Print Transcript
(musique) - Bonjour, ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placements directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondre à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, l'inflation demeure galopante et la banque du Canada a encore beaucoup de pain sur la planche. Andrew Kelvin, stratège en chef pour le Canada valeurs mobilière TD, a relevé son pronostic de tout terminal dans la séquence de formation, nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. Caitlin Cormier, spécialiste de la formation, nous explique l'indice de Placements directs TD, où le trouver, comment l'interpréter. Posez-nous vos questions par courriel@moneytalklive@td.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Mais d'abord, un coup d'œil sur les marchés. Le calmer établi après la dégringolade brutale d'hier. L'indice TSX composite est à 19769, à regagner le terrain perdu hier, un bond de trois chiens, 124. Ou plus d'un demi pour cent. La remontée du cours du brut dont la chute avait déclenché la volatilité sur les marchés entraîne une attirance accrue pour certains des titres de l'énergie. (.. .) Beaucoup d'entreprises dans le secteur de la sidérurgie sont sous pression. Quant aux inquiétudes à l'égard de la demande future d'acier, tel qu'au étape 3/4/63. L'indice S&P 500 a réalisé des pertes considérables en dernier, mais aujourd'hui progresse modestement de demi pour cent ou 18 points. Il ne s'agit pas de regagner le terrain perdu hier, mais de rétablissement de la stabilité. Indice Nasdaq spécialisé dans les technologies est en hausse de 89. Aux trois quarts de pour cent. Beaucoup de titres de la sidérurgie sont sous pression. United States Steel est en baisse de 62 l'action. La lutte contre l'inflation demeure la priorité de la banque du Canada. L'inflation présente peu de signes de ralentissement. La banque centrale a déclaré qu'elle fera ce qu'il faudra pour parvenir à son objectif, et mon invitation que les taux d'intérêt pourraient monter jusqu'à 4 %, soit davantage que le pronostic précédent de 3,5 %. Il s'agit de ce que l'on appelle tout terminal. La banque du Canada à sa dernière réunion le 7 septembre à formuler des pronostic plutôt ferme mes vagues. Il me semble que la banque du Canada n'a pas nécessairement une bonne idée du point final du cycle, ou si c'est le cas, elle ne veut pas le faire connaître afin de ménager toutes les possibilités. Si la banque du Canada n'est pas certaine qu'elle a achevé sa série d'augmentation, cela crée le risque de tout terminal plus élevé. Nous prévoyons précédemment que la banque du Canada achèverait sa série d'augmentation 38 %. Aujourd'hui, il nous semble que 4 % à niveau pro plus probable. En fait, la gamme s'étendrait de trois eet demi à quatre et demis voir même 343 corps pour cent. Suicide au-delà de 4 %, ce serait vraiment assez ferme contenu de la disposition de l'économie canadienne. Parlons-en, de la disposition de l'économie canadienne! (...) qu'est-ce que cela nous dit au sujet de l'inflation? La déflation est la priorité du bord de la banque du Canada, vous comme vous le savez. Sa mission est de réduire l'inflation. La banque du Canada a sous-estimé la dynamique de l'inflation colère pays est sortie de la pandémie. (...) Cela ne s'est pas produit, puisque la croissance était plus élevée que prévue, les chaînes d'approvisionnement posé problème plus longtemps que prévu. La banque du Canada vêt supposer que ce problème se réglerait. Il s'agit de difficiles décisions très difficiles à prendre le moment, mais le fait demeure que l'inflation est élevée depuis quelque temps et a commencé à s'infiltrer dans des attentats longs terme. C'est ça que l'on craint le plus. On commence à penser que non seulement l'inflation est élevée aujourd'hui, mais le restera pendant une période prolongée, ce qui complique beaucoup la tâche de la banque du Canada. La banque du Canada fait passer les taux non seulement en zone restrictif très rapidement, il y a eu 750 points de base de relèvement en deux réunions, ce qui est extraordinairement élevé, 175 points de base, la banque (.. .) faire redescendre l'inflation son objectif. En dépit du fait qu'il y a eu trois mois de réduction de l'emploi, (. ..) marquerait une pause dans I siècle plus normal en fonction des chiffres de la croissance d'études de l'emploi, je dirais, nous sommes parvenus au point le plus élevé. Mais puisque la banque du Canada était à la traîne en début de cette année l'an dernier, elle devra peut-être aller un peu plus loin présent pour juguler l'inflation. Lorsqu'il s'agit des taux, dans quelle mesure devons-nous aller plus loin? Veuillez commenter le graphique. - Il y a deux éléments. Les barres foncées sont les attendus marchent à l'égard des décisions que la banque du Canada prendra. C'est le nombre de points de base. 48 points de base, essentiellement le marché prévoit une augmentation de 75 points de base en septembre. Là où il y a une différence, je crois que nous sommes déjà parvenus à un niveau élevé de taux d'intérêt, par rapport au point où nous étions parvenus depuis 15 ans. L'économie ne ressemble pas à ce qu'elle était en 2004 et 2005. L'économie est beaucoup plus endettée, beaucoup plus sensible aux augmentations de taux d'intérêt. Je pense qu'il serait prudent que la banque du Canada intervienne plus prudemment dans son parcours vers sa cible de 4 %. De manière à ce que si les taux d'intérêt plus élevé ont des conséquences imprévues, elle n'aura pas finalement à donner un tour de vis de trop. On prévoit sur ce même graphique des coupures de taux. Le fait que la banque a donné un tel tour de vis pour maîtriser les attentes à l'égard de l'inflation, je pense qu'elle réussira dans cette tâche, à son troisième trimestre l'an prochain. Il se pourrait que la banque du Canada se trouve face à une économie dans laquelle le taux de chômage aura augmenté de 1 % davantage une économie dans laquelle l'inflation a baissé. Nous serons passés le pic de l'inflation est une société, une économie dans laquelle les attentes à l'égard d'une faible inflation sont encore assez bien installées. La banque pourrait se demander s'il doit rester à 4 %, ce qui est un taux directeur très restrictif. Il y a donc une possibilité pour que pendant le premier film trimestre semaine de l'an prochain, la banque Canada pourrait commencer à desserrer la vis. Ce ne sera pas un processus symétrique. La banque ne va pas réduire les taux de 175 points de base par réunion, mais il se pourrait qu'il y a un assouplissement progressif parla le deuxième semestre de l'an prochain, ce qui pourrait nous permet de parvenir à la normale d'ici 2024. La banque du Canada n'intervient pas dans le vide. À quel point la banque du Canada devrait diverger des États-Unis? - C'est une excellente question. Je dirais qu'ici vous proposiez les mêmes défis à la réserve fédérale qu'à la banque du Canada, la fed a davantage de possibilités de resserrer. On en revient à la question de l'endettement. les foyers canadiens, les ménages canadiens se sont endettés de plus en plus depuis la crise financière. Or, les ménage américains ont commencé le processus (...)les ménages canadiens sont plus endettés que les ménages américains, donc chaque taux un impact plus fort au Canada qu'aux États-Unis. Je pense qu'il existe une possibilité pour la Fed de procéder à un resserrement plus fort que celui de la banque du Canada. La Fed pourrait parvenir à trois ennemis dans l'autre fonctionne, alors qu'il me semble que la banque Canada (.. .) la banque ne peut trop diverger de la Fed. Elle a terminé à 75 points de base en deçà de la Fed, typiquement ses banques agissent de concert. Si la banque Canada devait se trouver trop en retard par rapport à la Fed, cela aurait des conséquences pour la monnaie. La monnaie affaiblirait, ce qui aurait des conséquences à court terme pour l'inflation, ce qui déplairait la banque du Canada. Ce n'est pas la priorité, mais cela a un impact à la marche. On considérerait que puisque le Canada et les États-Unis sont face au même choc, il s'agit de choc de demande. Si la fête prend trop d'avance sur la banque Canada, cela amène un questionnement sur le sérieux et la crédibilité de la banque du Canada. La banque du Canada ne peut pas se permettre de décevoir les marchés et ne veut certainement pas susciter des questions quant à son engagement. Les banques centrales ont affirmé qu'elle ne cherche pas à créer des dégâts, quels mots continuent de resserrer jusqu'à ce que quelque chose casse. Est-ce que cela peut être évité? - Comme vous l'avez dit, on ne peut pas régler les chênes approvisionnements et certains autres problèmes, mais on peut réduire la demande. L'idée est de ralentir la croissance assez délicat pour les banques centrales. C'est extraordinairement difficile pour les banques centrales de dire: ce que nous voudrions faire, c'est rehaussé le taux de chômage. Politiquement, c'est indicible pour un responsable politique, mais c'est ainsi que cela fonctionne, la politique de resserrement. La banque du Canada voudrait parvenir un atterrissage en douceur. Il n'y a pas de définition technique un atterrissage en douceur, ce n'est pas un débat utile, mais il s'agit du compromis, du juste-milieu qu'elle recherche. Le problème, c'est que puisque la banque du Canada a pris du retard en début d'année, et qu'elle essaie maintenant de rattraper le terrain perdu en procédant à des augmentations en bonds de 75,100 points; cela crée un certain rythme. (. ..) Les augmentations de taux ne donnent pas des résultats immédiats. Puisque la banque du Canada va sans doute pécher par excès de fermeté, un atterrissage en douceur n'est pas impossible ça devient beaucoup plus difficile à réaliser lorsqu'il faut agir avec précipitation. C'est pourquoi j'en reviens l'idée que la mesure la plus prudente pour la banque du Canada consisterait à ralentir et adopter un rythme plus mesuré. - Excellent départ de notre mission. Andrew Kelvin va répondre à vos questions reliées au taux d'intérêt et à leurs conséquences pour notre économie. je vous rappelle comment fut nous posé vos questions. Envoyez-nous un courriel, MoneyTalkLive@TD.com, dans la boîte au bas de votre écran. D'abord, un coup d'œil sur les marchés. Les actions de BRP, le fabricant des skis nous vérifions sous les projecteurs. La compagnie québécoise a annoncé un bond de 28 % des ventes pour le dernier trimestre et a relevé son pronostic de revenus pour l'année. BRP affirme qu'elle a demandé ses produits motorisées récréatives demeure forte et que les problèmes de chaîne d'approvisionnement commencent à s'estomper. BRP a constaté une flambée de demande de ski d'où pendant la pandémie puisque le confinement ont entraîné la recherche par les consommateurs de moyens de passer le temps. En plein air. La société-mère de Google a perdu un important procès avec les régulateurs en Europe, le tribunal a confirmé la décision antitrust de l'union européenne selon laquelle Google a enfreint les règles anti concurrence. À la clé, une amende de plus de 4 milliards de dollars américains pour alphabet, le montant record pour une infraction antitrust. L'agence internationale de l'énergie prévoit un rebond de la demande de pétrole l'an prochain malgré un ralentissement économique mondial. Ceci surtout en fonction du dépassement des contrôles stricts contre la COVID en Chine en 2023 et de la dynamique des déplacements aériens mondiaux à court terme. L'AIM prévoit toutefois un assouplissement de la demande de pétrole. Ensuite, coup d'œil sur les marchés. L'indice TSX composite après l'effondrement d'hier, le léger répit. hausse213; un peu plus de 1/2 %. L'indice S&P 500 qui aimerait véritablement dégringoler hier affiche également un mouvement positif à l'heure actuelle, une hausse modeste on est dans le Var. Nous revoici en compagnie d'Andrew Kelvin qui répond à vos questions sur les taux d'intérêt et l'économie. Première question, on parle de taux d'intérêt. Il est difficile de ne pas parler du logement. Quels sont vos perspectives pour le marché du logement? - Le marché du logement a connu quelques mois intéressant. Depuis trois ou quatre mois, les prix diminuent. Il est un peu difficile de se faire une idée de la dynamique réelle du marché, puisqu'une bonne partie de ces baisses ont été enregistrée pendant l'été, qui normalement une période très lente sur le marché logement. L'automne va beaucoup nous apprendre sur la réalité du marché du logement. Normalement, c'est la période la plus occupée pour l'immobilier. Nous prévoyons des baisses moyennes de 20 à 25 %. Au niveau national. La situation dans certaines localités variera. Les appartements en copropriété par rapport aux maisons in situ. Je soulignerai qu'une bonne partie de cette baisse a déjà été enregistrée par rapport mois de février. Les prix moyens en aout avait baissé de quelque 18 à 20 %. une bonne partie de cette baisse est déjà répercutée sur les prix. Historiquement, le marché du logement au Canada connaît d'abord une baisse brutale au niveau national puis une période de stagnation des prix lorsqu'il y a une correction et puis enfin un choc entraînera bon des prix du logement, que ce soit une série de coupeurs de taux, que ce soit la croissance économique. Les périodes de stagnation peuvent durer assez longtemps. Si vous étiez là pendant l'effondrement des les années 90, vous vous rappellerez cette période. Il y a donc en général une chute brutale, une période de consolidation. On attend que la demande parvienne au niveau atteint antérieurement et les prix du logement commencent à remonter. Pour prendre un petit peu de recul, le seul élément qui sous-tend le logement, c'est la croissance démographique au pays. Le Canada a un parc de logements insuffisants. Quelque soit la situation de l'économie, du cinq à sept ans, c'est la croissance démographique se poursuit à 1/2 % par année, cela représente une augmentation considérable de la demande de logement philistin. Nous prévoyons donc que les prix baisseront de 18 à 25 % de la crête au creux en moyenne, et qu'au fil du temps, la croissance démographique relancera la demande favorisée par des coupeurs de taux que nous prévoyons en 2023 et 2024. - 25 % d'une baisse moyenne de prix, ça semble énorme ça nous ramène au niveau d'avant la pandémie. - Tout à fait. ça fait deux années que le marché affiche une exubérance impossible. (...) Les logements pris 50 % de valeur fondamentalement entre le printemps 2020 et le printemps 2022. Logiquement, ça n'a pas de bon sens. Nous avons installé de jolis meubles sur notre porche, mais ça n'a pas suscité l'augmentation de valeur. Il y a eu un ralentissement de la croissance démographique et donc de la demande de logement pendant la pandémie. Il y avait une certaine exubérance du marché, celle-ci a quelque peu retombé lorsque les taux d'intérêt se normalisent. Si je suis toujours trop prudent l'égard de la banque du Canada, cela signifierait peut-être que le creux des prix du logement soit plus bas. Mais une correction, la colère correction est déjà largement entamée. Nous pensons que la phase suivante sur le marché du logement consistera en une baisse plus douce des prix suivis par une période de stabilité ou de stagnation selon votre point de vue. - Une autre question: avec davantage toute augmentation de la banque du Canada, quel est l'avantage du dollar? - Quand on part du dollar canadien, commença à comparer au dollar américain. Si vous considérez le cycle dans son ensemble, les États-Unis vont sans doute être les pays où la banque centrale augmentera le plus les taux d'intérêt. Il est difficile de prévoir un affaiblissement du dollar américain sur d'autres trimestres. La deuxième banque quant à la probabilité d'augmentation de taux, c'est la banque du Canada. Voilà pourquoi le dollar canadien est demeuré stable à l'égard du dollar américain en dépit de l'évolution des cours du pétrole. Le dollar canadien n'a donc pas beaucoup bougé par rapport à l'euro, par rapport au yen, par rapport à la livre sterling. Le Canada s'est brillamment tiré d'affaire. Quand on songe dollar canadien, par rapport au dollar américain, il m'est difficile de voir la possibilité que nous allions largement au-delà de 75,76 cents. Mettons 76,77, alors qu'au niveau de la baisse, nous pourrions imaginer une baisse jusqu'à 72,73. Soleil fonder sur un dollar américain fort et non faible. Il semble que ce serait une fluctuation de grande amplitude Clovis à 0,72 €, mais le dollar canadien évolue dans une fourchette, pardon je vais dire un progrès jusqu'à 77 apparaître une augmentation considérable mais il s'agit d'une fourchette pour le dollar canadien non pas d'une dynamique qui se dessine. - ensuite, une autre question quant à l'économie canadienne. Pensez-vous que le marché de l'emploi continuera d'être porteur? est-ce que vous pensez que le marché du travail continuera d'être porteur. - au niveau de l'emploi canadien, il y a eu un affaiblissement. il y a des ajustements saisonniers. (...) Si vous signez votre contrat un peu plus tard dans l'été, ça devient une perte d'emploi sur une base statistiquement ajustée. C'est donc un peu mirage, mais il y a trois mois consécutifs de perte d'emploi. Nous sommes en mesure, où seule la croissance va sans doute ralentir notablement, l'inflation commence à gruger le pouvoir d'achat et les taux d'intérêt aussi. Or, EST déjà assez faible. On est à 4,9 % il n'y a pas longtemps, moins de 5 % est un taux de chômage extrêmement bas. Pour l'avenir, en ce qui concerne le marché du travail, nous prévoyons qu'il y aura vraisemblablement un phénomène dans lequel la croissance de l'emploi sera à la traîne par rapport à la croissance économique. Le taux de chômage au Canada est très volatile, mais en définitive, il s'agit d'une situation dans laquelle nous devons être prêts à une augmentation du taux de chômage. - Faites toujours vos propres recherches avant de prendre édition placement. Nous reviendrons à vos questions Andrew Kelvin dans quelques instants. Entre-temps, vous qui nous posez vos questions par courriel, MoneyTalkLive@TD.com. À présent, poursuivant la découverte de CourtierWeb. Investir, c'est prendre des décisions et l'économie, les bourses, tous ces facteurs entrent en jeu. Comment savoir ce que les autres investisseurs en pensent? Caitlin Cormier spécialiste de la formation chez Placements directs TD. Quel genre d'information procure-t-il? - L'indice de Placements directs TD est un outil unique en son genre que nous fournissons sur CourtierWeb pour savoir ce que les autres investisseurs pensent afin de comprendre les niveaux d'optimisme de pessimisme. Pour y parvenir, allons sur CourtierWeb. Cliquant sur l'onglet de recherche et dans la catégorie outils nous appliquons sur indice des placements directs. Il s'agit d'un outil rétrospectif qui porte sur le mois précédent. Les données les plus récentes sont celles de juillet 2022. Elle affiche le niveau d'optimisme global en juillet. Les investisseurs étaient quelque peu baissiers, mais il y a également une analyse des informations et elle propose des aperçus quant au comportement des investisseurs. Il y a une vidéo et un rapport écrit qui propose des aperçus et des détails sur l'évolution spécifique. Voici le taux historique, l'indice historique en juillet. Même si le niveau d'optimisme légèrement baissier, les investisseurs autonomes sont plus optimistes qu'il ne l'était au mois de juin. Et puis il y a donc une vidéo, fait regarder une récapitulation. Il y a un article qui entre dans le détail. Et qui édite spécifiquement dans certains secteurs où les mouvements de plus grande amplitude ont été enregistrés. C'est un outil très intéressant. L'un des éléments dont les investisseurs peuvent tenir compte car il les informe du niveau d'optimisme des autres investisseurs. Un graphique global au niveau du sentiment aussi. - Si on approfondit peu, pouvez-vous nous donner une idée des informations spécifiques? - Oui. Mais tant qu'il y a un domaine qui vous intéresse spécifiquement, que ce soit une région du pays, une tranche d'âge,vous pouvez distinguer des tendances. Mettons que cela vous intéresse d'abord de savoir quels sont les titres les plus populaires ainsi que les tendances du mois précédent pour les investisseurs autonomes. Je vais cliquer sur le filtre choisir une catégorie d'âge. Mettons la génération Z et les milléniaux. Voyons les tendances à la répartition d'actifs. (...) vous pouvez remonter filtrer ici. Âge, acheté, génération Z. Pouf évoque l'entreprise est en fait Shopify, qui est une compagnie de technologie canadienne. Les formations se recoupent. Il y a des gains d'horaire Canada, les banques et tesla. C'est intéressant de pouvoir prendre cette information. - Merci. Caitlin Cormier spécialiste à la formation chez Placements directs TD. Visitez CourtierWeb ou vous trouverez encore plus de ressources. Je vous rappelle comment nous poser vos questions. Avez-vous une question sur les placements sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, ou dans la boîte au bas de votre corps. Nos invités pourraient vous répondre en direct. Nous voici en compagnie d'Andrew Kelvin. La question suivante préoccupe certainement beaucoup de gens. Quelle sera la gravité d'une récession si récession il y a? - Ça dépendra en bonne partie du degré de resserrement de la politique monétaire. Pour en revenir à ce que j'ai sur le Web le marché du logement, ce qui permet difficilement de parler d'une récession Canada, c'est que la définition classique d'une récession, ce sont deux trimestres consécutifs de croissance négative du PIB. Mais dans le contexte canadien, nous avons de forte croissance démographique. Par conséquent, je serais étonné qu'il y a deux trimestres consécutifs de croissance négative du PIB. C'est assez peu probable. Ce qui pourrait se produire, ce serait quatre ou cinq trimestres consécutifs de croissance du PIB légèrement positive, mais en retard sur la croissance démographique. C'est un scénario qui ne constitue pas une récession plan technique, mais où les gens éprouveront une récession même si les économistes l'affirment pas. Un autre argument, il se pourrait qu'il y ait une période prolongée de croissance ralentie. Le mollissement de l'économie. Nous partons(... ) nous avons connu une période de croissance de l'activité qui n'est pas scellée l'activité économique. Nous étions en état de demande excédentaire, pour parler comme une banque centrale. En l'occurrence, nous allons sans doute vivre une période de ralentissement, d'évacuation si vous voulez de la demande excédentaire sur un an ou deux. Une croissance légèrement la traîne par rapport à la croissance démographique. J'ai dit tout à l'heure que la politique monétaire agit à à retardement. Si vous avez contracté un prêt hypothécaire avec un taux garanti sur cinq ans, l'impact des mesures de resserrement monétaire ne vont pas se faire sentir pour avant 2025. Il y a donc une certaine période pendant laquelle il faut restituer cette demande. Je pense qu'il y aurait non pas une récession courte et profonde, mais une longue période de croissance lente. Je ne sais pas si plus optimiste. Avant la pandémie, on a parlé de la productivité. La croissance du PIB est attribuable à la croissance démographique, mais individuellement, la croissance est faible. Cela m'amène à penser au fossé de la productivité. Le Canada ne s'améliore pas. C'est là que c'était la question du jour lorsque j'étais à l'université. Personnel à régler. Le Canada tend à souffrir d'un investissement assez faible par les entreprises du pourcentage de l'économie globale. L'investissement dans l'équipement, les usines, la propriété intellectuelle, c'est ce qui suscite l'augmentation de la productivité. Or, le Canada investit très très peu. Les entreprises ont tendance à prévoir d'investir beaucoup, mais lorsque la croissance ralentira, ces intentions faibliront. (.. .) c'est un problème qui continue pour le Canada et ça devint une préoccupation pour les investisseurs à tous les niveaux. (...) Nous ne sommes pas plus près de le résoudre. Question suivante. Une fois que la banque du Canada parvient à son objectif d'inflation, combien de temps ça coulera avant que les coupures ne sont pratiquées? - La question très intéressante à la suivante. Cela dépendra du moment auquel la banque du Canada estime que sa crédibilité serait rétablie. les attentes à l'égard de l'inflation affaiblissant, d'ici à la fin de l'année, et jusqu'à mi 2023, l'inflation pourrait être inférieure à 3 % d'ici le trois deuxièmes troisièmes trimestres 2023. Dans ce scénario-là, la banque du Canada pourrait commencer à lâcher du lest. Mais cela dépendra d'une baisses des attentes à l'égard de l'inflation. la banque pourra pas faire un aveu de faiblesse, si vous voulez. Voilà le critère qui doit être atteint pour que la série des réductions de taux commence. 4 %, c'est un taux très restrictif. Il n'y a pas de raison que la banque du Canada et demeure une. . .ligne. Ensuite, le pétrole. Le pétrole fluctue constamment. il y a des considérations politiques sur le marché du pétrole, ça a toujours été le cas, il y a le fait que les pays grands producteurs de pétrole vont parfois prendre des mesures pour faire évoluer les prix du pétrole. Rappelez-vous 2014, 2015. Il y a eu l'excès d'approvisionnement qui a fait baisser les cours du pétrole. Dans l'avenir, le marché demeurera volatile. Nous pensons que le niveau, que niveau raisonnable prévaudra en moyenne si la fin de l'année. Nous pensons que le pétrole tournera autour de 90 $. Qu'est-ce que cela signifie pour l'économie canadienne? 90 $, 89,87 $, ce sont des niveaux auxquels les compagnies pétrolières peuvent être extrêmement rentables. Ce sont des niveaux auxquels, puisqu'ils sont supérieurs moyens à long terme puisqu'il s'agit d'une évolution positive par rapport à ce qu'ils étaient il y a deux ans ou trois ans, tout cela est positif pour l'économie canadienne, mais je soulignerai que cela ne suffira pas pour attirer de nouveaux investissements, de nouveaux capitaux en quantité suffisante dans le secteur. Les intentions d'investissement dans le secteur de l'énergie au Canada ont continué de baisser depuis six à sept ans. Cela reflète des problèmes de réglementation, le fait qu'il est très difficile d'obtenir une augmentation de la capacité d'exportation Canada, et je pense que cette période de cours élevés du pétrole ne va en rien modifié ses facteurs structurels. Par conséquent, il est très difficile de penser que cela va susciter une dynamique économique comme c'était le cas avant 2015. Autrefois, les cours du pétrole aussi élevé auraient suscité beaucoup d'investissement et d'activité économique. Aujourd'hui, c'est favorable pour les recettes du gouvernement mais ce n'est pas un vent favorable pour l'économie comme autrefois. - Nous poserons d'autres questions Andrew Kelvin à quelque moment. Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Vous pouvez nous poser des questions tout en. Avez-vous une question sur les placements sur le marché? Vous pouvait nous la poser, soit par courriel, MoneyTalkLive@TD.com, soit dans la bonne question au bas de votre écran. Il vous suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct. Les prix du bois devront beaucoup fluctuer depuis deux ans. Avec la forte augmentation de la rénovation et du logement, mais les prix sont à la baisse depuis début de l'année. Anthony Okolie explique ce qui fait baisser les prix et valeurs mobilières TD pour le secteur. Selon valeurs mobilières TD, roman du secteur forestier très volatile et signale une forte baisse pour certains titres dans cet univers de couvertures qui ont compensé le comportement mixte des autres titres. Les graphiques soulignent cette évolution depuis une semaine. Le cours moyen de l'action du secteur était en baisse de 1,4 % la semaine 5 septembre par rapport à un des de 2,6 % de l'indice TSX, de 3,6 pour l'indice S&P 500. La baisse moyenne pour l'univers de couvertures de valeurs mobilières TD en cumul annuel est de 12 % à cause de la baisse des cours du bois de. Aujourd'hui, les prix du bois devront beaucoup baisser après des gains énormes depuis deux ans. Début 2020, au conjoint été objet de rester à la maison de trouver moyen de tuer le temps. Une option très populaire a été d'entreprendre des rénovations domicile et des projets de bricolage, ce qui a entraîné une demande insatiable de bois: les cours du bois œuvrent (...) la hausse des taux de prêt hypothécaire a refroidi les acheteurs de logements. Ils ont pu rattraper la demande. Les cours du bois d'œuvre connaît une baisse qui ralentit la semaine dernière, les valeurs mobilières TD mais une réserve puisque les acheteurs comportent toujours des faibles inventaires. Pendant la pandémie, j'avais des projets à réaliser chez moi, mais il n'y avait pas beaucoup de bois d'œuvre. Vous l'avez dit, les prix ont beaucoup baissé. Est-ce que c'est le creux? Est-ce qu'ils vont encore baisser? - Valeurs mobilières TD constatent que les prix du bois d'œuvre ont beaucoup baissé cette année et ont atteint de nouveaux crus depuis 2020. Un repaire s'appelle le cours du OSB qui a diminué de 10 % depuis quelques semaines. les prix continuent approcher des estimations des coûts d'exploitation au comptant pour certains de ses producteurs de bois d'œuvre marginaux. - Anthony Okolie, merci. Un nouveau coup d'œil sur les marchés. Comment se comporte-t-il après la dégringolade hier? Les marchés sont légèrement en hausse aujourd'hui. L'indice TSX est en hausse de 135; un peu plus de 1/2 %. On constate raffermissement du brut de références américain. (...) En hausse de presque 3 %. J'aurais pu choisir n'importe quelle grande compagnie pétrolière du Canada. Toutes se comportent très bien pendant cette séance. Les pipelines également, en hausse de plus de 2 % à 48,04 $ l'action. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 se maintient dans une zone positive légèrement, mais après la braderie d'hier, la situation est en hausse. L'indice Nasdaq connaît un raffermissement, surtout au niveau des mecs à titre de technologie qui ont reçu une claque hier. Il y a une dynamique positive. 82; presque trois par 2 %. Compagnie d'énergie ExxonMobil en hausse de 3 %. Revenons à vos questions à l'adresse Andrew Kelvin. Une question qui vient nous ne sommes nous arrivés. On parle beaucoup de ce qui arrive aux banques centrales. Qu'est-ce que cela signifie pour les obligations et les fonds obligataires? - La banque centrale maîtrise le taux du jour au lendemain. Les taux d'intérêt jusqu'à un jour, autrement dit. Le marché obligataire est davantage prospectif. On a parlé de la possibilité de coupure de taux. Dès l'an prochain. Je pense que le marché obligataire n'est pas d'accord avec moi, mais le marché obligataire envisage des coupures de taux, c'est pourquoi il y a une inversion de la courbe de rendement. Les versions de la cour de rendement est considéré traditionnellement comme un signe avant-coureur de récession. Je ne pense pas qu'il soit nécessairement utile de parler d'une récession dans le contexte canadien, mais je suis d'accord et que contexte obligataire. La banque du Canada resserre jusqu'à 4 %, 4 % est considéré par le marché comme une estimation raisonnable au terminal des obligations devrait le refléter et nous prévoyons au fur et à mesure que la fin de l'année approche, il y aura une baisse des rendements dans un certain nombre de tranches déchéance d'obligations. Au niveau des obligations du gouvernement, nous pensons que les rendements peuvent baisser, mais nous serions étonnés que les romans Canada pour les heures obligations des partis nouveaux qu'ils avaient le trimestre précédent. En ce qui concerne d'autres titres qui pourraient être inclus dans un fonds obligataire, les écarts des obligations provinciales dépendent pas tellement de la note de crédit de la province, parce qu'il y a eu d'excellentes nouvelles au niveau des finances provinciales, des révisions à la baisse des prévisions de déficit, les promesses productifs d'énergie tirent très bien la répandue dans cet environnement, mais ce qui est important pour les écarts obligations provinciales, c'est souvent le pessimisme l'optimisme, le coût du risque en général. Il faut que la tonalité globale du clic crédit pour qu'elle cassera ça, ce qui exige un goût du risque plus soutenu, plus positif. À mon avis, nous sommes dans un environnement qui sera très volatile au niveau des fluctuations d'humeur des investisseurs et cela persistera à mon avis jusqu'à ce qu'il y ait une fin du cycle. Chaque mois, des statistiques sont publiées aux États-Unis ou ailleurs qui nous amène à réévaluer nos attentes quant à l'évolution des taux. Jusqu'à ce qu'il soit avéré que le cycle d'augmentation est achevé au prince, il m'est difficile d'envisager une remontée de l'optimisme. - Une autre question. Le premier ministre Trudeau a annoncé un plan de lutte contre l'inflation valant 4000 000 000,5 milliards de dollars. Est-ce que cela ne va pas faire empirer la situation? Les responsables de politique monétaire cherchent à serrer la vis que le gouvernement lâche les rênes. - 4000 000 000 1/2, ça ne va pas faire une différence pour la dynamique globale de l'inflation. Il s'agit d'une somme relativement minime par rapport aux 2,6, 2,7 billions de dollars de l'économie. Si vous commencez à jeter des zéros, il faudra se poser la question. Si des mesures de relance budgétaire sont tellement importantes qu'elle susciterait les perspectives de croissance positive, cela pourrait avoir un effet inflationniste et exigerait une réaction synergique de la part des banques centrales. Pour en revenir au début de notre entretien, les banques centrales se préoccupent de la maîtrise de l'inflation. C'est la priorité absolue. Les mesures de relance budgétaire importantes au Canada vont sans doute susciter des mesures plus fermes de la part des banques centrales. - Merci Andrew Kelvin. Stratège en chef pour le Canada chez valeurs mobilières TD. Restez à l'écoute. Demain, nous allons parler d'immobilier. Colin Lynch, chef des placements mondiaux en immobilier de Gestion d'actifs TD, sera des nôtres. C'est un secteur fort intéressant. Avec l'augmentation du taux d'intérêt. Vous pouvez d'ores et déjà poser vos questions à moneytalklive@td.com. Merci et à demain.