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(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité du marché et répondre à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, Ben Gossack commentent les secteurs porteurs dans un marché surtout en baisse. Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb en voyant comment on peut réaliser des recherches sur la plate-forme pour découvrir des possibilités de placement rapporteur de revenus. Osez-nous vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la voie de questions bas de notre camp. Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés. Dans deux heures, la réserve fédérale annoncera sa décision sur les taux à l'issue d'une rencontre de deux jours. Les marchés sont donc prudents. L'indice TSX composite est essentiellement inchangé, en hausse de 2,86. points, soit 0,01 %. Le brut de référence américain est légèrement en hausse, mais tout le monde attend 14 heures Delest. Quoi que nous sommes toujours en plein la saison des annonces des bénéfices. Martinrea internationale a su plaire aux investisseurs. Et hausse les ventes sont en hausse. Suncor est tiraillé par les cours de l'énergie. Certaines de ces actions étaient en baisse, mais Suncor est en hausse de un cinquième de pour cent. 47,82 $. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 est bien sûr dans l'attente de la décision de la Fed. C'est le grand moment de la journée pour les investisseurs. l'indice est en baisse de 1/2 %. L'indice Nasdaq est axé sur la technologie, encore une fois, tout dépendra ce de ce que dira de Jerome Powell. Tout le monde pense que la Fed annoncera 75 points. Peut-être dira-t-elle qu'elle va garder le cap pour marquer une pause. C'est cela qu'on attend. L'indice Nasdaq est en hausse de près de 1 %. C'est toujours la saison des bénéfices. Certaines entreprises déçoivent. Tupperware annonce des bénéfices inférieurs aux prévisions. Les marchés ont vécu une année difficile. Le S&P 500 est en baisse de 20 % depuis le début de l'année. Sous la surface, il y a quelques secteurs porteurs. Ben Gossack, gestionnaire de portefeuille à Gestion d'actifs TD, va évoquer les tiraillements dimanche. Parlons-en. Les chiffres généraux, mais sous la surface, quels sont les secteurs sont porteurs? - Indice S&P 500 est censés représentés les 500 entreprises les plus grosses, mais certaines entreprises accaparent une part plus importante. Apple représente 7 % de l'indice. À mon avis, c'est lorsque Microsoft ou Apollon ont atteint leur sommet, beaucoup de types de secteurs dans les 10 S&P 500 avaient déjà été leur pic et était en baisse dès 2021. Voilà pourquoi nous en sommes nous en sommes aujourd'hui. Ce qui est intéressant pour cette année, nous étions en baisse de 25 à 30 %, 20 % aujourd'hui, nous verrons ce qui va se produire lors des deux grandes prochaines lycées échéances, mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de possibilité de baisser et de créer de la valeur. Un domaine particulièrement porteur et l'énergie. C'est le seul secteur aujourd'hui sont en hausse sur 12 mois. Tous les autres secteurs sont en baisse. Mais quand on compare le secteur de l'énergie à l'indice S&P 500 comme le fait ce graphique, il s'agit d'une sur imposition du secteur sur les 10 S&P 500. L'échelle ne compte pas vraiment. Ce qui compte, c'est la tendance. C'est comme la première dérivée ou la deuxième dérivée. Nous recherchons un changement de tendance. L'énergie était inférieure au S&P 500 pour. À son point le plus bas, elle représentait 2 % de l'indice. L'énergie a remonté en 2021 2022. Ne représente que 5 % de l'indice. Est-ce que ces actions peuvent continuer de remonter? Certes. Elle commence à peine. Nous ne sommes plus haut pétroles à 120 $ le baril. Mais l'offre est demeurée limiter. L'OPEP a démontré sa discipline, même s'il y a encore des inconnus à l'écart d'une récession, les entreprises produisent des résultats financiers et les actionnaires sont récompensés par des dividendes et des rachats d'actions. Voilà pourquoi les secteurs continuent d'être porteurs. Il y en a quelques autres. Parlons du secteur des finances. Les titres financiers sont intéressants. Si je vous disais, l'économie ralentit, il y a beaucoup d'entêtement, les taux d'intérêt augmentent, vous mettriez d'accord, je suis un peu plus acquis au niveau des provisions pour pertes sur créances sont directement édités bénéfices dans un modèle financier. Il y a une certaine faiblesse, surtout au niveau des banques, au début de l'exercice. Ce qui a plombé les résultats de secteurs par rapport à l'indice SCP. Mais dernièrement, il y a un créneau qui porteurs. Quand je dis secteur financier, la plupart des gens pensent aux banques, mais on oublie souvent les compagnies d'assurances. Même si le marché encore une fois est en baisse de 20 %, les compagnies d'assurances et elle atteigne de nouveaux sommets. Elles n'ont pas été affectées par la guerre russo-ukrainienne. Il y a eu des catastrophes naturelles comme l'ouragan récent en Floride, mais parfois, ce traité comme un événement ponctuel. Pour les compagnies d'assurances, surtout les compagnies à ARD, la Duration de leurs actifs est très courte. Elles peuvent donc le réévaluer avec un taux d'intérêt de 4 %. C'est beaucoup mieux. Au fur et à mesure que les taux d'intérêt augmentent, le passif des assureurs prend beaucoup plus de valeur. Aussi bien au Canada qu'aux États-Unis, les assureurs ont de très bons résultats. S'agissant des banques américaines, récemment, les provisions pour pertes sur créances pourront devenir une inquiétude en 2023 mais ne le sont pas encore. D'ici là, les banques testaient à des taux très intéressants tout en proposant des intérêts très maigres sur les dépôts, ce qui donne un bon écart pour le revenu net d'intérêt. Voici pour le secteur financier. À quoi ressemblera ce graphique? La technologie? Encore une fois, la technologie par rapport(...) la raison pour laquelle ce graphique n'est pas catastrophique, c'est qu'il faut tenir compte de la contribution de certains titres secteur. La pondération n'est pas égale. Apple représente (...) entre-temps, Microsoft a reculé après l'annonce de ses bénéfices. Les semi-conducteurs ont également déçu. Il est important de comprendre les tendances, les cycles, la technologie en tant que secteur devrait être beaucoup plus en baisse qu'elle ne l'est. Les communications. On parle d'émigrés accompagnés des technologies qui ont déçu la semaine dernière, mais certaines de ces entreprises chevauchent de secteur. L'organisme qui classifie les entreprises en secteur a décidé que le secteur des télécommunications était trop restreint. Il y a des années, des entreprises comme Google, Facebook, avait été transféré au secteur des communications. Il s'agit de l'une des situations quand on examine les résultats de secteur des communications par rapport à l'indice S&P 500, on se dit ça ne peut pas empirer et puissant empire. Nous avons vu les difficultés. Snap ne fait pas partie de l'indice S&P 500, mais ces mêmes défis s'étendent à Meta. Ce sont des défis que Netflix a dû relever. Il s'agit d'un secteur qui continue de lutter contre des facteurs négatifs. Ce qui empire la situation, c'est que Google, qui s'était maintenue, et maintenant plus avec bon nombre des problèmes que Meta à digérer. Le secteur des communications continues de faiblir. La santé. Il s'agit de la santé aux États-Unis. C'est un secteur bien différent du nôtre. La plupart des investisseurs au Canada se tournent vers le secteur de la santé aux États-Unis pour créer un portefeuille plus complet. Ce qui est intéressant dans la santé, c'est qu'il est typiquement considéré comme secteur défensif. Ce n'est pas facile. Considérer la santé par rapport au S&P 500, vous vous direz si merveilleux, le secteur de la santé fait ce qu'ils nous pensions qu'il ferait, c'est-à-dire sur place en termes relatifs. Mais il y a une bifurcation. Le secteur pharmaceutique augmente très bien. Pourquoi? Parce que la plupart de leurs coûts sont situées au niveau de la recherche-développement. La première pilule coûte le plus cher, après sa démarche sont très fortes. Il y a une visibilité au niveau des bénéfices. Même si votre médicament ne sera plus breveté dans cinq ou six ans, ce n'est pas un problème aujourd'hui et les flux de trésorerie sont réguliers. Des compagnies comme Merck atteignent de nouveaux sommets. Toutefois, la technologie médicale est un secteur très intéressant affecté par de nombreuses tendances lourdes. De véritables avantages concurrentiels. Ça pourrait orthopédie, le diabète. Ces compagnies sont en difficulté au niveau des marges notamment. Toute entreprise qui a des problèmes de marge et le prix de revient a déçu. Les entreprises bien connues comme Babbitt, (.. .) enfin mais non des moindres, les services publics. Je n'oserais pas parier l'allure que prendra ce graphique. Pour moi, les services publics et les fiducies de revenu immobilière obéissent aux mêmes tendances. En début d'année, tout le monde est bien rendu compte que le marché dégringolait. La croissance ralentissait. Tout à coup les banques centrales ont dû réagir. Les investisseurs cherchaient des titres défensifs. Service public et FRI. C'est là où les investisseurs se cachaient. le secteur a vraiment donné des résultats inférieurs plus d'un mètre les taux d'intérêt représentent un problème plus important. À 2 %, 3 %, c'était une chose, mais maintenant l'inflation redémarre. La Fed et d'autres banques centrales doivent vraiment resserrer la politique monétaire. Je préférerais détenir un bon du trésor américain qu'académique était d'une compagnie de services publics, mais inquiétés de ses intrants, de ses prix de revient et, de l'impact des ouragans, inquiétait l'idée que le gouvernement puisse dire que c'est un problème, que les gens doivent payer ses factures, alors nous allons plafonner vos rendements. Ça commence à affecter le secteur des services publics et c'est pourquoi nous voyons un rendement inférieur au pronostic. - Excellent début d'émission. Ben Gossack va répondre à vos questions sur les stratégies de placement rémunérateur dans quelques instants. Posez vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la bonne question bas de votre écran. Mais tout d'abord, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés. les actions de Canada Goose sont en état aujourd'hui. Les fabricants de parkas de luxe réduit son pronostic de vente pour l'année. À cause des restrictions liées à la COVID en Chine et des incertitudes économiques générales. Elle va se concentrer sur ce qu'elle peut contrôler, y compris les investissements disciplinés. La flambée des prix de l'énergie à presque tripler les bénéfices de Cenovus Energy mais la production a diminué par rapport à l'an dernier à cause d'entretien prévu et d'une panne de courant imprévu au mois d'août. Airbnb avertit les investisseurs que les réservations pourraient diminuer pendant la saison des fêtes. Même si la compagnie de location à court terme à dépasser les attentes pour le dernier trimestre, la croissance des réservations a ralenti depuis la flambée dans le monde au printemps. Airbnb note également que le dollar américain fort (...) voici les principaux indices. L'indice TSX composite est en baisse de 21 points. Bien sûr un grand événement s'en vient dans 1h45, c'est l'annonce de la réserve fédérale à l'égard de sa plus récente décision sur les taux. L'indice S&P 500 est en baisse de 24 points, soit plus d'un demi pour cent. Ben Gossack répond à vos questions sur les stratégies de croissance et de revenus. Avez-vous dégagé des tendances? - Plus de 75 % des entreprises ont annoncé leur bénéfice. Nous avons une bonne idée des résultats financiers. La croissance du chiffre d'affaires s'est établie à 10 %. C'est assez extraordinaire compte tenu des données mais données macro-économiques, du taux d'inflation. Il y a des entreprises qui bénéficient de l'inflation, les entreprises qui ont instauré des augmentations de prix, donc l'augmentation de 10 % n'est pas nécessairement rassurant. Mais le bénéfice par action augmentée de 5 %. Donc il y a un problème de levier d'exploitation, c'est évident. 3 % de ses 5 % provenaient de rachat d'actions. Pour moi, l'essentiel, c'est qu'il y a une compression des marges. Il y a le dollar fort, les taux d'intérêt, l'augmentation des prix de reviens, et si l'on retranche les compagnies d'énergies qui ont très bien réussi, la croissance du bénéfice par action négatif. Autre chose que j'ai noté ce matin, tous ces éléments sont basés sur des estimations qui ont déjà été réduites de 8 %. Le seuil était moins exigeant. Certaines compagnies dépassent les attentes mais ses attentes avaient déjà été rabattues. S'il y a déception, les marchés punissent les entreprises. En général une chute de 10 %, mais si vous êtes actionnaires d'Amazon, de Meta, certains entretiennent, qui vole très haut, il y a eu des baisses de 5,10, 15,20 %. Ça a été vraiment sévère. La baisse en cas de déception. Au début de l'année, quand les taux d'intérêt est à zéro, on ne se concentrait pas tellement sur la gestion des dépenses. Aujourd'hui, tout ce qui intéresse les analystes, c'est la discipline au plan des coûts, la possibilité de préserver l'image, une compagnie qui peut préserver ses marges gérer ses coûts se porte très bien. Pepsi, McDonald, ces compagnies c'était très bien à faire. Les compagnies qui continuaient de penser comme Meta sont punis par le marché. - La prochaine saison des bénéfices, sortons notre boule de cristal. Quelles sont les attentes? (.. .) - l'économie déjà distillée le devis encore plus. Le chef qui m'intéresse, le chef qui n'a pas diminué, c'est le pronostic pour l'exercice 2023. Quand je compare cette estimation aujourd'hui ce qu'elle était en début d'année, les bénéfices pour l'année 2023 n'ont diminué que de 6 %. J'ai vu certains rapports selon lesquels temps une récession moyenne on devrait s'attendre à ce que les attentes en matière de bénéfices diminuent de 20 %. Les entreprises s'efforcent toujours de reporter les réductions de leurs prévisions de bénéfices pour 2023. Le premier semestre pourrait être un défi, mais certaines entreprises disent non le deuxième semestre se portera bien. Vous verrez que le deuxième semestre 2023, tout va s'accélérer. C'est en fait une inconnue. Je n'ai pas la boule de cristal. Je ne connais personne qui en a une pour me garantir que le deuxième semestre de 2023 se portera mieux. - Une autre question. que pensez-vous des FANG? - je cherche des actions qui peuvent exploiter les tendances lourdes. Pendant très longtemps, sucer la nuagique, les paiements, les médias sociaux, les dollars publicitaires des médias sont passés de la télévision aux médias en ligne, ce qui a beaucoup aidé les grandes compagnies de technologie à se consolider et à récompenser leurs actionnaires. À présent, il y a un rattrapage au niveau des modèles d'affaires. Netflix faisait parti de ce groupe. Lorsque Netflix a commencé, elle était considérée comme une force perturbatrice. À présent, la nouvelle mode dans le visionnement, c'est de se discipliner et d'éviter de regarder des épisodes en série. Donc on a réinventé le modèle de la télévision linéaire. Le défi que pose Netflix ou encore Facebook ou Meta, c'est qu'il s'agit finalement d'une concurrence dont l'enjeu est l'attention du public. À présent avec TikTok, ça été un problème. Apple demeure une source de solidité. Je pense qu'elle peut continuer de le faire. Apple a un modèle financier qui lui permet de générer un flux de trésorerie. Il ne reste tout de même un certain niveau de confiance au niveau de Microsoft en ce qui concerne l'exécution, même si les résultats annoncés la semaine dernière était décevant, Microsoft donne marge de manœuvre niveau d'exploitation 2023. L'entreprise a plus de déception pour nous, c'est Amazon. On voit que les tendances du commerce électronique, les tendances de la nuagique, sont à l'œuvre. Amazon crée sa propre activité de(... ) c'est un problème qui peut être réglé. Il y a de l'espoir pour certaines entreprises de ce groupe, mais pas pour tous. Dans une année de volatilité, c'est une question importante. L'indice de volatilité, pourquoi est-il si bas en dépit de la dégringolade depuis le début de 2022? La question m'intéresse aussi. Il existe une corrélation inverse entre la hausse de l'indice S&P 500, le VIX baise simultanément lorsque le marché baisse. Il y a des produits qui ont été conçus autour de cette corrélation, presque comme couverture d'assurance. Cela marchait très très bien pendant la COVID. Il y a un marché qui a chuté de 20 à 30 %, mais le VIX a grimpé jusqu'à 80. Il s'agit de stratégies basées sur le risque extrême, inondation qui n'arrive qu'une fois tous les 100 ans. Ces stratégies ont été couronnées de succès. Viens cette année et c'est une tendance au ralentissement. On lit les journaux. On sait que les taux d'intérêt en hausse font leur effet. Il y a une guerre qui fait augmenter les prix d'énergie. Bref, tout ralenti. Tout le monde souscrit une assurance contre les ouragans, les inondations. Les marchés étant en baisse de 25 % mais davantage dans le secteur de la technologie, il y a trop d'assurances. L'indice VIX n'a pas flambé quiconque ces replis sur ces stratégies obtiendra des résultats inférieurs aux prévisions. Mais les jours le marché craint, c'est exceptionnel par rapport aux tendances historiques. La volatilité à la hausse. Tout à coup, on apprend que la Chine va rouvrir et le marché galope. La banque du Canada donc bon pas autant que prévu, donc la Fed va emboîter le pas. Il y a une hausse également. Quand il y a des déceptions, la baisse n'est pas aussi importante. C'est parce que tous ceux qui sont baissiers, tous les investisseurs baissiers se sont préparés pour la baisse. C'est pourquoi cet année très différent. Ce qui se sont réfugiés dans ses produits se demandent ce qui s'est produit. C'est toujours vos propres recherches avant de prendre l'édition de placement. Ben Gossack va répondre à vos questions sur les stratégies de croissance des revenus dans quelques instants. Je vous rappelle comment nous poser vos questions. Par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. Poursuivons la découverte de CourtierWeb. Vous intéressez-vous à des stratégies de placement qui crée un revenu? CourtierWeb a des outils qui peuvent vous aider. Nugwa Haruna, bonjour. Commençons par une explication d'une stratégie de placement qui rapporte revenu. - Les investisseurs pourraient envisager diverses stratégies de placement pour parvenir à leurs objectifs. Il s'agit de tenir compte de la tolérance au risque. Certaines des stratégies de placement pourraient être axées sur la croissance, sur la valeur, qui consiste à rechercher des actions qui sont sous valorisées, et il y a l'investissement axé sur le revenu. C'est un style d'investissement qui se concentre sur la production de revenus. Les investisseurs qui utilisent ce style vont rechercher des dividendes, des coupons sur les obligations, des paiements d'intérêts sur les certificats de placement garanti. Les paiements de dividendes ne sont pas garantis. Les entreprises peuvent les annuler sans préavis. Les paiements de coupon des entreprises qui émettent les obligations peuvent être défaillantes. Mais finalement, ce style de placement en général est considéré comme présentant un niveau de risque faible à modéré. Les investisseurs qui recherchent des opportunités d'investir en vue d'obtenir un revenu, il existe différents types de valeurs mobilières. Les actions rapportent des dividendes, les titres à revenu fixe, obligation ou certificat de placement garanti, rapportent des intérêts. Les fiducies de revenu immobilière qui verse le revenu locatif souvent noble des dividendes. Les fonds communs de placement ou fonds négociés en bourse peuvent verser des distributions en fonction des dividendes des paiements d'intérêts toucher le fond. Différents produits de placement sont à la disposition des investisseurs s'intéressent à cette stratégie en fonction de leur tolérance au risque. Approfondissant cette stratégie sur CourtierWeb. Mettons que j'ai investi pour obtenir un revenu. Quel est le revenu que je peux espérer en tirer? vous pouvez faire un suivi sur CourtierWeb en suivant le revenu généré par votre portefeuille. Sur CourtierWeb, on clique sur compte puis sur revenus projetés. S'affiche alors un sommaire de leur compte. Vous pouvez choisir le compte que vous recherchez et pour lequel vous souhaitez calculer le revenu prospectif qui s'affiche en bas de l'écran. L'outil des revenus projetés va montrer à l'investisseur une moyenne mobile sur 12 mois du revenu que vous allez toucher. Vous pouvez l'afficher en dollars canadiens ou américains. Il y a un rapide sommaire. Par exemple, quel est le montant du revenu projeté pour les 12 mois à venir? Quelle est la ventilation entre les dividendes et les intérêts? Quelle est la moyenne mensuelle? En fonction de la somme que vous allez recevoir dans ce compte. Si vous voulez voir à quoi ressemble cette source de revenus sur les 12 mois, les informations sont affichées au bas de l'écran pour voir les titres (. ..) enfin, vous pouvez visualiser votre portefeuille de façon plus holistique. Vous puis sélectionner l'option tous les comptes pour voir quel seraient le revenu projeté pour tous les titres détenus dans vos comptes. Vous pouvez ensuite établir une cible mensuelle, ce qui pourrait vous aider à parvenir à vos objectifs et vous pourriez comparer votre cible mensuelle à votre moyenne mensuelle de revenus pronostiquer, ce qui vous aide à prendre des desserts lorsque vous envisagez de réévaluer votre portefeuille de rééquilibrer celui-ci. - ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage sur CourtierWeb vous trouverez encore plus de ressources. Je vous rappelle comment nous poser vos questions. avez-vous une question sur les placements ou encore sur le marché? Vous pouvez nous la poser. Soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct. Ben Gossack répond à vos questions sur les stratégies de placement axé sur le revenu. Comment sélectionner les titres axés sur le revenu? - Bonne question. On en revient aux objectifs. Dans les fonds que je gère, il s'agit de produire des sources régulières de revenus qui augmentent au fil du temps ainsi qu'un rendement total. Il faut que les prix, la valeur de chaque titre augmente au fil du temps. Si vous ne vous intéressez pas tellement votre principal, vous voulez seulement toucher revenu, typiquement, les gens gravitent vers des titres rapportant des dividendes élevés. Ce n'est pas la bonne façon. Vous voyez, 5678 % de rendement, mais selon notre expérience, il y a un coût. Peut-être que le marché presse un problème au niveau de l'activité de vente de l'entreprise que ces dividendes devront être réduits. Il est rare de trouver un bijou méconnu. Si le titre augmente, les dividendes diminuent, le rendement total sera toujours favorable. Nous recherchons des entreprises peuvent augmenter les dividendes systématiquement fil du temps. Notre filtre consiste à rechercher des actions entreprises qui ont un avantage concurrentiel. Cela donne une raison de produire un flux de trésorerie. Nous passons alors leur bilan au crible. Il faut qu'une entreprise puisse survivre à toutes les phases du cycle économique, cycle d'affaires, c'est bien si une entreprise peut verser les dividendes quand les choses vont bien, ce qu'il faut, c'est que l'entreprise verse un dividende et l'augmente quand les choses vont moins bien. L'économie est en difficulté à l'heure actuelle. Prenez une entreprise comme Visa, qui a augmenté dividendes de 20 %. Ces entreprises peuvent encore augmenter leurs dividendes, même lorsque les choses vont mal. Il ne faut pas que l'entreprise réduisit dividendes, ce qui va à l'encontre de la magie de l'intérêt composé. On recherche des entreprises peuvent augmenter leurs dividendes systématiquement. Quels sont leurs produits? Quelles sont leurs stratégies? Quels sont leurs objectifs? Il faut vérifier que le ratio de versement, c'est-à-dire le ratio des dividendes sur les bénéfices, n'est pas trop élevé. Ou bien demeure conforme à son modèle d'affaires. Les services publics peuvent verser un ratio plus élevé, une entreprise plus cyclique devrait peut-être avoir un ratio de 30 à 40 %. C'est ainsi que nous filerons. Nous nous concentrons moins sur le roman dividendes que sur la croissance dividendes. Selon notre expérience, augmentation du dividende selon l'intérêt composé sa lectrice votre rendement global. Une entreprise peut augmenter les dividendes de 10 % affiche une croissance composée 10 % après sept ans, vous doublez votre argent. - Merci. Une autre question. Le président américain Joe Biden annonce une taxe sur les bénéfices des sociétés pétrolières. Ce facteur va-t-il être négatif pour le secteur? - Ce n'est pas une coïncidence. Il y a une élection de mi mandats mardi. je crois que ce sont des considérations politiques qui vont qui ont motivé cette annonce. On parle d'impôt sur les supers profits. Les compagnies d'énergie qui relève de la compétence fédérale au Canada. Le gouvernement fédéral à taxer les banques canadiennes. Encore une fois, ce sont des résultats politiques que l'on cherche à obtenir. Les banques sont très bien tirées d'affaires pendant la pandémie. Il faut donc qu'elle restitue. Je ne suis pas d'accord avec la raison qui est invoquée pour justifier ses taxes. Elles ne sont pas la raison. Les compagnies d'énergie ne sont pas la raison qui explique la hausse des prix de l'énergie. Leur imposer une taxe sur les supers profilés empêchent de faire ce que le gouvernement voudrait, c'est-à-dire tâcher d'investir davantage et de produire davantage. Ce sont des mesures de nature politique qui serait difficile à faire adopter car il y a encore des démocrates dans le Sénat qui se refuserait à voter en faveur de ce projet. Cela crée des manchettes très favorables, engendre une certaine volatilité, cela ne va rien changer au fait que la production est très serrée, ça ne va pas régler le problème de la guerre, ça ne va pas enrayer la transition vers les produits renouvelables, c'est simplement une manière d'attirer les votes mardi. chez nous au Canada, nous avons des inquiétudes à l'égard des prix de l'énergie. Les prix d'alimentation semblent être plus préoccupants pour le gouvernement. Le bureau de la concurrence par exemple s'intéresse au comportement des chaînes de supermarchés. Quand une élection s'en vient, ce sont les compagnies pharmaceutiques qui trinque. Beaucoup délecteront des médicaments sur ordonnance, on s'en prend une compagnie pharmaceutique, aux banques, aux compagnies d'énergie parce que tout le monde paye à la station-service, et avec l'inflation, il y a eu des problèmes pour l'exportation de blé et d'autres denrées de l'Ukraine. Le prix des céréales, le prix des eus augmentés. Le gouvernement fédéral entame une enquête sur les supermarchés. Les chaînes de supermarchés ont augmenté leurs prix davantage pour maintenir leurs marges. On pourrait trouver un code de supermarchés qui auraient profité de la situation, mais globalement pour l'industrie, les augmentations de prix se font en fonction de l'augmentation du prix de revient. On peut s'y attendre lorsque le gouvernement est mis en difficulté et qu'il cherche des boucs émissaires. - Ben Gossack répond à vos questions sur les placements qu'Apple dérobe dans quelques instants. Fait toujours vos propres recherches avant les conditions de placement. Vous pouvez nous poser vos questions. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur le marché? Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte de question au bas de votre écran. nos invités pourraient vous répondre en direct. Il suffit de cliquer sur envoyer. Certaines des grandes entreprises de commerce électronique ont parié que la pandémie changerait de façon permanente les habitudes de magasinage, mais l'expérience en magasin fait son retour cette saison des fêtes. Est-ce le cas? Anthony Okolie présente un nouveau rapport des services économiques des points à l'approche de la saison du magasinage des fêtes, les services économiques TD affirment qu'elle magasinage en magasin aux États-Unis a repris du terrain par rapport au commerce électronique avec l'approche du troisième anniversaire de la pandémie. Les secteurs du détail aux États-Unis se normalisent progressivement. Ainsi, l'inversion de la tendance entre le commerce électronique par rapport au commerçant magasin. Vous voyez qu'elle magasinage en ligne a reculé depuis un an par rapport magasinage en personne par comparaison au pic de la pandémie en 2020. Les ventes en magasin continuent d'afficher une tendance à la hausse. Les dépenses des services économiques TD sont en hausse de presque 30 % par rapport au niveau prient pandémie. Quand on considère la part du magasinage en ligne, elle est en baisse par rapport au record de 16 % aux 2000 deuxièmes trimestres 2020. Diminué à environ 14 % depuis un an. Cette part est toujours supérieure au niveau prie pandémie, mais l'apport commence à se rétrécir au fil du temps. Bien sûr, l'un des grands gagnants dans cette tendance, au retour du magasinage en personne, ce sont les locaux de détails. Les services économiques des signale que la croissance des revenus a atteint le taux le plus rapide et plus de 15 ans. Il y a un autre élément qui avantage les locaux de commerce de détail, c'est qu'il y a eu moins de construction de locaux de détails pendant la pandémie, ce qui contribue à maintenir des taux d'inoccupation faible ainsi que la croissance des revenus. La saison des fêtes est une période faste pour beaucoup de détaillants. Elle représente jusqu'à la moitié de leurs ventes chaque année. Les services économiques et des pronostics que les ventes de détails à l'exclusion de l'essence des autos du gouvernement et des matériaux de construction augmentera de 6 % sur 12 mois pendant la période d'octobre à décembre. Comme vous le constatez, cela est nettement en deçà des niveaux de 2020 et 2021. L'un des gros désavantages pour le magasinage de la saison des fêtes, c'est l'inflation qui va vraisemblablement solidifier les ventes plutôt que d'augmenter le volume. L'inflation va beaucoup réduire le budget discrétionnaire des consommateurs. Un autre facteur négatif que services économiques et des signale, c'est la hausse des taux d'intérêt la Fed a augmenté les taux et cela aura sans doute un impact sur l'effet de richesse qui sera compromise au fur et à mesure que les taux d'intérêt plus élevé plombent l'immobilier, les actions à risques, et généralement la confiance des consommateurs. Le secteur de détail a de beaux jours devant lui à l'approche de la saison des fêtes. - C'est intéressant que vous parliez de la Fed. En moins de 90 minutes, la Fed va annoncer sa prochaine décision de taux. Vous allez vous entretenir avec James Marple juste après la décision. - Oui, je m'entretiens avec lui cet après-midi. Nous prévoyons une augmentation de 75. Point de base. - Vous venez d'entendre Anthony Okolie. (...) après un coup d'œil sur les marchés. Inchangé. Indice s (...) le secteur de l'énergie attire de nouveau les investisseurs avec la hausse du cours du brut, mais essentiellement, on attend la grande annonce. Cenovus avait reculé et est à présent inchangé. Canada Goose, libre projection de vente avait été réduite à cause des restrictions liées à la comédie en Chine et de la conjoncture macro-économique générale, en baisse de près de 7 %. L'indice S&P 500 dans l'attente de la décision de Jerome Powell, est en baisse de près de 1 %. Indice Nasdaq très sensible à l'évolution des taux d'intérêt, glisse un peu plus en territoire négatif à 1,2 %. Exxon est pratiquement inchangé. Je pense que tout le monde attend ce qui va se passer à 14 heures. Ben Gossack de Gestion d'actifs TD répond à vos questions sur les actions qui procurent des revenus. Quels sont les meilleures banques ou titres financiers américains pour procurer des revenus? - Nous nous concentrons sur les titres à grande capitalisation parce qu'il ressemble au canot pancanadienne. Des banques dites de place monétaire ou financière. Encore une fois, les tendances lourdes que nous suivons et qui nous préoccupe pour les petites banques, c'est la nécessité de moderniser tous les systèmes. J.P. Morgan, Bank of America, dépenses 10 à 12 milliards de dollars chaque année en technologie. Il reste 4000, 5000 entreprises bancaires aux États-Unis. Tâcher d'emboîter le pas, c'est assez difficile. Si vous recherchez encore une fois un avantage concurrentiel, une source de croissance, un bilan cinq, une entreprise bien gérée et des antécédents de croissance des revenus, il s'agit des banques à grande capitalisation. Comme je l'ai dit auparavant, je pense que quand on part des titres financiers, il ne faut pas se cantonné aux banques. Nous détenons des actions d'une société d'assurance, tout mon avis de publicité, c'est vraiment la meilleure entreprise de sa catégorie. Encore une fois, tout dépend de la manière dont l'entreprise est gérée, ont-elles souscrit ses restes, d'autres récompensés actionnaires. Tout cela doit être pris en compte. Quel serait le plus grand risque pour une entreprise comme celle-là? Parfois, il s'agit d'une politique axée sur la croissance de la part de marché. Quant au souscrit une police d'assurance, qu'on consent un prêt, tout le monde peut le faire. Il y a beaucoup de gens qui apparaissent en ligne en dînant je peux créer un marché, je peux consentir un prêt en 10 secondes, c'est très bien. Tout le monde faire ça. Le problème, c'est le modèle de risque. On a vu que pendant la pandémie les achats à tempérament sombre sont répondus. Ça coûte 1000 $, des paiements égaux de dollars sans intérêt, mais de sa devient problème au niveau du crédit. Trop de gens ont souscrit des prêts à tempérament et leur cote de crédit descend de 750 à 500 parce que si vous ratez une seule mensualité tout à coup rétrogradée au niveau du crédit. Nous faisons des recherches sur les institutions, nous étudions leurs antécédents en matière de protection du crédit ainsi que des radiations. Il faut comprendre ces tendances et, c'est très important. Alors actuel, c'est dans le secteur des prêts automobiles que nous voyons beaucoup de faiblesses. Des problèmes de crédit sont en hausse. Qui est à risque? Est-ce que le problème peut être endigué? Quels sont les secteurs qui sont à risque? Voilà des questions très importants dont il faut tenir compte. - Ça me fait toujours plaisir de vous écouter.vous venez d'entendre Ben Gossack. Demain, Scott Colbourne va répondre à vos questions sur les titres à revenu fixe. Il aura peut-être quelque chose à dire sur ce que nous allons entendre cet après-midi de la Fed. Vous pouvez nous posez vos questions d'ores et déjà à MoneyTalkLive@TD.com. Merci et à demain.