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(musique) - Bonjour. Ici Greg Bonnell. Bienvenue apparemment d'argent direct, une mission de placement direct TD. Nos invités commentent l'actualité des marchés répondent à vos questions sur les placements. Aujourd'hui, comment le marché obligataire GRT de la volatilité des rendements des bons du trésor qui ont atteint des niveaux jamais vus depuis 2007? Ben Chim de gestion de la santé des commentent. Anthony Okolie évoque les observations énoncées par Jerome Powell, président de la Fed au Economic Club de New York en ce moment même. Nous poursuivons la découverte de courtier Web.
ARN anime nous explique comment créer un échelonnement d'obligations.
Posez-vous nos questions par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte en bas de votre écran. Mais d'abord un coup d'œil sur le marché. Ceux-ci sont dans l'attentisme aujourd'hui par Jerome Powell devraient prendre la parole à New York en quelques instants.
Nous allons voir quels propos elle tiendra. Peut-être affirmera-t-il collector demeurant plus élever plus longtemps. L'indice TSX composite recule très modestement de 27 ; soit un peu plus de 0,1 %.
Le groupe malade affiche des résultats supérieurs aux prévisions, ce qui fait progresser l'action de trois et demis pour cent à 13,86 $.
Crescent Point Energy, baromètre du secteur de l'énergie progresse modestement de 1 % à 11,55 $ l'action. On voit les toutes premières manchettes à New York.
Jerome Powell déclare que l'inflation est toujours trop élevée avec une croissance économique plus faible sera sans doute nécessaire pour la faire reculer. Il n'a pas dit plus élever plus longtemps, mais c'est tout comme. L'indice S&P 500 recule de près de :. Bien sûr, les marchés financiers vont rapidement assimiler les propos du président de la Fed. Alors actuel, l'indice Nasdaq progresse très modestement de quatre points. Tesla déçoit les mesures financiers. Le constructeur de véhicules électriques recule de près de 9 %.
Beaucoup de volatilité sur le marché des bons du trésor américain récemment. Les rendements du bons artisans ont atteint des niveaux jamais vus depuis 2007.
Comment le marché de titres de créance de société se maintient-il? Ben Chim de gestion de placements TD commentent.
Bonjour, ben.
- Bonjour Y. Ça fait plaisir de passer à votre mission.
- Nous suivons de très près les rendements obligataires qui grèvent le placement de 2007. Parlez-nous du marché de titres de créance. À quoi ressemble-t-il. La volatilité qui règne sur le marché des obligations du gouvernement, la volatilité est en fait un mot très faible compte tenu de la tempête qui souffle sur ce marché.
Il y a eu un affaiblissement des marchés de titres de créance de société en raison de préoccupations relatives à la croissance, mais généralement parlant, c'est plutôt le calme qui règne sur ce marché. Vu l'ensemble des choses, surtout depuis deux mois, les rendements demeurent au sein d'une fourchette assez étroite. Il y a deux raisons pour lesquelles le marché des obligations de société a manifesté une certaine sérénité malgré les inquiétudes relatives aux obligations de gouvernement.
Tout d'abord la résilience de l'économie américaine et de l'économie mondiale, d'ailleurs, à donner aux sociétés tout le temps de s'adapter à un contexte de financement, un contexte de prix de reviens beaucoup plus délicat. Ils ont pu réduire leurs dépenses, ajuster leurs profils de dépenses en conséquence, et leur profil d'endettement. Il y a maintenant des situations dans lequel le profil de crédit s'est bien maintenu, malgré la faiblesse des bénéfices pour l'avenir. Cela a donné beaucoup de confiance en marché obligataire qui considère qu'il n'y aura sans doute pas d'effondrement du marché des obligations société comme ça été le cas pendant les périodes antérieures de baisse de l'activité économique. Ensuite, l'équilibre offre demande devient favorable en ce qui concerne les obligations, surtout celle de première qualité. C'est-à-dire qu'il y a toujours plus d'acheteurs que de vendeurs d'obligations de société. Les flux de fonds sont demeurés relativement stables, surtout compte tenu du fait que le rendement de marché obligataire a été assez médiocre cette année, ce qui témoigne de l'attrait exercé par les obligations de société, globalement 6 % pour les obligations de première qualité, 9 % pour les titres de rendement élevé.
Cela paraît donc très intéressant pour les investisseurs.
Ayant une certaine exposition ton intérêt dans un portefeuille diversifié, cela a du bon sens. Le marché des obligations premières qualité, spécifiquement, joue donc un rôle utile dans un portefeuille, ce qui est favorable à la demande. Quant aux investisseurs institutionnels, rendements plus élevés des obligations donnent à beaucoup de régimes de retraite et de compagnies d'assurances la capacité d'immuniser leur flux de trésorerie pour l'avenir. Il y a également une demande venant de ce secteur-là. La demande est donc très robuste au niveau de l'offre, la situation devient plus favorable pour les obligations société. C'est parce que les rendements ont tellement augmenté, beaucoup d'émetteurs qui envisageaient il y a deux mois d'émettre des titres de créance constate que cela va leur coûter davantage que 50 75 30 pas aujourd'hui. Si vous êtes en émettant une bonne liquidité, une bonne qualité de crédit, vous pouvez vous permettre d'attendre qu'une meilleure occasion se présente. Les perspectives pour les émissions, pour le reste de cette année, seront sans doute à la baisse, ce qui va être favorable au cours des obligations société, voilà les principaux facteurs qui maintiennent les écarts relativement élevés malgré la volatilité.
Une dynamique très intéressante sur le marché .si c'est notre contact, cassant les secteurs du marché obligataire qui commence à sembler intéressant?
- Bon nombre des inquiétudes porte sur une éventuel affaiblissement. Il y a donc plusieurs secteurs qui deviennent de plus en plus intéressants pour l'avenir.
Nous nous reposons sur les recherches très approfondies sur les titres de créance de société, ce qui nous amène à chercher des occasions dans des secteurs qui sont peut-être en défaveur des entreprises qui présentent certains risques qui sont mal compris au niveau global. Il y a le secteur de l'immobilier, surtout les fiducies de revenu immobilières qui sont très en défaveur aujourd'hui. La baisse de l'immobilier de bureau affecte la valeur de leurs actifs sous-jacents.
Le secteur de l'immobilier de bureau, en particulier, fait l'objet d'une forte dislocation.
C'est vraiment un secteur où il y a beaucoup de dégâts panneaux évitant ce secteur, il y a beaucoup de questions avec le plus de questions que de réponses, mais il y a des créneaux de valeurs qui se sont créées dans le domaine de l'immobilier de détail, immobilières industrielles. Ce sont des secteurs dans lesquels les taux d'occupation demeurent très élever. La croissance des loyers bonne. Il y a des situations où les baux de location sont arrivés à échéance, a été possible de le renouveler à des niveaux égaux ou supérieurs à l'inflation, parfois avec une augmentation des loyers de plus de 10 %.
Donc les bénéfices portent bien avec les flux de trésorerie sont réguliers.
Les fiducies de revenu immobilière de type triple B, triple B moins, donc de première qualité, on peut assainir progressivement leur bilan. Les obligations ado trois ans dans ce secteur du marché nous intéressent beaucoup. Certes et pour y avoir une certaine volatilité au niveau de l'économie dans l'avenir, mettant à court terme, cela permet d'atténuer beaucoup la volatilité au niveau de ses titres. Voilà une occasion. Le secteur des oléoducs et gazoduc est très intéressant, mais en fait il y a une bifurcation sur les marchés.
Pour nous, c'est dans le créneau des obligations W ou B sur le marché. Ce sont des équipes de directions qui sont très solides, des actifs à ses grandes qualités, mais des entreprises qui doivent toujours investir dans leur activité, alimenter leur croissance, assainir leur bilan.
Nous constatons une amélioration régulière compte tenu du flux de trésorerie très sentirait de la hausse des cours du pétrole. Inversement, nous sommes un peu plus inquiets à l'égard des produits de grande qualité, genre triple B plus ou. Ce sont des entreprises dans le bilan est déjà dans l'état souhaité, il n'y aura pas d'amélioration à cet égard. La plus grande partie de flux de trésorerie est consacrée à des fusions-acquisitions ou à des restitutions investisseurs. Ça nous inquiète un peu plus. Quand on recherche des opportunités sur le marché des titres à rendement, nous préférons les titres défensifs par rapport aux titres cycliques. Les secteurs comme les hôpitaux, les produits de consommation, les services publics, les services de télécommunications, sous tout cela donnait des résultats décevants par rapport aux télécommunications cette année, cela crée des occasions, surtout au niveau des obligations, à flux de trésorerie stable et prévisible très important. Donc les occasions que nous offre le secteur défensif nous intéresse. Et puis, au niveau des métaux et des minerais, il y a des occasions intéressantes. Encore une fois un secteur qui a été assez décevant à cause de la croissance plus faible en Chine, plus faible que prévu. Quand on songe au long terme, le cuivre en particulier présente des données fondamentales très intéressantes, offre limitée, demande très élevait à long terme à cause de la transition énergétique.
Beaucoup de ces émetteurs d'obligations triple B et triple B moins verse généralement huit à 10 % de coupons dans le secteur du cuivre. Voilà les secteurs où nous voyons le plus de valeur. À l'heure actuelle, il y a un potentiel, quelle serait les risques globalement?
Est-ce que ce serait l'environnement du crédit? Ce qui pourrait faire augmenter les rendements?
- Au fur et à mesure que les rendements augmentaient que l'économie ralentit, la plupart des entreprises sont suffisamment solides, ce que nous suivons vont subir l'évolution de l'économie, mais s'il y a un choc, que quelque chose casse, ce qui est souvent le cas quand les conditions de trading crédit se resserrent, certains de ces titres pourraient donner des résultats décevants.
Suite excellent début de mission. Ben Chim la provocation sur le marché obligataire dans quelques instants. Peut nous les poser en tout temps par courriel à MoneyTalkLive@TD.com dans la boîte de questions en bas de votre écran.
À présent, actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les actions de Netflix sont sous les feux de la rampe aujourd'hui. Le géant du streaming a recruté près de 9 millions de nouveaux abonnés au cours du dernier trimestre. Netflix récolte les fruits de sa répression du partage des mots de passe. L'entreprise prévoit augmenter ses prix aux États-Unis en France en Royaume-Uni. L'action progresse de 15 %.
C'est l'inverse pour Tesla, l'action est sous pression après des bénéfices décevants. L'action recule de 8,6 %. Le constructeur de véhicules électriques n'a pas répondu aux attentes des marchés financiers en termes de chiffre d'affaires bénéfices. C'est la première fois depuis 2019 que testa D67 au plan.
Le chef de la direction Elon Musk a déclaré lors d'un appel aux investisseurs que les taux d'intérêt élevé rendaient plus difficile achat de voitures pour les consommateurs. Nokia annonce la suppression de jusqu'à 14 000 emplois après l'annonce d'un résultat négatif pour le début trimestre entreprise finlandaise de télécommunications faites face à un fort ralentissement aux États-Unis et se tourne vers l'Inde et d'autres marchés pour assurer sa croissance. Après avec les grands indices. L'indice CP TSX est essentiellement changé, un gain très modeste de…. Jerome Powell a pris la parole à New York quant à l'évolution des taux d'intérêt. L'indice S&P 500 progresse modestement de six points, c'est-à-dire 0,1 %. Jerome Powell a déclaré tout alors que l'inflation demeure trop élever et qu'il faudrait que la croissance économique ralentissement la maîtrisait.
Il a également dit que le marché du travail demeure serrer mais qu'il y a certains signes de refroidissement. La résilience de l'économie, aux États-Unis puisqu'au Canada, même si certains secteurs de notre économie centrale résiliant. Si cette résilience se prolonge, selon Jerome Powell, il se pourrait qu'il soit nécessaire de prendre de nouvelles mesures de resserrement. Pour parvenir à 2 % d'inflation, il se pourrait que la croissance économique soit inférieure la tendance.
On a parlé d'une forte hausse des rendements des bons du trésor. Depuis quelques semaines Jerome Powell a dit que les conditions financières ont su bien fort resserrement sur les marchés pas Anthony Okolie suivi de très près les propos temporels et va nous rejoindre plus tard pour les analyser. Ben Chim de gestion de placements CD répond à vocation sur le marché obligataire. Quels sont vos perspectives pour les banques?
- Les banques sont en difficulté au niveau des bénéfices, raison des coûts gonflés et des revenus qui diminuent régulièrement.
De ce point de vue, sont sous pression.
Les revenus diminuent parce que les marges nettes d'intérêt sont comprimées, c'est-à-dire essentiellement que le revenu que les banques tirent de leur activité de prêt ne suit pas le rythme de l'augmentation de leur coût de financement.
Passant sous pression au niveau des marchés financiers, on l'a vu dans les annonces de Coleman Sachs et de Morgan Stanley cette semaine. Même si les provisions de pertes sur créances ont été moins élevées que prévues pendant le dernier trimestre que ce facteur pourrait continuer d'exercer des pressions soit au niveau des cartes de crédit.
Les pertes augmentent lentement mais sûrement. Le secteur de l'immobilier commercial commence à susciter davantage de radiation. Ça été le cas pour Wells Fargo. Cela exercera une certaine pression. Pas dans l'immédiat. Enfin, les régulateurs pourraient exiger que les banques réunissent davantage de fonds propres. Pour cela, il faudrait quelles empreintes auxquelles émette des actions afin de renforcer les réserves qui figurent sur leur bilan. Tout cela comprime les bénéfices. Au niveau des obligations de société, tout n'est pas négatif. Suite je voulais vous poser la question parce qu'on se concentre totalement sur les actions pendant les annonces de bénéfices, qu'est-ce que ça signifie pour les obligations?
- Eh bien, réunir des capitaux, c'est une bonne chose que ça veut dire que vous avez un coussin confortable pour absorber des pertes avant que celle-ci ne commence à se répercuter sur les obligations. Ça, c'est une bonne chose. Les coups c'est toujours une bonne chose également parce qu'à long terme ça signifie que la structure de capital est plus efficace et qu'il pourrait y avoir des bénéfices prévisibles dans l'avenir. Ce sont des éléments positifs. L'affaiblissement des bénéfices du flux de trésorerie, c'est négatif. Tout dépend du rythme de l'affaiblissement par rapport aux réactions des banques. Par ailleurs, selon ce qu'on a vu dans les bénéfices jusqu'ici, le rythme du déclin était très régulier et très progressif.
Même si nous prévoyons affaiblissement, ce n'est pas une situation dans laquelle nous prévoyons des rétrogradations des profils de crédit, voire des réductions de note de crédit.
S'il y a une période ralentissement prolongée de l'économie, cela va modifier la situation au niveau du bilan, surtout s'il y a une flambée du chômage, ça va numéro banque au niveau de leur portefeuille de crédit.
Pour l'instant, certes les choses deviennent plus difficiles, au niveau de la qualité du crédit, la situation demeure stable. Une autre question.
Quelle est la meilleure option des obligations à deux ou trois ans et les CPG avec un horizon temporel semblable.
- Nous ne pourrons pas vous donner des questions de placements, mais nous pouvons certainement parler des obligations à court terme, deux à trois ans, ou des CPG.
C'est une question à laquelle il est difficile de répondre à ce stade.
Et le débat est constant. La réponse, finalement, dépend de la situation de chaque client, chaque investisseur pour les obligations de société, surtout à deux à 300 pourrait procurer un rendement potentiel plus élevé, le rendement est de six à 6,5 % pour une obligation avec une scène cotent triple B. La différenciation entre une obligation entreprise un CPG, c'est le risque d'évaluation à la valeur du marché. Si le taux d'intérêt augmente, comme c'est le cas récemment, il y aura des pertes attribuables à la valeur du marché et donc une certaine volatilité pour le client qui en résultera. Au niveau des avantages, bien sûr, il y a le fait que les obligations sont plus liquides. Il est possible de les vendre à tout moment et de cristalliser ses pertes ou ses gains en fonction de l'actualité récente. Quand je parle de pertes en fonction de l'évaluation de la valeur de marché, et peut y avoir des cas semblables. Mais tant que la Fed a réduit les taux l'an prochain, ça pourrait bouleverser le marché obligataire. Oui, si le marché commence envisager des coupures de taux plutôt, même sur une obligation de trois ans, vous allez bénéficier de l'évolution du rendement.
Ce serait un rendement plus élevé plus rapide que si vous aviez un CPG à 6 % à trois ans. Par conséquent, si le client ou l'investisseur à un profil de risque plus élevé de tolérance plus élevée, rendement plus élevé vaut davantage de flexibilité, obligation société à trois ans du bon sens. Si le client recherche la sécurité est un rendement prévisible, le CPG la meilleure option. Bien sûr au niveau des CPG, vous êtes certains de récupérer votre argent à échéance. Avec l'obligation, la valeur du CPG ne peut pas augmenter, tandis que la valeur de l'obligation pourrait augmenter s'il y a des coupures de taux. Précisément dans le cas du CPG, c'est couru d'avance.
Lorsqu'on fait des projets pour embaucher ou réduire le personnel, cela crée des situations l'on est plus vulnérable et plus susceptible à la baisse de l'activité. S'il survient un défi, une faille, cela aura un effet beaucoup plus considérable sur le ralentissement de la croissance dans l'avenir. La Fed a annoncé que les augmentations des obligations du gouvernement à 10 ans et à 30 ans représentait un resserrement considérable nous sommes tout à fait d'accord. Ce que tu fais toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Ben Chim répond à vocation sur le marché obligataire dans quelques instants. Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel à MoneyTalkLive@TD.com. À présent nous poursuivons la découverte de courtier Web.
Quand on parle obligations, si vous l'investir dans les titres à revenu fixe, pouvez envisager la stratégie d'échelonnement.
Comment cela fonctionne-t-il et comment peut-on utiliser cette stratégie sur courtier, voici Hiren anime, qui va nous expliquer ceci.
- Bonjour, Greg. Aussi ça fait toujours plaisir. Les obligations sont très actuelles aujourd'hui.
Et pour de bonnes raisons.
Quand on parle d'un échelonnement d'obligation, d'abord de quoi s'agit-il?
Si vous voulez investir dans les obligations, c'est la stratégie que choisit beaucoup d'investisseur. Il s'agit de créer un portefeuille d'obligations qui arrivent à échéance à des dates différentes. Cette stratégie est conçue pour fournir un revenu courant régulier tout en minimisant l'exposition fluctuation des taux d'intérêt.
Nous avons vécu une augmentation des taux d'intérêt. Qu'est-ce qui va se produire d'ici un an ou deux ans, nous ne savons pas encore.
Mais l'échelonnement permet de se protéger contre des fluctuations des taux.
Quand vous créez un échelonnement, vous n'achetez pas obligations dans l'échéance prévue la même année, mais vous étalez l'échéance des obligations. Cela vous permet de parvenir à deux objectifs. Tout d'abord gérer le risque de taux d'intérêt.
Si vous n'êtes pas trop sûrs que nous avons atteint le sommet du cycle dose de taux d'intérêt, si la découpe prochainement, si vous achetez différentes dates d'échéance, vous évitez d'être bloqués sur un taux d'intérêt unique. Et deuxièmement, vous pouvez gérer vos flux de trésorerie. Si vous voulez un revenu régulier prévisible, vous pouvez étaler vos dates d'échéance dans différentes directions et vous pourrez recueillir un revenu peut-être mensuel si c'est ce que vous voulez ou moins prévisible, tous les deux mois, etc. Bref, voilà ce qu'un échelonnement d'obligations.
- Très bien.
Alors est-ce qu'il y a un outil sur courtier Web qui nous aide à créer un échelon obligations.
- Volontiers, bien sûr. Allons sur la plate-forme. Tout d'abord, affichant la page des titres à revenu fixe. Allons ce recherche, puis revenu fixe.
Quand vous créez une échelle obligations, courtier Web vous propose un outil qui le permet. Mais tout d'abord, il y a un certain nombre de considérations.
Le capital qui est nécessaire pour consacrer à cet échelonnement, et puis essentiellement, quelle sera la constitution de cette échelle. Alors nous retrouvons face à ces différentes catégories d'obligations que vous allez trouver et qui présente en général différent profils de risque, typiquement les obligations mises par les gouvernements provinciaux, municipalité, sans vers le bas de l'échelle de risque.
Vous pouvez créer le profil de risque qui vous intéresse. Mais puisque nous parlons obligations de société, je vous montrais cela rapidement. Alors donc les obligations de zéro à cinq ans, il y a toute une série d'obligations qui sont cotées sur le marché secondaire.
Alors ça, c'est important. Parce que vous décidez lesquels vous voulaient, encore une fois, on n'en revient à la question de savoir lesquels vous souhaitaient. Mais tant que j'ai 30 000 $ à répartir dans mon portefeuille obligataire.
Je vais choisir six échelons, parce que je voudrais essentiellement… puisque les intérêts sont versés de manière semi annuelle, je veux avoir les revenus versés au moins chaque mois. Alors je sélectionne, je voudrais une échéance annuelle pour m'assurer que je peux satisfaire mes besoins en liquidités en cas d'obligations imprévues.
Vous pouvez choisir ces différentes dates.
Voyant commence en 2024, et on va jusqu'à 2028 puisque nous sommes zéro à cinq ans.
Pour montrer l'effet des taux d'intérêt.
Quand vous considérez le rendement obligataire, vous voyez, le premier, c'est en West Ltd, le coupon original était de 4,15 pour cent. Échéance en 2024, au mois de juin, il faut considérer le prix offrant. En général, les obligations ont 1, Cours Ô Père 200, tout ce qui est inférieur à 100 c'est considéré comme un rabais.
Tout ce qui est au-delà de 100, c'est une prime. Alors puisque les taux d'intérêt présent une relation inverse avec le cours des actions, surtout les obligations à plus long terme, nous pouvons voir bon nombre de ses obligations à longs termes qui ont été affectés par la hausse des taux d'intérêt. En général, c'est une bonne chose, soulage de cette obligation, de la lâcheté au rabais et par conséquent le rendement sera légèrement supérieur.
Alors j'ai déjà procédé à l'échelonnement, vous pouvez cocher celle que vous voulez, et passez à ajouter votre portefeuille.
Nous avons déjà eu un portefeuille qui s'appelle diversifier. Je l'affiche, je reviens ma page des titres à revenu fixe je vous montre celle que nous suivons ici.
Alors voici mon portefeuille diversifié.
Vous voyez que j'ajoutais six obligations, je répartis 5000 à chacune. Une fois que vous les avez ajoutés, vous avez le calcul de votre coût total et la dernière chose que vous devez faire, c'est de cliquer sur le rapport d'échelonnement, cela va créer un rapport comme celui-ci pour vous expliquer exactement ce que vous achetez en fonction du cours demandeur, et le rendement que vous allez toucher en fonction du prix que vous allez toucher tout à la fin cela va vous montrer le revenu annuel prévisible que vous allez réaliser.
Voilà comment vous pouvez utiliser l'outil pour créer une échelle obligations.
- Merci, Hiren.
Adrénaline et a présenté des points il sera de retour lundi. Toute la question de la mission sera consacrée à répondre aux questions sur la Platons courtier Web. À présent un coup d'œil sur les webinars éducatifs qui paraîtront sur notre centre de formation. Le mois d'octobre et également le mois des investisseurs un placement direct TD.
Ben Chim répond à vos questions sur le marché obligataire. Quelle est la meilleure façon d'évaluer les obligations rendement élevées?
Suite alors autrement dit, on faire ses devoirs mais comment?
- Il y a beaucoup de facteurs à prendre en compte ton évaluer la qualité d'une obligation rendement élevée. Tout commence par l'évaluation des états financiers, les déclarations d'entreprise. On commence toujours par étudier le flux de trésorerie disponible d'une entreprise.
Peut-elle s'acquitter de façon confortable de ses obligations financières, frais d'intérêts, bah salarial etc. Si la réponse est positive, et bien on peut se demander dans quelle mesure ce flux de trésorerie est prévisible. L'entreprise pourra-t-elle continuer à tenir ses engagements. Après cette analyse, il s'agit de songer à l'entreprise elle-même quelles sont ses forces, cassant ses faiblesses, l'équipe de directions état de grande qualité, prend-elle de bonnes décisions stratégiques?
S'intéresse à la développer l'activité ou la restitution de fonds propres actionnaires? Toutes sortes de facteurs qui pourraient entraîner une impossibilité de tenir les engagements. Il s'agit d'évaluer l'entreprise sous-jacente alluma quand on songe à une évaluation rendement élevée, en définitive vous interpréta, vous prêtez à une entreprise, voulez vous assurer que vous touchez vos intérêts que vous récupérez votre principal. Non seulement envisagez-vous le flux de trésorerie, mais encore la qualité de l'entreprise à laquelle vous prêtait pas si cette entreprise fait faillite, est-ce que vous avez toujours récupéré votre argent ou bien pourriez-vous retrouver face à une perte. Au nombre des facteurs outre le rendement financier, c'est la qualité des actifs.
Mettant qu'une entreprise a une dette qui correspond au prix de ses bénéfices, si elle réalise (...) si vous vendez cet actif allez-vous réaliser davantage encore moins?
C'est essentiel quand on envisage la possibilité qu'une part soit réalisée. Il s'agit d'évaluer l'entreprise et les risques qui l'environnent mais également à qui vous prêtez et quelles seront les garanties, et cela permet d'évaluer l'attrait de ce placement par rapport à d'autres possibilités qui présentent les mêmes risques que l'on peut analyser.
Voilà des facteurs à prendre en compte quand on étudie le secteur des titres à rendement élevé. Que dire des secteurs défensives comme les services publics télécommunications?
- Comme j'ai dit, ces secteurs paraissent intéressants, le marché des titres à rendement élevé, et secteur défensif, les actions ont eu un comportement décevant cette année. Pourquoi, parce que le prix de reviens augmente à cause de l'inflation, les taux d'intérêt augmentent rapidement, en ce qui concerne revenu, ses revenus sont très prévisibles et stables, mais essentiellement contractuelle. Alors leurs flux de trésorerie sont sous pression, ce qui a un impact négatif sur des attentes en matière de croissance, et les valeurs remboursant souffre. Et lorsque les valeurs en pour cent souffrent, les titres à rendement élevé réagissent aussi. J'ai parlé de cette garantie, la question de garantie en réponse à dernière question, la valeur de votre garantie, si la valeur de l'entreprise en bourse diminue, la valeur de la garantie diminue. La probabilité d'une perte augmente légèrement. Voilà pourquoi les titres défensifs ont donné des résultats décevants, aussi bien les services publics que les télé communicateurs. Pour moi, c'est une réaction de la réaction du marché obligataire est un peu une réaction excessive. La raison pour laquelle je dis cela, c'est que lorsque vous songez au coût de remplacement, par exemple d'un réseau de distribution électrique, un réseau de fibre optique, le coût du remplacement augmente avec l'inflation également, parce que les coûts de main-d'œuvre et de fourniture augmente.
Alors le risque d'une perte à mon avis n'est pas aussi important que le marché le laisse entendre et cela crée des opportunités. Là nous voyons des occasions dans ces secteurs. Au niveau des télé communicateurs, en ce qui concerne rendement élevé, il y a une structure de capital assez compliqué, via la dette non garantie, de garantie, qui représente un ratio de trois à quatre fois la dette par rapport bénéfice. La dette non garantie ça peut passer de six à sept fois.
Au niveau des titres garantis, on peut concentrer davantage une à la valeur des actifs et sur la capacité de refinancement. Donc nous pensons que les obligations garanties qui tournent autour de huit à 10 % sont intéressantes. Il y aura une forte volatilité, il existe un certain risque quant à la possibilité de refinancement, mais malgré tout nous sommes assez satisfaits quant à la probabilité de récupérer le capital sans réaliser de pertes. Au niveau des actions régulièrement de préoccupations à l'égard de refinancement.
Les structures de financement sont plus prudentes. Donc nous obtenons rendement plus élevé pour le risque que l'on prend, nous ne prévoyons pas qu'il y ait des préoccupations importantes relatives refinancement dans le secteur des services publics. Ces deux secteurs offrent une belle valeur alors actuelle.
Suite d'autres questions, sur les déplacements pour le secteur des voyages et des loisirs, avec la fin du baume des déplacements de l'été. Comment se présente-t-il? Suite les compagnies aériennes commencent à signaler qu'après un été très porteur, ne savent pas de quoi l'avenir sera fait. C'est ce que nous pensons du secteur des loisirs. La vie est belle en ce moment, mais nous sommes un peu préoccupés par l'avenir. Nous avons été assez optimistes à l'égard des transporteurs aériens depuis le début de l'année, avec le retour des voyages d'affaires et des voyages internationaux, mais nous sommes quelque peu prudents dans l'avenir, parce que des écarts sont assez serrés, ce qui reflète la bonne nouvelle, et la prime de risque n'est pas tellement élevée alors que les coûts de carburant augmentent. Il y a un personnel très syndiqué avec des travailleurs automobiles et les autres syndicats qui exigent des augmentations de salaire considérable.
Nous sommes un peu plus prudents à l'égard de ce secteur que nous ne l'étions il y a quelques mois. Nous pensons que le secteur des loisirs offre des possibilités plus intéressants dans le secteur des croisières.
Tout le monde sait que c'est un secteur qui donne de bon rendement, mais les croisières existent avec des notes triple B avant la COVID, depuis tout ce qui s'est passé pendant la pandémie, leurs codes sont passés à triple c'est parce qu'elles ont dû arrêter leurs activités, on a parlé de voyageurs qui étaient pris au piège à bord de paquebots qui étaient contaminés, c'était catastrophique. Il y a eu une année ou un peu plus d'une année pendant laquelle le marché tout entier des croisières était inexistant.
Les entreprises ont accumulé beaucoup dette pendant cette période. Leur note et passa triple C. Maintenant, les paquebots sont pratiquement plein, d'ici deux ans, les prix augmentent, et les trésoreries des trois grands trésoreries ça se chiffre en milliards et les compagnies peuvent commencer à renier sur leur énorme endettement accumulé pendant la COVID.
Elles sont très loin encore d'être des outils de première qualité m'évoluent dans la bonne direction et leur équipe de directions veulent parvenir au rang de première qualité. Huit à 10 %, attendant ce niveau d'exploitation, ainsi qu'au niveau du bilan qui va dans la bonne direction, c'est un secteur intéressant.
Je vous rappelle comment poser une question. Avez-vous des questions sans déplacement, ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser. Soit par courriel à moneytalklive@td.com, soit dans la boîte à questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Jerome Powell, président de la Fed américaine a tenu des propos très attendus au Economic Club de New York. La réaction des marchés, d'abord à la hausse une certaine pression à la baisse. Anthony Okolie à écouter les propos du président de la Fed.
Suite à cette intervention précède la décision sur les taux du mois prochain.
Pendant la plus grande braderie des bons du trésor depuis un an. Voici ce qu'a dit Jerome Powell. Il a laissé entendre qu'il aurait une pause dans la hausse des taux d'intérêt. Les marchés prévoient déjà que la Fed maintienne les taux inchangés à sa prochaine réunion. Jerome Powell s'est également fait l'écho de plusieurs dirigeants de la Fed qui ont récemment réclamé une pause dans la hausse des taux à court terme, compte tenu de la nécessité de voir quel sera l'impact des hausses passées sur l'économie, surtout en raison de la hausse des rendements obligataires depuis quelque semaine qui a beaucoup resserré les conditions financières.
Jerome Powell a reconnu qu'il y avait des cycles de refroidissement mais a déclaré que l'inflation demeurait trop élever et qu'il faudrait sans doute que la croissance économique diminue pour la faire reculer et que la situation de la résidence de l'économie pourrait justifier davantage de resserrement. Il a répété que les taux demeuraient plus longtemps plus élever, mais il a réitéré également que la Fed se fonderait sur les statistiques dans l'avenir et qu'elle procéderait avec prudence dans ses décisions en matière de politique monétaire ce qui semble indiquer que la Fed n'envisage pas de relever les taux à sa prochaine réunion, mais il n'a pas exclu une hausse potentielle en décembre.
Il s'est ménagé cette possibilité. Au niveau de l'emploi, Powell a laissé entendre que le marché du travail la croissance économique pourrait devoir ralentir pour que la Fed puisse parvenir à ses objectifs. Un peu de contexte.
Récemment les statistiques sera la croissance d'emploi, laisse accroire une décélération d'activité économique à la fin de l'été au début de l'automne. Bien sûr, ces commentaires parviennent le jour même où les demandes d'inscription chômage ont atteint le niveau le plus bas depuis novembre 2003, ce qui signifie que le marché du travail reste très serré pour exercer une pression là-haut sur l'inflation. Jerome Powell est toujours en train d'intervenir. Je vois que le rendement des obligations du gouvernement à 10 ans est à 4,99 %, c'est-à-dire presque cinq. Il faudra peut-être prendre du recul et faire le bilan de la réaction du marché. La bourse a monté puis redescendu. C'est très dynamique, rendements obligataires les bons du Trésor à 10 ans sont presque 5 %. Suite oui, les enjeux sont élevés pour ce discours. Les rendements des bons du Trésor à 10 ans étaient sur le point d'atteindre 5 % pour la première fois depuis décembre 2007.
Jerome Powell, croyait-t-on aller signaler un resserrement de la Fed dans un contexte de tension croissante au niveau géopolitique. Les ventes de logements s'étant diminuées jusqu'au niveau le plus bas depuis 2010 à cause du bon des taux hypothécaires qui ont atteint 8 % récemment et qui a eu un effet très néfaste sur le marché du logement. Service économie TD ne prévoit pas de revirement sur le marché à court terme et prévoit que la rentabilité descendra au prix le plus bas depuis 40 ans. Les enjeux reliés à ce discours sont très élevés. Nous allons continuer de le suivre de très près et tous les yeux serons rivés sur la prochaine décision de politique monétaire de la Fed qui arrive le 1er décembre. Le 1er novembre. Suite merci, Anthony Okolie pour cette analyse en temps réel. Après un coup d'œil sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée de la banque TD conçue pour les négociateurs actifs et proposés par placement direct TD. Voici la carte thermique qui permet de visualiser le TSX 60 en fonction du cours et du volume. Les réactions aux propos tenus par Jerome Powell se font sentir sur tous les marchés nord-américains. Par beaucoup de vers à l'écran. Pour se concentrer sur l'élément positif, ce serait Cameco, CCO, le producteur d'uranium en hausse de 6 %, faiblesse dans le secteur des services publics, très sensible taux d'intérêt avec le secteur financier également, la situation est mitigée. Aux États-Unis, l'indice S&P 500, à part Jean Powell et ce qu'il affirme, ensuite très près les rendements obligataires, il y a des annonces de bénéfices en ce moment.
Commençons par Netflix. Le titre bondit de 15 % après l'ajout d'un grand nombre d'abonnés pendant le dernier trimestre.
AT&T annonce des bénéfices en hausse, les milieux financiers sont satisfaits. Tesla annonce des bénéfices et un chiffre d'affaires inférieures aux prévisions et le titre dévisse de 9 %. Pour vous renseigner sur la plate-forme avancée, visitez le site de placement direct TD.
Ben Chim répond à vos questions sur le marché obligataire.
Pouvez-vous commenter rue Saint art allemande, rendement obligataire est supérieur à 10 %. Comment les investisseurs devraient-ils interpréter ce taux élevé?
- Chorus est une entreprise à des actifs très solides au niveau des contenus, qui ont de la valeur sur le marché canadien.
Mais la faiblesse des obligations est attribuable à deux éléments.
Qui inquiète les investisseurs à long terme. Tout d'abord, de plus en plus de spectateurs se désabonnaient de la cabot diffusion et s'intéresse plutôt aux plates-formes de diffusion directe.
Certains des canaux de chorus ne rapportent pas autant de revenus d'abonnement que cela était le cas dans le passé encore plus important des inquiétudes relatives à la publicité.
La publicité, quand on n'y songe, la hausse de l'inflation, la hausse des coûts pour les entreprises, la manière dont elle gère ça au niveau des taux d'intérêt, la publicité, c'était une des façons les plus simples de réduire les coûts, et en général c'est l'un des premiers coups à être réduit en cas de baisse d'activité ou de récession. Cette fois-ci, c'est le cas également, coup de publicité, les entreprises publicitaires en général ont dû s'adapter mini récession qui survient plutôt que pour les autres secteurs.
Chorus est frappé de plein fouet par la baisse de la publicité sur ces canaux.
Voilà les deux facteurs qui sont pris en compte et qui ont des conséquences sur la structure du capital et qui entraîne des inquiétudes à l'égard des obligations.
Le désabonnement des clients représente une inquiétude pour l'avenir en ce qui concerne le flux de trésorerie en particulier.
Nous ne prévoyons pas de risque de faillite ou de défaut de paiement, du moins dans l'immédiat. Il ne s'agit pas d'une inquiétude sérieuse pour l'instant, mes obligations sont à longue échéance. Il existe donc beaucoup de potentiel de détérioration et cela inquiète la plupart des investisseurs. Le rendement est très élevé à l'heure actuelle, à cause de ces risques. Suite excellente analyse de chorus. Nous n'avons plus le temps de poser des questions, mais une dernière chose que dans cet environnement régulièrement obligations ont augmentée depuis plusieurs semaines. À quoi doivent songer les investisseurs?
- La situation devient de plus en plus difficile en tout temps avec la volatilité que nous constatons. Il y a deux choses pour moi auquel je songe constamment. Tout d'abord, quand est-ce que nous allons pouvoir avoir une exposition plus importante automne intérêt? J'ai l'habitude d'aller à contre-courant. Avec les obligations. Chaque fois qu'une obligation baisse c'est-à-dire que le rendement est élevé, le rapport risque rendement s'est amélioré.
En tant qu'investisseur, dans les titres de créance, depuis un an au plus, je suis beaucoup plus biaisé en fonction des crédits immédiats où le risque est très séduisant. Il y a davantage de raison à leur actuelle de s'aventurer plus loin sur la coupe de rendement, cinq ans, 10 ans, on peut réaliser un rendement à 5 % pour des obligations à 10 ans.
L'aspect d'assurance, si vous voulez, le fait que s'il y a vraiment une rétrogradation de la croissance, s'il y a un choc relatif aux conditions financières, et ce n'est pas exclu.
L'été dernier, il y a eu un choc avec les caisses de retraite au Royaume-Uni. À chaque fois qu'il y a un resserrement rapide des conditions financières et que le risque chancelle et que la possibilité existe. Nous l'avons vu. Le fait d'avoir cette assurance sur le tronçon de 10 à 30 ans de la courbe, et ceux avec des titres défensifs de première qualité, service public, etc.
Des obligations à 30 ans de grande qualité, on obtient des rendements de six à 6,5 %. Bien sûr, cette assurance a un coût, parce que les taux d'intérêt vont demeurer volatiles, il pourrait être encore plus élevé, mais l'intérêt relatif à ce coût, ce qui diminue et je pense que c'est devenu plus intéressant.
Suite voilà la question que nous nous posons tous dans le secteur des titres à revenu fixe. La situation est devenue plus intéressante, à l'extrémité plan de la courbe. Merci, ben j'apprends tout plein de choses avec vous. Suite Ben Chim est responsable des titres à revenu fixe à gestion passante dépensait toujours propre recherche avant de prendre les décisions de placement. Restez à l'écoute, Thomas une mise à jour sur les marchés et les dernières informations sur la santé des consommateurs canadiens. Lundi, ARN répond à vos questions pendant toute l'émission sur la plate-forme le courtier Web, et le moyen de mieux employé par peut nous poser vos questions d'ores et déjà par courriel à MoneyTalkLive@TD.com. Merci, et… attendez avant que le rendement, 4,98 %, il n'a pas encore atteint 5 %. À demain.
ARN anime nous explique comment créer un échelonnement d'obligations.
Posez-vous nos questions par courriel à moneytalklive@td.com ou dans la boîte en bas de votre écran. Mais d'abord un coup d'œil sur le marché. Ceux-ci sont dans l'attentisme aujourd'hui par Jerome Powell devraient prendre la parole à New York en quelques instants.
Nous allons voir quels propos elle tiendra. Peut-être affirmera-t-il collector demeurant plus élever plus longtemps. L'indice TSX composite recule très modestement de 27 ; soit un peu plus de 0,1 %.
Le groupe malade affiche des résultats supérieurs aux prévisions, ce qui fait progresser l'action de trois et demis pour cent à 13,86 $.
Crescent Point Energy, baromètre du secteur de l'énergie progresse modestement de 1 % à 11,55 $ l'action. On voit les toutes premières manchettes à New York.
Jerome Powell déclare que l'inflation est toujours trop élevée avec une croissance économique plus faible sera sans doute nécessaire pour la faire reculer. Il n'a pas dit plus élever plus longtemps, mais c'est tout comme. L'indice S&P 500 recule de près de :. Bien sûr, les marchés financiers vont rapidement assimiler les propos du président de la Fed. Alors actuel, l'indice Nasdaq progresse très modestement de quatre points. Tesla déçoit les mesures financiers. Le constructeur de véhicules électriques recule de près de 9 %.
Beaucoup de volatilité sur le marché des bons du trésor américain récemment. Les rendements du bons artisans ont atteint des niveaux jamais vus depuis 2007.
Comment le marché de titres de créance de société se maintient-il? Ben Chim de gestion de placements TD commentent.
Bonjour, ben.
- Bonjour Y. Ça fait plaisir de passer à votre mission.
- Nous suivons de très près les rendements obligataires qui grèvent le placement de 2007. Parlez-nous du marché de titres de créance. À quoi ressemble-t-il. La volatilité qui règne sur le marché des obligations du gouvernement, la volatilité est en fait un mot très faible compte tenu de la tempête qui souffle sur ce marché.
Il y a eu un affaiblissement des marchés de titres de créance de société en raison de préoccupations relatives à la croissance, mais généralement parlant, c'est plutôt le calme qui règne sur ce marché. Vu l'ensemble des choses, surtout depuis deux mois, les rendements demeurent au sein d'une fourchette assez étroite. Il y a deux raisons pour lesquelles le marché des obligations de société a manifesté une certaine sérénité malgré les inquiétudes relatives aux obligations de gouvernement.
Tout d'abord la résilience de l'économie américaine et de l'économie mondiale, d'ailleurs, à donner aux sociétés tout le temps de s'adapter à un contexte de financement, un contexte de prix de reviens beaucoup plus délicat. Ils ont pu réduire leurs dépenses, ajuster leurs profils de dépenses en conséquence, et leur profil d'endettement. Il y a maintenant des situations dans lequel le profil de crédit s'est bien maintenu, malgré la faiblesse des bénéfices pour l'avenir. Cela a donné beaucoup de confiance en marché obligataire qui considère qu'il n'y aura sans doute pas d'effondrement du marché des obligations société comme ça été le cas pendant les périodes antérieures de baisse de l'activité économique. Ensuite, l'équilibre offre demande devient favorable en ce qui concerne les obligations, surtout celle de première qualité. C'est-à-dire qu'il y a toujours plus d'acheteurs que de vendeurs d'obligations de société. Les flux de fonds sont demeurés relativement stables, surtout compte tenu du fait que le rendement de marché obligataire a été assez médiocre cette année, ce qui témoigne de l'attrait exercé par les obligations de société, globalement 6 % pour les obligations de première qualité, 9 % pour les titres de rendement élevé.
Cela paraît donc très intéressant pour les investisseurs.
Ayant une certaine exposition ton intérêt dans un portefeuille diversifié, cela a du bon sens. Le marché des obligations premières qualité, spécifiquement, joue donc un rôle utile dans un portefeuille, ce qui est favorable à la demande. Quant aux investisseurs institutionnels, rendements plus élevés des obligations donnent à beaucoup de régimes de retraite et de compagnies d'assurances la capacité d'immuniser leur flux de trésorerie pour l'avenir. Il y a également une demande venant de ce secteur-là. La demande est donc très robuste au niveau de l'offre, la situation devient plus favorable pour les obligations société. C'est parce que les rendements ont tellement augmenté, beaucoup d'émetteurs qui envisageaient il y a deux mois d'émettre des titres de créance constate que cela va leur coûter davantage que 50 75 30 pas aujourd'hui. Si vous êtes en émettant une bonne liquidité, une bonne qualité de crédit, vous pouvez vous permettre d'attendre qu'une meilleure occasion se présente. Les perspectives pour les émissions, pour le reste de cette année, seront sans doute à la baisse, ce qui va être favorable au cours des obligations société, voilà les principaux facteurs qui maintiennent les écarts relativement élevés malgré la volatilité.
Une dynamique très intéressante sur le marché .si c'est notre contact, cassant les secteurs du marché obligataire qui commence à sembler intéressant?
- Bon nombre des inquiétudes porte sur une éventuel affaiblissement. Il y a donc plusieurs secteurs qui deviennent de plus en plus intéressants pour l'avenir.
Nous nous reposons sur les recherches très approfondies sur les titres de créance de société, ce qui nous amène à chercher des occasions dans des secteurs qui sont peut-être en défaveur des entreprises qui présentent certains risques qui sont mal compris au niveau global. Il y a le secteur de l'immobilier, surtout les fiducies de revenu immobilières qui sont très en défaveur aujourd'hui. La baisse de l'immobilier de bureau affecte la valeur de leurs actifs sous-jacents.
Le secteur de l'immobilier de bureau, en particulier, fait l'objet d'une forte dislocation.
C'est vraiment un secteur où il y a beaucoup de dégâts panneaux évitant ce secteur, il y a beaucoup de questions avec le plus de questions que de réponses, mais il y a des créneaux de valeurs qui se sont créées dans le domaine de l'immobilier de détail, immobilières industrielles. Ce sont des secteurs dans lesquels les taux d'occupation demeurent très élever. La croissance des loyers bonne. Il y a des situations où les baux de location sont arrivés à échéance, a été possible de le renouveler à des niveaux égaux ou supérieurs à l'inflation, parfois avec une augmentation des loyers de plus de 10 %.
Donc les bénéfices portent bien avec les flux de trésorerie sont réguliers.
Les fiducies de revenu immobilière de type triple B, triple B moins, donc de première qualité, on peut assainir progressivement leur bilan. Les obligations ado trois ans dans ce secteur du marché nous intéressent beaucoup. Certes et pour y avoir une certaine volatilité au niveau de l'économie dans l'avenir, mettant à court terme, cela permet d'atténuer beaucoup la volatilité au niveau de ses titres. Voilà une occasion. Le secteur des oléoducs et gazoduc est très intéressant, mais en fait il y a une bifurcation sur les marchés.
Pour nous, c'est dans le créneau des obligations W ou B sur le marché. Ce sont des équipes de directions qui sont très solides, des actifs à ses grandes qualités, mais des entreprises qui doivent toujours investir dans leur activité, alimenter leur croissance, assainir leur bilan.
Nous constatons une amélioration régulière compte tenu du flux de trésorerie très sentirait de la hausse des cours du pétrole. Inversement, nous sommes un peu plus inquiets à l'égard des produits de grande qualité, genre triple B plus ou. Ce sont des entreprises dans le bilan est déjà dans l'état souhaité, il n'y aura pas d'amélioration à cet égard. La plus grande partie de flux de trésorerie est consacrée à des fusions-acquisitions ou à des restitutions investisseurs. Ça nous inquiète un peu plus. Quand on recherche des opportunités sur le marché des titres à rendement, nous préférons les titres défensifs par rapport aux titres cycliques. Les secteurs comme les hôpitaux, les produits de consommation, les services publics, les services de télécommunications, sous tout cela donnait des résultats décevants par rapport aux télécommunications cette année, cela crée des occasions, surtout au niveau des obligations, à flux de trésorerie stable et prévisible très important. Donc les occasions que nous offre le secteur défensif nous intéresse. Et puis, au niveau des métaux et des minerais, il y a des occasions intéressantes. Encore une fois un secteur qui a été assez décevant à cause de la croissance plus faible en Chine, plus faible que prévu. Quand on songe au long terme, le cuivre en particulier présente des données fondamentales très intéressantes, offre limitée, demande très élevait à long terme à cause de la transition énergétique.
Beaucoup de ces émetteurs d'obligations triple B et triple B moins verse généralement huit à 10 % de coupons dans le secteur du cuivre. Voilà les secteurs où nous voyons le plus de valeur. À l'heure actuelle, il y a un potentiel, quelle serait les risques globalement?
Est-ce que ce serait l'environnement du crédit? Ce qui pourrait faire augmenter les rendements?
- Au fur et à mesure que les rendements augmentaient que l'économie ralentit, la plupart des entreprises sont suffisamment solides, ce que nous suivons vont subir l'évolution de l'économie, mais s'il y a un choc, que quelque chose casse, ce qui est souvent le cas quand les conditions de trading crédit se resserrent, certains de ces titres pourraient donner des résultats décevants.
Suite excellent début de mission. Ben Chim la provocation sur le marché obligataire dans quelques instants. Peut nous les poser en tout temps par courriel à MoneyTalkLive@TD.com dans la boîte de questions en bas de votre écran.
À présent, actualité du monde des affaires et un coup d'œil sur les marchés.
Les actions de Netflix sont sous les feux de la rampe aujourd'hui. Le géant du streaming a recruté près de 9 millions de nouveaux abonnés au cours du dernier trimestre. Netflix récolte les fruits de sa répression du partage des mots de passe. L'entreprise prévoit augmenter ses prix aux États-Unis en France en Royaume-Uni. L'action progresse de 15 %.
C'est l'inverse pour Tesla, l'action est sous pression après des bénéfices décevants. L'action recule de 8,6 %. Le constructeur de véhicules électriques n'a pas répondu aux attentes des marchés financiers en termes de chiffre d'affaires bénéfices. C'est la première fois depuis 2019 que testa D67 au plan.
Le chef de la direction Elon Musk a déclaré lors d'un appel aux investisseurs que les taux d'intérêt élevé rendaient plus difficile achat de voitures pour les consommateurs. Nokia annonce la suppression de jusqu'à 14 000 emplois après l'annonce d'un résultat négatif pour le début trimestre entreprise finlandaise de télécommunications faites face à un fort ralentissement aux États-Unis et se tourne vers l'Inde et d'autres marchés pour assurer sa croissance. Après avec les grands indices. L'indice CP TSX est essentiellement changé, un gain très modeste de…. Jerome Powell a pris la parole à New York quant à l'évolution des taux d'intérêt. L'indice S&P 500 progresse modestement de six points, c'est-à-dire 0,1 %. Jerome Powell a déclaré tout alors que l'inflation demeure trop élever et qu'il faudrait que la croissance économique ralentissement la maîtrisait.
Il a également dit que le marché du travail demeure serrer mais qu'il y a certains signes de refroidissement. La résilience de l'économie, aux États-Unis puisqu'au Canada, même si certains secteurs de notre économie centrale résiliant. Si cette résilience se prolonge, selon Jerome Powell, il se pourrait qu'il soit nécessaire de prendre de nouvelles mesures de resserrement. Pour parvenir à 2 % d'inflation, il se pourrait que la croissance économique soit inférieure la tendance.
On a parlé d'une forte hausse des rendements des bons du trésor. Depuis quelques semaines Jerome Powell a dit que les conditions financières ont su bien fort resserrement sur les marchés pas Anthony Okolie suivi de très près les propos temporels et va nous rejoindre plus tard pour les analyser. Ben Chim de gestion de placements CD répond à vocation sur le marché obligataire. Quels sont vos perspectives pour les banques?
- Les banques sont en difficulté au niveau des bénéfices, raison des coûts gonflés et des revenus qui diminuent régulièrement.
De ce point de vue, sont sous pression.
Les revenus diminuent parce que les marges nettes d'intérêt sont comprimées, c'est-à-dire essentiellement que le revenu que les banques tirent de leur activité de prêt ne suit pas le rythme de l'augmentation de leur coût de financement.
Passant sous pression au niveau des marchés financiers, on l'a vu dans les annonces de Coleman Sachs et de Morgan Stanley cette semaine. Même si les provisions de pertes sur créances ont été moins élevées que prévues pendant le dernier trimestre que ce facteur pourrait continuer d'exercer des pressions soit au niveau des cartes de crédit.
Les pertes augmentent lentement mais sûrement. Le secteur de l'immobilier commercial commence à susciter davantage de radiation. Ça été le cas pour Wells Fargo. Cela exercera une certaine pression. Pas dans l'immédiat. Enfin, les régulateurs pourraient exiger que les banques réunissent davantage de fonds propres. Pour cela, il faudrait quelles empreintes auxquelles émette des actions afin de renforcer les réserves qui figurent sur leur bilan. Tout cela comprime les bénéfices. Au niveau des obligations de société, tout n'est pas négatif. Suite je voulais vous poser la question parce qu'on se concentre totalement sur les actions pendant les annonces de bénéfices, qu'est-ce que ça signifie pour les obligations?
- Eh bien, réunir des capitaux, c'est une bonne chose que ça veut dire que vous avez un coussin confortable pour absorber des pertes avant que celle-ci ne commence à se répercuter sur les obligations. Ça, c'est une bonne chose. Les coups c'est toujours une bonne chose également parce qu'à long terme ça signifie que la structure de capital est plus efficace et qu'il pourrait y avoir des bénéfices prévisibles dans l'avenir. Ce sont des éléments positifs. L'affaiblissement des bénéfices du flux de trésorerie, c'est négatif. Tout dépend du rythme de l'affaiblissement par rapport aux réactions des banques. Par ailleurs, selon ce qu'on a vu dans les bénéfices jusqu'ici, le rythme du déclin était très régulier et très progressif.
Même si nous prévoyons affaiblissement, ce n'est pas une situation dans laquelle nous prévoyons des rétrogradations des profils de crédit, voire des réductions de note de crédit.
S'il y a une période ralentissement prolongée de l'économie, cela va modifier la situation au niveau du bilan, surtout s'il y a une flambée du chômage, ça va numéro banque au niveau de leur portefeuille de crédit.
Pour l'instant, certes les choses deviennent plus difficiles, au niveau de la qualité du crédit, la situation demeure stable. Une autre question.
Quelle est la meilleure option des obligations à deux ou trois ans et les CPG avec un horizon temporel semblable.
- Nous ne pourrons pas vous donner des questions de placements, mais nous pouvons certainement parler des obligations à court terme, deux à trois ans, ou des CPG.
C'est une question à laquelle il est difficile de répondre à ce stade.
Et le débat est constant. La réponse, finalement, dépend de la situation de chaque client, chaque investisseur pour les obligations de société, surtout à deux à 300 pourrait procurer un rendement potentiel plus élevé, le rendement est de six à 6,5 % pour une obligation avec une scène cotent triple B. La différenciation entre une obligation entreprise un CPG, c'est le risque d'évaluation à la valeur du marché. Si le taux d'intérêt augmente, comme c'est le cas récemment, il y aura des pertes attribuables à la valeur du marché et donc une certaine volatilité pour le client qui en résultera. Au niveau des avantages, bien sûr, il y a le fait que les obligations sont plus liquides. Il est possible de les vendre à tout moment et de cristalliser ses pertes ou ses gains en fonction de l'actualité récente. Quand je parle de pertes en fonction de l'évaluation de la valeur de marché, et peut y avoir des cas semblables. Mais tant que la Fed a réduit les taux l'an prochain, ça pourrait bouleverser le marché obligataire. Oui, si le marché commence envisager des coupures de taux plutôt, même sur une obligation de trois ans, vous allez bénéficier de l'évolution du rendement.
Ce serait un rendement plus élevé plus rapide que si vous aviez un CPG à 6 % à trois ans. Par conséquent, si le client ou l'investisseur à un profil de risque plus élevé de tolérance plus élevée, rendement plus élevé vaut davantage de flexibilité, obligation société à trois ans du bon sens. Si le client recherche la sécurité est un rendement prévisible, le CPG la meilleure option. Bien sûr au niveau des CPG, vous êtes certains de récupérer votre argent à échéance. Avec l'obligation, la valeur du CPG ne peut pas augmenter, tandis que la valeur de l'obligation pourrait augmenter s'il y a des coupures de taux. Précisément dans le cas du CPG, c'est couru d'avance.
Lorsqu'on fait des projets pour embaucher ou réduire le personnel, cela crée des situations l'on est plus vulnérable et plus susceptible à la baisse de l'activité. S'il survient un défi, une faille, cela aura un effet beaucoup plus considérable sur le ralentissement de la croissance dans l'avenir. La Fed a annoncé que les augmentations des obligations du gouvernement à 10 ans et à 30 ans représentait un resserrement considérable nous sommes tout à fait d'accord. Ce que tu fais toujours vos propres recherches avant de prendre des décisions de placement. Ben Chim répond à vocation sur le marché obligataire dans quelques instants. Je vous rappelle que vous pouvez nous poser vos questions en tout temps par courriel à MoneyTalkLive@TD.com. À présent nous poursuivons la découverte de courtier Web.
Quand on parle obligations, si vous l'investir dans les titres à revenu fixe, pouvez envisager la stratégie d'échelonnement.
Comment cela fonctionne-t-il et comment peut-on utiliser cette stratégie sur courtier, voici Hiren anime, qui va nous expliquer ceci.
- Bonjour, Greg. Aussi ça fait toujours plaisir. Les obligations sont très actuelles aujourd'hui.
Et pour de bonnes raisons.
Quand on parle d'un échelonnement d'obligation, d'abord de quoi s'agit-il?
Si vous voulez investir dans les obligations, c'est la stratégie que choisit beaucoup d'investisseur. Il s'agit de créer un portefeuille d'obligations qui arrivent à échéance à des dates différentes. Cette stratégie est conçue pour fournir un revenu courant régulier tout en minimisant l'exposition fluctuation des taux d'intérêt.
Nous avons vécu une augmentation des taux d'intérêt. Qu'est-ce qui va se produire d'ici un an ou deux ans, nous ne savons pas encore.
Mais l'échelonnement permet de se protéger contre des fluctuations des taux.
Quand vous créez un échelonnement, vous n'achetez pas obligations dans l'échéance prévue la même année, mais vous étalez l'échéance des obligations. Cela vous permet de parvenir à deux objectifs. Tout d'abord gérer le risque de taux d'intérêt.
Si vous n'êtes pas trop sûrs que nous avons atteint le sommet du cycle dose de taux d'intérêt, si la découpe prochainement, si vous achetez différentes dates d'échéance, vous évitez d'être bloqués sur un taux d'intérêt unique. Et deuxièmement, vous pouvez gérer vos flux de trésorerie. Si vous voulez un revenu régulier prévisible, vous pouvez étaler vos dates d'échéance dans différentes directions et vous pourrez recueillir un revenu peut-être mensuel si c'est ce que vous voulez ou moins prévisible, tous les deux mois, etc. Bref, voilà ce qu'un échelonnement d'obligations.
- Très bien.
Alors est-ce qu'il y a un outil sur courtier Web qui nous aide à créer un échelon obligations.
- Volontiers, bien sûr. Allons sur la plate-forme. Tout d'abord, affichant la page des titres à revenu fixe. Allons ce recherche, puis revenu fixe.
Quand vous créez une échelle obligations, courtier Web vous propose un outil qui le permet. Mais tout d'abord, il y a un certain nombre de considérations.
Le capital qui est nécessaire pour consacrer à cet échelonnement, et puis essentiellement, quelle sera la constitution de cette échelle. Alors nous retrouvons face à ces différentes catégories d'obligations que vous allez trouver et qui présente en général différent profils de risque, typiquement les obligations mises par les gouvernements provinciaux, municipalité, sans vers le bas de l'échelle de risque.
Vous pouvez créer le profil de risque qui vous intéresse. Mais puisque nous parlons obligations de société, je vous montrais cela rapidement. Alors donc les obligations de zéro à cinq ans, il y a toute une série d'obligations qui sont cotées sur le marché secondaire.
Alors ça, c'est important. Parce que vous décidez lesquels vous voulaient, encore une fois, on n'en revient à la question de savoir lesquels vous souhaitaient. Mais tant que j'ai 30 000 $ à répartir dans mon portefeuille obligataire.
Je vais choisir six échelons, parce que je voudrais essentiellement… puisque les intérêts sont versés de manière semi annuelle, je veux avoir les revenus versés au moins chaque mois. Alors je sélectionne, je voudrais une échéance annuelle pour m'assurer que je peux satisfaire mes besoins en liquidités en cas d'obligations imprévues.
Vous pouvez choisir ces différentes dates.
Voyant commence en 2024, et on va jusqu'à 2028 puisque nous sommes zéro à cinq ans.
Pour montrer l'effet des taux d'intérêt.
Quand vous considérez le rendement obligataire, vous voyez, le premier, c'est en West Ltd, le coupon original était de 4,15 pour cent. Échéance en 2024, au mois de juin, il faut considérer le prix offrant. En général, les obligations ont 1, Cours Ô Père 200, tout ce qui est inférieur à 100 c'est considéré comme un rabais.
Tout ce qui est au-delà de 100, c'est une prime. Alors puisque les taux d'intérêt présent une relation inverse avec le cours des actions, surtout les obligations à plus long terme, nous pouvons voir bon nombre de ses obligations à longs termes qui ont été affectés par la hausse des taux d'intérêt. En général, c'est une bonne chose, soulage de cette obligation, de la lâcheté au rabais et par conséquent le rendement sera légèrement supérieur.
Alors j'ai déjà procédé à l'échelonnement, vous pouvez cocher celle que vous voulez, et passez à ajouter votre portefeuille.
Nous avons déjà eu un portefeuille qui s'appelle diversifier. Je l'affiche, je reviens ma page des titres à revenu fixe je vous montre celle que nous suivons ici.
Alors voici mon portefeuille diversifié.
Vous voyez que j'ajoutais six obligations, je répartis 5000 à chacune. Une fois que vous les avez ajoutés, vous avez le calcul de votre coût total et la dernière chose que vous devez faire, c'est de cliquer sur le rapport d'échelonnement, cela va créer un rapport comme celui-ci pour vous expliquer exactement ce que vous achetez en fonction du cours demandeur, et le rendement que vous allez toucher en fonction du prix que vous allez toucher tout à la fin cela va vous montrer le revenu annuel prévisible que vous allez réaliser.
Voilà comment vous pouvez utiliser l'outil pour créer une échelle obligations.
- Merci, Hiren.
Adrénaline et a présenté des points il sera de retour lundi. Toute la question de la mission sera consacrée à répondre aux questions sur la Platons courtier Web. À présent un coup d'œil sur les webinars éducatifs qui paraîtront sur notre centre de formation. Le mois d'octobre et également le mois des investisseurs un placement direct TD.
Ben Chim répond à vos questions sur le marché obligataire. Quelle est la meilleure façon d'évaluer les obligations rendement élevées?
Suite alors autrement dit, on faire ses devoirs mais comment?
- Il y a beaucoup de facteurs à prendre en compte ton évaluer la qualité d'une obligation rendement élevée. Tout commence par l'évaluation des états financiers, les déclarations d'entreprise. On commence toujours par étudier le flux de trésorerie disponible d'une entreprise.
Peut-elle s'acquitter de façon confortable de ses obligations financières, frais d'intérêts, bah salarial etc. Si la réponse est positive, et bien on peut se demander dans quelle mesure ce flux de trésorerie est prévisible. L'entreprise pourra-t-elle continuer à tenir ses engagements. Après cette analyse, il s'agit de songer à l'entreprise elle-même quelles sont ses forces, cassant ses faiblesses, l'équipe de directions état de grande qualité, prend-elle de bonnes décisions stratégiques?
S'intéresse à la développer l'activité ou la restitution de fonds propres actionnaires? Toutes sortes de facteurs qui pourraient entraîner une impossibilité de tenir les engagements. Il s'agit d'évaluer l'entreprise sous-jacente alluma quand on songe à une évaluation rendement élevée, en définitive vous interpréta, vous prêtez à une entreprise, voulez vous assurer que vous touchez vos intérêts que vous récupérez votre principal. Non seulement envisagez-vous le flux de trésorerie, mais encore la qualité de l'entreprise à laquelle vous prêtait pas si cette entreprise fait faillite, est-ce que vous avez toujours récupéré votre argent ou bien pourriez-vous retrouver face à une perte. Au nombre des facteurs outre le rendement financier, c'est la qualité des actifs.
Mettant qu'une entreprise a une dette qui correspond au prix de ses bénéfices, si elle réalise (...) si vous vendez cet actif allez-vous réaliser davantage encore moins?
C'est essentiel quand on envisage la possibilité qu'une part soit réalisée. Il s'agit d'évaluer l'entreprise et les risques qui l'environnent mais également à qui vous prêtez et quelles seront les garanties, et cela permet d'évaluer l'attrait de ce placement par rapport à d'autres possibilités qui présentent les mêmes risques que l'on peut analyser.
Voilà des facteurs à prendre en compte quand on étudie le secteur des titres à rendement élevé. Que dire des secteurs défensives comme les services publics télécommunications?
- Comme j'ai dit, ces secteurs paraissent intéressants, le marché des titres à rendement élevé, et secteur défensif, les actions ont eu un comportement décevant cette année. Pourquoi, parce que le prix de reviens augmente à cause de l'inflation, les taux d'intérêt augmentent rapidement, en ce qui concerne revenu, ses revenus sont très prévisibles et stables, mais essentiellement contractuelle. Alors leurs flux de trésorerie sont sous pression, ce qui a un impact négatif sur des attentes en matière de croissance, et les valeurs remboursant souffre. Et lorsque les valeurs en pour cent souffrent, les titres à rendement élevé réagissent aussi. J'ai parlé de cette garantie, la question de garantie en réponse à dernière question, la valeur de votre garantie, si la valeur de l'entreprise en bourse diminue, la valeur de la garantie diminue. La probabilité d'une perte augmente légèrement. Voilà pourquoi les titres défensifs ont donné des résultats décevants, aussi bien les services publics que les télé communicateurs. Pour moi, c'est une réaction de la réaction du marché obligataire est un peu une réaction excessive. La raison pour laquelle je dis cela, c'est que lorsque vous songez au coût de remplacement, par exemple d'un réseau de distribution électrique, un réseau de fibre optique, le coût du remplacement augmente avec l'inflation également, parce que les coûts de main-d'œuvre et de fourniture augmente.
Alors le risque d'une perte à mon avis n'est pas aussi important que le marché le laisse entendre et cela crée des opportunités. Là nous voyons des occasions dans ces secteurs. Au niveau des télé communicateurs, en ce qui concerne rendement élevé, il y a une structure de capital assez compliqué, via la dette non garantie, de garantie, qui représente un ratio de trois à quatre fois la dette par rapport bénéfice. La dette non garantie ça peut passer de six à sept fois.
Au niveau des titres garantis, on peut concentrer davantage une à la valeur des actifs et sur la capacité de refinancement. Donc nous pensons que les obligations garanties qui tournent autour de huit à 10 % sont intéressantes. Il y aura une forte volatilité, il existe un certain risque quant à la possibilité de refinancement, mais malgré tout nous sommes assez satisfaits quant à la probabilité de récupérer le capital sans réaliser de pertes. Au niveau des actions régulièrement de préoccupations à l'égard de refinancement.
Les structures de financement sont plus prudentes. Donc nous obtenons rendement plus élevé pour le risque que l'on prend, nous ne prévoyons pas qu'il y ait des préoccupations importantes relatives refinancement dans le secteur des services publics. Ces deux secteurs offrent une belle valeur alors actuelle.
Suite d'autres questions, sur les déplacements pour le secteur des voyages et des loisirs, avec la fin du baume des déplacements de l'été. Comment se présente-t-il? Suite les compagnies aériennes commencent à signaler qu'après un été très porteur, ne savent pas de quoi l'avenir sera fait. C'est ce que nous pensons du secteur des loisirs. La vie est belle en ce moment, mais nous sommes un peu préoccupés par l'avenir. Nous avons été assez optimistes à l'égard des transporteurs aériens depuis le début de l'année, avec le retour des voyages d'affaires et des voyages internationaux, mais nous sommes quelque peu prudents dans l'avenir, parce que des écarts sont assez serrés, ce qui reflète la bonne nouvelle, et la prime de risque n'est pas tellement élevée alors que les coûts de carburant augmentent. Il y a un personnel très syndiqué avec des travailleurs automobiles et les autres syndicats qui exigent des augmentations de salaire considérable.
Nous sommes un peu plus prudents à l'égard de ce secteur que nous ne l'étions il y a quelques mois. Nous pensons que le secteur des loisirs offre des possibilités plus intéressants dans le secteur des croisières.
Tout le monde sait que c'est un secteur qui donne de bon rendement, mais les croisières existent avec des notes triple B avant la COVID, depuis tout ce qui s'est passé pendant la pandémie, leurs codes sont passés à triple c'est parce qu'elles ont dû arrêter leurs activités, on a parlé de voyageurs qui étaient pris au piège à bord de paquebots qui étaient contaminés, c'était catastrophique. Il y a eu une année ou un peu plus d'une année pendant laquelle le marché tout entier des croisières était inexistant.
Les entreprises ont accumulé beaucoup dette pendant cette période. Leur note et passa triple C. Maintenant, les paquebots sont pratiquement plein, d'ici deux ans, les prix augmentent, et les trésoreries des trois grands trésoreries ça se chiffre en milliards et les compagnies peuvent commencer à renier sur leur énorme endettement accumulé pendant la COVID.
Elles sont très loin encore d'être des outils de première qualité m'évoluent dans la bonne direction et leur équipe de directions veulent parvenir au rang de première qualité. Huit à 10 %, attendant ce niveau d'exploitation, ainsi qu'au niveau du bilan qui va dans la bonne direction, c'est un secteur intéressant.
Je vous rappelle comment poser une question. Avez-vous des questions sans déplacement, ou encore sur les marchés?
Vous pouvez nous la poser. Soit par courriel à moneytalklive@td.com, soit dans la boîte à questions au bas de votre écran. Il suffit de cliquer sur envoyer.
Nos invités pourraient vous répondre en direct.
Jerome Powell, président de la Fed américaine a tenu des propos très attendus au Economic Club de New York. La réaction des marchés, d'abord à la hausse une certaine pression à la baisse. Anthony Okolie à écouter les propos du président de la Fed.
Suite à cette intervention précède la décision sur les taux du mois prochain.
Pendant la plus grande braderie des bons du trésor depuis un an. Voici ce qu'a dit Jerome Powell. Il a laissé entendre qu'il aurait une pause dans la hausse des taux d'intérêt. Les marchés prévoient déjà que la Fed maintienne les taux inchangés à sa prochaine réunion. Jerome Powell s'est également fait l'écho de plusieurs dirigeants de la Fed qui ont récemment réclamé une pause dans la hausse des taux à court terme, compte tenu de la nécessité de voir quel sera l'impact des hausses passées sur l'économie, surtout en raison de la hausse des rendements obligataires depuis quelque semaine qui a beaucoup resserré les conditions financières.
Jerome Powell a reconnu qu'il y avait des cycles de refroidissement mais a déclaré que l'inflation demeurait trop élever et qu'il faudrait sans doute que la croissance économique diminue pour la faire reculer et que la situation de la résidence de l'économie pourrait justifier davantage de resserrement. Il a répété que les taux demeuraient plus longtemps plus élever, mais il a réitéré également que la Fed se fonderait sur les statistiques dans l'avenir et qu'elle procéderait avec prudence dans ses décisions en matière de politique monétaire ce qui semble indiquer que la Fed n'envisage pas de relever les taux à sa prochaine réunion, mais il n'a pas exclu une hausse potentielle en décembre.
Il s'est ménagé cette possibilité. Au niveau de l'emploi, Powell a laissé entendre que le marché du travail la croissance économique pourrait devoir ralentir pour que la Fed puisse parvenir à ses objectifs. Un peu de contexte.
Récemment les statistiques sera la croissance d'emploi, laisse accroire une décélération d'activité économique à la fin de l'été au début de l'automne. Bien sûr, ces commentaires parviennent le jour même où les demandes d'inscription chômage ont atteint le niveau le plus bas depuis novembre 2003, ce qui signifie que le marché du travail reste très serré pour exercer une pression là-haut sur l'inflation. Jerome Powell est toujours en train d'intervenir. Je vois que le rendement des obligations du gouvernement à 10 ans est à 4,99 %, c'est-à-dire presque cinq. Il faudra peut-être prendre du recul et faire le bilan de la réaction du marché. La bourse a monté puis redescendu. C'est très dynamique, rendements obligataires les bons du Trésor à 10 ans sont presque 5 %. Suite oui, les enjeux sont élevés pour ce discours. Les rendements des bons du Trésor à 10 ans étaient sur le point d'atteindre 5 % pour la première fois depuis décembre 2007.
Jerome Powell, croyait-t-on aller signaler un resserrement de la Fed dans un contexte de tension croissante au niveau géopolitique. Les ventes de logements s'étant diminuées jusqu'au niveau le plus bas depuis 2010 à cause du bon des taux hypothécaires qui ont atteint 8 % récemment et qui a eu un effet très néfaste sur le marché du logement. Service économie TD ne prévoit pas de revirement sur le marché à court terme et prévoit que la rentabilité descendra au prix le plus bas depuis 40 ans. Les enjeux reliés à ce discours sont très élevés. Nous allons continuer de le suivre de très près et tous les yeux serons rivés sur la prochaine décision de politique monétaire de la Fed qui arrive le 1er décembre. Le 1er novembre. Suite merci, Anthony Okolie pour cette analyse en temps réel. Après un coup d'œil sur les marchés.
Voici la plate-forme avancée de la banque TD conçue pour les négociateurs actifs et proposés par placement direct TD. Voici la carte thermique qui permet de visualiser le TSX 60 en fonction du cours et du volume. Les réactions aux propos tenus par Jerome Powell se font sentir sur tous les marchés nord-américains. Par beaucoup de vers à l'écran. Pour se concentrer sur l'élément positif, ce serait Cameco, CCO, le producteur d'uranium en hausse de 6 %, faiblesse dans le secteur des services publics, très sensible taux d'intérêt avec le secteur financier également, la situation est mitigée. Aux États-Unis, l'indice S&P 500, à part Jean Powell et ce qu'il affirme, ensuite très près les rendements obligataires, il y a des annonces de bénéfices en ce moment.
Commençons par Netflix. Le titre bondit de 15 % après l'ajout d'un grand nombre d'abonnés pendant le dernier trimestre.
AT&T annonce des bénéfices en hausse, les milieux financiers sont satisfaits. Tesla annonce des bénéfices et un chiffre d'affaires inférieures aux prévisions et le titre dévisse de 9 %. Pour vous renseigner sur la plate-forme avancée, visitez le site de placement direct TD.
Ben Chim répond à vos questions sur le marché obligataire.
Pouvez-vous commenter rue Saint art allemande, rendement obligataire est supérieur à 10 %. Comment les investisseurs devraient-ils interpréter ce taux élevé?
- Chorus est une entreprise à des actifs très solides au niveau des contenus, qui ont de la valeur sur le marché canadien.
Mais la faiblesse des obligations est attribuable à deux éléments.
Qui inquiète les investisseurs à long terme. Tout d'abord, de plus en plus de spectateurs se désabonnaient de la cabot diffusion et s'intéresse plutôt aux plates-formes de diffusion directe.
Certains des canaux de chorus ne rapportent pas autant de revenus d'abonnement que cela était le cas dans le passé encore plus important des inquiétudes relatives à la publicité.
La publicité, quand on n'y songe, la hausse de l'inflation, la hausse des coûts pour les entreprises, la manière dont elle gère ça au niveau des taux d'intérêt, la publicité, c'était une des façons les plus simples de réduire les coûts, et en général c'est l'un des premiers coups à être réduit en cas de baisse d'activité ou de récession. Cette fois-ci, c'est le cas également, coup de publicité, les entreprises publicitaires en général ont dû s'adapter mini récession qui survient plutôt que pour les autres secteurs.
Chorus est frappé de plein fouet par la baisse de la publicité sur ces canaux.
Voilà les deux facteurs qui sont pris en compte et qui ont des conséquences sur la structure du capital et qui entraîne des inquiétudes à l'égard des obligations.
Le désabonnement des clients représente une inquiétude pour l'avenir en ce qui concerne le flux de trésorerie en particulier.
Nous ne prévoyons pas de risque de faillite ou de défaut de paiement, du moins dans l'immédiat. Il ne s'agit pas d'une inquiétude sérieuse pour l'instant, mes obligations sont à longue échéance. Il existe donc beaucoup de potentiel de détérioration et cela inquiète la plupart des investisseurs. Le rendement est très élevé à l'heure actuelle, à cause de ces risques. Suite excellente analyse de chorus. Nous n'avons plus le temps de poser des questions, mais une dernière chose que dans cet environnement régulièrement obligations ont augmentée depuis plusieurs semaines. À quoi doivent songer les investisseurs?
- La situation devient de plus en plus difficile en tout temps avec la volatilité que nous constatons. Il y a deux choses pour moi auquel je songe constamment. Tout d'abord, quand est-ce que nous allons pouvoir avoir une exposition plus importante automne intérêt? J'ai l'habitude d'aller à contre-courant. Avec les obligations. Chaque fois qu'une obligation baisse c'est-à-dire que le rendement est élevé, le rapport risque rendement s'est amélioré.
En tant qu'investisseur, dans les titres de créance, depuis un an au plus, je suis beaucoup plus biaisé en fonction des crédits immédiats où le risque est très séduisant. Il y a davantage de raison à leur actuelle de s'aventurer plus loin sur la coupe de rendement, cinq ans, 10 ans, on peut réaliser un rendement à 5 % pour des obligations à 10 ans.
L'aspect d'assurance, si vous voulez, le fait que s'il y a vraiment une rétrogradation de la croissance, s'il y a un choc relatif aux conditions financières, et ce n'est pas exclu.
L'été dernier, il y a eu un choc avec les caisses de retraite au Royaume-Uni. À chaque fois qu'il y a un resserrement rapide des conditions financières et que le risque chancelle et que la possibilité existe. Nous l'avons vu. Le fait d'avoir cette assurance sur le tronçon de 10 à 30 ans de la courbe, et ceux avec des titres défensifs de première qualité, service public, etc.
Des obligations à 30 ans de grande qualité, on obtient des rendements de six à 6,5 %. Bien sûr, cette assurance a un coût, parce que les taux d'intérêt vont demeurer volatiles, il pourrait être encore plus élevé, mais l'intérêt relatif à ce coût, ce qui diminue et je pense que c'est devenu plus intéressant.
Suite voilà la question que nous nous posons tous dans le secteur des titres à revenu fixe. La situation est devenue plus intéressante, à l'extrémité plan de la courbe. Merci, ben j'apprends tout plein de choses avec vous. Suite Ben Chim est responsable des titres à revenu fixe à gestion passante dépensait toujours propre recherche avant de prendre les décisions de placement. Restez à l'écoute, Thomas une mise à jour sur les marchés et les dernières informations sur la santé des consommateurs canadiens. Lundi, ARN répond à vos questions pendant toute l'émission sur la plate-forme le courtier Web, et le moyen de mieux employé par peut nous poser vos questions d'ores et déjà par courriel à MoneyTalkLive@TD.com. Merci, et… attendez avant que le rendement, 4,98 %, il n'a pas encore atteint 5 %. À demain.