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(musique) – Bonjour! Ici Greg Bonnell. Bienvenue à Parlons Argent en direct, une nouvelle émission quotidienne de placements directs été diffusé sur le Web. Nos invités commentent l'actualité des marchés et répondre à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, je m'entretiens avec Alexandra gloriri, gestionnaire de portefeuille (...). Nous poursuivons la découverte de CourtierWeb. (...) nous explique comment trouver différents types de placements à revenu fixe. Posez vos questions par courriel. Mais d'abord un coup d'œil sur les marchés. La journée a été quelque peu mouvementée jusqu'ici. Mais les indices, dans l'info que j'ai vérifiée, afficher des résultats positifs. À l'heure actuelle, les indice TSX composite est en hausse de presque 1 %. Comme je l'ai dit, la séance a été mouvementée. Bâche, un recul de 50 % en une seule séance. Le catalyseur, une décision défavorable d'un tribunal dans le combat relatif à un médicament pour un trouble intestinal. L'action recule donc de moitié pendant une seule séance. Parents de Shopify, cette semaine, l'action a dégringolé après l'annonce de coupures de personnel. Le chef de la direction a avoué qu'il avait mal jugé la persistance du baume du commerce en ligne. 1/2 % de recul. Pour cent de progression. Hier, les bénéfices ont représenté une surprise négative, mais maintenant, le titre est en progression. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 instantané des marchés américains, tandis que les marchés boursiers assimilent la décision de la Fed et les propos de Jerome Powell. Aujourd'hui, (...) l'indice progresse de 31 %. Les titres de la technologie sont remontés assez spectaculairement hier. Et aujourd'hui, en hausse de 24 %. Pfizer, la réaction des milieux à l'annonce de leurs bénéfices, le titre est pratiquement inchangé. Les investisseurs assimilent toujours les décisions de la Fed et cherche à déterminer si Jerome Powell va ralentir le rythme des augmentations pendant l'automne. Que nous dit le marché obligataire? Alex Gorewicz être gestionnaires de portefeuille pour les titres à revenu fixe. Bonjour Alex. Il me semble que les milieux financiers cherchent toujours à comprendre ce que nous avons entendu hier. Nous avons entendu les paroles, mais l'idée que la Fed pourrait parvenir à la fin de ce cycle d'augmentation énergique des taux, est-ce réaliste? – Parole a beaucoup insisté sur les données autres que celle de l'inflation pendant la période de questions. Et c'est là où les marchés ont commencé à supposer que ces décisions étaient plus équilibrées que prévues, voire moins énergique qu'on ne l'escomptait. Peut-être que la Fed ne va pas relever les taux autant qu'elle l'avait laissé entendre. Par ailleurs, Jerome Powell a plusieurs fois affirmées que la meilleure piste, quant à Hippolyte (...) d'ici la fin de cette année, a d'ores et déjà été exposé à la réunion du mois de juin. C'est à ce moment-là que la banque a affiché ses pronostiques économiques, y compris les graphiques. . Jerome Powell a dit que la banque sentier de ses pronostiques et demeure raisonnables. Or, depuis, les chiffres de l'inflation ont été étonnamment élevés, quoi que la croissance est inférieure aux prévisions. Le marché a voulu entendre que la banque fédérale serait moins énergique que prévu. Mais Jerome Powell a dit que la lutte contre l'inflation donnerait sa priorité. Une augmentation de 75 points de base en septembre demeure sur la table. Il se pourrait que le taux directeur passe à 3 %, voire trois. 5 %. Tout ceci est toujours sur la table. Et puis, en 2023, d'autre augmentation. C'est toujours sur la table. Le marché a entendu ce qu'il voulait entendre plutôt que ce que Jerome Powell a dit. C'est comment premier année d'université. Quand on prépare une dissertation. Est-ce que vous essayez de déclencher une récession? On lui demande toujours. Bien sûr, il a répondu: c'est pas ce que nous voulons. Nous ne pouvons pas l'exclure. Aujourd'hui, les chiffres du PIB, est-ce que l'on doit ergoter sur l'existence d'une récession? Le fait est que l'économie américaine n'est pas en expansion depuis le début de l'année et que les l'inflations est à un niveau élevé. La situation est peut-être difficile et paradoxale. En considérant les chiffres du PIB pour le premier trimestre et le second et le troisième. Au premier, la faiblesse était d'attribuer un facteur externe. Tout le monde a dit: l'économie intérieure est toujours excellente. Au deuxième trimestre, c'était les inventaires. Les compagnies avaient reconstitué leurs inventaires. Mais ce facteur ne s'applique plus. Quoiqu'il y a eu une certaine faiblesse dans l'investissement résidentiel, ce qui est un facteur intérieur. Peut-être sait-on alors dit que ces facteurs ne sont pas extérieurs quant à la croissance économique. Et puis, nous avons également remarqué, si l'on considère la consommation des particuliers, même si ce chiffre est toujours positif, chaque trimestre, depuis trois trimestres, ce facteur est en baisse. Pourrait-il être inchangé, voire négative au troisième trimestre? Ce serait une surprise s'il affichait une baisse. Mais dans la mesure où chaque trimestre supplémentaire additionne des facteurs intérieurs de faiblesse du PIB, cela permet à la Fed de plus en plus difficilement d'ergoter sur l'existence d'une récession. Toutefois, en ce qui concerne l'inflation, elle demeure très élever. Il y a certains signes qui laissent croire que l'inflation amorce un virage, même si le mandat de la Fed tient compte des indices de l'inflation générale, y compris le carburant et l'alimentation. C'est donc cet indice laquelle afin de réduire. Lorsque qui sidère l'inflation de base, c'est que le marché du travail est trop resserré. Il a dit et répété hier, il voudrait qu'il y ait un ramollissement du marché du travail. Ce qui exercerait une moindre pression sur la donnée de l'équation. Contenu de ce que nous avons entendu hier, compte tenu des chiffres sur l'économie américaine, que nous dit le marché obligataire? – J'y ai fait allusion. Les investisseurs ont entendu ce qu'il voulait entendre. Mais le marché obligataire est censé être plus malin que cela. Il y a la coupe de rendement, c'est inversé, même si ce ne sont pas tous les points. La cour de trois mois à 10 ans qui est l'indice prospectif préféré de la Fed le reste légèrement positif. Si l'on considère l'intégralité de la cour de rendement, elle est déjà inversée et les depuis quelque temps. Le marché obligataire nous affirme volontiers que nous sommes les plus malins et nous précisons ceci depuis longtemps. Mais quand on considère le fait que les bourses ont remonté hier, la volatilité implicite des actions des titres à revenu fixe à diminuer, il s'agit généralement d'une évolution positive. La plupart des investisseurs semblent dire que la réaction est essentiellement positive car la Fed ne va pas resserrer à l'excès et ne vendons pas nécessairement déclencher une récession à dessein. On pourrait également tirer de cela le fait que beaucoup d'investisseurs pensent que le virage de la Fed interviendra beaucoup plutôt comme le prévoit l'art actuel. Voilà ce qui arrive quand la sienne dit qu'elle n'a pas donnée des orientations futures et qu'elle va se fonder sur les données et prendre des décisions au fur et à mesure. Les investisseurs vont consulter les données et tirer leurs conclusions. (...) les écarts de crédit se sont resserrés. Il y a eu une remontée des actifs risqués. Il y a quelque chose dont peu de gens parlent: c'est le seuil de neutralité de l'inflation, c'est-à-dire les points de vue du marché quant à l'inflation. Ce seuil a augmenté. Il se pourrait que certains investisseurs spécialisés se disent: attention, même si l'inflation semble amorcer un virage, est-ce que ce virage est suffisamment rapide et quel en est la trajectoire? Qu'est-ce que ça signifie pour la Fed. Si nous tombons en récession alors que l'inflation est encore éloignée de sa cible, quel genre d'assouplissement pourra-t-elle mettre en œuvre. Et si c'est le cas, est-ce que ce serait une erreur qui déclencherait une remontée de l'inflation? – Excellent départ pour notre émission. Nous allons répondre à vos questions dans quelques instants. Envoyez-nous un courriel vous saisissait votre question dans la boîte au bas de votre écran. À présent, l'actualité du monde des affaires. C'est la première diminution trimestrielle de vente pour la société Méta plateforme, elle est sous pression à cause d'un ralentissement de la demande de publicité numérique. Les pronostics de Méta pour ce trimestre sont également inférieurs aux attentes. Marc joue Carbaglu cherche à réorienter la compagnie sur le métavers pariant que les gens souhaiteront s'immerger dans la réalité virtuelle. Mais dans le monde réel, l'inflation en hausse et les craintes de récession entraînent une réduction des demandes de publicité qui se ressente sur les messages sociaux. (... ) utilitaire sportif et de véhicules multi segment a permis à Ford de dépasser les à tante à l'égard de ses bénéfices pour le crier (. ..). Toutefois, Ford met en garde en affirmant que le coût des produits de base est en hausse. Le chef de la direction a déclaré qu'il envisageait des réductions de coûts, mais n'a pas voulu commenter des récents articles affirmant que Ford prévoit jusqu'à 8000 directes réductions d'emploi. Les investisseurs dans le secteur de l'énergie reçoivent un autre dividende extraordinaire. Cette fois, c'est tourmaline oïl qui restitue l'argent aux actionnaires avec une hausse de son flux de trésorerie disponible. Le dividende spécial de deux dollars l'action sera payée aux actionnaires inscrits le 5 août. La flambée des prix de l'énergie permet aux compagnies pétrolières de disposer d'une trésorerie considérable. À présent, un coup d'œil sur les marchés. La séance du matin a été mouvementée sur l'indice TSX composite. L'indice S&P 500, les investisseurs sont dûment rachetés mais plus prudents qu'il ne l'était hier après-midi, 24 points, 1/2 %. Nous revoici en compagnie d'Alex Gorewicz. Nous répondrons à vos questions. En voici une, Alex. Les entreprises mettent en garde quant à l'impact de la remontée du dollar américain sur le taux de change. Prévoyez-vous que ce phénomène se poursuivre? – On n'a pas les moyens de s'opposer à ce que fait la fête. Mais si on ne sait pas ce que la Fed va faire aussi la Fed vous y: nous allons nous baser sur des données que nous ne possédons pas encore, il ne faut pas lutter contre les marchés. Si les marchés considèrent que l'interprétation de la réunion d'hier de la Fed signifie que la croissance est plus importante que le pique de l'inflation est derrière nous, on s'attendrait à ce que le virage intervienne tout plus que tard. Encore une fois, il s'agit de suivre le mouvement du marché auquel cas le dollar américain sport ne représente plus un problème, au moins jusqu'à ce que nous recommencions à nous inquiéter de l'inflation. Mais puisque les craintes sont au premier temps, (. ..). Je songe à la réaction en temps réel hier après-midi. Le dollar canadien a rétrogradé considérablement. Cela montre à quel point les négociateurs de devises sont sensibles à ce que la Fed peut ou ne peut pas faire. Vous l'avez très bien dit, si c'est à nous de décider ce que la Fed va, nous avons tiré nos conclusions. – Au niveau des taux de change, il est évident que l'on s'intéresse beaucoup à la croissance. Le yen japonais est en hausse contre toutes les autres devises. En général, cette année, cela est étroitement corrélé avec les taux d'intérêt. Ceci ayant diminué le yen (... ) plus-value par rapport à toutes les autres monnaies. – Une autre question. Quel est votre point de vue sur les obligations liées à l'inflation ou autre forme de protection contre l'inflation pour le portefeuille? C'est une question très intéressante par les temps qui courent. – Tout d'abord, il importe de se rendre compte que les obligations liées à l'inflation, je vais m'intéresser aux États-Unis mais c'est le cas au Canada, sont très corrélés avec les produits de base. Les produits de base ayant affiché un basculement, mais pas tellement nette, mais ayant tout de même amorcé un basculement, il y a eu un basculement semblable dans les attentes à l'égard de l'inflation. Le problème, comme je le disais tout à l'heure, c'est le dilemme de la Fed, avec quelle rapidité et l'inflation va-t-elle se normaliser. Si la Fed adopte une attitude plus équilibrée ou moins énergique, est-ce que cela aura une influence sur les attentes? Il y a une correction considérable dans ce secteur pour l'avenir il se pourrait qu'il y ait de bonnes possibilités de couverture, selon l'hypothèse que la Fed amorçons virage trop tôt. Il est intéressant que vous ayez évoqué Ford. Ford et quelques autres grands constructeurs américains vont entrer en 2023 dans un cycle de négociations avec les syndicats, lesquels vont revendiquer des hausses de salaires content tenu de l'inflation qui s'est produite depuis un an et compte tenu du fait que la croissance nominale des salaires n'a pas suivi l'inflation. Les salaires diminuent. Est-ce que cela, dans la mesure où la Fed et notre banque centrale cherche à écraser la demande, laquelle est très forte dans un environnement où l'approvisionnement est limité, s'il y a des augmentations de salaire, on ne peut pas les reprendre. – Voilà, la fête affirme qu'elle ne peut pas déclencher une récession, mais elle prévoit de ralentir la demande excédentaire sans nuire à la demande normale pour parvenir à un atterrissage en douceur. C'est-à-dire la demande qui assure l'équilibre du marché intérieur. Ce chemin devient de plus en plus ardu. Les affirmations de la fête sont contradictoires. Il est vraisemblable qu'il faille qu'une récession se déclenche et que le chômage augmente de façon notable. C'est-à-dire que les salariés perdent une partie de leur pouvoir d'achat. Au début de l'année, les travailleurs pouvaient demander les salaires qu'il souhaitait, travailler à domicile s'il le voulait. La situation s'est renversée spectaculairement. D'une part, la Fed affirme qu'elle ne veut pas déclencher une récession, d'autre part que les marchés du travail sont serrés. Mais on peut pas avoir un certain ramollissement. Mais sans en maîtriser la proportion. Je voudrais revenir au secteur des obligations. Qu'est-ce que les investisseurs doivent savoir s'ils envisagent ce genre d'investis, obligations liées à l'inflation? – Au Canada, le marché est axé sur des facteurs techniques. C'est plus spécialisé. Il n'y a pas de vase d'investisseur général. L'offre et la demande de ce genre d'obligations est en définitive le moteur de rendement. Même si l'inflation augmente et qu'on s'attendrait à ce que ces obligations donnent un meilleur rendement, ce ne sera pas le cas. Il y a beaucoup plus de liquidités, de profondeur de marché aux États-Unis en ce qui concerne les obligations liées à l'inflation. Je dirais que c'est sans doute un marché plus intéressant. En outre, lorsqu'on compare les États-Unis et le Canada, ici, nous sommes tellement inféodés économiquement aux États-Unis que l'on ne s'attend pas à ce qu'il y ait une divergence considérable. Ce n'est pas comme si le taux d'inflation Canada continuera de flamber tandis qu'il baissera aux États-Unis. Les taux d'inflation dans les deux pays évolueront de concert. Faites vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Nous reviendrons vos questions pour Alex Gorewicz dans quelques instants. Vous pouvez nous les poser en tout temps par courriel. À présent, découvrons CourtierWeb. Nous parlons des titres à revenu fixe aujourd'hui. Si vous souhaitez investir dans ce secteur, CourtierWeb propose des outils qui vous aident à faire les recherches sur vos possibilités. Revoici nous voyons Aryna, responsable de la formation chez TD. Parlons des différentes options pour les investisseurs sur la plate-forme. – Ça me fait toujours plaisir de participer à l'émission. Lorsque les investisseurs songent à investir dans le secteur des titres à revenu fixe, il existe des fonds d'investissement. Sur CourtierWeb, si vous êtes investisseurs auto dirigés, il y a des fonds de placement et des fonds cotés en Bourse. L'idée d'utiliser des fonds d'investissement, c'est qu'il permet à ses investisseurs de se diversifier. Un petit placement peut aller très loin au plan de la diversification dans le portefeuille de l'investisseur. Cela peut également aider les investisseurs qui ne sont pas tellement à l'aise lorsqu'il s'agit de faire des recherches. Ainsi que les investisseurs qui n'ont pas le temps de le faire. Je précise que lorsqu'il s'agit des fonds de titres à revenu fixe, il existe une gamme de produits. Par exemple, les investisseurs peuvent avoir accès à des ponts des titres à revenu fixe comme des fonds du marché monétaire, des fonds d'obligations à rendement élevé ou encore des fonds d'inflation liée à l'inflation. Quelques différences entre les fonds négociés en bourse et les fonds communs de placement, qui sont les différents types qu'on trouve sur CourtierWeb. Les fonds communs de placement sont à (. ..) une fois par jour. Les investisseurs qui veulent s'en servir doit savoir qu'il y a en général une période de détention minimum. Mais les investisseurs pourraient envisager de recourir à des fonds communs de placement parce qu'ils peuvent acheter des fractions de parts. En établissant un programme d'achat systématique ou automatisé. Qui leur permet de prendre une fois pour toutes la décision d'investir. Les investisseurs peuvent acheter les fonds communs de placement sur une bourse, mais il pourrait être sujet (.. .) mais il n'y a pas de période de détention minimum. En revanche, il pourrait nécessaire de payer des commissions ou des frais. Mais les investisseurs pourraient acheter ces fonds lorsque le prix est bas et le vendre lorsque le prix remonte. Tous ces fonds ont une tendance à avoir un ratio de frais de gestion. Les investisseurs bénéficient d'un fonds géré professionnellement. – Merci pour ce survol. Allons sur CourtierWeb. Comment un investisseur peut-il trouver (...) sur la plate-forme? – Jetons un coup d'œil. Une fois sur WebBroker, l'investisseur peut cliquer sur recherches. Nous allons nous concentrer sur les FNB parce que cette page est identique à celle des fonds communs de placement. L'investisseur qui recherche une catégorie spécifique, en l'occurrence, prenons les fonds d'obligations canadiennes. Cliquant sur obligations canadiennes et nous pouvons ensuite faire défiler la page et nous voyons les catégories qui se comportent le mieux et le moins bien. Le spectateur nous a demandé s'il était possible d'avoir accès à des fonds à taux variable dans CourtierWeb. On peut exposer les dysfonctions disponibles pour les investisseurs qui veulent voir l'ensemble de la catégorie, nous allons cliquer sur l'onglet catégorie et nous concentrer sur les FNB cotées sur les bourses américaines. Et nous allons cliquer sur les obligations imposables. Les investisseurs peuvent passer en revue les différentes sources sous-catégorie de fond à revenu fixe, mais on peut ensuite filtrer en fonction du rendement depuis trois ans. Vous et Alex avait parlé des obligations liées à l'inflation. L'investisseur peut explorer les 23 fonds d'obligations liées à l'inflation en cliquant sur ce lien pour se faire une meilleure idée de ce que proposent les fonds qui revendiquent le titre lié à l'inflation. Tout d'abord, il y a une définition sur la droite. Ils peuvent filtrer ses 23 fonds à la droite en fonction du rendement ou de la proportion du ratio de frais de gestion ou du rendement en distribution de chacun de ces fonds. Cela donne à l'investisseur toute une gamme de fonds différents et la possibilité de faire des recherches grâce à WebBroker. – Merci encore une fois. (. ..) est responsable de la formation à placements directs et D. (...). Avant de recommencer à répondre aux questions, pour Alex Gorewicz, je vous rappelle comment nous poser vos questions. Avez-vous des questions sur les placements ou les marchés? Vous pouvaient la poser soient par courriel ou dans la boîte de questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Un de nos invités pourrait vous répondre en direct. Nous revoici en compagnie d'Alex Gorewicz. D'après vous, quel va être l'évolution des types de créances entreprises d'ici un an? – Cette question est un peu plus délicate. Au niveau des données fondamentales, quand on considère les flux de trésorerie disponible est différent ratio, indicateurs financiers qui nous donnent une idée de la position des types de créances entreprises, il semble que leur position est assez bonne. Encore plus que ce n'était le cas à l'orée de la pandémie, de la récession, que cette dernière a induite. Cela signifie que l'élargissement que nous avons vu depuis le début de l'année quant à l'écart des titres de créance de société, c'est-à-dire la différence de rendement par rapport aux bons du gouvernement, est attribuable à l'augmentation de la volatilité, au virage amorcé par les banques centrales. Mais dans l'avenir, les écarts devraient continuer d'augmenter dans la mesure où la récession qui s'annonce sera profonde. Je ne fais pas un pronostic fan. Je pense qu'il y aura une récession. La question de savoir quel en sera la gravité. Lorsque l'on songe aux différents variable que les pronostiqueurs utilisent pour nous aider à voir venir, on trouve le taux de chômage, les indicateurs des responsables des achats et certains utilisent l'écart des obligations d'entreprise comme indicateur. Et l'emploi, paraît-il, serait le dernier investisseur à réagir, le dernier indicateur à réagir. Mais nous avons constaté depuis quelque récession que c'est l'écart de crédit des obligations de société qui est le dernier indicateur à réagir. Il y a une influence extérieure, et non pas un problème de crédit d'entreprise qui déclenche le ralentissement, les entreprises sont bien passées pour surmonter ce ralentissement économique. Mais la question qui se pose est de savoir combien profonde sera cette récession. Est-ce que les entreprises pourront résister jusqu'à la relance? Si les entreprises ne s'adaptent pas suffisamment rapidement, les trésoreries disponibles pourraient devenir négatif. Au niveau de la bourse, on cherche des dividendes, nos rendements. On peut peut-être s'emballer. Lorsque le rendement en dividende est trop élevé. Au niveau des obligations d'entreprise, il y en a qui ont une note plus élevée. Est-ce que c'est le même genre d'arbitrage quand on fait des recherches? Si le rendement est élevé, ne peut-on pas se s'interroger sur la raison du fait qu'il est aussi dit? – Tout à fait. C'est en fonction de l'endettement souvent. La qualité de crédit et le rendement est très étroitement lié au levier. À l'endettement de la compagnie. Plus le levier est élevé, plus il lui sera difficile de survivre à un ralentissement économique, surtout prolongée. Je dis pas que c'est cela qui nous attend, mais il faut tenir compte de cela en ce qui concerne les avantages et les inconvénients. Quant au rendement global, si nous abordons une récession, les investisseurs se préoccupent plus du ralentissement de la croissance et le rendement des obligations du gouvernement continuera de diminuer. Le phénomène se poursuivra temps que l'inflation semble amorcer un virage. Mais si les écarts de crédit augmentent parce que les entreprises sont jugées appeler à être frappées prochainement, la performance totale d'une obligation d'entreprise ne va pas nécessairement être aussi mauvais qu'on l'envisagerait si les taux d'intérêt étaient inchangés et que les écarts de crédit augmenté. Pour faire court, le revenu que l'on tire des obligations d'entreprise aujourd'hui semblent assez intéressant, mais il y a des risques de sous performance par rapport à une obligation du gouvernement à maturité. – J'en apprends des choses! Une autre question. Il semble approprié d'aller jusqu'au sommet de la fourchette neutre, c'est-à-dire 3 %, c'est-à-dire en territoire restrictif. Le taux directeur serait relevé jusqu'au-delà de la fourchette neutre. Le consensus général, c'est qu'il y aura sans doute 75 points de base d'augmentation. Le taux d'inflation n'affichera pas un revirement suffisant pour assurer la banco. Quelle marque une pause. Est-ce qu'il y aura une hausse de son points de base? Je pense que la barre est très haute, surtout que le prix des produits de basse ont amorcé un virage depuis quelques semaines, ce qui va soulager l'inflation vedette. La base est très élevée mais je pense que nous irons à 75 points. Après cela, la banque centrale va sans doute renoncer à annoncer les augmentations futures, comme les autres banques centrales ont fait et va déclarer qu'elle se contentera de faire ses annonces à chaque réunion. De notre point de vue, lorsqu'on compare à Banque du Canada à la Fed, cette dernière a davantage de marge de manœuvre. Est-ce à cause de la situation où nous nous trouvons avec l'endettement des ménages et le marché du logement? Vous avait certainement que le logement va être un facteur limitatif lorsqu'il s'agit de ce cycle de resserrement en ce qui concerne la Banque du Canada. La vente Canada a déclaré qu'il s'agit: difficile dans notre économie au niveau de la stabilité financière. La CSC HR a déclaré que si la Banque du Canada remontent les taux d'intérêt jusqu'à 3 % d'ici la fin de l'année, il y aura sans doute une récession pendant le premier semestre 2020… et les prix de l'immobilier va sans doute diminuer davantage. Les Canadiens surveillent de près la valeur de leur maison, même s'ils n'ont pas de prêt hypothécaire. Cela leur inspire un sentiment de richesse est saisissante que le riche diminue, ils seront moins enclins à dépenser. La probabilité qui se met à épargner va augmenter. – Cette question représente un bon suivi. Est-ce qu'une récession, si récession il y a, frapperait le Canada plus durement que les États-Unis? – La réponse c'est que oui. Mais il faut ajouter une nuance. C'est-à-dire la rapidité avec laquelle l'inflation diminue en soins ce serait mon scénario de base, je crois. Il est très facile d'aller de huit. 5 % à 4000 % d'inflation. Mais il est beaucoup plus difficile (.. .). 2 % étant la cible de la Banque du Canada. Ce scénario signifie au fur et à mesure que la croissance ralentit, diminuer les taux d'intérêt ou si elle le fait, ce ne sera que légèrement pour revenir au territoire neutre entre deux et 3 %. La banque ne va pas nécessairement réduire le taux en deçà de ce niveau neutre tant qu'elle affirme que l'inflation est sa priorité. Il s'agit d'une position très difficile, tout dépend réellement du calendrier. Si les ménages ne bénéficient pas de ce soulagement, la psychologie de la richesse des ménages va sans doute entraîner soit une correction plus prolongée, soit un ralentissement plus profond au Canada par rapport aux États-Unis, où les ménages ont tiré leurs conclusions après la grande récession de 2008 et 2009. C'était le marché du logement qui avait déclenché la récession. Les ménages se sont désendetté. La dette est diminuée par rapport à il y a 10 ans. Alors qu'au Canada, elle a continué de grimper. La Banque du Canada devra dire: nous savons que vous souffrez mais le moment est venu pour nous accepter notre traitement. Avec le temps, si l'inflation ne diminue pas suffisamment rapidement, cette probabilité augmente. Nous reviendrons à vos questions pour Alex Gorewicz dans un instant. Faites vos propres recherches avant de prendre une décision de placement. Vous pouvez communiquer avec nous en tout temps. Avez-vous une question sur les placements les marchés? Vous pouvaient la poser soient par courriel ou dans la bonne question au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer. Nos invités pourront vous répondre en direct. La réserve fédérale continue de relever les taux afin de juguler l'inflation. Valeurs mobilières TD publient un nouveau rapport. Voici Anthony Okolie. – Valeur immobilière TD envisage une inflation de 7,6 (.. .) pour l'inflation vedette et de base du quatrième trimestre à la fin de cette année. Un peu de contexte. Alors actuel, l'IPC aux États-Unis état neufs, 1 % depuis début d'année. De plus élevé que depuis des dizaines d'années. Le chiffre de base demeure très élever à 5,9 %. Globalement, valeurs mobilières TD s'attentent à ce que l'inflation vedette et de base atteinte un sommet sur 12 mois, que l'indice des prix à la consommation continue d'augmenter sous l'impulsion des prix de l'énergie et du logement, ni valeurs mobilières TD prévoient une bifurcation de ces facteurs parce que la dynamique de l'énergie ne (...) se soutenir. En revanche, la croissance des États-Unis devrait s'atténuer en 2023, notamment au deuxième et troisième trimestre. En 2023, ville (...) prévoit que l'inflation vedette et de base achève l'année à 3,4 et 3,6 % du quatrième trimestre au quatrième trimestre. Nous ressentons l'inflation dans les différents secteurs. Lorsqu'on songe à l'énergie et à l'alimentation. Alexia fait allusion tout à l'heure, il y a un affaiblissement général des prix et des produits de base, y compris le blé, le maïs et les ancrer. Inflation des prix alimentaires devrait s'atténuer. On ne prévoit pas que l'inflation du logement s'atténue à court terme, mais on prévoit que le ralentissement du marché américain aura un impact sur les coûts de logement dans la deuxième moitié de 2023. – Merci, Anthony. Nous sommes à mi-chemin de la pause du midi. Voyons ce qui se passe sur les marchés financiers. Je suis curieux de le savoir. Est-ce que nous avons maintenu nos gains? Indice composite TSX affiche une hausse de 172 points avec des gains modestes au fil de la séance. Il se rapproche de 1 % de. Arthabaska Oil annonce des bénéfices. 2,29 $, une baisse de 5 %. Certaines des mines d'or semblent être en hausse. En hausse de 3,8 %, jusqu'à 4,47 $. Aux États-Unis, l'indice S&P 500 est en hausse. Elle maintient ses gains. Je crois que (.. .) va intervenir cet après-midi pour évoquer les indicateurs économiques récemment publiés. Voyons si l'administration Biden m'a affirmé qu'il s'agit d'une récession ou non. Je m'en remets aux gens plus malins que moi, y compris (. ..). L'indice Nasdaq, spécialisée dans la technologie, est actuellement en hausse d'un peu moins de 0,5 %. Après une remontée très forte hier après-midi après la décision prise par la Fed et les observations de Jerome Powell. Méta plateforme étant (. ..). Les ventes de la compagnie parents de Facebook sont en baisse. La compagnie parie sur le métavers mais il faudra quelque temps avant que nous ne trouvions. Revoici Alex Gorewicz de Gestion d'actifs TD. Voici une question qui nous arrive instant. Que va-t-il arriver à l'euro cette année? – Je voudrais avoir un métavers où tout irait bien, oui frissonner, il y aurait des arcs-en-ciel. Malheureusement ce n'est pas le cas. L'euro va être une devise très difficile à pronostiquer. L'euro a beaucoup baissé par rapport à toutes les autres monnaies. C'est normal. Le taux directeur était resté inchangé jusqu'à il y a une semaine. -50 points de base. Encore une fois, cela se compare à une inflation très persistante. Des niveaux qui ne sont pas appropriés pour cette attitude au plan des politiques. L'inflation moyenne en Europe tourne autour de 8 %, mais dans certains pays comme l'Espagne, elle dépasse 10 % sur 12 mois. Des chiffres étonnants et ce, même à 0 % de taux directeur. C'est là où se trouve le taux de direction après une augmentation de 50 points de base. La justification était en partie que l'inflation n'est pas attribuable à des facteurs internes mais à des chocs externes, pressions au niveau de la chaîne d'approvisionnement, invasion de l'Ukraine par la Russie et conséquences pour le marché des produits de base, augmentation des cours de ces derniers, le roi étend importatrice nette d'énergie, cela lui a fait subir de nombreuses pressions, qui échappe au contrôle de la BCE. Mais la dynamique des facteurs qui s'exercent sur les prix et les dépenses que nous devons faire au niveau de l'alimentation de l'énergie pour faire le plein et faire tourner nos usines, tous ces éléments obligent les gens à commencer à obtenir des augmentations des taux. Pourquoi j'en parle? Quand on laisse l'inflation augmentée par rapport à d'autres monnaies, la parité du pouvoir d'achat diminue. Ce qui explique essentiellement la performance de l'euro jusqu'ici cette année. Pour l'avenir, si nous pensons que la Fed va amorcer son virage d'abord, que les autres banques centrales entameront leur village, elles ne vont pas adopter une approche plus équilibrée de politique monétaire. On pourrait soutenir que l'euro devra (.. .) il n'y a pas de distribution normale de fonction de risque que l'on puisse créer pour cela. Le résultat pour l'euro pourrait être bimodal. Ou bien la Russie augmente l'approvisionnement en gaz par le gazoduc à 100 % de capacité ou bien elle ne le fait pas. Elle n'a même pas besoin de le faire. Si elle continue de l'exploiter à 20 % de sa capacité comme le fait maintenant, ceci entraînerait non pas seulement un univers très difficile pour l'Allemagne, qui dépend beaucoup du gaz russe, mais pour l'Italie. Cela va déclencher des difficultés pour la base industrielle de Rome. Il faudra mettre en œuvre un rationnement, réduire la production, licencier du personnel. Ça ne signifie pas que les pressions qui s'exercent sur les prix disparaissent. Au-delà de ça, c'est là où il devient de plus en plus difficile de voir ce que l'euro va faire par rapport aux autres monnaies. Il faudra des pressions renouvelées qui commencent à afficher des signes d'affaiblissement. Les pressions relatives à la chaîne mondiale d'approvisionnement semblent s'atténuer, mais l'Europe est un centre manufacturier important pour le monde. La perspective de réduction de la production en Europe aura un impact sur nous. C'est là où la dynamique devient moins européenne est davantage mondiale encore une fois. Si cela se produit, où en est la politique monétaire? Nous nous retrouvons à la merci de la fête ou de la Banque du Canada, qui devront procéder à des augmentations encore plus poussées. La dynamique de l'euro est équilibrée au niveau des risques d'une part. Le rôle devrait réaliser une plus-value vient se comporter par rapport au dollar américain aux Canadiens. Et la Banque du Canada et la Fed sont plus près de la fin du cycle d'augmentation. Mais inversement, il y a trop de risques géopolitiques et économiques à l'heure actuelle en Europe qui rende la stagflation une possibilité réaliste et qui pourrait se répercuter sur nous. Cela permet difficilement de prédire l'évolution de cette monnaie. – Merci Alex pour vos interventions et à bientôt. Rester à l'écoute. Après la longue fin de semaine, nous allons accueillir (... ) qui répond à nos questions sur la Chine. Vous pouvez d'ores et déjà nous poser vos questions par courriel.