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(musique) Bonjour. Ici Greg Bonnel. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, les dernières (...) évoquent les réactions du marché et les conséquences pour l'avenir et répondra bien sûr à vos questions sur les placements, notamment les titres rémunérateurs en dividendes. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb et Nugwa Haruna, responsable de la section placement nous donnera des informations sur les titres dividendes sur la plate-forme. Posez vos questions à moneytalklive@dd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés. La situation est peu reluisante. La pression n'est pas aussi forte à Toronto qu'à New York, mais tout de même, un déficit de 270. 1,1 tiers pour cent pour l'indice composé. Difficile de trouver du vert, pratiquement tous les secteurs sont en territoire négatif. Le secteur de la technologie particulièrement durement touchée. Un coup d'œil sur les actions de Shopify, 43 $, cette action, en baisse de presque 6 % depuis le début de la séance. Laura recule. Le dollar américain étend plus fort avec l'inflation plus élevée que prévu aux États-Unis. (...) En baisse de (. ..) l'action. L'indice des marchés américains est en recul de plus de 3 % à 3979 points. Certains des types de technologies méga capitalisations subissent une forte pression. L'indice Nasdaq et encore plus en recul, plus de 4 %, 500 points de déficit. Parlant de ces grands titres de la technologie. Apple à 156 $ et 34 l'action, Apple qui remontait depuis quelques jours plonge de plus de 4 %. Les dernières statistiques de l'inflation aux États-Unis ont fortement accru la possibilité d'une autre hausse historique des taux de la réserve fédérale. La fête prendra sa décision mercredi prochaine et on s'attend à une rotation de 75 points de base. Nous rencontrons Ben Gossack, gestionnaire de portefeuille à Gestion d'actifs TD. Ben, bienvenue sur le plateau. C'est une statistique qui est scrutée, est-ce que ce sera moins plus élevé que prévu,? C'était de toute évidence le chiffre que le marché attendait depuis plus d'une semaine. J'ai porté ma cravate chanceuse à fer à cheval, ça n'a pas aidé pour l'inflation. Sur un mois, l'inflation se chiffrait environ 1 %. Il y avait une forte augmentation en juillet, il y a eu un ralentissement notable dans la croissance de l'inflation. Cela a amené un espoir que les contraintes financières qui avaient imposé haver fait leur effet, ralentit l'économie, ralentit la croissance de l'inflation et qu'une nouvelle tendance amorcée. Les économies surveillaient le prix de l'essence et qu'elle avait baissé et pensait que cela permettrait de réduire le taux d'inflation. Ils avaient raison à cet égard, mais aujourd'hui, pour le mois de, nous avons constaté que ce n'était pas le début d'une nouvelle tendance, mais que les prix s'étaient maintenus pour l'inflation de base d'un mois sur l'autre. La hausse était pour l'inflation générale, y compris pour l'alimentation en hausse de 10 points de base, mais ce qui a étonné les marchés, c'est l'inflation de base. Donc à l'exclusion de l'essentiel de l'énergie, en hausse de 60 points de base, héros, 6 %. Et sur 12 mois, 8,3 pour l'inflation générale et 6,3 pour l'inflation de base. C'est-à-dire que les prix se maintiennent. Quant à la décision que prendra la fin de la semaine prochaine, 75 points de base, sont également prévues, et cela ouvre même la possibilité d'une augmentation de 100 points de base. La discussion est ouverte et c'est pourquoi les marchés réagissent ainsi. Parlant de l'utilité d'une augmentation de 100 points de base. Nous l'avons déjà fait au Canada il y a deux décisions, avant-dernière augmentation, quel en est l'effet? En définitive, il s'agit de modifier la psychologie des consommateurs. Si vous ne pouvez pas corriger les problèmes de chaîne d'approvisionnement, résoudre les confirmera, la seule chose que vous puissiez faire, c'est de donner un brutal coup de frein pour que les consommateurs arrêtent de dépenser. La fête ne peut pas faire grand-chose, et de banque centrale peut pas faire grand-chose. C'est très visible en Europe. La hausse des prix n'est pas de la faux des banques centrales, mais la banque centrale d'augmenter les taux illimités, exercer des pressions sur beaucoup d'institutions financières, et de particuliers. Je crois que ce que les marchés recherchent, Cécile inflation continue à ce rythme, la Fed et les autres banques centrales devront continuer d'augmenter les taux, et maintenant, si nous songeons au point où le taux directeur atteindra un pic, ce sera plus de 4 % à la fin du premier trimestre 1023. Alors actuel, tout est d'environ 2,3, donc il s'agit d'un quasi-doublement des taux d'Fed, ce qui exerce beaucoup de pression sur les entreprises, sur les particuliers. Ce qui est intéressant pour moi, toutefois, c'est que l'inflation est importante aujourd'hui, et plus persistante que personne ne l'avait prévu, mais les attentes de l'inflation à long terme, celles-ci ont baissé aujourd'hui. Donc les attentes à l'égard de l'inflation sur 10 ans, on peut songer aux cinq premières années, aux cinq années suivantes, toutes les attentes à l'égard de l'inflation sont en baisse. Et que se produit-il alors à long terme. Pourquoi pense-t-on qu'une fois cette période de volatilité et de statistique inflation assez effrayante passée, est-ce que ce serait un environnement des inflationnistes? À court terme, c'est la chaîne d'approvisionnement, ce sont les tensions géopolitiques… c'est un marché du travail dont la résistante et étonnante en Canada et des pertes d'emploi depuis trois mois. Aux États-Unis, le marché du travail se porte mieux qu'on l'avait prévu. Donc l'inflation est plus persistante que l'on ne s'y attendait, mais le marché considère que cela va finir par redescendre, parce que les banques centrales auront augmenté une fois de trop, ce qui entraînera des dégâts. À long terme, les attentes inflation long terme, on songe aux facteurs qui se faisaient sentir avant la COVID. Oui, la vie existait avant la COVID. Alors le taux des bons du trésor américain 10 ans, environ 3,5 %, selon un graphique historique, nous étions à ce niveau-là en 2018. En 2018, nous étions dans un environnement où la croissance était plus lente, on a parlé de désinflation, on pensait que l'inflation avait été définitivement vaincue, et même à l'époque, aujourd'hui, 3 %, c'est un bon rendement. Mais ce n'était pas suffisant pour beaucoup d'investisseurs. Il y a quatre ans, beaucoup d'entre ne voulait pas voir des titres à revenu fixe dans leur portefeuille et se lancer dans les obligations à haut rendement, des obligations de sociétés autres placements exotiques pour tenir le rendement. Toutes ces pressions, la dette dans l'économie, la composition démographique de nos populations, et les forces des inflationnistes de la technologie, tous ces éléments n'ont pas disparu. Ils ne sont plus visibles parce que nous avons été distraits par l'actualité. Qu'est-ce que ça signifie pour les investisseurs qui cherchent à revenu? La situation sera un peu volatilisée quelque temps, mais comment peut-on envisager les marches à long terme? Il faut séparer le court terme et le long terme. Le long terme, je pense que les forces que je viens d'évoquer, encore une fois, ça s'est fait sentir 2018 et 2019, n'ont jamais disparu, et font faire leur réapparition. La croissance nominale va être plus lente. Si la croissance nominale est plus lente, je pense que cela engendre un environnement plus faible taux d'intérêt. Encore une fois, cela fait subir des pressions sur les personnes sont au travail, sur les personnes qui sont retraitées et vivent plus longtemps et qui doivent toujours épargner pour ne pas vivre après avoir épuisé leur épargne. Cela va amener les investisseurs à rechercher les revenus. Mais il y a encore une certain nombre de sources de revenus. C'est pourquoi on se concentre sur les secteurs en croissance. L'économie globalement ralentie, on n'en revient croissance nominale de 3 %. On recherche les tendances lourdes, santé, paiement, électrification, de carbonatation. Ce sont des tendances très importantes ce sont des secteurs où la croissance sera plus rapide que celle du PIB. Ce sont les secteurs en tant qu'investisseurs qui recherchent un revenu ou veulent augmenter leurs revenus, c'est cela que nous allons privilégier. La patience sera une vertu importante. Ce que nous avons vécu depuis le début de la pandémie, depuis le printemps 2020, je suis moins patient. Choqué problème se réserve rapidement, je me tourne la page, ce serait peut-être moment de prendre du recul et d'être plus patient. Oui, surtout lorsqu'il s'agit du revenu de la croissance de revenus. Il faut faire preuve d'une longue patience. Je me rappelle, j'étais chez le coiffeur récemment, et la personne chez le coiffeur, me parler des actions qu'il achetait pour toucher des dividendes. Il recevait quelque cent de dividendes, et ça le frustrait. Et encore une fois, sur une période de cinq ans, de 10 ans, 20 ans, si ces entreprises procurent un revenu qui augmente, avec l'intérêt composé, le revenu que vous touchez mensuel ou trimestriel sera important. Et le revenu, ce sera un niveau de revenus avec lequel vous pourriez vivre. Excellent début du programme, Ben Gossack répondra ensuite à vos questions sur les placements et les stratégies. Voici comment vous pouvez nous poser vos questions. Par courriel à moneytalklive@dd.com, ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. À présent, actualité du monde des affaires et un autre coup d'œil sur les marchés. Roots annonce que le retour du magasinage en personne a entraîné une croissance des ventes. Le détaillant de Toronto annonce un bond de 23 % de son chiffre d'affaires à quelque 48 millions de dollars au deuxième trimestre, plus que les analystes prévoyaient, les marges brutes ont été améliorées, mais Roots a déclaré une perte nette de huit cents l'action, plus important que pendant la même période que l'an dernier. Lorsque les subventions reliées à la pandémie en consolidé son bilan. Les actions de Peloton Interactive sont sous le feu des projecteurs. Après un remaniement de la direction, deux cofondateurs quittent leur rôle de direction dans le cadre des tentatives de peloton de réaliser un revirement. Les actions de peloton ont perdu plus de 90 % de leur valeur depuis des pics à ta pendant la pandémie. Oracle annonce un bond de 18 % pour le dernier trimestre sur 12 mois. Le chiffre d'affaires a été amélioré par l'acquisition récente de la firme de pays dont la santé, Cerner, qui ajoutait un 4 millions de dollars pour l'euro revenu du deuxième trimestre, Oracle bénéficie toujours d'une forte demande de la part des consommateurs. Les marchés à présent. Après les statistiques d'inflation plus élevée que prévu aux États-Unis, les marchés sont à la peine. L'indice composite TSX est en baisse de 236. À 19 450, plus de 1 %, il est difficile de trouver des secteurs qui résistent. Aux États-Unis, la baisse est encore plus prononcée. L'indice S&P 500 instantanée des marchés américains et en baisse de presque 3 %. Beaucoup de vente en particulier les titres de technologie à méga capitalisations sont pénalisées aujourd'hui. Nous revoici avec Ben Gossack gestionnaire de portefeuille à Gestion d'actifs TD qui répond à vos questions sur les investissements producteurs de revenus. Quels sont vos perspectives à l'égard du secteur énergétique content tenu de la baisse du coût du pétrole? - Il y a eu des débats pour le secteur de l'énergie pendant la pandémie. Le corps du pétrole a même atteint un niveau négatif un moment donné, à grimper à 120 $, les tensions en Europe orientale n'aident pas. Pour la plupart des investisseurs, ainsi que les analystes, les questions d'offres sont bien comprises. On reconnaît que le marché de l'offre est très tendu et qu'ils ne devriez pas avoir de solution d'ici un trimestre, six mois ou un an. Au niveau de l'offre, par ailleurs, les États-Unis utilisent la réserve spéciale, et la Chine affiche en revanche une croissance inférieure à celle qui est prévue. S'il y a une relance en Chine au même moment, où les réserves s'épuisent, le marché de l'offre pourrait empirer. Ce qui crée beaucoup d'incertitudes, c'est la demande. La plupart des gens commencent à se préparer à une récession légère. S'agira-t-il d'une récession légère ou d'une croissance anémique pendant des heures, ou quelque chose de pire une récession profond dépendant qu'elle combien de temps durera-t-elle. Personne ne connaît la réponse. Mais si l'un ou l'autre de ces scénarios entre enjeux, le pétrole pourrait grimper à 120 $ ou s'effondrer à 60 $. Tous ces scénarios sont possibles. Il faut tenir compte de ces inconnus. Je voudrais que nous ayons une boule de cristal pour nous dans nos portefeuilles. Le secteur de l'énergie nous intéresse à long terme, l'offre se porte très bien. Il faut tenir compte de l'incertitude à l'égard de la demande. Nous avons donc réduit notre pondération du secteur énergétique, mais encore une fois, quelqu'un me dira : vous ne comprenez pas, l'offre se porte bien. Oui, c'est tout à fait vrai, mais aujourd'hui je ne peux pas répondre à la question de la demande, je dois donc songer au scénario le pétrole est à 60 $. -, 60 à 120 $, c'est toute une gamme. Cet été lorsque nous étions autour de 120 $ pour un investisseur qui souhaite obtenir un revenu, c'était de savoir dans quelle mesure les compagnies du secteur pétrolier et gazier au Canada voulaient récompenser leurs actionnaires, parce qu'elles étaient, et possédait une trésorerie ordinaire. Suite oui, oui, les flux de trésorerie sont vraiment exceptionnels. Les équipes de directions promis d'être discipliné au Canada et aux États-Unis. Les meilleurs aux États-Unis au Canada, au niveau des caractéristiques de flux de trésorerie, au niveau du plus trésorerie disponible par rapport à la capitalisation boursière, au niveau de leur prix de reviens au baril, oui, répétait à 60 $, mais les Major se sont tout de même très rentables, au niveau du prix de reviens par baril. Au niveau du flux de trésorerie, ces entreprises se portent très bien jusqu'à ce que quelque chose change. Il y a une chose qui me préoccupe, c'est que nous commençons le voir en Europe, compte tenu des pressions qui s'exercent sont des consommateurs au niveau de l'essence, au niveau des factures d'énergie, on entend parler de la possibilité pour le gouvernement d'imposer les entreprises d'énergie qui bénéficierait trop sur le dos des entreprises et des consommateurs et qui doivent participer à leur juste part. Donc suivant donc ce risque politique. Une autre question, que feriez-vous pour protéger davantage votre portefeuille contre la récession? Une question pertinente plus qui nous préoccupe actuellement. - C'est une question à laquelle il est difficile de répondre, surtout si on a déplacement à long terme. C'est oui ou non. Ou bien vous participez ou non. Donc vous aurez toujours une exposition. Pour nous, qui sommes des investisseurs à long terme, il s'agit du flux de trésorerie qui augmente avec l'intérêt composé. Parfois, il y a des difficultés à court terme, on recherche une tendance de croissance plus rapide que celle du PIB. Et puis il s'agit d'équilibrer les éléments cycliques et défensifs. Dans certains cas, bon, par exemple une compagnie de biens de consommation courante pourrait être considérée comme un placement défensif puisque quelque soit l'environnement, les gens vont devoir acheter du dentifrice. Par rapport à une compagnie de biens discrétionnaires. Par exemple, j'adore ces belles chaussures, mais je pourrais attendre un trimestre pour les acheter, ça n'a pas changé ma vie, mais j'ai besoin de manger des céréales. Dans cet environnement, il est étonnant que les biens de consommation et était en difficulté. C'est un défi pour beaucoup d'investisseurs, c'est-à-dire de trouver les secteurs défensifs du marché. En l'occurrence, si vous regardez ce qui remonte au niveau des sociétés de distribution, les services publics, il y a l'immobilier, quelques biens de consommation, et l'énergie, 105 et un aveux ralentissement, on aurait pensé que les compagnies d'énergie sans difficulté, encore une fois bénéficie de cet environnement inflationniste. Donc pour nous, il s'agit de réduire nos expositions cycliques, discrétionnaires, technologies. Certains titres financiers et tachés d'augmenter, nos prises de participation dans les entreprises, par exemple la santé, certaines compagnies de biens de consommation triée sur le volet, ou même certaines compagnies industrielles, gestion des déchets, quel que soit l'environnement, froid tout enlevait les ordures. Ces entreprises ont gagné de l'argent. Je crois que notre public s'intéresse à la discussion de l'énergie parce qu'on nous demande quels sont les titres d'énergie que vous surveillez? Au Canada. - En tant que gestionnaire de portefeuille, on surveille beaucoup de titres. Pour nous, dans notre style, nous nous concentrons sur les compagnies à grande capitalisation. Je surveille aussi les plus petites, parfois il est intéressant de les suivre, parce que pourrait se concentrer spécifiquement sur le gêner, ou les forages dans le schiste. Alors ça vous donne une idée des tendances, parce que lorsque vous en arrivez à une plus grande entreprise qui a plusieurs sources de revenus, les pistes sont brouillées. Mais nous nous intéressons surtout aux entreprises canadiennes americana grosse capitalisation, européenne aussi. Voilà ce que nous surveillons. Ce que nous détenons d'ailleurs dans notre portefeuille. Quand vous commencez analyser certains des grands titres, et des entreprises intégrées, via le Val, dans une situation positive, ou c'est ainsi? Cela dépend du cycle. En début d'un cycle énergétique, les investisseurs vont graviter vers les entreprises d'exploration. Et vers la fin d'un cycle, ce serait plutôt les raffineries. Donc même si le corps du pétrole diminue, pour les raffineries, c'est leur intrant, c'est la prise revient, et elle vende au poste d'essence. Donc il y a un glissement en fonction du pendant le cycle. À l'heure actuelle, et puis il y a des oléoducs aussi, j'ai tendance à éviter les oléoducs. Beaucoup de gens les adorent, surtout les investisseurs qui recherchent revenu. C'est presque comme un service public. Oui, c'est un service public, et les dividendes sont élevés. Moi j'ai tendance à éviter ces entreprises. On les trouve dans beaucoup de produits de revenus. Oui, le dividende est élevé, mais pour croître, il faut qu'elle continue d'augmenter leurs immobilisations. Souvent les finances en émettant les actions, en tant qu'investisseurs quelque chose entreprises, si une entreprise émet plus action, ça dilue votre participation. Alors j'ai peut-être un dividende de 56 ou cent pour cent, mais si la compagnie doit constamment émettre des actions pour financer ses investissements futurs, je ne touche pas vraiment 5,6, 5 %. Je touche mon temps rajusté. Il y a un autre phénomène qui m'a toujours gêné un petit peu, ce ne sont pas seulement les oléoducs, on le voit dans certaines compagnies communications États-Unis. Quand je regarde les prix de l'action, c'est un peu comme on a parlé des facteurs de désinflation qui prévalait auparavant, certains de ces prix étaient les mêmes qu'ils étaient en 2015,2 1016, 2014. Alors oui je suis investisseur axé sur le revenu, mais je recherche aussi la croissance. Le rendement total, c'est ça notre cap. Beaucoup de ces compagnies vers cinq à 6 % mais sur une base totale, vous êtes à la traîne sur le marché et sur d'autres placements. - Merci pour ces produits intéressants. Nous reviendrons vos questions à Ben Gossack dans un instant. Je vous rappelle comment nous poser vos questions. Envoyez un courriel à moneytalklive@td. com. À présent poursuivre la découverte de CourtierWeb. Sauf nous parlons de titres qui rapportent des dividendes à Nugwa Haruna. Responsable de la formation chez Placements directs TD, il va nous expliquer comment faire des recherches sur l'étique car pour des dividendes. Bonjour, Nugwa. Parlons de certaines dates importantes que les investisseurs doivent connaître des manières de procéder aux recherches. Les investisseurs qui souhaitent faire des recherches sur les actions qui rapportent des dividendes devraient connaître certaines dates importantes, surtout lorsqu'elle voudrait recevoir le dividende suivant si l'entreprise Anvers. Je vais montrer aux investisseurs comment il peut trouver ces dates sur CourtierWeb et en outre ce qu'elle signifie. Sur CourtierWeb l'investisseur fixe recherche, action, tenons-nous en l'énergie, puisque c'est un thème envoyé Ben vous entretenait depuis le début de cet entretien. Alors l'investisseur clique sur événement. Et puis sur dividendes. Cela vous donne un calendrier des événements à venir en ce qui concerne le paiement des dividendes. Voyant les dates. Commençons par la date de l'événement, c'est-à-dire la date de déclaration. C'est le moment où la direction de la compagnie annonce qu'un dividende prévu sera payé le montant du dividende, et la date du paiement ainsi que la date et dividende. La raison pour laquelle c'est important, c'est que les entreprises ne sont pas tenues de verser des dividendes s'il n'y a pas de date de déclaration, l'investisseur ne devrait pas s'attendre à un dividende. Il y a également la date ex dividendes. C'est la date que les investisseurs veulent connaître s'ils espèrent recevoir le dividende suivant. C'est parce que la date ex dividendes indique aux investisseurs quand expire leur admissibilité à recevoir le prochain dividende. Ils seront admissibles à un dividende ultérieur s'il y en a un, l'investisseur qui achète action après la date n'est plus admissible à recevoir le dividende. La date de déclaration annonce également la date de paiement. En l'occurrence investisseur peut savoir quand le paiement sera effectué et verra combien recevra par action. Voici certaines des dates que les investisseurs trouveront sur CourtierWeb s'ils souhaitent investir dans des actions qui rapportent des dividendes. L'information très importante au niveau des titres individuels, mais comment savoir quelles sont les actions qui rapportent des dividendes? Il y a peut-être un filtre? - Oui, tout à fait. Le filtre est l'un de nos plus populaires sur CourtierWeb, parce qu'il s'agit d'un outil très utile qui permet aux investisseurs de choisir des critères pour filtrer l'information. Voyons un filtre lorsqu'on recherche des titres qui rapportent des dividendes, sur leur bonne recherche, on clique sur outils, puis Screen nurse, filtre. Typiquement, on peut créer un filtre à partir de à zéro, mais cette fois-ci je vais utiliser un filtre préréglé ou l'investisseur qui n'a pas le temps, ou estime qui n'a pas le savoir nécessaire peut utiliser un écran préréglé créé par (... ), c'est l'entreprise qui propose les outils. Il va se concentrer sur les dividendes les plus élevés. Donc on filtre les marchés canadiens et américains et on trouve 525 actions. Ça fait beaucoup. Donc l'investisseur peut décider par exemple de s'intéresser seulement marché canadiens, et puis passer en revue certain des critères qui ont été utilisés pour créer l'écran. Le filtre. Ben a parlé du rendement des dividendes, les investisseurs peuvent voir quels sont les éléments qui ont été utilisés pour créer le fil, rendement du dividende au moins 2 %, investisseur peut également envisager le taux de croissance du dividende depuis cinq ans. En l'occurrence, il s'agit d'un minimum de -5 %, et là nous avons 74 occurrences. Il est possible alors d'approfondir chaque entreprise. - Merci, Nugwa, comme d'habitude. - Je vous en prie. - Nugwa est responsable de la formation Placements directs TD. Voici quelques-uns des webinaire que l'équipe de formations organise cette semaine, y compris la manière d'éviter quatre erreurs lorsqu'on investit pour toucher des dividendes. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de CourtierWeb, vous trouverez un corpus de ressources. Avant de revenir à Ben Gossack, gestionnaire de portefeuille, voici comment nous poser vos questions. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser soit par courriel à moneytalklive@td.com, soit dans la boîte à questions bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct. Nous poserons d'autres questions à Ben Gossack. Nous parlions d'investissement en vue de toucher un revenu, voici une question intéressante puisqu'Apple se portait très bien pendant quelques sessions avant aujourd'hui. Que pensez-vous d'Apple et de l'iPhone 14? - La semaine dernière, Apple a fait sa grande annonce de l'iPhone 14. Il y a une nouvelle montre. De nouveau Airport : mais bon, les iPhones représentent toujours la moitié du chiffre d'affaires entreprises, même si tous les autres secteurs services accessoires sont en croissance. Donc, je suis Apple depuis des années, investit un peu depuis des années, je suis toujours les cycles et iPhones. Alors donc, iPhone 14, j'ai été étonné par le taux d'adoption du 13, je pense est un bon cycle. Nous abordons le cycle 14 il y a certains changements mineurs, rien de trop important. Il y a ce qu'on appelle une idée dynamique, tous les techniciens s'activent à comprendre ça sur les blocs. Mais le taux d'adoption pendant la fin de semaine a été positive, ça étonnait beaucoup d'analystes. Hier, il y avait une hausse de quelque 4 % sur la base de cette information, aujourd'hui les forces macro-économiques ramènent l'action à la baisse avec le reste, mais je pense que cela prépare le terrain pour un excellent cycle. Deux choses : Apple n'a pas relevé les prix sur le 14 aux États-Unis et en Chine, dans d'autres endroits, il a fallu réajuster en fonction du taux de change, mais c'est un signe intéressant. On a vu des entreprises relever les prix, et ça aurait pu être intéressant. Et un autre élément dont je n'avais pas tenu compte, il s'agit d'un téléphone coûteux. Les téléphones représentent l'objet électronique le plus important, donc il faudrait les payer, bien sûr, nous en tirons beaucoup de valeur. Mais c'est un achat ponctuel. Il y a beaucoup de sites HT maintenant, payer plus tard. Ce qui pourrait représenter un investissement de 1200 à 2000 $ pourrait représenter un investissement de 60 10 à 80 $ sans intérêt étalé sur deux ans. Ça, c'est vraiment très exigeant. On s'inquiète d'une récession, on va réduire les dépenses discrétionnaires, 70 $ sans intérêt, ça peut également aider le taux d'adoption. J'apprécie Apple dans sa configuration actuelle, c'est sans doute le titre plus important sur le marché, c'est un facteur qui est attribuable au fait qu'Apple représentait à 8 % du S&P 500. Je me rappelle à quel point ces téléphones sont coûteux, les deux restaurants je suis allé depuis deux semaines, j'en suis reparti sans mon téléphone, parce que je ne gagne pas autant d'argent que je dois. Malheureusement, ma femme chaque foie m'a dit va chercher ton téléphone, chaque fois il était toujours sur la table lorsque je suis revenu. Alors qu'est-ce que votre avis dépense des banques canadiennes laquelle verse des dividendes assez réguliers. - Oui, les banques versent des dividendes excellents, mais augmenté dividendes. Les dividendes augmentent, dans le haut de la fourchette un à 10 %, et à long terme les banques ont été vraiment gagnantes. Les résultats du troisième trimestre ont été annoncés, comme ce travail pour une banque, c'est la fin d'exercice, c'est l'Halloween le 31 octobre. Donc les bénéfices des banques pour le troisième trimestre affichent une très forte croissance des prêts, presque de deux chiffres, ce qui est un peu étonnant, puisque les pressions maintiennent un faible général et les écarts, plus important. Les banques prêtent mais doit financer leurs prêts. Donc cet écart augmente plus de prêt, plus d'écart, mais, donc mes revenus intérêt nets. Ça c'est très sain. Les autres facteurs, il y avait une faiblesse dans les marchés des capitaux, ça c'est à cause de la volatilité des marchés, les actions baissent, c'est difficile de faire des affaires, action de de fusion se tarit. Donc ça, c'était une faiblesse, mais je crois que c'était une faiblesse connue, prévue. Autre chose qui était étonnant, c'est pour le crédit. Les banques doivent pratiquer des provisions pour certaines créances limitées. C'est très étonnant, nous savons qu'il y a un certain ralentissement. On le voit en Europe, aux États-Unis, au Canada il y a eu des pertes d'emploi. Quand est-ce que ça va se répercuter? Le troisième trimestre n'a pas répondu à ces questions, mais cela pose la question, à quel moment les banques vont devoir relever leur provision pour certaines créances et quel sera l'impact pour les bénéfices. Quand je songe aux banques canadiennes, je songe aux banques par rapport au reste du monde. On a une époque d'incertitudes, les banques canadiennes se maintiennent toujours mieux. Donc les investisseurs vendre les actions des banques européennes, vous avez vu que les rendements des banques américaines a été décevants. Le Canada se maintient toujours. C'est à cause de notre marché financier, c'est à cause des capitaux propres qui sont très forts. Et aussi, c'est une fonction de la structure de la bourse de Toronto. Ça aide les banques canadiennes, quelque soit la conjoncture, parce que le marché étend limité pour les biens de consommation et la santé, le choix, c'est l'énergie ou les banques. Ce qui contribue à aider les banques à se maintenir. Mais en tant qu'investisseur axé sur le revenu, la croissance des dividendes ne semble pas compromise, donc les banques canadiennes, devrait toujours bien se maintenir. Une autre question à présent, avec l'approche d'un ralentissement. Est-ce que le moment est venu de songer à l'investissement axé sur le revenu pendant la pandémie il s'agissait de la croissance, du momentum de la technologie. Il n'y a jamais de mauvais mouvants pour (.. .), axé sur le revenu, ce qu'on recherche c'est l'augmentation composée régulière. Quand on arriva des 40, 50,60, faut chercher des sources de revenus parce que vous voulez travailler moins, vous allez prendre votre retraite. Tout ce travail aurait déjà été fait si vous aviez semé dans les années 20 avec le pouvoir de l'investissement composer, investir dans la vingtaine, ça rapporte massivement dans les années 50,60, 70. Mais ceci dit, quand vous regardez lesdits titres que nous détenons, il n'y a pas de compagnies de distribution, pas de compagnie de consommation, et des compagnies financières,. En temps que toute essence concentrant la croissance. Parce que pour que les entreprises augmentant dividendes qu'il faut qu'elles développent leur activité. Moi je suis investisseur augmente axer sur la croissance. Sauf mais plutôt que la croissance qui s'envole comme les compagnies logicielles qu'on a vues pendant la pandémie, je pense à la croissance des flux de trésorerie. Donc le grand problème que beaucoup d'investisseurs ont dû résoudre qui ont été pris dans la vague des hausses de type pendant la pandémie, c'est que les taux d'intérêt ont augmenté. Quand on compare les taux d'intérêt ou valorisation de ces entreprises, elles sont toujours très coûteuses. Même avec les 50 ou 60 % de dégringolade par rapport à leur pic, et sont toujours très coûteux et moi ça me pose des problèmes de réinvestir, même si elles peuvent paraître bon marché au niveau du cou. Nous allons revenir vos questions à l'adresse Ben Gossack dans un instant. Comme d'habitude, fait toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Vous pouvez poser des questions en tout temps. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser soit par courriel à moneytalklive@td. com ou dans la boîte de questions bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct. Les marchés boursiers ont dû surmonter plusieurs difficultés cette année, augmentation des rendements obligataires, politique sévère de la Fed, ralentissement de la croissance des bénéfices, valeur mobilière TD a donc revu sa perspective sur les bénéfices du marché. Oui, valeur mobilière TD a révisé à la baisse les perspectives de bénéfice dans son dernier rapport. J'ai un graphique qui signale les grandes prévisions. Pour 2023, la prévision des bénéfices S&P 500 a été révisée à 230 par rapport à 235 $ de PPR. C'est conforme avec le pronostic suivant, valeur mobilière TD a réduit l'objectif de fin d'exercice pour le S&P 500 à 4600 par rapport à 4800. Indice TSX 22 500 reste inchangé par rapport à la prévision précédente. Valeur mobilière TD croit que les mesures prises par la Fed et la contraction qui s'en vient ont entraîné une pause dans la croissance économique aux États-Unis ainsi qu'une baisse de l'inflation en 2023. La pose de la croissance économique, selon service économie TD, ce placera entre un atterrissage en douceur une récession légère. La saison du troisième trimestre était plus positif que prévu. Valeur mobilière TD note que les analystes révisent leurs perspectives à la baisse pour 2022 et pour 2023 un rythmes qui va s'accélérant. Le rythme des révisions à la baisse entraînée le début de ce que valeur mobilière TD pensait un déclin modeste mais prolongé des perspectives pour les titres cotés au TSX et au S&P 500. Les multiples prospectives avaient progressé de deux points par rapport au creux du mois de juin ce qui entraîne une baisse des rendements. Avec la hausse des taux d'intérêt qui ralentit la croissance dévalorisation par rapport aux obligations, la correction en courbe pourrait se poursuit dans les semaines à venir. Valeur mobilière TD note que même si cette réduction peut être importante, on ne pense pas clairement obligataires ont atteint de nouveaux sommets. Donc nous préparons des pas difficiles, mais nous sommes des créatures optimistes. Est-ce que vous avez un point de vu quant au revirement? Valeurs mobilières TD parce que la correction co pourrait durer environ deux semaines mais parce que les perspectives à plus long terme sont beaucoup plus radieuses puisque les rendements obligataires devraient diminuer pendant le premier semestre 2023 et que les bénéfices devraient commencer à se remettre au deuxième semestre. Vous avez entendu Anthony Okholie de Parlons d'Argent direct. Encore un coup d'œil sur les marchés. Indice TSX composite a ouvert après les anneaux étatiques inflation aux États-Unis laquelle est plus élevée que prévue, donc le marché réagit à la baisse. La situation est moins défavorable que sur la bourse de New York, mais l'indice TSX est quand même en baisse d'un quart de pour cent. Certaines sociétés minières sont en difficulté. Laure a progressé depuis quelques jours avec la faiblesse du dollar américain, mais la tendance est inversée aujourd'hui avec l'inflation américaine plus élevée que prévu, le billet vert a bondi ce qui exerce une pression sur le corps de l'or pour certaines compagnies minières. C'est pas trop grave, mais qui ne Ross en baisse de près de 3 %. Nutrien réalise des gains et les maintient en dépit de la baie généralisée du marché. 120 $, en hausse de 1,5 %. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 se maintient dans le creux atteint pendant la séance, 3980 :. Certains des titres méga capitalisation de technologie ouvre la voie. Le Nasdaq à présent, spécialisée dans la technologie remonte, puis les creux atteints en début de session, c'est donc un recul considérable. Nous sommes en baisse de 3,3 %. Wells Fargo, certains des titres financiers dans cet environnement, Wells est à 43,71. 43,61 plutôt. Nous revoici en compagnie de Ben Gossack et répond à vos questions sur l'investissement axer sur le revenu. Nous parlions des banques, et ça intriguait quelqu'un. Il s'agit des conséquences fiscales pour les banques. Quant aux mesures envisagées par les gouvernements, le gouvernement pensait que les banques avaient peut-être quelque chose à voir avec les soutiens pour le revenu. Le profil de la fiscalité lorsqu'il s'agit d'investir les banques canadiennes. -, Dans le cas des promesses électorales du gouvernement, ce dernier a dit qu'il allait axer les bancs, il annonçait. C'est déjà pris en compte dans le corps des actions. Et pour beaucoup de gens, lorsqu'il songe à l'imposition d'une banque, il s'agit d'événements ponctuels. Le court des actions reflètent les données fondamentales pour l'avenir. Donc si vous bâtissez un modèle de prévision prévisionnelle, l'impôt, c'est aujourd'hui, pas dans l'avenir. Amorce syntaxe récurrent donc ça n'influe pas sur les coûts futurs. Quand ça se produit les marchands tienne compte, et on passe outre. Encore une fois le plus grand problème, je pense que pour les investisseurs, surtout si vous détenez des actions de banque, c'est que nous avons une solide croissance des prêts au fur et à mesure que les donateurs augmentent, cela fait subir des pressions entreprises, peuvent-ils maintenir la croissance des prêts ou y aura-t-il une réduction du rythme de croissance? Et puis il y a les provisions pour les pertes sur créances. Nous sommes en deçà des tendances historiques. Nous devrions prévoir que les prévisions augmentent pour parvenir à la tendance historiques. Et s'il est une récession légère ou grave, nous devrions dépasser cette moyenne. C'est ce que le court de l'action reflète, c'est cette préoccupation relative à l'environnement du crédit. C'est de cela qu'il faut se préoccuper en tant qu'investisseur. Voyez, vous ne posez vos questions, elles sont posées directement à nos invités qui peuvent y répondre instantanément. À présent, avec la possibilité d'une récession, que pensez-vous des actions comme Dollarama? Dollarama récemment annoncé que les gens de tous milieux économiques fréquentés leur magasin pour chercher des aubaines. Vous aviez demandé autrefois comment les gens positionnent leur portefeuille en vue d'une récession. De toute évidence les magasins dollars, Dollarama, dollar (. .. ) et un auto stalinien en mes chats, ont tendance à mieux se comporter. Le marché des sites gascons devrait investir davantage dans peloton ou dans les magasins dollars? Donc ils s'en sont bien –, d'affaires, Dollarama et une des compagnies qui obtient les meilleurs résultats sur le TSX. Il y a d'autres compagnies, il y a des détaillants qui se concentrent sur les agriculteurs, par exemple les fournisseurs de tracteur. Il y a certains secteurs qui sont porteurs, mais on en revient au consommateur. À quoi les consommateurs vont y consacrer leurs dépenses, qu'est-ce qu'ils vont réduire, et cela en tant que gestionnaire de portefeuille, nous oblige à faire œuvre de détective. L'Europe ralentit, quel est notre participation en Europe dans les économies intérieures, quel sera l'impact, quelles sont les sources de revenus qui sont sensibles au ton intérêt, donc en tant que gestionnaire de portefeuille, on passe tout cela en revue, on décide comment porter des ajustements aux prises de participation. Dollarama, surtout pendant une récession, faible prix de reviens, produit relativement de qualité, fiables. Les gens vont graviter versa. Le temps nous manque pour répondre aux questions, mais avez-vous une ultime réflexion, le marché d'ici difficile, comment les investisseurs devraient se préparer? - Pour moi, rendement total, c'est toujours le cap. On peut se laisser éblouir par tous les facteurs macro-économiques. Un jour tout va bien, Tout va mal. Encore une fois, travaillez votre conseiller, si vous investissez vous-même, tenez-vous en vos stratégies. À long terme, si vous en tenez vos stratégies, ne vous laissez pas distraire par l'actualité. C'est la recette du succès. C'est quand on se laisse distraire par l'actualité ont commis des erreurs. Donc notre stratégie consiste investir dans des entreprises de grande qualité dans le flux de trésorerie augmente en fonction de tendances lourdes. C'est ce qui nous aide à garder le cap lorsque nous sommes au milieu de la tempête. - Ben, à la prochaine. Merci. Ben Gossack gestionnaire de portefeuille Gestion d'actifs TD. Merci d'avoir été à l'écoute. Vous n'êtes pas obligés d'attendre notre prochaine émission pour nous poser vos questions. Par courriel à moneytalklive@td. com. Soyez à l'écoute de demain nous allons recevoir Andrew Calderón, stratège en chef pour le Canada qui va envisager les perspectives pour la Banque du Canada. Et d'autres thèmes intérêt à l'égard de l'économie. Merci à demain.