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(musique) - Bonjour! Ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, nous évoquons les forces et faiblesses du marché immobilier avec Colin Lynch de Gestion d'actifs TD. Anthony Okolie commente les dernières statistiques du PIB aux États-Unis. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Nugwa Haruna nous montre comment trouver de l'information sur les fiducies de revenu immobilière. Posez-nous vos questions par courriel à moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Mais d'abord, un coup d'œil sur le marché. La saison des annonces de bénéfices se poursuit. Les marchés ont une réaction positive aujourd'hui. L'indice TSX progresse de 108; soit plus d'un demi pour cent. Le secteur financier est en hausse, la Manuvie de 26,37 $ l'action progresse à 1,8 %. Allied Properties, cette fiducie de revenu immobilière à 22,68 $ un recul de près de 5 %. C'est un groupe puissant dans le domaine de l'immobilier de bureau. Les grandes compagnies de technologie annoncent leurs bénéfices, les marchés réagissent de manière un peu mitigée. Cependant, Meta la société-mère de Facebook, a annoncé d'excellents bénéfices après la clôture hier. Indice S&P 500 progresse de 40 points, soit plus d'un pour cent. L'indice Nasdaq est encore plus en hausse de 1,6 %. Amazon va annoncer ses bénéfices après la clôture aujourd'hui. Il sera intéressant de voir comment se porte cette entreprise depuis que la pandémie a pris fin et que tout le monde peut magasiner en personne. Personnellement, je n'aime pas tellement les centres commerciaux. L'action est à 109,08 $, en hausse de près de 4 %. Après une année de forte hausse de taux, les marchés considèrent que les banques centrales approchent de la fin du cycle de hausse. Qu'est-ce que ça signifie pour l'immobilier? Colin Lynch est responsable des investissements immobiliers à Gestion d'actifs TD. - Bonjour Greg. - Alors où en sommes-nous? Pause conditionnelle au Canada, on prévoit que la Fed approche de la fin de son cycle de hausse de taux. Qu'en est-il pour l'immobilier? - C'est la stabilité pour l'immobilier. Comme vous l'avez dit, il y a eu des changements dans les donnés sur le terrain en réaction à l'inflation. Si vous avez un endettement et que vous êtes un promoteur, la dette est en général à taux variable. Il y a des propriétaires d'immeubles qui ont des taux variables et lorsque les taux d'intérêt ont augmenté, le coût de cette dette a bondi. Lorsque les marchés considèrent que nous approchons de la fin d'un cycle de hausse de taux, cela offre une certaine stabilité. Que vous soyez promoteurs dans vos modélisations, que vous soyez propriétaires d'immeubles, en outre, nous avons également constaté des changements dans la courbe de rendement. À cinq ans, à 10 ans, les prix ont baissé et c'est important parce que les dettes à revenu fixe à intérêt fixe sont basées sur le rendement des obligations. Lorsque les obligations à long terme ont baissé, le coût de la dette à taux fixe également baissé. Toutefois, le coût des emprunts est toujours beaucoup plus élevé qu'il ne l'était. C'est donc que toujours difficile pour les entreprises endettées, mais la situation s'améliore. Il y a encore des secteurs de difficultés il y a des secteurs d'opportunité dans l'immobilier. Mais nous parvenons à une phase de stabilisation pour les taux. Immobilier commercial ça doit vouloir de beaucoup de choses. Parlons des bureaux. - Récemment on s'est inquiété, ma propre existence, peut-être pas un modèle, mais je n'ai pas pu trouver place assise dans le train pendant deux jours. Les gens reviennent au bureau. - Oui, il faut reconnaître que l'on voit, on assiste à une remontée de l'utilisation des bureaux. Nous n'en sommes pas où nous en étions à 2019, mais les mardis, mercredi et jeudi, dans une grande partie de l'Amérique du Nord, il y a une augmentation des retours au bureau. Inversement, les vendredis, ce n'est pas tellement le cas, et les lundis, c'est plus modeste. C'est un phénomène nord-américain. À Londres, la situation est semblable, mais sur le continent européen, ainsi que dans plusieurs villes de l'Asie-Pacifique, il y a un retour au bureau beaucoup plus marqué: quatre à cinq jours par semaine. C'est important, parce que la confiance à l'égard des propriétaires des occupants de bureau est différente d'une région du monde à l'autre. La confiance est beaucoup plus positive dans l'Asie-Pacifique. Et certaines parties de l'Australie ou sur le continent européen qu'ici. Ici en Amérique du Nord, il y a deux choses:: il y a le retour physique au bureau qui augmente, mais pas au niveau de 2019. Il y a également des questions au sujet de l'économie. Où en sommes-nous? En définitive, immobilier, est au service de l'économie. Si l'économie ralentit, cela a un impact sur la mesure à laquelle les locataires accroissent leur activité ont besoin de plus de locaux ou réduisent leurs activités auront besoin de moins de locaux. Dans un environnement ou des questions se posent au sujet du rythme de croissance de l'économie, les locataires saisissent l'occasion de rehausser leurs locaux. Des locaux dans un immeuble de meilleure qualité qui n'était pas disponible, mais qui se libèrent. Les locataires peuvent saisir l'occasion de passer d'un immeuble bureau de catégorie B ou C à une immeuble de catégorie A ou double A triple A. Nous l'avons vu presque universellement dans les périodes antérieures de ralentissement économique, et nous le voyons aujourd'hui. Quand on considère les taux de location, les immeubles de meilleure qualité plus neufs et mieux équipés ont un taux de location plus élevé que les immeubles plus anciens. Partout en l'Amérique du Nord. - Parlons de l'immobilier résidentiel. Il y a une dynamique intéressante. Vous avez parlé de stabilité au niveau des taux d'intérêt. Il y a également l'immigration record, comment cela se répercute-t-il sur le marché du logement? - Avant la pandémie, on dit qu'il fallait plus d'appartements locatifs ou en communes. - Oui, nous avons besoin de logements locatifs. L'immigration en 2021 était presque 850 000 personnes au Canada. L'an dernier en 2022, plus d'un million 50 000. Je crois comprendre que nous sommes sur une trajectoire semblable cette année. Il y a beaucoup de demandes. Il y a des immigrants économiques, il y a également des réfugiés, il y a des étudiants étrangers. Les étudiants étrangers en grand nombre. On prévoit que le phénomène se poursuivra. Il y a une demande importante: quel est le rythme de l'offre? Quand on regarde le parquet d'appartements locatifs, l'appartement copropriété de nouveau logement général, l'offre ne suit pas la demande. Et cela se répercute sur les prix. Les loyers, autrement dit, combien paye-t-on pour louer un local à logement? Cela a beaucoup augmenté. Aujourd'hui, les loyers pour les nouveaux baux de location sont très supérieurs à ceux des baux actuels. Le taux d'inoccupation partout au pays diminue considérablement dans les grands marchés métropolitains, comme Toronto et Vancouver et Montréal. Le taux d'inoccupation est revenu à ce qu'il était avant la pandémie dans certains cas il est encore plus bas. Ce qui a pour effet de faire augmenter les loyers, c'est une loi de l'équilibre entre l'offre et la demande. Beaucoup de demandes, peu d'offres, par conséquent, le montant des loyers ont augmenté. C'est loyer plus élevé devrait en principe encourager l'industrie à bâtir davantage. Est-ce que ce phénomène se constate-t-il? - C'est une excellente question. L'industrie voudrait bâtir davantage. Il y a des obstacles à surmonter pour bâtir davantage. D'une part, il faut suivre un processus d'urbanisme pour obtenir des permis de construire et une approbation d'urbanisme. Cela dépend à quelle municipalité vous travaillait, cela peut prendre un peu de temps où beaucoup de temps. De plus en plus, ça prend beaucoup de temps pour obtenir des approbations. Il y a autre chose qui se produit: comment la vie de toute société, il y a une inflation, ce qui a affecté le cours du bâtiment. Que ce soit le matériau ou la main-d'œuvre, ces deux versions de la question beaucoup augmentée pendant la pandémie. Par conséquent, si bâtir coûte plus chère, et que cela prend beaucoup plus de temps pour obtenir les autorisations, cela dissuade les constructeurs de bâtir beaucoup plus d'immeubles. Quand on n'en revient à l'équilibre entre l'offre et la demande, cela pourrait a pour effet de limiter l'offre un moment vous nous avons beaucoup plus de demandes. - C'est un secteur où il se passe beaucoup de chose! Colin Lynch va répondre à vos questions sur l'immobilier dans quelques minutes. Vous pouvez nous les poser en tout temps@moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. À présent, l'actualité du monde des affaires et au coup d'œil sur les marchés. Les actions de Meta, la société mère de Facebook sont en vedette aujourd'hui. Le géant des médias sociaux a largement dépassé les attentes en matière de bénéfices pour le dernier trimestre. Et fait des prédictions optimistes. Le rebond des ventes publicitaires en Chine a joué un rôle important, et a réduit son personnel afin de diminuer ses coûts. 239,35 $ l'action. Le titre progresse de 14 %. Suncor achète les activités canadiennes de Total énergie. L'opération vaut jusqu'à 6 milliards de dollars, seront réduits Cooper, chef de la direction, cette entente constitue une grande entente pour obtenir du bitume à long terme. Suncor va prendre la participation intégralement le projet de sables bitumineux fortes et autres. Bombardier a réalisé un bénéfice dans son dernier trimestre en vendant davantage de biréacteurs d'affaires moyennes et de grandes tailles. La compagnie basée au Québec annonce qu'elle va livrer 138 appareils cette année. L'action de Bombardier recule un peu plus de 7 %. Il semble que certains analystes s'inquiètent des flux de trésorerie de la compagnie. À présent, les grands indices. L'indice TSX composite progresse de 114; un peu plus d'un demi pour cent. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 est conforté par les bénéfices des sociétés de technologie qui paresse toute cette semaine. Les 10 programmes de 49 points, soit un peu plus de 1 %. Colin Lynch répond à vos questions sur l'immobilier. Le départ de Nordstrom, qu'est-ce que cela signifie pour le secteur du détail? - Encore un détaillant qui trouve que cela ne vaut pas la peine d'être présent ici. Bien sûr, ce n'est jamais agréable de voir des détails ont tiré leur révérence. Toutefois, le nombre d'espaces occupés par Nordstrom n'était pas très important. C'est différent du cas d'autre détaillant avec beaucoup plus grande superficie. Qui tirent leur épingle du jeu. Nordstrom occupait des locaux dans des endroits extrêmement bien considérés. Ce n'est jamais positif pour le propriétaire devant locataire s'en aller. Je suis convaincu que les espaces en question pourront être loués relativement rapidement. Ou réaménagée. Si on prend un peu de recul par rapport au cas de Nordstrom en particulier, et plus généralement au niveau du détail, pour nous, c'est un secteur positif. Il y a des années, depuis 2015 ou 2016, que nous avons une négativité au niveau du secteur du détail sous l'impulsion du commerce électronique. C'est la première année où nous voyons 1; d'optimisme. Pas nécessairement au niveau de l'achalandage, seulement, ou des dépenses, les tendances de dépenses sont plus élevées qu'elle ne l'était en 2019, l'achalandage est revenu à ce qu'il est en 2019. Mais nous voyons également de nouveaux baux de location. Il y a des détaillants qui louent de nouveaux locaux dans les centres commerciaux et ailleurs. C'est un signe positif que nous n'avions pas vu depuis longtemps. Malgré quelques faillites au départ très remarqué, globalement dans le secteur du détail, nous avons des raisons d'être optimistes. Quand je change songe à Nordstrom, il n'y a qu'une poignée de détaillants, il y a La Baie les grands magasins. J'ai visité un grand magasin il y a quelques années, j'ai été frappé par la superficie physique de ce grand magasin. Il semble que ce n'est plus ainsi que le détail fonctionne. - Oui. Il y a eu le déclin des grands magasins. Si vous songez à un endroit spécifique, le centre Eaton à Toronto, à l'origine, l'espace occupé par Nordstrom était occupé par Eaton. Il s'agissait d'un grand magasin de neuf étages au moins. Aujourd'hui, Nordstrom occupe deux ou trois niveaux. Alors voilà une réduction de la superficie. Je crois que c'est symptomatique globalement du fait que les grands magasins sont devenus moins grands. Dans leur superficie. Et puis il y a également l'apparition de détaillants spécialisés de grande envergure qui n'existait pas il y a 20 ou 30 ans. Pensez au magasin Apple. Les magasins Apple sont vraiment devenus les nouveaux locataires principaux dans les centres commerciaux. Ils attirent l'achalandage et les dépenses. Il y a une reconfiguration du centre commercial. Combien de grands magasins existe-t-il? Dans des espaces où il y avait des grands magasins à très grande superficie? On peut les réaménager, par exemple pour l'alimentation, les articles de sport, les articles électroniques. Parfois il est plus avantageux pour une combinaison de format dans un espace qui était auparavant occupé par un seul grand magasin. - Une autre question: on entend dire que certains grands propriétaires d'immeubles à bureaux sont en défaut sur la dette reliée à certains immeubles. - Oui. Sur un ou:. Jusqu'ici, les défaillances ont été relativement concentrées dans une ou deux zones métropolitaines aux États-Unis. New York et Los Angeles. Il y a d'autres secteurs où nous avons certaines inquiétudes comme San Francisco. Qu'est-ce qui est à l'origine de ces défaillances? Deux choses: d'abord une hausse du ratio Canada, et deuxièmement, le taux variable. Le coût du service de la dette augmente avec les taux d'intérêt, et parfois, on achète une protection sous forme de convention d'un an sur cette dette à taux variable qui convertit la dette à taux variable à taux fixe. Le coût de cette protection a beaucoup augmenté. Parfois a été multiplié par 25. C'est devenu beaucoup plus cher de se protéger contre la variation des taux d'intérêt. En définitive, donc, un emprunteur ou un propriétaire d'un immeuble est exposé à la hausse des taux d'intérêt. Si on ajoute le retour au bureau, c'est ambigu, les locataires décident de réduire leur superficie, les taux d'inoccupation augmentent. On est dans scénario ou la valeur d'un immeuble diminuait certains de ces facteurs entre en jeu tandis que le coût augmente pour le propriétaire. Résultat: une dynamique dans laquelle certains des propriétaires d'immeubles de bureaux ont préféré rendre les clés. Cela s'est produit aux États-Unis, aux États-Unis, il y a eu une dette qui est détenue plus généralement par les syndiqués. La relation est différente entre les emprunteurs et les prêteurs par rapport au Canada. Où il y a moins de prêteurs mais qui sont davantage axés sur les relations. Tout cela pour dire que ce n'est pas inattendu. Je pense qu'il y aura de nouveaux cas de défaillance. Surtout dans des marchés où nous sommes déjà un peu inquiets quant au marché du logement. New York, c'est un cœur, que ça été le 11 septembre, début de la crise financière ou la pandémie, c'est un marché qui est plus exposé et donc plus volatile. En outre, puisque ces New York, il y a beaucoup d'offres. Donc la demande est faite, il y a beaucoup d'offres et les taux ne sont pas très fort. - Une autre question qui porte sur la Chine, la réouverture. Est-ce que la réouverture de la Chine a eu un impact sur l'immobilier? On a dit tout à l'heure savait un impact sur Facebook. - Oui. La réouverture de la Chine a eu un impact multiple sur le marché immobilier. Près pandémie, la Chine était la principale source ou l'une des principales sources de tourisme dans le monde. Dans les pays voisins comme la Corée du Sud, le Japon Singapour, c'est important en termes de commerce de détail. Il y a beaucoup d'achalandage détail qui était alimenté par la Chine. Il faudra qu'un certain temps s'écoule au niveau de la redevance, de la reprise au niveau 2019 de tourisme en provenance de Chine. Ce phénomène s'avance pas assez positif. - Un autre élément relatif à la réouverture de la Chine c'est que la Chine est également une source de beaucoup d'étudiants était internationaux dans le monde. Si vous songez à l'Australie, aux États-Unis, Royaume-Uni, au Canada, les étudiants étrangers, la Chine est le pays numéro un ou numéro deux pour ses étudiants. La réouverture est la consigne donnée par le gouvernement chinois aux étudiants inscrits à l'étranger qui doive retourner à leurs études en personne pour faire reconnaître leurs titres de requalification a entraîné un mouvement très important de retour d'étudiants vers le Royaume-Uni, Australie, le Canada. C'est positif dans le cas du Canada par exemple au niveau du secteur multi résidentiel, puisque la demande d'espace, surtout autour des universités, la demande de logement a repris. C'est un impact multiple. Que ce soit au niveau du détail, du résidentiel, donc cela s'exerce sur plusieurs secteurs et dans plusieurs pays. - Nous n'avions pas songé à ces conséquences imprévues! C'est pour ça que nous vous invitons. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. je vous rappelle que vous pouvez nous poser une question en tout temps sur moneytalklivetd.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb. Si vous vous intéressez aux fiducies de revenu immobilière, CourtierWeb vous aider à faire des recherches. Nugwa Haruna est formatrice à Placements directs TD. Nugwa bonjour. Où pouvons-nous nous renseigner sur les FRI? - Bonjour Greg. Si vous vous intéressez aux fiducies de revenu immobilière, bien sûr le prix des immeubles a beaucoup fluctué. Donc il est possible toutefois de participer au marché immobilier sans acheter des immeubles. En utilisant des fiducies de revenu immobilière. Essentiellement, ce sont des compagnies qui détiennent des finances, des propriétés productrices de revenus. Pour être classé comme FRI, ces compagnies doivent placer au moins 75 % de leurs actifs et ensuite, vers 90 % au moins de revenu imposable à titre de distribution. Donc, vous pouvez trouver ses affaires et sur CourtierWeb. Voici comment. Cherchons quelques FRI canadiennes. Alors on clique sur recherches, sous la rubrique marchée, sous indice, et une fois sur cette page, on peut cliquer sur l'indice, l'onglet indice sectoriel. Et voici l'indice des FRI du SCP TSX. Les membres sur les membres, voilà on va afficher certaines fiducies de revenu immobilière. Canadiennes. Il est possible de réaliser un filtre par capitalisation boursière. Puisque le revenu est une énorme motivation pour les investisseurs canadiens, ils peuvent également classer selon fonction du rendement pour les investisseurs. - Est un point de départ sur les recherches sur les FRI! Merci. Surtout dans le secteur canadien. Et si nous voulions examiner par pays? - Oui. Il est possible de dire que je vois des référées Il est possible de dire que je vois des référées l'ensemble des référés qui sont cotés en Bourse, mais les investisseurs qui soient se renseignés davantage peuvent utiliser l'outil de filtre. Appliquons donc sur recherches, sous la rubrique outils, et on clique sur filtre. On clique sur filtre sur l'onglet action. On va éliminer les filtres existants et on recommence à zéro. On peut continuer à filtrer pour obtenir les FR canadiennes, échanges de pays. Je clique sur le menu déroulant, on va choisir États-Unis. Ensuite: ajouter les critères. On clique sur plus de critères sous la rubrique donnée de base, on va choisir secteurs et industries. Et on clique on trouve donc les différents secteurs. Pour réduire. Alors, éliminons toutes les tâches et sous immobilier, on clique sur le menu déroulant appui sur fiducies de revenu immobilière. Vous voyez qu'il y a 370 résultats. Les 10 précédents il y en avait environ 25 entreprises, et si nous avons 370. Vous pouvez filtrer encore, par exemple, ajoutons des critères. Cette fois, au lieu d'utiliser le rendement dividende, on pourra par exemple utiliser le taux de croissance de dividendes plus de cinq ans, parce que comme nous l'avons dit, les investisseurs considèrent ce genre d'investissement pour être motivé par ceux qui sont producteurs de revenus. Songeons aux entreprises qui n'ont pas diminué leur croissance, les dividendes depuis cinq ans. Vous voyez qu'il y a maintenant 82 compagnies dans le secteur américain. Il est possible de dérouler le menu et d'approfondir certains de ces compagnies pompeux ajouter davantage de filtre comme le rendement boursier de chacune de ces fiducies. Sa valeur de marché. Vous pouvez ajouter autant d'informations que possible, encore une fois, cela pourrait être un bon point de départ. - Merci, Nugwa Haruna. Nugwa Arauna est formatrice à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb vous trouverez encore plus de ressources! Je vous rappelle comment nous poser vos questions: avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, moneytalklivetd.com. Soit ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct. Colin Lynch répondre à vos questions sur l'immobilier. En voici une qui est intrigante: j'ai une position dans les capitaux privés, les appartements, et les industries industrielles. Qu'est-ce que je dois surveiller pour m'assurer que la FAR n'est pas de difficulté? - Tout d'abord, secteur industriel. Quel est l'exposition aux différents locataires? Et comment se portent ses locataires? Niveau fondamental. Géographiquement, où est l'exposition de la FRI ? Le marché industriel se comporte un peu différemment, globalement ça été très positif au Canada, mais il y a des nuances. Des différences. Les prairies, l'Alberta, par rapport au grand Toronto au Grand Vancouver. Il faut également examiner l'endettement. Quel est le levier et de quel type de dette s'agit-il? Cela est pertinent pour les immeubles locatifs en général. Normalement, le niveau niveau d'endettement est plus élevé pour les immeubles locatifs, parce que le taux dynamique d'inoccupation et plus bas les loyers sont plus stables. Il s'agit de considérer le niveau absolu endettement et la proportion à taux fixe et variable. J'ai parlé du taux d'inoccupation, donc plus le taux d'inoccupation est faible, mieux les choses se portent, ensuite il y a les loyers effectifs par rapport aux loyers du marché. On peut examiner cela de plusieurs points de vue. Des loyers existants sont très inférieurs à ceux du marché, donc les locataires ont toutes les raisons de rester. Et lorsqu'il y a un renouvellement, changement de locataire, le loyer pourrait beaucoup augmenter. En revanche, on pourrait dire que les loyers existants sont inférieurs au prix du marché, donc le flux de trésorerie doit être plus bas. Il y a plusieurs choses que l'on examine, il faut choisir quelques facteurs. - Bon! C'est une autre question: géographiquement, quelles sont les perspectives de l'immobilier en Europe? - C'est intéressant. Ils s'est passés plusieurs choses. On aura. Au Royaume-Uni, il y a eu des problèmes d'incertitude en septembre dernier, incertitude politique, ce qui a produit certaine volatilité de la livre sterling. Et aussi dans les rendements obligataires. Pour les investisseurs, c'est un facteur très important, car beaucoup d'investisseurs dans l'immobilier au Royaume-Uni sont étrangers. S'il y a des fluctuations de taux de change, par exemple, si la valeur des titres à revenu fixe change considérablement, pour un investisseur, cela affecte la valeur d'un placement immobilier. Au Royaume-Uni, les valeurs des biens sont plutôt basées sur le décret de confiance. Et non pas sur une expertise concrète. Il y a donc eu beaucoup de changements dans l'appréciation de la valeur des immeubles. Le marché britannique s'est adapté plus rapidement que les autres marchés. Il y a sans doute des possibilités intéressantes aux États-Unis. Royaume-Uni. Même une possibilité qui ne se produit qu'une fois par génération. Beaucoup d'immeubles au Royaume-Uni, à Londres par exemple, sont intéressants depuis des décennies pour les investisseurs dans le monde entier. Il y a la possibilité d'acquérir des immeubles dans des emplacements de grande qualité, qui sont moins chers de 20 à 25 % qu'il ne l'était il y a six mois. C'est sans doute une occasion unique sur le continent européen. Le marché s'est ajusté également au niveau des valorisations. Il y a les situations et géopolitiques en Europe de l'Est mais en Europe occidentale du Nord, il y a des dynamiques dans laquelle les valorisations se sont ajustées à la baisse. Presque dans certains cas jusqu'au niveau du Royaume-Uni. Mais ça passe également d'autres choses. D'abord, il y a une augmentation notable de la demande de logements locatifs. C'est semblable à ce qui arrive en Amérique du Nord. On le voit en Europe continentale et en particulier dans le nord. Quel est l'élément déclencheur? C'est la migration vers les grandes villes. C'est le fait que les gens fondent des familles. Plus tard dans la vie et que les familles sont moins nombreuses. Même si la population d'un pays est inchangée, le nombre de ménages augmente et ce sont les ménages qui influent sur la demande de logement. Il y a donc une occasion à saisir dans le secteur multi résidentielles en Europe et en particulier dans les pays nordiques. - Il y a un certain nombre de choses intéressantes qui se produisent, les valorisations, ont en général baissé, que ce soit de phénomènes industriels, bureau résidentiel. Il y a des opportunités surtout dans les immeubles multi résidentielles mais aussi dans le secteur industriel. Parce que ces valorisations ont baissé beaucoup plus considérablement que ce n'est le cas dans d'autres régions du monde. - Merci pour ces commentaires très intéressants! Cette question géographique: comment comportant immobilier canadien par rapport aux États-Unis? - Bonne question. Le Canada a l'avantage de bénéficier d'une immigration considérable, ce qui crée un plancher pour certains secteurs de l'immobilier, surtout les immeubles résidentiels. Multiple. Les États-Unis ont une dynamique un peu différente. Il y a de l'immigration, mais il y a aussi beaucoup de migration, surtout des états plus coûteux aux états moins coûteux. Alors globalement, selon les décennies, il y a eu une immigration du nord-est de la côte ouest, aux états dits du soleil, le Texas, la Floride, la Géorgie et la Caroline. Nous prévoyons que cela se poursuivra. Toutefois, nous avons une certaine modération dans la croissance des loyers dans ces états, parce qu'il y a eu une réponse au niveau de l'offre. Nous sommes toujours positifs à long terme, parce que ces tendances migration vont se poursuivre. Mais à court terme, il y aura une modération de la croissance du logement locatif. Il y a une forte croissance jusqu'à 20 % en 2021 2022. Les bureaux, il y a un peu moins de volatilité au Canada par rapport aux États-Unis. C'est en partie parce que nous avons une dynamique différente au niveau des prêteurs par rapport aux États-Unis, en partie parce que nous avons moins d'offres dans certaines villes comme Toronto et Vancouver, comme ça été le cas dans d'autres villes, comme New York et Los Angeles. Il y a des ressemblances au niveau de la rapidité ou du rythme du retour au bureau, c'est semblable dans les deux pays, mais c'est un peu différent au niveau des dynamiques je viens d'évoquer. Le détail. C'est semblable dans les deux pays. Nous avons la dynamique du commerce électronique. Le Canada a vraiment rattrapé le degré de pénétration des États-Unis. Et donc au Canada, la question est plutôt la suivant: si vous possédez des immeubles, vous pouvez bénéficier de cette dynamique, c'est-à-dire une attitude plus positive des locataires. L'économie est une préoccupation. Mais les consommateurs dépensent. Si vous vous éloignez de ces dynamiques à court terme, à plus long terme, il y a différents immeubles de détails. Le centre commercial donc beaucoup de centres commerciaux C oui le détail, mais c'est la conversion résidentielle. Cette thèse est plus convaincant dans ce pays où il y a plus immigration que ce n'est le cas par exemple aux États-Unis où tout dépend de l'État, et de la ville dont il s'agit. Inversement, les commerces de détail aggloméré autour d'un magasin d'alimentation continue de se comporter très bien. Enfin, le secteur industriel est très positif dans les deux pays, au Canada, il y a eu des marchés assujettit un plus grand nombre de contraintes. Vous pourriez prendre marcher industriel tout entier au Canada au niveau de la superficie, et le placer dans les états du Midwest. Il y a aux États-Unis énormément d'immobilier industriel. La dynamique de l'offre de la demande est beaucoup plus important aux États-Unis que dans certaines régions, il y a une augmentation de l'offre par rapport à la demande. Même si la demande est toujours forte, là où il y a une forte croissance de l'offre, il faut songer à l'équilibre entre les: il y a eu beaucoup plus importance attachée à cela aux États-Unis qu'au Canada, où l'offre a été plus atténuée par rapport à la flambée des demandes de secteurs industriels. - Colin Lynch répond à vos questions sur l'immobilier dans quelques minutes. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. je vous rappelle comment nous poser vos questions: avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser: soit par courriel, moneytalklivetd. com,, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct!
La croissance aux États-Unis a beaucoup ralenti pendant le premier trimestre. L'économie continueront de refléter l'impact de la série de hausse de taux pratiqués par la fête pour maîtriser les faire l'inflation. Anthony Okolie comment les dernières statistiques sur l'économie américaine. - L'économie Amérique américaine ralentit beaucoup moins que prévu. Le PIB augmentant de 1,1 % au premier trimestre. Là où en deçà de l'estimation de 2 % des milieux financiers. Il y a eu un ralentissement considérable par rapport à l'inflation une augmentation de 2,6 % au quatrième trimestre entre octobre et décembre, c'est également baisse par rapport aux 3,2 % de taux annuel au troisième trimestre de 2022. Les dépenses de consommations qui représenteraient 70 % de l'activité économique aux États-Unis ont été le principal facteur la croissance avec une hausse de 3,7 % au premier trimestre. Ce qui représente le rythme le plus rapide depuis le deuxième trimestre 2021. Service économique est aidé signal résilience marché du travail et la réduction des pressions inflationnistes comme étant les facteurs qui ont maintenu le revenu réel des ménages et entretenus le rythme des dépenses de consommation premier trimestre. Les Américains ont surtout acheté des biens durant, bien ménagé, auto, télévision immeubles ainsi que les services dans le premier trimestre. La faiblesse du trimestre attribuable à la forte baisse des inventaires des entreprises. Ils ont diminué de 2,3 % vous réduit la croissance de base 2,3 %. Les compagnies réduisent typiquement leurs inventaires lorsqu'elles s'attendent un ralentissement économique à venir. Le marché du logement États-Unis qui est très vulnérable à la hausse des taux d'emprunt avait une baisse de l'investissement dans le secteur résidentiel pour le huitième trimestre de suite. L'indice des dépenses de consommation personnelle qui est une mesure inflation préférée de la Fed a augmenté plus que prévu. Laissant faisant naître une crainte de stagflation, une combinaison de stagnation économique inflation. Toutefois, on prévoit que l'effet cumulatif des hausses de taux est un resserrement des normes de montage de prêt exercera un rôle de ralentissement sur la demande aux États-Unis qui devraient être nuls dès le deuxième trimestre. Vu que la prochaine décision de la Fed sera annoncée dans moins d'une semaine, ce que vous pensez que la fête pour être amené à changer de cap avec ces statistiques? - Non. Les marchés prévoient une augmentation d'un quart de pour cent mercredi prochain, ce qui salin sur les perspectives de service économique TD. Cette hausse ferait passer le taux de la Fed de cinq à cinq écarts pour cent. Service économique TD prévoit que l'activité économique continuera de ralentir aux États-Unis, qui devraient continuer à atténuer les pressions inflationnistes et le taux de rotation inquiétant pour le reste de l'année! Vous venez d'entendre Anthony Okolie! À présent, un coup d'œil sur le marché: l'indice TSX composite, 115 points de hausse, un peu plus de 2000 %, indice S&P 500, tandis que la saison des annonces bénéfice poursuit, les grandes entreprises technologies annoncent des résultats positifs. L'indice progresse de 50 points, soit un peu plus de 1 %. Colin Lynch répond à vos questions sur l'immobilier. Sans doute là que nous pourrons répond: le secteur de la santé en plein essor. Est-ce qu'il a des conséquences immobilières? - C'est intéressant, car oui il y en a. On connaît peut-être les FR et de santé qui s'occupe des cabinets de médecins par exemple, mais il y a un secteur de l'immobilier des sciences de la vie. C'est là où les recherches sont faites sur des traitements pour des maladies qui nous affectent tous. Comment la vie pendant la pandémie de Covid-19, ces recherches sont très importantes. Et ces recherches sont financées par des firmes de capital-risque. Le gouvernement et les compagnies pharmaceutiques. Beaucoup de chercheurs sont reliés à des universités. Ce sont des professeurs d'université, ils ont des laboratoires dans les universités. Pourquoi c'est intéressant niveau d'immobilier? Parce que ces chercheurs veulent être implantés à proximité de l'université. Mais quand ils ont des compagnies privées, c'est compagnies ne doive pas nécessairement être implanté sur les campus universitaires. Une possibilité intéressante d'être propriétaire de l'immobilier où ces recherches sont faites. Les laboratoires sont là, les bureaux sont la. Par conséquent, si on remonte à l'équilibre entre l'offre et la demande, la demande de ses le coups de recherche a augmenté considérablement. L'offre est plus limitée. Car ce travail ne peut être fait qu'à proximité d'université à forte intensité médicale. Boston, San Diego, le triangle de recherche aux États-Unis. Cette dynamique nous plaît. Il y a beaucoup de demande et l'offre est limitée. Les résultats pour les locaux construits pour les sciences de la vie, les loyers ont augmenté spectaculairement. Ce ne sont pas tous les locaux qui peuvent être consacrés aux sciences de la vie, parce qu'il faut une certaine hauteur de plafond, il faut une conformité à certains codes d'incendie. Certains affirment qu'on peut convertir n'importe quel bureau en immobilier consacré aux sciences de la vie, ce n'est pas notre avis. Il y a certains types particuliers d'immeubles qui conviennent à ce type de locataire. Donc il ne s'agit pas uniquement de l'implantation physique, il s'agit également des caractéristiques des immeubles. On a un immeuble qui se prête très bien à cela et qui est bien implanté pour ses locataires. En général puis pas simplement dans un étroit donné de la pandémie, mais même auparavant, nous avons vu d'excellents résultats! C'est passionnant! Je n'avais pas encore entendu parler de cette idée c'est pourquoi nous vous invitons. J'apprends toujours beaucoup de choses nos spectateurs aussi. Merci beaucoup. Colin Lynch est chef des placements immobiliers à Gestion d'actifs TD! Demain, mise à jour sur les marchés et les statistiques du PIB au Canada et lundi, Michael Craig chef de la répartition d'actifs à Gestion d'actifs TD va répondre à vos questions sur la répartition d'actifs. Je vous rappelle que vous pouvez nous composer vos questions partout en tout temps à moneytalklivetd.com. Merci et au revoir!
La croissance aux États-Unis a beaucoup ralenti pendant le premier trimestre. L'économie continueront de refléter l'impact de la série de hausse de taux pratiqués par la fête pour maîtriser les faire l'inflation. Anthony Okolie comment les dernières statistiques sur l'économie américaine. - L'économie Amérique américaine ralentit beaucoup moins que prévu. Le PIB augmentant de 1,1 % au premier trimestre. Là où en deçà de l'estimation de 2 % des milieux financiers. Il y a eu un ralentissement considérable par rapport à l'inflation une augmentation de 2,6 % au quatrième trimestre entre octobre et décembre, c'est également baisse par rapport aux 3,2 % de taux annuel au troisième trimestre de 2022. Les dépenses de consommations qui représenteraient 70 % de l'activité économique aux États-Unis ont été le principal facteur la croissance avec une hausse de 3,7 % au premier trimestre. Ce qui représente le rythme le plus rapide depuis le deuxième trimestre 2021. Service économique est aidé signal résilience marché du travail et la réduction des pressions inflationnistes comme étant les facteurs qui ont maintenu le revenu réel des ménages et entretenus le rythme des dépenses de consommation premier trimestre. Les Américains ont surtout acheté des biens durant, bien ménagé, auto, télévision immeubles ainsi que les services dans le premier trimestre. La faiblesse du trimestre attribuable à la forte baisse des inventaires des entreprises. Ils ont diminué de 2,3 % vous réduit la croissance de base 2,3 %. Les compagnies réduisent typiquement leurs inventaires lorsqu'elles s'attendent un ralentissement économique à venir. Le marché du logement États-Unis qui est très vulnérable à la hausse des taux d'emprunt avait une baisse de l'investissement dans le secteur résidentiel pour le huitième trimestre de suite. L'indice des dépenses de consommation personnelle qui est une mesure inflation préférée de la Fed a augmenté plus que prévu. Laissant faisant naître une crainte de stagflation, une combinaison de stagnation économique inflation. Toutefois, on prévoit que l'effet cumulatif des hausses de taux est un resserrement des normes de montage de prêt exercera un rôle de ralentissement sur la demande aux États-Unis qui devraient être nuls dès le deuxième trimestre. Vu que la prochaine décision de la Fed sera annoncée dans moins d'une semaine, ce que vous pensez que la fête pour être amené à changer de cap avec ces statistiques? - Non. Les marchés prévoient une augmentation d'un quart de pour cent mercredi prochain, ce qui salin sur les perspectives de service économique TD. Cette hausse ferait passer le taux de la Fed de cinq à cinq écarts pour cent. Service économique TD prévoit que l'activité économique continuera de ralentir aux États-Unis, qui devraient continuer à atténuer les pressions inflationnistes et le taux de rotation inquiétant pour le reste de l'année! Vous venez d'entendre Anthony Okolie! À présent, un coup d'œil sur le marché: l'indice TSX composite, 115 points de hausse, un peu plus de 2000 %, indice S&P 500, tandis que la saison des annonces bénéfice poursuit, les grandes entreprises technologies annoncent des résultats positifs. L'indice progresse de 50 points, soit un peu plus de 1 %. Colin Lynch répond à vos questions sur l'immobilier. Sans doute là que nous pourrons répond: le secteur de la santé en plein essor. Est-ce qu'il a des conséquences immobilières? - C'est intéressant, car oui il y en a. On connaît peut-être les FR et de santé qui s'occupe des cabinets de médecins par exemple, mais il y a un secteur de l'immobilier des sciences de la vie. C'est là où les recherches sont faites sur des traitements pour des maladies qui nous affectent tous. Comment la vie pendant la pandémie de Covid-19, ces recherches sont très importantes. Et ces recherches sont financées par des firmes de capital-risque. Le gouvernement et les compagnies pharmaceutiques. Beaucoup de chercheurs sont reliés à des universités. Ce sont des professeurs d'université, ils ont des laboratoires dans les universités. Pourquoi c'est intéressant niveau d'immobilier? Parce que ces chercheurs veulent être implantés à proximité de l'université. Mais quand ils ont des compagnies privées, c'est compagnies ne doive pas nécessairement être implanté sur les campus universitaires. Une possibilité intéressante d'être propriétaire de l'immobilier où ces recherches sont faites. Les laboratoires sont là, les bureaux sont la. Par conséquent, si on remonte à l'équilibre entre l'offre et la demande, la demande de ses le coups de recherche a augmenté considérablement. L'offre est plus limitée. Car ce travail ne peut être fait qu'à proximité d'université à forte intensité médicale. Boston, San Diego, le triangle de recherche aux États-Unis. Cette dynamique nous plaît. Il y a beaucoup de demande et l'offre est limitée. Les résultats pour les locaux construits pour les sciences de la vie, les loyers ont augmenté spectaculairement. Ce ne sont pas tous les locaux qui peuvent être consacrés aux sciences de la vie, parce qu'il faut une certaine hauteur de plafond, il faut une conformité à certains codes d'incendie. Certains affirment qu'on peut convertir n'importe quel bureau en immobilier consacré aux sciences de la vie, ce n'est pas notre avis. Il y a certains types particuliers d'immeubles qui conviennent à ce type de locataire. Donc il ne s'agit pas uniquement de l'implantation physique, il s'agit également des caractéristiques des immeubles. On a un immeuble qui se prête très bien à cela et qui est bien implanté pour ses locataires. En général puis pas simplement dans un étroit donné de la pandémie, mais même auparavant, nous avons vu d'excellents résultats! C'est passionnant! Je n'avais pas encore entendu parler de cette idée c'est pourquoi nous vous invitons. J'apprends toujours beaucoup de choses nos spectateurs aussi. Merci beaucoup. Colin Lynch est chef des placements immobiliers à Gestion d'actifs TD! Demain, mise à jour sur les marchés et les statistiques du PIB au Canada et lundi, Michael Craig chef de la répartition d'actifs à Gestion d'actifs TD va répondre à vos questions sur la répartition d'actifs. Je vous rappelle que vous pouvez nous composer vos questions partout en tout temps à moneytalklivetd.com. Merci et au revoir!