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(musique)
Bonjour ici Greg Bonnell.
Bienvenue à parlons argent direct, une émission de placement direct TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés répondre à vos questions sur le placement.
Aujourd'hui, je m'entretiens avec l'économiste en chef de la banque TD Beata Caranci qui évoque la possibilité que les banques centrales pourraient déclencher une récession l'an prochain.
Nous poursuivons la découverte de courtier Web. Comment peut-on trouver des données sur les taux d'intérêt?
Posez-nous vos questions par courriel@moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
Se pourrait-il qu'une remontée s'amorce? C'est possible. L'indice composite TSX est en hausse de 204.
Soit 1 1/3 %.
L'appétit de risque semble de retour dans le secteur de l'énergie par exemple, Crescent Point Energy à 9,36 $ l'action est en hausse de 3 %.
BlackBerry annonce des bénéfices décevants, notamment au niveau du revenu de la cyber sécurité, ce titre est en baisse de huit et demis pour cent et ne participe donc pas à la remontée générale. Aux États-Unis, les investisseurs réfléchissent à des annonces de bénéfices qui donnent aux investisseurs des raisons d'être optimiste.
Nike, nous allons parler, FedEx également tout à l'heure, laissent à croire que l'année prochaine pourrait ne pas être aussi catastrophée qu'on le pensait.
L'indice S&P 500 en hausse de 1/2 %. L'indice Nasdaq est spécialisé dans les technologies, fait encore mieux en hausse de 1,6 %.
Le croix lyrisme Carnival est également en hausse.
Après avoir annoncé des résultats en hausse sur 12 mois.
Le titre progresse de 5 %.
À l'approche de la nouvelle année, l'une des grandes questions que se posent les investisseurs, et celle de savoir si les hausses de taux pratiqués par les banques centrales ont déclenché une récession ou si nous pourrons réussir un atterrissage en douceur.
Beata Caranci économiste en chef à la banque TD commande.
Ça fait plaisir de vous accueillir.
Alors, posons d'abord la grande question: on ne peut pas entamer une conversation sans qu'il soit question de la session ces jours-ci. Est-ce que ce résultat semble acquis?
- Défi c'est que surtout dans le cas des États-Unis, l'économie est trop résiliant.
Tout particulièrement le marché du travail.
On ne peut pas vraiment atténuer l'inflation salariale sans que le marché du travail ne subisse une baisse.
Ce sont les fameux dégâts dont on parle.
Les prévisions de récession sont des pronostiques ne sont pas basées sur les données actuelles.
Il y a toute une distribution des pronostiques.
Certains prédisent une récession au premier, au deuxième au troisième trimestre, en revanche, la gravité de la récession fait plutôt unanimité. Il s'agirait d'une récession légère.
Une récession du genre de 2001.
S'il n'y a qu'un léger ralentissement de l'économie suffisant pour atténuer l'inflation suffira-t-il?
La raison pour laquelle pronostique récession, c'est que l'inflation ne semble pas devoir baisser jusqu'à l'objectif de 2 % sans que l'on inflige des dégâts.
Quels sont les facteurs qui alimentent l'inflation?
Il n'y a pas de consensus.
- Certains considèrent que les facteurs reliés à l'offre, la guerre, les restes de la pandémie sont à l'œuvre. Par exemple, les ventes de véhicules neufs sont encore marquées par une longue attente. Si vous commandez une voiture cette année, vous la ferez livrer l'an prochain. En revanche, le prix des voitures d'occasion dégringolait depuis quelques mois.
Il s'agit de phénomènes de rotation. Dans quelle mesure l'économie doit-elle ralentir pour affecter les facteurs intérieurs?
Habillement par exemple? C'est là où on pense qu'il n'est pas nécessaire de déclencher un atterrissage brutal.
Mais en définitive, il faut que la croissance des salaires diminue jusqu'à environ 3 % que l'inflation baisse jusqu'à 2 %.
Nous en sommes encore éloignés de 2 %.
Il faudra donc qu'il y ait des dégâts sur le marché du travail.
Aujourd'hui même, les statistiques de l'inflation Canada ont été publiées, seuls les États-Unis ont paru la semaine dernière. Nous sommes sur la bonne voie mais nous ne sommes pas pressés d'arriver au but.
- Effectivement. L'inflation est très persistant, c'est dans sa nature.
Les mesures prises par les banques centrales agissent avec un décalage.
Je pense qu'il n'y aura pas de réduction considérable de l'inflation avant le milieu de l'an prochain ou le deuxième semestre de l'an prochain. C'est parce qu'il faut que les facteurs de demandes intérieures ralentit suffisamment pour répercuter les mesures des banques centrales sur les facteurs d'inflation.
La difficulté ne consistera pas faire passer l'inflation à la force de trois à 4 %, mais de la faire passer de la force de deux et 3 %. C'est dans ce que réside la difficulté et de Sicile du résultat de cette lutte dépend de l'atterrissage brutal ou en douceur.
Selon votre équipe, il y aura une nouvelle hausse de taux de 25.
. Cela paraît minime alors qu'il est.
Et puis la série sera terminée. Ici cela ne signifie pas qu'il y aura une diminution de taux.
- Tout à fait.
La banque du Canada selon nous augmentera jusqu'à quatre demis pour cent.
Nous avons pourvu prévu des coupures de tout quatrième trimestre de l'an prochain. Par ce que le ratio de service de la dette canadien, c'est-à-dire la proportion du revenu qu'il consacre à payer des intérêts va atteindre son historique.
Chaque trimestre successif de plus en plus de gens vont renouveler leur prêt hypothécaire à ce niveau élevé.
Ce qui va accaparer le revenu discrétionnaire et les empêche de dépenser dans d'autres domaines. Voilà la dynamique qui selon nous va réduire la dépense des consommateurs jusqu'à susciter une véritable contraction, ce qui va permettre la banque centrale prendre un peu de recul et de prendre des mesures pour soulager l'économie.
Si vous êtes académie pour cent que vous réduisez les taux à trois et trois quarts ou trois ennemis, c'est au même élevé par rapport aux taux dits neutres de la banque du Canada. Donc il s'agit toujours d'un taux restrictif.
Ce n'est pas comme s'il y allait avoir un soulagement immédiat.
Notre sensibilité à la dette et comme joggers si la situation se déroule comme vous le prévoyez. Cela beaucoup de bon sens, au fur et à mesure nous renouvelons nos prêts, les personnes qui ont emprunté à taux variable déjà constaté, avec une forte augmentation de leur taux en cours d'année. Est-ce que c'est un facteur qui pourrait toucher ses ménages plus durement que prévu?
- Oui.
C'est le cas au Canada mais pose États-Unis, parce que nous n'avons pas connu un tel cycle d'inflation dans les années 80.
Les États-Unis ont eu cette expérience 2008 et en 2009.
Ce que l'on peut observer, c'est qu'elle s'agit pas d'une expérience rapide.
Elle dure plusieurs années.
Non seulement la prudence des consommateurs lorsqu'il s'agit de dépenser, mais la reprise de confiance pour les ménages. Nous ne savons pas si les Canadiens vont à l'égard des logements.
Nous ne savons pas si les Canadiens vont réagir de la même façon. L'endettement des Canadiens les plus importants.
Les prêts sont de loin beaucoup plus mieux monter.
Pas de comparaison.
Mais il va falloir que les gens prolongent leur amortissement, payent davantage pour servir leurs dettes et cela va réduire la consommation.
Nous n'avons pas de repères historiques.
- Vous avez parlé de dégâts.
Je voudrais approfondir sur ce thème.
Les banques centrales ont affirmé qu'il faut juguler l'inflation si nécessaire. Des dégâts.
Certaines personnes commencent peut-être le ressentir, mais à quoi cela ressemble-t-il pour l'économie canadienne?
- Pour moi, il y a deux niveaux.
Tout d'abord, la part du revenu consacré au remboursement de la dette au service de la dette.
Si vous avez revenu discrétionnaire de l'épargne que vous consacrez à ce paiement, si possible, c'est une chose, il y a beaucoup de gens qui ne sont pas dans cette situation qui vont devoir réduire leurs autres dépenses.
C'est un impact direct. Par ailleurs, il y a les conséquences sur le marché de l'emploi dans un environnement où les taux d'intérêt sont délibérément élevés.
Il s'agit de dégâts infligés de le faire délibérément l'économie. Nous prévoyons 100 000 emplois perdus cela pourrait être davantage, lorsque nous sommes savons pas exactement comment se situe la dynamique au niveau du ratio de service de la dette. Il y a un facteur qui est pertinent pour le Canada et qui accroît les risques. Ce qu'il y a eu beaucoup d'embauche à l'issue de la pandémie, davantage aux États-Unis.
Dans un sens, cela pourrait laisser croire que les revenus sont plus élevés partout au pays, mais en revanche, les entreprises pourraient réduire davantage leur masse salariale.
Aux États-Unis, les employeurs ont peut-être davantage de raisons d'accaparer et de fidéliser plutôt les employés.
- Excellent début d'émission!
Beata Caranci va répondre à vos questions sur l'économie de quelques instants.
Vous pouvez vous poser une question en tout temps par courriel, moneytalklivetd.
com ou dans la bonne question va de votre écran.
À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les actions de Nike progressent.
Le géant de l'habillement conditionnement physique annonce qu'il progresse dans la liquidation de ses inventaires et ses ventes numériques augmentent.
Naquet dépensait les attentes au niveau des ventes des bénéfices ni donnés primaires même si les mœurs ont été comprimées par la hausse des coûts. Les marchés sont toutefois satisfaits, en hausse de presque 14 %.
FedEx promet de réaliser 1 million de dollars d'économies supplémentaires face au ralentissement mondial de la demande.
La compagnie de livraison de colis à dépasser les attentes en matière de bénéfices, les passions qui servent à son activité.
La promesse la plus récente portera les économies totales pour l'exercice 2003 à 3,7 milliards de dollars.
FedEx rôde presque 5 %.
Elle masque semble disposée à quitter la présidence de Twitter, s'il peut trouver une remplaçante.
Dans un gazouillis, mosquée des claques démissionnera dès qu'il trouve quelqu'un d'assez fou pour prendre sa place.
Mosquée a été critiquée parce qu'on pense que l'acquisition de Twitter le distrait de son entreprise principale des fleurs.
De part et d'autre de la frontière, une remontée intéressante et 1/3 % soit 253. À la bourse de Toronto.
Aux États-Unis, sous l'influence des bonnes nouvelles de Nike de FedEx qui laisse à croire que les choses peut-être moins sombres que prévu, à l'approche de l'an prochain, un gain intéressant sur l'indice S&P 500, 50: soit un tiers pour cent.
Beata Caranci répond à vos questions sur l'économie.
Une question importante: comment se portent consommateurs et devrons-nous nous en inquiéter?
- La question est complexe.
S'agissant de l'épargne excédentaire, c'est-à-dire l'épargne qui a été réalisée en plus de ce qui aurait été fait sur la pandémie, les dépôts des particuliers sont plus élevés qu'avant la pandémie.
Et contrairement aux Américains qui ont dépassé leur épargne excédentaire, les Canadiens n'y ont pas tellement touché. Les Canadiens ont donc un bas de laine assez conséquent.
Mais cela s'applique aux 60 % plus nantis déménage. Les 40 % moins nantis ont essentiellement repris leur comportement prient pandémie.
La majorité des Canadiens ont toujours un coussin, et c'est ce qui donne espoir que la récession soit peu profonde malgré le fait que d'autres intérêts et le risque que celui-ci entraîne.
Car il y a une caviste capacité de payer pour le marché du travail a jusqu'ici été très porteur.
Il y a davantage Canadiens qui ont un emploi depuis longtemps. Ces facteurs positifs sont propices à la consommation. Mais en définitive, nous ne savons pas exactement comment l'année 2023 se déroulera et comment les gens seront en mesure de payer leurs mensualités hypothécaires.
Le fait que 60 % des ménages à davantage d'épargne car la pandémie, est-ce que ce sont les mêmes que ceux qui ont des prêts hypothécaires dans les mensualités vont augmenter?
Nous verront. Il y a des risques assez importants.
C'est le facteur variable plus important dans notre pronostic.
En ce qui concerne la trajectoire. Nous espérons être agréablement surpris, mais les chiffres sont plutôt défavorables sur le papier.
- À l'issue des confinements, nous avions beaucoup acheté de bien, et puis une fois libérée, nous avons dépensé beaucoup d'argent service.
Est-ce que nos habitudes de dépenses se rééquilibrent aussi les services prédomine-t-il toujours?
- Nous avons dépensé beaucoup d'argent en bien, mais nous sommes loin de ce qui s'est passé aux États-Unis ou la consommation de deux biens beaucoup vous avaient au Canada.
Les Canadiens ont beaucoup plus normalisé leurs tendances en matière de dépenses par rapport aux États-Unis.
Il y a une demande insatisfaite dans certains domaines comme les déplacements, mais les Canadiens vont certainement commencer à faire preuve de prudence.
Contenu.
Nous sommes parvenus dans le cycle économique.
Il y aura davantage de rotation vers les services pour établir les tendances historiques, mais ce sera sans doute plus lent que l'on ne prévoyait, car nous sommes au point le plus avis des taux d'intérêt, ce qui rend les gens plus prudents.
Le marché du logement.
Que pensez-vous du marché du logement?
- Les coûts d'habitation augmentent, qu'est-ce que ça signifie pour le marché du logement?
- Laborde habilité n'est pas favorable Canada.
Les gens se disent que si les prix des habitations baissent, la portabilité s'améliorera, mais ce n'est pas le cas. Si les taux d'intérêt sont plus élevés.
Le marché de l'habitation représente un défi pour le Canada.
Il faudrait que les prix diminuent deux fois plus que cela m'a déjà été le cas pour améliorer Laborde habilité, mais si c'était le cas, nous serions sans doute dans une récession plusieurs fois nous somment bloquées dans un double problème.
Laborde habilité, seuls les pouvoirs publics peuvent agir.
Le problème ne se pose pas pour les personnes revenues élevées, mais pour les personnes qui ont besoin de revenus, un logement régulier.
Ce sont les personnes qu'il faut aider. Le marché locatif va se rééquilibrer avec l'offre d'appartement en copropriété location.
Mais le prix des logements en vente ne va pas baisser sauf s'il y a un atterrissage brutal, ce que personne ne veut.
Est-ce qu'il y a la volonté politique de bâtir des logements?
Parce que c'est l'émigration qui est le grand facteur même si le marché de l'habitation se porteront en ce moment, il y a beaucoup de nouveaux Canadiens qui vont arriver, il doit vivre quelque part.
- Au niveau de l'offre, nous nous satisfaisons la demande que l'époque très récente.
Les travaux de construction finalement commencée à reprendre au Canada depuis quelques années.
Ils vont ralentir.
Il y a toujours des niveaux d'immigration élevée. Les gens vont avoir besoin de logement.
Un autre facteur en matière de politique d'immigration: elle ne sont pas répartie également Canada.
Certaines provinces en absorbaient une partie disproportionnée, Ontario et la Colombie Britannique notamment.
Il s'agit de deux provinces ou Laborde habilité et la moindre.
Au niveau des pouvoirs publics, il faut concentrer davantage attention sur certains domaines offrir des encouragements emménagés dans d'autres provinces.
Car cela ne se produit sa pas tout seul, il faut qu'il y ait le marché du travail, il faut qu'il y ait un appariement des compétences, il faut qu'il y ait des communautés au sein desquels les gens se sentent à l'aise.
La question est complexe la réponse aussi. C'est un problème qui n'est pas facile de résoudre.
Construire, c'est bien beau, mais il faut construire en fonction des personnes qui doivent y habiter, 600 pieds carrés n'est pas idéale pour une famille. Or c'est la superficie courante pour les appartements copropriété.
Est-ce qu'il y a suffisamment de logements locatifs abordables pour les personnes revenues modiques?
Il faut prendre des mesures de politiques publiques très prescriptibles très précises. La banque du Canada ne peut pas agir sur les taux d'intérêt pour influencer ses résultats.
Il appartient aux pouvoirs publics jusqu'au niveau local de le faire. Il y a beaucoup de volonté politique mais cela prend des années pour bâtir un immeuble.
Cela prend des années pour modifier la réglementation comme le bon Notario avec la ceinture de verdure. Il y a beaucoup de tensions politiques pas de solution rapide.
- Vous avez parlé de la banque Canada. Je me rappelle à l'époque je pose des questions Laborde Canada, il ne répondait jamais à mes questions.
Mais essentiellement, la mission et la lutte contre l'inflation. Est-ce que la banque Canada devrait commencer à songer à l'effet que ces politiques ont eu sur le marché de l'habitation? Ou si elle se repose sur les autres organes gouvernement?
- La manière dont les banques centrales abordent leur mandat n'est pas spécifique à la banque Canada.
La banque réservait la banque européenne aussi pour l'établissement des taux directeurs pour gérer le risque relié au prix des actifs. Quand on songe aux risques reliés au prix des actifs que l'on pense à la bourse.
Il ne s'agit pas d'influencer les bénéfices en établissant les taux d'intérêt, mais les prix des actifs immobiliers sont très importants dans le patrimoine des ménages et notamment long ce qui concerne l'endettement. Le taux d'endettement. Société résultat directe du fait que le taux directeur et communion zéro en beaucoup trop longtemps, quoique que les données économiques disaient que les risques se réduisaient on le voyait bien sur le marché du travail, notamment.
Au moment même où le gouverneur de la banque Canada affirmait que les taux demeureraient bas pendant très longtemps, au moins en 2003, société en 2021, c'est à ce moment-là que les taux d'intérêt à taux variable sont passés de 20 % à 35 % du parc des prêts hypothécaires.
Quand on fait une annonce de ce genre, cela ne s'est pas produit finalement.
Parce que les augmentations de ton commençant 2020: cela a contribué à l'intégration de risques dans le marché du logement.
Avec le pays comme le Canada ou une bonne partie de la population est concentrée dans de petites zones où il y a des problèmes de Laborde habilité, elle était nécessaire de maintenir le taux directeur??
Devrait envisager un plancher plus élevé parce qu'il y a des risques spécifiques au niveau du logement?
Nous avons la croissance démographique la plus avis des pays du G7.
Ces deux notions doivent être prises en compte.
Si les taux étaient passés 1 %, c'est toujours un facteur de relance qui est toujours très bas.
Cela aurait pu aplanir la courbe et créer un effet dissuasif à l'égard des taux variables, des prêts à taux variable qui était bien moins élevé que les taux des prêts à taux fixe.
- Je pense que la question se pose de savoir si on peut utiliser la recette traditionnelle et surveiller le risque pour le logement.
Mais ne rien faire douter sans reposer sur les autres organes gouvernement.
- Fait toujours vos propres recherches avant de prendre les décisions de placement!
Beata Caranci va répondre à vos questions sur l'économie en quelques instants. Vous pouvez communiquer à tout temps avec nous@moneytalklivetd.
com.
À présent, poursuivant la découverte de Courtier Web.
L'inflation et les taux d'intérêt sont un thème important pour les investisseurs cette année.
Courtier Web peut vous aider à suivre ces deux éléments.
Nous voyons Arauna, formation actrice placement directe télé nous explique.
Comment peut-on trouver les données sur l'inflation?
- Ça me fait toujours plaisir de participer à cette émission.
L'inflation, le gouvernement du Canada utilise l'indice des prix à la consommation ou IPC pour mesurer l'inflation.
L'IPC mesure défend les changements dans une corbeille fixe de biens et services.
Entre une période et une autre les investisseurs ou les consommateurs qui songent à l'inflation doivent savoir que l'inflation en soi n'est pas nécessairement une mauvaise chose. Un pays où il y a de l'inflation, c'est un pays où les consommateurs peuvent bénéficier d'une hausse de revenus.
Les entreprises sont au courant de l'augmentation potentielle de leurs revenus.
Pour suivre l'évolution de l'inflation, sur Courtier Web, on clique sur rechercher, puis sur rapport, sur le droit de l'écran, on peut dérouler et parvenir au service économique d'aider.
Déjà ouvert cette page, on n'y trouve une page qui donne accès à toutes sortes de données.
Des données sur l'inflation pour le Canada en novembre 2022 viennent apparaître.
On veut afficher ce rapport.
Et prendre connaissance des informations quant au changement d'inflation sur 12 mois.
Les informations supplémentaires portent sur l'inflation dans des domaines spécifiques.
Essence, alimentation, logement.
Et puis il y a des commentaires, service économique TD sur les conséquences clés de ce nouveau chiffre.
Il est également possible d'afficher les pronostics économiques trimestriels pour alimenter leur planification.
Les taux d'intérêt, un élément-clé pour lutter contre l'inflation, c'est la formule utilisée par la banque centrale, comment peut-on suivre les taux d'intérêt?
- On parle taux d'intérêt, c'est un facteur très important. Vous pouvez trouver les taux d'intérêt sur la page de service économique TD. Mais cette fois, il s'agit de cliquer sur l'onglet pronostics.
On n'y trouve les tout derniers pronostics financiers.
Vous y trouverez certaines informations supplémentaires, le taux cible du jour au Canada, et puis le pronostic pour les deux années à venir.
Si vous souhaitez savoir ce que le taux cible du jour au lendemain, c'est le taux fixé par la banque du Canada qui détermine en général les taux de prêt et d'emprunt entre les grandes banques. Lorsque ce taux augmente, certains des coûts supplémentaires sont transmis aux consommateurs. Emprunter pourrait devenir plus coûteux.
Le taux d'intérêt pour les prêts hypothécaires doit augmenter, mais en revanche, le taux pour les comptes d'épargne CPG augmente.
Ce qui peut entraîner une réduction des dépenses.
Si je peux te toucher davantage d'argent sur mon épargne mon CPG, j'aurais tendance à moins dépenser.
Et s'il me coûterait plus cher d'acheter une maison, je serai donc moins enclin à dépenser.
Les investisseurs peuvent donc trouver ces renseignements sur la page des 10 services économiques TD.
- Merci beaucoup, nous Arauna!
Formatrice en placement direct TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage Courtier Web vous vous trouverez encore plus de ressources!
Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser soit par courriel@moneytalklivetd.
com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct!
Beata Caranci répond à vos questions sur l'économie.
Une question qui vient de nous arriver: dans le nouvel environnement économique, quels sont les industries ou les secteurs qui se porteront bien?
- Typiquement, dans un cycle de ralentissement économique, voire une récession, c'est le retour aux sources.
Les gens donnent la priorité à des aspects de la santé ou de l'éducation plutôt que l'habillement aux appareils électroniques.
Nous en avons parlé tout à l'heure, il s'agit d'une rotation, basculement dans les dépenses. L'alimentation par exemple dans l'alimentation, les magasins d'alimentation obtiennent de meilleurs résultats que les restaurants.
Il y a beaucoup de financement qui est consacré à la transition climatique dans le budget du gouvernement.
On insiste beaucoup sur la technologie propre, sur l'infrastructure dédiée les technologies propres ainsi que sur l'infrastructure de base, les ponts par exemple.
Ces éléments vont alimenter l'économie d'ici deux ans, malgré les problèmes des consommateurs.
En revanche, les entreprises sont sans doute plus résiliences.
Pendant la période à venir que pendant une période de baisse normale.
Puisqu'il y a beaucoup de facteurs positifs qui se prolongent.
L'Europe nous montre bien ce qui arrive quand on n'est pas préparé à la transition écologique.
Les gouvernements et le secteur privé sont encore davantage sous pression.
Ce sera un aspect très spécifique pendant six siècles.
Les investissements des entreprises pourront être plus importants que d'habitude, surtout la construction résidentielle, pas nécessairement d'appartement ou de copropriété, mais dans la création d'une infrastructure par exemple de bornes de chargement des véhicules électriques, puisque nous voulons parvenir à 60 % de ventes de véhicules électriques d'ici 2030.
Il y a beaucoup de changements qui doivent être apportés et qui vont alimenter portefeuille d'investissement.
- Les dépenses budgétaires du gouvernement vont à limite alimenter l'économie depuis deux ans.
Une autre question: prévoyez-vous que la banque du Canada va réduire les taux d'intérêt en 2023 Mondeville 24?
- Oui et oui.
Nous prévoyons que la banque commença à réduire les taux au quatrième trimestre 2023.
C'est le point de bascule selon nous.
C'est à ce moment-là que la banque Canada va vraisemblablement commencer réduire les taux.
Nous fondons ce point de vue sur l'hypothèse que l'économie continuera de baisser.
Et cela, nous le supposons parce que le consommateur est en mode d'attente.
Il y a un certain nombre de préconditions pour parvenir à cet objectif, nous pensons que d'ici le quatrième trimestre, nous pourrions assister à des coupures d'impôts de 50 à 100 points de base.
Et que ces coupures se prolongeront en 2024.
Souvent on pose la question pour savoir à quel moment acheter une maison.
À quel moment contracter un prêt hypothécaire à taux variable.
L'hypothèse qui sous-tend la possibilité qu'il y aura des coupures de tous, c'est que l'économie se portera mal et il y aura une raison.
Pour ces coupures de taux.
Seul le crime prend un plancher sous l'économie.
Est-ce qu'on peut supposer que comme autrefois, les banques centrales vont pratiquer des réductions d'un corps de pour cent?
Ou est-ce que les baisses de taux pourraient être tout aussi importantes que les hausses de taux?
- Je pense que les banques seront plus prudentes lorsqu'ils baisseront les taux.
Lorsqu'il y a une forte hausse, comme nous en avons connu, c'est parce qu'il faut faire du rattrapage, essentiellement.
La banque centrale ne voudrait pas donner un signal de panique et se voir pris au piège par un regain de l'inflation.
Je pense que la banque recommencerait donc à procéder 25 points de base à la foi, à moins que ce qui étonnerait tout le monde, nous nous retrouvions dans un atterrissage brutal avec de fortes de perte d'emploi de 250 000 400 000 pertes d'emploi, dans un tel cas, la banque pourrait prendre des mesures plus forts.
Mais sinon, fera preuve de prudence.
- L'an prochain, en 2023, y aura-t-il les tiraillements entre la politique budgétaire et monétaire?
- Cette question me passionne!
Les électeurs commenceront à subir les dégâts de la politique monétaire.
Les politiciens ressentent le besoin d'intervenir.
D'après les annonces qui ont été faites pendant la seconde budget, qui ne se limite pas au gouvernement fédéral d'ailleurs, car les provinces ont pris beaucoup de mesures de relance, la plupart des paliers de gouvernement cherchent des moyens de limiter les dégâts subis par les ménages moins aisés.
Il y a eu par exemple des mesures de radiation de près aux études.
Relèvement des prestations aux ennemis, à faibles revenus, toutes sortes d'initiatives ont d'ores et déjà été prise.
Nous pensons que ce genre d'initiative ont sans doute prolongé à l'approche 2023 parce que les gouvernements ne vont sans doute pas généraliser leur mesure budgétaire mais se concentrer comme il le devrait sur les personnes revenues modiques. Il s'agit de cibler les dépenses pour rejoindre les personnes qui en ont le plus besoin, afin qu'elle utilise pour le logement, chauffage et ainsi de suite, plutôt que de les verser les personnes qui s'en serviront pour spéculer.
Les personnes revenues modiques qui dépensent pour s'alimenter se loger ce ne sont pas elle qui cause l'inflation Canada.
Ce n'est pas un facteur dans les hausses de prix généraliser.
Ce sont plutôt les personnes revenues moyennes ou élevées.
C'est ainsi que l'on peut limiter toute répercussion au niveau budgétaire.
En revanche, puisque le gouvernement tâche de se préparer à la transition climatique et comment investir, ces mesures ont un effet de relance.
Quand on songe au facteur multiplicateur des dépenses gouvernementales, les investissements en infrastructures ont l'effet multiplicateur le plus élevé.
Ceci va certainement avoir pour effet de relancer l'économie et cela pourrait avoir un impact inflationniste même si c'est nécessaire pour l'investissement.
Le marché du travail est très serré à l'heure actuelle il pourrait y avoir une concurrence entre le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux au niveau de la main-d'œuvre nécessaire dans les domaines comme les travaux publics et le secteur manufacturier.
Qui manque déjà de bras.
Ça je n'y avais pas pensé.
C'est une conséquence fascinante.
Pour bâtir l'infrastructure, on crée une tension sur le marché du travail, ce qui est le contraire qu'est-ce que la banque centrale réalisée.
C'est une tension qui est difficile à résoudre. Voilà pourquoi on affirme que le secteur privé devra diminuer davantage et compenser les dépenses budgétaires.
Ces compétences ne sont pas directement transférables si vous travaillez dans le marché la construction résidentielle, ça ne veut pas dire nécessairement capable de bâtir un pont ou un ouvrage tard!
Mais cela permet tout de même de compenser un peu les facteurs négatifs exerce certaines industries.
Est-ce que, si la banque du Canada cesse de hausser les taux, cela ne va-t-il pas causer un autre type d'inflation si la fête continue de hausser les taux?
Ce qui entraîne un décalage entre la valeur du dollar canadien américain.
- Bonne question!
Il y a une ou deux choses à dire.
D'abord, beaucoup de gens pensent que la banque du Canada envoie traditionnellement le pas à la réserve fédérale.
Bien sûr il y a des liens, ce sont deux économiques sont semblables, fondées sur la consommation.
Il est important de relations commerciales.
Toutefois, lorsque le taux directeur touche un sommeil, il y a presque toujours un découplage entre le Canada et les États-Unis.
C'est très courant historiquement, c'est la norme.
Il y a un écart de 75 à 100 points de base entre le taux directeur de la banque du Canada et celui de la réserve fédérale.
Maintenant les taux un niveau plus bas que les Américains.
C'est en partie parce que ils sont obligés d'en faire autant que les États-Unis.
Car les États-Unis jouent un rôle clé dans les marchés financiers mondiaux et nous importons une partie de leur mesure de resserrement par ce biais.
Quant au dollar, il s'est entre 72 et 74 scènes depuis plusieurs semaines.
Cela reflète déjà en l'écart entre les taux directeurs.
Nous allons importer cette évolution d'entreprise depuis un mois en ce qui concerne le différentiel entre les deux banques, cela va se répercuter sur 2023.
Bien souvent, ce sont les prix de l'alimentation qui commence à le refléter. Le prix de l'alimentation ont augmenté de 11 % sur un an comment la vie dans les données de ce matin.
Cela ne se répercutera pas peut-être pas sur les outils intégrés parce que le cycle de consommation sera en phase de décélération.
Lorsqu'il s'agit de l'alimentation, on est bien obligé d'acheter.
Il est difficile de faire pousser des légumes, je n'y arrive pas pendant l'été sans même parler de l'hiver!
- Beata Caranci continuera de répondre à vos questions sur l'économie dans un instant.
Fais toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur le marché?
Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, moneytalklivetd.
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Il suffit de cliquer sur envoyer!
Nos invités pourrait vous répondre en direct!
Un coup d'œil sur les marchés.
Est-ce qu'il y aura une remontée de Noël?
Eh bien elle s'esquisse peut-être.
L'indice LGBT sex est en hausse de 260: à 1/3 %.
Le secteur de l'énergie, les mines sont favorisées.
Athabasca est en hausse d'un peu plus de 4 % à 2,18 $ l'action.
Barrique gauche indigène secteur minier dans un peu plus de 2 % à 24 $ et quelque l'action.
Aux États-Unis, les investisseurs assimilent les annonces de FedEx et de Nike, ce qui semble avoir rasséréné les investisseurs en les convaincant que la situation des bénéfices des entreprises ne sera pas aussi catastrophique que prévu.
L'indice S&P 500 est en hausse de 1,4 %, soit 53 points.
L'indice Nasdaq emboîte le pas au risque du marché à 1/3 %.
Jetons un nouveau coup d'œil sur Michael qui liquide ses inventaires qui augmentent ses ventes numériques.
Le titre est en hausse de plus de 13 % à 117,24 $ l'action.
Beata Caranci, économiste en chef de la banque TD qui réponde à vos questions sur l'économie!
Comment prévoyez-vous que l'union européenne se comportera l'an prochain?
- Assez mal.
Avec le Royaume-Uni, c'est l'union européenne qui va être en pointe dans le cycle de récession.
Toutefois, il y a eu des surprises très agréables.
Nous envisagions un résultat pire à la fin de cette année.
Le pire du risque a été évité au niveau énergétique.
La douceur de l'automne et le début de l'hiver Clément ont été un coup de chances qui ont permis le maintien des stocks élevés de gaz naturel. Cela paraît bizarre car bien souvent, les économistes sont comparés aux météorologistes en ce qui concerne l'exactitude.
Et je parle météo.
Et la météo était un facteur de risque très important.
Ce risque a été conjuré, et l'union européenne devrait sortir de ce cycle de récession vers le deuxième semestre de l'an prochain.
Cela ne signifie pas que tout le risque a été évité.
L'union européenne est très bien parvenue à se détourner de la Russie.
Et à mettre en place par exemple des terminaux de gaz naturel liquéfié flottant à la vitesse de l'éclair!
Il se passe énormément de choses! En définitive, l'union européenne devra reconstituer ses stocks à la fin de l'hiver, et à présent, ne dispose plus de gaz russe.
Tout le gaz provient de sources nouvelles.
Il s'agit donc d'un facteur d'incertitude.
Donc union européenne n'est pas tirée d'affaire, mais elle se débrouille mieux que beaucoup de gens ne le redoutaient.
On pensait que l'atterrissage pourrait être extrêmement brutal.
Il aura sans doute une récession, mais que cela aurait pu être bien pire.
- En parlant de facteur d'incertitude, la Chine.
Quel est l'impact des événements Chine sur l'économie mondiale en 2023?
- La Chine est effectivement le facteur d'incertitude par excellence nous savions qu'il finirait par abandonner cette politique zéro COVID qui n'était pas durable.
Et qu'il pouvait durer.
Mais ça c'est un peu plus brutalement que rapidement.
Nous pensions que c'était plus progressif.
De ce point de vue, nous ne prévoyons pas que le premier trimestre sera possible.
Après l'expérience d'autres pays, exemple nombre, nous savons que le taux de maladie vont continuer de grimper.
Ce qui pourrait faire subir de la pression non seulement sur le secteur de pistes hospitaliers sur la confiance de la population et sur le cycle de production.
Nous l'avons vu partout, même lorsqu'il y a des vaccins, des antiviraux, les gents qui sont maladresses à la maison, ce qui pourrait causer une pression sur le secteur manufacturier.
Le pic d'impact sera au premier trimestre, mais par la suite, si les temps sont semblables aux autres pays, flamber une amélioration, cette économie regorge de demandes insatisfaites.
Puisque les tons confinement stricts depuis trois ans.
Ce cycle de consommation pourrait donc être extrêmement dynamique. La croissance enchaînée de moins de 3 % cette année.
Ce qui est très faible.
On s'attendait à 5 %.
L'an prochain, la croissance pourrait être de 5 % et davantage, tout dépend du retour de la confiance des consommateurs.
Nous pensons qu'elle sera au rendez-vous, commente comme dans tous les autres pays, doit avoir beaucoup de demandes insatisfaites.
- Nous n'avons plus le temps de poser les questions économiste en chef de la banque TD. C'est la dernière fois que nous rencontrons en 2022.
Qu'est-ce que les investisseurs doivent envisager pour le prochain?
- Il ne faut pas paniquer.
Il y a beaucoup d'inquiétude lorsqu'on entend le mot récession.
Nous avons vécu récession auparavant, nous en sommes ressortis, c'est une façon de ré étalonner les canaux de l'économie.
La banque centrale cherche à trouver le bon équilibre et de doser ces mesures en conséquence.
En outre, l'inflation n'est pas le pire problème au monde.
La crise financière mondiale, lorsque les institutions financières étaient plongées dans une situation catastrophique, le cycle économique est bien positionné au Canada par rapport à d'autres pays.
Nous pouvons en être reconnaissants.
Nous ne sommes pas face a des défis aussi graves que dans d'autres régions du monde.
Même si l'année prochaine pourra être difficile, ce ne sera rien que nous n'ayons déjà surmonté!
- Cela nous fait toujours plaisir de vous recevoir, et d'entendre vos aperçus.
Merci à l'année prochaine!
Beata Caranci et économiste en chef à la banque TD.
Demain, nous allons faire une mise à jour sur les marchés et présenter les extraits de nos meilleures entrevues de cette semaine.
Parlons argent direct s'interrompra pour les fêtes à partir de ce vendredi, nous serons de retour lundi le 9 janvier.
Nous entendrons un (..
.) qui répondre à vos questions sur le secteur de la santé.
Merci et à demain!
Bonjour ici Greg Bonnell.
Bienvenue à parlons argent direct, une émission de placement direct TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés répondre à vos questions sur le placement.
Aujourd'hui, je m'entretiens avec l'économiste en chef de la banque TD Beata Caranci qui évoque la possibilité que les banques centrales pourraient déclencher une récession l'an prochain.
Nous poursuivons la découverte de courtier Web. Comment peut-on trouver des données sur les taux d'intérêt?
Posez-nous vos questions par courriel@moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
Se pourrait-il qu'une remontée s'amorce? C'est possible. L'indice composite TSX est en hausse de 204.
Soit 1 1/3 %.
L'appétit de risque semble de retour dans le secteur de l'énergie par exemple, Crescent Point Energy à 9,36 $ l'action est en hausse de 3 %.
BlackBerry annonce des bénéfices décevants, notamment au niveau du revenu de la cyber sécurité, ce titre est en baisse de huit et demis pour cent et ne participe donc pas à la remontée générale. Aux États-Unis, les investisseurs réfléchissent à des annonces de bénéfices qui donnent aux investisseurs des raisons d'être optimiste.
Nike, nous allons parler, FedEx également tout à l'heure, laissent à croire que l'année prochaine pourrait ne pas être aussi catastrophée qu'on le pensait.
L'indice S&P 500 en hausse de 1/2 %. L'indice Nasdaq est spécialisé dans les technologies, fait encore mieux en hausse de 1,6 %.
Le croix lyrisme Carnival est également en hausse.
Après avoir annoncé des résultats en hausse sur 12 mois.
Le titre progresse de 5 %.
À l'approche de la nouvelle année, l'une des grandes questions que se posent les investisseurs, et celle de savoir si les hausses de taux pratiqués par les banques centrales ont déclenché une récession ou si nous pourrons réussir un atterrissage en douceur.
Beata Caranci économiste en chef à la banque TD commande.
Ça fait plaisir de vous accueillir.
Alors, posons d'abord la grande question: on ne peut pas entamer une conversation sans qu'il soit question de la session ces jours-ci. Est-ce que ce résultat semble acquis?
- Défi c'est que surtout dans le cas des États-Unis, l'économie est trop résiliant.
Tout particulièrement le marché du travail.
On ne peut pas vraiment atténuer l'inflation salariale sans que le marché du travail ne subisse une baisse.
Ce sont les fameux dégâts dont on parle.
Les prévisions de récession sont des pronostiques ne sont pas basées sur les données actuelles.
Il y a toute une distribution des pronostiques.
Certains prédisent une récession au premier, au deuxième au troisième trimestre, en revanche, la gravité de la récession fait plutôt unanimité. Il s'agirait d'une récession légère.
Une récession du genre de 2001.
S'il n'y a qu'un léger ralentissement de l'économie suffisant pour atténuer l'inflation suffira-t-il?
La raison pour laquelle pronostique récession, c'est que l'inflation ne semble pas devoir baisser jusqu'à l'objectif de 2 % sans que l'on inflige des dégâts.
Quels sont les facteurs qui alimentent l'inflation?
Il n'y a pas de consensus.
- Certains considèrent que les facteurs reliés à l'offre, la guerre, les restes de la pandémie sont à l'œuvre. Par exemple, les ventes de véhicules neufs sont encore marquées par une longue attente. Si vous commandez une voiture cette année, vous la ferez livrer l'an prochain. En revanche, le prix des voitures d'occasion dégringolait depuis quelques mois.
Il s'agit de phénomènes de rotation. Dans quelle mesure l'économie doit-elle ralentir pour affecter les facteurs intérieurs?
Habillement par exemple? C'est là où on pense qu'il n'est pas nécessaire de déclencher un atterrissage brutal.
Mais en définitive, il faut que la croissance des salaires diminue jusqu'à environ 3 % que l'inflation baisse jusqu'à 2 %.
Nous en sommes encore éloignés de 2 %.
Il faudra donc qu'il y ait des dégâts sur le marché du travail.
Aujourd'hui même, les statistiques de l'inflation Canada ont été publiées, seuls les États-Unis ont paru la semaine dernière. Nous sommes sur la bonne voie mais nous ne sommes pas pressés d'arriver au but.
- Effectivement. L'inflation est très persistant, c'est dans sa nature.
Les mesures prises par les banques centrales agissent avec un décalage.
Je pense qu'il n'y aura pas de réduction considérable de l'inflation avant le milieu de l'an prochain ou le deuxième semestre de l'an prochain. C'est parce qu'il faut que les facteurs de demandes intérieures ralentit suffisamment pour répercuter les mesures des banques centrales sur les facteurs d'inflation.
La difficulté ne consistera pas faire passer l'inflation à la force de trois à 4 %, mais de la faire passer de la force de deux et 3 %. C'est dans ce que réside la difficulté et de Sicile du résultat de cette lutte dépend de l'atterrissage brutal ou en douceur.
Selon votre équipe, il y aura une nouvelle hausse de taux de 25.
. Cela paraît minime alors qu'il est.
Et puis la série sera terminée. Ici cela ne signifie pas qu'il y aura une diminution de taux.
- Tout à fait.
La banque du Canada selon nous augmentera jusqu'à quatre demis pour cent.
Nous avons pourvu prévu des coupures de tout quatrième trimestre de l'an prochain. Par ce que le ratio de service de la dette canadien, c'est-à-dire la proportion du revenu qu'il consacre à payer des intérêts va atteindre son historique.
Chaque trimestre successif de plus en plus de gens vont renouveler leur prêt hypothécaire à ce niveau élevé.
Ce qui va accaparer le revenu discrétionnaire et les empêche de dépenser dans d'autres domaines. Voilà la dynamique qui selon nous va réduire la dépense des consommateurs jusqu'à susciter une véritable contraction, ce qui va permettre la banque centrale prendre un peu de recul et de prendre des mesures pour soulager l'économie.
Si vous êtes académie pour cent que vous réduisez les taux à trois et trois quarts ou trois ennemis, c'est au même élevé par rapport aux taux dits neutres de la banque du Canada. Donc il s'agit toujours d'un taux restrictif.
Ce n'est pas comme s'il y allait avoir un soulagement immédiat.
Notre sensibilité à la dette et comme joggers si la situation se déroule comme vous le prévoyez. Cela beaucoup de bon sens, au fur et à mesure nous renouvelons nos prêts, les personnes qui ont emprunté à taux variable déjà constaté, avec une forte augmentation de leur taux en cours d'année. Est-ce que c'est un facteur qui pourrait toucher ses ménages plus durement que prévu?
- Oui.
C'est le cas au Canada mais pose États-Unis, parce que nous n'avons pas connu un tel cycle d'inflation dans les années 80.
Les États-Unis ont eu cette expérience 2008 et en 2009.
Ce que l'on peut observer, c'est qu'elle s'agit pas d'une expérience rapide.
Elle dure plusieurs années.
Non seulement la prudence des consommateurs lorsqu'il s'agit de dépenser, mais la reprise de confiance pour les ménages. Nous ne savons pas si les Canadiens vont à l'égard des logements.
Nous ne savons pas si les Canadiens vont réagir de la même façon. L'endettement des Canadiens les plus importants.
Les prêts sont de loin beaucoup plus mieux monter.
Pas de comparaison.
Mais il va falloir que les gens prolongent leur amortissement, payent davantage pour servir leurs dettes et cela va réduire la consommation.
Nous n'avons pas de repères historiques.
- Vous avez parlé de dégâts.
Je voudrais approfondir sur ce thème.
Les banques centrales ont affirmé qu'il faut juguler l'inflation si nécessaire. Des dégâts.
Certaines personnes commencent peut-être le ressentir, mais à quoi cela ressemble-t-il pour l'économie canadienne?
- Pour moi, il y a deux niveaux.
Tout d'abord, la part du revenu consacré au remboursement de la dette au service de la dette.
Si vous avez revenu discrétionnaire de l'épargne que vous consacrez à ce paiement, si possible, c'est une chose, il y a beaucoup de gens qui ne sont pas dans cette situation qui vont devoir réduire leurs autres dépenses.
C'est un impact direct. Par ailleurs, il y a les conséquences sur le marché de l'emploi dans un environnement où les taux d'intérêt sont délibérément élevés.
Il s'agit de dégâts infligés de le faire délibérément l'économie. Nous prévoyons 100 000 emplois perdus cela pourrait être davantage, lorsque nous sommes savons pas exactement comment se situe la dynamique au niveau du ratio de service de la dette. Il y a un facteur qui est pertinent pour le Canada et qui accroît les risques. Ce qu'il y a eu beaucoup d'embauche à l'issue de la pandémie, davantage aux États-Unis.
Dans un sens, cela pourrait laisser croire que les revenus sont plus élevés partout au pays, mais en revanche, les entreprises pourraient réduire davantage leur masse salariale.
Aux États-Unis, les employeurs ont peut-être davantage de raisons d'accaparer et de fidéliser plutôt les employés.
- Excellent début d'émission!
Beata Caranci va répondre à vos questions sur l'économie de quelques instants.
Vous pouvez vous poser une question en tout temps par courriel, moneytalklivetd.
com ou dans la bonne question va de votre écran.
À présent l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les actions de Nike progressent.
Le géant de l'habillement conditionnement physique annonce qu'il progresse dans la liquidation de ses inventaires et ses ventes numériques augmentent.
Naquet dépensait les attentes au niveau des ventes des bénéfices ni donnés primaires même si les mœurs ont été comprimées par la hausse des coûts. Les marchés sont toutefois satisfaits, en hausse de presque 14 %.
FedEx promet de réaliser 1 million de dollars d'économies supplémentaires face au ralentissement mondial de la demande.
La compagnie de livraison de colis à dépasser les attentes en matière de bénéfices, les passions qui servent à son activité.
La promesse la plus récente portera les économies totales pour l'exercice 2003 à 3,7 milliards de dollars.
FedEx rôde presque 5 %.
Elle masque semble disposée à quitter la présidence de Twitter, s'il peut trouver une remplaçante.
Dans un gazouillis, mosquée des claques démissionnera dès qu'il trouve quelqu'un d'assez fou pour prendre sa place.
Mosquée a été critiquée parce qu'on pense que l'acquisition de Twitter le distrait de son entreprise principale des fleurs.
De part et d'autre de la frontière, une remontée intéressante et 1/3 % soit 253. À la bourse de Toronto.
Aux États-Unis, sous l'influence des bonnes nouvelles de Nike de FedEx qui laisse à croire que les choses peut-être moins sombres que prévu, à l'approche de l'an prochain, un gain intéressant sur l'indice S&P 500, 50: soit un tiers pour cent.
Beata Caranci répond à vos questions sur l'économie.
Une question importante: comment se portent consommateurs et devrons-nous nous en inquiéter?
- La question est complexe.
S'agissant de l'épargne excédentaire, c'est-à-dire l'épargne qui a été réalisée en plus de ce qui aurait été fait sur la pandémie, les dépôts des particuliers sont plus élevés qu'avant la pandémie.
Et contrairement aux Américains qui ont dépassé leur épargne excédentaire, les Canadiens n'y ont pas tellement touché. Les Canadiens ont donc un bas de laine assez conséquent.
Mais cela s'applique aux 60 % plus nantis déménage. Les 40 % moins nantis ont essentiellement repris leur comportement prient pandémie.
La majorité des Canadiens ont toujours un coussin, et c'est ce qui donne espoir que la récession soit peu profonde malgré le fait que d'autres intérêts et le risque que celui-ci entraîne.
Car il y a une caviste capacité de payer pour le marché du travail a jusqu'ici été très porteur.
Il y a davantage Canadiens qui ont un emploi depuis longtemps. Ces facteurs positifs sont propices à la consommation. Mais en définitive, nous ne savons pas exactement comment l'année 2023 se déroulera et comment les gens seront en mesure de payer leurs mensualités hypothécaires.
Le fait que 60 % des ménages à davantage d'épargne car la pandémie, est-ce que ce sont les mêmes que ceux qui ont des prêts hypothécaires dans les mensualités vont augmenter?
Nous verront. Il y a des risques assez importants.
C'est le facteur variable plus important dans notre pronostic.
En ce qui concerne la trajectoire. Nous espérons être agréablement surpris, mais les chiffres sont plutôt défavorables sur le papier.
- À l'issue des confinements, nous avions beaucoup acheté de bien, et puis une fois libérée, nous avons dépensé beaucoup d'argent service.
Est-ce que nos habitudes de dépenses se rééquilibrent aussi les services prédomine-t-il toujours?
- Nous avons dépensé beaucoup d'argent en bien, mais nous sommes loin de ce qui s'est passé aux États-Unis ou la consommation de deux biens beaucoup vous avaient au Canada.
Les Canadiens ont beaucoup plus normalisé leurs tendances en matière de dépenses par rapport aux États-Unis.
Il y a une demande insatisfaite dans certains domaines comme les déplacements, mais les Canadiens vont certainement commencer à faire preuve de prudence.
Contenu.
Nous sommes parvenus dans le cycle économique.
Il y aura davantage de rotation vers les services pour établir les tendances historiques, mais ce sera sans doute plus lent que l'on ne prévoyait, car nous sommes au point le plus avis des taux d'intérêt, ce qui rend les gens plus prudents.
Le marché du logement.
Que pensez-vous du marché du logement?
- Les coûts d'habitation augmentent, qu'est-ce que ça signifie pour le marché du logement?
- Laborde habilité n'est pas favorable Canada.
Les gens se disent que si les prix des habitations baissent, la portabilité s'améliorera, mais ce n'est pas le cas. Si les taux d'intérêt sont plus élevés.
Le marché de l'habitation représente un défi pour le Canada.
Il faudrait que les prix diminuent deux fois plus que cela m'a déjà été le cas pour améliorer Laborde habilité, mais si c'était le cas, nous serions sans doute dans une récession plusieurs fois nous somment bloquées dans un double problème.
Laborde habilité, seuls les pouvoirs publics peuvent agir.
Le problème ne se pose pas pour les personnes revenues élevées, mais pour les personnes qui ont besoin de revenus, un logement régulier.
Ce sont les personnes qu'il faut aider. Le marché locatif va se rééquilibrer avec l'offre d'appartement en copropriété location.
Mais le prix des logements en vente ne va pas baisser sauf s'il y a un atterrissage brutal, ce que personne ne veut.
Est-ce qu'il y a la volonté politique de bâtir des logements?
Parce que c'est l'émigration qui est le grand facteur même si le marché de l'habitation se porteront en ce moment, il y a beaucoup de nouveaux Canadiens qui vont arriver, il doit vivre quelque part.
- Au niveau de l'offre, nous nous satisfaisons la demande que l'époque très récente.
Les travaux de construction finalement commencée à reprendre au Canada depuis quelques années.
Ils vont ralentir.
Il y a toujours des niveaux d'immigration élevée. Les gens vont avoir besoin de logement.
Un autre facteur en matière de politique d'immigration: elle ne sont pas répartie également Canada.
Certaines provinces en absorbaient une partie disproportionnée, Ontario et la Colombie Britannique notamment.
Il s'agit de deux provinces ou Laborde habilité et la moindre.
Au niveau des pouvoirs publics, il faut concentrer davantage attention sur certains domaines offrir des encouragements emménagés dans d'autres provinces.
Car cela ne se produit sa pas tout seul, il faut qu'il y ait le marché du travail, il faut qu'il y ait un appariement des compétences, il faut qu'il y ait des communautés au sein desquels les gens se sentent à l'aise.
La question est complexe la réponse aussi. C'est un problème qui n'est pas facile de résoudre.
Construire, c'est bien beau, mais il faut construire en fonction des personnes qui doivent y habiter, 600 pieds carrés n'est pas idéale pour une famille. Or c'est la superficie courante pour les appartements copropriété.
Est-ce qu'il y a suffisamment de logements locatifs abordables pour les personnes revenues modiques?
Il faut prendre des mesures de politiques publiques très prescriptibles très précises. La banque du Canada ne peut pas agir sur les taux d'intérêt pour influencer ses résultats.
Il appartient aux pouvoirs publics jusqu'au niveau local de le faire. Il y a beaucoup de volonté politique mais cela prend des années pour bâtir un immeuble.
Cela prend des années pour modifier la réglementation comme le bon Notario avec la ceinture de verdure. Il y a beaucoup de tensions politiques pas de solution rapide.
- Vous avez parlé de la banque Canada. Je me rappelle à l'époque je pose des questions Laborde Canada, il ne répondait jamais à mes questions.
Mais essentiellement, la mission et la lutte contre l'inflation. Est-ce que la banque Canada devrait commencer à songer à l'effet que ces politiques ont eu sur le marché de l'habitation? Ou si elle se repose sur les autres organes gouvernement?
- La manière dont les banques centrales abordent leur mandat n'est pas spécifique à la banque Canada.
La banque réservait la banque européenne aussi pour l'établissement des taux directeurs pour gérer le risque relié au prix des actifs. Quand on songe aux risques reliés au prix des actifs que l'on pense à la bourse.
Il ne s'agit pas d'influencer les bénéfices en établissant les taux d'intérêt, mais les prix des actifs immobiliers sont très importants dans le patrimoine des ménages et notamment long ce qui concerne l'endettement. Le taux d'endettement. Société résultat directe du fait que le taux directeur et communion zéro en beaucoup trop longtemps, quoique que les données économiques disaient que les risques se réduisaient on le voyait bien sur le marché du travail, notamment.
Au moment même où le gouverneur de la banque Canada affirmait que les taux demeureraient bas pendant très longtemps, au moins en 2003, société en 2021, c'est à ce moment-là que les taux d'intérêt à taux variable sont passés de 20 % à 35 % du parc des prêts hypothécaires.
Quand on fait une annonce de ce genre, cela ne s'est pas produit finalement.
Parce que les augmentations de ton commençant 2020: cela a contribué à l'intégration de risques dans le marché du logement.
Avec le pays comme le Canada ou une bonne partie de la population est concentrée dans de petites zones où il y a des problèmes de Laborde habilité, elle était nécessaire de maintenir le taux directeur??
Devrait envisager un plancher plus élevé parce qu'il y a des risques spécifiques au niveau du logement?
Nous avons la croissance démographique la plus avis des pays du G7.
Ces deux notions doivent être prises en compte.
Si les taux étaient passés 1 %, c'est toujours un facteur de relance qui est toujours très bas.
Cela aurait pu aplanir la courbe et créer un effet dissuasif à l'égard des taux variables, des prêts à taux variable qui était bien moins élevé que les taux des prêts à taux fixe.
- Je pense que la question se pose de savoir si on peut utiliser la recette traditionnelle et surveiller le risque pour le logement.
Mais ne rien faire douter sans reposer sur les autres organes gouvernement.
- Fait toujours vos propres recherches avant de prendre les décisions de placement!
Beata Caranci va répondre à vos questions sur l'économie en quelques instants. Vous pouvez communiquer à tout temps avec nous@moneytalklivetd.
com.
À présent, poursuivant la découverte de Courtier Web.
L'inflation et les taux d'intérêt sont un thème important pour les investisseurs cette année.
Courtier Web peut vous aider à suivre ces deux éléments.
Nous voyons Arauna, formation actrice placement directe télé nous explique.
Comment peut-on trouver les données sur l'inflation?
- Ça me fait toujours plaisir de participer à cette émission.
L'inflation, le gouvernement du Canada utilise l'indice des prix à la consommation ou IPC pour mesurer l'inflation.
L'IPC mesure défend les changements dans une corbeille fixe de biens et services.
Entre une période et une autre les investisseurs ou les consommateurs qui songent à l'inflation doivent savoir que l'inflation en soi n'est pas nécessairement une mauvaise chose. Un pays où il y a de l'inflation, c'est un pays où les consommateurs peuvent bénéficier d'une hausse de revenus.
Les entreprises sont au courant de l'augmentation potentielle de leurs revenus.
Pour suivre l'évolution de l'inflation, sur Courtier Web, on clique sur rechercher, puis sur rapport, sur le droit de l'écran, on peut dérouler et parvenir au service économique d'aider.
Déjà ouvert cette page, on n'y trouve une page qui donne accès à toutes sortes de données.
Des données sur l'inflation pour le Canada en novembre 2022 viennent apparaître.
On veut afficher ce rapport.
Et prendre connaissance des informations quant au changement d'inflation sur 12 mois.
Les informations supplémentaires portent sur l'inflation dans des domaines spécifiques.
Essence, alimentation, logement.
Et puis il y a des commentaires, service économique TD sur les conséquences clés de ce nouveau chiffre.
Il est également possible d'afficher les pronostics économiques trimestriels pour alimenter leur planification.
Les taux d'intérêt, un élément-clé pour lutter contre l'inflation, c'est la formule utilisée par la banque centrale, comment peut-on suivre les taux d'intérêt?
- On parle taux d'intérêt, c'est un facteur très important. Vous pouvez trouver les taux d'intérêt sur la page de service économique TD. Mais cette fois, il s'agit de cliquer sur l'onglet pronostics.
On n'y trouve les tout derniers pronostics financiers.
Vous y trouverez certaines informations supplémentaires, le taux cible du jour au Canada, et puis le pronostic pour les deux années à venir.
Si vous souhaitez savoir ce que le taux cible du jour au lendemain, c'est le taux fixé par la banque du Canada qui détermine en général les taux de prêt et d'emprunt entre les grandes banques. Lorsque ce taux augmente, certains des coûts supplémentaires sont transmis aux consommateurs. Emprunter pourrait devenir plus coûteux.
Le taux d'intérêt pour les prêts hypothécaires doit augmenter, mais en revanche, le taux pour les comptes d'épargne CPG augmente.
Ce qui peut entraîner une réduction des dépenses.
Si je peux te toucher davantage d'argent sur mon épargne mon CPG, j'aurais tendance à moins dépenser.
Et s'il me coûterait plus cher d'acheter une maison, je serai donc moins enclin à dépenser.
Les investisseurs peuvent donc trouver ces renseignements sur la page des 10 services économiques TD.
- Merci beaucoup, nous Arauna!
Formatrice en placement direct TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage Courtier Web vous vous trouverez encore plus de ressources!
Je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser soit par courriel@moneytalklivetd.
com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct!
Beata Caranci répond à vos questions sur l'économie.
Une question qui vient de nous arriver: dans le nouvel environnement économique, quels sont les industries ou les secteurs qui se porteront bien?
- Typiquement, dans un cycle de ralentissement économique, voire une récession, c'est le retour aux sources.
Les gens donnent la priorité à des aspects de la santé ou de l'éducation plutôt que l'habillement aux appareils électroniques.
Nous en avons parlé tout à l'heure, il s'agit d'une rotation, basculement dans les dépenses. L'alimentation par exemple dans l'alimentation, les magasins d'alimentation obtiennent de meilleurs résultats que les restaurants.
Il y a beaucoup de financement qui est consacré à la transition climatique dans le budget du gouvernement.
On insiste beaucoup sur la technologie propre, sur l'infrastructure dédiée les technologies propres ainsi que sur l'infrastructure de base, les ponts par exemple.
Ces éléments vont alimenter l'économie d'ici deux ans, malgré les problèmes des consommateurs.
En revanche, les entreprises sont sans doute plus résiliences.
Pendant la période à venir que pendant une période de baisse normale.
Puisqu'il y a beaucoup de facteurs positifs qui se prolongent.
L'Europe nous montre bien ce qui arrive quand on n'est pas préparé à la transition écologique.
Les gouvernements et le secteur privé sont encore davantage sous pression.
Ce sera un aspect très spécifique pendant six siècles.
Les investissements des entreprises pourront être plus importants que d'habitude, surtout la construction résidentielle, pas nécessairement d'appartement ou de copropriété, mais dans la création d'une infrastructure par exemple de bornes de chargement des véhicules électriques, puisque nous voulons parvenir à 60 % de ventes de véhicules électriques d'ici 2030.
Il y a beaucoup de changements qui doivent être apportés et qui vont alimenter portefeuille d'investissement.
- Les dépenses budgétaires du gouvernement vont à limite alimenter l'économie depuis deux ans.
Une autre question: prévoyez-vous que la banque du Canada va réduire les taux d'intérêt en 2023 Mondeville 24?
- Oui et oui.
Nous prévoyons que la banque commença à réduire les taux au quatrième trimestre 2023.
C'est le point de bascule selon nous.
C'est à ce moment-là que la banque Canada va vraisemblablement commencer réduire les taux.
Nous fondons ce point de vue sur l'hypothèse que l'économie continuera de baisser.
Et cela, nous le supposons parce que le consommateur est en mode d'attente.
Il y a un certain nombre de préconditions pour parvenir à cet objectif, nous pensons que d'ici le quatrième trimestre, nous pourrions assister à des coupures d'impôts de 50 à 100 points de base.
Et que ces coupures se prolongeront en 2024.
Souvent on pose la question pour savoir à quel moment acheter une maison.
À quel moment contracter un prêt hypothécaire à taux variable.
L'hypothèse qui sous-tend la possibilité qu'il y aura des coupures de tous, c'est que l'économie se portera mal et il y aura une raison.
Pour ces coupures de taux.
Seul le crime prend un plancher sous l'économie.
Est-ce qu'on peut supposer que comme autrefois, les banques centrales vont pratiquer des réductions d'un corps de pour cent?
Ou est-ce que les baisses de taux pourraient être tout aussi importantes que les hausses de taux?
- Je pense que les banques seront plus prudentes lorsqu'ils baisseront les taux.
Lorsqu'il y a une forte hausse, comme nous en avons connu, c'est parce qu'il faut faire du rattrapage, essentiellement.
La banque centrale ne voudrait pas donner un signal de panique et se voir pris au piège par un regain de l'inflation.
Je pense que la banque recommencerait donc à procéder 25 points de base à la foi, à moins que ce qui étonnerait tout le monde, nous nous retrouvions dans un atterrissage brutal avec de fortes de perte d'emploi de 250 000 400 000 pertes d'emploi, dans un tel cas, la banque pourrait prendre des mesures plus forts.
Mais sinon, fera preuve de prudence.
- L'an prochain, en 2023, y aura-t-il les tiraillements entre la politique budgétaire et monétaire?
- Cette question me passionne!
Les électeurs commenceront à subir les dégâts de la politique monétaire.
Les politiciens ressentent le besoin d'intervenir.
D'après les annonces qui ont été faites pendant la seconde budget, qui ne se limite pas au gouvernement fédéral d'ailleurs, car les provinces ont pris beaucoup de mesures de relance, la plupart des paliers de gouvernement cherchent des moyens de limiter les dégâts subis par les ménages moins aisés.
Il y a eu par exemple des mesures de radiation de près aux études.
Relèvement des prestations aux ennemis, à faibles revenus, toutes sortes d'initiatives ont d'ores et déjà été prise.
Nous pensons que ce genre d'initiative ont sans doute prolongé à l'approche 2023 parce que les gouvernements ne vont sans doute pas généraliser leur mesure budgétaire mais se concentrer comme il le devrait sur les personnes revenues modiques. Il s'agit de cibler les dépenses pour rejoindre les personnes qui en ont le plus besoin, afin qu'elle utilise pour le logement, chauffage et ainsi de suite, plutôt que de les verser les personnes qui s'en serviront pour spéculer.
Les personnes revenues modiques qui dépensent pour s'alimenter se loger ce ne sont pas elle qui cause l'inflation Canada.
Ce n'est pas un facteur dans les hausses de prix généraliser.
Ce sont plutôt les personnes revenues moyennes ou élevées.
C'est ainsi que l'on peut limiter toute répercussion au niveau budgétaire.
En revanche, puisque le gouvernement tâche de se préparer à la transition climatique et comment investir, ces mesures ont un effet de relance.
Quand on songe au facteur multiplicateur des dépenses gouvernementales, les investissements en infrastructures ont l'effet multiplicateur le plus élevé.
Ceci va certainement avoir pour effet de relancer l'économie et cela pourrait avoir un impact inflationniste même si c'est nécessaire pour l'investissement.
Le marché du travail est très serré à l'heure actuelle il pourrait y avoir une concurrence entre le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux au niveau de la main-d'œuvre nécessaire dans les domaines comme les travaux publics et le secteur manufacturier.
Qui manque déjà de bras.
Ça je n'y avais pas pensé.
C'est une conséquence fascinante.
Pour bâtir l'infrastructure, on crée une tension sur le marché du travail, ce qui est le contraire qu'est-ce que la banque centrale réalisée.
C'est une tension qui est difficile à résoudre. Voilà pourquoi on affirme que le secteur privé devra diminuer davantage et compenser les dépenses budgétaires.
Ces compétences ne sont pas directement transférables si vous travaillez dans le marché la construction résidentielle, ça ne veut pas dire nécessairement capable de bâtir un pont ou un ouvrage tard!
Mais cela permet tout de même de compenser un peu les facteurs négatifs exerce certaines industries.
Est-ce que, si la banque du Canada cesse de hausser les taux, cela ne va-t-il pas causer un autre type d'inflation si la fête continue de hausser les taux?
Ce qui entraîne un décalage entre la valeur du dollar canadien américain.
- Bonne question!
Il y a une ou deux choses à dire.
D'abord, beaucoup de gens pensent que la banque du Canada envoie traditionnellement le pas à la réserve fédérale.
Bien sûr il y a des liens, ce sont deux économiques sont semblables, fondées sur la consommation.
Il est important de relations commerciales.
Toutefois, lorsque le taux directeur touche un sommeil, il y a presque toujours un découplage entre le Canada et les États-Unis.
C'est très courant historiquement, c'est la norme.
Il y a un écart de 75 à 100 points de base entre le taux directeur de la banque du Canada et celui de la réserve fédérale.
Maintenant les taux un niveau plus bas que les Américains.
C'est en partie parce que ils sont obligés d'en faire autant que les États-Unis.
Car les États-Unis jouent un rôle clé dans les marchés financiers mondiaux et nous importons une partie de leur mesure de resserrement par ce biais.
Quant au dollar, il s'est entre 72 et 74 scènes depuis plusieurs semaines.
Cela reflète déjà en l'écart entre les taux directeurs.
Nous allons importer cette évolution d'entreprise depuis un mois en ce qui concerne le différentiel entre les deux banques, cela va se répercuter sur 2023.
Bien souvent, ce sont les prix de l'alimentation qui commence à le refléter. Le prix de l'alimentation ont augmenté de 11 % sur un an comment la vie dans les données de ce matin.
Cela ne se répercutera pas peut-être pas sur les outils intégrés parce que le cycle de consommation sera en phase de décélération.
Lorsqu'il s'agit de l'alimentation, on est bien obligé d'acheter.
Il est difficile de faire pousser des légumes, je n'y arrive pas pendant l'été sans même parler de l'hiver!
- Beata Caranci continuera de répondre à vos questions sur l'économie dans un instant.
Fais toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur le marché?
Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, moneytalklivetd.
com soit dans la boîte de questions au bord de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer!
Nos invités pourrait vous répondre en direct!
Un coup d'œil sur les marchés.
Est-ce qu'il y aura une remontée de Noël?
Eh bien elle s'esquisse peut-être.
L'indice LGBT sex est en hausse de 260: à 1/3 %.
Le secteur de l'énergie, les mines sont favorisées.
Athabasca est en hausse d'un peu plus de 4 % à 2,18 $ l'action.
Barrique gauche indigène secteur minier dans un peu plus de 2 % à 24 $ et quelque l'action.
Aux États-Unis, les investisseurs assimilent les annonces de FedEx et de Nike, ce qui semble avoir rasséréné les investisseurs en les convaincant que la situation des bénéfices des entreprises ne sera pas aussi catastrophique que prévu.
L'indice S&P 500 est en hausse de 1,4 %, soit 53 points.
L'indice Nasdaq emboîte le pas au risque du marché à 1/3 %.
Jetons un nouveau coup d'œil sur Michael qui liquide ses inventaires qui augmentent ses ventes numériques.
Le titre est en hausse de plus de 13 % à 117,24 $ l'action.
Beata Caranci, économiste en chef de la banque TD qui réponde à vos questions sur l'économie!
Comment prévoyez-vous que l'union européenne se comportera l'an prochain?
- Assez mal.
Avec le Royaume-Uni, c'est l'union européenne qui va être en pointe dans le cycle de récession.
Toutefois, il y a eu des surprises très agréables.
Nous envisagions un résultat pire à la fin de cette année.
Le pire du risque a été évité au niveau énergétique.
La douceur de l'automne et le début de l'hiver Clément ont été un coup de chances qui ont permis le maintien des stocks élevés de gaz naturel. Cela paraît bizarre car bien souvent, les économistes sont comparés aux météorologistes en ce qui concerne l'exactitude.
Et je parle météo.
Et la météo était un facteur de risque très important.
Ce risque a été conjuré, et l'union européenne devrait sortir de ce cycle de récession vers le deuxième semestre de l'an prochain.
Cela ne signifie pas que tout le risque a été évité.
L'union européenne est très bien parvenue à se détourner de la Russie.
Et à mettre en place par exemple des terminaux de gaz naturel liquéfié flottant à la vitesse de l'éclair!
Il se passe énormément de choses! En définitive, l'union européenne devra reconstituer ses stocks à la fin de l'hiver, et à présent, ne dispose plus de gaz russe.
Tout le gaz provient de sources nouvelles.
Il s'agit donc d'un facteur d'incertitude.
Donc union européenne n'est pas tirée d'affaire, mais elle se débrouille mieux que beaucoup de gens ne le redoutaient.
On pensait que l'atterrissage pourrait être extrêmement brutal.
Il aura sans doute une récession, mais que cela aurait pu être bien pire.
- En parlant de facteur d'incertitude, la Chine.
Quel est l'impact des événements Chine sur l'économie mondiale en 2023?
- La Chine est effectivement le facteur d'incertitude par excellence nous savions qu'il finirait par abandonner cette politique zéro COVID qui n'était pas durable.
Et qu'il pouvait durer.
Mais ça c'est un peu plus brutalement que rapidement.
Nous pensions que c'était plus progressif.
De ce point de vue, nous ne prévoyons pas que le premier trimestre sera possible.
Après l'expérience d'autres pays, exemple nombre, nous savons que le taux de maladie vont continuer de grimper.
Ce qui pourrait faire subir de la pression non seulement sur le secteur de pistes hospitaliers sur la confiance de la population et sur le cycle de production.
Nous l'avons vu partout, même lorsqu'il y a des vaccins, des antiviraux, les gents qui sont maladresses à la maison, ce qui pourrait causer une pression sur le secteur manufacturier.
Le pic d'impact sera au premier trimestre, mais par la suite, si les temps sont semblables aux autres pays, flamber une amélioration, cette économie regorge de demandes insatisfaites.
Puisque les tons confinement stricts depuis trois ans.
Ce cycle de consommation pourrait donc être extrêmement dynamique. La croissance enchaînée de moins de 3 % cette année.
Ce qui est très faible.
On s'attendait à 5 %.
L'an prochain, la croissance pourrait être de 5 % et davantage, tout dépend du retour de la confiance des consommateurs.
Nous pensons qu'elle sera au rendez-vous, commente comme dans tous les autres pays, doit avoir beaucoup de demandes insatisfaites.
- Nous n'avons plus le temps de poser les questions économiste en chef de la banque TD. C'est la dernière fois que nous rencontrons en 2022.
Qu'est-ce que les investisseurs doivent envisager pour le prochain?
- Il ne faut pas paniquer.
Il y a beaucoup d'inquiétude lorsqu'on entend le mot récession.
Nous avons vécu récession auparavant, nous en sommes ressortis, c'est une façon de ré étalonner les canaux de l'économie.
La banque centrale cherche à trouver le bon équilibre et de doser ces mesures en conséquence.
En outre, l'inflation n'est pas le pire problème au monde.
La crise financière mondiale, lorsque les institutions financières étaient plongées dans une situation catastrophique, le cycle économique est bien positionné au Canada par rapport à d'autres pays.
Nous pouvons en être reconnaissants.
Nous ne sommes pas face a des défis aussi graves que dans d'autres régions du monde.
Même si l'année prochaine pourra être difficile, ce ne sera rien que nous n'ayons déjà surmonté!
- Cela nous fait toujours plaisir de vous recevoir, et d'entendre vos aperçus.
Merci à l'année prochaine!
Beata Caranci et économiste en chef à la banque TD.
Demain, nous allons faire une mise à jour sur les marchés et présenter les extraits de nos meilleures entrevues de cette semaine.
Parlons argent direct s'interrompra pour les fêtes à partir de ce vendredi, nous serons de retour lundi le 9 janvier.
Nous entendrons un (..
.) qui répondre à vos questions sur le secteur de la santé.
Merci et à demain!