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(musique) Les prévisions de 2022 2023 n'ont pas été de l'avant. Nous avons donc vu qu'en Europe, par exemple, il y a des défis qu'en Europe, par exemple, il y a des défis. donc, il est facile de voir que les faits chiffrent vont ralentir aux États-Unis, mais les bénéfices prévus doivent ralentir au Canada et aux États-Unis. Donc cette semaine, c'est un certain soulagement et une certaine déception. On parle de Microsoft et de Google. À toutes fins utiles, Microsoft a raté les attentes et a déjà dit aux analystes qu'il allait y avoir des vents contraires et que peut-être qu'il y aurait donc des attentats mitigés. En fait, les attentes maintenant 2022–2023 sont supérieures à ceux à quoi on s'attendait et pour les investisseurs, c'est un soulagement. Google a aussi raté sa cible quant à ses résultats, mais avec des difficultés quant à la croissance de revenus, on ne peut donner d'orientation. Google Search et le Nuage X sont venus à l'aide il y a eu un soulagement. Même si nous sommes dans un environnement et cessionnaire, il semblerait que les investisseurs recherchent donc l'optimisme. Peut-on penser qu'après cette année assez difficile qu'on a connue, c'est que vous n'avez pas de boule Crystal, mais à quoi peut-on s'attendre? - Ça revient l'idée que s'il y a une récession, il faut qu'il y ait une baisse d'activité soudaine et puis une reprise par la suite. Alors le ralentissement, à mon avis, pourrait être plus long et plus difficile. Et c'est pourquoi c'est bon d'avoir une reprise avec soulagement. Oui, Microsoft a ralenti. Il y aura croissance, pas au risque qu'on aura connu auparavant, mais on s'attendait à ce que les choses soient encore pires. Alors, lorsqu'on parle du cours de l'action, c'est moins terrible que ceux à quoi on peut s'attendre, parce que les attentes sont déjà réduites. Mais ça ne veut pas dire que nous sommes sortis du bois quant à un ralentissement de la croissance à l'avenir. - Vous est toujours très intéressant. On a des questions maintenant. On va y arriver dans un instant. Vous pouvez poser des questions en tout temps. Vous allez à moneytalklive@td.com et vous pouvez poser des questions aussi dans la case ici sur CourtierWeb: voyons comment les marchés se négocient en ce moment. Shopify met en garde contre les défis à venir. L'entreprise de commerce électronique déclare que les coûts et les dépenses plus élevées entraîneront des pertes de revenus d'exploitation pour le second semestre de cette année. C'est au centre des préoccupations Shopify voit également des volumes d'achat en ligne modérée après la flambée alimentée par la pandémie. Hier encore, le PDG de Shopify a déclaré qu'il y avait un mauvais pari sur la vigueur des ventes de commerce électronique après la pandémie, la société a supprimé 10 % de ses effectifs. Donc, il y avait des pressions devant hier, avec une reprise aujourd'hui de 6 %. Le chemin de fer national du Canada enregistre un bénéfice supérieur à la moyenne au cours de son dernier trimestre grâce à de forts volumes de frais. Bien que le chemin de fer ne soit pas à l'abri des pressions inflationnistes, il a pu répercuter ces coûts sur les clients en augmentant les taux de frais et de frais de carburant. La demande client désireux d'église prédite charbon extérieure a également été forte au cours du trimestre. Le nouveau PDG a pour mission d'accroître la rentabilité suite aux pressions exercées par les investisseurs. Les derniers résultats d'Alphabet semblent atténuer les inquiétudes liées à la faiblesse de la demande numérique. Bien que la société mère de Google n'est pas réalisée des bénéfices dans son dernier trimestre. Les ventes de Google Search ont été plus importantes que prévu. Les investisseurs avertissent que la l'inflation représente des défis importants. La force du dollar américain cette année a également pesé sur les revenus du trimestre. Alors voilà les indices de référence ici. L'indice composite TSX, presque 1 % à la hausse. Une force un peu partout. Et aux États-Unis, l'indice S&P 500. Dans 40 minutes, il y aura donc la conférence de la Fed et on verra bien alors que le président infirmera la décision de la Fed. Et on verra bien comment ça se passera. Mais pour le moment, 1,5 % à la hausse ou S&P 500. Nous sommes ici avec Ben Gossack, gestionnaire de portefeuille chez Gestion d'actifs TD. Alors, quelques questions. Suncor a connu un déclin, avec le prix du pétrole, ainsi que le changement du chef de la direction. Que se passe-t-il? - Eh bien, les actions quant à l'énergie sont à la baisse partout, le cours du pétrole également. ça reflète le fait que le marché est très difficile. Donc, les défis d'approvisionnement sont bien compris. Bon, c'est difficile de mettre en branle nouvelle production, de nouveaux puits, etc. On a vu le président Biden aller en Arabie Saoudite pour acheter davantage. Donc, les Américains comprennent bien en général les investisseurs, le défi quant à l'approvisionnement. Mais pour toute compagnie énergétique, le côté important ici, c'est la demande. On a vu des défis à cet égard, les consommateurs sont stressés quant au cours du pétrole, particulièrement les sens. Qu'est-ce que ça fait pour la demande? On a parlé de ralentissement. Alors, toute prévision met en jeu la fourchette d'un, 10 $ par Barry. Nous sommes à 96–97. Mais on pourrait aussi baisser à 60 $. Dans ce cas-là, Suncor et toutes les autres compagnies énergétiques vont voir une baisse accrue du cours de l'action. Le fond est déjà possible. On pourrait avoir un baril à 60 $. Il s'agit du côté de la demande. s'il ne peut pas fournir ce baril supplémentaire, il va peut-être y avoir des problèmes, mais du côté de la demande, il y aura des problèmes aussi. Alors quant à Suncor en général, il y a eu un investisseur militant qui a fait partir le chef de la direction. Est aussi, on a installé des membres du conseil de la direction indépendants, donc on pense vendre des unités canadiennes. Ça pourrait causer des rachats ou des dividendes pour les actionnaires. Il y a possiblement des possibilités de rendement pour les actionnaires à l'avenir. Mais si on tient à l'esprit la situation économique, ça fait beaucoup de bruit de toute façon. Même si le baril passe à 60 $, ça ne veut pas dire que les choses vont se régler. - Une autre question sur la plate-forme. Que faire à ce moment difficile. Est-ce qu'on déploie des nouvelles liquidités en ce momentou est-ce qu'on attend? C'est toujours une question qu'on se pose à tout moment. Si le marché est à la hausse de 20 %, quelqu'un va dire: J'ai des liquidités, que faire? Si le marché baisse de 50 %, les gens disent: J'ai de l'argent, que faire avec? C'est toujours une question. Moi, je dis: Ce qu'on fait, nous, parfois, on pourrait mettre en œuvre davantage de liquidités. Mais les liquidités peuvent être défensives aussi. Ça peut donc être une opportunité également, si le marché est à la hausse de deux–Trois–4 %, pourquoi ne pas utiliser ces liquidités? Alors dans nos portefeuilles, on aime être payé pour nous liquidités. Et ce qu'on va faire, c'est qu'on va faire une option de vente. On devient en fait une compagnie d'assurances. Si les quelques de l'autre côté qui a une action qu'on aime, qu'on a fait notre recherche là-dessus, ils veulent protéger leur actif. Donc pour eux, c'est un actif comme une auto, une police d'assurance vie. Ils viennent nous voir. Si l'action est à la hausse de 10 %, ils veulent protéger. Si ça baisse de 3-4-5%, on est heureux de prendre cette action si on est payé pour. C'est comme ça qu'on met nos liquidités. Si on peut acheter à moindre coût, c'est une perspective gagnant–Gagnant pour nous. Voilà, c'est ce qu'on fait avec nos liquidités. Mais quant à dire aux autres coiffeurs, c'est toujours difficile.. C'est difficile de toujours donner une bonne réponse. Mais moi, c'est ce que je ferai avec cela. - Alors oui, si vous parlez d'options de vente ou d'achat, faites vos propres recherches. Alors, quelle est la meilleure action d'installation publique pour détenir…? - Oui, les installations publiques se sont bien débrouillées. Elles se sont bien comportées. C'est un marché à la hausse. Typiquement, on pensait que c'est négativement corrélé, mais non, elles ont bien tenu la route. Il y a une caractéristique intéressante d'installation publique. C'est que leur modèle est différent des autres secteurs. Pensez aux compagnies qui passent par un cycle d'investissement. Et en tant qu'investisseur, nous voulons être payés dans le cycle d'investissement, mais dans ce cycle, ça réduit la trésorerie, et l'action connaît donc une reprise après le cycle, et on voit un rendement. Pour les installations publiques, on veut toujours voir les installations publiques dépensées en immobilisations. Parce que ce sont des entités réglementées qui ont déjà un rendement prescrit sur l'avoir. Et il est toujours mieux de mettre de l'argent, de réinvestir. Alors, si on étudie les entreprises d'installation publique, il faut investir en immobilisations. Les dépenses en immobilisations doivent donc être augmentées chaque année. Et où on investit souvent maintenant, ce sont dans les renouvelables. Que ce soit l'éolien ou le solaire, c'est ce qu'on recherche. Aux États-Unis, les actions publiques, il y a certaines questions quant à savoir d'où proviennent ces panneaux solaires. Oui, il y a des pays dont on ne peut pas acheter. Il y a des politiques là-dedans. Mais l'avenir, c'est certainement dans le renouvelable, que ce soit aux États-Unis ou au Canada. C'est là où l'avenir se trouve. Il faut donc garder cela à l'esprit pour faire des investissements continus. Si les installations publiques commencent à ralentir leurs investissements, s'il y a un potentiel de croissance ralentie à l'avenir. - Alors parlons maintenant du côté de la dette, et aussi d'un espace intéressant concernant l'électrification des véhicules. Si tout le monde va avoir un véhicule électrique, il va falloir donc peut-être vouloir investir dans l'électricité. Il faut aussi veiller à ce qu'on puisse livrer la marchandise, livré cette électricité. - Oui, il y a quelques entreprises qui offrent des composantes, qui fabrique ses composantes pour l'électrification. Moi, je n'aime pas choisir des gagnants, mais plutôt des compagnies qui gagnent toujours. Alors par exemple, Bell vend à toutes les compagnies d'installation publique, il faut donc voir qui fournit, quels sont les entreprises qui fournissent à toutes. Particulièrement dans cet espace où il faut davantage transformateur électrique par exemple. C'est le plus important afin que tout le monde puisse alimenter leurs véhicules électriques. Il y aura donc des mises à jour importante de l'équipement. - Fait toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions d'investissement. D'autres questions pour Ben Gossack dans un instant. On veut vous rappeler que vous pouvez poser des questions en tout temps. Vous allez@moneytalklive@td.com. Et maintenant, nous passons au segment découvrant CourtierWeb. Ça a été difficile dans les marchés cette année. Certains investisseurs sont plus intéressés par des options de placement garanti. Nous avons donc dans CourtierWeb des outils à cet égard. Nous avons Bryan Rogers, qui est formateur pour CourtierWeb, qui va nous parler plus de ce qu'un conflit peut faire dans l'espace CPG. - Oui, j'en serais heureux. Les CPG ont récemment été mis de côté. Je crois que les choses changent un tout petit peu. Et pour les CPG, l'important, c'est que l'investissement soit entièrement sécurisé. Alors, c'est un placement sécurisé avec un risque très faible. Cela est un attrait pour de nombreux investisseurs. On va donc recouvrer sa mise de fonds, ainsi qu'un certain intérêt, particulièrement pour certains qui arrive près de la retraite et qui ont plus ou moins atteint leurs objectifs. Donc, c'est un peu semblable à un compte d'épargne, où on a un plus petit rendement cependant, mais ce n'est pas tout à fait comme un compte épargne, parce que c'est moins flexible. On doit immobiliser, il y a des dates d'échéance, et il y a un rendement quand même un peu plus appréciable que les comptes d'épargne. La plupart des CPG sont immobilisés pour une période de temps. Il y aura peut-être une pénalité si on les sort plus tôt, mais il y a une assurance dépôt qui s'applique aux CPG. C'est important à savoir également. Donc, plusieurs investisseurs se permettent de détenir des CPG avec leurs actions. Si vous allez à CourtierWeb, vous pouvez aller dans "Recherche", Et vous cherchez les taux des CPG. Et on voit plusieurs à court termes, par exemple, qui sont notés ici. Si vous voulez donc immobiliser vos fonds pour cette période de temps. Et puis vous avez donc un onglet "court term", "long terme". Et lorsque je vois tous les CPG, il y a plusieurs émetteurs. C'est là que vous allez avoir cette assurance pour chaque compte. Vous voyez donc des deux ans, trois ans. Il y a aussi des taux d'intérêts composés. C'est là où l'argent est réinvesti peut-être après un an. Donc, si vous allez sur CourtierWeb, vous pouvez aller voir les taux CPG. Il y a aussi un onglet pour les encaisser sable. Si vous voulez cette souplesse, les taux sont moindres, le rendement - Beaucoup de ressources, Bryan. Merci beaucoup. J'ai été voir cette page sur les CPG parce que les taux sont les plus élevés qu'onles a connus depuis longtemps. Alors il y a plusieurs catégories, et encaisse à long terme et à court terme, et les CPG liés au marché. Quelle est la différence entre les CPJ classiques et ceux liés au marché? - Bonne question, Greg! si on regarde ici les pages avec tous les CPG, si on va vers le bas, on peut choisir par exemple au hasard un émetteur, Fairstone ou HomeEquity Bank, on va à droite, on voit ici 4,5 % pour trois ans. Ça, c'est le taux annuel pour trois ans. Si vous investissez 10 000 $ par année, au bout de trois ans, vous aurez un peu plus de 1300. Avec les faits composés. Ce montant, vous l'obtiendrez après trois ans. Alors vous vous dîtes peut-être: Je peux avoir un meilleur taux sur le marché, mais je ne veux pas prendre de risque. Je veux avoir un CPG pour garantir mon principal. Il y a donc un onglet qui s'appelle "Market-Linked", Donc liés au marché. Les installations publiques, S&P 500, TSX, etc. Et puis il y a un taux minimum garanti, par exemple 6,3 %, 1,2 %. Certains sont assez faibles, mais d'autres sont assez corrects. Et ça, c'est sur la période entière de trois ans, en passant. Alors, vous pouvez obtenir votre mise de fonds, et puis 6,3 % garantis. Mais ça pourrait aussi aller à 15 % sur cette période de temps, si c'est lié au marché. Parfois, c'est même 25 %. Il s'agit par exemple de suivre l'indice de référence auquel se CPG est lié. Si ça se comporte très bien, cet indice de base, le CPG vous donnera davantage au bout du compte. - Merci, Bryan! C'était Bryan Rogers, formateur pour CourtierWeb. Vous pouvez donc aller voir CourtierWeb pour obtenir toutes sortes de raisons supplémentaires. N'hésitez pas. Parlons maintenant de la croissance du revenu, les actions revenues, avec Ben Gossack. Est-ce que vous avez une question sur l'investissement, sur ce qui propulse les marchés? Vous pouvait nous envoyer des questions en tout temps à moneytalklive@td.com, ou la case de questions en bas de cet écran sur CourtierWeb. Et un de nos invités pourra vous répondre peut-être ici à Parlons d'Argent en direct. Alors voici Ben Gossack qui nous revient pour accepter vos questions quant au marché. Voici une question. Pouvez-vous parler de stratégie pour bâtir un portefeuille basé sur les dividendes, maintenant que les rendements sont attrayants quant aux actions de qualité? - Bon, les marchés sont à la hausse, à la baisse. Le rendement également. Nous avons une philosophie assez cohérente pour ce qui est des portefeuilles d'actions à dividendes. Nous mettons l'accent sur la croissance plutôt que le rendement. Les gens pensent souvent à un fonds d'actions à revenu. On parle souvent de télécommunications, installations publiques, services publics, etc. Bon, nous voulons miser, nous, sur la croissance du dividende. Si on peut trouver une compagnie qui fait croître son dividende de manière cohérente année après année après année, on n'est peut-être pas un expert d'où l'action se situera à un moment donné ou à un autre. Mais il faut que cette action devienne un aimant pour cette croissance. Disons qu'une compagnie à un rendement de dividende de 8 %, mais qu'il est fondamentalement solide, le prix doit s'ajuster, le cours de l'action doit augmenter. Plutôt qu'une entreprise où on a vu sur un écran 10 %. Oui, vous pouvez être leurré par un rendement important. C'est que le marché est leurré. Par exemple, Rio Tinto avait un rendement très important qui vient d'être coupé de plus de moitié. Alors, lorsqu'on pourchasse les rendements élevés,on prend beaucoup de risques parce qu'il n'y a pas peut-être de cohérence sur le temps. Lorsqu'on prend beaucoup de risques, ça peut être un leurre. Nous faisons des recherches, donc il peut y avoir aussi à savoir pourquoi on aurait une trésorerie à la hausse. Il n'y a pas de magie. Il faut que ce soit pour une croissance cohérente du dividende, il faut qu'il y ait donc un revenu qui se compose avec le temps et qui connaissent une croissance cohérente et constante. On veut que ces entreprises offrent tous ces ingrédients. Il est donc difficile de soutenir un avantage concurrentiel constant. La société change, il y a des concurrents qui entrent sur le marché, de la réglementation, toutes sortes de choses. Alors est-ce ils vont accroître leur ratio de versement ou non? Il y a plusieurs variables. Mais si on recherche la croissance, c'est la croissance qui va nous orienter vers un rendement. - Donc, il ne faut pas pourchasser le rendement. C'est vrai, de temps à autre, lorsque je vois des rendements supers élevés, il faut avoir une discipline. Il faut dire à notre auditoire qu'il doit faire ses propres recherches. Alors, il s'agit de ne pas aussi cette investir et désinvestir constamment? - Oui, lorsqu'on parle aux gens d'action, vous êtes la personne la plus ennuyeuse de la soirée. Alors, il faut réaliser qu'il s'agit de revenus composés, une croissance composée. Si la compagnie fait croître son dividende, disons de 10 % par année sur sept ans, alors la mise double. Alors, il faut vérifier ça. Après sept ans, est-ce que c'est le cas? Sur une période de 20 ans, par exemple, on dirait que c'est toute une vie, évidemment. Particulièrement lorsqu'il y a deux ans, les gens faisaient des rendements époustouflantes des actions, mais cette cohérence, cette constance, qui voudra dire plus tard un rendement vraiment important. - Alors ceux d'entre vous qui regarde maintenant, on ne fait pas vous faire peur, mais 20 ans, ça passe très vite, croyez-moi. Une autre question: Avec les taux à la hausse, est-ce que les constructeurs domiciliaires américains trouvent que cet environnement est risqué? - Oui, l'on a vu des deux côtés de la frontière un certain ralentissement. L'activité et à la baisse. on a vu les constructeurs domiciliaires aux États-Unis,c'était un des premiers qui ont bougé. Même aujourd'hui, si vous avez votre maison, c'est à la baisse de plus de 10 % aujourd'hui. Ils ont indiqué une faiblesse de l'achat par les consommateurs. Mais cela dit, depuis une semaine, il semble y avoir eu un fonds intérimaire. Ça ne veut pas dire que ça ne peut pas aller plus bas, mais les attentes de taux d'intérêt, lorsqu'on les voit à la hausse, il y a une crainte. Bon, en février et en mars, et puis là, pour l'année prochaine. Et puis on pense que les banques centrales vont devoir baisser le taux. Et comme ce moment arrive maintenant de plus en plus près, il y a un optimisme, un espoir que la pression sur le logement va être soulagé à moment donné. Il y aura un atténuant. Mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de nouveaux acheteurs. Les nouveaux acheteurs sont stressés par les taux d'intérêt, les taux hypothécaires. Mais si l'année prochaine, on s'attend à ce que les taux d'intérêt baissent à ce moment-là, ça pourra ouvrir les vannes quelque peu. Et il y a certainement une pression en ce moment. - Alors pour revenir à vos questions pour Ben Gossack, on prendra un instant avant. Faites vos propres recherches toujours avant de faire des décisions d'investissement, et posez-nous des questions en tout temps. Si vous en avez une sur le marché ou sur ce qui propulse les choses, envoyez-nous vos questions de deux manières possibles. D'abord par courriel@moneytalklive@td. com, ou dans la case au bas de l'écran ici même. Alors voyons si un invité peut répondre à vos questions ici même à Parlons d'Argent en direct. Alors, sans être trop dramatique, je vais vous informer que dans une heure et 24 minutes, nous aurons la réserve fédérale qui sortira de cette rencontre de deux jours avec une annonce importante. Et voici donc maintenant un aperçu de ce qu'on pourrait s'attendre. - Alors oui, on pense qu'il y aura une hausse de 75 points de base, mais certains prédisent 100 points de base également. On a parlé avec le chef des actions boursières ici à TD, et on va lui demander de quoi il en retourne. - Eh bien, ce qu'on a vu cette semaine de certaines entreprises, un gel d'embauche, par exemple. Et certains des indicateurspourrait nous montrer que l'inflation, la crainte de l'inflation, on a même dépassé ça. - Oui, c'est à peu près le consensus ici à la TD. On pense qu'à un consensus à peu près à 75 points de base pour arriver à 2,15, 2,50 %. Garder la lutte contre l'inflation avec cette eau de 75 points de base. - L'objectif est de juguler l'inflation. On voit (. .. ) la croissance des affaires. Ou la réponse très rapide au taux hypothécaire à labo sur le marché du logement. Quel est le point de vue ici? Est-ce que la Fed va prendre en compte ce qui se passe sur le logement? - Nous croyons que le ralentissement du marché du logement aux États-Unis ne va pas empêcher la Fed de hausser les taux. Il croit que marché du travail solide et qu'un approvisionnement qui se resserre, particulièrement aux États-Unis, est toujours sous la barre d'un marché équilibré et continuera donc à appuyer le marché. Puis, il y aura par la suite de l'annonce de la Fed, un économiste en chef à la TD. Vous pourrez voir cela sur Parlons d'Argent en direct. - Merci, Anthony Okolie. Maintenant, voyons ce qui en est démarché, alors que nous approchons de la décision de la Fed. Ici sur Wall Street, le TSX garde le cap. Donc, on est arrivé à 19 000. Et Shopify, qui avait connu une baisse importante hier suite à l'annonce de 10 % de renvoi. Le PDG a dit qu'il avait fait un pari qui était le mauvais pari pendant la pandémie, et maintenant, les choses se modèrent cependant pour avoir une expérience plus équilibrée de commerce en ligne. Et les résultats sont un peu décevants, cependant. Mais on arrive à 43,73, donc une hausse de 7,5 % à peu près. Le CN a réussi à délester les coûts sur les clients, à la hausse de presque 4 % pour le CN. Du côté de nos voisins du Sud, S&P 500, il connaît donc une certaine hausse. 1,47. Et le Nasdaq,, les noms technologiques font aussi le Nasdaq de près de 3 %. Alphabet, la compagnie mère de Google dont on parlait plutôt, à première vue, il y a un certain optimisme à l'égard d'Alphabet. C'est à la hausse de plus de 7 % maintenant. Bon, maintenant, avec Ben Gossack de Gestion d'actifs TD pour accueillir vos questions. Est-ce que c'est un bon moment pour jeter un coup d'œil sur les banques américaines? - Ce n'est jamais un mauvais moment d'étudier les banques américaines. Moi, je couvrais les banques américaines à moment donné dans ma carrière. Ce qu'on a vu des banques américaines quant à leur rendement, c'est que la Réserve fédérale à hausser les taux. Donc, une bonne portion du revenu et des bénéfices des banques soupèrent avec des prêts, et obtenir un rendement là-dessus. Avec des taux d'intérêt plus élevé, il y a donc une surprise positive dans le revenu des taux d'intérêt. Étant donné les attentes de croissances qui se sont ralenties, du point de vue de la situation macro-économique, la géopolitique, les activités commerciales, les activités d'entreprise, donc, les affaires ralentissent. Ça pèse sur les banques américaines comme les banques canadiennes d'ailleurs. Et l'autre enjeu, c'est le provisionnement du crédit. Nous savons que le consommateur est stressé, que les sociétés sont stressées. Maintenant, il s'agit du provisionnement de ces prêts. Ça a été une certaine surprise quant au rythme de cela. Pour moi, ce dont il faut se rappeler, c'est légèrement négatif pour les banques américaines. C'est que pendant très longtemps, les banques avaient créé beaucoup d'excès de capital. Après la grande crise financière, il y a eu toute cette réglementation, vents contraires. Ils ont dû nettoyer les choses. Ils ont dit: On sait empêcher de retourner du capital aux actionnaires. Le rachat de dividendes qui ont été plafonnés. Et tout à coup, ça a été ouvert, et on pouvait faire un rendement sur un an aux actionnaires. Entre les rachats et les dividendes des rendements d'actionnaire de 10 %. Remarquable. Et ce trimestre, DP Morgan a dit qu'il y aurait une pause sur la croissance du dividende et qu'on allait faire un recul quant au rachat d'actions. Chaque banque aux États-Unis est traitée différemment. J.P. Morgan, pour ces activités là, vous avez une telle importance pour l'économie, vous devez réserver davantage que d'autres. Donc, aux États-Unis, ils ont mis sur mesure ce qui doit être mis en réserve par chaque banque. Ce n'est pas comme le Canada. Le Canada a des exigences minimums de réserve pour chaque banque. Ça n'a pas empêché donc certaines banques de livrer la marchandise pour les actionnaires. Certaines, non. Au Canada, nous avons certainement réduit notre pondération quant à l'investissement dans les banques. On veut voir jusqu'où le ralentissement. Il y a aussi de meilleurs endroits où l'on peut obtenir un meilleur rendement pour les actionnaires il y a un plafonnement quant au retour pour les investisseurs cette année. - Est-ce qu'il y a des réflexions quant à ce qui pourrait se passer à l'automne? - Ceux qui ont été au chalet, ils auraient dû nous inviter au chalet d'abord et avant tout! Premier commentaire. Et ensuite, jouissez bien de votre été. Il y a beaucoup de choses, comme je rappelle toujours aux gens, il y a toujours quelque chose qui va nous stresser. Avant la COVID, on se préoccupe de la récession manufacturière, de la guerre commerciale aux États-Unis avec la Chine. Ensuite, il y a eu la COVID. Maintenant, il y a une crise en Europe. Une crise quant au portefeuille des consommateurs. Il y aura toujours quelque chose qui nous fait stresser. Et ce dont on parle aujourd'hui sera remplacé par d'autres choses à l'avenir. Le plus important, c'est de garder le cap avec une stratégie. Des compagnies de qualités qui font croître leur trésorerie et qui offre des rendements par dividendes ou croissance du rendement. Alors, il faut être constant dans cette stratégie. C'est ça qui est important. - Merci beaucoup! Merci beaucoup, ben. Toujours un plaisir de vous avoir avec nous. Merci, Ben Gossack, gestion de portefeuille avec Gestion d'actifs TD. Demain, il y aura Alex Gorewicz, gestionnaire de portefeuille revenu actif fixe Avec Gestion d'actifs TD. Demain, ce sera le revenu fixe dont on parlera. Et le jour suivant, ce sera donc tout ce qui s'est passé avec la décision de la Fed. Alors, on voit demain.