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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Aujourd'hui, Ben Gossack nous donne son point de vue sur ce que l'ampleur du marché dit de l'état de la reprise aux États-Unis.
Susan Prince analyse les derniers chiffres de l'emploi aux États-Unis avant le rapport clé sur l'emploi qui paraît vendredi. Juliana Faircloth et Evan Chen se demandent si le boom des actions liées à l'informatique représente ou non une bulle.
Nous poursuivons la découverte de la plate-forme avancée. Jason Hnatyk montre comment personnaliser son profil. Mais d'abord, un coup d'oeil sur les marchés.
L'indice TSX composé après une belle remontée en début de séance est toujours en progression de 251 points, soit plus de 1 %. Parmi les titres les plus activement négociés, beaucoup de sociétés de mines d'or. J'aurais pu choisir n'importe laquelle. Voici Barrick Gold, qui progresse de près de 4 %.
Le cours de l'or étant également en hausse.
Le secteur financier, la Manuvie progresse, modestement, mais avec un volume relativement élevé. Tout de même modeste puisque nous sommes sur le point d'aborder un jour férié aux États-Unis.
À 30,35 $, l'action de la Manuvie progresse. Avant que la bourse américaine ferme à 13 heures heure de l'est aujourd'hui, avant la fête du 4 juillet, l'indice S&P 500 progresse modestement.
L'indice Nasdaq à forte composante technologique est en hausse de 85 points.
Tesla continue de progresser. Les livraisons étaient en baisse sur 12 mois, mais l'action a tout de même progressé hier et progresse encore aujourd'hui.
De 6 % à 245,11 $ action.
La baisse n'était pas aussi importante que les marchés ne l'avaient craint.
Les banques centrales, y compris la réserve fédérale, surveillent les données.
Nous aussi. Quelques mots sur le marché du travail aux États-Unis. Susan Prince nous donne tous les détails.
- Oui, c'était des statistiques intéressantes.
ADP représente le cinquième de la gestion de la masse salariale aux États-Unis, procure donc des informations assez pertinentes. 150 000 nouveaux emplois, cela paraît positif, sauf que les marchés prévoyaient 160 000. Moins que prévu mais conforme à ce que les gouverneurs de banque centrale envisagent.
Ils souhaitent un ralentissement, mais léger. Voilà ce que nous constatons. Les chiffres sont intéressants car, ce n'est pas étonnant, quand on considère les chiffres estivaux, la croissance est surtout attribuable aux loisirs et à l'hébergement. Environ 60 000 emplois.
N'eussent été ces deux secteurs, les chiffres étaient beaucoup moins élevés.
Il y aurait eu un net recul. Quand on parle des salaires également de la persévérance dans les emplois, tout cela commence à reculer. Si vous quittez un emploi, ce qui signifie en général une augmentation de salaire, ce chiffre continue à diminuer.
Un autre signe que les résultats souhaités sont au rendez-vous. Il n'y a pas trop de dégâts, pas trop de baisse, mais c'est un ralentissement.
C'est ce qu'on appelait un scénario Boucle d'or, ni trop chaud, ni trop froid, mais juste la bonne température recherchée.
C'est intéressant en ce qui concerne les statistiques d'ADP, les statistiques du gouvernement américain paraissent vendredi, que tout le monde scrute. On envisage la création de 200 000 emplois.
Quelle est la différence entre ADP et le gouvernement?
Eh bien, le décompte fait différemment.
ADP envisage les données en fonction de la masse salariale que gère cette société. Ce qui représente le cinquième du secteur privé américain.
Voilà un chiffre qui représente une bonne estimation.
Le gouvernement américain sonde les entreprises et les ménages.
Le décompte se fait différemment. Il n'est donc pas étonnant qu'ils ne correspondent pas, mais ADP représente tout de même un événement avant-coureur.
- C'est comme un prélude mais il y a tout de même un écart entre le prélude et le chiffre définitif, puisque demain c'est le congé du 4 juillet, les données ISM sont en deçà de chiffre de 50, c'est-à-dire l'indicateur de la confiance des acheteurs.
Nous arrivons à un refroidissement sans trop de dégâts. Comment les taux d'intérêt peuvent-ils être aussi élevé à l'issue d'un cycle de hausse de taux historique avec des résultats aussi dynamiques de la part de l'économie?
- Oui, on assiste à l'apparition de signes que les gouverneurs attendaient.
Mollissement, recul.
On a souvent utilisé l'analogie de changement de cap d'un navire.
Cela ne peut se faire instantanément.
C'est très lent.
La Banque du Canada ne souhaite pas donner un coup de barre tellement brutal que cela créera des dégâts dans l'autre direction.
Chacun des chiffres qui paraissent commencent à indiquer, à concorder dans ce sens. C'est très positif pour la réduction des taux. Les rendements obligataires évoluent en conséquence.
- Merci et à demain. Vous venez d'entendre Susan Prince. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'oeil sur les marchés.
Constellation Brands a enregistré des bénéfices supérieurs à ceux du trimestre précédent mais les ventes ont été mitigées. L'action recule 3,25%.
Il s'agit de la société mère de Corona et Modelo. Les ventes nettes de son activité bière augmentent, toutefois la direction enregistre une baisse de 7 %.
(...) SouthWest Airlines adopte une pilule empoisonnée pour tenter d'écarter un investisseur activiste. Le plan de droit (...) exige le remplacement du chef de la direction et le président.
Southwest progresse de près de 1 %. Les ventes de véhicules aux États-Unis ont chuté d'un mois sur l'autre.
(...) Services économiques TD souligne que les ventes de véhicules légers ont été plombées par une cyber attaque de la société de services de gestion des concessionnaires. CDK Global. À présent, nouveau coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composé progresse de plus de 1 %. Aux États-Unis, il ne reste que 53 minutes de bourse jusqu'à la clôture des marchés à 13 heures à l'approche du congé du 4 juillet.
L'indice S&P 500 progresse de 17 points.
Les marchés américains ont passé la majeure partie de l'année à atteindre de nouveaux sommets, surtout tirés par les micas société technologiques.
Ben Gossack de Gestion de placements TD se joint à Kim Parlee pour évoquer l'état des marchés.
- L'élan vers les nouveaux sommets s'accompagne d'une réduction de l'emploi, mais nous sommes dans un marché haussier qui dure depuis deux ans. On approche du deuxième anniversaire cet été. Sur ces deux ans, l'ampleur était parfois élevée, parfois plus faible. Actuellement, l'ampleur est faible. Mais comme vous le voyez sur le graphique que j'ai apporté, une des raisons pour lesquelles nous n'avons jamais vraiment adhéré à l'idée que sept actions tirent tout le marché, c'est que le marché ne se résume pas à cela. Prenons les actions du S&P. On compte les jours verts et les jours rouges pour l'ensemble des actions. Pour les jours verts, on donne; pour les jours rouges on retranche un point. (...) Ce qu'on observe pour le moment, c'est un mouvement latéral.
Le nombre de gagnants était neutralisé par le nombre de perdants. On est donc dans une phase de consolidation.
Le deuxième graphique montre l'ampleur du marché et le nombre de participants qui ont atteint de nouveaux sommets et creux sur 52 semaines. En quoi ce graphique est-il significatif? Si on est dans un cycle haussier et qu'on atteint de nouveaux sommets, je vais suivre le pourcentage de sociétés de l'indice qui atteint individuellement de nouveaux sommets.
À certaines périodes, beaucoup d'entreprises ont atteint de nouveaux sommets puis tout à coup on la voit plus beaucoup. Il y a eu un bref sursaut en mai, (...) les actions qui contribuent individuellement commencer à reculer, mais ce qui me frappe surtout, c'est effectivement un certain degré de consolidation. Les actions qui font grimper le marché sont de moins en moins nombreuses mais peu d'actions tombent à décru sans précédent. On le voit sur la ligne bleue en bas. Il ne peut pas y avoir de repli sans ventes massives d'action et ce n'est pas ce qu'on observe en ce moment.
Je pense qu'on est dans une autre phase de ce cycle aussi.
- C'est intéressant de voir les données par rapport au discours actuel.
- Oui, on est tout très occupé dans la vie. Quand on vous dit que 7 actions mènent le marché, vous écoutez les experts à la télévision. Ou on vous parle des résultats de la pondération égale, c'est un autre débat, mais pour moi ce n'est pas l'ampleur du marché. On aime bien examiner le marché de différentes façons pour voir notre version de l'ampleur du marché.
- D'accord. Vous avez d'autres graphiques.
On va se pencher sur la situation actuelle. Vous avez extrait les données de certains secteurs. On va examiner la technologie et les services financiers.
Pourquoi abordez-vous les choses sur cet homme? Il s'agit de graphiques qui s'étalent sur six ans.
- Les graphiques qu'on va examiner porte sur les six secteurs principaux de l'indice S&P qui représente 85 % de la capitalisation boursière.
Une assez bonne représentation de l'indice. Ce que l'on voit ici, je vais parler un peu de la technologie, cela expliquera les autres graphiques.
On veut savoir si nos secteurs ou nnos titres tirent le marché à la hausse ou s'ils sont à la traîne. On répond à cette question en utilisant un ratio. Ce que vous voyez, c'est une fraction. Au numérateur, on a le secteur des technologies de S&P et au dénominateur on a l'indice S&P. Vos yeux font tout le travail pour vous. La courbe monte vers la droite. Je n'ai pas besoin de vous convaincre que la technologie oriente le marché.
J'aimerais attirer votre attention sur le sommet du mois de janvier. Ensuite, pendant la plus grande partie de l'année, la technologie était à la traîne. Ce n'est qu'au cours de derniers mois et demi qu'elle a connu une envolée. Les gens regardent le rendement en cumul annuel au lieu de se demander comment on en est arrivé là.
Les fabricants de semi-conducteurs pour l'IA ont inscrit des rendements supérieurs par compte les logiciels déçoivent. Il ne faut pas tout mettre dans le même sac.
Dans le secteur financier, on observe la tendance inverse. Le secteur financier et sur une courbe constamment descendante.
Très brièvement en novembre 2023, quand le président de la Fed Jerome Powell a annoncé que l'on procède à des hausse à la baisse de taux, les banques ont repris de la vitesse à cause des inquiétudes entourant les provisions pour pertes sur créances, mais il y a eu un repli. Les banques régionales y sont pour beaucoup.
(...) Assez fascinant de voir les choses sous cet angle. On voit de la volatilité dans le secteur de la santé, dans les deux secteurs en fait.
- Oui, en 2022 le secteur des soins de santé a eu le vent en poupe, montée en flèche, je suis sûr que la plupart des gens investis dans les soins de santé.
Ensuite, à l'exception peut-être Eli Lilly ou Novo Nordisk, la plupart des secteurs n'ont pas cessé de décevoir. Ça s'explique en grande partie par la période de déstockage des stocks accumulés pendant la commune qui n'est pas terminée. On la voit en 2024, la pandémie pèse encore. Je pense que le secteur connaît aussi une crise existentielle. Beaucoup d'entreprises ont créé des franchises mais certains médicaments contre l'obésité remettent en question leur valeur à long terme. Si les gens perdent du poids, ont-ils besoin d'une machine d'apnée?
(...) On note aussi beaucoup de volatilité du côté de la consommation discrétionnaire, ceci dit elle résiste mieux que je ne l'aurais cru.
J'ai fait un léger ajustement sur ce graphique. Si on prend la capitalisation boursière, Amazon et Tesla dominent tellement ce secteur qu'on ne voit pas la situation dans son ensemble. C'est le propre de nos indices et c'est un problème car les grandes sociétés occultent les autres. La consommation discrétionnaire à afficher d'excellents résultats leur dernière pondération égale. C'est moins le cas aujourd'hui. Les voyages portent bien, mais dans certains domaines, les sociétés ne sont plus en mesure d'augmenter les prix. Le marché réagit en conséquence fait baisser ses actions.
Enfin, les communications et les produits industriels, on observe un creux impressionnant. À la fin de 2022, ce qui est logique compte tenu des événements, mais l'évolution des produits industriels est très intéressante.
- Oui, parlons des produits industriels.
Le marché est très centré sur la technologie.
Pour les produits industriels, on a encore une fois un peu ajuster le graphique. On est en pondération égale. Ces données ne sont pas visibles si on se base sur la capitalisation boursière. Cela a décollé en 2023 au moment où la Fed a entamé son cycle de hausse.
Les valeurs industrielles décollent et surpassent marcher. Il y a tellement de mégatendance, que ce soit la décarbonisation ou l'électrification, elle bénéficie des ouvertures de centres de données et de la relocalisation de l'industrie. Pour moi, c'est le graphique le plus marquant.
(...) C'est vrai que l'IA et les semi-conducteurs ont obnubilé. Vous avez apporté d'autres graphiques. Le premier montre les quantités des liquidités restant à déployer.
- Oui. Il y a deux ans, on est entré dans un marché haussier.
Le secteur de la technologie se porte bien, d'autres secteurs déçoivent. La question qui revient tout le temps, c'est combien de temps cela peut-il durer? Je crois que beaucoup de gens non pas parce qu'au marché boursier, beaucoup de gens sont restés sur la touche avec de l'argent en poche, se sentaient à l'aise de gagner 4 ou 5 % dans des CPG à court terme. Ce graphique montre le S&P 500. Je vais l'utiliser comme une approximation des actifs à risques par rapport aux liquidités. On entend concernant les informations et chiffres des six billions (...) les institutions peuvent avoir (...) ce qui nous intéresse, c'est que les crues du marché concordent généralement avec un pic de liquidités. Les gens perdent de l'argent, ne veulent plus participer, le marché est au plus bas, il retire leurs derniers dollars et le marché s'effondre.
Le niveau de liquidités approche encore des sommets alors que les marchés atteignent déjà de nouveaux sommets.
Ce constat m'indique qu'énormément de gens se tiennent à l'écart de ce marché.
On enregistrera des replis de 5 %, 10 %.
Personnellement, je m'attends à ce que ces replis soient suivis d'achat avec les liquidités inutilisées.
- C'est vraiment fascinant. Y a-t-il quelque chose de fondamentalement différent sur ce marché? Qu'est-ce qui nous pousse à agir différemment? Je suis sûr que la liste est longue, mais que révèle tout cela?
- Je pense que les niveaux ont changé mais les corrélations me semblent toujours intactes. Le prochain graphique montre les gains de l'indice S&P 500 et les réactions des investisseurs.
Nous pensons que nous sommes dans une période de marché haussier qui dure deux ans et qui commence à l'été 2022. J'ai sillonné le pays jusqu'en novembre. Quand un repli semblait se profiler, les gens préféraient garder leurs liquidités. Tout à coup, le marché a décollé en novembre 2023, trop rapidement au goût des investisseurs qui sans doute avaient encore toute leur liquidité de côté et le marché a poursuivi son ascension.
La morale de l'histoire, c'est qu'il ne faut pas anticiper le marché. Vous n'êtes objets de suivre mon processus ou celui de quelqu'un d'autre, mais suivi un processus. Avec le recul, on dirait que 2023 était une excellente année parce que l'indice S&P 500 a augmenté de 26 %.
Il a suffi de deux mois.
Mon message pour tout le monde est de suivre un processus sans tenter de choisir le meilleur moment.
- Oui, beaucoup de liquidités en réserve.
Parler à un professionnel, assurez-vous de travailler sur un plan.
Nul ne sait anticiper le marché, même pas nous, mais nous suivons un processus rigoureux. C'est ce qui aide dans de telles situations. C'est très délicat.
Quand on voit ce graphique, moi incluse, la première réaction est de se dire que le marché est très élevé.
Ce n'est vraiment pas le bon moment d'investir. Mais il y a sans doute quelqu'un qui s'est dit la même chose en novembre.
Qui avait la même impression. Difficile parce qu'il n'y a aucun moyen de savoir, surtout avec ce niveau de liquidités en attente.
- Tout à fait. Ce que vous voulez éviter à tout prix, c'est d'investir ses liquidités de les voir chuter. La psychologie humaine joue un rôle considérable, mais quand on sentit un processus, on élimine ce facteur. Souvent, on est seul et on est l'auteur de sa propre contre-performance.
- Vous venez d'entendre Ben Gossack de Gestion de placements TD. À présent, poursuivons la découverte de la plate-forme avancée.
Aujourd'hui, nous jetons un coup d'œil à la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs et proposée par la Banque TD. Jason Hnatyk, formateur principal, nous rejoint pour nous montrer comment personnaliser la plate-forme avancée.
- Bonjour Greg, ça me fait plaisir de passer à votre mission et j'ai hâte de montrer les moyens de personnaliser la plate-forme avancée. Celle-ci se distingue car elle est extrêmement polyvalente.
(...) Allons jeter un coup d'œil.
Tout d'abord, une ou deux améliorations ou adaptation très rapide et facile. J'attire votre attention sur le coin supérieur droit, petit outil.
Ce qui nous permet d'accéder aux paramètres.
Il est possible de choisir les thèmes clairs ou foncés.
Ensuite, vous voyez ma liste de veille qui se met à jour constamment au fur et à mesure que le marché évolue.
Si vous ne voulez pas voir du rouge et du vert comme à Noël, vous pouvez afficher le texte seulement. Mais entrons dans le vif du sujet: l'adaptation.
Il s'agit de créer votre propre mise en page. Vous remarquerez au sommet de l'écran qu'il y a un petit bouton + ou vous pouvez cliquer sur gestion de mise en page.
Tout d'abord, il y a la bibliothèque de mise en page, qui permet de recréer les dispositions créées d'avance. Nous voulons personnaliser. Il y a trois choix d'options disponibles dans nos classes de maître qui porte sur la personnalisation.
Nous entrons dans le détail de ces trois styles.
Mon préféré, c'est le flex sheet.
Il faut choisir la structure.
Appelons la MoneyTalk.
Ajoutons cette mise en page. Il y a l'onglet intitulé MoneyTalk qui porte le nom de ma disposition.
Je peux sélectionner les éléments que je veux voir apparaître à l'écran. À partir de la gauche, nous pouvons voir toutes les modalités d'affichage, tous les outils disponibles.
Je vais choisir, sous la rubrique nouvelles et marchés, les titres titres les plus activement négociés.
Les grandes bourses canadiennes et américaines sont recensées afin de déterminer quelles sont les actions les plus actives pendant une période donnée.
Ensuite, les actualités.
Cliquons sur nouvelles et marchés.
Et enfin, on peut ajouter un graphique.
Cette fois, on trouve cela sous négociation.
Nous n'avons pas achevé d'adapter. Nous voulons que ces trois éléments fonctionnent de pair.
Chacun de ces éléments comporte une école à quatre |. C'est la configuration des canaux. Il s'agit de s'assurer que les trois éléments sont sur le même canal.
Nous allons nous assurer que le canal des informations et le graphique soient informé par la liste de contrôle. Si on choisit TD par exemple, les informations relatives à la Banque TD s'affichent dans le deuxième volet et le graphique de la banque s'affiche sur le volet de droite.
- Voilà d'excellentes fonctionnalités. Où pouvons-nous en apprendre davantage sur la personnalisation?
- Vous avez raison, nous venons de passer en revue une abondance d'information qu'il aurait été difficile de noter individuellement.
Il s'agit de donner à chacun et chacune les moyens de réaliser ses propres opérations.
L'un des onglets par défaut sur la plate-forme avancée, c'est l'onglet apprendre. D'ailleurs, cet onglet existe partout sur CourtierWeb. À apprendre se situe au sommet de la page.
Cet onglet donne accès à de nombreuses vidéos que nous avons créées sur des fonctions clés, notamment la personnalisation de l'expérience sur la plate-forme avancée.
Vous pouvez vous assurer d'être au courant.
Ensuite, nous abordons notre période de CourtierWeb.
J'ai déjà pris la liberté de filtrer la plate-forme avancée. Il y a plus de 18 leçons séparées.
Je ne sais pas comment vous utilisez (...) toute sorte de possibilité de vous familiariser avec la plate-forme.
- Et nous bénéficions des nombreuses expressions de notre ami Hiren Amin.
- Oui, il est très talentueux.
- Merci beaucoup, Jason Hnatyk.
- Je vous en prie.
- Vous venez d'entendre Jason Hnatyk, est formateur principal à Placements directs TD. Pouvoir cinq davantage, visitez le centre d'apprentissage sur CourtierWeb ou balayez ce code QR pour vous rendre à la page Instagram de Placements directs TD où vous trouverez encore plus de vidéos informatives.
L'augmentation de la demande informatique provoquée par l'intelligence artificielle a entraîné un boom des actions liées au centre de données et aux semi-conducteurs, mais certains investisseurs seulement il y a encore de la place pour progresser ou si nous nous trouvons dans une bulle. Nous avons organisé un débat sur le sujet avec Juliana Faircloth et Evan Chen de Gestion de placements TD. Voici leurs propos.
- Si on remonte en arrière, tout a commencé en 2000, lorsque ChatGPT est entré sur le marché, ce qui a ouvert les yeux du public quant aux possibilités de l'IA et à rapprocher cette année. Ce qui a changé depuis fin 2022, c'est que ce thème s'est beaucoup élargi, a pris beaucoup d'ampleur. Les marchés se sont tranquilles pour parvenir à un avenir artificiellement intelligent, il faut mettre en place beaucoup d'infrastructures physiques, c'est-à-dire des centres de données. Ce sont les immeubles qui hébergent la puissance informatique rend possible l'IA.
Il y a eu beaucoup de mouvements des actions autour de cette tendance de ces thèmes. Les entreprises dans toutes les industries évoquent le thème des centres de données. Cela nous a frappé. Ce graphique montre le nombre de mentions du terme centre de données pendant les appels de résultats des sociétés du S&P 500. Nous avons exclu l'immobilier la technologie puisque ce thème est pertinent dans ce secteur depuis longtemps mais il restait bien de consommation et tous les autres secteurs. Si on annualise, vous remarquerez, c'est la barre sur la droite qui affiche une explosion. Nous allons parler, mais puisque tout le monde en parle, quand on voit cette croissance explosive, NVIDIA qui se place en première place, certains peuvent se demander si c'est une bulle ou non. Je pense que vous allez nous expliquer pourquoi nous ne devrions pas considérer que c'est une bulle.
- À mon avis, il y a trois raisons pour lesquelles je pense que ce n'est pas une bulle. Tout d'abord, ces dépenses sont productives, toutes (...) tout d'abord, la dépense productif. Je ne veux pas de vous et moi, je n'ai pas ce genre d'argent, mais au niveau des immobilisations pour les trois hypers compagnie, elles vont dépenser 150 milliards de dollars cette année avec rendements composés annuels.
(...) Ceci représente une rentabilité de 40 % annuels sur 10 ans. Un excellent rendement du capital investi à grande échelle.
Deuxièmement, nous sous-estimons souvent le potentiel des nouvelles technologies.
Je ne veux pas dire des technologies qui ne sont que des modes comme le Segway.
Revenons au XIXe siècle car le train a commencé à sillonner les États-Unis. Les exportations manufacturières vers le monde entier (...) pourquoi? Il y a trois raisons. Tout d'abord, les centres manufacturiers ont pu grandir et être mieux reliés. Deuxièmement, il était possible de livrer des marchandises là où on ne peut pas les livrer auparavant censé moyen rapide de transport. Et enfin, la communication et la coordination sont de lui plus rapide puisque les messages ont pu traverser le pays.
Et enfin, il y a des limites à cette croissance.
Tout d'abord, on ne peut pas construire tout cela aussi rapidement que possible même si la demande est supérieure. Deux actions. Tout d'abord, Eaton, qui fabrique du matériel électrique. Le carnet de commandes a doublé. Une autre compagnie, Quantas Services.
On ne peut pas simplement acheter des ingénieurs. Il s'agit d'un simple exemple des goulots d'étranglement qui existe. Il en existe d'autres. Tout cela ralentit la mise en place de réseaux. Globalement, nous dépensons positivement, nous sous-estimons (...) - Juliana, vous allez soutenir au contraire que nous devons considérer qu'il s'agit d'une bulle.
- Oui, j'écoute attentivement. Il y a toujours un scénario baissier. Le voici.
J'ai moi aussi trois raisons pour lesquelles nous pourrions effectivement nous trouver dans une bulle.
Tout d'abord, nous avons tendance à trop construire. Deuxièmement, nous sous évaluons déjà certains de ces actifs et troisièmement nous pouvons surestimer le potentiel de l'IA. Tout d'abord, nous avons trop construit.
Evan a déclaré que c'est informatif de faire référence aux bulles précédentes.
Les chemins de fer, l'Internet et peut-être les centres de données. Avec les chemins de fer et Internet, il y a une expansion immense des immobilisations par les compagnies les chemins de fer britanniques et les compagnies de télécommunications américains. Cela a engendré la mise en place d'une infrastructure surabondante.
Il y a eu une croissance excessive.
En définitive, ces infrastructures n'ont pas été à (...) c'est le risque qui nous préoccupe au niveau des centres de données et de l'IA, c'est-à-dire qu'il pourrait y avoir un passage à vide.
(...) Nous avons dit au début de ce segment qu'il y avait un certain nombre d'entreprises qui évoquent les centres de données dans leurs appels de résultats. Il vaut la peine de nous demander si toutes les entreprises sont vraiment engagées dans le secteur des centres de données. Il y a eu des cas où les entreprises qui génèrent une proportion très faible de leurs revenus à un chiffre de certains éléments exposés au centre de données, genre machine, équipements, or ces actions beaucoup grimper à cause du thème de l'IA.
(...) Nous ne savons pas vraiment ce que l'avenir nous réserve. Pour l'instant, il n'y a pas d'appli décisive. ChatGPT a été très populaire, il y a eu l'explosion de popularité fin 2022 début 2023, mais maintenant il y a un plateau niveau de l'utilisation. Je ne crois pas que cela est nécessairement changé massivement notre vie quotidienne. Il y a un autre élément qui pourrait plafonner, c'est la réglementation, qu'il s'agisse de la réglementation réalisée, la lutte contre les changements climatiques, les centres de données énergivores, la sécurité d'emploi, la gestion des numéros d'emploi, nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve cela nous semble qu'il s'agit d'une technologie mûre pour la réglementation.
- Jeune journaliste, je me rappelle le Segway, précédé par beaucoup d'annonce que ce n'était pas grand-chose. Il y a certains risques mais il est possible de les atténuer.
Que nous soyons dans une bulle ou pas, voici les possibilités d'atténuer les risques. C'est un thème très général dans l'ensemble des secteurs et l'ensemble des modèles d'entreprise. Il y a beaucoup de possibilités de profiter des secteurs adjacents au centre de données. Il n'y a pas que la technologie, cela va plus loin.
Nous avons réparti les actions en trois groupes différents. Tout d'abord, la technologie les secteurs voisins, ensuite infrastructure, c'est-à-dire les services publics, industriels et immobiliers, et les matériaux.
(...) NVIDIA, Amazon, Google, tous ceux qui construisent et conçoivent des centres de données. Ensuite, l'infrastructure, ceux qui vendent l'électricité, le matériel refroidissant.
Les services publics ont une plus forte demande électricité vont croître au fil du temps. Enfin, immobilier. Il faut implanter tous ces éléments quelque part.
Ses copains devraient en bénéficier.
Enfin, l'énergie et les matériaux. On a besoin de beaucoup d'énergie, beaucoup d'alimentation d'électricité. Le gaz naturel se porte bien, le nucléaire aussi, en supposant qu'il y avait des centres nucléaires qui alimenteraient ses centres de données. Des matériaux, il faut du cuivre et tout cela, de meilleures connexions avec le réseau.
Il y a beaucoup de débats quant à la question de savoir s'il s'agit d'une bulle ou pas. C'est un thème important à considérer pour tous les investisseurs.
- Vous venez d'entendre Juliana Faircloth et Evan Chen de Gestion de placements TD.
Vous aurez remarqué, pendant ces discussions, il a été fait allusion à NVIDIA qu'il accompagna la plus grande valeur du monde mais le cours a légèrement reculé et de nouveau 3e Place derrière Microsoft et Apple. À présent, un coup d'oeil sur les marchés.
Voici de nouveau la plate-forme avancée qui permet de visualiser grâce à la carte thermique les actions qui bougent sur le marché. Voici les TSX 60 sont en fonction du cours et de volume. Le cours de l'or a nettement progressé aujourd'hui. Les romans obligataires américains reculent.
Ce qui est avantageux pour les métaux précieux.
C'est avantageux pour le secteur minier.
J'aurais pu choisir n'importe lequel, Barrick Gold, Kinross.
First Quantum, c'est plutôt le cuivre, mais en hausse également.
C'est là que les progressions s'enrichissent. Le secteur financier, qui pèse très lourd dans l'indice TSX composé, est également en hausse. La Manuvie et plusieurs banques.
Aux États-Unis, les marchés américains s'apprêtent à fermer boutique à l'approche du congé du 4 juillet. La bourse va clôturer à 13 heures aujourd'hui. Tesla a beaucoup progressé hier après avoir annoncé son rapport sur les livraisons, même si les livraisons de véhicules électriques ont baissé sur 12 mois, cette baisse n'était pas aussi importante que les milieux financiers s'y attendaient.
L'action attire les capitaux aujourd'hui encore et progresse. NVIDIA progresse de 4 %. C'était une action vedette si on parle d'intelligence artificielle. Ces deux actions dominent l'écran. Les opérations sont assez clairsemées à l'approche du congé. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Nous serons de retour demain même si les bourses américaines seront fermées. Nous allons nous intéresser au secteur de la biotechnologie avec John Hall. Merci et à demain!
Susan Prince analyse les derniers chiffres de l'emploi aux États-Unis avant le rapport clé sur l'emploi qui paraît vendredi. Juliana Faircloth et Evan Chen se demandent si le boom des actions liées à l'informatique représente ou non une bulle.
Nous poursuivons la découverte de la plate-forme avancée. Jason Hnatyk montre comment personnaliser son profil. Mais d'abord, un coup d'oeil sur les marchés.
L'indice TSX composé après une belle remontée en début de séance est toujours en progression de 251 points, soit plus de 1 %. Parmi les titres les plus activement négociés, beaucoup de sociétés de mines d'or. J'aurais pu choisir n'importe laquelle. Voici Barrick Gold, qui progresse de près de 4 %.
Le cours de l'or étant également en hausse.
Le secteur financier, la Manuvie progresse, modestement, mais avec un volume relativement élevé. Tout de même modeste puisque nous sommes sur le point d'aborder un jour férié aux États-Unis.
À 30,35 $, l'action de la Manuvie progresse. Avant que la bourse américaine ferme à 13 heures heure de l'est aujourd'hui, avant la fête du 4 juillet, l'indice S&P 500 progresse modestement.
L'indice Nasdaq à forte composante technologique est en hausse de 85 points.
Tesla continue de progresser. Les livraisons étaient en baisse sur 12 mois, mais l'action a tout de même progressé hier et progresse encore aujourd'hui.
De 6 % à 245,11 $ action.
La baisse n'était pas aussi importante que les marchés ne l'avaient craint.
Les banques centrales, y compris la réserve fédérale, surveillent les données.
Nous aussi. Quelques mots sur le marché du travail aux États-Unis. Susan Prince nous donne tous les détails.
- Oui, c'était des statistiques intéressantes.
ADP représente le cinquième de la gestion de la masse salariale aux États-Unis, procure donc des informations assez pertinentes. 150 000 nouveaux emplois, cela paraît positif, sauf que les marchés prévoyaient 160 000. Moins que prévu mais conforme à ce que les gouverneurs de banque centrale envisagent.
Ils souhaitent un ralentissement, mais léger. Voilà ce que nous constatons. Les chiffres sont intéressants car, ce n'est pas étonnant, quand on considère les chiffres estivaux, la croissance est surtout attribuable aux loisirs et à l'hébergement. Environ 60 000 emplois.
N'eussent été ces deux secteurs, les chiffres étaient beaucoup moins élevés.
Il y aurait eu un net recul. Quand on parle des salaires également de la persévérance dans les emplois, tout cela commence à reculer. Si vous quittez un emploi, ce qui signifie en général une augmentation de salaire, ce chiffre continue à diminuer.
Un autre signe que les résultats souhaités sont au rendez-vous. Il n'y a pas trop de dégâts, pas trop de baisse, mais c'est un ralentissement.
C'est ce qu'on appelait un scénario Boucle d'or, ni trop chaud, ni trop froid, mais juste la bonne température recherchée.
C'est intéressant en ce qui concerne les statistiques d'ADP, les statistiques du gouvernement américain paraissent vendredi, que tout le monde scrute. On envisage la création de 200 000 emplois.
Quelle est la différence entre ADP et le gouvernement?
Eh bien, le décompte fait différemment.
ADP envisage les données en fonction de la masse salariale que gère cette société. Ce qui représente le cinquième du secteur privé américain.
Voilà un chiffre qui représente une bonne estimation.
Le gouvernement américain sonde les entreprises et les ménages.
Le décompte se fait différemment. Il n'est donc pas étonnant qu'ils ne correspondent pas, mais ADP représente tout de même un événement avant-coureur.
- C'est comme un prélude mais il y a tout de même un écart entre le prélude et le chiffre définitif, puisque demain c'est le congé du 4 juillet, les données ISM sont en deçà de chiffre de 50, c'est-à-dire l'indicateur de la confiance des acheteurs.
Nous arrivons à un refroidissement sans trop de dégâts. Comment les taux d'intérêt peuvent-ils être aussi élevé à l'issue d'un cycle de hausse de taux historique avec des résultats aussi dynamiques de la part de l'économie?
- Oui, on assiste à l'apparition de signes que les gouverneurs attendaient.
Mollissement, recul.
On a souvent utilisé l'analogie de changement de cap d'un navire.
Cela ne peut se faire instantanément.
C'est très lent.
La Banque du Canada ne souhaite pas donner un coup de barre tellement brutal que cela créera des dégâts dans l'autre direction.
Chacun des chiffres qui paraissent commencent à indiquer, à concorder dans ce sens. C'est très positif pour la réduction des taux. Les rendements obligataires évoluent en conséquence.
- Merci et à demain. Vous venez d'entendre Susan Prince. À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'oeil sur les marchés.
Constellation Brands a enregistré des bénéfices supérieurs à ceux du trimestre précédent mais les ventes ont été mitigées. L'action recule 3,25%.
Il s'agit de la société mère de Corona et Modelo. Les ventes nettes de son activité bière augmentent, toutefois la direction enregistre une baisse de 7 %.
(...) SouthWest Airlines adopte une pilule empoisonnée pour tenter d'écarter un investisseur activiste. Le plan de droit (...) exige le remplacement du chef de la direction et le président.
Southwest progresse de près de 1 %. Les ventes de véhicules aux États-Unis ont chuté d'un mois sur l'autre.
(...) Services économiques TD souligne que les ventes de véhicules légers ont été plombées par une cyber attaque de la société de services de gestion des concessionnaires. CDK Global. À présent, nouveau coup d'œil sur les marchés.
L'indice TSX composé progresse de plus de 1 %. Aux États-Unis, il ne reste que 53 minutes de bourse jusqu'à la clôture des marchés à 13 heures à l'approche du congé du 4 juillet.
L'indice S&P 500 progresse de 17 points.
Les marchés américains ont passé la majeure partie de l'année à atteindre de nouveaux sommets, surtout tirés par les micas société technologiques.
Ben Gossack de Gestion de placements TD se joint à Kim Parlee pour évoquer l'état des marchés.
- L'élan vers les nouveaux sommets s'accompagne d'une réduction de l'emploi, mais nous sommes dans un marché haussier qui dure depuis deux ans. On approche du deuxième anniversaire cet été. Sur ces deux ans, l'ampleur était parfois élevée, parfois plus faible. Actuellement, l'ampleur est faible. Mais comme vous le voyez sur le graphique que j'ai apporté, une des raisons pour lesquelles nous n'avons jamais vraiment adhéré à l'idée que sept actions tirent tout le marché, c'est que le marché ne se résume pas à cela. Prenons les actions du S&P. On compte les jours verts et les jours rouges pour l'ensemble des actions. Pour les jours verts, on donne; pour les jours rouges on retranche un point. (...) Ce qu'on observe pour le moment, c'est un mouvement latéral.
Le nombre de gagnants était neutralisé par le nombre de perdants. On est donc dans une phase de consolidation.
Le deuxième graphique montre l'ampleur du marché et le nombre de participants qui ont atteint de nouveaux sommets et creux sur 52 semaines. En quoi ce graphique est-il significatif? Si on est dans un cycle haussier et qu'on atteint de nouveaux sommets, je vais suivre le pourcentage de sociétés de l'indice qui atteint individuellement de nouveaux sommets.
À certaines périodes, beaucoup d'entreprises ont atteint de nouveaux sommets puis tout à coup on la voit plus beaucoup. Il y a eu un bref sursaut en mai, (...) les actions qui contribuent individuellement commencer à reculer, mais ce qui me frappe surtout, c'est effectivement un certain degré de consolidation. Les actions qui font grimper le marché sont de moins en moins nombreuses mais peu d'actions tombent à décru sans précédent. On le voit sur la ligne bleue en bas. Il ne peut pas y avoir de repli sans ventes massives d'action et ce n'est pas ce qu'on observe en ce moment.
Je pense qu'on est dans une autre phase de ce cycle aussi.
- C'est intéressant de voir les données par rapport au discours actuel.
- Oui, on est tout très occupé dans la vie. Quand on vous dit que 7 actions mènent le marché, vous écoutez les experts à la télévision. Ou on vous parle des résultats de la pondération égale, c'est un autre débat, mais pour moi ce n'est pas l'ampleur du marché. On aime bien examiner le marché de différentes façons pour voir notre version de l'ampleur du marché.
- D'accord. Vous avez d'autres graphiques.
On va se pencher sur la situation actuelle. Vous avez extrait les données de certains secteurs. On va examiner la technologie et les services financiers.
Pourquoi abordez-vous les choses sur cet homme? Il s'agit de graphiques qui s'étalent sur six ans.
- Les graphiques qu'on va examiner porte sur les six secteurs principaux de l'indice S&P qui représente 85 % de la capitalisation boursière.
Une assez bonne représentation de l'indice. Ce que l'on voit ici, je vais parler un peu de la technologie, cela expliquera les autres graphiques.
On veut savoir si nos secteurs ou nnos titres tirent le marché à la hausse ou s'ils sont à la traîne. On répond à cette question en utilisant un ratio. Ce que vous voyez, c'est une fraction. Au numérateur, on a le secteur des technologies de S&P et au dénominateur on a l'indice S&P. Vos yeux font tout le travail pour vous. La courbe monte vers la droite. Je n'ai pas besoin de vous convaincre que la technologie oriente le marché.
J'aimerais attirer votre attention sur le sommet du mois de janvier. Ensuite, pendant la plus grande partie de l'année, la technologie était à la traîne. Ce n'est qu'au cours de derniers mois et demi qu'elle a connu une envolée. Les gens regardent le rendement en cumul annuel au lieu de se demander comment on en est arrivé là.
Les fabricants de semi-conducteurs pour l'IA ont inscrit des rendements supérieurs par compte les logiciels déçoivent. Il ne faut pas tout mettre dans le même sac.
Dans le secteur financier, on observe la tendance inverse. Le secteur financier et sur une courbe constamment descendante.
Très brièvement en novembre 2023, quand le président de la Fed Jerome Powell a annoncé que l'on procède à des hausse à la baisse de taux, les banques ont repris de la vitesse à cause des inquiétudes entourant les provisions pour pertes sur créances, mais il y a eu un repli. Les banques régionales y sont pour beaucoup.
(...) Assez fascinant de voir les choses sous cet angle. On voit de la volatilité dans le secteur de la santé, dans les deux secteurs en fait.
- Oui, en 2022 le secteur des soins de santé a eu le vent en poupe, montée en flèche, je suis sûr que la plupart des gens investis dans les soins de santé.
Ensuite, à l'exception peut-être Eli Lilly ou Novo Nordisk, la plupart des secteurs n'ont pas cessé de décevoir. Ça s'explique en grande partie par la période de déstockage des stocks accumulés pendant la commune qui n'est pas terminée. On la voit en 2024, la pandémie pèse encore. Je pense que le secteur connaît aussi une crise existentielle. Beaucoup d'entreprises ont créé des franchises mais certains médicaments contre l'obésité remettent en question leur valeur à long terme. Si les gens perdent du poids, ont-ils besoin d'une machine d'apnée?
(...) On note aussi beaucoup de volatilité du côté de la consommation discrétionnaire, ceci dit elle résiste mieux que je ne l'aurais cru.
J'ai fait un léger ajustement sur ce graphique. Si on prend la capitalisation boursière, Amazon et Tesla dominent tellement ce secteur qu'on ne voit pas la situation dans son ensemble. C'est le propre de nos indices et c'est un problème car les grandes sociétés occultent les autres. La consommation discrétionnaire à afficher d'excellents résultats leur dernière pondération égale. C'est moins le cas aujourd'hui. Les voyages portent bien, mais dans certains domaines, les sociétés ne sont plus en mesure d'augmenter les prix. Le marché réagit en conséquence fait baisser ses actions.
Enfin, les communications et les produits industriels, on observe un creux impressionnant. À la fin de 2022, ce qui est logique compte tenu des événements, mais l'évolution des produits industriels est très intéressante.
- Oui, parlons des produits industriels.
Le marché est très centré sur la technologie.
Pour les produits industriels, on a encore une fois un peu ajuster le graphique. On est en pondération égale. Ces données ne sont pas visibles si on se base sur la capitalisation boursière. Cela a décollé en 2023 au moment où la Fed a entamé son cycle de hausse.
Les valeurs industrielles décollent et surpassent marcher. Il y a tellement de mégatendance, que ce soit la décarbonisation ou l'électrification, elle bénéficie des ouvertures de centres de données et de la relocalisation de l'industrie. Pour moi, c'est le graphique le plus marquant.
(...) C'est vrai que l'IA et les semi-conducteurs ont obnubilé. Vous avez apporté d'autres graphiques. Le premier montre les quantités des liquidités restant à déployer.
- Oui. Il y a deux ans, on est entré dans un marché haussier.
Le secteur de la technologie se porte bien, d'autres secteurs déçoivent. La question qui revient tout le temps, c'est combien de temps cela peut-il durer? Je crois que beaucoup de gens non pas parce qu'au marché boursier, beaucoup de gens sont restés sur la touche avec de l'argent en poche, se sentaient à l'aise de gagner 4 ou 5 % dans des CPG à court terme. Ce graphique montre le S&P 500. Je vais l'utiliser comme une approximation des actifs à risques par rapport aux liquidités. On entend concernant les informations et chiffres des six billions (...) les institutions peuvent avoir (...) ce qui nous intéresse, c'est que les crues du marché concordent généralement avec un pic de liquidités. Les gens perdent de l'argent, ne veulent plus participer, le marché est au plus bas, il retire leurs derniers dollars et le marché s'effondre.
Le niveau de liquidités approche encore des sommets alors que les marchés atteignent déjà de nouveaux sommets.
Ce constat m'indique qu'énormément de gens se tiennent à l'écart de ce marché.
On enregistrera des replis de 5 %, 10 %.
Personnellement, je m'attends à ce que ces replis soient suivis d'achat avec les liquidités inutilisées.
- C'est vraiment fascinant. Y a-t-il quelque chose de fondamentalement différent sur ce marché? Qu'est-ce qui nous pousse à agir différemment? Je suis sûr que la liste est longue, mais que révèle tout cela?
- Je pense que les niveaux ont changé mais les corrélations me semblent toujours intactes. Le prochain graphique montre les gains de l'indice S&P 500 et les réactions des investisseurs.
Nous pensons que nous sommes dans une période de marché haussier qui dure deux ans et qui commence à l'été 2022. J'ai sillonné le pays jusqu'en novembre. Quand un repli semblait se profiler, les gens préféraient garder leurs liquidités. Tout à coup, le marché a décollé en novembre 2023, trop rapidement au goût des investisseurs qui sans doute avaient encore toute leur liquidité de côté et le marché a poursuivi son ascension.
La morale de l'histoire, c'est qu'il ne faut pas anticiper le marché. Vous n'êtes objets de suivre mon processus ou celui de quelqu'un d'autre, mais suivi un processus. Avec le recul, on dirait que 2023 était une excellente année parce que l'indice S&P 500 a augmenté de 26 %.
Il a suffi de deux mois.
Mon message pour tout le monde est de suivre un processus sans tenter de choisir le meilleur moment.
- Oui, beaucoup de liquidités en réserve.
Parler à un professionnel, assurez-vous de travailler sur un plan.
Nul ne sait anticiper le marché, même pas nous, mais nous suivons un processus rigoureux. C'est ce qui aide dans de telles situations. C'est très délicat.
Quand on voit ce graphique, moi incluse, la première réaction est de se dire que le marché est très élevé.
Ce n'est vraiment pas le bon moment d'investir. Mais il y a sans doute quelqu'un qui s'est dit la même chose en novembre.
Qui avait la même impression. Difficile parce qu'il n'y a aucun moyen de savoir, surtout avec ce niveau de liquidités en attente.
- Tout à fait. Ce que vous voulez éviter à tout prix, c'est d'investir ses liquidités de les voir chuter. La psychologie humaine joue un rôle considérable, mais quand on sentit un processus, on élimine ce facteur. Souvent, on est seul et on est l'auteur de sa propre contre-performance.
- Vous venez d'entendre Ben Gossack de Gestion de placements TD. À présent, poursuivons la découverte de la plate-forme avancée.
Aujourd'hui, nous jetons un coup d'œil à la plate-forme avancée conçue pour les négociateurs actifs et proposée par la Banque TD. Jason Hnatyk, formateur principal, nous rejoint pour nous montrer comment personnaliser la plate-forme avancée.
- Bonjour Greg, ça me fait plaisir de passer à votre mission et j'ai hâte de montrer les moyens de personnaliser la plate-forme avancée. Celle-ci se distingue car elle est extrêmement polyvalente.
(...) Allons jeter un coup d'œil.
Tout d'abord, une ou deux améliorations ou adaptation très rapide et facile. J'attire votre attention sur le coin supérieur droit, petit outil.
Ce qui nous permet d'accéder aux paramètres.
Il est possible de choisir les thèmes clairs ou foncés.
Ensuite, vous voyez ma liste de veille qui se met à jour constamment au fur et à mesure que le marché évolue.
Si vous ne voulez pas voir du rouge et du vert comme à Noël, vous pouvez afficher le texte seulement. Mais entrons dans le vif du sujet: l'adaptation.
Il s'agit de créer votre propre mise en page. Vous remarquerez au sommet de l'écran qu'il y a un petit bouton + ou vous pouvez cliquer sur gestion de mise en page.
Tout d'abord, il y a la bibliothèque de mise en page, qui permet de recréer les dispositions créées d'avance. Nous voulons personnaliser. Il y a trois choix d'options disponibles dans nos classes de maître qui porte sur la personnalisation.
Nous entrons dans le détail de ces trois styles.
Mon préféré, c'est le flex sheet.
Il faut choisir la structure.
Appelons la MoneyTalk.
Ajoutons cette mise en page. Il y a l'onglet intitulé MoneyTalk qui porte le nom de ma disposition.
Je peux sélectionner les éléments que je veux voir apparaître à l'écran. À partir de la gauche, nous pouvons voir toutes les modalités d'affichage, tous les outils disponibles.
Je vais choisir, sous la rubrique nouvelles et marchés, les titres titres les plus activement négociés.
Les grandes bourses canadiennes et américaines sont recensées afin de déterminer quelles sont les actions les plus actives pendant une période donnée.
Ensuite, les actualités.
Cliquons sur nouvelles et marchés.
Et enfin, on peut ajouter un graphique.
Cette fois, on trouve cela sous négociation.
Nous n'avons pas achevé d'adapter. Nous voulons que ces trois éléments fonctionnent de pair.
Chacun de ces éléments comporte une école à quatre |. C'est la configuration des canaux. Il s'agit de s'assurer que les trois éléments sont sur le même canal.
Nous allons nous assurer que le canal des informations et le graphique soient informé par la liste de contrôle. Si on choisit TD par exemple, les informations relatives à la Banque TD s'affichent dans le deuxième volet et le graphique de la banque s'affiche sur le volet de droite.
- Voilà d'excellentes fonctionnalités. Où pouvons-nous en apprendre davantage sur la personnalisation?
- Vous avez raison, nous venons de passer en revue une abondance d'information qu'il aurait été difficile de noter individuellement.
Il s'agit de donner à chacun et chacune les moyens de réaliser ses propres opérations.
L'un des onglets par défaut sur la plate-forme avancée, c'est l'onglet apprendre. D'ailleurs, cet onglet existe partout sur CourtierWeb. À apprendre se situe au sommet de la page.
Cet onglet donne accès à de nombreuses vidéos que nous avons créées sur des fonctions clés, notamment la personnalisation de l'expérience sur la plate-forme avancée.
Vous pouvez vous assurer d'être au courant.
Ensuite, nous abordons notre période de CourtierWeb.
J'ai déjà pris la liberté de filtrer la plate-forme avancée. Il y a plus de 18 leçons séparées.
Je ne sais pas comment vous utilisez (...) toute sorte de possibilité de vous familiariser avec la plate-forme.
- Et nous bénéficions des nombreuses expressions de notre ami Hiren Amin.
- Oui, il est très talentueux.
- Merci beaucoup, Jason Hnatyk.
- Je vous en prie.
- Vous venez d'entendre Jason Hnatyk, est formateur principal à Placements directs TD. Pouvoir cinq davantage, visitez le centre d'apprentissage sur CourtierWeb ou balayez ce code QR pour vous rendre à la page Instagram de Placements directs TD où vous trouverez encore plus de vidéos informatives.
L'augmentation de la demande informatique provoquée par l'intelligence artificielle a entraîné un boom des actions liées au centre de données et aux semi-conducteurs, mais certains investisseurs seulement il y a encore de la place pour progresser ou si nous nous trouvons dans une bulle. Nous avons organisé un débat sur le sujet avec Juliana Faircloth et Evan Chen de Gestion de placements TD. Voici leurs propos.
- Si on remonte en arrière, tout a commencé en 2000, lorsque ChatGPT est entré sur le marché, ce qui a ouvert les yeux du public quant aux possibilités de l'IA et à rapprocher cette année. Ce qui a changé depuis fin 2022, c'est que ce thème s'est beaucoup élargi, a pris beaucoup d'ampleur. Les marchés se sont tranquilles pour parvenir à un avenir artificiellement intelligent, il faut mettre en place beaucoup d'infrastructures physiques, c'est-à-dire des centres de données. Ce sont les immeubles qui hébergent la puissance informatique rend possible l'IA.
Il y a eu beaucoup de mouvements des actions autour de cette tendance de ces thèmes. Les entreprises dans toutes les industries évoquent le thème des centres de données. Cela nous a frappé. Ce graphique montre le nombre de mentions du terme centre de données pendant les appels de résultats des sociétés du S&P 500. Nous avons exclu l'immobilier la technologie puisque ce thème est pertinent dans ce secteur depuis longtemps mais il restait bien de consommation et tous les autres secteurs. Si on annualise, vous remarquerez, c'est la barre sur la droite qui affiche une explosion. Nous allons parler, mais puisque tout le monde en parle, quand on voit cette croissance explosive, NVIDIA qui se place en première place, certains peuvent se demander si c'est une bulle ou non. Je pense que vous allez nous expliquer pourquoi nous ne devrions pas considérer que c'est une bulle.
- À mon avis, il y a trois raisons pour lesquelles je pense que ce n'est pas une bulle. Tout d'abord, ces dépenses sont productives, toutes (...) tout d'abord, la dépense productif. Je ne veux pas de vous et moi, je n'ai pas ce genre d'argent, mais au niveau des immobilisations pour les trois hypers compagnie, elles vont dépenser 150 milliards de dollars cette année avec rendements composés annuels.
(...) Ceci représente une rentabilité de 40 % annuels sur 10 ans. Un excellent rendement du capital investi à grande échelle.
Deuxièmement, nous sous-estimons souvent le potentiel des nouvelles technologies.
Je ne veux pas dire des technologies qui ne sont que des modes comme le Segway.
Revenons au XIXe siècle car le train a commencé à sillonner les États-Unis. Les exportations manufacturières vers le monde entier (...) pourquoi? Il y a trois raisons. Tout d'abord, les centres manufacturiers ont pu grandir et être mieux reliés. Deuxièmement, il était possible de livrer des marchandises là où on ne peut pas les livrer auparavant censé moyen rapide de transport. Et enfin, la communication et la coordination sont de lui plus rapide puisque les messages ont pu traverser le pays.
Et enfin, il y a des limites à cette croissance.
Tout d'abord, on ne peut pas construire tout cela aussi rapidement que possible même si la demande est supérieure. Deux actions. Tout d'abord, Eaton, qui fabrique du matériel électrique. Le carnet de commandes a doublé. Une autre compagnie, Quantas Services.
On ne peut pas simplement acheter des ingénieurs. Il s'agit d'un simple exemple des goulots d'étranglement qui existe. Il en existe d'autres. Tout cela ralentit la mise en place de réseaux. Globalement, nous dépensons positivement, nous sous-estimons (...) - Juliana, vous allez soutenir au contraire que nous devons considérer qu'il s'agit d'une bulle.
- Oui, j'écoute attentivement. Il y a toujours un scénario baissier. Le voici.
J'ai moi aussi trois raisons pour lesquelles nous pourrions effectivement nous trouver dans une bulle.
Tout d'abord, nous avons tendance à trop construire. Deuxièmement, nous sous évaluons déjà certains de ces actifs et troisièmement nous pouvons surestimer le potentiel de l'IA. Tout d'abord, nous avons trop construit.
Evan a déclaré que c'est informatif de faire référence aux bulles précédentes.
Les chemins de fer, l'Internet et peut-être les centres de données. Avec les chemins de fer et Internet, il y a une expansion immense des immobilisations par les compagnies les chemins de fer britanniques et les compagnies de télécommunications américains. Cela a engendré la mise en place d'une infrastructure surabondante.
Il y a eu une croissance excessive.
En définitive, ces infrastructures n'ont pas été à (...) c'est le risque qui nous préoccupe au niveau des centres de données et de l'IA, c'est-à-dire qu'il pourrait y avoir un passage à vide.
(...) Nous avons dit au début de ce segment qu'il y avait un certain nombre d'entreprises qui évoquent les centres de données dans leurs appels de résultats. Il vaut la peine de nous demander si toutes les entreprises sont vraiment engagées dans le secteur des centres de données. Il y a eu des cas où les entreprises qui génèrent une proportion très faible de leurs revenus à un chiffre de certains éléments exposés au centre de données, genre machine, équipements, or ces actions beaucoup grimper à cause du thème de l'IA.
(...) Nous ne savons pas vraiment ce que l'avenir nous réserve. Pour l'instant, il n'y a pas d'appli décisive. ChatGPT a été très populaire, il y a eu l'explosion de popularité fin 2022 début 2023, mais maintenant il y a un plateau niveau de l'utilisation. Je ne crois pas que cela est nécessairement changé massivement notre vie quotidienne. Il y a un autre élément qui pourrait plafonner, c'est la réglementation, qu'il s'agisse de la réglementation réalisée, la lutte contre les changements climatiques, les centres de données énergivores, la sécurité d'emploi, la gestion des numéros d'emploi, nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve cela nous semble qu'il s'agit d'une technologie mûre pour la réglementation.
- Jeune journaliste, je me rappelle le Segway, précédé par beaucoup d'annonce que ce n'était pas grand-chose. Il y a certains risques mais il est possible de les atténuer.
Que nous soyons dans une bulle ou pas, voici les possibilités d'atténuer les risques. C'est un thème très général dans l'ensemble des secteurs et l'ensemble des modèles d'entreprise. Il y a beaucoup de possibilités de profiter des secteurs adjacents au centre de données. Il n'y a pas que la technologie, cela va plus loin.
Nous avons réparti les actions en trois groupes différents. Tout d'abord, la technologie les secteurs voisins, ensuite infrastructure, c'est-à-dire les services publics, industriels et immobiliers, et les matériaux.
(...) NVIDIA, Amazon, Google, tous ceux qui construisent et conçoivent des centres de données. Ensuite, l'infrastructure, ceux qui vendent l'électricité, le matériel refroidissant.
Les services publics ont une plus forte demande électricité vont croître au fil du temps. Enfin, immobilier. Il faut implanter tous ces éléments quelque part.
Ses copains devraient en bénéficier.
Enfin, l'énergie et les matériaux. On a besoin de beaucoup d'énergie, beaucoup d'alimentation d'électricité. Le gaz naturel se porte bien, le nucléaire aussi, en supposant qu'il y avait des centres nucléaires qui alimenteraient ses centres de données. Des matériaux, il faut du cuivre et tout cela, de meilleures connexions avec le réseau.
Il y a beaucoup de débats quant à la question de savoir s'il s'agit d'une bulle ou pas. C'est un thème important à considérer pour tous les investisseurs.
- Vous venez d'entendre Juliana Faircloth et Evan Chen de Gestion de placements TD.
Vous aurez remarqué, pendant ces discussions, il a été fait allusion à NVIDIA qu'il accompagna la plus grande valeur du monde mais le cours a légèrement reculé et de nouveau 3e Place derrière Microsoft et Apple. À présent, un coup d'oeil sur les marchés.
Voici de nouveau la plate-forme avancée qui permet de visualiser grâce à la carte thermique les actions qui bougent sur le marché. Voici les TSX 60 sont en fonction du cours et de volume. Le cours de l'or a nettement progressé aujourd'hui. Les romans obligataires américains reculent.
Ce qui est avantageux pour les métaux précieux.
C'est avantageux pour le secteur minier.
J'aurais pu choisir n'importe lequel, Barrick Gold, Kinross.
First Quantum, c'est plutôt le cuivre, mais en hausse également.
C'est là que les progressions s'enrichissent. Le secteur financier, qui pèse très lourd dans l'indice TSX composé, est également en hausse. La Manuvie et plusieurs banques.
Aux États-Unis, les marchés américains s'apprêtent à fermer boutique à l'approche du congé du 4 juillet. La bourse va clôturer à 13 heures aujourd'hui. Tesla a beaucoup progressé hier après avoir annoncé son rapport sur les livraisons, même si les livraisons de véhicules électriques ont baissé sur 12 mois, cette baisse n'était pas aussi importante que les milieux financiers s'y attendaient.
L'action attire les capitaux aujourd'hui encore et progresse. NVIDIA progresse de 4 %. C'était une action vedette si on parle d'intelligence artificielle. Ces deux actions dominent l'écran. Les opérations sont assez clairsemées à l'approche du congé. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Nous serons de retour demain même si les bourses américaines seront fermées. Nous allons nous intéresser au secteur de la biotechnologie avec John Hall. Merci et à demain!