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Bonjour, ici Greg Bonnell. Aujourd'hui nous allons voir 3 points de vue sur l'incertitude des marchés. Au sujet d'une plus qu'une réception pourrait signifier pour les prix des produits de base. Hafiz Noordin va nous parler des occasions de placement, et Francis Fong va nous parler des questions hypothécaires. Et enfin, dans le secteur éducation, nous allons examiner comment vous pouvez comprendre les cotes qu'accordent les analystes carencent à Caitlin Cormier. Auparavant, mise à jour sur le marché boursier. Bien sûr, les Américains, le 4 juillet, leurs marchés sont fermés. Le TSX cependant, première journée de la deuxième démis de l'année. Financière. Fait beaucoup de rattrapage. Rappelez-vous que les Américains, alors que nous étions fermés au Canada, avait un marché actif. Maintenant nous avons grosse TSX de presque 1 %. Voyons quelques-uns des gagnants et des perdants. D'abord, vermillon énergie, 9 % de plus. (...) augmentation de presque 7 %. Voyons un peu. Presque 3 % de réduction du cours de l'action pour atteindre 38,21. Voilà la mise à jour du marché boursier. Les prix des produits de base ont été à la hausse en 2022, mais maintenant pas de récession. Ça va peut-être changer les choses. Nous avons parlé au responsable de ces questions qui nous indiquent pourquoi une réduction du prix des produits de base comme le pétrole les métaux de base ne dureraient pas longtemps. Je pense que ce produit, comme tous les autres , seront affectées par un ralentissement important de l'activité économique. Commençons par les métaux industriels et peut-être les pétroles superflus ont tendance à réagir le plus à une réduction de l'activité économique dans le monde. En règle générale, à cette étape du cycle, on a beaucoup d'action, beaucoup de stocks, beaucoup de produits en stock et un nombre important d'investisseurs potentiels. On a aussi normalement des spéculations assez effervescentes, spéculateurs des gestionnaires de fonctions une position assez longue. Lancement bien sûr, les banques centrales exercent leur resserrement le plus important qu'on est constaté depuis une quarantaine d'années environ. Bien sûr, c'est attribuable à l'inflation. Aucune des banques centrales ne s'attendait à tout cela. Qu'elle veuille ou non, elles devront ralentir l'économie pour subir (. ..) parce qu'elles sont en grande partie attribuable à l'offre, la COVID et bien sûr la 44. Qu'est-ce que ça? Lorsque l'économie ralentit, la demande ralentit, les conditions s'assouplissent. Les investisseurs, qui ont une opposition longue assez agressive, tendent à se retirer. Le constat déjà. Et même dans le cas du pétrole, les prix se sont éloignés des pics de plus de 130 $ et se retrouve environ à 113 $. Le prix du cuivre a déjà baissé de 20 % par rapport à des niveaux de plus de 10000 $ et si ce qui s'est produit un peu partout, même lors, qui a tendance à être perçu comme une protection contre l'inflation, un actif stabilisateur, même l'or tend à fléchir lorsque les taux d'intérêt, en particulier du côté concret, baisse. Tous les produits de base ont reculé, et si on prévoit une détérioration marquée de la croissance, on anticipe d'autres baisses. (...) on pense que la demande augmentera, on crée une récession, mais en même temps où en est l'offre que le monde réclame? - Eh bien oui, ce graphique est très révélateur. On voit que les stocks n'ont jamais été aussi bas. Ils ont soutenu les prix des produits de base, pas seulement cette tactique, ou prévoit un assouplissement de la demande, on ne dit pas que la demande va diminuer sur 12 moi, mais que le taux de croissance ralentir. Cela dit, on s'attend à ce que les investisseurs spéculatifs adoptent des positions plus courtes sur le marché et que les prix chutent. Ce n'est pas vraiment ce qu'on voit. Dans les prochains mois, on pense même que le prix du pétrole pourrait augmenter pour le trimestre. On a un prix moyen environ 116 à 118 $, ce qui signifie qu'auprès facilement. Pourquoi? L'OPEP ne semble pas avoir de capacités excédentaires qu'elle pourrait déployer rapidement. D'ailleurs, Monsieur Macron l'a confirmé lors de la réunion du G7. Il a chuchoté à l'un des autres leaders mondiaux que d'autres pays n'ont pas une grande capacité. Comme dans une situation où on ne peut pas se tourner vers eux. On regarde les données, la capacité de réserve, ça semble bel et bien être fait. L'OPEP a fait une promesse d'augmentation de la production d'environ 648 000 barils par jour au cours des prochains mois. Ils ont été à cet égard très décevant, je dois le dire. Ils ne sont pas en mesure de tenir leurs promesses. Les pays qui ont un quota de production n'ont pas la capacité nécessaire. C'est une déception, je me répète. Ils ne peuvent pas vraiment livrer la marchandise. Les pays qui ont un quota de production n'ont pas la capacité nécessaire de le faire. Le Nigéria, nous via l'esprit. ils ont un retard de 2 millions $. Ils nous ont dit l'autre jour(.. .)La peine d'environ 1 million de barils par jour, la perte n'a. Les gens ont encore de l'argent je pense qu'on a tous assez d'être la maison et qu'on envie de sortir. Faire le plein, c'est cher, mais on veut bouger. Et c'est vrai pour le Carbo réacteur. Les prix des billets d'avion montaient en flèche la demande reste élevée. Il n'y a pas vraiment d'élasticité du prix de la demande que normalement pourrait prévoir avec une hausse des prix. Les gens veulent sortir. Qu'est-ce que ça veut dire pour les prochains mois? Avec la saison de conduite automobile et la fin de semaine du 4 juillet aux États-Unis, la consommation d'essence sera beaucoup plus élevée qu'à l'habitude. Et qu'à n'importe quelle autre période de l'année. La capacité de raffinage, elle, était suffisant. Le pétrole et la capacité de raffinage russe ne peuvent pas vraiment nous atteint en raison des sanctions. Les prix de l'essence de Redon continue d'augmenter en Amérique du Nord dans les prochains mois. J'en ai peur, en tout cas. Les écarts s'agrandissent entre le prix de vente des 10 et le prix du brut, c'est-à-dire le pétrole qui va à la raffinerie pour en faire un produit utilisable. Comment en flèche. pendant un certain temps, ces marchés vont continuer de se resserrer même si à un moment donné l'OPEP et d'autres producteurs que les producteurs de gaz de schiste américain pouvaient gérer une offre accrue. La Chine dans tout cela, qui semblait prévisible, vont-ils prendre des mesures de confinement plus restrictive et on va s'inquiéter de leurs besoins en produits de base, ou s'ils vont passer ce cap? On passe à court terme, le risque, c'est que temporairement il faut augmenter le marché. On a parlé de la demande cessionnaire aux États-Unis, en Amérique du Nord, et de l'hémisphère occidentale en général, parce qu'on se déplace pour s'amuser un peu. On a besoin de carburant pour tout ça. La Chine, elle, a été au confinement. Zone politique de tolérance zéro à l'égard de la COVID et on a vu des villes entières de millions de personnes, des dizaines de millions de personnes, entre Beijing et Shanghai, c'est plus que l'ensemble de la population du Canada qui était confiné. Les données démontrent, il y a une réouverture. Si on suit les données sur la mobilité, il semble que les personnes passées. On verra probablement plus grande ouverture. Ça signifierait que les flux de pétrole brut et d'énergie vers la Chine vont être consommées plus rapidement et pendant les confinements. Je pense que c'est une hypothèse très raisonnable. Alors que la saison de conduite se termine ou atteint un pic dans l'hémisphère occidentale et qu'on n'a pas de nouvelles, il y aura peut-être des sanctions plus sévères contre la Russie, et qu'elle offrait des candidatures les faits, tous substituts comme les produits pétroliers de toutes sortes, s'ils peuvent les utiliser, ils vont le faire. Ça signifie que ce marché pourrait s'ouvrir pour les prochains mois. Je vous dirai que ce serait temporaire. Si on regarde au-delà du troisième trimestre dans les derniers mois de 2022 et le débuts de 2023. On s'attend à ce que la Chine enregistre pas la croissance quelques années normalement. Traditionnellement, depuis une trentaine d'années, on pouvait toujours compter sur la Chine pour combler nos lacunes. Cela a été le marché des produits de base. Ce n'est pas ce que nous anticipons. Avec un peu de chance, le PIB de la Chine augmentera de 4 %. De nombreux analystes pensent qu'il s'agira peut-être trop pour ça. Ça ne favorise pas de montrer au bus. On ne va pas être beaucoup aidé à cet égard. Ma thèse sur le redressement du marché des produits de base serait probablement renforcée, c'est-à-dire que, d'abord les choses s'amélioraient, peut-être même pour certains métaux de base, mais certainement dans le milieu de l'énergie, ça va être… la situation se détériore de nouveau. C'était Bart Melek. Assurez-vous écouter notre émission mercredi, le secteur minier. Mettre un peu ce qui compte par le monde des affaires et ce qui se passe sur Bay Street. Prévoit une inflation canadienne pendant plus longtemps. Il y a ce problème de chaîne d'approvisionnement, de prix élevés des produits de base, donc l'inflation resterait au-delà de la cible de 2 % pendant trois ans au plus. Ce qu'on prévoit. La plupart des dirigeants d'affaires prévoient que l'inflation va rechuter à 2 % d'ici cinq ans. Quand on leur demande ce qu'il faudrait pour maîtriser l'inflation, on dit des taux d'intérêt plus élevé, des chaînes d'approvisionnement amélioré des coudées d'énergie réduits. La proposition de fusion Roger Shaw fait face à une certaine position.aujourd'hui les parties entreprennent des discussions, médiation, et dans une dépêche Shaw dit qu'elle est favorable à cette entente mais tient compte du risque augmentation du 6 juillet.à Singapour, Vald décide d'empêcher les gens de retirer des fonds. Des clients qui ont besoin de répondre à des appels à la marge. le bitcoins a chuté de quelque 70 % de son pays qu'en novembre. C'est le 4 juillet, les marchés ne sont pas ouverts aux États-Unis, mais les TSX à Toronto à quatre impies de 201 point. C'est le début de cette deuxième moitié de l'année. Il n'y a pas eu de négo pendant la fête du Canada, le 1er juillet les Américains? Va réciter vers de leur côté aussi pour cette deuxième moitié de l'année. Voyons un peu demain. Ce sera la lancée officielle de la première journée de la deuxième moitié de l'année. Je ne sais pas si j'ai bien dit des choses. Je me suis peut-être mal exprimé. Le marché obligataire s'en intéressant. Si vous voulez diversifier, vous voudrez peut-être tenir compte des marchés émergents. Hafiz Noordin nous parle des occasions qui s'offrent. La hausse des taux d'intérêt rende le marché obligataire un peu plus intéressant pour le parfum depuis des années. C'est une période? La croissance devrait ralentir quelque peu. Certains sont plus touchés par l'évasion de l'Ukraine par la Russie, mais un certain nombre de pays ont pris des mesures proactives pour relever les taux d'intérêt et leurs banques centrales l'ont bien fait, on fait bien avant les mesures prises par la banque du Canada. Certaines CP sont également des exportateurs de produits de base sont donc liées à ce cycle qu'on a observé dans la hausse des prix des produits de base et ça leur a été bénéfique. C'est une occasion intéressante d'améliorer un portefeuille de titres à revenu fixe. De belles occasions pour les marchés émergents il ne s'agit pas que d'un seul groupe qui a les mêmes caractéristiques. Parlez-nous des diverses catégories. l'Amérique latine à mon avis est une des régions les exportations de produits doit-on vraiment contribuer à stimuler les recettes budgétaires et à stabiliser les monnaies. À l'autre bout du spectre, il y a un certain nombre d'importateurs de produits de bases qui ont été perdant. L'Inde, beaucoup de pays asiatiques, certains pays d'Europe de l'Est, quand ils importent des produits de base, ça exerce beaucoup plus de pression sur leurs équilibres budgétaires. Ça a entraîné une nouvelle hausse de l'inflation. Par ailleurs il y a un autre facteur. Dans quelle mesure certaines CP ont-ils progressé ou pris du retard par rapport à la hausse des prix? Certains pris du retard, comme en Europe de l'Est au début d'année. Ils ont éprouvé beaucoup plus de difficultés. Simplement parce que doivent mettant vraiment attraper la hausse de leurs taux. En plus, il y a le sentiment à l'égard de l'invasion de l'Ukraine par la Russie qui les inquiète. Je crois que ce sont là les liens avec les produits de base, et la façon dont les banques centrales relèvent lors taux d'intérêt face à l'inflation. On a beaucoup parlé de la scène, évidemment, parce que le monde entier sauvait la réserve américaine, la banque centrale la plus importante. Ici au Canada, c'est intéressant, c'est parlé du fait que certaines banques centrales ont été plus proactif que notre banque centrale. Tout à fait. Je pense que ce qui se passe dans certains marchés émergents, et le Mexique et le Brésil sont probablement de bons exemples de pays où l'inflation rapidement augmentait l'an dernier, les siècles passés leur ont appris qui doit prendre les devants sinon il pourrait perdre le contrôle de leur devise. Ce qu'ils ont fait, en Amérique latine, il y a eu environ 650 points de base de hausse entre 2021 et aujourd'hui. En comparaison, a la FED et la banque du Canada ont relevé leur taux d'environ 150 points de base. convaincus que l'on tout est suffisamment élevé pour contrer l'inflation. Ils ont profité de ces entrées de capitaux et maintenus une certaine cabine stabilité économique. (...) il y a une distinction à faire. Il existe certainement des solides sociétés des qualités investissement cotées à, je pense à la Chine et le Pérou, qu'on est très faible taux d'endettement, le gouvernement gère bien les équilibres budgétaires, il y a des zones comme le Mexique et l'Indonésie, la qualité de leur crédit plutôt bonne mais il y a d'autres risques à surveiller pour s'assurer qu'ils ne seront pas rétrogradés au niveau des taux de rendement élevé. Entre-temps, on a une compensation pour ces risques là. Et il y a certainement des titres à rendements élevés qui peuvent devenir beaucoup plus risqués. Si on fait de bonnes recherches, il a de bonnes occasions. Il y a en définitive d'études pour lesquels les choses pourraient déraper assez rapidement sans que le gouvernement fasse adéquatement les choses. Sa prédestination de défaut de paiement. Tout comme pour le marché des obligations de société, il faut faire des recherches. Je ne crois pas que les marchés émergents soient un placement passif. (...) J'ai l'impression que l'auditoire est probablement intrigué. Parlant de ça. De faire nos devoirs. D'évaluer les divers marchés émergents. Parlez-nous analyse. On commence par la macro stabilité. Je veux dire par là, y a-t-il des règles pour gérer les équilibres budgétaires? Les marchés émergents ont l'avantage d'être des pays à forte croissance parce que la population croît plus rapidement. L'amélioration de la productivité peut donner il y a plus de gains, mais habituellement le piège dans lequel il tombe c'est la mauvaise gestion de leurs équilibres budgétaires. Dans certains pays, le ratio endettement PIB est de 90 %, ce qui est très élevé. Plus élevé que dans certains marchés développés. C'est là qu'il faut se demander s'ils ont atteignent, est-ce qu'il met en place des règles, des plafonds de dépenses budgétaires pour s'assurer que ça ne va pas trop loin? L'autre aspect conservé, ce sont les réserves. La volatilité des devises est élevée, c'est le cas actuellement, il faut sans cesse assurer que les marchés émergents qui empruntent en dollars américains et en heureux dispose des réserves de change nécessaire pour remplacer certaines de leurs dates externes. Et vérifier qu'ils ne les consacrent pas à des mesures non productifs. je voulais vous demander au niveau des réserves américaines, comment se gérer. Tout le monde se tourne vers la Fed. Si la Fed maintenait ces mesures énergiques, qu'est-ce que ça frappe les occasions dans les marchés émergents? C'est très bien ce que vous dîtes. C'est le cas actuel. Pour l'instant, Macha tenu compte des hausses de taux qui, selon nouveaux obligeaient la Fed à dépasser une zone. reste que ça s'accélère si l'inflation continue de prendre de la vitesse. Je pense que ce que ça frais, c'est que les marchés émergents qui n'ont pas suffisamment de réserves vont commencer à se retrouver avec des dettes en dollars américains plus élevés qu'ils vont devoir commencer à rembourser. La Turquie est un bel exemple, un pays dont les réserves sont très faibles et la Turquie une politique monétaire peu orthodoxe, la tendance à connaître des difficultés très périodes comme celle-ci. Avec le dollar américain qui a déjà commencé à grimper, il est obligatoire qu'on commence à grimper aussi. En revanche, certains pays comme le Brésil ont des réserves très solides. Leur nouveau délai d'endettement est élevé mais ont tellement de réserves qu'ils ont tirées parties des importations de produits basés peuvent probablement amortir ces chocs. Voilà, c'était Hafiz Noordin qui nous parlait de ces questions. On abordera encore plus succès pendant les marchés mercredis. Damian Fernandez va se joindre à nous. maintenant, segment éducatif. Caitlin Cormier, qui est formatrice, à part la parole maintenant. Ravi de vous accueillir. Allez-y. - Merci beaucoup. Oui bien sûr, CourtierWeb nous offre de bons outils. C'est un centre d'analyse, au fond. Au lieu de simplement voir les recommandations, on a du contexte plus complet. Voyons un peu à quoi cela ressemble et où trouver cet outil. Ce qu'on fait, ce qu'on va cliquer ici selon les recherches, le deuxième onglet partant de la gauche, et on va au centre l'analyse, qu'on voit l'écran. Ici, on a l'ensemble des rapports. Quand il s'agit de ce centre, quand on passe à cette page, qu'est-ce qu'on voit? À droite, certaines des codes qu'on voit leur actuelle, la date à laquelle ça été publié, aujourd'hui dans la plupart des cas, la journée même, qui est l'analyste, quelles sont ses prévisions, quel que a-t-il attribut, est la cible du cours d'action. Ça nous permet de résumer des situations, et si on fait défiler vers le bas, on voit des prévisions qui ont été accordées dans le passé et on peut choisir la cote des analystes en lui accordant par exemple cinq étoiles, et peut-être qu'on cherche aussi des occasions d'achat qu'on peut cocher cette case là, pour lancer le filtre, et on peut choisir des secteurs de marché pour voir les secteurs d'activité qui nous intéresse. Là encore, ici Apple, beaucoup de renseignements très bien résumés, très intéressants. comment trouver des actions qui sont très souvent analysées par des spécialistes? On peut voir les grandes tendances. Déjà, c'est filtré pour ce qui rassemble plus de côté les meilleurs codes. Ici Netflix. Beaucoup d'analystes les suivent. Amazon, Meta que les analystes suivent aussi. Si on veut appliquer un filtre plus précis, pour tel ou tel secteur d'activité, on va vers le bas de l'écran ayant choisi 10 ans pour les produits de consommation, Amazon, tesla, Target, Walmart, Wayfair. C'est une façon de filtrer pour voir ce que les analystes disent. Très intéressant comme toujours. Merci beaucoup. Caitlin Cormier, responsable de la formation. Allez vérifier ce que nous vous offrons sur notre site Web pour trouver des webinaire et ainsi de suite. Les marchés en ce 4 juillet, s'est fermé aux États-Unis, nous revenons de notre propre longue fin de semaine et la bourse est ouverte évidemment. presque 207. À la hausse, un gain de 1 % environ. Voilà les titres dont on retient les noms. Canadian Natural Resources, une hausse. Manuvie aussi, qui a grimpé de 1,74 %. 22,71 $ l'action. Et Canada Goose, qui fabrique des vêtements hauts de gamme, une baisse de 4 %. Les taux d'intérêt à la hausse ralentissent certains secteurs du marché domiciliaire au Canada, mais ça ne veut pas dire que tout cela devient plus abordable. Francis Fong s'est joint à moi plutôt pour aborder ces questions. Vous êtes un acheteur potentiel, vous pensez peut-être les plus beaux commencent à baisser, mais ce ne sera pas forcément le cas malheureusement. Les prix des maisons chutées d'environ 10 %, les ventes ont diminué d'environ 25 % et on prévoit qu'au cours du reste de l'année les prix vont diminuer d'environ 10%. Mais la banque du Canada a déjà augmenté les taux d'environ 125 points de base, les taux hypothécaires ont augmenté d'environ 140 points de base par rapport à l'automne dernier, donc si on prévoit une hausse encore plus marquée des taux d'intérêt, on va observer une hausse importante des taux hypothécairesdans l'ensemble. D'après nos estimations, si les taux d'intérêt augmentent d'environ un point de pourcentage, il va falloir au moins une baisse de huit à 11 % pour que les paiements hypothécaires mensuels restent sensiblement les mêmes. Essentiellement, la baisse des prix est à peu près conséquente avec ce qu'on anticipe par rapport au taux d'intérêt. Dans l'ensemble, même s'il est présent un peu plus bas, vous allez tout de même avoir un paiement mensuel plus élevé serez un défi pour les gens qui se rachetaient. Évidemment, ça aide pour la mise de fonds, mais dans le même ordre d'idées, c'est votre épargne a été sur le marché au cours de la dernière année, ça n'a pas été très positif non plus. Vous avez parlé de pourcentage impressionnant, 20 % de diminution des prix par rapport au sommet, mais ça nous ramène même pas à la période précédant la pandémie. Prenons l'Ontario. On a vu une augmentation spectaculaire de plus de deux tiers mêlées hausse des prix à l'extérieur de la grande région de Toronto dans l'ensemble est encore plus élevé. Vraiment, cette sorte de baisse de l'abordabilité a touché tout le monde, alors qu'on a beaucoup vu le genre pendant la pandémie quitter les grandes villes et chercher des propriétés plus abordables ailleurs. Il y a certainement eu une hausse massive des prix après la pandémie et cette baisse ne fête pas que corriger la situation. On reviendra donc au niveau du début 2020 ou de la fin 2019. Je ne me rappelle pas que c'est exactement très abordable à l'époque. Certains disent évidemment que lorsque cette hausse de taux exerce des pressions sur les taux hypothécaires des ménageries c'est difficile pour eux, ça peut être mauvais pour le marché canadien de l'habitation. Je ne fais aucune prédiction, je ne suis pas économiste, mais qu'elle est la dynamique du marché depuis 10 ans? Je m'intéresse au marché immobilier canadien. Les gens se demandent quand le marché va capable de surmonter ces obstacles. La résilience a été impressionnante en comparaison de ce convoi de d'autres pays dans le monde. Au Canada, c'était solide. Cette histoire a toujours été fondée sur quelques éléments-clés. Si on regarde les sites d'exploitation et de (...) un énorme effondrement pendant la crise financière. Les facteurs de différenciation entre les pays, c'est la qualité du crédit. La forte hausse des prix aux États-Unis a été provoquée par des emprunteurs qui n'avaient fondamentalement pas les moyens d'acheter. Au Canada, depuis 10 ou 20 ans maintenant, c'est une hausse graduelle de la qualité du crédit, ce qui est absolument incroyable. Ce que ça nous dit, pour l'essentiel, c'est que les gens qui achètent à ce prix incroyablement élevé sont peut-être ceux qui sont les plus en mesure de cela permettent. Si on ajoute à tout cela que la formation continue des ménages surpasse l'offre de logements ou la construction de logements neufs, et la croissance de la demande globale provient de toutes sortes de personnes, on constate que le marché canadien de l'habitation s'est essentiellement maintenu malgré tous les chocs enlevés ces dernières années. Un bel exemple, Alberta. Après 2014, les prix du pétrole se sont effondrés. On aurait pu imaginer que la forte hausse des prix qu'ils avaient connus auparavant, le taux de chômage a doublé c'était lié à une hausse des taux d'intérêt à ce moment-là, et pourtant, on n'a jamais assisté à un effondrement majeur des prix des maisons. Ça a plutôt traîné de la patte, comme on dit, jusqu'à ce qu'à la situation s'améliore récemment. Il y a énormément de résilience. Maintenant, on teste tout ça à l'échelle nationale, peut-être. On anticipe une très forte hausse des taux d'intérêt et toute cette idée de la résidence marchée canadien va être mise à l'épreuve. Est-ce que ça revient marcher du travail? Je pense à la période avant les perturbations causées par la pandémie, si j'avais eu des invités devant moi, pour parler du marché de l'habitation, j'aurais demandé de les plus grands défis pour le marché de l'habitation. Il m'aurait répondu les emplois. Quand les gens ont un emploi, ils vont essayer de payer leur prêt hypothécaire. Qu'en est-il de la situation d'emploi Canada? Est-ce que ça non sans d'autres mots? Manifestement, le taux de chômage atteint un record de 5,1 %, son plus bas depuis 1974. Le marché du travail est extrêmement serré. Évidemment, c'est bien, c'est un bon point de départ mais ça signifie qu'il y a un certain risque qu'il y ait des revirements. Certainement à mesure que les taux d'intérêt vont commencer à grimper, je pense qu'il y a une certaine vulnérabilité du marché de l'habitation par rapport aux pertes d'emploi. Je pense que la vraie difficulté, si on regarde en arrière, même récemment, en Alberta encore une fois, le taux de chômage a doublé pendant cette période la. C'était la seule province à être aussi durement touché à cause des prix du pétrole. Pourtant, il n'y a pas eu de baisse structurelle des prix des maisons. C'est il est vraiment la question de savoir enfin compte qu'est-ce qui peut toucher le marché si le marché a déjà subi une forte hausse chômage des taux d'intérêt, qu'est-ce que ça prendrait de plus pour l'abattre? Je vais vous poser une dernière question. Je sais de comprendre ce qui se passe dans le marché immobilier canadien, véritable moteur, est-ce que c'était une combinaison de facteurs? La banque Canada effectue des recherches sur l'ampleur de l'activité des investisseurs sur le marché. C'est considérable. Est-ce qu'il y a un risque d'une baisse comme celle-ci et que les investisseurs commencent à disparaître? Eh bien oui, absolument. D'après les données récentes de la banque Canada, dont les recherches phénoménales proviennent son système financier, la proportion des acheteurs d'une première maison, habituellement plus de 50 % de l'ensemble des achats, a diminué de façon graduelle. Le repli s'est quelque peu accentué, les investisseurs ayant pris la relève ces deux dernières années après la pandémie, si on peut… est-ce que la situation peut traverser? Je pense que le vrai défi de déterminer d'où provient la croissance de la demande des ménages. En fin de compte, il y a eu une forte demande provenant de l'immigration des jeunes qui quittaient la maison de leurs parents, et est-ce que ce type de repli, si ça se produit, si les taux d'intérêt commencent à augmenter quelle abordabilité comment se détériorer? La situation difficile du point de vue de l'abordabilité. Est-ce que ce serait repli? Oui. Ce sera un plus de répit. On verra bien ce déclencheur de problèmes structurels. C'est à Francis Fong. on verra demain avec Andrew Kelvin. Un dernier coup d'œil sur le TSX. C'est la première journée de la deuxième moitié de l'année. La première moitié de l'année, on l'a vécu comme investisseur et ça n'a pas été réjouissant, mais maintenant, nous voyons du vert à l'écran pour lancer ce trimestre. les Américains sont fermes aujourd'hui, donc les volumes ne sont pas très prononcés. donc ça va être intéressant de voir ce qui se passera. Merci de vous nous avoir écoutés, nous vous retrouverons demain.