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(musique) Bonjour, ici Greg Bonnet. Bienvenue à Parlons Argent en direct une émission quotidienne de Placements directs TD. Nos invités vont commenter l'actualité des marchés répondre à vos questions. Au sujet bien sûr déplacement. Aujourd'hui, donc, nous allons voir quoi attendre de la part de la fête aujourd'hui pour ce qui est des taux d'intérêt, avec Robert Pembertone de gestion passe en TD, dans la section formation, Bryan Rogers va parler d'utiliser la plate-forme pour faire déplacement. Du côté des titres et revenus fixes, envoyez-nous vos questions à l'adresse qui figure à l'écran ou en cliquant bien sûr sur la casse des questions en bas de l'écran. Auparavant, donc, une mise à jour au sujet des marchés boursiers. Sévère aujourd'hui. Avant ce grand événement prévu cet après-midi, la rencontre bien sûre de la Fed américaine qui ressort d'une réunion de deux jours. Alors on prévoit une hausse de à zéro, 75 % des taux d'intérêt. Le S&P 500 est en hausse de presque un quart de pour cent. Espace technologie, maintenant, c'est un peu difficile par les temps qui courent. Presque 25 $ l'action, une hausse de presque 4 %. Un peu plus de 4 %. Maintenant, les aurifères, Ryan De Gaulle par exemple, la détention du côté de la Russie, maintenant le corps de l'action est en hausse de à zéro, cette pour cent. De l'autre côté de la frontière, marché américain bien sur le S&P 500, nous sommes à deux heures d'une annonce de la Fed américaine est encore une fois, c'est modeste comme aussi, un peu moins de à zéro, 5 %. Le Nasdaq maintenant, en comparaison du reste des marchés boursiers, donc une hausse de presque 50, héros, 5 %, alors, COTY, dans le domaine des cosmétiques, les gens parlent beaucoup, de maquillage, donc une hausse de 5,5 %, pour atteindre 1, Cours de 8,2 cents à l'action. Alors qu'elle que heures bien sûres de l'annonce, grandement attendu de la fête, on prévoit une hausse des taux d'intérêt encore très importante, on verra ce que dira Jerome Powell, ce qui va être important pour nous comme investisseur. Robert Pembertone, responsable des titres à revenu fixe chez gestion de placements TD, alors qu'est-ce que vous pensez qu'on obtiendra à deux heures cet après-midi? - Eh bien, j'espère que vous l'avez dit qu'on obtiendra une hausse de ses revenus sont de 15 points de base, étant donné les augmentations de l'inflation, évidemment, ce serait important. À mon avis, si la Fed passait à 100 points de base, s'indiquerai au marché qu'ils ont pris du retard sur la courbe et qu'ils ont peur, et qu'il cherche à se rattraper. Je ne pense pas que ce serait bon pour leur crédibilité. Donc nous nous attendons à 75 points de base comme hausse des taux d'intérêt ce qui serait conforme à leurs objectifs est-ce qu'un décret bien sûr au marché aussi qu'ils suivent véritablement ce qui se passe et ce qu'ils offrent comme informations marchées, ces derniers mois, c'est tout à fait conforme à la réalité. - Est-ce que c'est la clé pour eux, de dire aux gens, nous on sait que l'inflation est très élevée, il faut la maîtriser? - Pas inquiet, nous savons que nous pouvons maîtriser ça. C'est un petit peu sa latitude. On voit ambition agressif, on peut pas prendre du retard. - Oui, je pense que c'est l'impression qu'ils veulent, et c'est la raison pour laquelle il n'y a pas eu de hausse des taux d'intérêt entre les réunions de la Fed, car encore une fois, cela crée l'impression qu'ils ont pris du retard par rapport à la courbe de l'inflation. Donc ils ont prévu beaucoup de hausse des taux d'intérêt important, à mon avis, 175 points de base, aujourd'hui encore, et enfin de compte, vous l'avez dit, c'est le scénario qui va compter. Est-ce que le président Powell va s'en tenir au scénario est-ce qu'il va improviser. Étant donné ce qu'on a vu depuis la rencontre de Jackson Hole, alors que pour la première fois, un président de la Fed a prie la parole pendant moins de 10 minutes, donc son discours a duré huit minutes et il a parlé des hausses de taux d'intérêt qui va maintenir à des niveaux plus élevés pendant plus longtemps que prévu. Il faut que les marchands tiennent compte. Alors que nous nous tournons vers ce qui s'annonce pour un proche avenir après bien sûr c'est os de ton intérêt. À Jackson, il n'y a pas eu beaucoup d'improvisation. J'étais comme vous, j'écoutais ça, j'étais un peu occupé, je regardais ça, et tout d'un coup, il a dit voici ce que je suis venu dire, je l'ai dit, c'est terminé je ressors. Il n'a pas improvisé. Non, je pense que les marchés, aujourd'hui, on se demandait d'abord ce que les remarques très rédigées vont indiquer, et de voir à quel point il va s'en tenir au scénario très rédigé au moment de la période de questions. Alors en juin juillet, il y a eu l'idée d'un pivot, ça proviendrait de certains de ses commentaires pendant la période de questions au moment de son intervention, après la réunion, et puis nous espérons aujourd'hui qu'il s'en tiendra à ce qui est prévu, qu'il aura son discours rédigé d'avance, et qu'au moment de la part de questions, il retournera au même message fondamental. Bien souvent, on a suivi de près ce qui se passait, seconde après seconde minute après minute, on se dit qu'est-ce qu'il a dit, qu'est-ce qui nous annonce, qu'est-ce qui va se passer, et on suit les marchés de prêt, il semble y avoir des risques à tout cela. On obtienne annonce, on voit les réactions des marchés, hélas évidemment son annonce rédigée, et puis il y a la période de questions où les choses peuvent prendre une autre tonalité. Et c'est là bien sûr que la volatilité pourrait resurgir cet après-midi, mais les investisseurs devraient se rappeler que tout ça, ça finit par se placer, et les investisseurs doivent comprendre que la Banque du Canada, la Fed américaine, la banque d'Angleterre, la banque centrale européenne, n'ont pas fini de hausser les taux d'intérêt. Les gens de la banque centrale suisse ont fait une hausse d'intérêt, une quinzaine de pour cent tractions de rencontre cette semaine, donc il y a beaucoup de décisions en matière de politique monétaire cette semaine. Évidemment, plus important, c'est l'annonce prévue pour aujourd'hui, mais les conditions monétaires vont continuer de se resserrer à l'échelle planétaire, et puis l'inflation, ça passe se poursuive. Oui, c'est important pour les investisseurs de comprendre ça, s'il y a un événement aujourd'hui, mais ça va se poursuive. Une fois que tout cela sera réglé, on peut peut-être penser qualité, disons, il y aura une réduction à un moment donné, quand les banques centrales vont dire, c'est maîtrisé, mission accomplie, et puis on va de nouveau vous offrir de l'argent bon marché. On semble avoir un peu oublié cette perspective. Moi, j'aimerais que les investisseurs gardent cette idée à l'esprit. Depuis la grande crise financière, l'idée que la Fed interviendrait dans une certaine direction, celle que vous venez d'évoquer, non, ce n'est pas prévu pour l'instant. La Fed, ça n'intéresse pas. C'est la meilleure façon de dire les choses. On est dans un marché d'adultes qui connaissent les réalités, et la banque centrale ne va pas vouloir protéger la valeur des actifs à leur actuelle. Il se concentre sur la lutte contre l'inflation, ils veulent s'assurer d'y mettre bon ordre. L'idée de réduction de taux d'intérêt un peu rapidement,, notre perception, c'est que ce serait prématuré. Vous savez, le président de la Fed, les gens essaient de comparer ce qu'il dit aujourd'hui ce qu'on a vu dans les cinq 70 au moment d'une autre lutte contre l'inflation, de 73 à 78, (.. .) était président la Fed américaine, et toutes les fois que la Fed semblait avoir maîtrisé l'inflation, y rédigé le taux d'intérêt, et puis l'inflation redémarrait. Et puis c'est devenu une bataille à n'en plus finir, et finalement, (.. .) vous le cœur, a pris les commandes, et bien entendu il y avait des réalités OK fallait faire face, la déréglementation du chat chérisse, et puis bien sûr des réductions des taux d'imposition, ce qui voulait dire qu'on a mal réparti les capitaux auparavant. Mais quoi qu'il en soit, vol que a décidé de s'en tenir à ce qu'il annonçait, et pour nous qui suivons ça de très près, qui écoutons tous les maux que prononcent ces grands intervenants, le président Powell dit qu'il fallait maintenir le cap, il a dit depuis Jackson Rawls, et ça, ça veut dire, et même placer le titre en anglais de la biographie qui parlait de (. ..). Oui, il l'a dit, l'histoire nous a appris ceci, l'histoire nous enseigne cela, mais je ne savais pas ce que vous vouliez dire. Oui, c'est (...), c'est une leçon d'histoire. Donc ça va très intéressant cet après-midi. Alors on a des choses intéressantes aujourd'hui à l'émission aussi, il n'y a pas que Robert Pembertone qui va nous parler. Donc nous allons aussi répondre à vos questions que vous allez lui envoyer dans quelques instants, nous allons lui redonner la parole. Vous pouvez communiquer avec nous en nous envoyant un courriel à l'adresse à l'écran ou en cliquant sur la boîte de questions au bas de l'écran. Alors, mise à jour maintenant de ce qui se passe dans le monde des affaires. Les actualités, donc. Le cours de Teck Resources attire beaucoup d'attention, il y a dépression, il y a des réductions prévues à cause de problèmes structurels, problèmes d'équipement du côté d'un de ses convoyeurs en Colombie Britannique, il prévoit qu'il faudrait être deux mois pour faire itération et que ça va avoir des conséquences sur 4,5 t de charbon. General Mills nous dit que les gens mangent de plus en plus à la maison, c'est bon pour ses bénéfices. Ils ont battu ce qu'ils avaient prévu comme bénéfices, et ils ont haussé le prix de leurs produits, de leurs gammes de produits, fait légèrement chez eux, c'est bon pour eux et ils prévoient que les consommateurs seront de plus en plus sensibles aux prix dans l'année à venir. Walmart a l'intention d'embaucher beaucoup moins de travailleurs qu'au moment de la période des fêtes l'année passée. Dans 40 000 travailleurs de plus, ça semblait normal évidemment mais c'est beaucoup moins que les 150000 employés embauchés pour la période des fêtes en 2021. Alors leurs inventaires sont trop élevés, évidemment, il y a l'inflation qui joue. Donc le TSX, maintenant, (... ) c'est envers aussi, mais une avance modeste. Alors on verra plus tard ce que la Fed décidera les conséquences, pour l'instant une hausse de 49. Du SCP TSX, indique ce composé. Au sud de la frontière, le S&P 500, un peu à la hausse, 22. De plus, un peu plus de 1,5 %. De nouveau Robert Pembertone de responsable des titres à revenu fixe qui va répondre à vos questions. Voyons voir. Qu'est-ce que vous prévoyez de la Banque du Canada? Y a-t-il des chances de découplage entre la Fed et la Banque du Canada. Mon impression c'est que la Banque du Canada va continuer à hausser les taux d'intérêt pour l'inflation Canada ralentie. Il y a de bons résultats à cet égard pour ce qui est de l'indice des prix à la consommation dans notre pays. Mais on est encore bien loin de la cible de la Banque du Canada, qui a eu une fourchette de 23 % pour l'inflation. Donc il faut quand même avancer encore, lorsqu'il n'est pas encore comme à la fête qui est à 2 %. La Banque du Canada n'a qu'un seul mandat, c'est-à-dire la stabilité des prix, donc probablement qu'ils ont plus de marge de manœuvre quant à la façon de percevoir ses problèmes. Pour ce qui est du ralentissement économique, et bien je pense qu'on commence à constater dans l'économie canadienne que le marché de l'immobilier domiciliaire a de bons indicateurs, 20 % environ de réduction, un peu partout au pays, et puis pendant la COVID, les prix de l'immobilier, surtout dans les banlieues, ont beaucoup grimpé, maintenant c'est le retour du balancier, et dans les zones de banlieue, c'est un peu pénible, un peu douloureux. Le lien qui existe entre le consommateur au Canada les taux d'intérêt fait en sorte que l'économie canadienne est plus sensible au taux d'intérêt que l'économie américaine. La Banque du Canada mon avis va passer à 4,25 % à mon avis avant de commencer envisager le long terme, la longue durée. J'ai l'impression qu'ils vont s'en tenir à ce niveau pendant assez longtemps. Il n'y aura pas de correction très rapide empare de risque, ou d'une éventuelle chute ton intérêt. Certains disques à cause de notre profil d'endettement, bon, il y a eu beaucoup de choses excessives dans le marché domiciliaire, mais est-ce que on peut simplement dire que la banque centrale va venir à la rescousse en cas de problème? Je pense que c'est le cas, c'est-à-dire, vous avez raison ne vont pas venir à la rescousse alors actuelle, bien des gens n'en parlent pas encore, mais on commence à constater ça en Europe, c'est que la simulation fiscale qui peut aider les consommateurs en période inflationniste peut jouer, mais quand le gouvernement dépense de l'argent, pour obtenir des résultats du côté de la consommation, en remettant de l'argent consommateur, en soi, c'est inflationniste, la banque centrale devra peut-être être plus ambitieuse au maintien les taux d'intérêt élevé plus longtemps pour rééquilibrer les choses. En tenant compte de l'inflation et de ce que la banque centrale doit accomplir. Pour les propriétaires de maisons n'est peut-être pas entendre ça, mais voilà. Le dollar canadien maintenant, était faible vis-à-vis du dollar américain, est sa tendance à se maintient? J'ai vu 74,76. Oui, pour un avenir prévisible, alors que la Fed va continuer d'agir en faucon pour ce qui est des taux d'intérêt, la nécessité de les hausser pour contrer l'inflation. Je pense que la devise américaine va de rester vigoureuse. Alors que les écarts vont se normaliser et que le cycle de hausse va parvenir à son terme, le cycle de hausse des taux d'intérêt, je ne parle pas de passer à un cycle de réduction des taux d'intérêt, pas pour l'instant, probablement que le dollar canadien va commencer à retrouver un niveau plus normal. Je rappelle aux investisseurs que le dollar canadien sentir très bien en comparaison de tout un panier d'autres devises autres que le dollar américain. Donc c'est un problème dollar par rapport au dollar, tout simplement. Une question maintenant au sujet des obligations, quelles sont les perspectives pour les obligations de sociétés? Alors pour les obligations de société, dans des périodes comme celle-ci, on doit s'assurer d'un emplacement qu'on a vérifié les réalités. Nous avons un grand groupe de recherches ici qui se concentrent sur la compréhension des risques est tel que le marché existe, on n'est pas à l'aise pour ce qui est des rendements élevés, étant donné ce qui s'annonce comme ralentissement économique, et dans l'espace des obligations de plus haute qualité, ça, c'est plus intéressant. Donc il faut des entreprises qui sont capables de faire face aux tempêtes plutôt que des entreprises qui auront peut-être des défis à relever pour ce qui est de leur flux de trésorerie disponible. Donc les obligations à taux d'intérêt élevé, il y a des risques manifeste. On va approfondir un peu. Quand on parle de la quête de rendement élevé, les gens peuvent être attirés par ces chiffres impressionnants, taux d'intérêt élevé, mais il faut quand même approfondir et comprendre pourquoi il y a ces taux d'intérêt élevé pour certaines obligations. Oui, dans un contexte où il y a beaucoup de volatilité, il y a un plan d'infection économique, si on n'est pas bien rémunéré pour l'entreprise de risque, ça ne vaut pas la peine, et dans le marché des obligations à taux d'intérêt élevé, il y a beaucoup de compagnies qui à leur actuelle pendant la période de COVID, et pendant la période où les banques centrales ont maintenu des taux d'intérêt plutôt faible, on peut recueillir des capitaux qui dans des période économique plus normale n'auraient pas, ne se serait pas produit. Dans beaucoup de compagnies existent qui sont faits de faillite sans le savoir encore. Et ça, ça va faire parti de leur grand défi. Alors actuelle pour les obligations taux d'intérêt élevé, plus ou -500 points de base, ça paraît attirante en comparaison du passé le plus récent, mais ça veut dire qu'il y aura environ, d'après ce que les marchés prévoient, 4 % de taux de faillite, et 4 % de taux de récupération. Alors les compagnies qui risquent la faillite, bien écouté, que probablement que leurs actifs ne valent pas 0,40 € dollars, et 4 % de taux de faillite économique alors que la ralentissement s'annonce, c'est une bonne probabilité de récession, ce n'est pas suffisant rémunéré le risque qu'on assurait. Donc il faut que les écarts atteignent (.. .). De base pour que ça devienne de nouveau attirante. - Bon, c'est le genre de propos qui peut faire peur aux gens qui envisagent des titres à revenu fixe à moyen terme du moins. Mais je retourne à ce qu'on dit au début, c'est une question de qualité. Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de belles occasions, mais il y a des risques. - Oui, c'est juste. Et puis l'idée au fond, de la qualité de placer son argent un des titres de qualité dans un contexte comme celui-ci, c'est ce qui nous motive quand on nous réfléchissons aux occasions, et ça va continuer d'être notre sujet de réflexion, nos portefeuilles sous pondère les types de créances en comparaison de nos placements historiques dans le passé, c'est à cause des incertitudes économiques qui s'annoncent. Et puis il faut être rémunéré correctement pour les risques qu'on assume, les titres à revenu fixe, évidemment, ça devrait être quelque chose qui nous permet de dormir en paix les six premiers mois de l'année ont été difficiles, c'est un contexte nous n'avions pas vu depuis 73, mais aujourd'hui, écoutez, en définitive, si on veut rester prudent, nous pensons qu'il y a des occasions, nous nous préparons, n'est-ce pas, mais on n'en est pas au point que l'on souhaite. Bon, question de timing, fait à votre recherche évidemment avant de prendre des décisions de placement. On reviendra Robert Pembertone dans quelques instants. Puis communiquer avec nous à tout moment nous envoyant un courriel. Maintenant nous allons parler éducation. Alors, beaucoup d'investisseurs autonomes ont fait des transactions dans le passé, mais ce sont peut-être éloignés des titres à revenu fixe. Alors pour qu'on sache comment va procéder, Bryan Rogers qui est responsable de la formation, bienvenu Brian. Indiquez-nous comment on peut acheter des obligations sur la plate-forme. Suite oui, merci Greg. D'abord je voudrais revoir rapidement ce qu'est une obligation. Quand une entreprise a besoin d'obtenir de l'argent, elle peut émettre des obligations. C'est en quelque sorte un titre de créance, c'est une reconnaissance de dette, et on s'engage aussi à vous verser des intérêts sur une période de temps. Alors les obligations ensuite sont transigées sur les marchés secondaires, comme les actions. Alors si on va maintenant sur CourtierWeb, vous allez voir comment effectuer une telle transaction sur la plate-forme. Ici, on commence par le trading, en anglais à l'écran, c'est anglais, ça nous donne la possibilité d'aller à la page d'accueil, de faire diverses requêtes. Disant qu'en 1000 sur le type de placement qu'on cherche pas obligations d'agence obligations du Canada, obligations municipales. Je vous donne un exemple pour les sociétés, les obligations de sociétés que vous venez de mentionner, on est en mesure ici de voir rapidement un certain nombre d'obligations disponibles. On n'y reviendra tout à l'heure. Vous pouvez utiliser des filtres aussi, je vais en parler, mais si vous voyez là quelque chose qui vous intéresse, une compagnie par rapport à laquelle vous avait fait votre diligence raisonnable, vous pouvez cliquer, il y a le taux pour le coupon, rendement, la date de maturation, déchéance, et puis vous voyez les renseignements au sujet de la quantité minimum à acheter pour une transaction. Andrews accorde une escompte, souvent celtes, parce que les tons beaucoup grimpaient, y était des obligations qui se vendent avec escompte, et vous avez là le véritable rendement à échéance. Tous les renseignements sont disponibles, si vous cliquez là, vous arriverez une page qui vous donne 1 t d'informations sur la compagnie. Vous inscrivez le chiffre que vous voulez, mettant 5000, la quantité requise que vous l'achetez, je clique sur recalculer et vous voyez le total. Alors probablement qu'on va aborder tout cela ailleurs un autre moment donné. Il y a un autre type de taux d'intérêt si vous voulez acheter de quelqu'un d'autre, il faut les compenser pour l'intérêt que cette personne aura perdu. Parce que vous achetez des paiements d'intérêts. Et puis voilà, c'est en quelque sorte réglée. - Très bien, on sait comment faire maintenant. Alors, sur la plate-forme, est-ce que les gens peuvent utiliser des filtres en fonction de certains critères? - Oui, bien sûr, il y a diverses façons de procéder, revenons à l'objet et tout à l'heure, d'une façon rapide, si vous voulez voir ce qui est disponible ici, par exemple, vous pouvez filtrer en fonction des titres des colonnes, par exemple, Robert disait qu'il fallait éviter des obligations rarement très élevées qui sont plus risquées, donc on prenait évidemment le rapport entre risques et récompenses envisageables. Alors il y a des compagnies peut-être que vous ne connaissez pas ou qui ne vous intéresseront pas à cause des risques, mais vous pouvez filtrer quand même en utilisant ça, si vous utilisez le clavier, pouvez aller à droite, il faut cliquer là d'abord, donc à droite pour cliquer, et vous verrez la d'autres catégories. Alors je vais faire défiler… voilà. Je continue d'aller à droite. Donc la notation. Vous pouvez filtrer en fonction d'annotations en cliquant sur notation, et vous aurez une idée du genre de risque que vous devrez assumer. Quant au reste, Greg, vous le passez tout là-haut, ici et vous pouvez faire un tri, une requête, titres à revenu fixe, le nom de la compagnie par exemple, de l'émetteur, le rendement à échéance, vous avez des critères plus évolués aussi qui sont utilisables, requêtes avancées, dit-on. Alors j'ai un petit problème ici, la page ne réagit pas comme elle sait normalement le cas. Et normalement, vous inscrire ici d'autres critères pour des recherches plus poussées. Mais rappelez-vous de faire votre diligence raisonnable, de bien comprendre, de savoir de quoi il s'agit, car en fait il faut être bien informé. Bien sûr, merci beaucoup, Brian. Merci à vous Y. Bryan Rogers, qui s'occupe des formations chez Placements directs TD. Évidemment, allez faire un tour au centre de formation pour trouver toutes sortes de renseignements, des classes de maître, et webinaire, et ainsi de suite avant de retourner vos questions au sujet des titres à revenu fixe, je vous rappelle comment communiquer avec nous. Si vous avez une question sur les placements ou ce qui se passe dans le monde des affaires, nos invités veulent vous entendre. Envoyez-nous vos questions. Il y a deux façons de procéder, d'abord un courriel, ou encore vous pouvez utiliser la boîte de questions en bas de l'écran, sur CourtierWeb. Tapez votre question, envoyez la. Et on verra si nos invités peuvent vous répondre en direct. Nous revenons maintenant auprès de Robert Pembertone, au sujet des titres à revenu fixe. Il y a beaucoup de questions qui nous sont envoyées. D'abord, est-ce que le marché a commencé à tenir compte du ralentissement quantitatif? Alors, oui, le marché se tourne vers l'avenir, toujours. Et on n'a pas prévu encore le type du tout compte pour l'instant. L'assouplissement des conditions, la souplesse quantitatif, les marchés se demandent comment ça va, ou ce que ça va signifier un moment donné. Plusieurs le savent, la Fed était neuve, 1000 milliards de dollars pour son bilan. Donc c'est très considérable, les sommes qu'elle utilise, et on estime que les exigences de la Fed, c'est quatre et demis à 5000 milliards, donc 1, 2000 trillions de dollars, va falloir trois ans et demi ou quatre ans avant d'avoir vendu tout ce qu'ils ont accumulé. Il n'est pas question alors actuel qu'ils se mettent de nouveaux achetaient des titres. Ça veut dire que les rendements des titres souverains vont devoir se réajuster parce que les banques centrales dans leur programme d'achat d'obligations s'intéressaient peu au prix, au cours. Il voulait cacheter, alors que les investisseurs, ce sont des acheteurs de dernier recours et ils vont mettre beaucoup être beaucoup plus discriminant comme on dit pour ce qui est d'éliminer ce qui est moins intéressant. - Très bien. - Oui, j'ai dit assouplissement, je vous l'ai dit resserrement quantitatif. Pardon j'écris un peu de confusion tout à l'heure en posant ma question. Mais est-ce que les investisseurs portent assez d'attention à cette question-là? Suite oui, évidemment, ils cherchent à réduire les titres qu'ils ont dans leur coffre. Les investisseurs peuvent être un peu rassurés quant à l'idée que la Fed va réduire son portefeuille, et ce qu'ils veulent atteindre, ce serait l'équivalent de 50 à 75 points de base de resserrement progressif pendant la période de vente de ses actifs. Ce sera donc lent et progressif. Les banques centrales au Canada comme aux États-Unis ont indiqué qu'elles veulent que ce soit absolument ennuyant, ce qui se passe de ce côté-là, complètement monotone. Peu à peu. Il y a des facteurs techniques qu'on examine pour ce genre de marché, et pour l'instant il n'y a pas d'alerte à signaler par rapport à ce domaine. Voilà, autre question, les taux grimpent partout, mais est-ce que l'inflation reste vraiment très élevée? Est-ce que c'est à cause d'autres facteurs économiques alors actuels? - Je pense qu'en fin de compte, la grande question, c'est l'inflation, les conséquences de l'inflation. Et je donnerai au président parole mes félicitations pour ce qu'il a dit en juillet quand il a dit qu'il ne comprenait pas ce qui se passait, qu'il ne savait pas d'où ça provenait, et qui se creusait la tête pour voir comment résoudre les problèmes. La politique monétaire, c'est un outil un peu contondant, pas très raffiné, et quand on réfléchit aux plus graves, plus vaste problème, c'est intéressant de départager le monde en divers types de défis. Le rap évidemment, il aggravera défi à cause du conflit en Ukraine. Qu'est-ce que ça signifie au plan de l'énergie la sécurité alimentaire? Alors la production d'acier a subi les conséquences à cause de problèmes de combustible, les engrais, on n'en fabrique moins et donc il y aura peut-être des récoltes moins bonnes à l'avenir en Europe, qui est probablement déjà en récession. Le Royaume-Uni dans un Piré temps encore pour l'Amérique du Nord évidemment et dans un ralentissement économique, les taux d'intérêt grimpent, donc probablement qu'il y aura un certain type de récession ici. Quant à l'Asie, les conséquences sont là aussi à cause de la politique D0 COVID en Chine qui a eu des conséquences sur toute la région. Donc il y a divers facteurs qui jouent et il s'agit vraiment du contexte planétaire. Alors dans le secteur de la fabrication, par exemple, ça été signalé par vous-même tout à l'heure, il y a un peu trop d'inventaire qu'il faudra vendre. Ça, c'est dans le secteur des biens. Bel et bien, c'est plus ou -30 % d'économie. L'économie c'est 70 % de services. Et là où il y a de l'inflation plus persistante, c'est dans le secteur des services. Alors que les loyers, les salaires, la disponibilité de la mode, tout ça a des conséquences en matière d'inflation, et c'est pourquoi je pense qu'on continuera de voir des banques centrales qui veulent hausser les taux d'intérêt afin d'essayer d'atténuer la demande, de réduire la demande de ses services. Une autre question maintenant à beaucoup de graves problèmes, à quoi ressemble le marché du travail.. Si les banques centrales maintiennent des taux d'intérêt à la hausse. Il y aura des problèmes dans certains cas pour le marché du travail qui est très serré alors actuel. Donc il y a une partie de l'inflation qui vient de la demande de main-d'œuvre. Il faudra détruire une partie la demande qui aura des conséquences négatives sur la main-d'œuvre, sur les travailleurs. La banque centrale Canada et la Fed américaine ont indiqué comprendre que c'est une conséquence possibles de leurs actions, de leur mesure, mais est-ce que ce serait positif à plus long terme. Je sais que ça paraît un peu théorique, ce que je viens de dire, mais ce sera nécessaire pour d'abord réduire des attentes en matière d'inflation, et deuxièmement pour que la spirale des hausses potentielles de salaire cesse. Donc il y aura une hausse des taux de chômage, ce qui va faire mal. Les banques centrales s'en rendent compte et leur objectif je pensais de le faire de manière telle qu'il n'y ait pas des augmentations massives du chômage, mais il y en aura. Donc nous reviendrons à vos questions, adressez Robert Pembertone, dans un instant. Assurez-vous de faire votre recherche avant de prendre des décisions de placement. Vous pouvez communiquer avec nous évidemment. En matière de placement et de réalité du monde des affaires, nos invités veulent savoir ce que vous pensez et quelles sont vos questions, de façon de procéder, envoyez-nous un courriel, ou encore utiliser la boîte de questions au bas de l'écran ici même sur CourtierWeb. Pas taper votre question, envoyez-les nous. On verra si à nos invités peut y répondre ici même en direct. Taux d'inflation très élevée, d'intérêt aussi, ça eu des conséquences évidemment sur le marché domiciliaire et les provinces. Et le nouveau rapport pour les prévisions, dans ce domaine, donc Anthony Okholie se joint à nous. Service économie TD dit que les perspectives économiques des provinces se produisent alors qu'il y a des risques d'inflation à la hausse, et on pense que les vents de face vont surgir en 2023 pour beaucoup des provinces. Or, j'aimerais vous signaler certains points importants… le marché, c'est très important, la Colombie Britannique, on peut signaler que la véritable croissance du PNB sera plus faible que prévu, plus faible que celle du pays dans son ensemble. Alors les perspectives pour les exportations comme le Water par exemple, sont à la baisse, alors qu'on construira moins de maisons, et donc il y a beaucoup de vulnérabilités qui sont liées au coût de l'endettement. Donc les prix des maisons ont baissé en Colombie Britannique devraient chuter encore en 2023. Entre-temps, l'Ontario et à l'épicentre évidemment de la correction des prix du logement, des prix domiciliaires. Alors que je vous montre l'écran maintenant, illustre les liens élevés entre les secteurs immobiliers de l'Ontario et l'économie en général. C'est le rapport le plus élevé qui soit au pays. C'est la raison pour laquelle nous pensons qu'il y aura un ralentissement de ce côté dans les trimestres à venir en comparaison avec le Québec est beaucoup mieux placé en matière immobilière en comparaison de la Colombie Britannique et de l'Ontario, parce que les ménage Québec sont moins endettés, et de plus leur fardeau d'endettement après moins d'ampleur pendant la pandémie. Les résidents du Québec ont six mois d'actifs dans l'immobilier, donc leurs bilans sont mieux protégés. Somme toute, service économie TD pense qu'il y aura des baisses en général et notamment en Ontario et en Colombie Britannique, et dans les maritimes. Dans le marché domiciliaire, c'est un facteur important de l'activité économique, certaines provinces sont plus sensibles, mais c'est vrai aussi pour ce qui est de certains produits de base. Dans les provinces de l'Alberta et la Saskatchewan, qui produisent des produits de base ont bénéficié de cours élevés, et Alberta la Saskatchewan, on prévoit la 2 grands excédents budgétaires, et nous constatons qu'il y a un recul du prix des produits de base depuis quelques mois, et ça pourrait poser sur le bilan de ces économies. Malgré tout nous prévoyons encore que ces provinces auront une vraie croissance du PNB qui sera plus élevé que celle du Canada dans son ensemble en 2023 et 2024. Très intéressant avec Anthony, c'est toujours intéressant. Merci à vous. Merci Anthony Okholie. Maintenant, ce qui se passe dans le monde des affaires. On est à 90 minutes de l'annonce de la Fed. Donc la Fed qui va nous annoncer des choses importantes à 14 heures après une rencontre de deux jours. Sévère à l'écran, mais modeste. Une hausse de 44. Pour le TSX. Le secteur des ressources est un peu plus problématique, notamment chez Tech, des problèmes d'équipement, ce qui aura des conséquences sur sa production de charbon qui sert en sidérurgie, une réduction de 3,5 %, du cours de leur action. Equinox Gold, maintenant un peu la hausse, à quatre dollars, 63, une hausse d'environ 4 %. Au sud de la frontière le S&P 500 encore une fois avant l'annonce de la Fed, 3882 pour cet indice, et je dirais que c'est à peu près les deux tiers d'un pour cent de hausse pour le Nasdaq, secteur technologie, environ 5 % de hausse pour l'instant, alors qu'on attend bien sûr l'annonce de Jerome Powell. Walmart, j'ai parlé de leur politique d'embauche pour la période des fêtes, moins d'embauche que l'an dernier, à la même heure, Walmart est à 137 $, une hausse de 2,5 % presque. De retour maintenant chez Robert Pembertone, beaucoup de questions qui vous sont adressées. Alors, réception, quelle durée, quelle gravité, et quels titres à revenu fixe à sentir le mieux dans ce contexte? - Bon, c'est une question très complexe. Vous posez beaucoup de questions à la fois. Il faudrait une excellente boule de cristal, et plus on s'éloigne de leur actuelle pour plonger dans l'avenir, plus c'est risqué. Alors on ne parlera plus évidemment de la boule noire, à huit, au billard, qui porte malchance. En commentaire de réception, nous pensons qu'il y en aura un, il est très peu probable, étant donné le contexte économique, qu'on un atterrissage en douceur. La dernière fois que j'ai pris la parole ici, j'ai dit que ce serait comme essayer de faire atterrir un avion Hercule sur un timbre-poste. La question maintenant, c'est la profondeur, la gravité de la récession. Les banques centrales aimeraient bien évidemment maîtriser la situation pour qu'il y ait une récession peu marquée, une légère hausse des taux de chômage, réduire la pression sur le marché de la main-d'œuvre, réduire un peu la demande et permettra l'économie de ces réadapter et d'être prêtre à avancer de nouveau. Alors l'idée que les banques centrales vont maintenir les taux d'intérêt plus longtemps quand même entraînent la possibilité d'une erreur des politiques adoptées, donc une récession plus grave dans ce cas-là, il y aurait beaucoup de hausse du taux de chômage, il y aurait beaucoup de compagnies en faillite. Alors évidemment, il se produirait beaucoup de choses désagréables et nous devons nous assurer alors qu'on verra la situation évoluer, la façon dont la banque centrale dit les choses alors qu'on est prêt de la fin des cycles des hausses de taux d'intérêt. Bon, voilà. Alors les titres à revenu fixe qui sentir mieux en cas de récession, et où peut-on se cacher en quelque sorte? En cas de réception plus gras, véritable problème, c'est de savoir quelle est la version de la courbe, alors qu'il y a des réactions en fonction de l'activité de la Fed, donc déjà, nous constatons que c'est un peu le cas, la cour était versée d'environ 55 points de base, entre deux ans et 10 ans, c'est la même chose aussi aux États-Unis, donc dans le marché obligataire, en prévoit que ce sera pénible économiquement parlant et que ça va se poursuivre. Une façon d'envisager le long terme, c'est qu'il y a une série de court terme qui s'accumule, et est-ce que tout ça nous indique, c'est que oui, effectivement on est dans un contexte inflationniste, mais ce contexte va finir par disparaître et on en reviendra à ce qu'on appellera peut-être une meilleure répartition des capitaux et de la croissance, et quant à savoir où aller se cacher si on veut être… bon, il faudrait détient des obligations à court et à long terme, mais pas du moyen terme. Parce que c'est là qu'il y aura le plus de volatilité. Alors que la lutte entre l'inflation et la croissance va se poursuivre. Une autre question. Je pense que vous avez déjà un peu répondu, alors je vais sauter par-dessus cette question. Alors, le dollar américain a été un refuge, quels sont vos pensées sur la désolidarisation? Je ne pense pas qu'il y ait une autre devise qui grimpera en comparaison du dollar américain, quand je pense à l'ouverture du marché des capitaux États-Unis, à l'importance du marché des capitaux, le dollar américain évidemment offre beaucoup de liquidités, et cet anti cyclique comme typent d'actifs pour les investisseurs, mais il y a quand même une certaine bifurcation dans le système économique mondial, des sphères d'influence politique, la Chine commence à émerger et fait sentir son influence non seulement nazie, mais en Afrique aussi, et ça entraîne la possibilité d'une bifurcation des systèmes financiers et économiques et d'autres plates-formes aussi soient dites en passant. Le (.. . ) pourrait grimper et devient de plus en plus important, mais ce n'est pas facile de les changer, ce marché des capitaux n'est pas aussi profond que celui qu'on trouve aux États-Unis dans le dollar américain, donc je pense que le dollar américain reste le dollar, la devise que les gens préfèrent nettement. Les gens aiment vous entendent, alors avant de vous libérer, je vous dirai qu'il y a un événement important qui arrive dans environ une heure, il faut voir ce qui va se passer après coup. Moi je trouve ça très aux ballons écoutés et où cela fait, mais il faut penser aux autres. Qu'est-ce que ça va signifier pour nous tous? - Aujourd'hui ça va pas être la dernière hausse de la fête. Nous croyons définitives que la banque centrale, les banques centrales, celle du Canada, la Fed, la banque d'Angleterre, la banque centrale européenne, vont poursuivre sur la lancée, la hausse des taux d'intérêt, nous pensons qu'à leur actuelle, la Banque du Canada et la Fed doive faire en sorte que les taux soient plus haut que 4 %. Le taux ponctuel. Donc les investisseurs vont se demander à quel rythme il y aura de nouvelle hausse. Est-ce que ce sera toujours 75 points de base ou un peu moins dans un avenir rapproché. Alors qu'on attendrait de voir comment l'économie réagit. Alors pour nous, il va s'agir de lire entre les lignes du discours cet après-midi et des commentaires des peurs des questions de la part de Jerome Powell pour voir comment il perçoit ce qui s'annonce pour l'avenir, le pivot dont tout le monde parlait à l'été dernier, c'était la fin du début des taux d'intérêt. Mais non, il y aura de nouveau des hausses de taux d'intérêt. Robert, c'est toujours fascinant de vous écouter. Merci beaucoup d'avoir été les nôtres. - Merci de m'avoir invité. - Je remercie Robert Pembertone, responsable des titres à revenu fixe. Demain, il y aura à (. . .) qui travaille à (.. . ) qui va répondre à vos questions sur les titres à l'échelle mondiale. On reparlera des décisions de la Fed. Envoyez-nous vos questions par courriel comme toujours. C'est tout pour nous aujourd'hui. Merci d'avoir été les nôtres. À demain.