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(musique) - Bonjour! Ici Greg Bonnell.
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placement directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, la Banque du Canada comme prévu maintient les taux inchangés. Andrew Kelvin, stratège en chef à Valeurs mobilières TD réagit. Nous passons en revue son enseignement sur Courtier Web, su r l e s moyenne s mobile.
s. Vous pouvez communiquer avec nous par courriel@moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Tout d'abord, une mise à jour sur les marchés. On commence par l'indice TSX composite. Le secteur de l'énergie est à l'honneur aujourd'hui même si le cours du brut est sous pression. 92., Soit un peu plus d'un demi pour cent. Crescent Point Energy, comme je l'ai dit, le brut de référence américain toujours en baisse. Il y a une légère hausse qui semble s'estomper. 9,68 $ sous l'action.
En hausse de 20 points de base. Ensuite, Tech Ressource, le secteur minier, progresse en début de séance mais cette dynamique s'estompe. Moins de 200 %. Aux États-Unis, Jérôme Powell s'exprime pendant une deuxième journée devant la chambre des représentants. Sa déclaration d'hier a ouvert une phase de vente sur le marché. L'indice S&P progresse aujourd'hui, sa mise en garde qu'aujourd'hui, Jérôme Powell a dit qu'il semblait que 50 points de base pourraient être une possibilité. Il serait peut-être possible que la Fed aille plus loin que prévu. Il faut donc attendre la prochaine réunion de la Fed de ce mois-ci pour voir ce qu'elle fera. L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie est en hausse de un tiers de pour cent. Il semble que certains des fabricants de semi-conducteurs progressent et maintiennent les gains au début de la séance. La banque du Canada réitère sa pause conditionnelle des hausses de taux.
Lesquels sont maintenus à quatre et demis pour cent. Mais avec le RSA fédéral américain qui inverse que les taux plus élevés sont peut-être nécessaires pour maîtriser l'inflation, pendant combien de temps notre banque centrale peut-elle maintenir sa pause? Andrew Kelvin stratège en chef valeur mobilière TD. La banque du Canada déclare qu'elle maintient sa pause mais la Fed fait des déclarations très ferme quant aux mesures à prendre avenir.
Comment concilier on nous cette disparité entre les deux banques centrales?
- Il y a une disparité. Nous avions toujours pensé que la Fed ira plus loin que le monde Canada. Et que le taux terminal sera plus élevé aux États-Unis.
Compte tenu de la dynamique de l'endettement des ménages au Canada pqui est plus aigu qu'aux États-Unis. Les hausses de taux au Canada ont plus effet qu'aux États-Unis. Il n'y a pas d'incohérence à cet égard. Cela aurait une tension sous-jacente lorsque la Banque du Canada a annoncé une pause conditionnelle en janvier, pour beaucoup de gens, cela semble peut-être un peu prématuré, un peu trop optimiste au niveau du pronostic de l'économie. Je suis d'accord pour dire que la croissance va sans doute ralentir cette année, mais nous n'en avons pas encore vu des signes réels. Les plus récentes statistiques sur l'emploi pour le mois de janvier le montrent bien. Le marché du travail est très serré, je vais en parler aujourd'hui. Mais la Banque du Canada avait annoncé qu'elle s'attendait à un ralentissement plus marqué lorsqu'elle a annoncé sa pause conditionnelle. Pour le quatrième trimestre, l'inflation de l'IPC évolue conformément au pronostic de la banque. Voilà pourquoi nous nous attendions ce que le taux soit maintenu aujourd'hui. Mais d'ici avril, mai et juin, il faudra qu'il y ait un ralentissement notable de l'activité économique au Canada pour justifier que la banque maintienne sa pause. Voilà le premier élément. Peut-être que la réserve fédérale constate que l'économie se porte particulièrement bien. Et epsptp particulièrement résiliant.
e. Cet environnement va sans doute répercuter sur l'économie canadienne voici l'économie, les résiliant, l'économie canadienne est aussi. Ensuite, si la réserve fédérale s'appuie sur l'accélérateur ou le frein que vous voudrez, et décide de resserrer plus que le marché ne s'y attend, ceci fera subir des pressions au dollar canadien. La banque du Canada peut honorer des fluctuations du dollar canadien, mais une trop forte dépréciation de la monnaie a un effet inflationniste et pourra lui forcer la main. FIl faut donc continuer de surveiller ce qui se passe aux États-Unis.
Il y a une limite à la mesure dans laquelle les deux banques centrales peuvent diverger. La banque du Canada est dans une situation difficile. Vous avez parlé de la dynamique de la dette, bonne raison pour la vente de s'inquiéter, la hausse des coûts d'emprunt est nuisible pour le ménage. Je ne voudrais pas me trouver à la place des gouverneurs des banques centrales. C'est un travail ingrat, c'est sûr. Il y a un élément que les États-Unis et le Canada ont en commun dans les deux pays, il y avait beaucoup de dépenses excédentaires qui s'étaient accumulées. Ce qui va atténuer l'impact sur les dépenses dmwmemsmemsm ménage s au Canada. Je dirais que la banque du Canada a déclaré aujourd'hui que la politique monétaire restrictive continue de plomber les finances des ménages. Je pense que le marché du travail demeure si serré qu'il faut s'attendre à un ralentissement plus poussé.
- Il y a quelques indices par exemple un PIB décevant qui vont dans un sens, il y a également d'autres indices que le marché du travail sont dans l'autre sens pour le gouvernement fédéral q u i va annoncer son budget du printemps. Est-ce qu'il y a une possibilité que la politique budgétaire aille à l'encontre de la politique monétaire? Parfois, le gouvernement veut aider les électeurs dans le besoin. C'est toujours un danger. Dans les deux directions.
- Il y a eu des tonnes d'autres pays où la banque centrale s'est efforcée de desserrer la politique monétaire tandis que le gouvernement réduit les dépenses, ce qui va à l'encontre des objectifs de la banque centrale. Dans un environnement inflationniste, le risque serait que le gouvernement prend des mesures de relance qui rendrait le travail de vente sera plus difficile l'amènera à relever les taux davantage. Je ne pense pas que le gouvernement du Canada prévoit un budget très généreux, mais les calculs politiques changent au fil du temps. Il pourrait y avoir une évolution des sondages, le gouvernement fédéral va inaugurer une nouvelle politique serait bien accueilli par les électeurs. Tout peut arriver.
Selon la mise à jour budgétaire de novembre, il ne semblait pas que le gouvernement fédéral envisageait d'augmenter son budget. Une élection n'est pas nécessaire cette année, c'est une gouvernement minoritaire. Tout est possible, mais vu que la prochaine élection pr��vue doit intervenir dans deux ans, je pense que le moment n'est pas encore venu de prendre les mesures de relance pour tâche de grappiller quelques votes supplémentaires. C'est un risque nous allons surveiller de très près. Mais ça fait parti de notre scénario de base.
- Le scénario de la banque Canada concilie sa déclaration, c'est que l'inflation va reculer jusqu'à 3 % d'ici le milieu de cette année. Cela est-il réalisable?
- Je le crois. Il y a beaucoup d'effet statistique. L'inflation était extrêmement élevée. L'accélération des prix était très élevée pendant la première moitié de 2022.
Au fur et à mesure que les mois inflation ne sont plus pris en compte dans le calcul, l'inflation recule mathématiquement. On peut arriver à 3,5 % sans trop de difficultés d'ici le milieu de l'année. Le difficile sera passé de trois et demis à deux et demis. Parce que l'inflation sous-jacente se situe plutôt à trois et demis pour cent. Je parle des mesures de base annualisée. Alors donc, il faut qu'il y ait davantage des inflations d'un mois sur l'autre, afin de prévoir une trajectoire vers 2 % d'inflation dominicale, ce qui est l'objectif de la banque. Ces 3 %, trois et demis pour cent en milieu d'année. Il est question. C'est une étape, c'est une balise. Ce n'est pas l'objectif ultime. Si à la fin 2003, l'inflation toujours à trois et demis pour cent, ce sera un signe que la banque du Canada a manqué de fermeté. Slice est-ce que la banque du Canada se satisferait d'un taux vers le haut de cette fourchette et cela fonctionne va jusqu'à 3 %, la banque aurait accompli sa mission?
- Je pense que je pense que le monde serait beaucoup plus satisfait de se situer dans la fourchette qu'en haut de la fourchette mais doit parvenir à deux, au milieu de la fourchette. L'expérience de2022 et aussi d'aujourd'hui montre que les attentes à l'égard de l'inflation à court terme sont élevées. Il s'agit pour la banque aussi de préserver sa crédibilité dans un environnement où il y a une fluctuation entre deux et deux et demi. Si l'inflation restait à deux, c'est en quelque temps, la banque sera peut-être pas trop inquiete du moment que la stabilité a été rétablie. Dans un environnement où la banque a raté sa cible par un période prolongée, je pense qu'il est très difficile de parvenir à 2,9 % et de dire que la mission est accomplie. Il faut parvenir à ce chiffre de 2 % pour établir sa crédibilité.
- Excellent début d'émission! Andrew Kelvin répondra dans quelques minutes à vos questions sur les taux d'intérêt et l'économie. Posez-nous vos questions par courriel@moneytalklivetd.com.
ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
First Quantum a conclu un accord avec le gouvernement du Panama afin de remettre la mine de cuivre de Cobre Panama en production. Cette entente règle les problèmes de fiscalité et de redevance.
L'entente doit faire l'objet d'un processus de consultation de 30 jours.
Adidas déclare que sa séparation avec eux l'artiste anciennement connu sous le nom de Kanye West pourrait entraîner une perte annuelle, une première depuis 30 ans. La compagnie a mis fin à son partenariat avec l'artiste l'automne dernier. Adidas entame une année de rétablissement et prévoir renouer avec la rentabilité en 2024. Les régulateurs américains mènent une enquête sur Tesla après avoir reçu deux plaintes sur le véhicule modèle Y, le volant s'étant détaché pendant la conduite.
L'enquête porte sur 120 000 voitures Tesla. L'enquête est une étape initiale avant avant un éventuel rappel.
Maintenant un coup d'œil sur les marchés.
L'indice composite est en hausse modestement de 66 points, soit un tiers de pour cent. Aux États-Unis, Jérôme Powell continu de s'exprimer devant le congrès américain. L'évolution des marchés hier s'appuyait sur la déclaration préalable publiée par le chef de la Fed. Les marchés sont en légère hausse d'un 10e de pour cent. Andrew Kelvin répond à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt.
Les statistiques de l'emploi paraissent cette semaine aussi bien au Canada et aux États-Unis. Qu'est-ce que vous attendez?
- Commençons par l'emploi au Canada. C'est ma spécialité. Le mois de janvier était pratiquement absurde avec 150 000 emplois créés. Nous prévoyons un recul, nous prévoyons qu'il y aura un recul de 10 000 emplois. Je pense que cela ne doit pas être interprété comme un signe de faiblesse. La moyenne mobile sur six mois demeurera extrêmement forte avec 50 000 emplois par mois. Ce qui est largement au-delà du taux d'équilibre. Cela reste conforme avec l'idée que le marché du travail très serré. Il s'agit d'inverser certains impacts ponctuels, par exemple la météo très clémente au mois de janvier qui a entraîné plus d'embauche dans les métiers du bâtiment et ainsi de suite. La situation d'ensemble, c'est que nous renouant avec un taux plus normal de gain de l'emploi. Je ne donnerai pas trop d'interprétation au chiffre de l'emploi de février en attendant ceux de mars avril et mai.
- Est-ce que les salaires sont tout aussi importants que le nombre d'emplois créés ou perdus?
Les salaires qui pourraient alimenter l'inflation.
- Oui. C'est un élément très important des données sur le marché du travail. Il y aura un bond de l'indicateur annuel des salaires horaires pour les travailleurs permanents. Qui est parti à 4,7 % en janvier, parce que janvier 2022, c'était le dernier mois des confinements de la COVID et les travailleurs qui perdent leurs emplois pendant les confinements avaient tendance à être des travailleurs à plus faible revenu. Cela a eu un impact sur la composition. D'où le bond de 4,7 %.
Il y aura donc une progression en février.
C'est un effet statistique. Avec le rétablissement des chaînes approvisionnement, je suis convaincu que l'inflation des biens sera plus long.
Mettons de côté de l'alimentation. Le prix de l'énergie ne sont pas où ils étaient, les prix des biens pour les appareils électroniques devraient présenter une désinflation cette année.
Sur le secteur des services, je suis moins à l'aise.
L'inflation des services est surtout attribuable au Salesse salaires. La croissance des salaires à 5 % ne correspond pas à l'inflation des services à 3 % et une inflation générale de 4 pour cent. Si la croissance des salaires ne ralentit pas, la banque du Canada devrait continuer d'augmenter les taux jusqu'à ce qu'il y ait un ralentissement. On a évoqué la nécessité des taux plus élevés. Mais là, le spectateur de savoir quand les taux d'intérêt vont commencer à diminuer?
- C'est une excellente question! Mais tout dépend d'abord de la manière dont l'économie évoluera. Les taux d'intérêt sont déjà un niveau restrictif. Alors actuel. Les taux d'intérêt devraient amener l'économie à ralentir sa croissance en deçà de la tendance. La banque du Canada ne peut pas commencer réduire les taux tant que la croissance ne soit pas inférieure à la tendance. De 2 % jusqu'à ce qu'un inflation soit inférieure à 3 % et affiche une tendance à la baisse et que l'économie soit en état n'ont pas de demande excédentaire, mais d'offres excédentaires, c'est-à-dire taux de chômage plus élevé ne pour cent. Je ne vois pas de scénario ces trois facteurs sont conjugués en 2023. Ce serait peu crédible. Nous envisageons des réductions de taux en 2024 fondés sur l'hypothèse que l'économie entamera assez rapidement un ralentissement. Il se pourrait qu'il y ait des réductions de taux premier trimestre 2024. Je pense que le rythme des réductions de taux serait plus long que le rythme des hausses de taux. Je pense que le Canada ne va pas commencer réduire les taux de 50 ou 75 ou 100 points de base, moi qui ne se passe quelque chose d'extraordinairement grave, ce que nous ne prévoyons pas.
- Ce qui est difficile à prédire en général. Nous prévoyons un rythme modeste de réduction des taux à partir du premier trimestre de l'an prochain, si l'économie de (.
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) pour le premier semestre 2023, il faudra attendre davantage.
- Où se situerait ce taux neutre? La banque a reconnu que son taux actuel est restrictif. Il s'agit de ralentir la croissance économique afin de maîtriser l'inflation. Si la banque estime qu'elle remporte la bataille contre l'inflation qu'elle peut relever les taux, et qu'elle peut réduire les taux, il s'agit d'un débat. Un débat qui est très vif alors actuel. Lorsque la banque du Canada indique une fourchette, on va à la médiane. Entre deux et 3 % serait de huit demis pour cent. Pendant la pandémie, tout réel était largement inférieur. Il n'y avait pas d'inflation significative. Si on tient compte de ces deux faits, cela nous montre que le taux neutre est sans doute , demis, peut être inférieur à 2 %. Alors que nous abordons la période post pandémie ou l'inflation est beaucoup plus intégrée dans l'économie, et où l'économie très résiliant, le fait que l'économie a été résiliant dans la mesure où nous l'avons vu, cela laisserait à penser que les taux sont peut-être plus élevés que nous ne l'avions pensé. On pourrait envisager la relocalisation comme un facteur qui est favorable à cette thèse. Les mises à jour de la banque du Canada paraissent au mois d'avril. Nous allons suivre de très près presse pronostique avoir signé une révision à la hausse pour la première fois depuis très longtemps que je pense qu'il y a des arguments convaincants en faveur d'une révision à la hausse du taux d'intérêt.
- Une autre question: quelles sont les perspectives pour le dollar canadien?
- On a parlé de beaucoup de facteurs qui peuvent affecter le taux de change, mais comment cela se déroulera-t-elle?
Éliminons les fluctuations à court terme.
Le dollar canadien est bon marché par rapport aux données fondamentales à long terme. D'ici la fin de cette année, le dollar canadien devrait se trouver environ 75 sous. Un peu plus fort qu'aujourd'hui.
À court terme, la banque du Canada maintenant s'impose la réserve fédérale tenant un discours très ferme, cela va faire subir des pressions à la hausse sur le dollar américain et donc la baisse sur le dollar canadien. À court terme, la prépondérance des risques à court terme pour le prochain trimestre, mais à plus long terme, notre pronostic, c'est que le dollar canadien chevronné à 0,75 €. Est-ce que la banque du Canada serait-il satisfaite de ce taux s'il s'agit d'importer l'inflation pour le taux de change, si le de localiser ton trouble?
C'est contextuel. En ce sens que cela dépend de la conjoncture économique au Canada. Si la situation économique au Canada est notablement plus faible qu'aux États-Unis, la banque du Canada est plus à l'aise avec dollar canadien plus faible.
S'il y a un lien avec un facteur externe, comme par exemple la chute des cours du brut, la banque du Canada est plus à l'aise si le dollar canadien plus faible.
Puisqu'il pourra alléguer qu'elle n'y peut rien. Si le dollar canadien évolue à cause d'une divergence entre les banques centrales, lorsque les gouttes deux économie se portent relativement bien toutes deux, il y a la rapidité aussi de la dévaluation. Cela pourrait être un phénomène que j'aimerais beaucoup de bonne Canada.
- Si le dollar descend en deçà de 72 soixante et onzièmes, si nous flirtant avec 77, cela fera subir davantage de pression à la banque du Canada en vue de changer de cap et d'emboîter le pas à la réserve fédérale. Cela dépendra du ralentissement éventuel de l'économie canadienne. C'est cela qui guidera les actions de la banque Canada.
- Si le dollar canadien faiblit de quelques semaines, cela suscitera une certaines vos idées.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Andrew Kelvin répond à 'v'i's'd'autres questions sur l'économie et les taux d'intérêt dans quelques minutes. Vous pouvez toujours nous poser vos questions par courriel, moneytalklivetd.com.
Poursuivrelilblslilblolnsl la découverte de coCourtier Web. Lorsqu'eon fait des recherches sur un titre, il est bien utile de connaître la moyenne mobile. Hiren Amin, formateur en relation directe TD nous explique tout. Bonjour! Tout d'abord, pouvez-vous nous expliquer ce qu'est une moyenne mobile et comment on peut ajouter un graphique?
- Bonjour! Merci, Greg. Prenons un peu de recul. Parlons d'analyse technique. Il s'agit d'un ensemble de principes que les investisseurs peuvent utiliser pour faire des recherches sur les actions. L'analyse technique consiste à identifier les tendances et à les prédire. L'un des indicateurs dont nous allons parler aujourd'hui, moyenne mobile, représente un élément clé dans la moyenne technique. La moyenne mobile lisse les fluctuations à court terme et à des investisseurs à identifier la tendance d'un titre sur une période donnée. C'est une mesure dynamique de l'évolution du cours. Voici comment elle est calculée. Pendant les périodes choisies, tous les points de données sont additionnés et puis il y a division par la période. C'est une moyenne mobile, parce que chaque nouveau jour de bourse où chaque nouvelle période qui s'ajoute ajoute un nouveau point de donner et en supprimant le plus ancien. Je vais vous montrer comment organiser la moyenne mobile sur un graphique. Voici un FNB XY ce qui fait le suivi de l'indice TSX.
Alors, moyenne mobile figure sous la rubrique des indicateurs supérieurs. Quand on parle indicateurs supérieurs, cela signifie que ces indicateurs vont se superposer aux graphiques de prix. Il existe plusieurs moyenne mobile, il y a la moyenne mobile exponentielle, moyenne mobile simple et la moyenne mobile pondérée. Choisissons la moyenne mobile simple pour donner à notre public un peu de contexte, la différence entre la moyenne simple et les moyennes exponentielles et pondérées sont que dans une moyenne simple, nous additionnons les valeurs nominales. Nous prenons les données, nous les divisons par le nombre total période, c'est ainsi qu'on construit la moyenne mobile. Avec moyenne pondérée exponentielle, on attache davantage d'importance au cours les plus récents.
C'est comme si on ajoutait une pondération au cours noter plus récemment et pour des raisons plus faibles au cours plus ancien.
C'est la principale différence nous allons étudier donc la moyenne simple. Vous verrez que la moyenne se superpose aux graphiques et les possibles parties ajustements. Nous avons choisi un jour, un an et un jour. Voici comment il est possible de modifier la période. Je voudrais avoir une tendance à plus long terme. Nous allons ajouter une moyenne sur 200 jours, mais également je voudrais la comparer à une moyenne sur 50 jours. C'est à moyen terme. On peut ajouter ces éléments, on clique sur mise à jour du trafic il devrait y avoir de nouvelles moyenne mobile. Une autre technique utilise les investisseurs, c'est l'étude des signaux. Lorsque les moyens mobiles se recoupent, soit au-dessus ou au-dessous, cela génère des signaux optimistes ou pessimistes. Lorsque la moyen à court terme, à violette, 50 jours, et devenir le long terme, c'est en général le signal baissier. Lorsque le moyen à court terme franchi à la hausse la moyenne à plus long terme, célestinien haussier. Une mise en garde: l'utilisation des outils techniques n'est pas un moyen infaillible d'analyse technique. Il faut choisir d'autres études pour confirmer ses conclusions.
- Merci. C'est important de le dire, parce que vous avez très bien expliqué le calcul d'une moyenne mobile, l'inflation affichée, il y a des recoupements, des croisements, mais si vous voulez être techniciens ou si vous voulez en apprendre davantage, ou peut-on se renseigner?
- Justement. Certains des techniciens plus expérimentés peuvent interpréter ses moyennes déjà,, mais si vous êtes débutants, vous trouverez sur courtier Web les ressources fantastiques non pas seulement pour gérer vos investissements, mais pour en apprendre davantage et passer un niveau supérieur de connaissance. Nous avons un anglais qui s'appelle analyse technique dans la section des analyses techniques, il y a un peu d'analyse technique et guidée que vous pouvez réaliser. Si vous ne savez pas exactement quoi interpréter ou comment interpréter, allez dans l'onglet technique, il y a un certain nombre d'outils qui sont à votre disposition. En outre, si vous cliquez sur l'icône du mortier, le mortier d'étudiants, vous pouvez cliquer sur indicateurs si vous voulez en apprendre davantage sur les recoupements dont j'ai parlé très brièvement. Vous pouvez par exemple vous pencher sur le recoupement des moyennes. Comment cela fonctionne?
Comment est-ce que ce sera utile? Quels sont les conclusions que l'on peut en tirer au niveau des opérations de bourse?
Une dernière chose que je voulais signaler aux auditeurs, c'est que nous avons notre centre d'apprentissage, nous créons des ressources fantastiques, des ressources numériques permet d'en apprendre beaucoup.
Vous pouvez filtrer dans les leçons vidéo et il existe une section sur l'analyse technique. Vous voyez qu'il y a un certain nombre de courtes vidéos, des webinaire, qui peuvent vous aider dans votre apprentissage de l'analyse technique.
- Merci beaucoup! Merci à Hiren qui est formateur en relation directe TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de Courtier Web où vous trouverez encore davantage de ressources!
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Andrew Kelvin répondr aux questions sur l'économie et les taux d'intérêt. Notre premier entretien a suscité beaucoup d'intérêt de la part des spectateurs. On s'attend à ce que la fFed continue d'augmenter les taux. La banque Canada marque une pause. Jusqu'où le lecteur peut-il aller?
- La banque du Canada doit en tenir compte dans ses décisions, doit tenir compte de la croissance aux États-Unis puisque cela affecte la demande de produits de base Canada et ainsi de suite. Il faut que la banque tienne compte de cela parce que cela a un impact sur la monnaie. Sur le taux de change historiquement, la réserve fédérale a atteint un taux maximum autour de 75 points de base, au-delà de la banque Canada. Il est possible d'avoir un accord relativement important. Si cela va largement au-delà de son point de base, cela devient difficile d'y être justifié, cette divergence dans une période qui ne serait pas très courte. Il y a un certain nombre de circonstances qui pourraient justifier un écart de 100 ou 250 points de base. Mais au-delà de son point de base, il faut vraiment avoir un scénario de plus en plus plausible. Je pense au-delà de son point de base, ce ne serait pas durable.
Sans point de base est un acteur à surveiller. Le marché du logement Canada.
Il fait de la hausse des taux. Comment la baisse démarre du prix du logement va-t-elle affecter l'économie canadienne?
- À plusieurs égards. Surtout indirects.
Tout d'abord, la confiance des consommateurs. Quand le prix des logements baisse, cela a un impact sur la manière dont les consommateurs perçoivent l'économie. Les prix des logements sont une jauge de l'évolution positive ou négative de l'économie. Lorsque les prix des logements baissent, les gens associent cela avec une baisse de l'activité économique, ils ont moins confiance lorsqu'il s'agit de faire des achats ils ont une richesse personnelle. Ce qui a un impact sur le marché. Je dirais qu'au sujet de la baisse des prix de logement Canada, il y a un facteur important relié à la demande de logement, c'est la croissance démographique très forte. Cela contribue à atténuer certains des impacts de la baisse du prix des logements. En ce sens que cela engendre une demande de logement. Il est difficile de réduire la construction de logements dans une conjoncture où il faut davantage de logement. Le deuxième élément: c'est un fait de société. Je pense que l'on comprend généralement que la portabilité des logements représente un problème Canada. Le fait que les logements soient inabordables Canada n'est pas un état de choses souhaitables. Peut-être que dans l'avenir, certains de ces impacts sur la confiance pourraient être atténués dans un environnement à plus bas prix, c'est-à-dire que la rapidité de l'ajustement est importante. S'il s'agit simplement d'écrémer des prix trop effervescents, cela n'a pas une fête considérable ni trop inquiétant. S'il y a une chute concertée et durable du prix de logement, cela révèle un problème généralisé dans l'économie du Canada. Il peut être difficile de démêler l'impact de la seule hausse du marché du logement.
Baisse du marché du logement.
- Comment économie canadienne se porte-t-elle par rapport aux États-Unis?
- L'économie canadienne, comme l'économie américaine, manifeste une résilience assez impressionnant. La trajectoire différent.
L'économie américaine a libère de faiblesse l'an dernier, et puis s'en est sorti. L'économie canadienne a plutôt suivi une trajectoire de décélération lisse. Les chiffres du PIB au Canada, plus récent qui montre aucun changement, c'est peut-être relié à l'ajustement des inventaires pour la demande intérieure est plus forte que ces statistiques ne le suggèrent pas au Canada comme aux États-Unis, il y a un marché du travail très porteur qui va vraisemblablement favoriser l'activité à court terme. Dans les deux pays, la résilience économie surprenante. Compte tenu du fait que les États-Unis ne sont notre principal partenaire commercial, si les États-Unis se portent bien, nous devrions de notre côté nous porter assez bien.
- Oui. Cette relation n'est pas aussi forte qu'elle était. L'exportation de biens manufacturiers ne représente pas un élément si important pour l'économie canadienne c'était le cas jadis. Il n'y a pas la même sensibilité au niveau du dollar canadien ou de l'activité aux États-Unis. D'une part, et les exportations canadiennes autres parent.
Cela demeure un élément important de l'économie. Et présente moins de volatilité. Mais antérieurement, si le dollar canadien faiblissait, il y avait une flambée d'activité manufacturière. Nos manufacturiers sont toujours contents quand ils vont aux États-Unis que le dollar canadien plus faible, parce qu'ils acquièrent avantages dollar américains. Il y a plus le même effet sur l'activité. Que l'on constatait il y a 20 ans. Cette relation existe toujours, en partie parce que les deux économies sont assez amples.
Les facteurs qui affectent l'économie américaine affectent généralement l'économie canadienne. Mais il existe des avantages qui en découlent pour le Canada si les États-Unis se portent bien, mais la relation est moins forte qu'elle ne l'était.
- Andrew Kelvin répondre à vos questions sur l'économie de quelques instants.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Je vous rappelle comment nous poser vos questions: avez-vous une question sur le placement ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, soit par courriel moneytalklivetd.com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
les milieux financiers ont une avant-première des statistiques sur l'emploi aux États-Unis qui paraissent vendredis avec la parution des rapports sur la masse salariale privée et sur le roulement du marché du travail. Tout d'abord, le rapport sur la masse salariale privée. En janvier, celle-ci a augmenté de 242 000 emplois alors qu'on prévoyait 205 000, surtout par ailleurs aux 119 000 emplois ajoutés en janvier après révision.
Quant à la croissance, elle a légèrement reculé à 7,2 % sur 12 mois. C'est une légère diminution par rapport au mois précédent. Par secteur, les loisirs et l'hospitalité sont en pointe dans la croissance emploi. D'autres secteurs porteurs, secteur financiers manufacturiers, lesquels bénéficient d'une température plus clémente cet hiver.
Tantôt perte d'emploi, c'est surtout dans les services professionnels et aux entreprises et la construction. Les gains d'emploi sont le fait des entreprises employant 50 employés ou davantage. Les PME affichent une perte nette de 61 000 emplois il s'agit des entreprises qui ont 20 employés au moins. Ce rapport est un précurseur du rapport sur l'emploi donc non agricole qui paraît vendredi.
- À présent, l'enquête sur le roulement du marché du travail. Le nombre de postes à combler a diminué en janvier, mais est supérieur au nombre de travailleurs disponibles. Ce rapport affiche 10,8 millions de postes à pourvoir, en baisse d'environ 400 000 emplois par rapport à décembre. Il s'agit d'au moins deux postes à pourvoir pour chaque travailleur disponible aux États-Unis. Ce rapport montre qu'en janvier, les employeurs ont embauché 6 millions de travailleurs. C'est le total le plus élevé depuis le mois de vous. À présent, indicateur de la confiance de la mobilité sur le marché du travail est passé de 3,8, le niveau le plus bas depuis 2021. Les licenciements ont nettement augmenté de 16 % en janvier.
Bien sûr, ces derniers rapports fait suite aux déclarations de Jérôme Powell préside de la Fed qui a déclaré que le marché du travail était extrêmement serré. Les dernières statistiques ont tendance à le confirmer, à l'exception de certains signes de faiblesse dans la croissance des salaires et les nouveaux posts à pourvoir.
Si on prend tous ces rapports, quelle conclusion peut-on en tirer généralement quant aux statistiques de vendredi?
Valeurs mobilières TD prévoient que la création d'emplois assistions à 230 000 en février, au-delà de la tendance. Il s'agit de retour à la normale après les gains importants 217 000 emplois au mois de janvier. Niveau qui ne saurait durer. On prévoit que le taux de chômage demeurera inchangé à 3,4 % d'ici la fin de l'année.
Valeurs mobilières TD prévoient que le taux de chômage aux États-Unis passera 4 % au fur et à mesure qu'un nombre croissant de personnes réintègrent le marché du travail.
- Vous venez d'entendre Anthony Okolie. Un coup d'œil sur les marchés. L'indice TSX composite est en légère progression de soit 34. Soit un tiers de pour cent. Le secteur minier et de l'énergie attirait les investisseurs en début de séance, cet effet ses tombes. First Quantum a conclu un accord avec le gouvernement du Panama pour résoudre les problèmes de sa mine de cuivre. C'est un projet d'accord qui doit être soumis à un processus de consultation. Les actions de First Quantum sont en légère hausse à 31 $ l'action, soit une progression de 4 %. Mais parler if Food avait progressé début de séance, maintenant de 0,5 pour cent 28,08 $ l'action. Jérôme Powell continue de s'exprimer au congrès américain. Sa déclaration parue hier à inquiéter les marchés. L'indice CP 500 est pratiquement inchangé, en baisse de quelque.. L'indice Nasdaq est spécialisé dans la technologie continue de progresser un peu moins d'un tiers de pour cent, 33.. Tesla fait l'objet d'une enquête à la suite de plaintes affirmant qu'un volant s'était détaché pendant la conduite. Deux véhicules tesla. Tesla parle encore de réduire les prix de ce véhicule afin d'attiser la demande. Le titre est en baisse de trois et demis pour cent. Andrew Kelvin répond à vos questions sur l'économie et le taux d'intérêt.
Quelles sont les différences entre l'indice des prix à la consommation et l'indice de consommation personnelle?
- La consommation personnelle il est un des indicateurs privilégiés par la Fed: il s'agit de l'indice américain. La grande différence qui est pertinente pour vos spectateurs, c'est celle de la pondération. L'IPC comporte un élément de logement beaucoup plus important que l'indice de la consommation personnelle.
L'IPC est un sondage auprès des consommateurs. On leur demande à quoi ils dépensent leur argent et l'achat du logement est un élément très important, ce qui n'inclut pas les achats par les tiers, ce qui aux États-Unis incluent les médicaments achetés par les assureurs.
Cela n'est pas pris en compte dans l'IPC, mais dans l'indice de la consommation personnelle, ces éléments sont pris en compte, ce qui donne à la santé une pondération plus important par rapport notamment au logement.
- Lorsqu'on inclut les achats de tiers, l'indice est plus général, plus représentatif. L'ajustement se fait plus rapidement au niveau des pondérations ce qui rend l'ICP peut être plus réactif à l'évolution de l'environnement. Voilà pourquoi la réserve fédérale préfère l'indice de consommation personnelle. Mais la pondération du logement est moindre et cela est apprécié par la Fed.
Peut-être une ultime question avant de manquer de temps. Est-ce que vous pensez que les tensions entre la Chine et le Canada pourrait nuire à l'immigration et est-ce que cela aura un impact sur le logement?
- C'est intéressant. Personne des perçus vraiment spécifiques sur cette question, mais ayant vécu une période de ces mauvaises relations entre le Canada et la Chine, l'immigration a repris plus que jamais en 2022. Donc, on constate une certaine résilience. Nous avons eu des rapports dans les médias voulant que le tourisme vers le Canada pourrait être affecté par des tensions avec la Chine si les relations entre les deux pays se détérioraient gravement. Il y aurait un niveau à partir duquel les gens arrêterait d'immigrés en aussi grand nombre, les écoles et d'autres éléments seraient affectés au niveau de la demande globale.
Je dirais que selon les données les plus récentes, il y a peu de signes que cette tendance concrétise. C'est même plutôt le contraire en dépit du fait que les relations entre la Chine et l'Occident ne sont pas au beau fixe. Le Canada demeure une destination souhaitable pour étudier ou vivre.
- Merci, comme toujours, Andrew Kelvin et à bientôt! Merci à Andrew Kelvin, stratège en chef pour le Canada à Valeurs mobilières TD. Demain, Scott Colbourne de Gestion d'actifs TD répondra à vos questions sur les titres à revenu fixe. Un texte intéressant contenu des annonces de la Fed et donne notre banque centrale.
Vous pouvez d'ores et déjà nous poser vos questions@moneytalklivetd.com merci et à bientôt!
Bienvenue à Parlons Argent en direct, une émission de Placement directs TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondent à vos questions sur les placements.
Aujourd'hui, la Banque du Canada comme prévu maintient les taux inchangés. Andrew Kelvin, stratège en chef à Valeurs mobilières TD réagit. Nous passons en revue son enseignement sur Courtier Web, su r l e s moyenne s mobile.
s. Vous pouvez communiquer avec nous par courriel@moneytalklivetd.com ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
Tout d'abord, une mise à jour sur les marchés. On commence par l'indice TSX composite. Le secteur de l'énergie est à l'honneur aujourd'hui même si le cours du brut est sous pression. 92., Soit un peu plus d'un demi pour cent. Crescent Point Energy, comme je l'ai dit, le brut de référence américain toujours en baisse. Il y a une légère hausse qui semble s'estomper. 9,68 $ sous l'action.
En hausse de 20 points de base. Ensuite, Tech Ressource, le secteur minier, progresse en début de séance mais cette dynamique s'estompe. Moins de 200 %. Aux États-Unis, Jérôme Powell s'exprime pendant une deuxième journée devant la chambre des représentants. Sa déclaration d'hier a ouvert une phase de vente sur le marché. L'indice S&P progresse aujourd'hui, sa mise en garde qu'aujourd'hui, Jérôme Powell a dit qu'il semblait que 50 points de base pourraient être une possibilité. Il serait peut-être possible que la Fed aille plus loin que prévu. Il faut donc attendre la prochaine réunion de la Fed de ce mois-ci pour voir ce qu'elle fera. L'indice Nasdaq spécialisé dans la technologie est en hausse de un tiers de pour cent. Il semble que certains des fabricants de semi-conducteurs progressent et maintiennent les gains au début de la séance. La banque du Canada réitère sa pause conditionnelle des hausses de taux.
Lesquels sont maintenus à quatre et demis pour cent. Mais avec le RSA fédéral américain qui inverse que les taux plus élevés sont peut-être nécessaires pour maîtriser l'inflation, pendant combien de temps notre banque centrale peut-elle maintenir sa pause? Andrew Kelvin stratège en chef valeur mobilière TD. La banque du Canada déclare qu'elle maintient sa pause mais la Fed fait des déclarations très ferme quant aux mesures à prendre avenir.
Comment concilier on nous cette disparité entre les deux banques centrales?
- Il y a une disparité. Nous avions toujours pensé que la Fed ira plus loin que le monde Canada. Et que le taux terminal sera plus élevé aux États-Unis.
Compte tenu de la dynamique de l'endettement des ménages au Canada pqui est plus aigu qu'aux États-Unis. Les hausses de taux au Canada ont plus effet qu'aux États-Unis. Il n'y a pas d'incohérence à cet égard. Cela aurait une tension sous-jacente lorsque la Banque du Canada a annoncé une pause conditionnelle en janvier, pour beaucoup de gens, cela semble peut-être un peu prématuré, un peu trop optimiste au niveau du pronostic de l'économie. Je suis d'accord pour dire que la croissance va sans doute ralentir cette année, mais nous n'en avons pas encore vu des signes réels. Les plus récentes statistiques sur l'emploi pour le mois de janvier le montrent bien. Le marché du travail est très serré, je vais en parler aujourd'hui. Mais la Banque du Canada avait annoncé qu'elle s'attendait à un ralentissement plus marqué lorsqu'elle a annoncé sa pause conditionnelle. Pour le quatrième trimestre, l'inflation de l'IPC évolue conformément au pronostic de la banque. Voilà pourquoi nous nous attendions ce que le taux soit maintenu aujourd'hui. Mais d'ici avril, mai et juin, il faudra qu'il y ait un ralentissement notable de l'activité économique au Canada pour justifier que la banque maintienne sa pause. Voilà le premier élément. Peut-être que la réserve fédérale constate que l'économie se porte particulièrement bien. Et epsptp particulièrement résiliant.
e. Cet environnement va sans doute répercuter sur l'économie canadienne voici l'économie, les résiliant, l'économie canadienne est aussi. Ensuite, si la réserve fédérale s'appuie sur l'accélérateur ou le frein que vous voudrez, et décide de resserrer plus que le marché ne s'y attend, ceci fera subir des pressions au dollar canadien. La banque du Canada peut honorer des fluctuations du dollar canadien, mais une trop forte dépréciation de la monnaie a un effet inflationniste et pourra lui forcer la main. FIl faut donc continuer de surveiller ce qui se passe aux États-Unis.
Il y a une limite à la mesure dans laquelle les deux banques centrales peuvent diverger. La banque du Canada est dans une situation difficile. Vous avez parlé de la dynamique de la dette, bonne raison pour la vente de s'inquiéter, la hausse des coûts d'emprunt est nuisible pour le ménage. Je ne voudrais pas me trouver à la place des gouverneurs des banques centrales. C'est un travail ingrat, c'est sûr. Il y a un élément que les États-Unis et le Canada ont en commun dans les deux pays, il y avait beaucoup de dépenses excédentaires qui s'étaient accumulées. Ce qui va atténuer l'impact sur les dépenses dmwmemsmemsm ménage s au Canada. Je dirais que la banque du Canada a déclaré aujourd'hui que la politique monétaire restrictive continue de plomber les finances des ménages. Je pense que le marché du travail demeure si serré qu'il faut s'attendre à un ralentissement plus poussé.
- Il y a quelques indices par exemple un PIB décevant qui vont dans un sens, il y a également d'autres indices que le marché du travail sont dans l'autre sens pour le gouvernement fédéral q u i va annoncer son budget du printemps. Est-ce qu'il y a une possibilité que la politique budgétaire aille à l'encontre de la politique monétaire? Parfois, le gouvernement veut aider les électeurs dans le besoin. C'est toujours un danger. Dans les deux directions.
- Il y a eu des tonnes d'autres pays où la banque centrale s'est efforcée de desserrer la politique monétaire tandis que le gouvernement réduit les dépenses, ce qui va à l'encontre des objectifs de la banque centrale. Dans un environnement inflationniste, le risque serait que le gouvernement prend des mesures de relance qui rendrait le travail de vente sera plus difficile l'amènera à relever les taux davantage. Je ne pense pas que le gouvernement du Canada prévoit un budget très généreux, mais les calculs politiques changent au fil du temps. Il pourrait y avoir une évolution des sondages, le gouvernement fédéral va inaugurer une nouvelle politique serait bien accueilli par les électeurs. Tout peut arriver.
Selon la mise à jour budgétaire de novembre, il ne semblait pas que le gouvernement fédéral envisageait d'augmenter son budget. Une élection n'est pas nécessaire cette année, c'est une gouvernement minoritaire. Tout est possible, mais vu que la prochaine élection pr��vue doit intervenir dans deux ans, je pense que le moment n'est pas encore venu de prendre les mesures de relance pour tâche de grappiller quelques votes supplémentaires. C'est un risque nous allons surveiller de très près. Mais ça fait parti de notre scénario de base.
- Le scénario de la banque Canada concilie sa déclaration, c'est que l'inflation va reculer jusqu'à 3 % d'ici le milieu de cette année. Cela est-il réalisable?
- Je le crois. Il y a beaucoup d'effet statistique. L'inflation était extrêmement élevée. L'accélération des prix était très élevée pendant la première moitié de 2022.
Au fur et à mesure que les mois inflation ne sont plus pris en compte dans le calcul, l'inflation recule mathématiquement. On peut arriver à 3,5 % sans trop de difficultés d'ici le milieu de l'année. Le difficile sera passé de trois et demis à deux et demis. Parce que l'inflation sous-jacente se situe plutôt à trois et demis pour cent. Je parle des mesures de base annualisée. Alors donc, il faut qu'il y ait davantage des inflations d'un mois sur l'autre, afin de prévoir une trajectoire vers 2 % d'inflation dominicale, ce qui est l'objectif de la banque. Ces 3 %, trois et demis pour cent en milieu d'année. Il est question. C'est une étape, c'est une balise. Ce n'est pas l'objectif ultime. Si à la fin 2003, l'inflation toujours à trois et demis pour cent, ce sera un signe que la banque du Canada a manqué de fermeté. Slice est-ce que la banque du Canada se satisferait d'un taux vers le haut de cette fourchette et cela fonctionne va jusqu'à 3 %, la banque aurait accompli sa mission?
- Je pense que je pense que le monde serait beaucoup plus satisfait de se situer dans la fourchette qu'en haut de la fourchette mais doit parvenir à deux, au milieu de la fourchette. L'expérience de2022 et aussi d'aujourd'hui montre que les attentes à l'égard de l'inflation à court terme sont élevées. Il s'agit pour la banque aussi de préserver sa crédibilité dans un environnement où il y a une fluctuation entre deux et deux et demi. Si l'inflation restait à deux, c'est en quelque temps, la banque sera peut-être pas trop inquiete du moment que la stabilité a été rétablie. Dans un environnement où la banque a raté sa cible par un période prolongée, je pense qu'il est très difficile de parvenir à 2,9 % et de dire que la mission est accomplie. Il faut parvenir à ce chiffre de 2 % pour établir sa crédibilité.
- Excellent début d'émission! Andrew Kelvin répondra dans quelques minutes à vos questions sur les taux d'intérêt et l'économie. Posez-nous vos questions par courriel@moneytalklivetd.com.
ou dans la boîte de questions au bas de votre écran.
À présent, l'actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
First Quantum a conclu un accord avec le gouvernement du Panama afin de remettre la mine de cuivre de Cobre Panama en production. Cette entente règle les problèmes de fiscalité et de redevance.
L'entente doit faire l'objet d'un processus de consultation de 30 jours.
Adidas déclare que sa séparation avec eux l'artiste anciennement connu sous le nom de Kanye West pourrait entraîner une perte annuelle, une première depuis 30 ans. La compagnie a mis fin à son partenariat avec l'artiste l'automne dernier. Adidas entame une année de rétablissement et prévoir renouer avec la rentabilité en 2024. Les régulateurs américains mènent une enquête sur Tesla après avoir reçu deux plaintes sur le véhicule modèle Y, le volant s'étant détaché pendant la conduite.
L'enquête porte sur 120 000 voitures Tesla. L'enquête est une étape initiale avant avant un éventuel rappel.
Maintenant un coup d'œil sur les marchés.
L'indice composite est en hausse modestement de 66 points, soit un tiers de pour cent. Aux États-Unis, Jérôme Powell continu de s'exprimer devant le congrès américain. L'évolution des marchés hier s'appuyait sur la déclaration préalable publiée par le chef de la Fed. Les marchés sont en légère hausse d'un 10e de pour cent. Andrew Kelvin répond à vos questions sur l'économie et les taux d'intérêt.
Les statistiques de l'emploi paraissent cette semaine aussi bien au Canada et aux États-Unis. Qu'est-ce que vous attendez?
- Commençons par l'emploi au Canada. C'est ma spécialité. Le mois de janvier était pratiquement absurde avec 150 000 emplois créés. Nous prévoyons un recul, nous prévoyons qu'il y aura un recul de 10 000 emplois. Je pense que cela ne doit pas être interprété comme un signe de faiblesse. La moyenne mobile sur six mois demeurera extrêmement forte avec 50 000 emplois par mois. Ce qui est largement au-delà du taux d'équilibre. Cela reste conforme avec l'idée que le marché du travail très serré. Il s'agit d'inverser certains impacts ponctuels, par exemple la météo très clémente au mois de janvier qui a entraîné plus d'embauche dans les métiers du bâtiment et ainsi de suite. La situation d'ensemble, c'est que nous renouant avec un taux plus normal de gain de l'emploi. Je ne donnerai pas trop d'interprétation au chiffre de l'emploi de février en attendant ceux de mars avril et mai.
- Est-ce que les salaires sont tout aussi importants que le nombre d'emplois créés ou perdus?
Les salaires qui pourraient alimenter l'inflation.
- Oui. C'est un élément très important des données sur le marché du travail. Il y aura un bond de l'indicateur annuel des salaires horaires pour les travailleurs permanents. Qui est parti à 4,7 % en janvier, parce que janvier 2022, c'était le dernier mois des confinements de la COVID et les travailleurs qui perdent leurs emplois pendant les confinements avaient tendance à être des travailleurs à plus faible revenu. Cela a eu un impact sur la composition. D'où le bond de 4,7 %.
Il y aura donc une progression en février.
C'est un effet statistique. Avec le rétablissement des chaînes approvisionnement, je suis convaincu que l'inflation des biens sera plus long.
Mettons de côté de l'alimentation. Le prix de l'énergie ne sont pas où ils étaient, les prix des biens pour les appareils électroniques devraient présenter une désinflation cette année.
Sur le secteur des services, je suis moins à l'aise.
L'inflation des services est surtout attribuable au Salesse salaires. La croissance des salaires à 5 % ne correspond pas à l'inflation des services à 3 % et une inflation générale de 4 pour cent. Si la croissance des salaires ne ralentit pas, la banque du Canada devrait continuer d'augmenter les taux jusqu'à ce qu'il y ait un ralentissement. On a évoqué la nécessité des taux plus élevés. Mais là, le spectateur de savoir quand les taux d'intérêt vont commencer à diminuer?
- C'est une excellente question! Mais tout dépend d'abord de la manière dont l'économie évoluera. Les taux d'intérêt sont déjà un niveau restrictif. Alors actuel. Les taux d'intérêt devraient amener l'économie à ralentir sa croissance en deçà de la tendance. La banque du Canada ne peut pas commencer réduire les taux tant que la croissance ne soit pas inférieure à la tendance. De 2 % jusqu'à ce qu'un inflation soit inférieure à 3 % et affiche une tendance à la baisse et que l'économie soit en état n'ont pas de demande excédentaire, mais d'offres excédentaires, c'est-à-dire taux de chômage plus élevé ne pour cent. Je ne vois pas de scénario ces trois facteurs sont conjugués en 2023. Ce serait peu crédible. Nous envisageons des réductions de taux en 2024 fondés sur l'hypothèse que l'économie entamera assez rapidement un ralentissement. Il se pourrait qu'il y ait des réductions de taux premier trimestre 2024. Je pense que le rythme des réductions de taux serait plus long que le rythme des hausses de taux. Je pense que le Canada ne va pas commencer réduire les taux de 50 ou 75 ou 100 points de base, moi qui ne se passe quelque chose d'extraordinairement grave, ce que nous ne prévoyons pas.
- Ce qui est difficile à prédire en général. Nous prévoyons un rythme modeste de réduction des taux à partir du premier trimestre de l'an prochain, si l'économie de (.
.
.
) pour le premier semestre 2023, il faudra attendre davantage.
- Où se situerait ce taux neutre? La banque a reconnu que son taux actuel est restrictif. Il s'agit de ralentir la croissance économique afin de maîtriser l'inflation. Si la banque estime qu'elle remporte la bataille contre l'inflation qu'elle peut relever les taux, et qu'elle peut réduire les taux, il s'agit d'un débat. Un débat qui est très vif alors actuel. Lorsque la banque du Canada indique une fourchette, on va à la médiane. Entre deux et 3 % serait de huit demis pour cent. Pendant la pandémie, tout réel était largement inférieur. Il n'y avait pas d'inflation significative. Si on tient compte de ces deux faits, cela nous montre que le taux neutre est sans doute , demis, peut être inférieur à 2 %. Alors que nous abordons la période post pandémie ou l'inflation est beaucoup plus intégrée dans l'économie, et où l'économie très résiliant, le fait que l'économie a été résiliant dans la mesure où nous l'avons vu, cela laisserait à penser que les taux sont peut-être plus élevés que nous ne l'avions pensé. On pourrait envisager la relocalisation comme un facteur qui est favorable à cette thèse. Les mises à jour de la banque du Canada paraissent au mois d'avril. Nous allons suivre de très près presse pronostique avoir signé une révision à la hausse pour la première fois depuis très longtemps que je pense qu'il y a des arguments convaincants en faveur d'une révision à la hausse du taux d'intérêt.
- Une autre question: quelles sont les perspectives pour le dollar canadien?
- On a parlé de beaucoup de facteurs qui peuvent affecter le taux de change, mais comment cela se déroulera-t-elle?
Éliminons les fluctuations à court terme.
Le dollar canadien est bon marché par rapport aux données fondamentales à long terme. D'ici la fin de cette année, le dollar canadien devrait se trouver environ 75 sous. Un peu plus fort qu'aujourd'hui.
À court terme, la banque du Canada maintenant s'impose la réserve fédérale tenant un discours très ferme, cela va faire subir des pressions à la hausse sur le dollar américain et donc la baisse sur le dollar canadien. À court terme, la prépondérance des risques à court terme pour le prochain trimestre, mais à plus long terme, notre pronostic, c'est que le dollar canadien chevronné à 0,75 €. Est-ce que la banque du Canada serait-il satisfaite de ce taux s'il s'agit d'importer l'inflation pour le taux de change, si le de localiser ton trouble?
C'est contextuel. En ce sens que cela dépend de la conjoncture économique au Canada. Si la situation économique au Canada est notablement plus faible qu'aux États-Unis, la banque du Canada est plus à l'aise avec dollar canadien plus faible.
S'il y a un lien avec un facteur externe, comme par exemple la chute des cours du brut, la banque du Canada est plus à l'aise si le dollar canadien plus faible.
Puisqu'il pourra alléguer qu'elle n'y peut rien. Si le dollar canadien évolue à cause d'une divergence entre les banques centrales, lorsque les gouttes deux économie se portent relativement bien toutes deux, il y a la rapidité aussi de la dévaluation. Cela pourrait être un phénomène que j'aimerais beaucoup de bonne Canada.
- Si le dollar descend en deçà de 72 soixante et onzièmes, si nous flirtant avec 77, cela fera subir davantage de pression à la banque du Canada en vue de changer de cap et d'emboîter le pas à la réserve fédérale. Cela dépendra du ralentissement éventuel de l'économie canadienne. C'est cela qui guidera les actions de la banque Canada.
- Si le dollar canadien faiblit de quelques semaines, cela suscitera une certaines vos idées.
- Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Andrew Kelvin répond à 'v'i's'd'autres questions sur l'économie et les taux d'intérêt dans quelques minutes. Vous pouvez toujours nous poser vos questions par courriel, moneytalklivetd.com.
Poursuivrelilblslilblolnsl la découverte de coCourtier Web. Lorsqu'eon fait des recherches sur un titre, il est bien utile de connaître la moyenne mobile. Hiren Amin, formateur en relation directe TD nous explique tout. Bonjour! Tout d'abord, pouvez-vous nous expliquer ce qu'est une moyenne mobile et comment on peut ajouter un graphique?
- Bonjour! Merci, Greg. Prenons un peu de recul. Parlons d'analyse technique. Il s'agit d'un ensemble de principes que les investisseurs peuvent utiliser pour faire des recherches sur les actions. L'analyse technique consiste à identifier les tendances et à les prédire. L'un des indicateurs dont nous allons parler aujourd'hui, moyenne mobile, représente un élément clé dans la moyenne technique. La moyenne mobile lisse les fluctuations à court terme et à des investisseurs à identifier la tendance d'un titre sur une période donnée. C'est une mesure dynamique de l'évolution du cours. Voici comment elle est calculée. Pendant les périodes choisies, tous les points de données sont additionnés et puis il y a division par la période. C'est une moyenne mobile, parce que chaque nouveau jour de bourse où chaque nouvelle période qui s'ajoute ajoute un nouveau point de donner et en supprimant le plus ancien. Je vais vous montrer comment organiser la moyenne mobile sur un graphique. Voici un FNB XY ce qui fait le suivi de l'indice TSX.
Alors, moyenne mobile figure sous la rubrique des indicateurs supérieurs. Quand on parle indicateurs supérieurs, cela signifie que ces indicateurs vont se superposer aux graphiques de prix. Il existe plusieurs moyenne mobile, il y a la moyenne mobile exponentielle, moyenne mobile simple et la moyenne mobile pondérée. Choisissons la moyenne mobile simple pour donner à notre public un peu de contexte, la différence entre la moyenne simple et les moyennes exponentielles et pondérées sont que dans une moyenne simple, nous additionnons les valeurs nominales. Nous prenons les données, nous les divisons par le nombre total période, c'est ainsi qu'on construit la moyenne mobile. Avec moyenne pondérée exponentielle, on attache davantage d'importance au cours les plus récents.
C'est comme si on ajoutait une pondération au cours noter plus récemment et pour des raisons plus faibles au cours plus ancien.
C'est la principale différence nous allons étudier donc la moyenne simple. Vous verrez que la moyenne se superpose aux graphiques et les possibles parties ajustements. Nous avons choisi un jour, un an et un jour. Voici comment il est possible de modifier la période. Je voudrais avoir une tendance à plus long terme. Nous allons ajouter une moyenne sur 200 jours, mais également je voudrais la comparer à une moyenne sur 50 jours. C'est à moyen terme. On peut ajouter ces éléments, on clique sur mise à jour du trafic il devrait y avoir de nouvelles moyenne mobile. Une autre technique utilise les investisseurs, c'est l'étude des signaux. Lorsque les moyens mobiles se recoupent, soit au-dessus ou au-dessous, cela génère des signaux optimistes ou pessimistes. Lorsque la moyen à court terme, à violette, 50 jours, et devenir le long terme, c'est en général le signal baissier. Lorsque le moyen à court terme franchi à la hausse la moyenne à plus long terme, célestinien haussier. Une mise en garde: l'utilisation des outils techniques n'est pas un moyen infaillible d'analyse technique. Il faut choisir d'autres études pour confirmer ses conclusions.
- Merci. C'est important de le dire, parce que vous avez très bien expliqué le calcul d'une moyenne mobile, l'inflation affichée, il y a des recoupements, des croisements, mais si vous voulez être techniciens ou si vous voulez en apprendre davantage, ou peut-on se renseigner?
- Justement. Certains des techniciens plus expérimentés peuvent interpréter ses moyennes déjà,, mais si vous êtes débutants, vous trouverez sur courtier Web les ressources fantastiques non pas seulement pour gérer vos investissements, mais pour en apprendre davantage et passer un niveau supérieur de connaissance. Nous avons un anglais qui s'appelle analyse technique dans la section des analyses techniques, il y a un peu d'analyse technique et guidée que vous pouvez réaliser. Si vous ne savez pas exactement quoi interpréter ou comment interpréter, allez dans l'onglet technique, il y a un certain nombre d'outils qui sont à votre disposition. En outre, si vous cliquez sur l'icône du mortier, le mortier d'étudiants, vous pouvez cliquer sur indicateurs si vous voulez en apprendre davantage sur les recoupements dont j'ai parlé très brièvement. Vous pouvez par exemple vous pencher sur le recoupement des moyennes. Comment cela fonctionne?
Comment est-ce que ce sera utile? Quels sont les conclusions que l'on peut en tirer au niveau des opérations de bourse?
Une dernière chose que je voulais signaler aux auditeurs, c'est que nous avons notre centre d'apprentissage, nous créons des ressources fantastiques, des ressources numériques permet d'en apprendre beaucoup.
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- Merci beaucoup! Merci à Hiren qui est formateur en relation directe TD. Ne manquez pas de visiter le centre d'apprentissage de Courtier Web où vous trouverez encore davantage de ressources!
Je vous rappelle comment nous poser vos questions. Avez-vous une question sur les placements ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, soit par courriel, moneytalklivetd.com, soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Andrew Kelvin répondr aux questions sur l'économie et les taux d'intérêt. Notre premier entretien a suscité beaucoup d'intérêt de la part des spectateurs. On s'attend à ce que la fFed continue d'augmenter les taux. La banque Canada marque une pause. Jusqu'où le lecteur peut-il aller?
- La banque du Canada doit en tenir compte dans ses décisions, doit tenir compte de la croissance aux États-Unis puisque cela affecte la demande de produits de base Canada et ainsi de suite. Il faut que la banque tienne compte de cela parce que cela a un impact sur la monnaie. Sur le taux de change historiquement, la réserve fédérale a atteint un taux maximum autour de 75 points de base, au-delà de la banque Canada. Il est possible d'avoir un accord relativement important. Si cela va largement au-delà de son point de base, cela devient difficile d'y être justifié, cette divergence dans une période qui ne serait pas très courte. Il y a un certain nombre de circonstances qui pourraient justifier un écart de 100 ou 250 points de base. Mais au-delà de son point de base, il faut vraiment avoir un scénario de plus en plus plausible. Je pense au-delà de son point de base, ce ne serait pas durable.
Sans point de base est un acteur à surveiller. Le marché du logement Canada.
Il fait de la hausse des taux. Comment la baisse démarre du prix du logement va-t-elle affecter l'économie canadienne?
- À plusieurs égards. Surtout indirects.
Tout d'abord, la confiance des consommateurs. Quand le prix des logements baisse, cela a un impact sur la manière dont les consommateurs perçoivent l'économie. Les prix des logements sont une jauge de l'évolution positive ou négative de l'économie. Lorsque les prix des logements baissent, les gens associent cela avec une baisse de l'activité économique, ils ont moins confiance lorsqu'il s'agit de faire des achats ils ont une richesse personnelle. Ce qui a un impact sur le marché. Je dirais qu'au sujet de la baisse des prix de logement Canada, il y a un facteur important relié à la demande de logement, c'est la croissance démographique très forte. Cela contribue à atténuer certains des impacts de la baisse du prix des logements. En ce sens que cela engendre une demande de logement. Il est difficile de réduire la construction de logements dans une conjoncture où il faut davantage de logement. Le deuxième élément: c'est un fait de société. Je pense que l'on comprend généralement que la portabilité des logements représente un problème Canada. Le fait que les logements soient inabordables Canada n'est pas un état de choses souhaitables. Peut-être que dans l'avenir, certains de ces impacts sur la confiance pourraient être atténués dans un environnement à plus bas prix, c'est-à-dire que la rapidité de l'ajustement est importante. S'il s'agit simplement d'écrémer des prix trop effervescents, cela n'a pas une fête considérable ni trop inquiétant. S'il y a une chute concertée et durable du prix de logement, cela révèle un problème généralisé dans l'économie du Canada. Il peut être difficile de démêler l'impact de la seule hausse du marché du logement.
Baisse du marché du logement.
- Comment économie canadienne se porte-t-elle par rapport aux États-Unis?
- L'économie canadienne, comme l'économie américaine, manifeste une résilience assez impressionnant. La trajectoire différent.
L'économie américaine a libère de faiblesse l'an dernier, et puis s'en est sorti. L'économie canadienne a plutôt suivi une trajectoire de décélération lisse. Les chiffres du PIB au Canada, plus récent qui montre aucun changement, c'est peut-être relié à l'ajustement des inventaires pour la demande intérieure est plus forte que ces statistiques ne le suggèrent pas au Canada comme aux États-Unis, il y a un marché du travail très porteur qui va vraisemblablement favoriser l'activité à court terme. Dans les deux pays, la résilience économie surprenante. Compte tenu du fait que les États-Unis ne sont notre principal partenaire commercial, si les États-Unis se portent bien, nous devrions de notre côté nous porter assez bien.
- Oui. Cette relation n'est pas aussi forte qu'elle était. L'exportation de biens manufacturiers ne représente pas un élément si important pour l'économie canadienne c'était le cas jadis. Il n'y a pas la même sensibilité au niveau du dollar canadien ou de l'activité aux États-Unis. D'une part, et les exportations canadiennes autres parent.
Cela demeure un élément important de l'économie. Et présente moins de volatilité. Mais antérieurement, si le dollar canadien faiblissait, il y avait une flambée d'activité manufacturière. Nos manufacturiers sont toujours contents quand ils vont aux États-Unis que le dollar canadien plus faible, parce qu'ils acquièrent avantages dollar américains. Il y a plus le même effet sur l'activité. Que l'on constatait il y a 20 ans. Cette relation existe toujours, en partie parce que les deux économies sont assez amples.
Les facteurs qui affectent l'économie américaine affectent généralement l'économie canadienne. Mais il existe des avantages qui en découlent pour le Canada si les États-Unis se portent bien, mais la relation est moins forte qu'elle ne l'était.
- Andrew Kelvin répondre à vos questions sur l'économie de quelques instants.
Faites toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Je vous rappelle comment nous poser vos questions: avez-vous une question sur le placement ou encore sur les marchés? Vous pouvez nous la poser, soit par courriel moneytalklivetd.com soit dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
les milieux financiers ont une avant-première des statistiques sur l'emploi aux États-Unis qui paraissent vendredis avec la parution des rapports sur la masse salariale privée et sur le roulement du marché du travail. Tout d'abord, le rapport sur la masse salariale privée. En janvier, celle-ci a augmenté de 242 000 emplois alors qu'on prévoyait 205 000, surtout par ailleurs aux 119 000 emplois ajoutés en janvier après révision.
Quant à la croissance, elle a légèrement reculé à 7,2 % sur 12 mois. C'est une légère diminution par rapport au mois précédent. Par secteur, les loisirs et l'hospitalité sont en pointe dans la croissance emploi. D'autres secteurs porteurs, secteur financiers manufacturiers, lesquels bénéficient d'une température plus clémente cet hiver.
Tantôt perte d'emploi, c'est surtout dans les services professionnels et aux entreprises et la construction. Les gains d'emploi sont le fait des entreprises employant 50 employés ou davantage. Les PME affichent une perte nette de 61 000 emplois il s'agit des entreprises qui ont 20 employés au moins. Ce rapport est un précurseur du rapport sur l'emploi donc non agricole qui paraît vendredi.
- À présent, l'enquête sur le roulement du marché du travail. Le nombre de postes à combler a diminué en janvier, mais est supérieur au nombre de travailleurs disponibles. Ce rapport affiche 10,8 millions de postes à pourvoir, en baisse d'environ 400 000 emplois par rapport à décembre. Il s'agit d'au moins deux postes à pourvoir pour chaque travailleur disponible aux États-Unis. Ce rapport montre qu'en janvier, les employeurs ont embauché 6 millions de travailleurs. C'est le total le plus élevé depuis le mois de vous. À présent, indicateur de la confiance de la mobilité sur le marché du travail est passé de 3,8, le niveau le plus bas depuis 2021. Les licenciements ont nettement augmenté de 16 % en janvier.
Bien sûr, ces derniers rapports fait suite aux déclarations de Jérôme Powell préside de la Fed qui a déclaré que le marché du travail était extrêmement serré. Les dernières statistiques ont tendance à le confirmer, à l'exception de certains signes de faiblesse dans la croissance des salaires et les nouveaux posts à pourvoir.
Si on prend tous ces rapports, quelle conclusion peut-on en tirer généralement quant aux statistiques de vendredi?
Valeurs mobilières TD prévoient que la création d'emplois assistions à 230 000 en février, au-delà de la tendance. Il s'agit de retour à la normale après les gains importants 217 000 emplois au mois de janvier. Niveau qui ne saurait durer. On prévoit que le taux de chômage demeurera inchangé à 3,4 % d'ici la fin de l'année.
Valeurs mobilières TD prévoient que le taux de chômage aux États-Unis passera 4 % au fur et à mesure qu'un nombre croissant de personnes réintègrent le marché du travail.
- Vous venez d'entendre Anthony Okolie. Un coup d'œil sur les marchés. L'indice TSX composite est en légère progression de soit 34. Soit un tiers de pour cent. Le secteur minier et de l'énergie attirait les investisseurs en début de séance, cet effet ses tombes. First Quantum a conclu un accord avec le gouvernement du Panama pour résoudre les problèmes de sa mine de cuivre. C'est un projet d'accord qui doit être soumis à un processus de consultation. Les actions de First Quantum sont en légère hausse à 31 $ l'action, soit une progression de 4 %. Mais parler if Food avait progressé début de séance, maintenant de 0,5 pour cent 28,08 $ l'action. Jérôme Powell continue de s'exprimer au congrès américain. Sa déclaration parue hier à inquiéter les marchés. L'indice CP 500 est pratiquement inchangé, en baisse de quelque.. L'indice Nasdaq est spécialisé dans la technologie continue de progresser un peu moins d'un tiers de pour cent, 33.. Tesla fait l'objet d'une enquête à la suite de plaintes affirmant qu'un volant s'était détaché pendant la conduite. Deux véhicules tesla. Tesla parle encore de réduire les prix de ce véhicule afin d'attiser la demande. Le titre est en baisse de trois et demis pour cent. Andrew Kelvin répond à vos questions sur l'économie et le taux d'intérêt.
Quelles sont les différences entre l'indice des prix à la consommation et l'indice de consommation personnelle?
- La consommation personnelle il est un des indicateurs privilégiés par la Fed: il s'agit de l'indice américain. La grande différence qui est pertinente pour vos spectateurs, c'est celle de la pondération. L'IPC comporte un élément de logement beaucoup plus important que l'indice de la consommation personnelle.
L'IPC est un sondage auprès des consommateurs. On leur demande à quoi ils dépensent leur argent et l'achat du logement est un élément très important, ce qui n'inclut pas les achats par les tiers, ce qui aux États-Unis incluent les médicaments achetés par les assureurs.
Cela n'est pas pris en compte dans l'IPC, mais dans l'indice de la consommation personnelle, ces éléments sont pris en compte, ce qui donne à la santé une pondération plus important par rapport notamment au logement.
- Lorsqu'on inclut les achats de tiers, l'indice est plus général, plus représentatif. L'ajustement se fait plus rapidement au niveau des pondérations ce qui rend l'ICP peut être plus réactif à l'évolution de l'environnement. Voilà pourquoi la réserve fédérale préfère l'indice de consommation personnelle. Mais la pondération du logement est moindre et cela est apprécié par la Fed.
Peut-être une ultime question avant de manquer de temps. Est-ce que vous pensez que les tensions entre la Chine et le Canada pourrait nuire à l'immigration et est-ce que cela aura un impact sur le logement?
- C'est intéressant. Personne des perçus vraiment spécifiques sur cette question, mais ayant vécu une période de ces mauvaises relations entre le Canada et la Chine, l'immigration a repris plus que jamais en 2022. Donc, on constate une certaine résilience. Nous avons eu des rapports dans les médias voulant que le tourisme vers le Canada pourrait être affecté par des tensions avec la Chine si les relations entre les deux pays se détérioraient gravement. Il y aurait un niveau à partir duquel les gens arrêterait d'immigrés en aussi grand nombre, les écoles et d'autres éléments seraient affectés au niveau de la demande globale.
Je dirais que selon les données les plus récentes, il y a peu de signes que cette tendance concrétise. C'est même plutôt le contraire en dépit du fait que les relations entre la Chine et l'Occident ne sont pas au beau fixe. Le Canada demeure une destination souhaitable pour étudier ou vivre.
- Merci, comme toujours, Andrew Kelvin et à bientôt! Merci à Andrew Kelvin, stratège en chef pour le Canada à Valeurs mobilières TD. Demain, Scott Colbourne de Gestion d'actifs TD répondra à vos questions sur les titres à revenu fixe. Un texte intéressant contenu des annonces de la Fed et donne notre banque centrale.
Vous pouvez d'ores et déjà nous poser vos questions@moneytalklivetd.com merci et à bientôt!