Print Transcript
(musique) Bonjour. Ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Après la pause des Fêtes.
Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, nous discuterons avec Bart Melek de Valeurs mobilières TD du bras de fer sur le marché du pétrole entre les craintes géopolitiques les prévisions d'agrandissement de la croissance. Anthony Okolie commente le dernier rapport sur l'emploi au Canada.
Et ce qui pourrait signifier pour la décision du Canada concernant les taux d'intérêt. Un peu plus tard en janvier.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Jason Natyk nous montre comment suivre le marché des produits de base. Posez-nous vos questions par courriel, moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
L'indice composite TSX dans le contexte du recul du brut qui fait baisser le secteur de l'énergie progresse malgré tout en raison de la hausse du secteur de la technologie.
L'indice S&P TSX est en hausse de 56 points, à 20 993.
Le secteur de l'énergie, comme l'ensemble des titres du même secteur, est en recul.
En l'occurrence, (...) et demie, soit 33 sous l'action avec 71. Barrick Gold progresse. La semaine dernière, on annonçait que la compagnie fait une nouvelle offre pour First Quantum.
Barrick Gold progresse un peu plus de 2 % à 23,85 $.
Aux États-Unis, les nouvelles statistiques de l'inflation paraissent cette semaine.
Les grandes banques commencent à annoncer leurs bénéfices.
Il y a une légère hausse de l'indice S&P 500, soit environ 30 points. Surtout pour des mobiles techniques semble-t-il, 1/2 %, l'indice Nasdaq, puisque le secteur de la technologie progresse, il devrait se comporter mieux que l'ensemble du marché et c'est bien le cas.
Une hausse de 1 %. Boeing est une entreprise qui se distingue. Vous avez entendu parler de l'explosion d'un panneau sur l'avion Boeing. Des dizaines ont été cloués au sol. L'action recule de près de 7 %.
Les niveaux de production plus élevés de l'OPEP et les réductions du prix de l'Arabie Saoudite pèsent sur le pétrole.
Mais notre invité croit que la question la plus importante est de savoir si les craintes de ralentissement de la croissance l'emporteront sur les inquiétudes concernant le conflit au Moyen-Orient. Bart Melek est responsable des produits de base à Valeurs mobilières TD.
- Bonjour Greg. Bonne année! - Bonne année à vous aussi.
Nous avons le grand dossier évoqué, mais tout d'abord, rapidement, l'actualité aujourd'hui. Le cours du brut a beaucoup reculé depuis le début la semaine. Il y a l'Arabie Saoudite, les coupures de prix.
Que se passe-t-il sur le marché?
- Aujourd'hui, il s'agit d'une réaction à la baisse des prix par l'Arabie Saoudite.
La baisse des prix du brut qu'elle fournit.
L'inquiétude de l'ensemble du marché, c'est que les investisseurs ont réduit leur participation à long terme sur le brut et privilégier le court terme.
On considère qu'il y aura un net ralentissement de la demande au fil de l'année à cause des politiques monétaires restrictives et de leurs effets décalés sur l'économie.
Mais nous ne l'avons pas encore vu.
Dans une mesure importante. Il s'agit d'une inquiétude.
Il y a une autre grande inquiétude, c'est que l'offre de pétrole produit aux États-Unis continue d'être plus importante que prévue.
Et l'OPEP a produit quelque 70 millions de barils de plus à la fin de l'année que l'on ne s'y attendait.
À présent, bien sûr, on s'inquiète à l'idée que l'OPEP ne pourrait peut-être pas être aussi décidée que prévue à procéder à de nouvelles coupures. Il est envisageable qu'elle prolonge ses coupures de production d'ici la fin de l'année.
Mais si la production devait augmenter, en un moment où on s'inquiète, de la baisse de la demande, et où la production aux États-Unis se porte toujours bien, il se peut, dans l'ordre des choses, que les spéculateurs prennent leur profit ou tâche de réduire leur (...). Et c'est ce qu'on donne dans l'expectative. D'ici là, nous continuons à constater une augmentation du risque au Moyen-Orient.
Qui est plus aiguë que depuis des décennies.
Il y a des difficultés en mer Rouge, deux marines qui pourraient s'affronter. Je songe à un conflit éventuel entre l'Iran et la marine américaine. Je ne dis pas que cela va se produire, mais c'est un risque.
Et nous nous inquiétons d'une prolongation du conflit entre Israël et le Hamas. Et de son extension au reste de la région.
Ce qui pourrait logiquement affecter l'offre de pétrole d'ici quelques mois.
Ces menaces n'ont pas encore été prises en compte sur le marché à mon avis. Les participants du marché les prenants à la légère.
- S'agit-il de la question des participations à long terme?
L'année 2024 commence à peine, pendant les fêtes une manchette que j'ai vue concernant le Moyen-Orient. Et cette démarche est inquiétante.
De retour au travail, je vois le brut en baisse volontaire, doit-on s'inquiéter des suppressions géopolitiques?
- Certes. Il faut également demander ce que fera l'OPEP et à quoi ressemblera la demande en 2024.
Nous estimons que la demande augmentera malgré tout 1,2 millions de barils par jour environ pour l'année. Je suis convaincu que la prochaine réunion de l'OPEP, à l'Arabie Saoudite les autres membres du cartel s'engageront à prolonger les coupures de production et parviendront un accord quelque il soit pour empêcher que l'offre ne submerge le marché. Nous prévoyons que le marché sera équilibré pendant les trois premiers mois de cette année.
- J'ai failli dire l'an prochain mais nous y voici déjà en 2024.
Nous envisageons des déficits substantiels pour le reste de l'année.
Pour les six mois suivant en tout cas, si l'OPEP est effectivement décidé à exécuter ces projets. Nous sommes pas convaincus que le rythme très fort des hausses de production de pétrole de schiste aux États-Unis se poursuivra.
Le niveau des immobilisations a diminué et la conjoncture des prix n'est pas aussi favorable à l'activité que ce n'était le cas l'an dernier.
Dans ces circonstances que la capacité de l'OPEP de faire augmenter les prix sera exécutoire, sans doute pendant le deuxième trimestre.
- Parlons des cours. Un recul un peu plus de 70 $ le baril pour le brut de référence américain sur mon écran.
Comment les cours du pétrole pourraient-ils évoluer cette année?
- Nous disons officiellement que le brut de référence pourrait augmenter jusqu'à 85 environ.
Le brut de référence de la mer du Nord pourrait parvenir à un niveau un peu supérieur.
Mais il faudra que nous commencions à envisager une reprise possible plutôt que de nous en tenir à des perspectives de réduction de la croissance. Il nous faudra davantage de détails sur l'époque à laquelle la Fed est susceptible de réduire les taux. Il y a eu beaucoup de spéculations sur ce point.
Les marchés sont sans doute beaucoup plus optimistes quant au moment où la Fed réduira les taux, et sur la mesure dans laquelle les réduira que la Fed elle-même ne l'est.
Depuis quelques jours, il y a eu quelques ajustements.
Les marchés reculent.
Les marchés boursiers. Je ne projette pas, le cours des actions et mais je pense que les attentes se sont modérées et les conséquences pour les marchés comme le pétrole et le marché des produits de base en général, lorsque le goût du risque s'estompe, cela affecte les marchés des produits de base. Tout est relié. Les taux d'intérêt, le goût du risque, sur les marchés boursiers, et bien entendu, les produits de base réagissent dans ce cadre.
- Excellent début d'émission! Bart Melek répond à vos questions sur les produits de base dans quelques instants. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel à moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les actions de Boeing sont sous pression aujourd'hui à la suite de l'explosion spectaculaire d'un panneau sur son avion 737 Max 9 jet.
170 appareils ont été cloués au sol à la suite de l'incident survenu vendredi qui a vu le panneau se détacher de l'avion en plein vol. Boeing se dit d'accord avec la décision de la FAA d'immobiliser les avions pour inspection. L'action recule de 7 %.
La période des fêtes a été lucrative pour plusieurs grands détaillants. Lululemon, American Eagle Outfitters et Abercrombie and Fitch sont parmi les titres qui ont revu à la hausse sur le quatrième trimestre la nouvelle a été annoncée en conférence de trois jours sur le commerce de détail à Orlando ou d'autres détails devraient communiquer leurs prévisions révisées.
Voici l'action d'Abercrombie and Fitch qui progresse de près de 7 %.
Le giron de l'énergie Shell avertit les investisseurs qu'il doit procéder à des dépréciations d'actifs pour un montant de 4,5 milliards de dollars au cours du quatrième trimestre concernant principalement ses idées les activités de raffinage à Singapour qui sont sur le point d'être vendues. Shell devrait publier ses résultats trimestriels le 1er février.
L'action recule près de 2 %.
Un coup d'œil rapide sur les marchés.
L'indice TSX composite, même s'il y a un recul considérable du cours du brut aujourd'hui, longuement le secteur de l'énergie, progresse néanmoins d'un quart de pour cent, soit 57 points.
Aux États-Unis, une remontée du secteur de la technologie, compris les producteurs de semiconducteurs, indice S&P 500 instantanée du marché américain est en hausse de plus d'un demi pour cent, soit de 37 points.
Bart Melek répond à vos questions sur les produits de base.
Tout d'abord, quelles sont vos perspectives pour l'or?
- Nous avons parlé tout à l'heure de l'or noir. Je pense que l'or, le métal est un produit très intéressant. Cela ne signifie pas qu'il n'y a pas un léger recul.
Il y a en fait un déphasage entre les pronostics de la Fed en ce qui concerne les taux d'intérêt. D'une part, et d'autre parce que les marchés envisagent. Ces derniers sont en effet très optimistes.
Plusieurs participants considèrent que les premières coupures de taux pourraient intervenir dès le mois de mars, et qui pourrait en avoir jusqu'à cinq voir six cette année. La Fed n'est pas disposée dans ce graphique: énoncé communiqué n'est pas disposé à annoncer qu'elle agira aussi rapidement. Mais en revanche, elle se dit prête à tirer les conclusions des statistiques qui paraîtront.
- Il y a donc un léger recul.
L'emploi est beaucoup plus vite que prévu, 216 000 créations d'emplois, et le taux de chômage diminuant à 3,7. Les salaires ont continué d'augmenter considérablement sur 12 mois.
Ainsi que d'un mois sur l'autre.
Nous considérons donc que la réserve fédérale n'est sans doute pas pressée de commencer à desserrer la vis.
Et elle n'est certainement pas disposée à nous dire qu'elle est pressée.
Sans doute la Fed attend tel un ralentissement considérable et les marchés réagissent à cela. Immédiatement après la parution des données sur l'emploi, la réaction a été négative. Et puis il y a eu une remontée et un véritable décollage vers 2060, lorsque l'indice sur le secteur manufacturier apparut.
Et que le volet de l'emprunt étant inférieur à 50. C'était un signal pour beaucoup de gens que les indices sur l'emploi que la Fed scrute affichent un ralentissement, qu'il y aura donc des réductions. Aujourd'hui, on attend une fois de plus de nouvelles statistiques et des signaux que la fête pourrait envoyer.
Je pense que les données ne vont pas afficher un effondrement prochainement, il s'agira d'une diminution progressive des séquelles sait que les banques centrales attendent. Mais une fois que l'inflation se rapprochera de la cible de 2 %, elle s'y maintiendra. Une fois que les données économiques manifesteront une certaine faiblesse au niveau de la consommation, ainsi que du marché du travail, je crois alors que la Fed sera davantage disposée à annoncer la couleur et a affirmé qu'elle envisage de réduire les taux. Ce qui amènera les marchés à anticiper ses décisions.
Nous pensons que le cours de l'or se situera en moyenne à 2110 trimestres: le risque est sans doute à la hausse. La raison en est que la banque de réserve fédérale aujourd'hui même concentre ces politiques sur les intérêts des catégories les moins nantis aux États-Unis. À l'heure actuelle, la fête considère que l'inflammation qui est surtout présente dans le secteur de l'alimentation et du logement nuit le plus au consommateur les moins nantis et elle s'efforce de maîtriser cela. Mais une fois que la situation aquacole économique s'aggravera, si elle s'aggrave, nous pensons qu'elle s'aggravera, la préoccupation de la Fed de consistera à faire en sorte que la détérioration du marché du travail n'affecte pas négativement la cohorte qui est l'objet de ses soins.
À mon avis, cela se produira avant que l'objectif de 2 % ne soit atteint. En fait, nous avons une question de suivi.
- On demande: quelles seraient les conséquences pour les produits de base d'un changement de cap de la Fed?
- Est-ce que ce sera un catalyseur à la hausse?
- Oui, je le crois. Pour beaucoup de produits de base, en effet, les spéculateurs chercheront à se positionner en anticipant sur le resserrement de la demande. La baisse des taux et le desserrement de la politique monétaire ont tendance à être suivis par une reprise de la croissance économique, tout comme la faiblesse suivie le resserrement de la politique monétaire.
- Par ailleurs, comme je lui dis, nous envisageons que l'inflation demeurera un peu plus élevée.
S'agissant de l'inflation globale du moins. Nous pensons que l'énergie reprendra également pendant les périodes de relance. La réserve fédérale se retrouvera dans une situation délicate.
D'une part, elle voudra desserrer la vis, donc la situation macro-économique se dégrade.
Mais en revanche, elle devra gérer une inflation globale opiniâtre, surtout si les mesures remontent. Pour l'heure c'est une situation idéale. Les taux baissent, et le cours s'il n'augmente pas demeure stable.
Il y aura toutes sortes de questions de crédibilité.
À tort ou à raison. Peu importe, mais on s'interrogera sur la maison dans laquelle la Fed est effectivement déterminée à parvenir à cet objectif de 2 %.
Je suis convaincu qu'elle souhaite, mais ce ne serait peut-être pas une trajectoire linéaire.
Nous pensons que l'or se situera dans la fourchette de 2100 et que le risque est à la hausse.
- Une autre question de nos spectateurs: quelles sont vos perspectives concernant la demande chinoise de produits de base?
- Avec le des confinements de la Chine, on pensait que le pays aurait un appétit vorace de produits de base mais ce n'est pas ce qui s'est produit.
Après des confinements, beaucoup ont été déçus de constater que l'économie chinoise n'a pas été relancée dans la mesure que l'on prévoyait.
Sans doute que les mesures de soutien à l'économie n'ont pas été aussi intensives en Chine pendant le confinement que dans les pays occidentaux.
Ce qui a sans doute abîmé la confiance.
Depuis le logement jusqu'à la consommation. Donc l'économie chinoise globalement a déçu les attentes que l'on avait il y a un an.
Cette faiblesse, par rapport au pronostic, sera suivi à notre avis une relance. Et d'une remontée. Des mesures de relance justement seront prises par les pouvoirs publics chinois afin de donner un coup de pouce au marché.
Je songe au cuivre, à l'aluminium, au nickel, qui devraient tous en bénéficier ultérieurement.
Le cuivre nous plaît particulièrement, nous pensons qu'il y a une certaine pression à la baisse, mais à long terme, signe d'un métal qui est très prometteur avec l'argent. Lorsque cette économie entrera dans sa remontée. Il s'agit d'attendre les mesures de relance des pouvoirs publics chinois.
- Oui nous attendons tous. Nous nous attendons depuis assez longtemps et nous verrons ce qui se produira.
Je suis assez convaincu que cela arrivera, mais nous ne sommes pas certains de la forme que cela prendra ni du délai dans lequel sera aura lieu.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Bart Mélek répond à d'autres questions sur les produits de base quelques instants. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
On parle de produits de base. Si vous souhaitez suivre l'évolution du marché des produits de base, CourtierWeb vous propose des outils. Jason Natyk est formateur principal à Placements directs TD. Bonjour Jason! Parlez-nous-en!
- Merci.
Nous ne pouvons pas négocier des produits de base sur Placements directs TD, mais cela ne signifie pas qu'il n'est pas important de se tenir au courant. Que vous ayez une exposition dans le portefeuille, à des actions dans différents secteurs ou que vous souhaitez vous tenir au courant de l'évolution de l'économie en général ou des marchés.
Voici comment vous pouvez vous tenir au courant sur CourtierWeb.
Tout d'abord, pour savoir comment fonctionne le marché des produits de base, on clique sur l'onglet recherche et sur la rubrique aperçu.
Où on trouve énormément d'informations.
L'évolution des grands indices, les actualités, les bourses mondiales.
Alors en dessous des marchés mondiaux, vous verrez qu'il y a trois catégories de produits de base. L'agriculture, les métaux et l'énergie.
Jetons un coup d'œil sur l'énergie. Voici le brut de référence américain.
Comme vous l'avez dit tout à l'heure, Greg, il est en baisse aujourd'hui à 70,32 $.
En baisse de trois dollars.
Sur la droite, voici la gamme du contrat et l'endroit où se situe le cours.
Ensuite, les informations.
Alors remontons au sommet de la page cliquons encore une fois ce recherche.
Alors, si nous cherchons produit de base, nous pouvons voir qu'il y a un rapport entre début de matinée depuis l'ouverture du marché.
Enfin, sous la rubrique des rapports, il existe énormément d'informations qui sont disponibles d'un seul clic.
Il y a trois domaines clés. Si on déroule tout d'abord, il y a les rapports Morningstar Research sur la droite.
Différents secteurs sont visés par ces rapports. Vous pouvez voir ce qui est important pour le produit de base de votre choix.
Ensuite, il y a service économique et des.
Nos amis les services TD rédigent des rapports très fouillés ce qui vous permet de vous tenir au courant des de l'évolution du marché des produits de base.
Et puis il y a les rapports et nourritures ce qui permet de d'approfondir les différents secteurs pour voir comment les prix des produits de base sont affectés et comment ils se ressentiront de l'évolution d'économie.
Voilà comment se renseigner sur les produits de base.
Et si nos spectateurs veulent commencer à faire des investissements?
- Nous avons fait nos recherches. À présent, nous voulons envisager des placements.
Utilisons l'outil de sélection pour identifier des FNB spécifiques des produits de base. Et cliquons sur l'onglet recherche encore une fois, et puis sur la rubrique outils, sur sélection.
Nous avons bien souvent pris connaissance de cet outil. Il est possible de sélectionner des actions, des événements techniques, les fonds communs de placement ou des FNB. Cliquons sur FNB et créons un nouveau filtre personnalisé.
Je choisis sous la rubrique sommaire, la catégorie de fonds. Je vais ajouter ces critères.
Ensuite, je vais isoler les placements canadiens, puis sous la rubrique catégories de fonds, il y a toutes sortes de catégories qui sont disponibles. Je vais dérouler jusqu'à parvenir. Voilà.
États-Unis, corbeilles de produits de base.
Alors revenons donc aux États-Unis, et d'ici là, dernier élément au bas de l'écran.
On inclut automatiquement les fonds communs de placement. Si on ne veut pas les inclure, on peut décocher cette case.
Voici les occurrences. 26 résultats, il y a une longue liste FNB axée sur les produits de base, vous pouvez cliquer sur le symbole pour commencer le processus d'achat. Vous pouvez également sélectionner jusqu'à cinq fonds, les cocher sur la gauche, et procéder alors à une comparaison de ces fonds afin d'approfondir vos recherches sur votre placement. Il y a donc beaucoup d'informations que vous propose la plateforme d'un simple clic.
- Merci, Jason Natyk!
- Je vous en prie.
- Jason Natyk est formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage CourtierWeb vous trouverez encore plus de ressources.
À présent que je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser.
Soit par courriel, moneytalklivetd.com, soit la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Bart Melek répond à vos questions sur les produits de base.
Le lithium continue de baisser. Si on a besoin au plus grand nombre de véhicules électriques, est-ce un bon moment pour acheter pour 2024? Et pourquoi les litières continuent de baisser?
Un rappel, nous ne pouvons pas faire des recommandations spécifiques mais nous pouvons parler du lithium des véhicules électriques de ce qui se passe sur ce marché.
- En fait, il y a eu un ensemble décevant de circonstances pour les véhicules électriques.
Il y a eu une forte augmentation des inventaires.
Beaucoup de constructeurs réduisent leur production à cause de certaines inquiétudes relatives à l'autonomie.
On a beaucoup entendu parler dans les médias du coup énorme du remplacement des batteries pour certains modèles.
Bref, pour quelque temps, les stocks continueront d'être élevés et il y aura sans doute une baisse de la production des grands constructeurs.
Ce qui devrait entraîner une baisse temporaire de la demande de métaux pour batteries.
Laquelle serait moins vigoureuse que beaucoup l'avaient envisagé.
Ce qui entraîne une pression à la baisse.
Est-ce que les cours remonteront? En définitive, alors que nous aborderons l'année 2024, et 2025 et 2026, et que la nouvelle réglementation comme celles du Canada entreront en vigueur, imposant une proportion de véhicules électriques plus élevés dans le total des ventes de véhicules, cela s'applique également aux États-Unis, le marché se référera. Et typiquement, ceci signifie que les cours remonteront lorsque les marchés seront plus serrés que la demande augmentera.
Quand cela se produira-t-il?
Nous n'avons pas procédé à une analyse approfondie, mais c'est parce que bon nombre des hypothèses que nous avions posé quant à la rapidité de l'évolution du marché devrons être recalculés.
- Il faut atténuer quelque peu les attentes.
À présent, ça peut être relié aux véhicules électriques, quelles sont les perspectives du cuivre d'ici un à trois ans. Il joue un rôle clé dans l'électrification.
- Le cuivre et le métal indispensable pour l'électrification.
Parce que l'électrification n'est pas possible sans le cuivre.
Lequel sert dans les transformateurs, moteurs électriques et les commutateurs.
Il y a d'innombrables utilisations du cuivre, en moyenne que le véhicule électrique exige une quantité de cuivre beaucoup plus importante qu'un véhicule à moteur à combustion interne.
Au fur et à mesure que le besoin de cuivre augmentera, la demande suivra. Il y a énormément de nouveaux investissements.
De fait, je suis sûr que beaucoup de gens ont suivi le dossier panaméen, il devait s'agir d'une énorme mine de cuivre, au moment où le monde en avait besoin.
Et c'est fini.
Donc, nous avons été pris par surprise.
Nous n'avions pas prévu cela. Notre boule de cristal n'a pas fonctionné.
Mais ce marché sera beaucoup plus serré cette année que beaucoup de gens ne l'avaient pensé.
Nous aurons sans doute une demande quelque peu mitigée. Le consensus envisageait un certain excédent.
Or, personne ne parle plus d'excédent, on parle sans doute de déficit une nouvelle fois à cause des nouvelles relatives à la production, c'est-à-dire que le cuivre à la base se comportera mieux que ce n'aurait été le cas.
Cela ne signifie pas qu'il n'y a pas de pression à la baisse d'ici un ou deux trimestres tandis que l'économie mondiale connaîtra un creux, passage à vide.
Mais le relance en sera d'autant plus forte si les stocks sont faibles et que la nouvelle production n'est pas au rendez-vous.
Dans un an, cuivre devrait bien se porter et l'année prochaine, il y aura sans doute des augmentations de la production.
Celle-ci ne sera peut-être pas en forte augmentation d'ici un ou deux ans, mais après trois ans, je pense qu'il pourrait y avoir une croissance des cours. Car pour encourager les nouveaux investissements dans le secteur minier, il faudra que les cours soient beaucoup plus élevés qu'ils ne le sont aujourd'hui.
Les projets miniers concernent des minerais à beaucoup plus faible teneur que ce n'était le cas il y a 20 ans.
Les filons ont déjà été exploités. Bien souvent, les gisements sont situés dans des zones plus risquées du globe où le taux d'actualisation est plus élevé.
Et il s'agit de régions du monde qui ne sont pas faciles d'accès. Il faut construire des infrastructures, des routes, des réseaux d'alimentation.
Ce sont des régions il y a une pénurie d'eau. Le coût sera plus élevé et dans la mesure où le marché sera dans une situation déficitaire, et le cuivre sera indispensable pour alimenter la nouvelle demande, il faudra qu'il y a des encouragements à aménager ses projets pour les entreprises vont pas investir des milliards pour perdre de l'argent. Le cuivre me paraît intéressant à long terme.
Mais comme toujours, d'ici un an ou deux, c'est toujours délicat, parce que nous sommes assez souvent étonnés et pris par surprise.
En raison de l'instabilité. Un spectateur vient de nous poser une question sur l'offre et la demande. Nous venons d'évoquer ce domaine.
Bart Melek répond à d'autres questions sur les produits de base dans quelques instants. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
je vous rappelle que vous pouvez nous les poser en tout temps.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser.
Soit par courriel, moneytalklivetd.com soit ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
la croissance de l'emploi au Canada a marqué un coup d'arrêt en décembre.
Le pays n'ajoutant que 100 nouveaux emplois alors que le taux de chômage est resté stable.
Anthony Okolie analyse les chiffres les plus récents les conséquences ralentissement du marché de l'emploi sur la politique de taux de la Banque du Canada.
- Le rapport sur l'emploi été décevant.
C'était une surprise à la baisse.
On prévoyait 14 000 créations d'emplois, cela a été beaucoup moins. Le taux de chômage est demeuré stable à 5,8 %. Stable depuis le mois d'avril. Le taux d'emploi a chuté pendant le troisième mois consécutif, tandis que la population en âge de travailler de 15 ans et plus a augmenté de 74 000 personnes.
Bien sûr, le taux de chômage a beaucoup augmenté depuis un an au fur et à mesure que la croissance démographique rapide dépasse la création d'emplois.
L'emploi à plein temps était en baisse de 24 000 postes, compensé par quelque 24 000 créations d'emplois à temps partiels.
Lequel est plus important par secteur était dans trois domaines clés: les services professionnels scientifiques et techniques, le secteur de la santé de l'assistant social, et les autres services.
Ces gains ont été compensés par la faiblesse secteur du gros et du détail, le secteur manufacturier et l'agriculture.
Le nombre total d'heures travaillées augmentées de 0,4 % par rapport à novembre. La croissance des salaires, c'est-à-dire la clé 5,4 % sur 12 mois par rapport à 4,8 % en novembre.
Il s'agit du rythme le plus rapide croissance des salaires depuis février dernier.
Bien sûr, la Banque du Canada a déclaré qu'une croissance des salaires supérieurs à 4 % n'est pas compatible avec un objectif d'inflation à 2 %, à moins qu'il y ait un bon dans la productivité du travail.
Pour l'avenir, en dépit du fait que les salaires demeurent élevés, autour de 85 %, Services économiques TD constate que le marché du travail perd son élan d'ici un an, Service économiques TD prévoit que la croissance de la population active sera plus rapide que celle des emplois, exerçant une pression sur le taux de chômage qui augmente rapport aux niveaux actuels.
Le nombre de posts vacants diminue partout au pays, même si ce n'est pas systématique d'une province à l'autre. Services économiques TD considère que les faits 475 points de base aux autres intérêts commencent à se répercuter sur l'économie, les consommateurs tirent leur épingle du jeu, les entreprises également lorsqu'il s'agit d'embaucher.
Parallèlement, la croissance ralentit de manière conforme à un retour de l'inflation à la cible de 2 % de la Banque du Canada. Ce qui nous amène en question, ou la peau certainement: la question qu'on me pose souvent, qu'est-ce qui va se passer avec le monde du Canada en 2004?
Quelle sera la politique de tout? Cela sur grande la question.
La Banque du Canada se réunira huit fois cette année. La première décision sera prise le 24 janvier.
Service économique TD considère que les statistiques parues aujourd'hui n'auront guère d'effet sur la réflexion de la Banque du Canada. Actuellement, les marchés prévoient que les premières coupures de taux interviendront à la réunion d'avril de la Banque du Canada, soit le troisième de l'année, ce qui est conforme avec le pronostic de services Limited et qui prévoit que la banque réduise les taux de la réunion d'avril.
Pour l'avenir, Services économiques TD prévoit des coupures de 25 points de base progresser au cours des réunions successives ramenant le taux à 2,5 % par rapport au taux actuel de 5 % du jour au lendemain, un peu inférieur aux prévisions de marché de 3,7 %. Mais beaucoup plus resserré qu'avant la pandémie.
- Merci Anthony Okolie. L'année sera intéressant. Vous venez d'entendre Anthony Okolie. Un coup d'œil sur les marchés.
Voici les plateformes avancées conçues pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser les titres qui bougent sur les marchés. Voici les TSX 60 en fonction du cours et du volume.
Pression à la baisse dans le secteur de l'énergie.
Le cours du brut recule considérablement.
Suncor, CNP et Cenovus baissent de 2 % et plus.
Où trouver divers sur l'écran? Shopify se portent bien.
Certains titres miniers dont Barrick Gold et First Quantum, mais aussi les banques.
Elle pèse lourd, elles sont donc dans le vert.
Aux États-Unis, ce sont les producteurs de semi-conducteurs qui caracolaient en tête, que ce soit AMD, NVIDIA ou Intel. Boeing se distingue avec les ennuis. L'accident survenu vendredi, ce qui a amené l'interdiction de vol d'un grand nombre d'appareils pas pour obtenir davantage d'informations sur le plateforme avancée, visitez le site Web de la Placements directs TD. Bart Melek répond à vos questions sur les produits de base.
Comment considérez-vous le risque politique pour la production de producteurs?
Est-ce que des pays comme le Panama peut se passer des recettes fiscales s'ils exigent la fermeture? - Je ne sais pas si le Panama peut s'en passer.
Ou s'en accommoder, mais il faudra mettre au point une réponse aux plans des politiques et peut-être remaniées le régime de répartition des recettes provenant de ses ressources.
Nous verrons. Nous savons que dans d'autres pays, il y a beaucoup de nationalisme à l'égard des ressources qui se fêtent jour.
Les entreprises seront invitées à partager davantage la richesse qu'elle tire des ressources.
Car les pays considèrent de plus en plus que les ressources appartiennent à leur population plutôt qu'aux intérêts miniers et en définitive des compromis devront être établi.
La richesse tirée des gisements devra être redistribués au pays aussi bien qu'aux investisseurs.
Conséquence sans doute, la structure de coûts sera appelée à évoluer, en définitive, si j'ai investi un dollar dans un actif risqué, et que je dois payer plus gouvernement, cela signifie que je touche moins et qu'en définitive, le prix devrait augmenter pour que je réalise un bénéfice par définitive, à la marge, il y aura sans doute moins de projets qui seront menés à bien.
Et le seuil des citations sera plus élevé pour la mise en place de nouveaux gisements, en raison de la hausse des paiements à des tiers. Le taux de rendement fixe demeurant inchangé, c'est-à-dire un pourcentage sur le risque qui est pris.
- Bart Melek, merci pour vos aperçus.
Excellent début d'année. Nous sommes votre premier invité.
J'ai hâte de m'entretenir encore avec vous.
- J'ai hâte de repasser à votre émission.
- Bart Melek est responsable des produits de base à Gestion d'actifs TD. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Demain, Andress Rincon, responsable des fonds d'actions pour Valeurs mobilières TD répondra à vos questions sur les fonds négociés en bourse. Vous pouvez nous les poser d'ores et déjà par courriel, moneytalklivetd.com.
Merci et à demain!
Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, nous discuterons avec Bart Melek de Valeurs mobilières TD du bras de fer sur le marché du pétrole entre les craintes géopolitiques les prévisions d'agrandissement de la croissance. Anthony Okolie commente le dernier rapport sur l'emploi au Canada.
Et ce qui pourrait signifier pour la décision du Canada concernant les taux d'intérêt. Un peu plus tard en janvier.
Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Jason Natyk nous montre comment suivre le marché des produits de base. Posez-nous vos questions par courriel, moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés.
L'indice composite TSX dans le contexte du recul du brut qui fait baisser le secteur de l'énergie progresse malgré tout en raison de la hausse du secteur de la technologie.
L'indice S&P TSX est en hausse de 56 points, à 20 993.
Le secteur de l'énergie, comme l'ensemble des titres du même secteur, est en recul.
En l'occurrence, (...) et demie, soit 33 sous l'action avec 71. Barrick Gold progresse. La semaine dernière, on annonçait que la compagnie fait une nouvelle offre pour First Quantum.
Barrick Gold progresse un peu plus de 2 % à 23,85 $.
Aux États-Unis, les nouvelles statistiques de l'inflation paraissent cette semaine.
Les grandes banques commencent à annoncer leurs bénéfices.
Il y a une légère hausse de l'indice S&P 500, soit environ 30 points. Surtout pour des mobiles techniques semble-t-il, 1/2 %, l'indice Nasdaq, puisque le secteur de la technologie progresse, il devrait se comporter mieux que l'ensemble du marché et c'est bien le cas.
Une hausse de 1 %. Boeing est une entreprise qui se distingue. Vous avez entendu parler de l'explosion d'un panneau sur l'avion Boeing. Des dizaines ont été cloués au sol. L'action recule de près de 7 %.
Les niveaux de production plus élevés de l'OPEP et les réductions du prix de l'Arabie Saoudite pèsent sur le pétrole.
Mais notre invité croit que la question la plus importante est de savoir si les craintes de ralentissement de la croissance l'emporteront sur les inquiétudes concernant le conflit au Moyen-Orient. Bart Melek est responsable des produits de base à Valeurs mobilières TD.
- Bonjour Greg. Bonne année! - Bonne année à vous aussi.
Nous avons le grand dossier évoqué, mais tout d'abord, rapidement, l'actualité aujourd'hui. Le cours du brut a beaucoup reculé depuis le début la semaine. Il y a l'Arabie Saoudite, les coupures de prix.
Que se passe-t-il sur le marché?
- Aujourd'hui, il s'agit d'une réaction à la baisse des prix par l'Arabie Saoudite.
La baisse des prix du brut qu'elle fournit.
L'inquiétude de l'ensemble du marché, c'est que les investisseurs ont réduit leur participation à long terme sur le brut et privilégier le court terme.
On considère qu'il y aura un net ralentissement de la demande au fil de l'année à cause des politiques monétaires restrictives et de leurs effets décalés sur l'économie.
Mais nous ne l'avons pas encore vu.
Dans une mesure importante. Il s'agit d'une inquiétude.
Il y a une autre grande inquiétude, c'est que l'offre de pétrole produit aux États-Unis continue d'être plus importante que prévue.
Et l'OPEP a produit quelque 70 millions de barils de plus à la fin de l'année que l'on ne s'y attendait.
À présent, bien sûr, on s'inquiète à l'idée que l'OPEP ne pourrait peut-être pas être aussi décidée que prévue à procéder à de nouvelles coupures. Il est envisageable qu'elle prolonge ses coupures de production d'ici la fin de l'année.
Mais si la production devait augmenter, en un moment où on s'inquiète, de la baisse de la demande, et où la production aux États-Unis se porte toujours bien, il se peut, dans l'ordre des choses, que les spéculateurs prennent leur profit ou tâche de réduire leur (...). Et c'est ce qu'on donne dans l'expectative. D'ici là, nous continuons à constater une augmentation du risque au Moyen-Orient.
Qui est plus aiguë que depuis des décennies.
Il y a des difficultés en mer Rouge, deux marines qui pourraient s'affronter. Je songe à un conflit éventuel entre l'Iran et la marine américaine. Je ne dis pas que cela va se produire, mais c'est un risque.
Et nous nous inquiétons d'une prolongation du conflit entre Israël et le Hamas. Et de son extension au reste de la région.
Ce qui pourrait logiquement affecter l'offre de pétrole d'ici quelques mois.
Ces menaces n'ont pas encore été prises en compte sur le marché à mon avis. Les participants du marché les prenants à la légère.
- S'agit-il de la question des participations à long terme?
L'année 2024 commence à peine, pendant les fêtes une manchette que j'ai vue concernant le Moyen-Orient. Et cette démarche est inquiétante.
De retour au travail, je vois le brut en baisse volontaire, doit-on s'inquiéter des suppressions géopolitiques?
- Certes. Il faut également demander ce que fera l'OPEP et à quoi ressemblera la demande en 2024.
Nous estimons que la demande augmentera malgré tout 1,2 millions de barils par jour environ pour l'année. Je suis convaincu que la prochaine réunion de l'OPEP, à l'Arabie Saoudite les autres membres du cartel s'engageront à prolonger les coupures de production et parviendront un accord quelque il soit pour empêcher que l'offre ne submerge le marché. Nous prévoyons que le marché sera équilibré pendant les trois premiers mois de cette année.
- J'ai failli dire l'an prochain mais nous y voici déjà en 2024.
Nous envisageons des déficits substantiels pour le reste de l'année.
Pour les six mois suivant en tout cas, si l'OPEP est effectivement décidé à exécuter ces projets. Nous sommes pas convaincus que le rythme très fort des hausses de production de pétrole de schiste aux États-Unis se poursuivra.
Le niveau des immobilisations a diminué et la conjoncture des prix n'est pas aussi favorable à l'activité que ce n'était le cas l'an dernier.
Dans ces circonstances que la capacité de l'OPEP de faire augmenter les prix sera exécutoire, sans doute pendant le deuxième trimestre.
- Parlons des cours. Un recul un peu plus de 70 $ le baril pour le brut de référence américain sur mon écran.
Comment les cours du pétrole pourraient-ils évoluer cette année?
- Nous disons officiellement que le brut de référence pourrait augmenter jusqu'à 85 environ.
Le brut de référence de la mer du Nord pourrait parvenir à un niveau un peu supérieur.
Mais il faudra que nous commencions à envisager une reprise possible plutôt que de nous en tenir à des perspectives de réduction de la croissance. Il nous faudra davantage de détails sur l'époque à laquelle la Fed est susceptible de réduire les taux. Il y a eu beaucoup de spéculations sur ce point.
Les marchés sont sans doute beaucoup plus optimistes quant au moment où la Fed réduira les taux, et sur la mesure dans laquelle les réduira que la Fed elle-même ne l'est.
Depuis quelques jours, il y a eu quelques ajustements.
Les marchés reculent.
Les marchés boursiers. Je ne projette pas, le cours des actions et mais je pense que les attentes se sont modérées et les conséquences pour les marchés comme le pétrole et le marché des produits de base en général, lorsque le goût du risque s'estompe, cela affecte les marchés des produits de base. Tout est relié. Les taux d'intérêt, le goût du risque, sur les marchés boursiers, et bien entendu, les produits de base réagissent dans ce cadre.
- Excellent début d'émission! Bart Melek répond à vos questions sur les produits de base dans quelques instants. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel à moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les actions de Boeing sont sous pression aujourd'hui à la suite de l'explosion spectaculaire d'un panneau sur son avion 737 Max 9 jet.
170 appareils ont été cloués au sol à la suite de l'incident survenu vendredi qui a vu le panneau se détacher de l'avion en plein vol. Boeing se dit d'accord avec la décision de la FAA d'immobiliser les avions pour inspection. L'action recule de 7 %.
La période des fêtes a été lucrative pour plusieurs grands détaillants. Lululemon, American Eagle Outfitters et Abercrombie and Fitch sont parmi les titres qui ont revu à la hausse sur le quatrième trimestre la nouvelle a été annoncée en conférence de trois jours sur le commerce de détail à Orlando ou d'autres détails devraient communiquer leurs prévisions révisées.
Voici l'action d'Abercrombie and Fitch qui progresse de près de 7 %.
Le giron de l'énergie Shell avertit les investisseurs qu'il doit procéder à des dépréciations d'actifs pour un montant de 4,5 milliards de dollars au cours du quatrième trimestre concernant principalement ses idées les activités de raffinage à Singapour qui sont sur le point d'être vendues. Shell devrait publier ses résultats trimestriels le 1er février.
L'action recule près de 2 %.
Un coup d'œil rapide sur les marchés.
L'indice TSX composite, même s'il y a un recul considérable du cours du brut aujourd'hui, longuement le secteur de l'énergie, progresse néanmoins d'un quart de pour cent, soit 57 points.
Aux États-Unis, une remontée du secteur de la technologie, compris les producteurs de semiconducteurs, indice S&P 500 instantanée du marché américain est en hausse de plus d'un demi pour cent, soit de 37 points.
Bart Melek répond à vos questions sur les produits de base.
Tout d'abord, quelles sont vos perspectives pour l'or?
- Nous avons parlé tout à l'heure de l'or noir. Je pense que l'or, le métal est un produit très intéressant. Cela ne signifie pas qu'il n'y a pas un léger recul.
Il y a en fait un déphasage entre les pronostics de la Fed en ce qui concerne les taux d'intérêt. D'une part, et d'autre parce que les marchés envisagent. Ces derniers sont en effet très optimistes.
Plusieurs participants considèrent que les premières coupures de taux pourraient intervenir dès le mois de mars, et qui pourrait en avoir jusqu'à cinq voir six cette année. La Fed n'est pas disposée dans ce graphique: énoncé communiqué n'est pas disposé à annoncer qu'elle agira aussi rapidement. Mais en revanche, elle se dit prête à tirer les conclusions des statistiques qui paraîtront.
- Il y a donc un léger recul.
L'emploi est beaucoup plus vite que prévu, 216 000 créations d'emplois, et le taux de chômage diminuant à 3,7. Les salaires ont continué d'augmenter considérablement sur 12 mois.
Ainsi que d'un mois sur l'autre.
Nous considérons donc que la réserve fédérale n'est sans doute pas pressée de commencer à desserrer la vis.
Et elle n'est certainement pas disposée à nous dire qu'elle est pressée.
Sans doute la Fed attend tel un ralentissement considérable et les marchés réagissent à cela. Immédiatement après la parution des données sur l'emploi, la réaction a été négative. Et puis il y a eu une remontée et un véritable décollage vers 2060, lorsque l'indice sur le secteur manufacturier apparut.
Et que le volet de l'emprunt étant inférieur à 50. C'était un signal pour beaucoup de gens que les indices sur l'emploi que la Fed scrute affichent un ralentissement, qu'il y aura donc des réductions. Aujourd'hui, on attend une fois de plus de nouvelles statistiques et des signaux que la fête pourrait envoyer.
Je pense que les données ne vont pas afficher un effondrement prochainement, il s'agira d'une diminution progressive des séquelles sait que les banques centrales attendent. Mais une fois que l'inflation se rapprochera de la cible de 2 %, elle s'y maintiendra. Une fois que les données économiques manifesteront une certaine faiblesse au niveau de la consommation, ainsi que du marché du travail, je crois alors que la Fed sera davantage disposée à annoncer la couleur et a affirmé qu'elle envisage de réduire les taux. Ce qui amènera les marchés à anticiper ses décisions.
Nous pensons que le cours de l'or se situera en moyenne à 2110 trimestres: le risque est sans doute à la hausse. La raison en est que la banque de réserve fédérale aujourd'hui même concentre ces politiques sur les intérêts des catégories les moins nantis aux États-Unis. À l'heure actuelle, la fête considère que l'inflammation qui est surtout présente dans le secteur de l'alimentation et du logement nuit le plus au consommateur les moins nantis et elle s'efforce de maîtriser cela. Mais une fois que la situation aquacole économique s'aggravera, si elle s'aggrave, nous pensons qu'elle s'aggravera, la préoccupation de la Fed de consistera à faire en sorte que la détérioration du marché du travail n'affecte pas négativement la cohorte qui est l'objet de ses soins.
À mon avis, cela se produira avant que l'objectif de 2 % ne soit atteint. En fait, nous avons une question de suivi.
- On demande: quelles seraient les conséquences pour les produits de base d'un changement de cap de la Fed?
- Est-ce que ce sera un catalyseur à la hausse?
- Oui, je le crois. Pour beaucoup de produits de base, en effet, les spéculateurs chercheront à se positionner en anticipant sur le resserrement de la demande. La baisse des taux et le desserrement de la politique monétaire ont tendance à être suivis par une reprise de la croissance économique, tout comme la faiblesse suivie le resserrement de la politique monétaire.
- Par ailleurs, comme je lui dis, nous envisageons que l'inflation demeurera un peu plus élevée.
S'agissant de l'inflation globale du moins. Nous pensons que l'énergie reprendra également pendant les périodes de relance. La réserve fédérale se retrouvera dans une situation délicate.
D'une part, elle voudra desserrer la vis, donc la situation macro-économique se dégrade.
Mais en revanche, elle devra gérer une inflation globale opiniâtre, surtout si les mesures remontent. Pour l'heure c'est une situation idéale. Les taux baissent, et le cours s'il n'augmente pas demeure stable.
Il y aura toutes sortes de questions de crédibilité.
À tort ou à raison. Peu importe, mais on s'interrogera sur la maison dans laquelle la Fed est effectivement déterminée à parvenir à cet objectif de 2 %.
Je suis convaincu qu'elle souhaite, mais ce ne serait peut-être pas une trajectoire linéaire.
Nous pensons que l'or se situera dans la fourchette de 2100 et que le risque est à la hausse.
- Une autre question de nos spectateurs: quelles sont vos perspectives concernant la demande chinoise de produits de base?
- Avec le des confinements de la Chine, on pensait que le pays aurait un appétit vorace de produits de base mais ce n'est pas ce qui s'est produit.
Après des confinements, beaucoup ont été déçus de constater que l'économie chinoise n'a pas été relancée dans la mesure que l'on prévoyait.
Sans doute que les mesures de soutien à l'économie n'ont pas été aussi intensives en Chine pendant le confinement que dans les pays occidentaux.
Ce qui a sans doute abîmé la confiance.
Depuis le logement jusqu'à la consommation. Donc l'économie chinoise globalement a déçu les attentes que l'on avait il y a un an.
Cette faiblesse, par rapport au pronostic, sera suivi à notre avis une relance. Et d'une remontée. Des mesures de relance justement seront prises par les pouvoirs publics chinois afin de donner un coup de pouce au marché.
Je songe au cuivre, à l'aluminium, au nickel, qui devraient tous en bénéficier ultérieurement.
Le cuivre nous plaît particulièrement, nous pensons qu'il y a une certaine pression à la baisse, mais à long terme, signe d'un métal qui est très prometteur avec l'argent. Lorsque cette économie entrera dans sa remontée. Il s'agit d'attendre les mesures de relance des pouvoirs publics chinois.
- Oui nous attendons tous. Nous nous attendons depuis assez longtemps et nous verrons ce qui se produira.
Je suis assez convaincu que cela arrivera, mais nous ne sommes pas certains de la forme que cela prendra ni du délai dans lequel sera aura lieu.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Bart Mélek répond à d'autres questions sur les produits de base quelques instants. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel, moneytalklivetd.com. À présent, poursuivons la découverte de CourtierWeb.
On parle de produits de base. Si vous souhaitez suivre l'évolution du marché des produits de base, CourtierWeb vous propose des outils. Jason Natyk est formateur principal à Placements directs TD. Bonjour Jason! Parlez-nous-en!
- Merci.
Nous ne pouvons pas négocier des produits de base sur Placements directs TD, mais cela ne signifie pas qu'il n'est pas important de se tenir au courant. Que vous ayez une exposition dans le portefeuille, à des actions dans différents secteurs ou que vous souhaitez vous tenir au courant de l'évolution de l'économie en général ou des marchés.
Voici comment vous pouvez vous tenir au courant sur CourtierWeb.
Tout d'abord, pour savoir comment fonctionne le marché des produits de base, on clique sur l'onglet recherche et sur la rubrique aperçu.
Où on trouve énormément d'informations.
L'évolution des grands indices, les actualités, les bourses mondiales.
Alors en dessous des marchés mondiaux, vous verrez qu'il y a trois catégories de produits de base. L'agriculture, les métaux et l'énergie.
Jetons un coup d'œil sur l'énergie. Voici le brut de référence américain.
Comme vous l'avez dit tout à l'heure, Greg, il est en baisse aujourd'hui à 70,32 $.
En baisse de trois dollars.
Sur la droite, voici la gamme du contrat et l'endroit où se situe le cours.
Ensuite, les informations.
Alors remontons au sommet de la page cliquons encore une fois ce recherche.
Alors, si nous cherchons produit de base, nous pouvons voir qu'il y a un rapport entre début de matinée depuis l'ouverture du marché.
Enfin, sous la rubrique des rapports, il existe énormément d'informations qui sont disponibles d'un seul clic.
Il y a trois domaines clés. Si on déroule tout d'abord, il y a les rapports Morningstar Research sur la droite.
Différents secteurs sont visés par ces rapports. Vous pouvez voir ce qui est important pour le produit de base de votre choix.
Ensuite, il y a service économique et des.
Nos amis les services TD rédigent des rapports très fouillés ce qui vous permet de vous tenir au courant des de l'évolution du marché des produits de base.
Et puis il y a les rapports et nourritures ce qui permet de d'approfondir les différents secteurs pour voir comment les prix des produits de base sont affectés et comment ils se ressentiront de l'évolution d'économie.
Voilà comment se renseigner sur les produits de base.
Et si nos spectateurs veulent commencer à faire des investissements?
- Nous avons fait nos recherches. À présent, nous voulons envisager des placements.
Utilisons l'outil de sélection pour identifier des FNB spécifiques des produits de base. Et cliquons sur l'onglet recherche encore une fois, et puis sur la rubrique outils, sur sélection.
Nous avons bien souvent pris connaissance de cet outil. Il est possible de sélectionner des actions, des événements techniques, les fonds communs de placement ou des FNB. Cliquons sur FNB et créons un nouveau filtre personnalisé.
Je choisis sous la rubrique sommaire, la catégorie de fonds. Je vais ajouter ces critères.
Ensuite, je vais isoler les placements canadiens, puis sous la rubrique catégories de fonds, il y a toutes sortes de catégories qui sont disponibles. Je vais dérouler jusqu'à parvenir. Voilà.
États-Unis, corbeilles de produits de base.
Alors revenons donc aux États-Unis, et d'ici là, dernier élément au bas de l'écran.
On inclut automatiquement les fonds communs de placement. Si on ne veut pas les inclure, on peut décocher cette case.
Voici les occurrences. 26 résultats, il y a une longue liste FNB axée sur les produits de base, vous pouvez cliquer sur le symbole pour commencer le processus d'achat. Vous pouvez également sélectionner jusqu'à cinq fonds, les cocher sur la gauche, et procéder alors à une comparaison de ces fonds afin d'approfondir vos recherches sur votre placement. Il y a donc beaucoup d'informations que vous propose la plateforme d'un simple clic.
- Merci, Jason Natyk!
- Je vous en prie.
- Jason Natyk est formateur principal à Placements directs TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage CourtierWeb vous trouverez encore plus de ressources.
À présent que je vous rappelle comment nous poser vos questions.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser.
Soit par courriel, moneytalklivetd.com, soit la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Bart Melek répond à vos questions sur les produits de base.
Le lithium continue de baisser. Si on a besoin au plus grand nombre de véhicules électriques, est-ce un bon moment pour acheter pour 2024? Et pourquoi les litières continuent de baisser?
Un rappel, nous ne pouvons pas faire des recommandations spécifiques mais nous pouvons parler du lithium des véhicules électriques de ce qui se passe sur ce marché.
- En fait, il y a eu un ensemble décevant de circonstances pour les véhicules électriques.
Il y a eu une forte augmentation des inventaires.
Beaucoup de constructeurs réduisent leur production à cause de certaines inquiétudes relatives à l'autonomie.
On a beaucoup entendu parler dans les médias du coup énorme du remplacement des batteries pour certains modèles.
Bref, pour quelque temps, les stocks continueront d'être élevés et il y aura sans doute une baisse de la production des grands constructeurs.
Ce qui devrait entraîner une baisse temporaire de la demande de métaux pour batteries.
Laquelle serait moins vigoureuse que beaucoup l'avaient envisagé.
Ce qui entraîne une pression à la baisse.
Est-ce que les cours remonteront? En définitive, alors que nous aborderons l'année 2024, et 2025 et 2026, et que la nouvelle réglementation comme celles du Canada entreront en vigueur, imposant une proportion de véhicules électriques plus élevés dans le total des ventes de véhicules, cela s'applique également aux États-Unis, le marché se référera. Et typiquement, ceci signifie que les cours remonteront lorsque les marchés seront plus serrés que la demande augmentera.
Quand cela se produira-t-il?
Nous n'avons pas procédé à une analyse approfondie, mais c'est parce que bon nombre des hypothèses que nous avions posé quant à la rapidité de l'évolution du marché devrons être recalculés.
- Il faut atténuer quelque peu les attentes.
À présent, ça peut être relié aux véhicules électriques, quelles sont les perspectives du cuivre d'ici un à trois ans. Il joue un rôle clé dans l'électrification.
- Le cuivre et le métal indispensable pour l'électrification.
Parce que l'électrification n'est pas possible sans le cuivre.
Lequel sert dans les transformateurs, moteurs électriques et les commutateurs.
Il y a d'innombrables utilisations du cuivre, en moyenne que le véhicule électrique exige une quantité de cuivre beaucoup plus importante qu'un véhicule à moteur à combustion interne.
Au fur et à mesure que le besoin de cuivre augmentera, la demande suivra. Il y a énormément de nouveaux investissements.
De fait, je suis sûr que beaucoup de gens ont suivi le dossier panaméen, il devait s'agir d'une énorme mine de cuivre, au moment où le monde en avait besoin.
Et c'est fini.
Donc, nous avons été pris par surprise.
Nous n'avions pas prévu cela. Notre boule de cristal n'a pas fonctionné.
Mais ce marché sera beaucoup plus serré cette année que beaucoup de gens ne l'avaient pensé.
Nous aurons sans doute une demande quelque peu mitigée. Le consensus envisageait un certain excédent.
Or, personne ne parle plus d'excédent, on parle sans doute de déficit une nouvelle fois à cause des nouvelles relatives à la production, c'est-à-dire que le cuivre à la base se comportera mieux que ce n'aurait été le cas.
Cela ne signifie pas qu'il n'y a pas de pression à la baisse d'ici un ou deux trimestres tandis que l'économie mondiale connaîtra un creux, passage à vide.
Mais le relance en sera d'autant plus forte si les stocks sont faibles et que la nouvelle production n'est pas au rendez-vous.
Dans un an, cuivre devrait bien se porter et l'année prochaine, il y aura sans doute des augmentations de la production.
Celle-ci ne sera peut-être pas en forte augmentation d'ici un ou deux ans, mais après trois ans, je pense qu'il pourrait y avoir une croissance des cours. Car pour encourager les nouveaux investissements dans le secteur minier, il faudra que les cours soient beaucoup plus élevés qu'ils ne le sont aujourd'hui.
Les projets miniers concernent des minerais à beaucoup plus faible teneur que ce n'était le cas il y a 20 ans.
Les filons ont déjà été exploités. Bien souvent, les gisements sont situés dans des zones plus risquées du globe où le taux d'actualisation est plus élevé.
Et il s'agit de régions du monde qui ne sont pas faciles d'accès. Il faut construire des infrastructures, des routes, des réseaux d'alimentation.
Ce sont des régions il y a une pénurie d'eau. Le coût sera plus élevé et dans la mesure où le marché sera dans une situation déficitaire, et le cuivre sera indispensable pour alimenter la nouvelle demande, il faudra qu'il y a des encouragements à aménager ses projets pour les entreprises vont pas investir des milliards pour perdre de l'argent. Le cuivre me paraît intéressant à long terme.
Mais comme toujours, d'ici un an ou deux, c'est toujours délicat, parce que nous sommes assez souvent étonnés et pris par surprise.
En raison de l'instabilité. Un spectateur vient de nous poser une question sur l'offre et la demande. Nous venons d'évoquer ce domaine.
Bart Melek répond à d'autres questions sur les produits de base dans quelques instants. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement.
je vous rappelle que vous pouvez nous les poser en tout temps.
Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser.
Soit par courriel, moneytalklivetd.com soit ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
la croissance de l'emploi au Canada a marqué un coup d'arrêt en décembre.
Le pays n'ajoutant que 100 nouveaux emplois alors que le taux de chômage est resté stable.
Anthony Okolie analyse les chiffres les plus récents les conséquences ralentissement du marché de l'emploi sur la politique de taux de la Banque du Canada.
- Le rapport sur l'emploi été décevant.
C'était une surprise à la baisse.
On prévoyait 14 000 créations d'emplois, cela a été beaucoup moins. Le taux de chômage est demeuré stable à 5,8 %. Stable depuis le mois d'avril. Le taux d'emploi a chuté pendant le troisième mois consécutif, tandis que la population en âge de travailler de 15 ans et plus a augmenté de 74 000 personnes.
Bien sûr, le taux de chômage a beaucoup augmenté depuis un an au fur et à mesure que la croissance démographique rapide dépasse la création d'emplois.
L'emploi à plein temps était en baisse de 24 000 postes, compensé par quelque 24 000 créations d'emplois à temps partiels.
Lequel est plus important par secteur était dans trois domaines clés: les services professionnels scientifiques et techniques, le secteur de la santé de l'assistant social, et les autres services.
Ces gains ont été compensés par la faiblesse secteur du gros et du détail, le secteur manufacturier et l'agriculture.
Le nombre total d'heures travaillées augmentées de 0,4 % par rapport à novembre. La croissance des salaires, c'est-à-dire la clé 5,4 % sur 12 mois par rapport à 4,8 % en novembre.
Il s'agit du rythme le plus rapide croissance des salaires depuis février dernier.
Bien sûr, la Banque du Canada a déclaré qu'une croissance des salaires supérieurs à 4 % n'est pas compatible avec un objectif d'inflation à 2 %, à moins qu'il y ait un bon dans la productivité du travail.
Pour l'avenir, en dépit du fait que les salaires demeurent élevés, autour de 85 %, Services économiques TD constate que le marché du travail perd son élan d'ici un an, Service économiques TD prévoit que la croissance de la population active sera plus rapide que celle des emplois, exerçant une pression sur le taux de chômage qui augmente rapport aux niveaux actuels.
Le nombre de posts vacants diminue partout au pays, même si ce n'est pas systématique d'une province à l'autre. Services économiques TD considère que les faits 475 points de base aux autres intérêts commencent à se répercuter sur l'économie, les consommateurs tirent leur épingle du jeu, les entreprises également lorsqu'il s'agit d'embaucher.
Parallèlement, la croissance ralentit de manière conforme à un retour de l'inflation à la cible de 2 % de la Banque du Canada. Ce qui nous amène en question, ou la peau certainement: la question qu'on me pose souvent, qu'est-ce qui va se passer avec le monde du Canada en 2004?
Quelle sera la politique de tout? Cela sur grande la question.
La Banque du Canada se réunira huit fois cette année. La première décision sera prise le 24 janvier.
Service économique TD considère que les statistiques parues aujourd'hui n'auront guère d'effet sur la réflexion de la Banque du Canada. Actuellement, les marchés prévoient que les premières coupures de taux interviendront à la réunion d'avril de la Banque du Canada, soit le troisième de l'année, ce qui est conforme avec le pronostic de services Limited et qui prévoit que la banque réduise les taux de la réunion d'avril.
Pour l'avenir, Services économiques TD prévoit des coupures de 25 points de base progresser au cours des réunions successives ramenant le taux à 2,5 % par rapport au taux actuel de 5 % du jour au lendemain, un peu inférieur aux prévisions de marché de 3,7 %. Mais beaucoup plus resserré qu'avant la pandémie.
- Merci Anthony Okolie. L'année sera intéressant. Vous venez d'entendre Anthony Okolie. Un coup d'œil sur les marchés.
Voici les plateformes avancées conçues pour les négociateurs actifs proposés par Placements directs TD. La carte thermique permet de visualiser les titres qui bougent sur les marchés. Voici les TSX 60 en fonction du cours et du volume.
Pression à la baisse dans le secteur de l'énergie.
Le cours du brut recule considérablement.
Suncor, CNP et Cenovus baissent de 2 % et plus.
Où trouver divers sur l'écran? Shopify se portent bien.
Certains titres miniers dont Barrick Gold et First Quantum, mais aussi les banques.
Elle pèse lourd, elles sont donc dans le vert.
Aux États-Unis, ce sont les producteurs de semi-conducteurs qui caracolaient en tête, que ce soit AMD, NVIDIA ou Intel. Boeing se distingue avec les ennuis. L'accident survenu vendredi, ce qui a amené l'interdiction de vol d'un grand nombre d'appareils pas pour obtenir davantage d'informations sur le plateforme avancée, visitez le site Web de la Placements directs TD. Bart Melek répond à vos questions sur les produits de base.
Comment considérez-vous le risque politique pour la production de producteurs?
Est-ce que des pays comme le Panama peut se passer des recettes fiscales s'ils exigent la fermeture? - Je ne sais pas si le Panama peut s'en passer.
Ou s'en accommoder, mais il faudra mettre au point une réponse aux plans des politiques et peut-être remaniées le régime de répartition des recettes provenant de ses ressources.
Nous verrons. Nous savons que dans d'autres pays, il y a beaucoup de nationalisme à l'égard des ressources qui se fêtent jour.
Les entreprises seront invitées à partager davantage la richesse qu'elle tire des ressources.
Car les pays considèrent de plus en plus que les ressources appartiennent à leur population plutôt qu'aux intérêts miniers et en définitive des compromis devront être établi.
La richesse tirée des gisements devra être redistribués au pays aussi bien qu'aux investisseurs.
Conséquence sans doute, la structure de coûts sera appelée à évoluer, en définitive, si j'ai investi un dollar dans un actif risqué, et que je dois payer plus gouvernement, cela signifie que je touche moins et qu'en définitive, le prix devrait augmenter pour que je réalise un bénéfice par définitive, à la marge, il y aura sans doute moins de projets qui seront menés à bien.
Et le seuil des citations sera plus élevé pour la mise en place de nouveaux gisements, en raison de la hausse des paiements à des tiers. Le taux de rendement fixe demeurant inchangé, c'est-à-dire un pourcentage sur le risque qui est pris.
- Bart Melek, merci pour vos aperçus.
Excellent début d'année. Nous sommes votre premier invité.
J'ai hâte de m'entretenir encore avec vous.
- J'ai hâte de repasser à votre émission.
- Bart Melek est responsable des produits de base à Gestion d'actifs TD. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Demain, Andress Rincon, responsable des fonds d'actions pour Valeurs mobilières TD répondra à vos questions sur les fonds négociés en bourse. Vous pouvez nous les poser d'ores et déjà par courriel, moneytalklivetd.com.
Merci et à demain!