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Bonjour. Je suis Greg Bonnell et bienvenue à Talence en direct. Présenté par placement direct aidait. Il s'agit d'une émission diffusée quotidiennement. Nous vous ferons découvrir ce qui fait bouger les marchés et répondront à vos questions sur les placements. Excusez-nous du retard. Des problèmes techniques. Aujourd'hui, Damian Fernandez est notre invité. Il expliquera pourquoi de nombreux investisseurs posent la mauvaise question dans l'environnement actuel et dans le segment éducatif, nous avons (...) avec nous quoi a Una. Voici comment nous contacter. envoyer un courriel ou vous pouvez poser une question dans la boîte sous le lecteur vidéo voici les résultats du marché pour le moment. La baisse du pétrole montre le résultat sur le TSX avec une page de 249. . Regardons différents types. On voit que la plupart des titres de l'énergie sont en baisse. Par exemple (...), avec une baisse de 8 % à 5,38 $ l'action. Et puis regardons (...), et là aussi, on voit une baisse à 68 et 25, avec une baisse de six. 5 %. SNB 500, on attend bien sûr les résultats de la réunion de la Fed. Envoi qu'avec les cours de l'énergie, il y a une baisse sur la SP 500. avec 15 points de base. (...). Et puis le Nasdaq, comme vous le voyez, avec une baisse de 8,5 % pas nécessairement liés à (...), mais Amazon prend une participation dans la société de livraison de nourriture (. ..). Décide d'intervenir, cela peut avoir une influence énorme sur le segment. On verra comment les investisseurs dans les sociétés de livraison de nourriture réagissent. Voilà pour la mise à jour du marché. Alors, les titres du marché sont dominés par des questions sur une possible récession. Le principe est très estime que les investisseurs devraient se concentrer sur les bénéfices des entreprises. Voici Damian Fernandez de gestion TD. Bienvenue. À chaque fois qu'on regarde votre site Web, on parle beaucoup de récession. On se centre beaucoup sur cela. – Oui, les gens sont inondés par ces nouvelles. Est-ce qu'on est en récession? Que se passe-t-il? On se pose la question. À toutes fins utiles, nous sommes en récession. Au moins aux États-Unis. Le PIB au premier trimestre était négatif. Les estimations de la réserve fédérale, on pense qu'il y aura aussi une récession au deuxième trimestre. Les indicateurs, comme les sentiments des consommateurs, les indices des directeurs d'achat, je crois que la question à se poser, c'est: que se passe-t-il avec les bénéfices des entreprises? Ils ont une incidence sur la performance, sur les flux de trésorerie et sur les actions. Parlons de cela. On voit un ralentissement de l'économie. On a une inflation énorme. À quoi peut-on s'attendre sur les bénéfices des entreprises? – Les rapports du deuxième trimestre pour commencer la semaine prochaine aux États-Unis. On aura une bonne indication. On a parlé de ce qui se passe dans l'économie en temps réel. On voit que le dollar se renforce, ce qui a une incidence sur ce que gagnent les entreprises américaines à l'étranger. Tout cela ne se prête pas à une croissance à deux chiffres des bénéfices. Pour certaines entreprises, il y en aura. Mais je crois que le deuxième trimestre sera un point tournant. Je sais pas comment vont réagir les marchés. Mais je vois que la plupart des entreprises vont réviser nos orientations à la baisse. On verra les analystes qui vont penser à une baisse pour 2022 et l'années prochaines. Si on commence à voir des grandes entreprises qui baissent leurs prévisions de bénéfices, ça veut dire qu'on va retirer moins de ces entreprises. On a l'impression qu'il y a une baisse du cours des actions de mais si la Bessile bénéficiait là aussi, cela peut poser problème. Comment gérer (. ..). Les marchés ont anticipé cela. On a eu plus de 20 % de baisse devant le pic des marchés. Il s'agit d'une révision des cours significatives. Il s'agit de voir ce qui va se passer avec les bénéfices. Mais je crois que cette révision à la baisse des bénéfices pas se faire. Il s'agit de savoir jusqu'à quand ça va baisser. Et quand on va revoir une vraie croissance dans l'économie. Je ne suis pas trop pessimiste. Surtout si vous pensez aux actions. Il faut se centrer sur des actions qui ont déjà connu ses difficultés et qui ont une perspective plus positive. Et qui pourront donc traverser cet environnement plus difficile. – Est-ce qu'il y a des secteurs ou des actions en particuliers qui ne devront pas avoir une révision à la baisse de leurs bénéfices? – Je voudrais dire que collectivement, la plupart des secteurs devront réviser leurs bénéfices à la baisse dans le secteur de l'énergie et des produits de base. Il y aura une révision significative. Ce qui m'intéresse le plus, ce sont des positions plus défensives. La où il y a une possibilité de croissance, par exemple Microsoft, à, qui connaîtront une plus grande stabilité. Pour les soins de santé, on est dans une année d'élection aux États-Unis. Et dans la plupart des années d'élection, les soins de santé sont controversés. Quand on parle de l'augmentation des produits et des médicaments. Les gens se center beaucoup sur l'inflation alors actuelle et sur ce qui se passe avec le confinement en Chine. Personne ne parle de soins de santé. Il pourrait être isolé. Il pourrait être protégé. Il faut pour votre portefeuille trouver des entreprises pour lesquelles vous êtes à l'aise, pour ce qui est des perspectives en matière de bénéfices. Et en général, les noms qui sont connus ont déjà connu beaucoup de douleurs au cours des 12 derniers mois. Ils se sont en quelque sorte déjà révisée à la baisse. Après le premier semestre qu'on a eu, les gens se sentent un peu comme dans une période de gueule de bois. Est-ce qu'on se remet de cette gueule de bois? Eh bien, ce qui nous a amené à cette période, ce que nous avons eu des dépenses extraordinaires, l'année dernière. Avec la réserve fédérale et les banques centrales dans le monde entier. Le taux était de 25 points de base. L'année dernière. Alors que cette année, la réserve fédérale est assez de 25 points de base à 175 et ça pourrait continuer d'augmenter. C'est cet effet de gueule de bois. Mais cela aussi, ça va passer. On voit déjà des signes d'inflation due à la demande et que celle-ci ne commence à se modérer. Cette inflation commence à se modérer. Stargate, avait trop d'inventaire, avait recruté trop de gens. Ça me dit que les prix des biens à l'avenir va aller dans la bonne direction, c'est-à-dire plus bas. Et du côté de l'énergie, le plus beau contributeur de natation, là aussi, il pourrait y avoir une baisse. L'inflation va rester à des niveaux élevés. La réserve fédérale va devoir continuer d'intervenir, mais je dirais qu'il va y avoir une baisse plus tard. Et c'est vrai que quand on regarde les médias sociaux, il est assez facile d'être plutôt bien si dans son environnement. C'est la mode. Moi, je ne veux pas être à la mode. Je veux simplement voir la direction que prend l'économie et les marchés. Et si ma perspective est correcte, dans les 12 prochains mois, on devrait commencer à voir ce niveau élevé de taux d'intérêt se modérer. Et en fait, on peut dire qu'il y a certaines attentes sur l'avenir des fonds. De la réserve fédérale. Et les gens, il pense3,5 %. On considère qu'à cette période l'année prochaine, on va avoir des baisses de taux d'intérêt. C'est plutôt aussi à mon avis comme perspective. On parle de la volatilité des marchés du premier trimestre. Mais de la douleur que l'on a déjà connue. Et je pense qu'on arrive au pic du resserrement. Et que comme les marchés regardent vers l'avenir, étant donné les dommages qu'on a connus, la perspective est plutôt positive, en particulier pour les actions où il y a plus de confiance concernant les ventes et les bénéfices. – Nous aurons vos questions sur les actions pour Daniel Fernandez dans un moment. Je vous rappelle que vous pouvez nous envoyer vos questions à tout moment par courriel ou dans la fenêtre de réponse sous le lecteur dans CourtierWeb. Voici la mise à jour des marchés et d'autres nouvelles économiques. Le prix des maisons continues de baisser au Canada. La région de Toronto à (... ). Le prix de vente moyenne a chuté de 5 % d'un mois à l'autre. Le nombre de propriétés de Toronto qui ont changé de main a diminué de 40 % par rapport à l'année dernière. À Vancouver, le prix a baissé de 2 % d'un mois à l'autre pour atteindre 1,2 millions de dollars. Plusieurs marchés du Canada ont connu un refroidissement de l'activité immobilière. Les deux jours de pourparlers avec le commissaire n'ont pas permis de résoudre les préoccupations de l'organisme. Le bureau de la concurrence s'oppose à la prise de contrôle de 20 milliards de dollars, ça entraînerait une diminution de la concurrence. (... ). Rogers a accepté de vendre pour tenter de gagner la faveur du bureau. (. ..). Cela après que (...) ait déclaré vouloir acheter (.. .) dans une transaction évaluée à 2,4 milliards de dollars. La transaction doit être approuvée par les actionnaires et les autorités de réglementation. Les actions ont augmenté de 63 %. L'énergie est sous pression. On voit également le TSX a (.. .) avec 1/4 % de baisse. Au sud de la frontière, le secteur de l'énergie a une influence négative sur le marché. Bien que les gens attendent de voir ce que le rapport de la Fed aura à dire cet après-midi. Il s'agira ainsi de voir quelle sera la voix pour les bénéfices des sociétés. Nous sommes de retour avec Daniel Fernandez les questions avec les actions. Étant donné que les banques et le secteur financier représente une grande partie de l'économie canadienne, êtes-vous préoccupés par ce secteur? – Eh bien, vous avez parlé du prix des maisons. Et de l'activité du prix des maisons. Quand on regarde cela, avec ses vents contraires, on peut être préoccupé. Aussi, en ce qui concernait la demande l'année dernière pour les enfants, on a vu que cela a aidé le secteur financier. Nous avons des vents contraires. Quand je regarde les (... ) canadiennes aux autres banques dans le monde, les banques canadiennes ont une position solide. Nous sommes une économie basée sur les produits de base et les matières premières continuent d'avoir de bons résultats. Je crois que pour les emprunts, il y a encore beaucoup d'emprunts qui sont sur quand on regarde les cinq bonnes canadiennes, quand on regarde les rendements des dividendes, deux à 2,5 %, et le fait qu'il continue d'augmenter, c'est quelque chose de très utile. Et de très positif. Surtout quand on parle de la hausse du taux d'intérêt. Quand on parle des dividendes, c'est vrai que la croissance des bénéfices ne sera pas aussi élevée que c'était par le passé, mais ce ne sera pas une récession dévastatrice qui sera une spirale, qui amènera beaucoup de défaillance si on regarde le secteur financier canadien, comment on peut les comparer. Le secteur financier américain est dans une situation plus difficile parce que le secteur bénéfices financier a bénéficié de cette croissance d'activité des marchés des capitaux l'année dernière. Mais tout cela, cette année, on ne parle plus d'introduction en bourse. Cette activité sur les marchés boursiers, ça va être un manque d'activité. Il y a 1« différent de capital. On l'a vu récemment. Quand la réserve fédérale a publié un (. ..). Pour ce qui est du capital qui devait être rendu aux actionnaires il y a quelques années, la banque rendait 10 % du capital à ses actionnaires. Maintenant, c'est la moitié. Les banques canadiennes sont dans une position bien meilleure. Elle ne connaisse pas les mêmes vents contraires qu'aux États-Unis. Une question de la plate-forme, les grandes entreprises technologiques ont été malmenées au cours de 2020: quel est votre ami sur ce segment. Et en particulier Microsoft? Séparons les titres des grandes sociétés technologiques par rapport au saucier technologique plus spéculative. Les grandes sociétés spéculatives… De technologie, comme Microsoft, qui requiert un abonnement pour les clients, ce sont des sociétés beaucoup plus stables en termes de revenus. Comparer au titre plus spéculatif de sociétés technologiques. En général, elles sont à plus petite capitalisation. Elles ont une croissance de revenus élevés, mais elles dépensent beaucoup, elles investissent beaucoup. Il faut distinguer les: si on arrive à un ralentissement économique avec une pression sur les marches sur les rendements des capitaux, je dirais qu'en dehors des grandes sociétés technologiques Microsoft, Elisa est également adoptée, ces entreprises ont une bonne perspective de revenus. Peut-être qu'ils vont baisser un peu par rapport à d'autres acteurs. Pour revenir à d'autres questions, je dirais qu'il y a eu une dépréciation des cours de l'action. Mais il y a une certaine clarté pour ce qui est de l'avenir, pour ce qui est des bénéfices par action. C'est technologique (...). Rapatrie des revenus de l'étranger, les convertissent en dollars américains. C'est vrai. Je dirais que le marché, le dollar américain est très fort. Comme le dollar canadien. Et les devises dans le reste du monde ont plutôt baissé. Quand on regarde un marché baissier, le dollar va s'apprécier, on le voit maintenant. On revenir à vos questions dans un moment. Assurez-vous de recherche avant de faire des décisions. Envoyez-nous vos questions. Vous pouvez le faire à l'adresse courriel afficher l'écran. Passons maintenant au segment éducation. Si vous essayez d'analyser une action, CourtierWeb a des outils très utiles. Nous avons (. ..), qu'est-ce que l'on peut apprendre grâce assez graphique? – Merci de m'éviter. Les investisseurs qui veulent analyser les cours passés peuvent utiliser le graphique en utilisant CourtierWeb. Pour les investisseurs qui (... ). Ils peuvent utiliser le cours, le temps et la date. Pour aider ses investisseurs à identifier des points d'entrée ou de sortie pour ce qui est de leurs achats ou de leur vente. L'investisseur peut cliquer sur recherche et sur graphique. Pour continuer sur le thème d'aujourd'hui, on a parlé des institutions financières au Canada. Je vais prendre une banque canadienne ici. Les investisseurs peuvent regarder le rendement historique de cette action. Et surtout pour les investisseurs qui pratiquent l'analyse technique, c'est intéressant. Ses investisseurs considèrent que toutes les informations sont déjà présents compte dans le cours de l'action. Si je regarde le cours de l'action, je peux identifier ou savoir que les fondamentaux sont déjà pris en compte dans ce cours et à partir de là, l'investisseur peut décider une ligne de tendance et voir quelles sont les tendances à la baisse ou à la hausse, ce qui peut les aider à déterminer 1, Cours probable pour l'avenir. Dans ma carrière, beaucoup d'émissions avec des techniciens. Je suis content que ce soient eux qui dessinent les lignes, pas moi. Si vous avez un investisseur qui n'est pas à l'aise pour dessiner cette ligne de tendance, est-ce qu'il y a un outil pour les aider? Oui, je comprends parfaitement. C'est vrai que ça peut être intimidant. Les lignes de tendance peuvent être très subjectives. Je peux avoir une ligne très différente par rapport à celle d'un autre investisseur. Dans CourtierWeb, un outil que les investisseurs peuvent utiliser pour utiliser l'analyse technique. Une fois que vous être CourtierWeb, vous pouvez cliquer sur l'onglet technique et vous avez beaucoup de jargon financier que ne connaissent pas nécessairement les investisseurs. Si vous voulez utiliser l'analyse technique pour identifier des signaux haussier ou baissier, investisseur ne peut ne pas comprendre. Si les investisseurs peuvent en savoir plus, ils peuvent cliquer sur l'onglet éducation. Une fois qu'ils sont plus à l'aise, et qui veulent identifier les signaux, ils peuvent sélectionner à court terme ou long terme et voir quelles sont les signaux qui existent déjà sur le graphique. Et s'il y a des événements haussier ou baissier. Et si on défile vers le bas, on peut voir également le soutien et la résistance sur la base de différentes négociations de ce titre. Ce qui leur permet de prendre des décisions basées sur des informations tangibles. – Merci d'être venu. N'oubliez pas d'aller au centre d'apprentissage pour voir d'autres vidéos d'éducation. Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions. Vous avez une question sur les placements, sur ce qui fait bouger les marchés, envoyez-nous vos questions. Il y a deux manières de le faire. Vous pouvez nous envoyer un courriel à tout moment où vous pouvez utiliser la boîte de questions sous le lecteur vidéo. Vous pouvez taper votre question et cliquez sur envoyer. On verra si on évitait peuvent répondre en direct nous somme de retour avec Damian Fernandes aise. Il répond aux questions sur les actions. Une question sur Apollon. Appel est une compagnie à capitalisation élevée, défensive modèle d'abonnement. Si vous avez un iPhone, vous le remplacez tous les trois ans à peu près avec une prime de 10 %. Il s'agit d'une entreprise très rentable. Et je dirais que récemment, même si on mesure ceci en journée, et bien à propos est meilleur que le marché. Puisque le marché est devenu plus défensif. Une action comme accord peut fournir cela. Une protection avec une marge très élevée dans le résultat. C'est très intéressant. Qu'est-ce qui pourrait poser des problèmes pour Apple? il y a toujours un roi dans le segment. Tout le monde a des produits de cette entreprise. Et puis soudain, il se passe quelque chose. Est-ce que (... ) fait face à des risques? Les menaces existent toujours. Quand on regarde le marché canadien et les autres marchés, il y a toujours des risques. Mais alors actuel, quand on regarde les données, on peut voir que l'écosystème Apple, avec tous ces produits, je dirais que les gens sont toujours intéressés. C'est un premier indicateur. Maintenant, à court terme, le risque, c'est qu'on pourrait avoir, si on avait un ralentissement de l'économie, des gens qui attendent pour remplacer leur téléphone, ce qui pourrait avoir une incidence sur les résultats. Une question sur l'état du marché. Est-ce que vous déploierez plus d'argent dans le marché ou est-ce que vous attendez? – J'ai dit que les marchés avaient baissé de 20 % par rapport à leur clic. Par rapport à leur sommet. Et quand on regarde le sentiment des investisseurs, l'association américaine (.. .) a fait un sondage auprès des clients et pour le moment, il y a beaucoup de gens qui sont baissiers. C'est à la mode d'être baissier. Historiquement, c'est un bon moment pour déployer du capital. Si votre horizon temporel est plutôt des mois, des trimestres plutôt que des jours. Je dirais que c'est un bon moment pour investir. Je ne veux pas dire qu'il faut absolument que vous précipitiez pour investir, mais réfléchissez à votre répartition d'actifs. C'est peut-être bon moment pour acheter des actions. Si ce marché baissier passait à un marché baissier plus pernicieux, si le sentiment baissier amené à des difficultés, comme on l'a vu en 2008 et 2009, la question est de savoir si on s'achemine vers ce scénario. Je ne crois pas. Étant donné ce qui se passe alors actuel, je peux répondre à la question de manière différente. Je ne crois pas que ce soit le moment de quitter le marché. De sortir du marché. C'est trop tard. On nous dit toujours en tant qu'investisseur de ne pas céder à ses émotions. Après le premier semestre que nous avons eu, moi, je me sens un peu émotif avec ce qui s'est passé. Et nos clients aussi. C'est très difficile. Mais c'est pour cela qu'il faut ne pas céder à ses émotions. Quand on se regarde par le passé, on voit qu'au cours des 12 dernières années, depuis la dernière crise financière, il y a toujours eu une reprise. En 2015, par exemple, quand on a eu une pression sur le TSX avec une pression sur le cours des matières premières. C'est un moment on pouvait investir. Évidemment, le passé ne veut pas dire que ça va se reproduire, mais je crois que vous pouvez être récompensés si vous prenez des risques. – Les ressources naturelles canadiennes. Qu'avez-vous à me dire ce? – Donnant un contexte. Le WTI, l'indice de référence pour le pétrole brut, est passé de 120 à 95 en deux semaines. Toutes les sociétés d'énergie sont moins rentables qu'il y a deux semaines. Par définition. Étant donné qu'il s'agit d'entreprise très intensive du point de vue du capital, tout Parry qu'ils extraient peut rester rentables (...). Quand on regarde sur le marché canadien, par exemple (...), a augmenté son dividende de 20 % et quand on regarde leur flux de trésorerie, je dirais que même si on est à 90 $ le baril, je dirais qu'ils sont toujours très rentables. Moins rentables que quand le pétrole était à 120 $ le baril, mais moi, j'aime beaucoup leur proposition de retour de capital. Et je vois qu'il y a une certaine discipline dans ces entreprises. Il n'y aura pas autant d'activités de fusions et acquisitions. Elles se sont engagées pour le rachat d'actions. Ce qui est quand même quelque chose de très intéressant. J'aime beaucoup tout ça. Il faut quand même savoir être équilibré. On a parlé de ralentissement, il y a un risque de ralentissement mais si on arrive à une récession et qu'on n'a pas une reprise rapide, ça peut poser des problèmes. Mais vous savez, même à 95 %, c'est vrai que le pétrole est très volatile. C'est vrai que ça pourrait baisser jusqu'à 60. Mais quand je regarde les résultats des entreprises, il y avait un ralentissement économique, je crois qu'elle pourrait quand même s'en sortir. Nous allons continuer nos questions. Nous parlons des actions avec Daniel Fernandez. Assurez-vous de faire vos propres recherches. Vous pouvez nous contacter à tout moment. Si vous avez des questions sur les placements et ce qui fait bouger les marchés, vous pouvez nous envoyer des questions. De deux manières. Tout d'abord, avec… L'adresse courriel et également avec vos questions dans la fenêtre de questions. On regarde à nouveau les TSX et qui est à la baisse en raison de la baisse des sociétés de consommation et de l'énergie. La baisse est d'à peu près et encore pour cent. J'aurais pu prendre n'importe quelle action du secteur de l'énergie. Ici, une baisse de 4 %. Regardons Canfor, (...), qui rachète (...). On voit d'autres producteurs de bois qui connaissent des augmentations du cours de l'action. À peu près 4,5 % d'augmentation pour Canfor. Et sur les marchés américains, le SP500, dans une heure, on recevra le rapport de la tête. Et on va voir ce qui aura été dit au cours de la dernière réunion sur l'établissement du taux d'intérêt ce qui nous donnera une indication sur l'orientation des taux d'intérêt à l'avenir. On voit que le SP500 est en légère baisse de 11. Pour ce qui est du Nasdaq, on voit une petite baisse de seulement 0,07 %. Regardons (...). On a parlé des autres titres dans le segment des livraisons de nourriture. Hubert est à 3,8 % de baisse parce qu'on vient d'abord que Amazon (...) ce qui donne une pression sur les autres sociétés de livraison de nourriture. Quand Amazon décide d'intervenir sur le segment du marché, les autres titres commencent à être nerveux. Nous sommes de retour avec Damian Fernandes baisse de gestion de placements TD. Autre question. Sur le secteur des soins de santé, qui était très important pendant la pandémie. Est-ce que des entreprises comme Pfizer sont toujours intéressants? – Pfizer a beaucoup bénéficié de la pandémie. Ça été un des premiers laboratoires à nous aider à sortir de la pandémie avec son vaccin. Qui nous a beaucoup aidé. Ce qui est intéressant, c'est quand Pfizer est moderne AVC vaccin et les vendaient au-dessous de leur seuil de rentabilité. Maintenant, au moment des 12 rappels, qu'elles soient obligatoires ou non. C'est une partie significative de la population qui va recevoir ses 12 rappels. Pfizer n'est plus obligé de vendre simplement au seuil de rentabilité. Il pourra vendre plus cher. Et on passe maintenant d'une pandémie en une pandémie, ce qui veut dire que le virus sera toujours avec nous. Ce qui veut dire qu'il y aura besoin d'amélioration dans le vaccin. Pfizer pourra bénéficier de cela sur plusieurs années les gens pensaient que c'était simplement une pandémie qui allait durer pendant deux ans et que le virus serait éradiqué. Mais maintenant, ce n'est plus cela. Pfizer va pouvoir bénéficier de 12 rappels et donc avoir un flux de trésorerie qui continuera d'être positif. Ici, vous avez un dividende de 3 %. De la part de Pfizer. C'est donc très intéressant. Quel est le risque? Est-ce qu'il y a des risques politiques? Est-ce qu'il y a d'autres risques? Les autres risques, étant donné qu'il y a beaucoup d'épargne, il faut déployer notre capitale. Il faut réfléchir à sa stratégie de déploiement de capital. Sa stratégie de placement. Ne pas essayer d'investir dans des sociétés qui sont à des cours trop élevés. Il va falloir voir. On a vu avec le cycle de pétrole et de gaz par le passé. Alimentation Couche-Tard. Pour ce qui est de le détenir à long terme. On ne peut pas donner de recommandations pour embrasser, mais parlez-nous d'eux alimentation Couche-Tard. – Eh bien, le plus grand distributeur en termes de dépanneur et en particulier dans les stations-service, il s'agit d'une activité très stable. Je ne crois pas qu'on va passer à des véhicules électriques dans les cinq prochaines années. Même si ce serait bien. Les activités de l'alimentation Couche-Tard. Elles sont toujours très constantes. Le risque est de savoir ce qui s'en vient plus tard. Cette société a été très rentable, avec une bonne stratégie de fusions et acquisitions. Ils ont pu générer beaucoup de romans de capital au moment de leurs acquisitions. Maintenant, il y a une concurrence avec 200 acteurs dans le monde entier. Je ne sais plus si c'était l'année dernière qu'ils ont voulu acquérir une chaîne de supermarchés européennes. Est-ce qu'ils veulent passer d'un format de dépanneur à un format différent? Il s'agira de voir. Mais dans l'environnement actuel, ils sont très rentables. Il leur dépanneur en termes de marge gagne beaucoup d'argent. Ça travail, ça fonctionne en leur faveur. – Questions sur les dépenses des consommateurs. Si on arrive à un ralentissement économique élitiste ça voudra dire pour les sociétés de cartes de crédit? – On a les émetteurs de cartes de crédit J.P. Morgan et les cartes de la Banque Royale. Les plates-formes Visa et MasterCard. Les dépenses des consommateurs sous pression. Et je veux voir les consommateurs qui sont plus influents ils continueront de dépenser avec American Express et Capital One. Pour eux, il y a moins de risque. Maintenant, les Visa et MasterCard ne prennent pas de risques de crédit. C'est vrai qu'ils ne sont que des médiateurs ils ne prennent pas de risques de crédit et ses plates-formes, Visa et MasterCard, générait une grosse partie de leurs revenus des transactions transfrontalières. Quand on va en Europe et qu'on utilise notre carte de crédit. C'est à peu près 30 % de leurs revenus. Ça ne s'est pas produit pendant la pandémie. Mais la pandémie a augmenté la numérisation des transactions financières. Quand on achète dans un magasin, on utilise sa carte de crédit plus souvent même s'il y a une pression sur la consommation pour les biens de consommation, les gens veulent quand même partir en vacances. Et donc, Visa et MasterCard vont bénéficier de cela. Des voyages des consommateurs. Des voyages en particulier à l'étranger. Est-ce qu'il y a un risque que cet appétit de dépenses change une fois que… Vous savez, quand on est arrivé au printemps, on a fait pas mal de voyage sur plusieurs semaines et ensuite, ma femme a dit: faire attention. Restant à la maison cette semaine. Les autres formes de paiement. Il y a la numérisation des formes traditionnelles, pas ou d'autres types de transactions avec l'écriteau des devises voient que c'est médiateur bénéficie beaucoup de la situation actuelle. Au Canada, aux États-Unis, en Amérique du Nord, considère que les cartes de crédit sont partout. Mais dans d'autres pays du monde, il y a beaucoup de possibilités d'augmentation des transactions. Numérique. En Europe et dans d'autres continents, ces continents là, ces pays-là vont passer à utiliser de plus en plus les cartes de crédit. Ça peut bénéficier pour ces sociétés. C'est vrai qu'on va moins consommer dans les prochains mois. Mais je dirais qu'avec les marchés émergents, qui passent à des transactions par carte de crédit, il y aura toujours une croissance pour ces entreprises. On peut toujours parler de risque, si quelqu'un dit que c'est médiateur prenne trop de frais. Mais je dirais que cela ne représente pas des risques énormes. – Merci à Damian Fernandes espace assurez-vous de faire recherche avant de prendre des décisions en matière de placement. Demain, nous aurons Greg Barnes, directeur de (...), qui sera notre invité demain pour répondre à vos questions sur le secteur minier. C'est tout pour aujourd'hui. À demain.