aura énormément de croissance de la demande à cause de la transition énergétique. Les véhicules électriques, plus récemment les réseaux de distribution de transmission, de stockage. Ensuite, secteurs suivants, cesseraient les produits qui sont liés inextricablement au secteur des produits changent la donne.
On ne peut pas construire davantage de voitures sans avoir davantage d'aluminium pour les réseaux de distribution ou de transport exige davantage de zinc. Donc les produits de base jouent un rôle clé dans tout cela.
Et on va jusqu'à affirmer que le cuivre et le nouveau pétrole. Deux autres secteurs sont un peu différents. Les secteurs perturbateurs. C'est-à-dire les produits de base qui vont voir une réduction proactive de la production pour atteindre les objectifs de décarbonisation. Je songe à l'aluminium et l'acier. Ce sont des industries à forte intensité énergétique, fortes émissions de carbone. Il y a déjà eu certains pays dans le monde qui ont imposé déplafonnement de la capacité et qui vont limiter l'offre malgré le fait que la demande soit forte. Enfin, c'est peut-être moins pertinent pour le cuivre et les métaux de base, ce sont les produits essentiels auxquels on va renoncer. Ce sont des produits dont la demande va être érodée à un rythme beaucoup plus lent que la demande l'offre ne va augmenter.
Autrement dit, il y a une demande d'aluminium et certains pays essaient de limiter limiter leur production d'aluminium pour limiter leurs émissions.
On veut un avenir faire, mais on ne veut pas exploiter et extraire les métaux qui sont nécessaires pour bâtir cet anniversaire.
- Oui. Il y a une analyse très intéressante que nous avons publié il y a quelques années.
Si nous divisons les secteurs de notre économie en fonction de leurs intensités de carbone et le ratio de réinvestissement, on constate que les secteurs sont plus intensifs en carbone ont reçu moins d'investissement depuis une dizaine d'années dans l'ensemble. Donc cela fait partie de la transition énergétique il s'agit de certaines des contraintes auxquelles nous pourrions devoir faire face. La question suivante demeure sur le thème de la transition énergétique: est-ce que la demande déclinante des véhicules électriques va nuire au secteur des produits de base? On parle d'hybrides maintenant.
- Oui. On parle véhicules électriques à bien des égards. Les hybrides peuvent être considérés comme des véhicules électriques on a vu ce discours tenu surtout aux États-Unis.
Où les clients optent plus souvent pour des véhicules hybrides que pour des véhicules électriques à batterie depuis un an.
Je soulignerai toutefois qu'au niveau mondial, les taux de pénétration des véhicules électriques à batterie est essentiellement stable par rapport à l'an dernier. Il s'agit toujours d'un taux de pénétration très élevée. La croissance demeure très stable et très élevé. Au niveau mondial, c'est sans doute moins pertinent que ce n'est le cas spécifiquement aux États-Unis, et c'est parce que la Chine est la grande force taux de pénétration. Les gouvernements locaux continus de subventionner et d'encourager la population à passer aux véhicules électriques à batterie.
- Est-ce qu'il y a certains secteurs du marché qui ne suscite pas l'attention voulue interrompant du lithium. Depuis six mois, ce secteur ne semble pas avoir tellement progressé en fonction du discours selon lesquelles les gens ne s'intéressent plus tellement aux véhicules électriques.
- Je dirais que c'est un discours qui fait son apparition qui a eu un impact sur certains cours du marché.
Les métaux du groupe platinent qui serrent essentiellement dans des catalyseurs automobiles pour le contrôle des émissions des moteurs à combustion interne. Leurs cours ont beaucoup diminué. Typiquement ils sont au moins partiellement corrélés avec l'autre. Même si les métaux pression bondit, le platine et les métaux du même groupe ont eu des résultats mitigés cette année encore plus l'an dernier. Cela s'inscrit dans le phénomène de possible retour des moteurs à combustion interne qui entraîne une certaine remontée du groupe BCM.
- C'est intéressant. À surveiller. La question suivante: les réductions de taux.
Les réductions de taux sont assez bénéfices pour certains produits de base de la hausse des prix des produits de base ne risque-t-elle pas d'aggraver l'inflation et de maintenir les photos un niveau élevé?
- Oui. C'est une préoccupation pour beaucoup de gens qui nous avons parlé.
Particulièrement depuis quelques mois. Je crois que la courroie de transmission entre les produits de base et le taux d'inflation est essentiellement attribuable secteur de l'énergie.
La hausse des prix de l'énergie a tendance à avoir un impact presque direction inflation. Et ceci s'applique même à l'inflation de base qui exclut le volet énergie. La raison en étend que l'énergie est utilisée dans toutes sortes de secteurs de l'économie. Le transport aérien, d'autres services qui l'accompagnent. Alors, la hausse des cours des produits de base jusqu'ici cette année a été davantage contenue dans le secteur des métaux que dans le secteur de l'énergie. Par conséquent, les conséquences pour l'inflation sont sans doute moins pertinentes.
Jusqu'ici j'ai entendu avancer l'argument, on en revient à l'OPEP. Le peu de parvenir à un certain cours pour son brut afin de réaliser un bénéfice mais ne voudrait pas que le brut augmente tellement que cela minerait la relance mondiale.
Et alimenter l'inflation pensez-vous été pris en compte?
- Bien sûr, c'est pris en compte dans le calcul de l'OPEP. Je pense que l'OPEP peuvent également dissuader les consommateurs de prendre l'initiative de renoncer aux véhicules à essence ou diesel. Depuis un an, il y a eu davantage de destruction de demande attribuable aux gains d'efficacité énergétique dans les moteurs à combustion interne qu'il n'y en a eue de la part du choix des véhicules électriques par les consommateurs pour les constructeurs automobiles constate que les cours d'énergie plus élevée afin que leurs ventes et pourrait choisir d'investir dans l'efficacité énergétique. Ça a un impact plus important pour la demande pétrolière mondiale que le passage à l'électrique.
- Daniel Ghali répond à d'autres questions sur les produits de base dans quelques instants. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser. Soit par courriel, moneytalklivetd.com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
les investisseurs attendent de nouveaux signes de baisse de l'inflation. De nouveaux chiffres sur la solidité de l'économie américaine. Anthony Okolie de service économique TD commente le dernier rapport sur l'économie américaine.
- Il semble que le l'économie américaine affiche une croissance plus lente que prévu à l'origine en fonction de la dernière révision du PIB pour le premier trimestre. Il y a une révision à la baisse de 1,6 % à 1,3 %.
Ceci montre que le PIB américain a nettement baissé par rapport à la croissance du quatrième trimestre.
Où la croissance a frisé les 3 %. Il s'agit du niveau le plus faible depuis presque deux ans. Quand on approfondit les détails, cette révision à la baisse révèle essentiellement une diminution des dépenses de consommation. Les Américains dépensent moins pour acheter des biens durables comme des appareils ménagers, un secteur qui baisse de près de 2 %. Il s'agit de la baisse plus important depuis mai 2021. Inversement, il y a eu beaucoup de dépenses de services. Une hausse de presque 4 %. C'est la proportion la plus élevée depuis 2021. La plus forte augmentation, il y a eu des importations et une réduction des entreprises. Le marché ont tendance à beaucoup fluctuer d'un trimestre à l'autre.
L'investissement non résidentiel a été revu à la hausse grâce à une grave revalorisation des produits de propriété intellectuelle. Conséquence clé, la révision montre une croissance économique plus mitigée mais cela n'a toujours pas changé la donne selon service économique TD, économie américaine demeure vigoureuse malgré les taux d'intérêt élevé. Même s'il y a une révision à la baisse des dépenses de consommation au deuxième trimestre, avec les facteurs contraires du premier trimestre qui s'estompe, on prévoit que la croissance du PIB au deuxième trimestre pourrait s'élever à 2,3 %. Demain, paraîtront les données sur les dépenses de consommation personnelle du mois d'avril qui devrait nous donner un instantané des tendances en matière de dépenses pour le deuxième trimestre. Il y aura également un profil révisé pour les dépenses de consommation personnelle du premier trimestre.
Le tout dernier procès-verbal de la réserve fédérale laisse entrevoir une tonalité plutôt énergique. Les marchés diffèrent la première coupure de taux jusqu'à la fin de l'année. Nous allons en parler à l'émission de demain midi, mais nous allons également parler de notre propre pays, puisqu'il y aura je crois le rapport sur le PIB du premier trimestre.
- Oui.
Statistique Canada va publier le PIB du premier trimestre.
Ce qui pourrait faire basculer la coupure de taux de la Banque du Canada en juin ou en juillet.
Valeurs mobilières TD estime que l'économie se reprend un peu après un deuxième semestre 2023 plutôt anémique et prévoit une croissance de 2,4 %.
Plus que le consensus de 2,2 % et plus que la tendance. Elle pense que les dépens déménageront un facteur clé dans le rebond notamment au niveau des biens de basse et de l'investissement résidentiel dont on ne pense que les chiffres nous réserve.
- Merci pour cette analyse des chiffres très importantes! Vous venez d'entendre Anthony Okolie. À présent, un coup d'œil sur les marchés.
Voici la plateforme avancée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser l'évolution du marché. Voici l'indice TSX 60 en fonction du cours et du volume. Globalement, l'indice progresse de presque 1 %. Voici le TSX 60. Vous voyez que deux exactions les plus est performante dans le secteur financier. La Banque Royale, la banque CIBC, les toutes dernières banques qui publient leurs bénéfices trimestriels. La banque est satisfaite. Elle progresse de 5 % et la CIBC encore un peu plus.
Une certaine progression dans le secteur de l'énergie, ce qui contribue à la progression de l'indice. Et dans le secteur de la technologie, Shopify est légèrement sous pression. Aux États-Unis, on attend l'apparition de données économiques très importantes mais qui ne sont pas encore arrivés. Les marchés sont donc prudents.
L'indice S&P 500 est en recul encore 2 %, ce n'est pas énorme, mais la situation est mitigée. S'il force CRM est en baisse de 20 %. Nous avons du tout alors que les résultats trimestriels et les prévisions avaient été décevantes.
Dans d'autres domaines, il y a du vert à l'écran. Que ce soit dans la corbeille de la technologie ou même dans le secteur financier.
En hausse de plus de 1 %. Daniel Ghali répond à vos questions sur les produits de base.
Comment l'élection américaine pourrait affecter les produits de base?
- Nous avons beaucoup réfléchi à cette question. Il y a tellement d'incertitudes.
Quand on essaie d'analyser les différentes conséquences que l'élection pourrait avoir, il y a quelques-unes qui valent la peine d'être mentionnées. D'abord, le déficit budgétaire. Il semble que ni l'un ni l'autre des parties, ni l'un ni l'autre des candidats n'est un programme qui diminuera les dépenses.
Soit les démocrates ou les républicains raflent la mise, c'est-à-dire la présidence et les deux chambres, cela devrait être positif pour l'autre, quand le discours relatif aux excès budgétaires semble s'amplifier c'est pourquoi il y a une diversification des pentes de leur américaine notamment en faveur de l'autre.
Une autre façon dont l'élection pourrait affecter l'économie et le marché de la politique de transition énergétique. Même aujourd'hui, on s'inquiète de la manière dont différentes administrations pourraient gérer la loi sur la réduction de l'inflation.
Et les normes qui mettent en œuvre la politique relative aux transitions énergétiques aux États-Unis. Une présidence républicaine pourrait conserver certains de ces éléments, et en conserver d'autres. On ne sait pas si cela se fera dans la légalité, mais il semble que l'élection pourrait fort bien avoir un impact sur les marchés.
- Dont on parle transition énergétique, on parle l'influence politique. Et par la loi sur la réduction de l'inflation, ce sont des encouragements importants pour orienter l'industrie. D'une part et d'autre part, ce que fait l'industrie de son côté. Que ce soit aux États-Unis, ailleurs, ça semble toujours un tiraillement. Est-ce que l'industrie est simplement sur ses gardes? Quoi que les élus disent? Ou si ces derniers ont une forte influence? Sachent bien sûr, il y a beaucoup d'influence. Les dépenses sont les subventions consommateurs pour les encourager à adopter des véhicules électriques.
Adopter des normes plus strictes de contrôle des émissions qui ont des conséquences importantes pour les produits de base pour le début de l'émission, nous avons parlé d'argent et d'or.
Pourriez-vous récapituler ce qui se passe?
- L'autre a beaucoup progressé jusqu'ici cette année, l'argent a plus que rattraper. Oui, on a commencé l'année avec une dislocation historique entre la manière dont les gestionnaires de fonds investissaient dans l'autre et les attentes des marchés. Au début de cette année, les marchés des taux s'attendaient à ce que nous révision six fois. Or, les investisseurs en or ou les faux qui investissent dans l'autre étaient en situation déficitaire. C'est cela qui a déclenché la remontée des métaux précieux.
Mais selon nous, c'était presque entièrement résolu. Le temps que l'autre parvienne à mi-chemin de sa progression.
Le raffermissement des cours de l'autre est associé à ce thème de la dépréciation de monnaie. Aujourd'hui, on assiste à une rotation et le basculement vers l'argent.
L'argent présente des données fondamentales très attrayantes.
Et ces éléments ne sont pas encore pris en compte dans les cours de l'argent selon notre analyse, nous commençons à avoir un afflux de capitaux.
- Merci Daniel Ghali! Content de vous reparler.
- Merci beaucoup.
- Daniel Ghali de Placements directs TD.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. demain, une mise à jour sur les marchés et nous allons notamment analyser le plus récent rapport sur le PIB au Canada. La publication privilégiée de la fête sur l'inflation aux États-Unis, et puis les points forts de nos meilleures entrevues de la semaine. À ne pas rater!
Merci et à demain!
Anthony Okolie se penche sur le dernier rapport sur le PIB aux États-Unis et ses conséquences pour la politique monétaire.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Hiren Amine nous montre comment faire des recherches sur les actions par capitalisation boursière.
Posez-nous vos questions par courriel, moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Mais d'abord, coup d'œil sur les marchés.
Il y a du vert à l'écran à la bourse de Toronto. L'indice TSX composite progresse solidement de 183 points, soit presque 1 %. Parmi les titres activement négociés, New Gold qui vient de faire une annonce au sujet de son projet de minerai de cuivre en Colombie Britannique et les marchés semblent satisfaits.
Et l'action progresse de sept et demi pour cent. Le secteur de l'énergie voyons comment il se porte. Le cours du brut recule aujourd'hui. Le brut de référence américain tourne autour de 78 $ le baril.
Baytex se maintient un peu au-delà du seuil de rentabilité progressant d'ailleurs de presque 1 % à 4,97 $ l'action.
Aux États-Unis, il n'y a pas d'inversion de la pression à la baisse de ces derniers jours. Beaucoup d'inquiétudes quant à l'inflation.
Qu'est-ce que cela signifie pour les taux d'intérêt? Le rendement obligataire monte.
Demain matin, l'indice des prix de consommation personnel privilégié par la Fed va paraître. Les marchés sont prudents ; elle mange desdites annonces mitigées au niveau des bénéfices. L'indice S&P 500 recule (...) demis pour cent. Les 10 (...) à forte composante technologique reculent dans la même mesure que l'ensemble du marché de 89 ; demis pour cent.
Celles-ci forcées un point douloureux sur le marché pour les marchés sont déçus par les annonces de la compagnie. L'action dégringole de 20 % à 216,55 $.
Beaucoup d'investisseurs observent la hausse de l'or cette année. L'argent a connu une progression encore plus importante.
Pour discuter des raisons de ce mouvement et de sa prolongation, Daniel Ghali de Valeurs mobilières TD nous rejoint. Un graphique assez éloquent quant à la remontée de l'or qui a fait les manchettes, mais l'argent monte également.
Qu'est-ce qui a propulsé cette remontée?
- L'argent a extrêmement bien progressé jusqu'ici cette année. Les données fondamentales de l'argent sont parmi les plus ambivalentes dans le complexe des produits de base aujourd'hui. Il s'agit d'un marché qui est déficitaire de +- trois ans. La plupart des analystes dans le monde prévoient qu'il continuera d'afficher un déficit structurel pour l'avenir prévisible.
Depuis une dizaine d'années, personne ne s'en préoccupe. Personne ne se préoccupe des données fondamentales d'offres et de demandes, car il y a d'énormes stocks d'argent métal qui était toujours suffisamment important pour éponger toute déséquilibre de la demande. Or, cette hypothèse sera remise en question d'ici un an ou deux. C'est le résultat de la transition énergétique. L'énergie solaire exige davantage d'argent.
Le boom des véhicules électriques également.
À cause de l'usage accru des circuits électroniques dans les véhicules. La demande est forte, l'offre est limitée, le marché est excitant. Pendant une dizaine d'années, personne ne se préoccupait le déficit structurel et les marchés se sont réveillés. C'est la transition énergétique. Attention, l'argent jouera un rôle clé. Oui, il s'agit d'un environnement très porteur pour les métaux précieux. L'or a très bien progressé. On s'attendrait à ce que l'argent métal progresse également aussi. Dans cet environnement. Ce qui est particulièrement intéressant dans les données fondamentales de l'argent à l'heure actuelle, c'est que ces stocks dont nous parlions commencent à s'amenuiser depuis 10 ans, il y avait environ 1,6 milliards d'onces d'argent dans les coffres forts un peu partout dans le monde. Aujourd'hui, nous constatons qu'il y a sans doute une quantité substantielle d'argent métal qui demeure amorcer coffre-fort et qui a été capturé par des FNB par exemple.
La quantité d'argent librement disponible pour achat dans le plus grand réseau de coffres de métaux précieux à Londres est beaucoup moins important. Nous pensons que 300 millions dont sont disponibles pour achat. Dans le contexte que le déficit moyen de 200 millions depuis trois ans.
Alors, il ne reste pas beaucoup de temps avant que ces inventaires ne sont entièrement épuisés. Cela crée une tension assez intéressante. On parle de l'or qui est détenu dans des coffres pour une raison, joue un rôle dans le système financier. L'argent parle de l'or du pauvre mais si l'argent sert pour fabriquer des choses que c'est une position que je n'avais pas songée.
- Depuis 10 ans, on considère l'argent comme un actif financier comme l'or. Le profil de demande de l'argent est essentiellement attribuable à l'industrie.
- Il est beaucoup utilisé dans la fabrication de bijoux, d'argenterie, dans des applications industrielles également.
Mais surtout, la flambée de la demande est attribuable à la transition énergétique.
L'or est de plus en plus déphasé par rapport à l'argent ou le sera. En conséquence de cela.
- Vous avez parlé de l'offre brièvement.
Si la demande d'argent va augmenter, tandis que nous progressons dans la transition, que dire de la situation minière? Est-ce que l'industrie réagit?
L'industrie ne peut pas ne pas répondre.
- Oui.
avons passé beaucoup de temps à parler du sous-investissement structurel dans les mines et les métaux et les autres industries à forte capacité de carbone depuis une décennie. L'argent est essentiellement un sous-produit de l'extraction d'autre minerai. Le plomb, le zinc, l'or.
Mais il n'y a pas tellement d'argent qui est exploité à partir d'une mine d'argent.
La conséquence est que les sous investissement structurels du secteur minier dont nous avons parlé pour le cuivre par exemple affecte également l'offre d'argent. Est-ce que cela crée une situation de spéculation?
- Oui. Nous pensons que nous sommes dans un environnement il est plausible que l'argent fasse l'objet d'une spéculation.
En effet, les coffres de la bourse des métaux de Londres qui contient 75 % des stocks d'argent visible au monde sont en cours d'épuisement. En cours d'épuisement à cause de la forte demande venant du thème de transition énergétique comme nous en avons parlé, mais aussi, il y a un glissement considérable de métal de l'ouest à l'est. L'Inde et la Chine notamment.
- Affichons ce graphique une nouvelle fois. Que nous avons montré au début.
Montrons l'or et l'argent. Alors a beaucoup progressé, mais que voyons-nous?
Le fait que l'or surclasse l'argent, ça peut surprendre plusieurs personnes.
Il est fréquent que l'argent surclasse l'autre à cause de sa volatilité. Si vous ajustez le rendement de ces deux actifs en fonction de la volatilité, nous constaterons que ce n'est que depuis quelques semaines et quelques mois que l'argent a commencé à dépasser l'or.
La volatilité de l'argent et le double de celle de l'or.
Au fur et à mesure que les cours de l'or augmentent de 1 %, on peut s'attendre à une fluctuation plus importante du cours de l'argent. L'or a beaucoup reculé par rapport au sommet. On avait dit qu'on ne sera pas étonné de voir un recul. Il a eu lieu. Que dire de l'argent? Est-ce que la remontée va se poursuivre à court et moyen terme?
- Voici ce qui est intéressant dans le cours de l'argent. L'argent est négocié près de sommets jamais vu depuis plusieurs années tandis que l'or a légèrement reculé. Ce qui souligne le fait que le cours de l'or est assez ferme. Le fait que la baisse de l'argent n'a pas tiré l'autre vers le bas montre qu'il y a une véritable évolution de la demande d'argent métal.
Nous pensons que cela pourrait représenter une forte demande en provenance de Chine.
Il y a eu certains signes d'une rotation dans les activités de métaux précieux dans le commerce de détail. Il y a eu beaucoup d'opérations sur l'or en avril, il ne possède transition vers l'argent aujourd'hui. Mais aussi parce que les installations solaires de Chine dépassent les attentes. L'an dernier, a été une année exceptionnelle pour la croissance de la capacité d'énergie solaire en Chine. On s'attend cette année au mieux, elle ne pourra faire autant que l'an dernier. Mais les résultats jusqu'ici cette année sont très impressionnants. La demande d'argent métal physique enchaîné très fort.
- Je pense que nous connaissons bien les raisons fondamentales de la remontée de l'argent. Dans mon dernier entretien avec vous, avec votre collègue Bart Melek, l'acheteur mystère de l'or. On s'est rendu compte que c'était essentiellement les banques centrales. En partie, nous pensons que cela pourrait être associé par les banques centrales ou d'autres secteurs officiels.
Mais ce qui vaut la peine d'être évoqué pour les métaux précieux aujourd'hui, c'est qu'il se transforme en un élément de dépréciation de la monnaie. Les marchés sont mondiaux, de nature et à l'heure actuelle, il existe une très forte pression sur les monnaies asiatiques qui donnent des raisons aux investisseurs institutionnels et aux pouvoirs publics de se diversifier. Délaissant les monnaies qui se déprécient et l'or est parfait pour cela.
- Avant de clore cet entretien, nous avons vu la remontée de l'or, le recul de l'or.
Est-ce que la même chose à ton argent?
- Non parce que le risque est assez limité. Bien sûr il existe un risque mais le risque nous paraît limité.
Car la marge de sécurité par rapport à une (---) substantielle par des investisseurs est assez considérable. Il faudrait une forte baisse des prix avant que les investisseurs ne soient obligés de liquider.
La demande émane des marchés physiques et il nous semble que la situation à l'heure actuelle est très solide.
- Nous allons surveiller la situation.
Excellent début d'émission! Toujours d'excellents aperçus de la part de Daniel Ghali. Celui-ci répond à vos questions sur les produits de base dans quelques instants. Posez-nous lès en tout temps, moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Revenons assez force. Le géant des logiciels nuagique. Les actions sont sous pression aujourd'hui recul de presque 20 % pour la compagnie n'a pas atteint les estimations devant pour la première fois depuis 20 ans. Et annonce des prévisions plus faibles que prévu pour le trimestre en cours. Celle-ci force indice que le chiffre d'affaires a baissé d'environ 9 % sur 12 mois. Cela s'explique par le fait que les clients sont plus prudents en matière de dépenses. C'est différent aujourd'hui pour les actions de Foot Locker. Les détaillants de chaussures de course et de vêtements de conditionnement physique dépassent les attentes de votre bénéfice. L'action bondit de presque 20 %.
La compagnie semble progresser dans sa stratégie de redressement. Foot Locker indique le prix de vos moyens a augmenté au cours du trimestre.
Comme le déclare l'entreprise, si l'on propose la bonne chaussure et que le client est prêt à payer. L'entreprise Best Buy réussit à dépasser les prévisions de bénéfices pour son dernier trimestre malgré une baisse continue des ventes. Les consommateurs à court d'argent continuent de repousser l'achat de produits électroniques à prix élevé mais Best Buy réduit aussi ses coûts dans l'ensemble de l'entreprise. Notamment prévoyant de licencier du personnel.
Même si les ventes diminuent, l'action progresse de 11 et demis pour cent.
Un présent, coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composite en cas de syndrome indice ; soit presque 1 %. Aux États-Unis, en revanche que les investisseurs sont prudents cette année.
Ils attendent de connaître l'indicateur privilégié de la Fed de demain. D'ici là, les indicateurs restent dans l'expectative. Demain le dernier jour du mois sera un jour important selon ce que les statistiques de demain matin annonceront.
Daniel Ghali répond à vos questions sur les produits de base.
Que faut-il attendre de la réunion de l'OPEP+ cette fin de semaine?
- Dans le monde entier, nous nous attendons que 'OPEP prolonge son entente de production actuelle. C'est en raison, à cause de la faiblesse des cours du pétrole récemment.
Et de la faiblesse des marchés physiques, autrement dit, il faut que les marchés voient que l'OPEP continue de réduire la production. En outre, l'OPEP semble de plus en plus être pris à son propre piège.
L'OPEP limite l'offre au reste du monde c'est l'Arabie Saoudite qui ont fait surtout les frais. Mais les paysans ne paient, les États-Unis, Canada, Brésil et la Guyane entre autres bénéficie tous de cela et augmente l'offre.
Compensant presque parfaitement le nombre de barrils que l'OPEP a réduit.
L'OPEP cherche à maintenir les prix à flot, mais d'autres pays en profitent pour les concurrencer.
C'était à la fin de 2014 quand l'OPEP, tout le monde s'attendait à ce que l'Arabie Saoudite et l'OPEP vole à la rescousse.
L'Arabie Saoudite a dit nous allons laisser continue de pomper vos réserves de schiste. Nous n'allons pas vous secourir.
Tout est possible de bien sûr, mais nous prévoyons que c'est peu probable. C'est peu probable, parce que la production américaine, les États-Unis sont le plus gros producteur au monde, a été dopé par les améliorations de la technologie d'extraction. On extrait davantage de pétrole et de gaz des couches de schiste que ce n'était le cas précédemment. Même si les cours baissent, les États-Unis pourraient continuer de produire au même niveau.
Une tentative dans ce sens pourrait donc bien ne pas aboutir comme ça été le cas en 2014.
Vu que la manchette, au producteur me donner une tape sur l'épaule et c'est très courant avec l'OPEP. Il y a des réunions, des ententes de réduction de production pour stabiliser le cours du pétrole, et peut-être certains nations ne respectent pas ses ententes.
- Tout à fait. La tricherie est un gros problème dans les pays développés.
Il s'agit de groupes de producteurs diversifiés dont chacun a ses propres besoins et ses propres raisons. Depuis quelques années, la production du groupe a été inférieure au quota.
À cause de sous investissement, il y avait beaucoup de risques opérationnels. Des pays ne pouvaient pas produire et ses problèmes ont été largement soulagés. Cela fait parti de la situation aujourd'hui.
Des pays comme le Nigéria par exemple produise presque l'intégralité de leurs quotas. Il s'agit d'un nouvel approvisionnement pétrole qui n'existait pas auparavant sur le marché.
- Excellents commentaires sur le secteur du pétrole! À suivre. Une autre question toujours sur l'énergie: que pensez-vous de l'impact de l'achèvement de l'oléoduc Transmountain sur le secteur des outils canadiens?
- Pendant très longtemps que les producteurs d'énergie canadienne étaient en butte à une limite d'exportation.
En effet, elle ne pouvait pas livrer le pétrole jusqu'à des ports ou des raffineries.
Ou le pétrole pourrait être transformé en un produit comme les distillats ou les sorties. L'achèvement de cet oléoduc permettra une croissance de la production et c'est très positif pour le Canada et son secteur pétrolier.
Le brut de référence canadien historiquement solvant à au rabais par rapport au brut américain cause de ces contraintes. Est-ce que les producteurs canadiens peuvent prévoir un prix plus sain pour le barril?
- Oui absolument. Mais ces contraintes, au cours du marché va s'ajuster très rapidement.
En fonction de la capacité, il se pourrait que nous revenions une situation semblable.
Quand je songe à ce que cela a pris pour mettre cet oléoduc en service, s'agit-il du dernier des grands oléoducs seront construits au pays? C'est difficile. Qu'il s'agisse de Keystone, faire mettre Trans Mountain en service et peut-être le dernier des grands projets.
- Oui. Ça été très difficile. Il est difficile de financer ce genre de projet.
- À présent, une autre question de notre public: quels sont vos perspectives pour le cuivre au cours des trois prochaines années?
- Le cuivre est un marché très intéressant à l'heure actuelle. Nous en avons longuement parlé lors des émissions précédentes.
Il s'agit de marché où nous prévoyons une insuffisance structurelle d'approvisionnement. Il y aura sans doute bientôt une période de déficit structurel qui va s'ouvrir. Alimenté par un baume de la demande dans le cas de l'électrification et vers le long délai de mise en service de nouvelles mines. Ceci étant dit, les cours ont très nettement remonté depuis six mois.
Et les stocks chinois augmentent.
C'est-à-dire que les politiques mises en place par le gouvernement chinois pour alimenter le placement de l'infrastructure dans le marché immobilier ne consomment pas suffisamment de ces métaux. La remontée a été déclenchée par l'espoir que les producteurs chinois allaient réduire leur production.
Les fonderies. Ce qui s'est produit, c'est que cela a attiré beaucoup de flux de gestionnaires de fonds.
Les marchés physiques sont faibles.
Il y a donc un véritable déphasage par rapport à ce marché, à l'aspect que prend le marché physique aujourd'hui.
Les prix, à un moment donné, vont encourager les producteurs ont trouvé davantage et en extraire davantage. Encore une fois, cela ne se fait pas du jour au lendemain. C'était une question sur un à trois ans mais que dire de 5,10 ou 15 ans?
Le monde est avide de cuivre.
- Ça prend sept à 10 ans pour mettre une nouvelle mise en service. Donc même si nous devions investir beaucoup dans l'activité minière aujourd'hui, il faudrait une longue période avant que la mine n'entre en service.
Donc au moins sur une perspective à trois ans, nous allons aborder une période de déficit structurel.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Daniel Ghali répond à d'autres questions sur les produits de base dans quelques instants. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
Aujourd'hui, nous allons voir comment rechercher des actions en fonction de leur capitalisation boursière.
Hiren Amin est formateur principal à Placements directs TD. Hiren, bonjour pour répondre aux téléspectateurs qui ne le savent peut-être pas pourquoi ne pas commencer par ce que signifie la capitalisation boursière?
- Volontiers, Greg. Ça me fait toujours plaisir de passer à votre émission pour la capitalisation boursière constitue essentiellement une estimation de la valeur d'une compagnie.
Qui est déterminé par la capitalisation boursière c'est la valeur de la compagnie.
En fait, il s'agit de la valeur de marché.
Par rapport à la valeur évaluée.
C'est calculé de façon très faible simple.
Vous prenez le cours de l'action que l'on peut trouver en ligne, vous le multipliez par les actions en circulation. Les actions en circulation sont essentiellement le nombre total actions émises par la compagnie qui sont détenus par des actionnaires à l'extérieur, ainsi qu'à l'intérieur.
Allons sur CourtierWeb pendant un moment et nous allons vous dire où vous pouvez trouver ces informations. Affichons appel à titre d'exemple.
Voici le profil de l'action d'Apple. Vous pouvez descendre vers cette section, les données fondamentales. Vous verrez tout d'abord le marché, vous donne la capitalisation boursière.
Ensuite, le nombre d'actions en circulation.
Je voulais très rapidement, nous voulons aider nos utilisateurs à utiliser la capitalisation boursière pour comparer une action à l'autre.
Mais encore, pour suivre l'évolution d'une compagnie au fil du temps suivant l'évolution de la capitalisation boursière.
Alors un détail amusant: dans le monde entier, il y a environ 18 grandes bourses qui représentent 110 millions de dollars.
Voici l'univers mondial de capitalisation boursière.
Les places de première et deuxièmes places sont détenues bien sûres par la bourse de New York et la bourse (---) qui représente 42 % de la croissance totale de la capitalisation boursière.
Lorsqu'il s'agit de marchés boursiers.
Pour répercuter sur notre situation, la bourse de Toronto fluctue entre la 10e et la 9, Place avec 3,2 billions.
L'autre représente 15,7 millions de dollars pour le calcul en fonction du cours de l'or et des réserves.
Que l'on détient. Voilà de gros chiffres.
C'est bien d'avoir Apple, Microsoft, NVIDIA contient votre bourse qui explique la prédominance des bourses de New York et Nasdaq. 40 comment faites-vous des recherches sur une action à l'aide de la capitalisation boursière?
- Montrons à vos spectateurs comment faire. Ce faisant, je vous mets sur la sellette. D'après vous quelle est la compagnie avec la plus forte capitalisation boursière? En Amérique du Nord.
Pas au Canada.
On va inclure les États-Unis.
- Je dirais Apple, Microsoft, NVIDIA.
- Ce sont les trois.
- NVIDIA n'est pas en première place encore. Cela joue un peu.
Je suis dans l'outil de sélection.
Je vais éliminer les résultats et ajouter les critères par laquelle on commence. Par les données de base. La capitalisation boursière. On va avoir une base très générale pour montrer aux spectateurs comment vous pouvez faire de la recherche.
Nous voyons les résultats.
Et vous aurez raison. Microsoft est en première place, appelle en second lieu, et puis suivi de très près par NVIDIA. C'est extraordinaire de voir ses capitalisations boursières. Certaines de ces compagnies valent plus que les bourses toutes entières de grand pays du monde.
- Merci. Comme toujours, je suis heureux d'avoir donné la bonne réponse!
Après une petite célébration à laquelle nous avons participé hier. Au revoir!
Hiren Amin est formateur principal à Placements directs TD.
Vous pouvez trouver davantage de ressources sur le centre d'apprentissage CourtierWeb ou en balayant ce code QR pour parvenir à la page Instagram de Placements directs TD.
À présent, je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser.
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Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Daniel Ghali répond à vos questions sur les produits de base. Une question qui vienne nous arriver: vous avez évoqué l'accélération de la demande de cuivre.
Comment peut-on profiter de cette demande?
- Excellente question!
Si on prend du recul, la transition énergétique selon nous est le grand terme de la décennie. Chaque décennie il y a un thème qui domine et sait dessiner la transition énergétique. Nous avons décomposé les conséquences comme suit. Il y a quatre façons. D'abord, il y a des secteurs qui changent la donne, essentiellement les secteurs où il y aura énormément de croissance de la demande à cause de la transition énergétique. Les véhicules électriques, plus récemment les réseaux de distribution de transmission, de stockage. Ensuite, secteurs suivants, cesseraient les produits qui sont liés inextricablement au secteur des produits changent la donne.
On ne peut pas construire davantage de voitures sans avoir davantage d'aluminium pour les réseaux de distribution ou de transport exige davantage de zinc. Donc les produits de base jouent un rôle clé dans tout cela.
Et on va jusqu'à affirmer que le cuivre et le nouveau pétrole. Deux autres secteurs sont un peu différents. Les secteurs perturbateurs. C'est-à-dire les produits de base qui vont voir une réduction proactive de la production pour atteindre les objectifs de décarbonisation. Je songe à l'aluminium et l'acier. Ce sont des industries à forte intensité énergétique, fortes émissions de carbone. Il y a déjà eu certains pays dans le monde qui ont imposé déplafonnement de la capacité et qui vont limiter l'offre malgré le fait que la demande soit forte. Enfin, c'est peut-être moins pertinent pour le cuivre et les métaux de base, ce sont les produits essentiels auxquels on va renoncer. Ce sont des produits dont la demande va être érodée à un rythme beaucoup plus lent que la demande l'offre ne va augmenter.
Autrement dit, il y a une demande d'aluminium et certains pays essaient de limiter limiter leur production d'aluminium pour limiter leurs émissions.
On veut un avenir faire, mais on ne veut pas exploiter et extraire les métaux qui sont nécessaires pour bâtir cet anniversaire.
- Oui. Il y a une analyse très intéressante que nous avons publié il y a quelques années.
Si nous divisons les secteurs de notre économie en fonction de leurs intensités de carbone et le ratio de réinvestissement, on constate que les secteurs sont plus intensifs en carbone ont reçu moins d'investissement depuis une dizaine d'années dans l'ensemble. Donc cela fait partie de la transition énergétique il s'agit de certaines des contraintes auxquelles nous pourrions devoir faire face. La question suivante demeure sur le thème de la transition énergétique: est-ce que la demande déclinante des véhicules électriques va nuire au secteur des produits de base? On parle d'hybrides maintenant.
- Oui. On parle véhicules électriques à bien des égards. Les hybrides peuvent être considérés comme des véhicules électriques on a vu ce discours tenu surtout aux États-Unis.
Où les clients optent plus souvent pour des véhicules hybrides que pour des véhicules électriques à batterie depuis un an.
Je soulignerai toutefois qu'au niveau mondial, les taux de pénétration des véhicules électriques à batterie est essentiellement stable par rapport à l'an dernier. Il s'agit toujours d'un taux de pénétration très élevée. La croissance demeure très stable et très élevé. Au niveau mondial, c'est sans doute moins pertinent que ce n'est le cas spécifiquement aux États-Unis, et c'est parce que la Chine est la grande force taux de pénétration. Les gouvernements locaux continus de subventionner et d'encourager la population à passer aux véhicules électriques à batterie.
- Est-ce qu'il y a certains secteurs du marché qui ne suscite pas l'attention voulue interrompant du lithium. Depuis six mois, ce secteur ne semble pas avoir tellement progressé en fonction du discours selon lesquelles les gens ne s'intéressent plus tellement aux véhicules électriques.
- Je dirais que c'est un discours qui fait son apparition qui a eu un impact sur certains cours du marché.
Les métaux du groupe platinent qui serrent essentiellement dans des catalyseurs automobiles pour le contrôle des émissions des moteurs à combustion interne. Leurs cours ont beaucoup diminué. Typiquement ils sont au moins partiellement corrélés avec l'autre. Même si les métaux pression bondit, le platine et les métaux du même groupe ont eu des résultats mitigés cette année encore plus l'an dernier. Cela s'inscrit dans le phénomène de possible retour des moteurs à combustion interne qui entraîne une certaine remontée du groupe BCM.
- C'est intéressant. À surveiller. La question suivante: les réductions de taux.
Les réductions de taux sont assez bénéfices pour certains produits de base de la hausse des prix des produits de base ne risque-t-elle pas d'aggraver l'inflation et de maintenir les photos un niveau élevé?
- Oui. C'est une préoccupation pour beaucoup de gens qui nous avons parlé.
Particulièrement depuis quelques mois. Je crois que la courroie de transmission entre les produits de base et le taux d'inflation est essentiellement attribuable secteur de l'énergie.
La hausse des prix de l'énergie a tendance à avoir un impact presque direction inflation. Et ceci s'applique même à l'inflation de base qui exclut le volet énergie. La raison en étend que l'énergie est utilisée dans toutes sortes de secteurs de l'économie. Le transport aérien, d'autres services qui l'accompagnent. Alors, la hausse des cours des produits de base jusqu'ici cette année a été davantage contenue dans le secteur des métaux que dans le secteur de l'énergie. Par conséquent, les conséquences pour l'inflation sont sans doute moins pertinentes.
Jusqu'ici j'ai entendu avancer l'argument, on en revient à l'OPEP. Le peu de parvenir à un certain cours pour son brut afin de réaliser un bénéfice mais ne voudrait pas que le brut augmente tellement que cela minerait la relance mondiale.
Et alimenter l'inflation pensez-vous été pris en compte?
- Bien sûr, c'est pris en compte dans le calcul de l'OPEP. Je pense que l'OPEP peuvent également dissuader les consommateurs de prendre l'initiative de renoncer aux véhicules à essence ou diesel. Depuis un an, il y a eu davantage de destruction de demande attribuable aux gains d'efficacité énergétique dans les moteurs à combustion interne qu'il n'y en a eue de la part du choix des véhicules électriques par les consommateurs pour les constructeurs automobiles constate que les cours d'énergie plus élevée afin que leurs ventes et pourrait choisir d'investir dans l'efficacité énergétique. Ça a un impact plus important pour la demande pétrolière mondiale que le passage à l'électrique.
- Daniel Ghali répond à d'autres questions sur les produits de base dans quelques instants. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser. Soit par courriel, moneytalklivetd.com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
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Nos invités pourraient vous répondre en direct.
les investisseurs attendent de nouveaux signes de baisse de l'inflation. De nouveaux chiffres sur la solidité de l'économie américaine. Anthony Okolie de service économique TD commente le dernier rapport sur l'économie américaine.
- Il semble que le l'économie américaine affiche une croissance plus lente que prévu à l'origine en fonction de la dernière révision du PIB pour le premier trimestre. Il y a une révision à la baisse de 1,6 % à 1,3 %.
Ceci montre que le PIB américain a nettement baissé par rapport à la croissance du quatrième trimestre.
Où la croissance a frisé les 3 %. Il s'agit du niveau le plus faible depuis presque deux ans. Quand on approfondit les détails, cette révision à la baisse révèle essentiellement une diminution des dépenses de consommation. Les Américains dépensent moins pour acheter des biens durables comme des appareils ménagers, un secteur qui baisse de près de 2 %. Il s'agit de la baisse plus important depuis mai 2021. Inversement, il y a eu beaucoup de dépenses de services. Une hausse de presque 4 %. C'est la proportion la plus élevée depuis 2021. La plus forte augmentation, il y a eu des importations et une réduction des entreprises. Le marché ont tendance à beaucoup fluctuer d'un trimestre à l'autre.
L'investissement non résidentiel a été revu à la hausse grâce à une grave revalorisation des produits de propriété intellectuelle. Conséquence clé, la révision montre une croissance économique plus mitigée mais cela n'a toujours pas changé la donne selon service économique TD, économie américaine demeure vigoureuse malgré les taux d'intérêt élevé. Même s'il y a une révision à la baisse des dépenses de consommation au deuxième trimestre, avec les facteurs contraires du premier trimestre qui s'estompe, on prévoit que la croissance du PIB au deuxième trimestre pourrait s'élever à 2,3 %. Demain, paraîtront les données sur les dépenses de consommation personnelle du mois d'avril qui devrait nous donner un instantané des tendances en matière de dépenses pour le deuxième trimestre. Il y aura également un profil révisé pour les dépenses de consommation personnelle du premier trimestre.
Le tout dernier procès-verbal de la réserve fédérale laisse entrevoir une tonalité plutôt énergique. Les marchés diffèrent la première coupure de taux jusqu'à la fin de l'année. Nous allons en parler à l'émission de demain midi, mais nous allons également parler de notre propre pays, puisqu'il y aura je crois le rapport sur le PIB du premier trimestre.
- Oui.
Statistique Canada va publier le PIB du premier trimestre.
Ce qui pourrait faire basculer la coupure de taux de la Banque du Canada en juin ou en juillet.
Valeurs mobilières TD estime que l'économie se reprend un peu après un deuxième semestre 2023 plutôt anémique et prévoit une croissance de 2,4 %.
Plus que le consensus de 2,2 % et plus que la tendance. Elle pense que les dépens déménageront un facteur clé dans le rebond notamment au niveau des biens de basse et de l'investissement résidentiel dont on ne pense que les chiffres nous réserve.
- Merci pour cette analyse des chiffres très importantes! Vous venez d'entendre Anthony Okolie. À présent, un coup d'œil sur les marchés.
Voici la plateforme avancée conçue pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser l'évolution du marché. Voici l'indice TSX 60 en fonction du cours et du volume. Globalement, l'indice progresse de presque 1 %. Voici le TSX 60. Vous voyez que deux exactions les plus est performante dans le secteur financier. La Banque Royale, la banque CIBC, les toutes dernières banques qui publient leurs bénéfices trimestriels. La banque est satisfaite. Elle progresse de 5 % et la CIBC encore un peu plus.
Une certaine progression dans le secteur de l'énergie, ce qui contribue à la progression de l'indice. Et dans le secteur de la technologie, Shopify est légèrement sous pression. Aux États-Unis, on attend l'apparition de données économiques très importantes mais qui ne sont pas encore arrivés. Les marchés sont donc prudents.
L'indice S&P 500 est en recul encore 2 %, ce n'est pas énorme, mais la situation est mitigée. S'il force CRM est en baisse de 20 %. Nous avons du tout alors que les résultats trimestriels et les prévisions avaient été décevantes.
Dans d'autres domaines, il y a du vert à l'écran. Que ce soit dans la corbeille de la technologie ou même dans le secteur financier.
En hausse de plus de 1 %. Daniel Ghali répond à vos questions sur les produits de base.
Comment l'élection américaine pourrait affecter les produits de base?
- Nous avons beaucoup réfléchi à cette question. Il y a tellement d'incertitudes.
Quand on essaie d'analyser les différentes conséquences que l'élection pourrait avoir, il y a quelques-unes qui valent la peine d'être mentionnées. D'abord, le déficit budgétaire. Il semble que ni l'un ni l'autre des parties, ni l'un ni l'autre des candidats n'est un programme qui diminuera les dépenses.
Soit les démocrates ou les républicains raflent la mise, c'est-à-dire la présidence et les deux chambres, cela devrait être positif pour l'autre, quand le discours relatif aux excès budgétaires semble s'amplifier c'est pourquoi il y a une diversification des pentes de leur américaine notamment en faveur de l'autre.
Une autre façon dont l'élection pourrait affecter l'économie et le marché de la politique de transition énergétique. Même aujourd'hui, on s'inquiète de la manière dont différentes administrations pourraient gérer la loi sur la réduction de l'inflation.
Et les normes qui mettent en œuvre la politique relative aux transitions énergétiques aux États-Unis. Une présidence républicaine pourrait conserver certains de ces éléments, et en conserver d'autres. On ne sait pas si cela se fera dans la légalité, mais il semble que l'élection pourrait fort bien avoir un impact sur les marchés.
- Dont on parle transition énergétique, on parle l'influence politique. Et par la loi sur la réduction de l'inflation, ce sont des encouragements importants pour orienter l'industrie. D'une part et d'autre part, ce que fait l'industrie de son côté. Que ce soit aux États-Unis, ailleurs, ça semble toujours un tiraillement. Est-ce que l'industrie est simplement sur ses gardes? Quoi que les élus disent? Ou si ces derniers ont une forte influence? Sachent bien sûr, il y a beaucoup d'influence. Les dépenses sont les subventions consommateurs pour les encourager à adopter des véhicules électriques.
Adopter des normes plus strictes de contrôle des émissions qui ont des conséquences importantes pour les produits de base pour le début de l'émission, nous avons parlé d'argent et d'or.
Pourriez-vous récapituler ce qui se passe?
- L'autre a beaucoup progressé jusqu'ici cette année, l'argent a plus que rattraper. Oui, on a commencé l'année avec une dislocation historique entre la manière dont les gestionnaires de fonds investissaient dans l'autre et les attentes des marchés. Au début de cette année, les marchés des taux s'attendaient à ce que nous révision six fois. Or, les investisseurs en or ou les faux qui investissent dans l'autre étaient en situation déficitaire. C'est cela qui a déclenché la remontée des métaux précieux.
Mais selon nous, c'était presque entièrement résolu. Le temps que l'autre parvienne à mi-chemin de sa progression.
Le raffermissement des cours de l'autre est associé à ce thème de la dépréciation de monnaie. Aujourd'hui, on assiste à une rotation et le basculement vers l'argent.
L'argent présente des données fondamentales très attrayantes.
Et ces éléments ne sont pas encore pris en compte dans les cours de l'argent selon notre analyse, nous commençons à avoir un afflux de capitaux.
- Merci Daniel Ghali! Content de vous reparler.
- Merci beaucoup.
- Daniel Ghali de Placements directs TD.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. demain, une mise à jour sur les marchés et nous allons notamment analyser le plus récent rapport sur le PIB au Canada. La publication privilégiée de la fête sur l'inflation aux États-Unis, et puis les points forts de nos meilleures entrevues de la semaine. À ne pas rater!
Merci et à demain!