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(musique) - Bonjour. Ici Greg Bonnell.
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, Damian Fernandez de Gestion de Placements TD nous donne son point de vue sur la dégringolade des marchés depuis deux jours. Anthony Okolie analyse le plus récent rapport sur l'emploi aux États-Unis et les conclusions à en tirer sur la santé de la plus grande économie du monde. Chris Kruger de TD Cowen évoque le scénario présidentiel potentiel qu'il observait et les conséquences pour les investisseurs.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Jason Natyk montre comment utiliser les ordres conditionnels.
Posez-nous vos questions par courriel, moneytalklivetd.com. Mais tout d'abord un coup d'œil sur les marchés.
C'est l'actualité du mois d'août, quel début de bois exceptionnel! Un recul de près de 600 points, soit plus de deux et demis pour cent de l'indice TSX composé. Le brut monte de trois et demis pour cent, après avoir beaucoup remonté en début de semaine. À présent, le cours redescend à cause d'inquiétude économique.
La baisse du secteur de la technologie sur la bourse de Toronto nous affecte aussi.
Shopify est en baisse, Cenovus sur le choix on aime n'importe quel titre de l'énergie à 24,87 $. Cette compagnie pétrolière et gazière se replie en raison de baisse de 4 %. Indice S&P 500 après le recul via est en baisse de presque 2 %, soit 104 points.
L'indice Nasdaq à forte composante technologique frise la correction, c'est-à-dire 10 % de baisse. Il y est parvenu en début de séance, mais il n'y est pas encore tout à fait.
Nous envisageons l'évolution de certains titres, y compris Nvidia.
Nvidia remonte après avoir touché un niveau très bas pendant la séance, l'action remonte quelque peu. Quelques acheteurs sont sans doute intervenus.
Amazone: les bénéfices ont déplu au milieu financier. L'action est en baisse à cette heure.
D'environ 9 %.
À 168,00 $ sept. Apple augmente légèrement. L'action se maintient en hausse de plus de 2 %.
Quelles sont les raisons des inquiétudes à l'égard de l'économie? Les statistiques sur l'emploi aux États-Unis sont au premier plan aujourd'hui. Anthony Okolie nous donne les détails.
- Ce rapport sur le marché du travail montre que les taux d'intérêt élevé ont refroidi l'économie plus qu'on ne le prévoyait.
114 000 emplois nets créés aux États-Unis en juillet, contre 175 qui étaient prévus selon le consensus des milieux financiers.
En outre, les chiffres de mai et de juin ont été révisés à la baisse. Réduisant le total de 29 000 emplois.
Le taux de chômage a légèrement augmenté, passant de 4,1 % à 4,3 %. Il s'agit du niveau le plus élevé depuis près de trois ans. Ceci montre qu'un plus grand nombre de gens cherchent un emploi par rapport au nombre de personnes qui perdent leur emploi puisqu'il y a une hausse du taux de participation.
Le taux de participation était à 60,7 %.
Le taux de chômage aurait été à 4,1 %. Il y a donc davantage de personnes qui recherchent des emplois et qui arrivent sur le marché du travail. Les gains d'emploi de 0,2 % seulement. Un peu en deçà des attentes quand on considère le taux annuel de gains de progression des salaires à 3,6 % sur 12 mois. Encore une fois, c'est inférieur aux attentes. Il s'agit du rythme de croissance le plus lent des salaires en trois ans, ce qui indique que les taux d'intérêt élevé pratiqué par la réserve fédérale ont effectivement pour conséquence d'atténuer la croissance des salaires.
Considérons l'emploi par secteur. La santé se classe en tête pour les gains, ainsi que le bâtiment, les loisirs et l'hospitalité et le gouvernement.
Quoique la construction est en baisse d'un mois sur l'autre.
Le secteur qui accuse la plus forte baisse est celui de la technologie de l'information 0,7 %, soit 20 000 emplois perdus. Les marchés n'étaient pas satisfaits de ce rapport sur l'emploi et on le voit sur les marchés.
- Vous venez d'entendre Anthony Okolie!
Bien sûr, comme nous l'avons constaté d'après les réactions sur le marché, ceci plombe la confiance des investisseurs. C'est le cas de l'état de l'économie aux États-Unis.
Pour nous expliquer ce que les investisseurs doivent garder en tête pendant cette période, Damian Fernandez de Gestion de Placements TD se joint à nous.
Damian, bienvenue. Deux jours de baisse du marché. Que concluez-vous?
- Merci, Greg, de m'accueillir. Lorsque nous sommes dans un marché haussier, invitez-moi aussi si vous voulez bien.
- Je crois que je vous invitais quand les choses allaient bien. Nous sommes dans un marché haussier. Un peu le contexte.
- Nous connaissons un recul très classique des marchés. En cumul annuel, compris aujourd'hui, l'indice CPT rose de 14 %. Le Nasdaq recule 3 % aujourd'hui, mais il est de retour au point où il était au mois de juin. Le 8 juin.
Il y a moins de 60 jours. Chaque année, le marché connaît des corrections de 10 % avec une certaine fréquence. Il y a un degré de confiance très élevée, les investisseurs s'emballent, et puis le mécanisme s'inverse. Il faut modérer les attentes, et cela coïncide avec comme Anthony Okolie l'a dit, de certains éléments de faiblesse au niveau du marché du travail. Mais si l'on considère la situation d'ensemble que nous sommes toujours en bonne voie. Les marchés sont toujours en hausse de plus de 10 %.
Le (...) de plus de 7008 % et donc la baisse aujourd'hui. Les facteurs de risque qui étaient présents en début d'année, je pourrais parler de marché du travail surchauffé, des gains salariaux, l'inflation, de la réserve fédérale et des autres banques centrales qui avaient toujours le pied sur la pédale de frein en matière de politique monétaire. Tous ces facteurs macro-économiques se sont inversés.
Tout devrait prévoir un atterrissage en douceur. La Banque du Canada réduit les taux il est prévu que la Fed réduira les taux de 50 points de base en septembre.
L'inflation recule, gains salariaux comme on le voit depuis sur le rapport aujourd'hui, les gains horaires moyens progressent en raison de 3 %. Alors que c'était plutôt de cinq et quelques pour cent en dernier. Il s'agit d'une correction très saine.
Je ne vais pas minimiser la situation. Ce que j'entends par une correction saine, c'est que quand on considère la situation dans son, si vous sont tous sous pondérer les actions il s'agit d'opportunités d'achat. Nous connaissons un recul classique, les titres à revenu fixe offrent un palace… la dernière 2022, les actions des titres à revenu fixe sont diminuées. Cette année, les titres à revenu fixe remplissent leur rôle, c'est-à-dire une police d'assurance en cas de correction. Je pense que nous vivons un recul très classique, exacerbée par le fait qu'il y ait peu de liquidités en cette période estivale.
- Je voudrais m'intéresser à un élément que vous avez évoqué parce que j'ai entendu des rumeurs l'autre jour. Vous avez dit que 50 points de base de réduction de taux de la Fed en septembre est-ce que les marchés commencent à penser que d'ici la réunion de septembre, la situation justifiera que Jérôme Powell réduire les taux non pas de 25 ou 50 points de base?
- Avant la baisse aujourd'hui, il y a une certaine probabilité de 50 points de base.
Alors actuel après la baisse aujourd'hui, on envisage 50 points de base. Les marchés mettent la pression sur la Fed.
Je voudrais parler des risques également, mais de quoi se préoccuper sur le marché aujourd'hui? Ce sont des risques non linéaires. Il y a un recul considérable des actifs financiers. Cela engendre une pause de l'activité au niveau des chefs de la direction, les grandes entreprises. Cela engendre un cercle vicieux.
La façon dont la Fed prend ses précautions contre cela, c'est en prenant des mesures d'assouplissement. L'assouplissement consiste à réduire le carton financier. À l'heure actuelle, les gains ont été attribuables à la confiance.
On ne veut pas une baisse attribuable à défiance. On est en pleine saison des annonces de bénéfices du deuxième trimestre. Il y a une évolution considérable du cours de certains titres, mais la croissance des bénéfices sur un an est positive. L'indice S&P hors les sept magnifiques, pour la première fois depuis 2022, affiche une croissance positive des bénéfices. Il y a beaucoup de choses qui se passent en dessous de la surface qui ne sont pas vraiment comprises. La réserve fédérale entreprit une trajectoire d'assouplissement, ces favorables actifs à risques et aux investisseurs.
- Situons cela dans le contexte les investisseurs en ce qui concerne la stratégie. Votre devis je ne sais pas si vous dîtes là tous les matins quand vous vous réveillez, mais votre devise, c'est: rester calme et compter sur l'intérêt composé.
- Voilà. Pour la volatilité au jour le jour, sur les marchés devrait être considéré par les médecins comme une opportunité. Qu'est-ce j'entends par là?
Bon. Je crois fermement que si nous sommes convaincus que nous allons abordons une récession et le faucon des mesures correctives. Nous n'y sommes pas encore.
La raison pour laquelle je préconise, lorsque le marché offre des possibilités intéressantes, recule 3 %, si vous avez fait vos recherches, si vous êtes satisfaits de la situation, de 600 entreprises, vous avez la possibilité de vous lancer sur le marché.
Et le cas échéant, à un niveau très favorable. Je crois que chacun devrait faire ses propres recherches fondamentales sur les titres individuels, mais nous essayons de ne pas paniquer. Les titres, peut-être justifie une évolution de notre thèse fondamentale. Ce que nous abordons de récession? Fondamentalement je ne le vois pas. Parlons-en. Atterrissage en douceur, c'est ce que les marchés présument. Nous allons pouvoir maîtriser les passions. Elle évolue dans la bonne direction. Les banques centrales pourront maîtriser l'inflation, réduire le taux, l'économie n'a pas subi de dégâts possibles atterrissage en douceur. Or aujourd'hui, les données sur l'emploi, hier les données sur le secteur manufacturier a maintenant les milieux financiers remettent en question l'atterrissage en douceur. Vous le prévoyez toujours?
- Le scénario de base, c'est un scénario d'atterrissage en douceur. Les marchés paniquent un peu, parce qu'il pense qu'elle atterrissage pourrait être un peu plus brutale mais ce n'est pas le scénario de base. Le fait que les marchés paniquent ou encouragent la Fed à se demander si elle doit réduire les taux plus rapidement. Plutôt. Ces éléments sont reliés, mais le scénario de base est un atterrissage en douceur. Anthony a très bien expliqué le contexte des chiffres sur l'emploi. On a créé 140 000 emplois!
Avant la pandémie, c'était un bon chiffre.
Les gains horaires augmentent de 3,7 % sur 12 mois. Ce n'est pas inflationniste.
Surtout que la productivité non agricole hier dans les statistiques ont paru hier été très favorable. De nombreux tableaux qui utilisera davantage collaboration.
Hier, l'indice du de la confiance du secteur manufacturier était plutôt faible.
Je ne sais pas ce quoi que ce soit échangé, parce que quand on compare les données sur l'emploi, les données sur l'emploi, ce sont des données objectives on peut compter le nombre de gens qui ont un emploi et qui sont en chômage. L'indice ISM et la confiance. On interroge les responsables des achats sur ce qu'ils pensent ou niveau de leur carnet de commande. Je ne sais pas comment expliquer cela, mais il y a depuis la pandémie une certaine défiance dans les données.
Qui n'est pas corroborée par les données objectives. Je vais voir s'il y a une remontée de l'indice ISM le mois prochain, mais nous vivons un recul très classique.
Au début de l'année, on voulait que la croissance de l'emploi ralentisse après avoir été très fort. Maintenant nous y sommes et nous paniquent ont. Nous croyons que nous allons dégringoler d'une falaise.
Ce n'est pas ainsi que fonctionne l'économie.
Nous sommes en pleine s'annonce de parution des bénéfices.
Et la seule ombre au tableau, c'est que les entreprises de consommation, surtout de plus bas de gamme vont devoir se remettre en question. Dans tous les secteurs, y compris la technologie, il y a eu des révisions à la hausse. Toutes les entreprises ont relevé leurs prévisions de bénéfices. Elle ne le ferait pas si elle prévoyait que l'économie se détériore en temps réel.
- Une ultime réflexion, Damian Fernandez.
Comme vous l'avez dit que le mois d'août est un mois ou la liquidité faible, il y a déjà eu pas mal de volatilité d'enthousiasme pour démarrer le mois. Que doit faire les investisseurs lorsqu'il prélève une profonde inspiration et envisage les semaines à venir avant que la saison de septembre sérieuse revienne?
- Entre vous et moi, nous sommes à Toronto, il fait beau, arrêtez de scruter l'écran, ouvrir un livre, écouter un balado. Le mois d'août est en particulier, le mois de septembre également historiquement sont des périodes caractérisées par une grande volatilité à cause de la faible liquidité estivale, et du fait que le risque lié aux événements est amplifié. C'est ce qui se produit ici.
Il y a des facteurs géopolitiques mais ceux-ci sont toujours présents. Ce qui se produit normalement, c'est que la saisonnalité s'améliore au fil de l'année.
En octobre, novembre et décembre, ce sont en général les mois qui sont très forts.
Donc il faut songer à la répartition et aux positionnements globaux. Je pense que si vous sous pondérer les actions de votre répartition globale, il s'agit comment le dire de rester calme et de compter sur la capitalisation. Vous avez la possibilité de vous lancer. Si vous supposeriez les titres à revenu fixe que vous sur pondérer les actions, vous voyez des éléments qui montrent que les titres à revenu fixe vous protège. Parfois, les motifs de panique sont très présents. On se dit aujourd'hui que nous sommes au bord de la récession, mais pour répéter: on a créé 140 000 emplois.
Pour le répéter, l'index de diffusion, c'est-à-dire le nombre d'industries qui embauchent, où l'emploi augmente, moins le nombre d'industries qui réduisent l'emploi, cet indice est à 53 %. Il y a davantage d'industries qui embauchent que des industries qui congédient.
Et qui licencie. Nous sommes dans une période où la liquidité est faible, pour des raisons saisonnières, il y a beaucoup d'absents. Il y a une forte remontée des marchés. Il est donc très normal qu'il y ait eu un recul. Celui-ci peut se chiffrer en raison de quelques pour cent, en raison de votre positionnement et si vous avez fait le travail voulu, vous trouverez des opportunités intéressants pour les entreprises augmenter leur flux de trésorerie c'est ce que nous recherchons.
- Damian Fernandez, merci pour ces aperçus surtout en cette journée comme celle-ci.
- Ça me fait plaisir.
- Damian Fernandez de Gestion de Placements TD.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les actions d'Amazon sont sous l'effet de la rampe le gérant du commerce électronique n'a pas répondu aux attentes en matière de vente pour le dernier trimestre les prévisions pour le trimestre en cours sont décevantes. Le commerce de détail Amazon est confronté à la concurrence entreprise comme Temu et Shein. L'activité le nuagique, c'est-à-dire Amazon Web services a dépassé les attentes. L'action recul de près de 9 %.
Les actions d'Intel sont sous forte pression. Le fabricant de semi-conducteurs annoncés les résultats nettement inférieurs aux prévisions et prévoit de licencier 15 % de son personnel dans le cadre d'un plan de réduction des coûts de 10 millions de dollars.
Intel annonce jamais sans que des verseraient pas de dividendes pour le quatrième trimestre de l'exercice. Cette nouvelle est mal accueillie dans les milieux financiers. L'action dévisse de 27 %. Selon un article j'ai vu, action d'une telle n'a pas baisé dans une telle mesure depuis le début des années 70.
Les bénéfices de Magna légèrement inférieur aux attentes pour le dernier trimestre le fabricant canadien des automobiles a revu ses prévisions à la baisse d'ici 2026. Les résultats sont légèrement négatifs mais l'amélioration des marges pour le second semestre. Ce qui donne aux investisseurs des raisons d'être optimiste malgré tout l'action recule de plus de 7 %.
Un coup d'œil sur les grands indices. Le TSX est composé recule nettement. Dans le cadre d'une baisse du cours du brut. 582 points de base, soit deux et demis pour cent.
Aux États-Unis, indice S&P 500, tandis que les investisseurs assimilent les informations économiques des deux derniers jours, il y a une certaine inquiétude ça recul de plus de 2 %. Le Nasdaq, 16 819.
Selon mon chiffre pour un grand recul de 10 %. C'est un peu en deçà.
Nous avons remonté par rapport aux crues en début de séance, le Nasdaq a frisé la correction un peu plus tôt ce matin. Mais il est toujours en baisse de plus de 2 %.
Si on remonte à mercredi il y a deux jours, rappelez-vous la Fed, c'était censé être la grande nouvelle de la semaine, afin de donner l'indice que les investisseurs attendaient de glaçons que si l'information se maintenait, une réduction cet homme était envisagé. Je me suis entretenu avec Hafiz Noordin de Gestion de Placements TD selon qui la question n'est pas de savoir si nous aurons des réductions, mais plutôt combien.
- On ne s'attendait pas à ce qu'il y ait des changements au taux directeur hier, un changement de discours.
Dans la déclaration de politique monétaire la coupure de presse. Une réduction de taux en septembre était prévue à 100 % par les marchés. L'affaire n'avait pas grand-chose à faire.
Mais la Fed n'a pas contredit les pronostics du marché. Lorsque cela se produit, il s'agit effectivement d'un feu vert aux marchés qui sont invités à considérer que le mois de septembre a du bon sens. On ne pouvait pas le dire tout haut, mais l'évolution du langage relatif à la déclaration de politique monétaire de ce point de vue, il y a eu un équilibre beaucoup, bien meilleure entre les risques pour l'emploi et les risques pour l'inflation. Pour les risques pour l'emploi qu'elle a fait disposer à reconnaître, dans le discours a changé, il y a les chefs de l'assurance-chômage, les indices de la confiance du secteur manufacturier qui ont paru aujourd'hui.
Ce n'est pas positif et les marchés ne prennent pas positivement.
- Oui. Il s'agit d'une réduction de la tolérance au risque. Les rendements obligataires ont diminué pour refléter le fait que le nombre d'inscriptions à l'assurance-chômage plus élevée que prévu.
Mais c'est un chiffre important.
Hebdomadaires à haute fréquence. On n'est pas obligé de surveiller les chiffres de l'emploi non agricole mensuel qui paresse demain, il y a eu plusieurs indicateurs sur le marché du travail qui indique un fléchissement. Même des enquêtes. Le taux de démission est inférieur à ce qu'il était avant la pandémie. Il n'y a pas beaucoup de perspectives pour les gens qui envisagent de quitter leur emploi.
Cela signifie globalement que les mauvaises nouvelles vont peut-être redevenir de mauvaises nouvelles pour les marchés boursiers, c'est le cas aujourd'hui.
Pour en revenir à la Fed, je pense qu'elle a vu venir le coup.
Il faudrait vraiment une évolution spectaculaire des données.
Un retournement de la tendance qui est actuellement à l'affaiblissement de l'inflation et le marché du travail pour qu'il y ait une décision différent de ce que les marchés attendent. Une fois que cette semaine sera passée, certains considèrent que le mois d'août est un mois qui était plutôt somnolent, quelles sont les possibilités que d'ici à ce que le mot étend arrive il y a eu un fléchissement plus important que la Fed ne l'avait prévu?
- Pourrait se produire. On considère les pronostics du marché pour le mois de septembre, 25 points de base réduction était à 100 % prévus par les marchés. S'il y a des données plus faible comme aujourd'hui, il se pourrait qu'il faille envisager la probabilité d'une réduction de 50 points de base. On a posé la question à Jérôme Powell hier parce qu'il y avait cinq à 10 % de probabilité.
Aujourd'hui c'est encore 10 % qu'il y ait une réduction de taux de 50 points de base. On lui a posé la question il a répliqué en disant: non nous n'y avons pas pensé. Les marchés vont prévoir ce qui leur paraît avoir du bon sens 20. Si les données sur l'emploi sont très faibles demain, beaucoup d'investisseurs pourraient penser qu'il aurait dû avoir une coupure cette semaine.
La Fed ne dit toujours qu'elle dépend des données. Nous avons été si cela se déroulait.
D'ici le mois d'août, il y aura des réunions de Jackson Hole qui constitueront une possibilité pour Jérôme Powell de donner des informations plus affinées.
- Les marchés prévoient une réduction d'un corps: ou autre en septembre. Ce sera le début du chiffre de réduction de taux.
Comment se présente à la suite?
- Compte tenu de l'évolution des données depuis deux semaines, les mois de novembre et décembre, les deux autres réunions de cette année de la Fed, les marchés prévoient des réductions de taux à chaque réunion. Trois réductions de taux au total.
Et enfin, en 2025 et 2026, encore cinq coupures de taux sont prévues. Au total, on prévoit huit réductions de taux d'ici deux ans, ce qui fait pourrait passer le taux directeur de cinq et demi environ trois et demi.
On passe donc d'un niveau restrictif à un niveau dans le marché estime à l'heure actuelle qu'il s'agit du ton neutre pour l'avenir.
Des réductions considérables sont prévues pour les marchés. Ce qui pourrait changer cela, ce serait si nous sommes dans un régime d'atterrissage en douceur aussi cela pourrait empirer par rapport à ce que nous attendons. Ce sera la discussion dans l'avenir.
- Voilà pour les États-Unis et la réserve fédérale. La banque centrale la plus influente de la planète. Mais il y a d'autres banques centrales.
Y compris la banque d'Angleterre.
- La banque d'Angleterre a également réduit les taux.
Ce qui était intéressant, ce n'était pas seulement les taux d'intérêt, mais ce qu'il s'agissait d'une répartition de quatre à cinq pour le vote.
C'était intéressant ce sens que les données sur l'inflation sont plus persistantes aux États-Unis que dans d'autres économies avancées.
On (---) mais pour l'avenir, je crois que c'est toujours la même grande tendance.
Mollissement du marché du travail, l'Europe, des États-Unis, nous évoluons tous dans la même direction mais avec des différences au niveau du calendrier.
Cela est confirmé par ce que nous disait banque centrale.
- Qu'est-ce que cela signifie pour le marché des titres à revenu fixe pour le marché obligataire?
- Les investisseurs attendent depuis quelques temps sur les marchés obligataires de voir ce que nous voyons aujourd'hui.
- Oui.
Il avait faire preuve de patience sur le marché obligataire.
Que d'attendre le recul des rendements obligataires. Seul ce produit et les données le préfiguraient déjà. Il y a eu des rendements plus élevés à l'extrémité à court terme, à deux ans que sur 10 ans il y a une inversion de la courbe de rendement.
La courbe de rendement a tendance à ce stade à déterminer quand on pourra déterminer avec confiance quand les banques centrales pourront commencer réduire les taux. Il y a une exception pour les banques centrales c'est le Japon.
Cette semaine, le Japon a relevé son taux directeur pour la deuxième fois de ce cycle. Revenez au mois de mars: la banque du Japon venait de mettre fin à sa politique de taux d'intérêt négatif.
Cette manie a une deuxième augmentation de taux. Sur certains marchés spécifiques les rendements pourraient encore augmenter, en revanche cela ne va pas faire dérailler.
Il n'y a pas de contagion des rendements obligataires plus élevés au Canada et aux États-Unis. Nous pouvons continuer à nous attendre à ce que les données économiques inférieurs priveront et les obligations contribuent beaucoup à diversifier un portefeuille de ce point de vue.
- Vous venez de rendre Hafiz Noordin de Gestion de Placements TD. Hafiz et moi-même nous somme entretenu hier. Si vous assistiez à l'émission. Depuis lors, les données sur l'emploi ont paru.
Elles étaient bien entendues décevantes et le marché réagit exactement comme à fils nous le prédisait.
- Un coup d'œil sur les marchés à présent les ordres conditionnels sont une stratégie que vous pouvez envisager d'utiliser. Jason Natyk est formateur principal à Placements directs TD. Jason, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
- Bonjour, Greg. Les ordres conditionnels sont extrêmement utiles. Il s'agit d'un outil important dans la boîte à outils de tout investisseur.
Ils ont deux sujets âges particulièrement important pour moi. D'abord ça vous permet d'automatiser le processus. Vous n'êtes pas obligés de vous retrouver devant votre ordinateur.
Vous pouvez automatiser certaines réactions si le marché évolue de telle ou telle façon. Cela peut également évacuer l'émotion des négociations.
Ça nous permet de suivre une approche basée sur les règles en capturant les gains, en limitant les pertes.
Entrons sur la plate-forme. On peut y envisager les taux conditionnels. Comme vous le voyez l'existe quatre taux conditionnels que l'on peut utiliser. Nous allons nous consacrer sur l'ordre l'un annule l'autre. Il s'appelle également l'ordre au OCO. La petite photo et la description énonce vraiment la nature de cet ordre. Qui a de nombreux usages. C'est un ordre dans lequel on passe deux ordres distincts. Lorsque le premier est exécuté, le deuxième est annulé.
C'est aussi simple que cela.
Alors, je vais illustrer mon propos en utilisant le graphique que voici.
Il s'agit d'un graphique du fonds négocié en bourse FPY. Alors donc, nous sommes déjà acheteurs. Voilà où l'ordre l'un annule l'autre entre en jeu. Nous avons deux ordres, nous pouvons passer un pour capturer les bénéfices que nous prévoyons.
Si la valeur augmente comme nous le prévoyons. Deuxièmement nous pouvons placer un ordre stop en dessous du cours marché afin de limiter les pertes.
Je vais le démontrer en traçant une ou deux lignes sur notre graphique.
Donc la position? De 5,40.
Nous voudrions réaliser 10 $ de gains.
Peut-on tirer une deuxième ligne.
C'est l'ordre limite.
Donc, si le prix le moins important auquel vous êtes disposés à vendre si la production monde. Ensuite il y aura la portion intermittente: si l'action baisse, nous pouvons limiter nos pertes, alors nous n'allons pas détenir. Nous voulons maintenir nos gains ou limiter nos pertes un certain pourcentage. Encore une fois en fonction de cette approche est axée sur les règles.
Donc, tout d'abord, il y a l'ordre limiter puis l'ordre stop. Voici l'ordre l'un annule l'autre. C'est facile à comprendre, facile à exécuter et pertinent pour tout le monde.
- Merci, Jason Natyk.
Vous allez nous montrer comment saisir l'ordre l'un annule l'autre. Merci pour cette explication.
- Je vous en prie, Greg.
- Jason Natyk est formateur principal à Placements directs TD. Je parie que si vous avez posé, tout ça ce serait bien passé. On ne sait on ne sait jamais avec les difficultés techniques. Pour trouver davantage de ressources éducatives, consultez le centre d'apprentissage CourtierWeb, ou balayer ce code QR pour aller sur la page YouTube de Placements directs TD. À présent, coup d'œil sur les marchés.
Voici la plateforme avancée conçue pour les négociateurs activés proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser l'évolution des marchés, ils évoluent aujourd'hui. Les 10 TSX 60, nous savons que l'indice TSX global recule très nettement de 2 1/3 %.
Le cours du brut de référence américain est en deçà de 74 $ le baril. Vous vous rappelez avec les tensions du Moyen-Orient début de semaine, il avait flambé.
Maintenant, c'est la redescende, ce qui plombe beaucoup de titres énergétiques qui avaient profité de l'augmentation des cours en début de semaine.
Suncor recule 5 %, Cenovus de 5 % également.
Il n'y a pas que le pétrole et le gaz.
Cameco le producteur d'uranium a vécu deux journées difficiles, recul de six et demis pour cent aujourd'hui. En revanche certains titres sensibles au taux d'intérêt sont en modeste hausse. Il y a une lettre que les rendements obligataires aujourd'hui ce qui peut être favorable pour les titres sensibles au taux d'intérêt, comme (...) ou Telus qui progresse très modestement.
Ou (---) à Hydro One, de sociétés de services publics qui sont en hausse de de plus de 1 %. Aux États-Unis, il y a une légère remontée appelée crue toucher en matinée. Les données économiques parues aujourd'hui, y compris l'assurance-chômage et les données économiques, aggravés aujourd'hui par rapport décevante sur l'emploi.
Intel c'est un cas particulier, avec des résultats trimestriels décevants, l'action dévisse de 27 %.
On peut en revanche est en hausse de près de 3 %. AMD de 1/2 %. Et Nvidia de plus de 2 %.
L'élection présidentielle aura lieu dans moins de 100 jours et les semaines et mois à venir sont déterminés pour les campagnes de Kamala Harris les de Trump. Chris Kruger du groupe TD Cowen Washington au sujet de l'élan soudain de la campagne de Madame Harris et de la possibilité qu'il perdure jusqu'en novembre.
- C'est pratiquement sans précédent, le discours qui prévalait il y a 10 jours, c'était l'écart d'enthousiasme massif entre les deux campagnes. La campagne de Trump, la campagne de Biden.
Surtout après avoir la tentative d'assassinat de l'ancien président Trump.
À présent, avec Harris la candidate pressentie, ce gouffre d'enthousiasme a été éliminé. Pour la première fois, les électeurs démocrates de base sont enthousiasmés à l'idée de voter.
Il y a eu des levées de fonds record, il y a des appels au record, il y a de la participation qui augmente, il y a des bénévoles qui s'inscrivent. Beaucoup d'états américains, dans les semaines après le débat historique du mois de juin, des états dans lesquels les démocrates paniquaient, dans des états comme le Maine, le Nouveau-Mexique, il semble compétitif.
Les candidats à la chambre des représentants et au Sénat s'inquiétait beaucoup. À présent, pour la première fois pendant ce cycle, il pourrait y avoir davantage d'enthousiasme au niveau démocrate au niveau républicain, au moins à l'approche de la convention démocrate.
Il y a cette lune de miel avec Harris.
Qui même une montée des sondages. Nous verrons combien de temps cela durera mais la course a été transformée.
- j'ai vu dans votre note cet élément vous avait dit 25 % des électeurs ont une opinion défavorable de tromper de Biden vous acquiesça un concours d'impopularité.
Est-ce que la toute nouvelle popularité dont vous parlez, est-ce que cela oriente la course en faveur de Kamala Harris ou si c'est plus ou moins égal?
- 25 % des Américains d'un point de vue négatif de Biden et Trump.
C'est la proportion la plus élevée dans l'histoire américaine moderne.
La dernière fois, c'était en 2016, c'était Hillary Clinton contre Donald Trump. Il est très rare qu'il y a autant de lecteurs qui se détournent des deux candidats. Ce chiffre sans doute réduit à un chiffre, à moins de 10 %. C'est également avant la tentative d'assassinat. Mais jusqu'ici, beaucoup de démocrates tièdes ou même des lecteurs de (---) pendant la primaire républicaine votaient pour Biden parce qu'il n'était pas Donald Trump.
On votait essentiellement par ce que l'on appréciait pas l'autre candidat.
Ou qu'on l'appréciait encore moins. Alors actuel, il s'agit davantage de vote positif pour Harris. Encore une fois, nous verrons s'il s'agit d'une course de vitesse ou d'une course de fond. Nous verrons si cet enthousiasme peut être entretenu.
Mais tout semble venir à croire que cela continuera. À la veille de la convention démocrate d'ici deux semaines.
- Le cycle d'information est extrêmement rapide.
La rapidité avec lesquels les choses se propagent. Qu'est-ce que vous surveillez d'ici quelques semaines?
- Je suis sûr qu'il y aura beaucoup de surprises inattendues mais qu'est-ce que vous surveillez de plus près?
- Il y a une chose qu'on essaie de faire.
On essaie de déterminer quels sont les calendriers prévus au calendrier. Ce pass plusieurs choses qui ne sont pas prévues.
À notre avis, il y a au moins quatre grands catalyseurs d'ici sept à huit semaines.
Il y a le choix d'une piste présente une vice présidente Harris, ensuite la convention démocrate qui commence à Chicago le 19 août. À un moment donné, en septembre, sans doute la première moitié de septembre, il se pourrait qu'il y ait un débat présidentiel entre Harris et Trump.
Alors actuel, ce sera soit le 10 septembre, date fixée par ABC News, ou peut-être le 17 ou 18 septembre, date proposée par Fox News.
Depuis quelques jours plus tard, le 18 septembre, nous allons théoriquement assister à la détermination de la peine de Donald chrome dans une salle d'audience à New York sur ces 34 inculpations. Ce n'est pas absolument clair contenu de la décision de la cour suprême sur l'immunité. Cela été retardé.
Mais voilà les quatre grandes échéances prévues que nous surveillons.
Oui, l'élection n'a lieu que le 5 novembre, mais le vote par anticipation commence dans certains lieux à la mi-septembre. Jusqu'à 80 % des votes pourraient être exprimés avant le 5 novembre.
Quand vous songez aux surprises d'octobre, en réalité, il se pourrait que ce soit plutôt une surprise de septembre cette fois-ci. Parce qu'il y a tellement d'État qui vote par anticipation et par courrier.
Le président Biden voulait apporter des changements à la modification constitutionnelle quant à l'immunité propre présidentielle. Comment cela s'ajoute la cela? Est-ce qu'il s'agit d'un autre facteur à surveiller?
- Je pense que le message relié à la liberté véhiculée par la campagne Harris soulignait le droit à l'avortement, ainsi que la démocratie et ainsi de suite. Pour abréger, il est extrêmement difficile de modifier la constitution des États-Unis.
Il faut un vote des deux tiers de la chambre des représentants et du Sénat et des trois corps des législatures des états. La réponse courte est pratiquement impossible d'y parvenir.
- Je voulais changer un peu de direction.
Tandis qu'on songe aux conséquences à long terme de ce qui se produit quant à la constitution du congrès, et l'identité de la personne qui occupera la présidence.
Admettons que l'ex-président Trump remporte la présidentielle, pourriez-vous nous dire que nous devrions penser s'il y a un congrès républicain ou un congrès divisé?
- Je pense que c'est la meilleure façon de présenter la discussion. Il ne s'agit pas uniquement de l'identité de la personne qui remporte la Maison-Blanche, mais il y a la chambre et le Sénat.
Le Sénat est contrôlé à 51 49 par les démocrates. La chambre de 435 membres.
Selon la journée, une majorité de deux à 3 % deux à trois républicains. C'est extrêmement important l'an prochain parce qu'il y a le plafond de la dette revient l'été prochain. Et puis il y a une falaise fiscale et budgétaire de 4 000 000 000 000 1/2 avec l'expiration des coupures d'impôts individuels ainsi que les subventions de l'Obama Care.
À l'heure actuelle, le président Trump a dit qu'il voudrait prolonger toutes les réductions d'impôts, voire pratiquer des réductions encore plus poussées.
Tandis que la candidate préventive Kamala Harris va prolonger la promesse de campagne de Biden de prolonger les taux actuels pour ce qui dans moins de 500 000 $.
Avec un congrès divisé, Trump ne peut rien faire, ni Harris ne pourrait rien faire unilatéralement, en matière de politique fiscale.
Un congrès divisé, cela pourrait laisser envisager une année difficile en matière de politique fiscale et budgétaire, sans savoir ce qui se produira jusqu'à la fin décembre de l'an prochain.
- Parfois les stratèges des marchés nous disent qu'ils préfèrent les marchés. Il peut y avoir des fluctuations dans l'une ou l'autre direction.
Mais si je regarde votre note, vous avez parlé des réductions d'impôt de 2017. En ce qui concerne le droit de droit de l'immigration, les droits de douane de 10 % sur toutes les importations, tout à coup le Canada s'interroge.
Des droits de douane de 60 % sur la Chine.
Je crois qu'il est quelque chose intéressant que vous avez dit sans doute plus bas après la négociation, et l'exclusion de jusqu'à 7 millions d'immigrants sans-papiers.
Ce sont des changements très importants.
- Entretien avec votre équipe, comment calculez-vous la probabilité que tout cela se produise?
- Nous pensons tout particulièrement dans une situation de congrès divisé, dans un univers où Trump a gagné, nous prévoyons qu'il insisterait sans doute pour mettre en œuvre les politiques dans les domaines dans lesquels est joué d'un pouvoir quasi unilatéral à titre de président des États-Unis. Il y a deux domaines.
Contrairement à la politique fiscale, la politique d'immigration à la politique commerciale internationale répond à ces définitions. Le président des États-Unis jouit de pouvoir immense.
Trump a été très clair en ce qui concerne le commerce international sur deux poings.
D'abord, des droits de douane de 10 % sur tous les biens importés annoncés le premier jour. Il peut le faire sans l'aval du congrès.
Nous prévoyons que le Canada bénéficierait d'une exemption.
Surtout en raison de l'accord de libre-échange nord-américain. Une grande réalisation du premier mandat de Trump. Le processus de révision est en cours avec une date limite du 1er juillet 2026.
Mais il faut être clair qu'il n'y a aucune certitude que le Canada et le ministre Mexique bénéficierait d'exception sur les tarifs de 10 %.
Le deuxième point, au niveau des échanges commerciaux, c'est l'abrogation des relations commerciales privilégiées avec la Chine. Il faut avoir l'aval du congrès même si les votes sont sans doute présents. Pourraient également mettre en place des droits de douane unilatéralement.
Ce qui porterait le taux mix de droits de douane sur les importations chinoises d'environ 20 % à 60 %. Et puis il faut ajouter les 10 %. Il s'agit d'une augmentation de 20 % à 70 % des droits de douane.
- Je vais vous poser la question encore une fois. Excusez-moi la prochaine fois je vais vous inviter pendant une heure nous pourrons parler plus longtemps. Est-ce que l'on s'attendrait, avec une démocrate à la Maison-Blanche un congrès démocrate, je pense que ce n'est c'est peu probable, mais ce sont essentiellement les politiques actuelles. Il n'y aurait pas de changements à grande échelle dans les orientations politiques.
- Je crois que c'est exact.
En raison de la géographie et de l'arithmétique des courses au Sénat, il est peu probable que les démocrates pourraient conserver le Sénat. C'est possible mais ce sera une manche extrêmement faible. Il y aura sans doute une politique intermédiaire en matière d'impôt ce qui pourrait apaiser l'inflation, calmer les marchés financiers quelque peu. Et s'il y a un sénat républicain avec un président démocrate, le Sénat confirme les régulateurs et le cabinet. Il y a donc une certain un certain droit de regard niveau des politiques.
On est obligé de s'inquiéter des aspects inflationnistes des droits de douane. Mais certainement pas du potentiel et font inflationnistes d'un choc au niveau de l'offre de main-d'œuvre avec les efforts d'expulsion.
Sa Chine reste 45 secondes. Vous avez parlé de Canada. Ce qui concerne une exception que l'on dit dans mon esprit on on espère pas autre chose dont nous devrions penser au niveau du Canada?
- Le processus de révision de l'accord de libre-échange représentera un thème de taille quelque soit le résultat de l'élection, que ce soient Harris et que ce soit Trump.
L'important ici, ce n'est pas le Canada, et que le Mexique.
Dans le processus de révision de l'accord de libre-échange, c'est la perception que la Chine utilise le Mexique pour contourner certains des droits de douane.
En faisant transiter les marchandises par le Mexique. Toutes choses étant égales que le Canada devrait être bien placé, quoi qu'il arrive, mais il faudra rester à l'écoute. Sache vous venez d'entendre Chris Kruger du groupe TD Cowen Washington.
Nous vous laissons avec un dernier regard sur les marchés. La semaine a été fort intéressante, il y a seulement deux jours, la Fed a laissé entendre très clairement que si l'inflation se maintient, serait prête à Toledo en septembre le marché à remonter. Il y a eu des données économiques hier et aujourd'hui.
Hier, c'était l'activité manufacturière, et demanda sur le chômage, aujourd'hui c'était le rapport sur la main-d'œuvre aux États-Unis. Ce qui a engendré une nette baisse. Indice TSX composite recule 530 ; soit plus de 2 %. Le cours du brut recule à cause des préoccupations économiques après avoir beaucoup augmenté en début de semaine. Indice S&P 500 recule également au deuxième séance, recule 98. Soit 1,8 %.
Et l'indice Nasdaq qui a frisé la correction en début de séance, qui est juste au-dessus après un recule. 16 821.
Il s'agit tout de même de recul de plus de 2 %. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. nous faisons une pause estivale la semaine prochaine. Nous serons de recours lundi le 12 août avec Colin Lynch, responsable des placements alternative Gestion de Placements TD qui répond à vos questions sur l'immobilier mondial.
Vous pouvez nous les poser d'ores et déjà par courriel, moneytalklivetd.com.
Nous allons les regarder toute la semaine, simplement nous ne serons pas à l'écran.
Merci. Au nom de toute l'équipe de Parlons Argent en direct.
Nous vous souhaitons bonne chance et a dans 10 jours!
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, Damian Fernandez de Gestion de Placements TD nous donne son point de vue sur la dégringolade des marchés depuis deux jours. Anthony Okolie analyse le plus récent rapport sur l'emploi aux États-Unis et les conclusions à en tirer sur la santé de la plus grande économie du monde. Chris Kruger de TD Cowen évoque le scénario présidentiel potentiel qu'il observait et les conséquences pour les investisseurs.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Jason Natyk montre comment utiliser les ordres conditionnels.
Posez-nous vos questions par courriel, moneytalklivetd.com. Mais tout d'abord un coup d'œil sur les marchés.
C'est l'actualité du mois d'août, quel début de bois exceptionnel! Un recul de près de 600 points, soit plus de deux et demis pour cent de l'indice TSX composé. Le brut monte de trois et demis pour cent, après avoir beaucoup remonté en début de semaine. À présent, le cours redescend à cause d'inquiétude économique.
La baisse du secteur de la technologie sur la bourse de Toronto nous affecte aussi.
Shopify est en baisse, Cenovus sur le choix on aime n'importe quel titre de l'énergie à 24,87 $. Cette compagnie pétrolière et gazière se replie en raison de baisse de 4 %. Indice S&P 500 après le recul via est en baisse de presque 2 %, soit 104 points.
L'indice Nasdaq à forte composante technologique frise la correction, c'est-à-dire 10 % de baisse. Il y est parvenu en début de séance, mais il n'y est pas encore tout à fait.
Nous envisageons l'évolution de certains titres, y compris Nvidia.
Nvidia remonte après avoir touché un niveau très bas pendant la séance, l'action remonte quelque peu. Quelques acheteurs sont sans doute intervenus.
Amazone: les bénéfices ont déplu au milieu financier. L'action est en baisse à cette heure.
D'environ 9 %.
À 168,00 $ sept. Apple augmente légèrement. L'action se maintient en hausse de plus de 2 %.
Quelles sont les raisons des inquiétudes à l'égard de l'économie? Les statistiques sur l'emploi aux États-Unis sont au premier plan aujourd'hui. Anthony Okolie nous donne les détails.
- Ce rapport sur le marché du travail montre que les taux d'intérêt élevé ont refroidi l'économie plus qu'on ne le prévoyait.
114 000 emplois nets créés aux États-Unis en juillet, contre 175 qui étaient prévus selon le consensus des milieux financiers.
En outre, les chiffres de mai et de juin ont été révisés à la baisse. Réduisant le total de 29 000 emplois.
Le taux de chômage a légèrement augmenté, passant de 4,1 % à 4,3 %. Il s'agit du niveau le plus élevé depuis près de trois ans. Ceci montre qu'un plus grand nombre de gens cherchent un emploi par rapport au nombre de personnes qui perdent leur emploi puisqu'il y a une hausse du taux de participation.
Le taux de participation était à 60,7 %.
Le taux de chômage aurait été à 4,1 %. Il y a donc davantage de personnes qui recherchent des emplois et qui arrivent sur le marché du travail. Les gains d'emploi de 0,2 % seulement. Un peu en deçà des attentes quand on considère le taux annuel de gains de progression des salaires à 3,6 % sur 12 mois. Encore une fois, c'est inférieur aux attentes. Il s'agit du rythme de croissance le plus lent des salaires en trois ans, ce qui indique que les taux d'intérêt élevé pratiqué par la réserve fédérale ont effectivement pour conséquence d'atténuer la croissance des salaires.
Considérons l'emploi par secteur. La santé se classe en tête pour les gains, ainsi que le bâtiment, les loisirs et l'hospitalité et le gouvernement.
Quoique la construction est en baisse d'un mois sur l'autre.
Le secteur qui accuse la plus forte baisse est celui de la technologie de l'information 0,7 %, soit 20 000 emplois perdus. Les marchés n'étaient pas satisfaits de ce rapport sur l'emploi et on le voit sur les marchés.
- Vous venez d'entendre Anthony Okolie!
Bien sûr, comme nous l'avons constaté d'après les réactions sur le marché, ceci plombe la confiance des investisseurs. C'est le cas de l'état de l'économie aux États-Unis.
Pour nous expliquer ce que les investisseurs doivent garder en tête pendant cette période, Damian Fernandez de Gestion de Placements TD se joint à nous.
Damian, bienvenue. Deux jours de baisse du marché. Que concluez-vous?
- Merci, Greg, de m'accueillir. Lorsque nous sommes dans un marché haussier, invitez-moi aussi si vous voulez bien.
- Je crois que je vous invitais quand les choses allaient bien. Nous sommes dans un marché haussier. Un peu le contexte.
- Nous connaissons un recul très classique des marchés. En cumul annuel, compris aujourd'hui, l'indice CPT rose de 14 %. Le Nasdaq recule 3 % aujourd'hui, mais il est de retour au point où il était au mois de juin. Le 8 juin.
Il y a moins de 60 jours. Chaque année, le marché connaît des corrections de 10 % avec une certaine fréquence. Il y a un degré de confiance très élevée, les investisseurs s'emballent, et puis le mécanisme s'inverse. Il faut modérer les attentes, et cela coïncide avec comme Anthony Okolie l'a dit, de certains éléments de faiblesse au niveau du marché du travail. Mais si l'on considère la situation d'ensemble que nous sommes toujours en bonne voie. Les marchés sont toujours en hausse de plus de 10 %.
Le (...) de plus de 7008 % et donc la baisse aujourd'hui. Les facteurs de risque qui étaient présents en début d'année, je pourrais parler de marché du travail surchauffé, des gains salariaux, l'inflation, de la réserve fédérale et des autres banques centrales qui avaient toujours le pied sur la pédale de frein en matière de politique monétaire. Tous ces facteurs macro-économiques se sont inversés.
Tout devrait prévoir un atterrissage en douceur. La Banque du Canada réduit les taux il est prévu que la Fed réduira les taux de 50 points de base en septembre.
L'inflation recule, gains salariaux comme on le voit depuis sur le rapport aujourd'hui, les gains horaires moyens progressent en raison de 3 %. Alors que c'était plutôt de cinq et quelques pour cent en dernier. Il s'agit d'une correction très saine.
Je ne vais pas minimiser la situation. Ce que j'entends par une correction saine, c'est que quand on considère la situation dans son, si vous sont tous sous pondérer les actions il s'agit d'opportunités d'achat. Nous connaissons un recul classique, les titres à revenu fixe offrent un palace… la dernière 2022, les actions des titres à revenu fixe sont diminuées. Cette année, les titres à revenu fixe remplissent leur rôle, c'est-à-dire une police d'assurance en cas de correction. Je pense que nous vivons un recul très classique, exacerbée par le fait qu'il y ait peu de liquidités en cette période estivale.
- Je voudrais m'intéresser à un élément que vous avez évoqué parce que j'ai entendu des rumeurs l'autre jour. Vous avez dit que 50 points de base de réduction de taux de la Fed en septembre est-ce que les marchés commencent à penser que d'ici la réunion de septembre, la situation justifiera que Jérôme Powell réduire les taux non pas de 25 ou 50 points de base?
- Avant la baisse aujourd'hui, il y a une certaine probabilité de 50 points de base.
Alors actuel après la baisse aujourd'hui, on envisage 50 points de base. Les marchés mettent la pression sur la Fed.
Je voudrais parler des risques également, mais de quoi se préoccuper sur le marché aujourd'hui? Ce sont des risques non linéaires. Il y a un recul considérable des actifs financiers. Cela engendre une pause de l'activité au niveau des chefs de la direction, les grandes entreprises. Cela engendre un cercle vicieux.
La façon dont la Fed prend ses précautions contre cela, c'est en prenant des mesures d'assouplissement. L'assouplissement consiste à réduire le carton financier. À l'heure actuelle, les gains ont été attribuables à la confiance.
On ne veut pas une baisse attribuable à défiance. On est en pleine saison des annonces de bénéfices du deuxième trimestre. Il y a une évolution considérable du cours de certains titres, mais la croissance des bénéfices sur un an est positive. L'indice S&P hors les sept magnifiques, pour la première fois depuis 2022, affiche une croissance positive des bénéfices. Il y a beaucoup de choses qui se passent en dessous de la surface qui ne sont pas vraiment comprises. La réserve fédérale entreprit une trajectoire d'assouplissement, ces favorables actifs à risques et aux investisseurs.
- Situons cela dans le contexte les investisseurs en ce qui concerne la stratégie. Votre devis je ne sais pas si vous dîtes là tous les matins quand vous vous réveillez, mais votre devise, c'est: rester calme et compter sur l'intérêt composé.
- Voilà. Pour la volatilité au jour le jour, sur les marchés devrait être considéré par les médecins comme une opportunité. Qu'est-ce j'entends par là?
Bon. Je crois fermement que si nous sommes convaincus que nous allons abordons une récession et le faucon des mesures correctives. Nous n'y sommes pas encore.
La raison pour laquelle je préconise, lorsque le marché offre des possibilités intéressantes, recule 3 %, si vous avez fait vos recherches, si vous êtes satisfaits de la situation, de 600 entreprises, vous avez la possibilité de vous lancer sur le marché.
Et le cas échéant, à un niveau très favorable. Je crois que chacun devrait faire ses propres recherches fondamentales sur les titres individuels, mais nous essayons de ne pas paniquer. Les titres, peut-être justifie une évolution de notre thèse fondamentale. Ce que nous abordons de récession? Fondamentalement je ne le vois pas. Parlons-en. Atterrissage en douceur, c'est ce que les marchés présument. Nous allons pouvoir maîtriser les passions. Elle évolue dans la bonne direction. Les banques centrales pourront maîtriser l'inflation, réduire le taux, l'économie n'a pas subi de dégâts possibles atterrissage en douceur. Or aujourd'hui, les données sur l'emploi, hier les données sur le secteur manufacturier a maintenant les milieux financiers remettent en question l'atterrissage en douceur. Vous le prévoyez toujours?
- Le scénario de base, c'est un scénario d'atterrissage en douceur. Les marchés paniquent un peu, parce qu'il pense qu'elle atterrissage pourrait être un peu plus brutale mais ce n'est pas le scénario de base. Le fait que les marchés paniquent ou encouragent la Fed à se demander si elle doit réduire les taux plus rapidement. Plutôt. Ces éléments sont reliés, mais le scénario de base est un atterrissage en douceur. Anthony a très bien expliqué le contexte des chiffres sur l'emploi. On a créé 140 000 emplois!
Avant la pandémie, c'était un bon chiffre.
Les gains horaires augmentent de 3,7 % sur 12 mois. Ce n'est pas inflationniste.
Surtout que la productivité non agricole hier dans les statistiques ont paru hier été très favorable. De nombreux tableaux qui utilisera davantage collaboration.
Hier, l'indice du de la confiance du secteur manufacturier était plutôt faible.
Je ne sais pas ce quoi que ce soit échangé, parce que quand on compare les données sur l'emploi, les données sur l'emploi, ce sont des données objectives on peut compter le nombre de gens qui ont un emploi et qui sont en chômage. L'indice ISM et la confiance. On interroge les responsables des achats sur ce qu'ils pensent ou niveau de leur carnet de commande. Je ne sais pas comment expliquer cela, mais il y a depuis la pandémie une certaine défiance dans les données.
Qui n'est pas corroborée par les données objectives. Je vais voir s'il y a une remontée de l'indice ISM le mois prochain, mais nous vivons un recul très classique.
Au début de l'année, on voulait que la croissance de l'emploi ralentisse après avoir été très fort. Maintenant nous y sommes et nous paniquent ont. Nous croyons que nous allons dégringoler d'une falaise.
Ce n'est pas ainsi que fonctionne l'économie.
Nous sommes en pleine s'annonce de parution des bénéfices.
Et la seule ombre au tableau, c'est que les entreprises de consommation, surtout de plus bas de gamme vont devoir se remettre en question. Dans tous les secteurs, y compris la technologie, il y a eu des révisions à la hausse. Toutes les entreprises ont relevé leurs prévisions de bénéfices. Elle ne le ferait pas si elle prévoyait que l'économie se détériore en temps réel.
- Une ultime réflexion, Damian Fernandez.
Comme vous l'avez dit que le mois d'août est un mois ou la liquidité faible, il y a déjà eu pas mal de volatilité d'enthousiasme pour démarrer le mois. Que doit faire les investisseurs lorsqu'il prélève une profonde inspiration et envisage les semaines à venir avant que la saison de septembre sérieuse revienne?
- Entre vous et moi, nous sommes à Toronto, il fait beau, arrêtez de scruter l'écran, ouvrir un livre, écouter un balado. Le mois d'août est en particulier, le mois de septembre également historiquement sont des périodes caractérisées par une grande volatilité à cause de la faible liquidité estivale, et du fait que le risque lié aux événements est amplifié. C'est ce qui se produit ici.
Il y a des facteurs géopolitiques mais ceux-ci sont toujours présents. Ce qui se produit normalement, c'est que la saisonnalité s'améliore au fil de l'année.
En octobre, novembre et décembre, ce sont en général les mois qui sont très forts.
Donc il faut songer à la répartition et aux positionnements globaux. Je pense que si vous sous pondérer les actions de votre répartition globale, il s'agit comment le dire de rester calme et de compter sur la capitalisation. Vous avez la possibilité de vous lancer. Si vous supposeriez les titres à revenu fixe que vous sur pondérer les actions, vous voyez des éléments qui montrent que les titres à revenu fixe vous protège. Parfois, les motifs de panique sont très présents. On se dit aujourd'hui que nous sommes au bord de la récession, mais pour répéter: on a créé 140 000 emplois.
Pour le répéter, l'index de diffusion, c'est-à-dire le nombre d'industries qui embauchent, où l'emploi augmente, moins le nombre d'industries qui réduisent l'emploi, cet indice est à 53 %. Il y a davantage d'industries qui embauchent que des industries qui congédient.
Et qui licencie. Nous sommes dans une période où la liquidité est faible, pour des raisons saisonnières, il y a beaucoup d'absents. Il y a une forte remontée des marchés. Il est donc très normal qu'il y ait eu un recul. Celui-ci peut se chiffrer en raison de quelques pour cent, en raison de votre positionnement et si vous avez fait le travail voulu, vous trouverez des opportunités intéressants pour les entreprises augmenter leur flux de trésorerie c'est ce que nous recherchons.
- Damian Fernandez, merci pour ces aperçus surtout en cette journée comme celle-ci.
- Ça me fait plaisir.
- Damian Fernandez de Gestion de Placements TD.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les actions d'Amazon sont sous l'effet de la rampe le gérant du commerce électronique n'a pas répondu aux attentes en matière de vente pour le dernier trimestre les prévisions pour le trimestre en cours sont décevantes. Le commerce de détail Amazon est confronté à la concurrence entreprise comme Temu et Shein. L'activité le nuagique, c'est-à-dire Amazon Web services a dépassé les attentes. L'action recul de près de 9 %.
Les actions d'Intel sont sous forte pression. Le fabricant de semi-conducteurs annoncés les résultats nettement inférieurs aux prévisions et prévoit de licencier 15 % de son personnel dans le cadre d'un plan de réduction des coûts de 10 millions de dollars.
Intel annonce jamais sans que des verseraient pas de dividendes pour le quatrième trimestre de l'exercice. Cette nouvelle est mal accueillie dans les milieux financiers. L'action dévisse de 27 %. Selon un article j'ai vu, action d'une telle n'a pas baisé dans une telle mesure depuis le début des années 70.
Les bénéfices de Magna légèrement inférieur aux attentes pour le dernier trimestre le fabricant canadien des automobiles a revu ses prévisions à la baisse d'ici 2026. Les résultats sont légèrement négatifs mais l'amélioration des marges pour le second semestre. Ce qui donne aux investisseurs des raisons d'être optimiste malgré tout l'action recule de plus de 7 %.
Un coup d'œil sur les grands indices. Le TSX est composé recule nettement. Dans le cadre d'une baisse du cours du brut. 582 points de base, soit deux et demis pour cent.
Aux États-Unis, indice S&P 500, tandis que les investisseurs assimilent les informations économiques des deux derniers jours, il y a une certaine inquiétude ça recul de plus de 2 %. Le Nasdaq, 16 819.
Selon mon chiffre pour un grand recul de 10 %. C'est un peu en deçà.
Nous avons remonté par rapport aux crues en début de séance, le Nasdaq a frisé la correction un peu plus tôt ce matin. Mais il est toujours en baisse de plus de 2 %.
Si on remonte à mercredi il y a deux jours, rappelez-vous la Fed, c'était censé être la grande nouvelle de la semaine, afin de donner l'indice que les investisseurs attendaient de glaçons que si l'information se maintenait, une réduction cet homme était envisagé. Je me suis entretenu avec Hafiz Noordin de Gestion de Placements TD selon qui la question n'est pas de savoir si nous aurons des réductions, mais plutôt combien.
- On ne s'attendait pas à ce qu'il y ait des changements au taux directeur hier, un changement de discours.
Dans la déclaration de politique monétaire la coupure de presse. Une réduction de taux en septembre était prévue à 100 % par les marchés. L'affaire n'avait pas grand-chose à faire.
Mais la Fed n'a pas contredit les pronostics du marché. Lorsque cela se produit, il s'agit effectivement d'un feu vert aux marchés qui sont invités à considérer que le mois de septembre a du bon sens. On ne pouvait pas le dire tout haut, mais l'évolution du langage relatif à la déclaration de politique monétaire de ce point de vue, il y a eu un équilibre beaucoup, bien meilleure entre les risques pour l'emploi et les risques pour l'inflation. Pour les risques pour l'emploi qu'elle a fait disposer à reconnaître, dans le discours a changé, il y a les chefs de l'assurance-chômage, les indices de la confiance du secteur manufacturier qui ont paru aujourd'hui.
Ce n'est pas positif et les marchés ne prennent pas positivement.
- Oui. Il s'agit d'une réduction de la tolérance au risque. Les rendements obligataires ont diminué pour refléter le fait que le nombre d'inscriptions à l'assurance-chômage plus élevée que prévu.
Mais c'est un chiffre important.
Hebdomadaires à haute fréquence. On n'est pas obligé de surveiller les chiffres de l'emploi non agricole mensuel qui paresse demain, il y a eu plusieurs indicateurs sur le marché du travail qui indique un fléchissement. Même des enquêtes. Le taux de démission est inférieur à ce qu'il était avant la pandémie. Il n'y a pas beaucoup de perspectives pour les gens qui envisagent de quitter leur emploi.
Cela signifie globalement que les mauvaises nouvelles vont peut-être redevenir de mauvaises nouvelles pour les marchés boursiers, c'est le cas aujourd'hui.
Pour en revenir à la Fed, je pense qu'elle a vu venir le coup.
Il faudrait vraiment une évolution spectaculaire des données.
Un retournement de la tendance qui est actuellement à l'affaiblissement de l'inflation et le marché du travail pour qu'il y ait une décision différent de ce que les marchés attendent. Une fois que cette semaine sera passée, certains considèrent que le mois d'août est un mois qui était plutôt somnolent, quelles sont les possibilités que d'ici à ce que le mot étend arrive il y a eu un fléchissement plus important que la Fed ne l'avait prévu?
- Pourrait se produire. On considère les pronostics du marché pour le mois de septembre, 25 points de base réduction était à 100 % prévus par les marchés. S'il y a des données plus faible comme aujourd'hui, il se pourrait qu'il faille envisager la probabilité d'une réduction de 50 points de base. On a posé la question à Jérôme Powell hier parce qu'il y avait cinq à 10 % de probabilité.
Aujourd'hui c'est encore 10 % qu'il y ait une réduction de taux de 50 points de base. On lui a posé la question il a répliqué en disant: non nous n'y avons pas pensé. Les marchés vont prévoir ce qui leur paraît avoir du bon sens 20. Si les données sur l'emploi sont très faibles demain, beaucoup d'investisseurs pourraient penser qu'il aurait dû avoir une coupure cette semaine.
La Fed ne dit toujours qu'elle dépend des données. Nous avons été si cela se déroulait.
D'ici le mois d'août, il y aura des réunions de Jackson Hole qui constitueront une possibilité pour Jérôme Powell de donner des informations plus affinées.
- Les marchés prévoient une réduction d'un corps: ou autre en septembre. Ce sera le début du chiffre de réduction de taux.
Comment se présente à la suite?
- Compte tenu de l'évolution des données depuis deux semaines, les mois de novembre et décembre, les deux autres réunions de cette année de la Fed, les marchés prévoient des réductions de taux à chaque réunion. Trois réductions de taux au total.
Et enfin, en 2025 et 2026, encore cinq coupures de taux sont prévues. Au total, on prévoit huit réductions de taux d'ici deux ans, ce qui fait pourrait passer le taux directeur de cinq et demi environ trois et demi.
On passe donc d'un niveau restrictif à un niveau dans le marché estime à l'heure actuelle qu'il s'agit du ton neutre pour l'avenir.
Des réductions considérables sont prévues pour les marchés. Ce qui pourrait changer cela, ce serait si nous sommes dans un régime d'atterrissage en douceur aussi cela pourrait empirer par rapport à ce que nous attendons. Ce sera la discussion dans l'avenir.
- Voilà pour les États-Unis et la réserve fédérale. La banque centrale la plus influente de la planète. Mais il y a d'autres banques centrales.
Y compris la banque d'Angleterre.
- La banque d'Angleterre a également réduit les taux.
Ce qui était intéressant, ce n'était pas seulement les taux d'intérêt, mais ce qu'il s'agissait d'une répartition de quatre à cinq pour le vote.
C'était intéressant ce sens que les données sur l'inflation sont plus persistantes aux États-Unis que dans d'autres économies avancées.
On (---) mais pour l'avenir, je crois que c'est toujours la même grande tendance.
Mollissement du marché du travail, l'Europe, des États-Unis, nous évoluons tous dans la même direction mais avec des différences au niveau du calendrier.
Cela est confirmé par ce que nous disait banque centrale.
- Qu'est-ce que cela signifie pour le marché des titres à revenu fixe pour le marché obligataire?
- Les investisseurs attendent depuis quelques temps sur les marchés obligataires de voir ce que nous voyons aujourd'hui.
- Oui.
Il avait faire preuve de patience sur le marché obligataire.
Que d'attendre le recul des rendements obligataires. Seul ce produit et les données le préfiguraient déjà. Il y a eu des rendements plus élevés à l'extrémité à court terme, à deux ans que sur 10 ans il y a une inversion de la courbe de rendement.
La courbe de rendement a tendance à ce stade à déterminer quand on pourra déterminer avec confiance quand les banques centrales pourront commencer réduire les taux. Il y a une exception pour les banques centrales c'est le Japon.
Cette semaine, le Japon a relevé son taux directeur pour la deuxième fois de ce cycle. Revenez au mois de mars: la banque du Japon venait de mettre fin à sa politique de taux d'intérêt négatif.
Cette manie a une deuxième augmentation de taux. Sur certains marchés spécifiques les rendements pourraient encore augmenter, en revanche cela ne va pas faire dérailler.
Il n'y a pas de contagion des rendements obligataires plus élevés au Canada et aux États-Unis. Nous pouvons continuer à nous attendre à ce que les données économiques inférieurs priveront et les obligations contribuent beaucoup à diversifier un portefeuille de ce point de vue.
- Vous venez de rendre Hafiz Noordin de Gestion de Placements TD. Hafiz et moi-même nous somme entretenu hier. Si vous assistiez à l'émission. Depuis lors, les données sur l'emploi ont paru.
Elles étaient bien entendues décevantes et le marché réagit exactement comme à fils nous le prédisait.
- Un coup d'œil sur les marchés à présent les ordres conditionnels sont une stratégie que vous pouvez envisager d'utiliser. Jason Natyk est formateur principal à Placements directs TD. Jason, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
- Bonjour, Greg. Les ordres conditionnels sont extrêmement utiles. Il s'agit d'un outil important dans la boîte à outils de tout investisseur.
Ils ont deux sujets âges particulièrement important pour moi. D'abord ça vous permet d'automatiser le processus. Vous n'êtes pas obligés de vous retrouver devant votre ordinateur.
Vous pouvez automatiser certaines réactions si le marché évolue de telle ou telle façon. Cela peut également évacuer l'émotion des négociations.
Ça nous permet de suivre une approche basée sur les règles en capturant les gains, en limitant les pertes.
Entrons sur la plate-forme. On peut y envisager les taux conditionnels. Comme vous le voyez l'existe quatre taux conditionnels que l'on peut utiliser. Nous allons nous consacrer sur l'ordre l'un annule l'autre. Il s'appelle également l'ordre au OCO. La petite photo et la description énonce vraiment la nature de cet ordre. Qui a de nombreux usages. C'est un ordre dans lequel on passe deux ordres distincts. Lorsque le premier est exécuté, le deuxième est annulé.
C'est aussi simple que cela.
Alors, je vais illustrer mon propos en utilisant le graphique que voici.
Il s'agit d'un graphique du fonds négocié en bourse FPY. Alors donc, nous sommes déjà acheteurs. Voilà où l'ordre l'un annule l'autre entre en jeu. Nous avons deux ordres, nous pouvons passer un pour capturer les bénéfices que nous prévoyons.
Si la valeur augmente comme nous le prévoyons. Deuxièmement nous pouvons placer un ordre stop en dessous du cours marché afin de limiter les pertes.
Je vais le démontrer en traçant une ou deux lignes sur notre graphique.
Donc la position? De 5,40.
Nous voudrions réaliser 10 $ de gains.
Peut-on tirer une deuxième ligne.
C'est l'ordre limite.
Donc, si le prix le moins important auquel vous êtes disposés à vendre si la production monde. Ensuite il y aura la portion intermittente: si l'action baisse, nous pouvons limiter nos pertes, alors nous n'allons pas détenir. Nous voulons maintenir nos gains ou limiter nos pertes un certain pourcentage. Encore une fois en fonction de cette approche est axée sur les règles.
Donc, tout d'abord, il y a l'ordre limiter puis l'ordre stop. Voici l'ordre l'un annule l'autre. C'est facile à comprendre, facile à exécuter et pertinent pour tout le monde.
- Merci, Jason Natyk.
Vous allez nous montrer comment saisir l'ordre l'un annule l'autre. Merci pour cette explication.
- Je vous en prie, Greg.
- Jason Natyk est formateur principal à Placements directs TD. Je parie que si vous avez posé, tout ça ce serait bien passé. On ne sait on ne sait jamais avec les difficultés techniques. Pour trouver davantage de ressources éducatives, consultez le centre d'apprentissage CourtierWeb, ou balayer ce code QR pour aller sur la page YouTube de Placements directs TD. À présent, coup d'œil sur les marchés.
Voici la plateforme avancée conçue pour les négociateurs activés proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser l'évolution des marchés, ils évoluent aujourd'hui. Les 10 TSX 60, nous savons que l'indice TSX global recule très nettement de 2 1/3 %.
Le cours du brut de référence américain est en deçà de 74 $ le baril. Vous vous rappelez avec les tensions du Moyen-Orient début de semaine, il avait flambé.
Maintenant, c'est la redescende, ce qui plombe beaucoup de titres énergétiques qui avaient profité de l'augmentation des cours en début de semaine.
Suncor recule 5 %, Cenovus de 5 % également.
Il n'y a pas que le pétrole et le gaz.
Cameco le producteur d'uranium a vécu deux journées difficiles, recul de six et demis pour cent aujourd'hui. En revanche certains titres sensibles au taux d'intérêt sont en modeste hausse. Il y a une lettre que les rendements obligataires aujourd'hui ce qui peut être favorable pour les titres sensibles au taux d'intérêt, comme (...) ou Telus qui progresse très modestement.
Ou (---) à Hydro One, de sociétés de services publics qui sont en hausse de de plus de 1 %. Aux États-Unis, il y a une légère remontée appelée crue toucher en matinée. Les données économiques parues aujourd'hui, y compris l'assurance-chômage et les données économiques, aggravés aujourd'hui par rapport décevante sur l'emploi.
Intel c'est un cas particulier, avec des résultats trimestriels décevants, l'action dévisse de 27 %.
On peut en revanche est en hausse de près de 3 %. AMD de 1/2 %. Et Nvidia de plus de 2 %.
L'élection présidentielle aura lieu dans moins de 100 jours et les semaines et mois à venir sont déterminés pour les campagnes de Kamala Harris les de Trump. Chris Kruger du groupe TD Cowen Washington au sujet de l'élan soudain de la campagne de Madame Harris et de la possibilité qu'il perdure jusqu'en novembre.
- C'est pratiquement sans précédent, le discours qui prévalait il y a 10 jours, c'était l'écart d'enthousiasme massif entre les deux campagnes. La campagne de Trump, la campagne de Biden.
Surtout après avoir la tentative d'assassinat de l'ancien président Trump.
À présent, avec Harris la candidate pressentie, ce gouffre d'enthousiasme a été éliminé. Pour la première fois, les électeurs démocrates de base sont enthousiasmés à l'idée de voter.
Il y a eu des levées de fonds record, il y a des appels au record, il y a de la participation qui augmente, il y a des bénévoles qui s'inscrivent. Beaucoup d'états américains, dans les semaines après le débat historique du mois de juin, des états dans lesquels les démocrates paniquaient, dans des états comme le Maine, le Nouveau-Mexique, il semble compétitif.
Les candidats à la chambre des représentants et au Sénat s'inquiétait beaucoup. À présent, pour la première fois pendant ce cycle, il pourrait y avoir davantage d'enthousiasme au niveau démocrate au niveau républicain, au moins à l'approche de la convention démocrate.
Il y a cette lune de miel avec Harris.
Qui même une montée des sondages. Nous verrons combien de temps cela durera mais la course a été transformée.
- j'ai vu dans votre note cet élément vous avait dit 25 % des électeurs ont une opinion défavorable de tromper de Biden vous acquiesça un concours d'impopularité.
Est-ce que la toute nouvelle popularité dont vous parlez, est-ce que cela oriente la course en faveur de Kamala Harris ou si c'est plus ou moins égal?
- 25 % des Américains d'un point de vue négatif de Biden et Trump.
C'est la proportion la plus élevée dans l'histoire américaine moderne.
La dernière fois, c'était en 2016, c'était Hillary Clinton contre Donald Trump. Il est très rare qu'il y a autant de lecteurs qui se détournent des deux candidats. Ce chiffre sans doute réduit à un chiffre, à moins de 10 %. C'est également avant la tentative d'assassinat. Mais jusqu'ici, beaucoup de démocrates tièdes ou même des lecteurs de (---) pendant la primaire républicaine votaient pour Biden parce qu'il n'était pas Donald Trump.
On votait essentiellement par ce que l'on appréciait pas l'autre candidat.
Ou qu'on l'appréciait encore moins. Alors actuel, il s'agit davantage de vote positif pour Harris. Encore une fois, nous verrons s'il s'agit d'une course de vitesse ou d'une course de fond. Nous verrons si cet enthousiasme peut être entretenu.
Mais tout semble venir à croire que cela continuera. À la veille de la convention démocrate d'ici deux semaines.
- Le cycle d'information est extrêmement rapide.
La rapidité avec lesquels les choses se propagent. Qu'est-ce que vous surveillez d'ici quelques semaines?
- Je suis sûr qu'il y aura beaucoup de surprises inattendues mais qu'est-ce que vous surveillez de plus près?
- Il y a une chose qu'on essaie de faire.
On essaie de déterminer quels sont les calendriers prévus au calendrier. Ce pass plusieurs choses qui ne sont pas prévues.
À notre avis, il y a au moins quatre grands catalyseurs d'ici sept à huit semaines.
Il y a le choix d'une piste présente une vice présidente Harris, ensuite la convention démocrate qui commence à Chicago le 19 août. À un moment donné, en septembre, sans doute la première moitié de septembre, il se pourrait qu'il y ait un débat présidentiel entre Harris et Trump.
Alors actuel, ce sera soit le 10 septembre, date fixée par ABC News, ou peut-être le 17 ou 18 septembre, date proposée par Fox News.
Depuis quelques jours plus tard, le 18 septembre, nous allons théoriquement assister à la détermination de la peine de Donald chrome dans une salle d'audience à New York sur ces 34 inculpations. Ce n'est pas absolument clair contenu de la décision de la cour suprême sur l'immunité. Cela été retardé.
Mais voilà les quatre grandes échéances prévues que nous surveillons.
Oui, l'élection n'a lieu que le 5 novembre, mais le vote par anticipation commence dans certains lieux à la mi-septembre. Jusqu'à 80 % des votes pourraient être exprimés avant le 5 novembre.
Quand vous songez aux surprises d'octobre, en réalité, il se pourrait que ce soit plutôt une surprise de septembre cette fois-ci. Parce qu'il y a tellement d'État qui vote par anticipation et par courrier.
Le président Biden voulait apporter des changements à la modification constitutionnelle quant à l'immunité propre présidentielle. Comment cela s'ajoute la cela? Est-ce qu'il s'agit d'un autre facteur à surveiller?
- Je pense que le message relié à la liberté véhiculée par la campagne Harris soulignait le droit à l'avortement, ainsi que la démocratie et ainsi de suite. Pour abréger, il est extrêmement difficile de modifier la constitution des États-Unis.
Il faut un vote des deux tiers de la chambre des représentants et du Sénat et des trois corps des législatures des états. La réponse courte est pratiquement impossible d'y parvenir.
- Je voulais changer un peu de direction.
Tandis qu'on songe aux conséquences à long terme de ce qui se produit quant à la constitution du congrès, et l'identité de la personne qui occupera la présidence.
Admettons que l'ex-président Trump remporte la présidentielle, pourriez-vous nous dire que nous devrions penser s'il y a un congrès républicain ou un congrès divisé?
- Je pense que c'est la meilleure façon de présenter la discussion. Il ne s'agit pas uniquement de l'identité de la personne qui remporte la Maison-Blanche, mais il y a la chambre et le Sénat.
Le Sénat est contrôlé à 51 49 par les démocrates. La chambre de 435 membres.
Selon la journée, une majorité de deux à 3 % deux à trois républicains. C'est extrêmement important l'an prochain parce qu'il y a le plafond de la dette revient l'été prochain. Et puis il y a une falaise fiscale et budgétaire de 4 000 000 000 000 1/2 avec l'expiration des coupures d'impôts individuels ainsi que les subventions de l'Obama Care.
À l'heure actuelle, le président Trump a dit qu'il voudrait prolonger toutes les réductions d'impôts, voire pratiquer des réductions encore plus poussées.
Tandis que la candidate préventive Kamala Harris va prolonger la promesse de campagne de Biden de prolonger les taux actuels pour ce qui dans moins de 500 000 $.
Avec un congrès divisé, Trump ne peut rien faire, ni Harris ne pourrait rien faire unilatéralement, en matière de politique fiscale.
Un congrès divisé, cela pourrait laisser envisager une année difficile en matière de politique fiscale et budgétaire, sans savoir ce qui se produira jusqu'à la fin décembre de l'an prochain.
- Parfois les stratèges des marchés nous disent qu'ils préfèrent les marchés. Il peut y avoir des fluctuations dans l'une ou l'autre direction.
Mais si je regarde votre note, vous avez parlé des réductions d'impôt de 2017. En ce qui concerne le droit de droit de l'immigration, les droits de douane de 10 % sur toutes les importations, tout à coup le Canada s'interroge.
Des droits de douane de 60 % sur la Chine.
Je crois qu'il est quelque chose intéressant que vous avez dit sans doute plus bas après la négociation, et l'exclusion de jusqu'à 7 millions d'immigrants sans-papiers.
Ce sont des changements très importants.
- Entretien avec votre équipe, comment calculez-vous la probabilité que tout cela se produise?
- Nous pensons tout particulièrement dans une situation de congrès divisé, dans un univers où Trump a gagné, nous prévoyons qu'il insisterait sans doute pour mettre en œuvre les politiques dans les domaines dans lesquels est joué d'un pouvoir quasi unilatéral à titre de président des États-Unis. Il y a deux domaines.
Contrairement à la politique fiscale, la politique d'immigration à la politique commerciale internationale répond à ces définitions. Le président des États-Unis jouit de pouvoir immense.
Trump a été très clair en ce qui concerne le commerce international sur deux poings.
D'abord, des droits de douane de 10 % sur tous les biens importés annoncés le premier jour. Il peut le faire sans l'aval du congrès.
Nous prévoyons que le Canada bénéficierait d'une exemption.
Surtout en raison de l'accord de libre-échange nord-américain. Une grande réalisation du premier mandat de Trump. Le processus de révision est en cours avec une date limite du 1er juillet 2026.
Mais il faut être clair qu'il n'y a aucune certitude que le Canada et le ministre Mexique bénéficierait d'exception sur les tarifs de 10 %.
Le deuxième point, au niveau des échanges commerciaux, c'est l'abrogation des relations commerciales privilégiées avec la Chine. Il faut avoir l'aval du congrès même si les votes sont sans doute présents. Pourraient également mettre en place des droits de douane unilatéralement.
Ce qui porterait le taux mix de droits de douane sur les importations chinoises d'environ 20 % à 60 %. Et puis il faut ajouter les 10 %. Il s'agit d'une augmentation de 20 % à 70 % des droits de douane.
- Je vais vous poser la question encore une fois. Excusez-moi la prochaine fois je vais vous inviter pendant une heure nous pourrons parler plus longtemps. Est-ce que l'on s'attendrait, avec une démocrate à la Maison-Blanche un congrès démocrate, je pense que ce n'est c'est peu probable, mais ce sont essentiellement les politiques actuelles. Il n'y aurait pas de changements à grande échelle dans les orientations politiques.
- Je crois que c'est exact.
En raison de la géographie et de l'arithmétique des courses au Sénat, il est peu probable que les démocrates pourraient conserver le Sénat. C'est possible mais ce sera une manche extrêmement faible. Il y aura sans doute une politique intermédiaire en matière d'impôt ce qui pourrait apaiser l'inflation, calmer les marchés financiers quelque peu. Et s'il y a un sénat républicain avec un président démocrate, le Sénat confirme les régulateurs et le cabinet. Il y a donc une certain un certain droit de regard niveau des politiques.
On est obligé de s'inquiéter des aspects inflationnistes des droits de douane. Mais certainement pas du potentiel et font inflationnistes d'un choc au niveau de l'offre de main-d'œuvre avec les efforts d'expulsion.
Sa Chine reste 45 secondes. Vous avez parlé de Canada. Ce qui concerne une exception que l'on dit dans mon esprit on on espère pas autre chose dont nous devrions penser au niveau du Canada?
- Le processus de révision de l'accord de libre-échange représentera un thème de taille quelque soit le résultat de l'élection, que ce soient Harris et que ce soit Trump.
L'important ici, ce n'est pas le Canada, et que le Mexique.
Dans le processus de révision de l'accord de libre-échange, c'est la perception que la Chine utilise le Mexique pour contourner certains des droits de douane.
En faisant transiter les marchandises par le Mexique. Toutes choses étant égales que le Canada devrait être bien placé, quoi qu'il arrive, mais il faudra rester à l'écoute. Sache vous venez d'entendre Chris Kruger du groupe TD Cowen Washington.
Nous vous laissons avec un dernier regard sur les marchés. La semaine a été fort intéressante, il y a seulement deux jours, la Fed a laissé entendre très clairement que si l'inflation se maintient, serait prête à Toledo en septembre le marché à remonter. Il y a eu des données économiques hier et aujourd'hui.
Hier, c'était l'activité manufacturière, et demanda sur le chômage, aujourd'hui c'était le rapport sur la main-d'œuvre aux États-Unis. Ce qui a engendré une nette baisse. Indice TSX composite recule 530 ; soit plus de 2 %. Le cours du brut recule à cause des préoccupations économiques après avoir beaucoup augmenté en début de semaine. Indice S&P 500 recule également au deuxième séance, recule 98. Soit 1,8 %.
Et l'indice Nasdaq qui a frisé la correction en début de séance, qui est juste au-dessus après un recule. 16 821.
Il s'agit tout de même de recul de plus de 2 %. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. nous faisons une pause estivale la semaine prochaine. Nous serons de recours lundi le 12 août avec Colin Lynch, responsable des placements alternative Gestion de Placements TD qui répond à vos questions sur l'immobilier mondial.
Vous pouvez nous les poser d'ores et déjà par courriel, moneytalklivetd.com.
Nous allons les regarder toute la semaine, simplement nous ne serons pas à l'écran.
Merci. Au nom de toute l'équipe de Parlons Argent en direct.
Nous vous souhaitons bonne chance et a dans 10 jours!